#La lettre de Noël
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Bilan : Cold Winter Challenge 2023
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#Challenge Cold Winter#coup de coeur#Ellis#Ghost in love#Historiques#J&039;irai voler ton coeur à Noël#Kilomètre zéro#L&039;ours et le rossignol#La lettre de Noël#Le cadeau empoisonné#Levy#Moyes#Noël au bord de l&039;eau#Noël au refuge des amoureux#noël à River Falls#Petits mensonges sous le sapin#Pitocchi#Pradier#Retour à St Mary Hill#Romances société et les autres#Sous le même toit#Thrillers et policiers#Un hiver pour te résister
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Belle Lettre d'amour... à lire......
Lettre de Consuelo de Saint-Exupéry à son mari Antoine St Exupery
Fin décembre 1944
Que j’aille très loin, en train, en avion, sous la mer, par la terre, j’ai l’impression que jamais je ne pourrai arriver jusqu’à toi.
Tonio, Tonito, mon homme, mon fils, mon clocher, fais sonner les grandes cloches parce que je ne peux pas respirer. J’ai grossi en attendant la houle qui va te ramener.
Je tombe avec les feuilles, avec la pluie, avec ma jupe de fête.
Je ne peux pas marcher à force d’attendre le moment où
je reverrai tes yeux, ronds comme des fleurs.
Tu ne vois pas que je ne peux pas arroser l’arbre de Noël pour le faire grandir. Mon mari des étoiles, j’ai de tout petits pieds et de toutes petites mains, il faut que tu reviennes m’aider.
Je ne sais pas comment j’ai marché depuis mon enfance jusqu’à aujourd’hui. Ma vie fut un immense vertige.
A présent, j’ai des cheveux gris, j’ai tellement de larmes dans ma bouche que cela me suffirait pour boire toute ma vie.
Pourquoi Tonio, mon Tonio, mon mari,
mon mal et mon bien, mon ciel et mon enfer,
es-tu parti pour ne jamais revenir ?
Je ne peux pas le croire, je ne veux pas le savoir, tu es parti dans ton avion, le 31 juillet, en mission de guerre et tu n’es pas revenu. Pas de nouvelles de toi et l’année va finir. Il faut que je l’accepte, et si je l’accepte, c’est pour t’aimer davantage.
Comme je t’aurais aimé si tu étais revenu ! Comme toi aussi tu aurais fait la même chose pour moi !
Seigneur à la couronne d’épines, arrache-moi le cœur pour qu’il ne me fasse plus mal.
Tu sais, toi, que Tonio est tout pour moi. Sans lui, je ne suis rien. Sur la table de ma chambre d’hôtel, j’ai un livre de lui, son portrait avec son manteau de soldat en cuir et ses fines mains d’homme comme des ailes et sa barbe pousse avec mes larmes.
Seigneur grand et miséricordieux, je te donne ma peine et ma douleur.
Mon Père, aide-moi. Je n’ai personne pour aimer, pour attendre, pour embrasser.
Ma maison est devenue petite, seule ma fenêtre reste ouverte pour faire entrer le ciel où il est parti en s’envolant pour ne pas revenir.
Rendez-le-moi mon Père, je vous en prie, faites un miracle.
Si vous me le rendez dans sa tendresse, je le coifferai, je le laverai, je l’embrasserai et ensemble nous irons jusqu’à vous
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Printemps 1925, Hylewood, Canada
Chère cousine,
Pardonne mes manières frustres, mais il parait que nous avons le même âge, et je trouve cela étrange de m’adresser à toi comme si je parlais à une vieille tante. On est au vingtième siècle, maudit, alors le tutoiement ce sera.
Cela fait un an que je me dis que je dois m’y mettre, mais je me retrouve toujours à repousser. Ne va pas croire que je ne souhaite pas te répondre, mais ne trouves-tu pas qu’il y a quelque chose d’étrange, de romanesque, même, à écrire ses pensées les plus intimes à une personne qui se trouve à des milliers de miles, qu’on a jamais rencontrée, qu’on ne rencontrera jamais ? C’est vertigineux que de se dire qu’on reprend un flambeau porté depuis un siècle. Avant, je pensais que ce genre de correspondance était commune dans toutes les familles. La mienne l’avait toujours fait, alors il me paraissait naturel de me dire que c’était courant de continuer d’écrire à ses petits-cousins issus de germains éloignés au premier degré (oui, j’ai vérifié). Quand j’en ai parlé aux copains du pensionnat, ils m'ont pris pour un cinglé. En même temps, si les habitants de l’île devaient continuer à correspondre avec leur famille éloignée, les lettres n’iraient pas bien loin, il suffirait de traverser la rue et le facteur se retrouverait au chômage.
Moi aussi, j’ai un surnom hideux que ma mère n’aura pas manqué de communiquer à ta mère, mais je te serai grée de ne pas l’utiliser, puisque mes parents s’évertuent à m’appeler « Lulu » et que tu ne manqueras pas de compatir à mon dépit. Au moins, le tien - de surnom - a un peu de panache.
Je ne sais pas quel crédit apporter à ces histoires de fantômes, mais si j’étais toi, je n’en ferais pas trop de cas. Les personnes âgées voient toutes sortes de choses, elles mélangent le passé et le présent dans leur tête après un certain âge, comme si leur mémoire arrivait à saturation devant une chronologie trop longue. C’est ce qui arrive à l’oncle Joseph, qui approche les cent ans et qui est complètement tanné du cerveau depuis quelques années. Il ne se souvient plus des noms et il confond les gens avec des personnes qu’il a connu il y a trente ans, il radote dans ses prêches, tous ses diocésains le supplient de partir à la retraite, mais il n’en démords pas, il reste accroché à son évêché comme une moule à son rocher.
Au revoir, chère cousine Noé – je voudrais pouvoir dire à bientôt mais je préfère ne rien promettre. Excuse le décousu de cette lettre vingt fois interrompue par mes trop nombreux frères et sœurs - Marie a dix-sept ans aujourd'hui et est très excitée par son chapeau, ses parfums – Nuit de Noël de Caron, elle tient à ce que je te le précise puisqu’il parait que je n’y connais rien et que je ne l’apprécie pas à sa juste valeur avec mon nez grossier – cadeaux choisis par elle-même… Je réalise bien que je n’ai pas répondu à tout ce que tu me demandes dans ta longue lettre, mais je me ferai pardonner la prochaine fois.
J'ai mis tant de temps à répondre, tu dois être mariée à l'heure qu'il est. Toutes mes félicitations. Petites et grands t’envoient bien des amitiés. Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Eugénie LeBris : Dépêche-toi de retrouver ton chandail. L’oncle Joseph va être furieux s’il voit que tu ne portes pas ses cadeaux… Dolorès LeBris : Mais je ne porte pas ses cadeaux… Ils sont trop moches ! Eugénie LeBris : Oui, mais il n’a pas besoin de le savoir !
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(Georges Noël, lettre au vent II, peinture, 1988, galerie Georg Nothelfer, Art Basel)
voir les cicatrices du vent ternir l’espace de la vie ; ce qui blesse parfois est aussi ce qui dessine l’abri
© Pierre Cressant
(dimanche 4 juin 2023 - jeudi 23 mai 2024)
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Ce matin, François Morel a écrit une lettre pour Valérie Lemercier Chère Valérie Lemercier, Je vous écris cette lettre que je ne vais pas poster vu que je vais directement vous la lire ce matin. Moi, ça m’économise un timbre et peut-être ça fera parler de votre film Aline, qui sans doute n’en a pas besoin, mais quand même le bouche à oreille, c’est encore la manière la plus efficace d’inciter à partager ce qu’on aime et vu que je suis une bouche derrière un micro qui parle à des oreilles qui écoutent la radio, ce serait bête de ne pas en profiter étant donné que je voudrais que tout le monde aille voir votre film vu qu’il est beau, tellement drôle et tellement bouleversant, tellement populaire et tellement singulier. Valérie, cette chronique n’est pas un exercice de copinage, je vous connais sans vous connaître, je vous ai découvert il y a de ça une trentaine d’année, quand nous étions dans les studios de Boulogne, dirigés par Jean-Michel Ribes, vous étiez Lady Palace et j’étais Alfred le Groom. Je sais, ça ne rajeunit personne. Depuis, nous nous sommes peu vus. Moi, j’allais voir vos spectacles et chaque fois j’étais scié, par votre inspiration, vos talents multiples, votre culot. La dernière fois, c’était au Châtelet, vous traversiez le plateau avec une valise à roulettes et c’était beau comme un dessin de Sempé. Hier, je suis allé vous voir dans Aline. Avant vous, je crois, de ma vie je n’avais jamais pensé à Céline Dion et puis vous m’avez présenté à Aline Dieu et depuis je crois en Dion. Ce que vous avez tourné, ce n’est pas un biopic parce que pendant tout le film on ne voit que vous, Valérie Lemercier. Ce que vous avez filmé, ce n’est jamais une parodie, vous ne vous moquez jamais, vous rigolez pourtant comme on rigole avec ceux qu’on aime. On ne sait pas si vous êtes Aline ou Céline ou Valérie, ou les trois à la fois mais ça n’a aucune importance. C’est un truc à part que vous avez réalisé, qui parle de plein de choses, de la volonté de chanter qui se confond avec le désir de vivre, du courage, de la famille, du couple, des enfants, de la naïveté, de l’amour, de la vie. Vous êtes toujours là où on ne vous attend pas Il faudrait dire du bien de chaque actrice, de chaque acteur qui vous entoure, de Sylvain Marcel, de Danielle Fichaud, de Roc La Fortune, de Jean-Noël Brouté, d’Elsa Tauveron, de tous les autres, il faudrait citer aussi le nom de la coiffeuse, de la costumière. J’espère que les spectateurs qui iront voir Aline resteront jusqu’au bout du générique en signe de reconnaissance à tous ceux qui ont œuvré pour votre film. C’est un film tellement épatant, tendre, drôle mais jamais moqueur, complétement premier degré et intégralement subtil. C’est un film France Inter, Laurence Bloch s’engage à rembourser chaque spectateur à qui le film, par erreur, ne plairait pas. Valérie, je vous embrasse. Peut-être qu’on se tutoie, auquel cas, je t’embrasse.
Merci François
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Ph. La bouquiniste
Une sélection d'écrits de femmes de lettres par Diglee, dessinatrice de grand talent. Il m'a été offert par mes parents au Noël dernier. Il n'a plus quitté mon chevet. C'est un véritable trésor. Vous l'offrir absolument si vous aimez les Grandes Dames qui votre peau, attisent...
*
(EXtraits)
"J'ai écrit de la poésie érotique assez tôt dans ma vie. Comme une déclaration de guerre."
Joumana Haddad "Le retour de Lilith"
*
Tellement pudique que je me réfugie dans des paroles obscènes Insolente au point de rougir en criant mon feu Chasseuse, je lance mes mots comme des flèches Et mes flèches me reviennent chargées de proies.
Joumana Haddad
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Les expressions québécoises
(Partie 1)
Il pleut à boire debout
Cette expression est employée en cas d’averse intense ou d’orage. Elle signifie qu’il pleut si fort qu’on pourrait boire debout, en levant simplement la tête vers le ciel.
Le verbe « pleuvoir » peut aussi être remplacé par « mouiller ». Par exemple : « Il mouille à boire debout ».
Se faire passer un sapin
Si quelqu’un vous dit qu’il s’est fait passer un sapin, montrez-lui un peu de compassion. Cela signifie qu’il s’est fait avoir, qu’il a fait une bien mauvaise affaire ou qu’il s’est fait arnaquer.
Cette drôle d'expression québécoise tire son nom du sapin baumier, qu’on utilise comme sapin de Noël. Pour les ébénistes, ce dernier ne vaut pratiquement rien sur le marché. En effet, les planches de sapin baumier ont tendance à craquer une fois séchées, contrairement à d’autres conifères comme le pin et l’épinette.
À l’époque, lorsque les Anglais venaient acheter du bois de construction aux Canadiens français, les francophones remplaçaient le bois de qualité par du sapin baumier, au moment de la livraison.
Tomber en amour
Explication : Celle-ci est tirée de l’expression « fall in love » en anglais. Chez nous, on tombe en amour avant d’être en amour. Et puis quand on y pense, commencer une nouvelle relation, c’est un peu comme se lancer dans le vide, non ?
Dans tous les cas, au Québec, l’amour fait mal. On tombe… Et « on casse » quand une relation se termine.
À noter, on peut aussi tomber en amour avec un pays, une ville, une chanson, etc.
J'ai mon voyage
Rien à voir avec vos prochaines vacances. Ça signifie d'en avoir ras-le-bol, en avoir marre.
Pogner les nerfs
Faire une crise de colère, d'impatience
C'est arrangé avec le gars des vues.
Pour bien comprendre cette expression québécoise il faut savoir ce que signifie "les vues" au Québec. "Les vues", "les petites vues" ou "les vues animées" sont utilisées pour parler du cinémas au Québec. Ainsi, "aller aux vues" signifie tout simplement aller au cinéma.
L'expression québécoise "c'est arrangé avec le gars des vues" veut dire que quelque chose est truqué ou falsifié. Cela veut dire que le résultat est connu en avance.
Se fendre le cul
L'expression québécoise se fendre le cul est très couramment utilisée. C'est une expression familière synonyme de se fatiguer, se donner du mal. Il s'agit donc de faire un effort et de dépenser de l'énergie pour faire réussir son activité.
Une variante est "se fendre le cul en quatre", dont l'équivalent en France serait "se plier en quatre", synonyme de "faire tout son possible".
Se r’virer sur un dix cenne
Décortiquons d’abord cette expression. Un dix cenne est une pièce de dix centimes de dollars. C’est 10 cents, 0,10$, dix sous, prononcé un peu différemment. Se r’virer, ou se revirer, c’est se retourner.
Une fois ces termes clarifiés il est plus facile de comprendre l’expression. ��tre capable de se retourner sur une pièce de 10 centimes, c’est être capable d’adaptation rapidement.
Exemple: Son plan a échoué. Il a fallu se revirer sur un dix cennes pour trouver rapidement une solution.
O.P.C!
Si un Français lit une lettre ou un courriel qui se conclu par la mention "OPC", il n'est pas certain qu'il comprendra bien ce que ces 3 lettres signifient.
OPC est l’abréviation sonore d’Au Plus Crisse. Cela veut dire que ça urge, qu'il faut réagir au plus vite! C’est l’équivalent du A.S.A.P américain (As Soon As Possible).
Ça prend pas la tête à Papineau
L'expression fait référence à quelque chose qui ne demande pas une grande intelligence. On utilise cette expression pour dire que quelque chose est simple à comprendre, évidente ou facilement réalisable.
La tête à Papineau fait référence à Louis-Joseph Papineau. Il s'agit d'un politicien célèbre et reconnu pour sa grande intelligence. Il a notemment mené les Patriotes durant la rébellion de 1837.
C’est d’valeur
C'est L'expression québécoise "C'est de valeur" est synonyme de fâcheux, qui est dommage.
Une expression qui provient des amérindiens. Dans leurs conversations avec les canadiens, ils utilisaient souvent des réponses concises. Lorsqu'une situation était importante et nécessitait de réfléchir aux pours et aux contres, ils répondaient que " la chose est de valeur ". Du moins c'est ainsi que les interprètes français le traduisaient. Avoir de la valeur, qui mérite d'être réfléchi en opposition à ce qui ne vaut rien. Par cette expression, l'Amérindien voulait faire entendre poliment à son interlocuteur que ses propos sont dignes d'intérêt, mais qu'il ne veut pas s'engager tout de suite à une réponse. Puisque souvent c'était relié à des choses tristes, l'expression à pris le sens de fâcheux, dommage.
Le Comte de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France, dans une lettre adressée à la cour de France le 20 octobre 1691, parle d'une escarmouche avec les Iroquois où ces derniers perdirent quarante-cinq hommes. «Cet échec qui était de valeur pour eux, pour me servir de leurs termes, parce que parmi leurs morts, il y avait de leurs principaux chefs, les ralentit beaucoup»
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Bonjour à tous,
J’ai hérité d’une partie de la bibliothèque de mon arrière grand-père ! Grand germanophile et passionné d’Histoire. Il avait pour habitude d’offrir un de ses livres à chaque arrière petit-enfant pour Noël. Alors, pour perpétuer cette tradition à ma façon, voilà les livres que je ne lirai pas et que je peux vous donner s’il y en a qui vous intéresse !
Vous pouvez m’envoyer un message privé. N’hésitez pas à partager ce post et à en parler autour de vous ✨
Ps : quand il n’y en a plus, il y en a encore !
Je donne également :
Lettres et Propos sur l'Art, Nicolas Poussin
La tentation de l'Occident, André Malraux
Le Ciel et l'Arcadie, Maurice Denis
Face au drapeau, Jules Verne
Les vieux souvenirs, Prince de Joinville
Vielles Maisons - Vieux papiers, G. Lenotre
Le mystère français, Emmanuel Todd et Herv�� Le Bras
Discours sur l'Histoire universelle, Bossuet
l'Histoire du sentiment religieux en France + La poésie pure, Henri Bremond
Histoire de France + Histoire de deux peuples, Jacques Bainville
Histoire contemporaine : philosophie mathématiques
Le XVIIème siècle, Lagarde et Michard
Récits du temps Mérovingien, Augustin Thierry
Histoire d'Allemagne, Charles Bonnefon
L'Allemagne, Edmond Vermeil
L'Allemand, Jacque Rivières
Français et Allemands, Louis Reynaud
La guerre sous les mers, Edmond Dellage
Précis de droit maritime, Georges Ripert
Chronique des Pasquiers, Georges Duhamel
Les coulisse de l'Histoire, Octave Homberg
Splendeurs et misère de M. de Chateaubriand
Des livres sur Charles de Gaulle ainsi que sur sa femme, des oeuvres d'André Maurois, Emmanuel Mounier, et Katherine Mansfield. Une grande collection de l'oeuvre de Jules Romain. Certains volumes de la collection Semaines sociales de France, ainsi que de l'A.E.S.
Et si vous parlez allemand, il y a toute une collection de livres allemands !
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Joli conte de Noël pour enfants :
L'histoire d'un chat de gouttière au pelage noir, Tacite et de sa bien-aimée Brulhe, chatte angora.
" Non, il ne lui demandait rien dans cette lettre.
Il la remerciait, c'est tout.
Merci d'exister, Brulhe. Merci infiniment d'être qui tu es, petite sœur aux yeux d'or.
Il mit la lettre dans une boîte le 25 décembre au matin.
Ce jour-là les facteurs se reposent. Un ange, un vrai, s'empara de la lettre et la glissa directement dans le cœur de la destinataire.
Cela faisait maintenant deux cœurs remplis d'une étrange lumière, deux cœurs de neige. Et, dans le voisinage de ces deux-là, d'autres cœurs commençaient à s'éclairer.
Il n'y avait aucune raison que cela s'arrête."
Cœur de neige ❤️ Christian Bobin
Joyeuses fêtes de Noël à vous toutes et tous 🌲
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En ce moment même, il n'est même pas aux soins palliatifs mais plutôt aux soins intensifs. Son cœur fonctionnait à 50% à son arrivée à l'hôpital précédent. Ils l'ont transféré dans un autre hôpital mieux équipé pour le prendre en charge. Maintenant son cœur est à 15%. Ils devaient remplacer deux valves dans son cœur. Ils l'ont opéré pour une seule afin d'éviter que ce soit trop exigeant pour son corps. Après l'opération, il y a eu une hémorragie interne et ils ont dû le réouvrir pour s'en occuper. Aussi son rein a lâché alors il a eu besoin de dialyse. Son corps est également en manque de calcium. Ses jambes sont gonflées après son opération pour ses genoux qu'il a dû faire il y a quelques semaines puisque ses os étaient directement en contact depuis des années. Il souffrait atrocement au début, alors ils ont dû le droguer à fond pour atténuer sa douleur. Maintenant il est à peine conscient et a à peine assez de force pour bouger. Il a réussi à ouvrir les yeux une fois et à serrer la main de sa femme lorsqu'elle était à ses côtés une autre fois. Il a perdu tellement de poids. Il est livide et branché à des tonnes de fils, la salle est remplie de machines. L'infirmière est obligée de vérifier son état toutes les 5 minutes. Il ne veut même pas qu'on le sache. Encore moins qu'on vienne le voir. Je ne sais pas s'il a honte de son état ou s'il cherche à nous protéger. Mais je l'aime et j'aimerais qu'il sache qu'on pense à lui si fort.
C'est un bon gars, le genre d'homme qui a un peu de difficulté à montrer ses émotions, mais qui te montre de toutes les façons possibles que t'es important pour lui à travers ses actions et toutes ses petites attentions. C'était un pompier avant qu'il prenne sa "retraite" en devenant déneigeur. Je crois qu'il n'a jamais pu arrêter de travailler, de se garder occupé, d'offrir ses services aux gens parce que c'est ce qui donnait un sens à ses yeux. Il faisait pousser tous les fruits et légumes imaginables dans son jardin, il trouvait toujours des choses à réparer, il avait toujours deux à trois chiens et chats dont il prenait soin par lui-même. Quand j'étais petite, même s'il était toujours occupé par son travail, il trouvait le temps de me faire faire des tours de tracteur, de m'emmener skier au cimetière l'hiver, de jouer aux legos avec moi. À chaque fois que j'allais là-bas, il achetait tous les aliments que j'adore et à chaque matin, il se levait vers 4 heures du matin pour sa journée de travail ou par habitude. Et je me souviens qu'à chaque fois que je restais dormir là-bas, je me levais tôt aussi pour être avec lui le matin. Dès que j'entendais des pas ou que je percevais une lumière tamisée, je m'extirpais hors du sommeil. À chaque fois, il me préparait deux toasts aux raisins beurrées, recouvertes de sirop et coupées en quatre avec un verre de lait. On déjeunait ensemble, puis avant de partir travailler, il préparait du café filtre pour qu'il soit prêt pour sa femme lorsqu'elle se réveillerait. J'adorais la façon dont il fredonnait constamment une mélodie. Tous ses habits étaient de la même couleur, un bleu foncé, et je ne l'ai jamais vu porter quoi que ce soit d'autre en 21 ans. À mes yeux, tout de lui était caractéristique de lui seul, c'était mon grand-père même si je l'ai toujours appelé par son prénom étant donné que toute la famille le faisait. L'année passée, dans une lettre pour Noël, je lui ai écrit que j'adorais passer du temps avec lui, je l'ai appelé grand-papa et je lui ai écrit que je l'aime. C'est des mots que je n'ai jamais vraiment pu lui dire à voix haute, mais j'aurais tellement aimé que ce soit suffisamment naturel pour en être capable. J'ai plus tard appris qu'il a relu ma lettre plusieurs fois et qu'il a tellement été touché qu'il a versé des larmes. Je suis si heureuse d'avoir pu lui communiquer cela avant qu'il se retrouve dans son état actuel. Il ne mérite tellement pas tout ce qu'il a dû traverser. La première femme qu'il a mariée est morte d'un cancer. Son fils est mort aussi lorsque j'étais jeune. Et à chaque année, il dépose une douzaine de fleurs sur les tombes de sa mère, sa première femme et son fils. Leurs fleurs préférées, des roses pour sa femme et des fleurs jeunes pour son fils. Les gens qu'il aime gardent une place dans son cœur, dans sa vie et c'est important pour lui, il continue de penser à eux, de les aimer. C'est quelqu'un de fidèle à ses principes, c'est quelqu'un de bien et je l'aime si fort. J'espère qu'il va s'en sortir ou alors qu'il ne souffrira pas trop et partira en paix. J'espère qu'il sait que je l'aime et que je pense à lui.
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En vert (espoir) et rouge (amour) : La lettre de Noël d'Emily STONE
Je m’étais promis de lire les 10 livres pris au hasard de Mon TOP TEN TUESDAY (Cliquez ici) de mi-novembre 2023. Quelle chance car La lettre de Noël entre aussi parfaitement dans “Deck the Halls” avec sa couverture verte. Le COLD WINTER est encore à l’honneur aujourd’hui ! Bienvenue dans le menu “Féérie des fêtes”… Décembre est pour Josie synonyme de deuil et de chagrin. Dépassée par ses…
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Autre chose que la diarrhée macronarde habituelle.
Je n'ai pas plus d'affinité avec lui aupurd'hui qu'avec son grand-père Charles par le passé, mais cette lettre "vise juste, elle vient au bon moment. Pierre de Gaulle par cet Appel s’est positionné là où il le fallait: au dessus." (Bruno Bertez)
Mes Chers Compatriotes,
En cette fin d’année 2023 et à la veille des fêtes de Noël, qui symbolisent la paix et le partage, je voudrais vous adresser ces quelques mots de confiance et d’espoir.
Cette année fut éprouvante, une année marquée par des guerres, ainsi qu’une profonde crise économique, causée par des sanctions qui n’ont fait qu’appauvrir l’Europe et la France. Une année aussi, qui a vu le retour du terrorisme, aggravant encore le sentiment d’insécurité et la fracture sociale. Notre sérénité collective, nos engagements de solidarité entre les peuples sont ébranlés. Notre Gouvernement et en premier lieu, son Président, ont réussi à nous fâcher avec la plupart des pays du monde, détruisant ainsi des dizaines d’années de diplomatie et abaissant considérablement notre capacité d’arbitrage sur la scène internationale. Notre pays, notre belle France, est confronté à une perte d’identité qui a pu nous laisser, à bien des égards, désabusés.
Nous avons vécu des jours où notre confiance en nos institutions a été mise à rude épreuve, où le contrat social qui nous unit semble se défaire sous le poids des épreuves. Les valeurs républicaines et fondamentales de la famille et de la foi sont bafouées. Il serait aisé de céder au désespoir, de s’abandonner à la morosité, d’abdiquer face à la démagogie. Mais aujourd’hui, je souhaite nous rappeler ce que nous sommes, ce que nous avons été et ce que nous pouvons devenir.
La France, notre pays, n’est pas seulement un territoire délimité par des frontières géographiques, mais une somme d’idées, de principes et d’histoire. Notre nation est bâtie sur des siècles d’aventure humaine, d’invasions, de combats, de victoires et d’une culture rayonnante qui a su inspirer le monde entier. Oui, nous sommes actuellement dans la tourmente, mais n’oublions jamais que dans les pages de notre histoire, chaque crise a été suivie d’une renaissance.
Souvenons-nous des paroles immenses du Général de Gaulle à la Libération de Paris, qui ont bercé La France d’un chant de fierté et de gloire : « Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, mais Paris libéré! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l’appui et le concours de la France tout entière : C’est-à-dire de la France qui se bat.»
La France est un grand pays, mais elle ne sera jamais grande sans son peuple, ni sans une jeunesse ambitieuse, avec des aspirations élevées. Elle ne sera jamais grande si les élites qui nous dirigent n’indiquent pas la voie et ne montrent pas l’exemple, avant que le peuple de France ne s’éveille et suivant son esprit de résistance, ne renverse une classe politicienne incompétente et malhonnête. Les Français ont toujours eu ce sursaut. C’est dans nos gênes, c’est dans notre caractère et dans notre histoire. Seul compte, au fil des siècles, la capacité d’un pays à rester grand. La France reste grande assurément, grâce à son peuple, grâce aux sacrifices de nos ancêtres, grâce à vous tous.
Les frustrations que nous ressentons aujourd’hui sont le symptôme d’un besoin de changement, d’une volonté profonde de réaffirmer nos idéaux démocratiques et républicains et de promouvoir un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Un gouvernement où le bon sens n’est pas seulement un idéal, mais la pratique quotidienne. Un gouvernement qui respecte l’esprit de la République et la voix des Français, au sein de débats parlementaires véritables, de référendums pour les questions essentielles et non pas par l’abus de décrets-lois, aveu de mépris et d’impuissance. Un gouvernement qui respecte la Nation, plutôt que de se soumettre à une technocratie étrangère, en refusant notamment de voter des directives européennes iniques et contraires aux intérêts de notre pays. Un gouvernement enfin, qui respecte la famille, les croyances de chacun, la conscience collective et le sacré. Un Président et son gouvernement qui aiment la France et les Français.
Nous avons parmi nous tant de talents, d’artistes, d’entrepreneurs, de défenseurs de nos libertés et de notre santé, de scientifiques, de penseurs et d’artisans qui œuvrent chaque jour à faire de la France cette terre d’innovation et de création admirée de tous. En eux repose l’espoir, l’esprit indomptable du peuple français qui jamais ne s’est avoué vaincu.
Alors à la veille de Noël, laissons de côté nos inquiétudes pour un moment de répit et de fraternité. C’est ensemble, dans l’unité, la solidarité et la volonté, qu’il nous faudra refaire notre présent et bâtir l’avenir pour la réussite de nos enfants. Un avenir où la liberté, l’égalité, et la fraternité ne sont pas seulement des mots gravés sur nos édifices, mais le reflet de notre ardeur et de notre courage.
Que les fêtes de fin d’année soient pour vous et vos familles, un havre de paix et un commencement nouveau. Que l’espoir renaisse dans nos cœurs et que nous retrouvions, ensemble, la force de surmonter les défis qui sont devant nous. Chaque réalisation, si petite soit-elle, est une bénédiction dans les incertitudes de notre époque. Croyez-en vous-même, croyez en notre belle France, croyez en Dieu, quelle que soient vos religions ou vos croyances.
Avec foi en notre pays et confiance en chacun de vous, je nous souhaite à tous un joyeux Noël, et une France toujours plus fière, plus unie, et plus forte.
Vive la République, et vive la France!
Pierre de Gaulle
10 décembre 2023
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Bonjour ! Pour patienter jusqu’à Noël je vous propose chaque lundi une histoire de Bulle « à suivre » ! Voici la 2ème partie où l’on découvre une Bulle plutôt coquette ☆ Pour comprendre pourquoi il y des étoiles qui flottent au-dessus du lit de Bulle, je vous invite à lire l’histoire « Veilleuse » que vous retrouverez facilement en consultant les posts précédents ! RDV lundi prochain pour la suite !! --- Et pour recevoir des BD de Bulle avant tout le monde, je vous invite à découvrir La Lettre Dessinée, une infolettre illustrée que j'envoie chaque trimestre à mes lecteurs les + fidèles ♡ Pour en savoir + sur cette newsletter, vous pouvez suivre ce lien : https://www.minikim.net/la-lettre-dessinee/ - C'est gratuit !
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Hiver 1919, Hylewood, Canada (2/21)
Au printemps, ça fera un an que Jules est parti en Egypte. On a eu une lettre de lui à la Noël, il revenait du Soudan. Je ne sais pas comment y est le service des postes mais je pense que ça ne peut pas être pire que le Nunavut, et même là bas on avait plus de nouvelles de lui. Il ne m’a pas dit quand il allait rentrer, et vous allez bientôt voir que j’ai bien des choses à lui dire. Je guette régulièrement la côte, des fois qu’il nous ferait la surprise de revenir sans s’annoncer, mais je n’y crois pas trop. Peut-être que votre mari a plus de nouvelles que nous, je ne sais pas.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard
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J'ai reçu une lettre de l'association Action Enfance, je fais des dons quelques fois et en retour les associations offrent des petites choses comme des étiquettes avec nom et adresse etc, aujourd'hui j'ai reçu des cartes de vœux pour les fêtes. Au début j'avais déjà en tête les personnes à qui les envoyer, puis j'ai eu une idée :
Je vais écrire des petits messages chaleureux, et les distribuer dans la rue aux personnes que je croiserai le week-end de Noël. J'ajouterai bien un petit cadeau avec si je peux. En vrai, je sais ce que c'est d'avoir le cœur lourd durant cette période... Alors si je peux donner un peu de réconfort à des gens, c'est avec plaisir !
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Belle Lettre d'amour... à lire......
Lettre de Consuelo de Saint-Exupéry à son mari Antoine St Exupery
Fin décembre 1944
Que j’aille très loin, en train, en avion, sous la mer, par la terre, j’ai l’impression que jamais je ne pourrai arriver jusqu’à toi.
Tonio, Tonito, mon homme, mon fils, mon clocher, fais sonner les grandes cloches parce que je ne peux pas respirer. J’ai grossi en attendant la houle qui va te ramener.
Je tombe avec les feuilles, avec la pluie, avec ma jupe de fête.
Je ne peux pas marcher à force d’attendre le moment où
je reverrai tes yeux, ronds comme des fleurs.
Tu ne vois pas que je ne peux pas arroser l’arbre de Noël pour le faire grandir. Mon mari des étoiles, j’ai de tout petits pieds et de toutes petites mains, il faut que tu reviennes m’aider.
Je ne sais pas comment j’ai marché depuis mon enfance jusqu’à aujourd’hui. Ma vie fut un immense vertige.
A présent, j’ai des cheveux gris, j’ai tellement de larmes dans ma bouche que cela me suffirait pour boire toute ma vie.
Pourquoi Tonio, mon Tonio, mon mari,
mon mal et mon bien, mon ciel et mon enfer,
es-tu parti pour ne jamais revenir ?
Je ne peux pas le croire, je ne veux pas le savoir, tu es parti dans ton avion, le 31 juillet, en mission de guerre et tu n’es pas revenu. Pas de nouvelles de toi et l’année va finir. Il faut que je l’accepte, et si je l’accepte, c’est pour t’aimer davantage.
Comme je t’aurais aimé si tu étais revenu ! Comme toi aussi tu aurais fait la même chose pour moi !
Seigneur à la couronne d’épines, arrache-moi le cœur pour qu’il ne me fasse plus mal.
Tu sais, toi, que Tonio est tout pour moi. Sans lui, je ne suis rien. Sur la table de ma chambre d’hôtel, j’ai un livre de lui, son portrait avec son manteau de soldat en cuir et ses fines mains d’homme comme des ailes et sa barbe pousse avec mes larmes.
Seigneur grand et miséricordieux, je te donne ma peine et ma douleur.
Mon Père, aide-moi. Je n’ai personne pour aimer, pour attendre, pour embrasser.
Ma maison est devenue petite, seule ma fenêtre reste ouverte pour faire entrer le ciel où il est parti en s’envolant pour ne pas revenir.
Rendez-le-moi mon Père, je vous en prie, faites un miracle.
Si vous me le rendez dans sa tendresse, je le coifferai, je le laverai, je l’embrasserai et ensemble nous irons jusqu’à vous
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