#Kilomètre zéro
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Have you ever read a book in which you felt like the ideas were alright but the tone felt so moralising that you couldn't help but want to disagree?
Because I am currently doing that.
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alapagedeslivres · 2 months ago
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CHALLENGE Petit Bac 2024 : si j’avais participé… Ma première LIGNE aurait été...
Sur le blog de Light and Smell, j’ai découvert le Challenge Petit Bac 2024, défi créé pour la quatorzième édition par Enna lit, Enna vit. Découverte tardive qui ne m’a pas permis de m’inscrire à temps pour cette année mais qui m’a vivement intéressée. J’ai consulté toutes mes lectures de 2024 et j’ai essayé de trouver un titre par catégorie, l’objectif étant de remplir une ligne après l’autre,…
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dandanjean · 3 months ago
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Nos idéaux
Le respect est fonction de la taille de votre compte en banque. Vous vivez dans la peur de perdre le peu amassé puisque l’amour n’est pas dissocié de l’argent. C’est pareil dans vos relations sentimentales, vous ne rêvez qu’à travers les projets matériels : la maison, la voiture, les achats. Vous ne prenez plus le temps pour apprendre de vos aînés, enseigner la confiance à vos enfants, partager…
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araminthe · 3 months ago
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Tuesday, 13th of August / Mardi 13 août
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Café "Debotte", in Nantes, France.
Sleep / Sommeil : 1am to 11:30am
I'm proud for sleeping before 2am, but I got out of bed late even though I was supposed to wake up at 9:30am.
I was so tired, I guess the day before had made me really tired so I couldn't help but push back my alarm clock 😭.
Health / Santé : Ate alright; not excessively,
(which I can feel proud of, because I do tend to eat too much or snack excessively when I stay at home too much , so I'm fighting against that, and lately it's been nice.)
Today I walked 6500 steps. That's an alright dose of activity (for me).
Study / Études : 20 minutes of revision only. And 20 minutes of reading my book "kilomètre zéro". (It's a French book)
Since I got up at almost 12 today and got out with friends, I had almost no time to work.
And my family always interrupts me so it's hard to study when they're around.
And when I got home after going out, I was tired and my mind could not work, so I forced myself to read two chapters of my book at least.
My day / Ma journée :
Woke up late. Did a few things. Managed to revise for 20 minutes before going out to meet some friends.
For the first time, I got to a café, and it was with 2 bff's on top of that. (It was in my summer to do list so I can cross that) (੭˃ᴗ˂)੭
And we ate some pâtisseries with coffee and hot chocolate.
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I ate a "fraisier" with " du chocolat chaud à la chantilly"
The café was empty when we entered so it was just us, and we ate and talked a lot. Since it was just us, we were so comfortable, and the workers were lovely.
Our other friends are traveling so it was just us 3 from the friend group today. (Funny thing, the 2 friends I got out with today both have the same name) ¯\_(ツ)_/¯
Then it's already 5pm, we spent an hour talking in the cafe and one of the friend has to go.
So we escorted her and got to the "Fnac" (dunno if y'all know this store, it sells electronic devices and all types of books, it's well-known in France).
We took a tour of the store, just looking around while talking. (Friends really make life experiences a hundred times better ♡♡♡)
Then she also has to go, so I also go, I look around a bookstore that resells books. There was one I'm looking for called "Beach Read", I wanted to buy a used one for cheap but didn't find it. (I could read it in French because I live in France and the book has been translated, but I sometimes like to buy books in English so my English level doesn't decrease. And I'm glad I can buy english books in France, and they also happen to cost less than the french version, which is nice.)
Anyway, I decided to command it in a library, it should be available in less than a week.
Then, I buy some cookies for my hungry brother at home.
And on the way home, I buy myself a bubble tea and a poke bowl.
Wasn't really hungry, so that was my dinner.
When I got home I was just so tired. I wanted to sleep immediately, but it was 8pm, too early.
I preferred to wait until a more adequate sleeping time so I wouldn't wake up in the middle of the night and not be able to go back to sleep for multiple hours. 😔
Anyway, I kept myself busy, read, journaled, right now it's 11:30pm and I will now sleep immediately.
My goal for tomorrow is to wake up at 9am.
(Sleep is my worst flaw right now, and it's the hardest thing for me to improve on, waking up at 9 may seem like nothing for most people, but as ridiculous as it may sound, it's a real challenge for me. And I CAN wake up early if something obligates me, like school or other social reasons. But if it's for myself, it's almost impossible.)
Anyway. I will now sleep and wish for the better.
À plus les chouchous, on se voit demain <3.
By the way, I thought about that only know, but I know right now there are lots of tourists in France because of the Olympic games, and it's even been a few weeks that I hear multiple languages when I go out, like Italian and English, which doesn't happen usually.
Nantes, the city where I live is also part of the 10 most populated cities in France, it's not far from Paris and situated in the West, so it makes sense that people also come to Nantes.
So I was just thinking about that, if some of you are in Nantes right now let me know, I could give out multiple places to visit and lots of things to do. Nantes is an incredible city, there is so much to do.
So let me know. And have an excellent time in France and its beautiful cities. <33
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cruelviolence · 4 months ago
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L’amour me fait peur mais je suis vivante. Je veux que tu saches que si je ne te dis pas « Je t’aime » ce n’est pas parce que je t’aime pas pour moi il est difficile de m’ouvrir à quelqu’un. On m’a déjà abandonné une première fois et pour moi c’est la preuve que je ne suis pas fait pour quelqu’un. Je ne sais pas si je suis faites pour quelqu’un car dès qu’on me dit « Tu es belle ! » je ne sais pas si sincère ou si c’est pour me faire plaisir. Je fais attention à qui je fais rentrer dans ma vie maintenant. Je faisais rentrer n’importe qui et j’étais toujours entourée par des mauvaises personnes. Je dépendais des gens toujours. La dépendance affective a atteint ses limites et je ne veux plus retomber. Je me suis attachée trop vite à des personnes facilement sans que je me rende compte qu’ils voulaient juste se foutre de moi. Je prends maintenant du temps pour m’attacher à quelqu’un je ne suis plus comme avant. Te dire Je t’aime sera le moment où je commencerai à te connaître comme si ça faisait longtemps que je te connaissais. Que toutes les promesses étaient prises en compte et que tu me rassures que tu seras toujours là pour me rassurer. Même si il y a une distance entre toi et moi je pourrais toujours vivre notre relation en kilomètres. Ce ne n’est pas des kilomètres qui vont m’empêcher d’avancer avec toi. Je veux vraiment te rendre heureux et que tu ressens ma présence. J’ai décidé de quitter Bordeaux pour aller vers d’autres horizons dans un monde inconnu où j’ai besoin de me reconstruire et de me retrouver pour recommencer à zéro. Pour pouvoir me donner l’envie à m’aimer de nouveau je devais quitter ma mère et mes amis en France pour me reconquérir. Je suis fière d’être une de tes connaissances mais n’attends pas que je te dis « Je t’aime » en premier. Laisse-moi d’abord écrire le premier chapitre de ma vie à Toronto pour me réapprendre à m’aimer !
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Journal de bord de la 35e Horde :
Jour 3 de la traversée du désert Patagonien. Nous continuons de contrer un vent sec et sournois, sifflant et s'engouffrant dans les interstices des portières de Patochimbo. Il s'accompagne ce matin d'une neige pluvieuse collant aux essuie-glaces et aux rebords des vitres de notre van. Celui-ci continue bravement d'avaler les kilomètres, nous rapprochant chaque minute de l'extrême sud, dernier bout de terre avant l'Antarctique. 
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Les guanacos pullulent aux abords de la route, mâchouillant pensivement sans prendre garde au climat repoussant, tout en contemplant les carcasses de leurs frères, empalées sur les barbelés des barrières. On m'a empêché d'aller récupérer un crâne. 
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De temps à autre, nous apercevons un unique buisson ayant poussé tel un champignon en plein milieu d'un champ. Agglutinés derrière, une petite dizaine de moutons rachitiques, grelottant les uns contre les autres, rêvent de vertes plaines plus amicales. Un condor, énorme poule sombre à l'ombre menaçante, nous a survolés un instant avant de fondre sur une proie. Nous n'avons pas non plus été épargnés de notre côté, puisque la veille, le vent à englouti une tong d'Aneth. 
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Ce midi, nous avons tenté de manger à l'abri des éléments, mais un pignouf au cœur aussi aride que notre environnement nous a éjectés sans ménagement de sa station essence. C'est tels les moutons précédemment décrits que nous nous sommes rassasiés.
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L'après-midi se passe sous un soleil timide, à peine suffisant pour permettre à la température de dépasser le zéro fatidique. Mes acrobaties de la veille, ou plus exactement mes 10 minutes de lutte avec la bâche de la valise du toit, tout en me faisant ballotter par le vent et arracher mes lunettes à chaque bourrasque, semblent avoir porté leurs fruits.
Lentement, les plaines défilent dans un nuage de poussière, au gré des tressautements de Patochimbo sur les routes de terres de la sinistre Maldite 73.
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Au détour d'un tournant, le lago Cardiel nous surprend de son turquoise éclatant.
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Le soir venu, nous atteignons enfin notre destination, le majestueux massif de Fitz Roy.
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alain-keler · 1 year ago
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Journal du Jeudi 24 Août 2023 / Le bal des voisines
  Comment choisir la Photo lorsqu’il en faut…dix sur des semaines de travail ! Pour le photographe que je suis, c’est un énorme dilemme que j’ai toujours du mal à assumer.
Je parle du projet de la BNF « Radioscopie de la France », projet pour lequel j’ai été choisi avec cent quatre-vingt-dix-neuf autres photographes. On parle déjà chiffres, mais dix photos quand même, ce n’est pas beaucoup. Ou peut-être beaucoup en fonction de la manière de travailler des photographes.
Alors dans ce journal estival, je suis allé à la recherche de ces photos non choisies, oubliées, par erreur ou-et mauvais choix de ma part, perturbé par le temps et le manque de recul sur le travail accompli. Il y a aussi les voisines, parfois aussi bien, sinon meilleures que la photo sortie gagnante. Les photos aiment jouer avec nous. Elles se cachent souvent pour réapparaître des années plus tard, lors de nouvelles recherches et une vision enrichie par l’expérience acquise.
Extraits d’extraits de mon journal !
Jeudi 13 avril 2022.
…Hotel à Monistrol sur Loire. Le Corsy est plutôt un bar restaurant avec quelques chambres. La mienne, numéro zéro donne sur la rue principale. La tenancière me garantit qu’elle sera calme. Après 20.00 heures, dire qu’il n’y a pas grand monde dans la rue est un euphémisme. Il n’y a personne dehors, ou presque.
Jeudi 14 avril.
Mon petit déjeuner : deux cafés, petite dose dans une grande tasse. Je demande à faire mousser du lait à part, genre capuccino fait maison. Sauf que presque partout les préposés au petit déjeuner n’y arrivent pas, pour deux raisons : la première c’est que ça les embête de passer trop de temps à faire cette opération, la seconde c’est que le lait à leur disposition est demi écrémé et que ça ne mousse pas. Je sais tout cela, mais je continue à demander. Il faut toujours demander pour essayer d’obtenir quelque chose, lait mousseux ou autre… 
Vendredi 15 avril.
…Ce soir il y a à Sainte Sigolène la procession des pénitents blancs.
Retour à l’hôtel « Le Corsy » à Monistrol sur Loire. La chambre zéro m’est attribuée de nouveau. Les habitudes ne se perdent pas facilement. Ceci-dit j’ai l’impression qu’il n’y a pas beaucoup de chambres et j’ai eu comme un pressentiment bizarre sur l’utilisation des chambres et de la clientèle. Mais là je suis mauvaise langue. J’ai bien aimé la tenancière du lieu. Le matin, en descendant il y a deux-trois types au comptoir le verre de bière à la main. Au moins ils ne doivent pas avoir de problèmes avec la mousse !
Il y a cinq kilomètres jusqu’à Ste Sigolène. Je rejoins Ludovic. Nous nous étions donnés rendez-vous sur la grande place centrale devant la mairie. Elle est vide.
La procession a tout juste commencé lorsque nous arrivons à l’église vers 20h30. Elle n’a pas eu lieu ces deux dernières années à cause de la crise du Covid.  Dieu n’a rien pu faire, désarmé comme la terre entière.
Il y a une trentaine de membres de la confrérie des pénitents sigolénois et cette procession est le moment le plus important pour eux.
Ils défilent pendant une petite heure, accompagnés de curieux, de parents, de photographes (ce soir-là il y en avait très peu), font le tour du village avec une halte au calvaire et reviennent à l’église. On se croirait presque en Andalousie, la chaleur et le nombre de pénitents en moins. Je ne m’attendais pas à voir cela en Auvergne, bien qu’il y ait de nombreux signes de piété en haute Loire. La pleine lune s’était invitée, ronde et brillante, et la grande croix dressée devant le calvaire par des pénitents me parut être un message adressé à d’éventuels adeptes du comte Dracula, si par malchance ils avaient eu des velléités d’infiltrer le cercle des bien-pensants.
Ceci dit, ce genre de scènes est un régal pour les photographes, bien-pensants ou non.
Après cette prestation religieuse pour les participants, et pédestre pour le photographe que je suis, Ludovic me propose de retourner au Kitch’n, ce restaurant à Minestrol-sur-Loire où nous nous étions déjà rendus pour finir l’autre soirée, avec un nectar rouge des Dieux ou presque, car je dois développer ma chasse de la journée, dans la chambre Zéro de mon hôtel.
"Cette photographie a été produite dans le cadre de la grande commande nationale "Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire" financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BnF". 
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oenodyssee · 1 year ago
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Atteignant l’épicentre
Chez Blandine et Pierre Jéquier / Mas Foulaquier / Pic Saint-Loup / 14 hectares
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1.  Souviens-toi : tout a commencé ici ; dans un parfum de mélisse.
2.  Souviens-toi : tu avais déjà tenté un prototype.
3.  Souviens-toi : c’était en 2019, ou peut-être en 2015, ou peut-être bien avant.
4.  Souvenez-vous : vous avez-dit : « Orphée se souvient »
5.  Souvenez-vous : ce nuage de sylvandres, son équipage papilionacé, il vous suivra jusqu’au Rhodope.
6.  Souvenez-vous : vous, chœur des maigres, chœur des gras, vous, Nathalie, Zora, Delphine, Françoise, Blandine, Eva, Rosalie, Eric, Pierre, Ivan, Philippe, Lutz, vous avez pris la parole et elle s’est dépliée ; vous vous êtes levés, vous avez pris l’espace, vous l’avez dévisagé et il s’est assis parmi vous.
7.  Souviens-moi : sous le grand micocoulier, dans l’anse du canyon ou endormi sur une peau d’animal – cuve numéro 3.
8.  Souviens-moi : oh ! la course nocturne dans la garrigue ; le silence alors, son poids sur nos épaules – non humaines ; lune pleine de décembre.
9.  Souviens-moi : trente-deux mois de gestation, douze étiquettes, deux fois divin.
10.  Souvenez-nous : les naissances et les deuils.
11.  Souvenez-nous : l’incendie et la pandémie.
12.  Souvenez-nous : l’invention des outils et celle de l’instrument.
13.  Souvenons-tu : 69 kilomètres, comptés cette fois, pour arriver à l’heure.
14.  Souvenons-tu : le thyrse et le château et les oreilles de Théodore, 5 ans.
15.  Souvenons-tu : le retour de la meneuse parmi les siennes, le jeu des lyres taillées –  en Guyot croisé.
16.  Souvient-la : métaphorminx un instant repamprée, regrappée, replantée.
17.  Souvient-le : nageur nageant parmi les carpes, le câprier en fleur.
18.  Souvient-la : mise de Violetta 2022 ; cent fois la treizième lune, signée au-dessus.
19.�� Souvient-le : verticale de L’Orphée, vertigineux forage, billet retour de la fauvette africaine.
20.  Souviennent-le : vin vin déclencheur.
21.  Souviennent-la : vingt-vingt ! Vingt-dix-huit ! Vingt-seize ! Vingt-quatorze ! Vingt-douze ! Vingt-zéro-six !
22.  Souviennent-les : millénaires forés sous la braise ; érosion déclive d’un océan érigé en iris, en genet.
23.  Souviennent-les : ce que ces années ont appris des sentiers persistants.
24.  Souviennent-les : la fin de l’Œnodyssée était initialement prévue ici ; ici où tout est commencement.
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plaidetchocolatchaud · 2 years ago
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Films préférés de 2022 - Janvier et février
Un long dimanche de fiançailles -2004 : non, je ne l'avais pas vu, voilà chose faite. Vu que j'aime bien Le fabuleux destin d'Amélie Poulain c'était évident que j'allais apprécier
Les Enfants du siècle, ils ne seront plus jamais les mêmes - 2022 : Cette très charmants année 2020 vécue par notre génération, et le soulagement de me dire que je n'ai pas été seule à en ch*er
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Hana et Alice mènent l'enquête - 2015 : Ah celui-là, mais je l'ai adoré ! Ca m'a vraiment rappelé des souvenirs d'ado !
Somers Town - 2009 : Celui-là aussi ! Joli film sur l'adolescence !
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Kilomètre zéro - 2005 : C'est l'histoire d'un soldat kurde enrôlé dans l'armée irakienne qui doit ramener la dépouille d'un soldat. Vachement bien (scène de violence en revanche).
Adama - 2015 : Un petit garçon part rejoindre son frère sur le front de la Première Guerre Mondiale. L'animation est très belle.
Mustang - 2015 : Cinq sœurs dans un village en Turquie se retrouvent peu à peu enfermées chez elles et victimes de mariages arrangés. C'est le plus dur de la liste, j'ai carrément eu du mal à regarder la fin. Donc c'est celui qui m' le plus marqué.
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graistoires-en-francais · 14 days ago
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La cabane dans les bois :
Il faisait froid et il pleuvait, le vent soufflait de plus en plus fort à chaque minute qui s'écoulait. Cela faisait depuis cinq jours que Josh était bloqué avec cette météo. Aucune nourriture, pas d'abris, personne pour lui tenir compagnie ; sa randonnée en solitaire avait vite fait de tourner au vinaigre, et la météo n'était pas prête de se calmer de sitôt.
Il a fait cette randonnée pour tester les capacités de son endurance. Sa carrure athlétique de 1,80m lui faisait croire qu'il était capable de tout. Il s'entraînait comme une bête, jour et nuit, pour repousser ses limites. Il crut alors qu'il pouvait survivre à tout. Ainsi, lorsque l'opportunité d'aller randonnée pendant les vacances d'hiver lui fut donnée, il sauta sur l'occasion.
Il a emmené avec lui tout ce dont il pensait qu'il aurait besoin : une tente, quelques vêtements, de la nourriture déjà préparée et déshydratée pour deux semaines pour pouvoir tenir durant cette aventure épique. La seule chose qu'il n'eût pas anticipée, fut la météo.
Quand il eût commencé son épopée, les températures tournaient autour de 5 et 10°C. Il pensait alors que sa tente isolée et ses vêtements supplémentaires le garderaient au chaud. Il parcourut huit kilomètres lors de son premier jour dans les montagne jusqu'à ce qu'il installa son campement ; il en parcourut dix le jour suivant. le troisième jour, une fine commença à tomber. Il ne s'en inquiétait pas car il portait déjà plusieurs couches de vêtement pour rester au chaud. À la fin du troisième jour, lorsqu'il eût posé campement, il avait déjà marché trente kilomètres à travers la montagne. Mais cette nuit là, la météo commença à empirer.
Il se réveilla lorsque sa tente fut brutalement arrachée du sol par le vent hurlant, l'envoyant lui et son campement valdinguer dans les airs. Lorsqu'il retomba sur le sol, désorienté, il ne pouvait plus rien voir à plus de trois mètres devant lui. Ses affaires furent éparpillées aux alentours, et il fut incapable de retrouver la majorité d'entre elles. Il retrouva certaines choses comme sa veste et une paire de pantalon un peu large. Il les emporta et fonça se mettre à l'abri sous un arbre qu'il peinait à distinguer.
Alors qu'il s'abritait sous l'arbre, il jeta les vêtement supplémentaires qu'il venait de trouver par dessus ses autres vêtement qui étaient congelés. Il était embêté car il ne s'attendait pas à ce que la température descende en-dessous de zéro. Il était confus, désorienté et gelé. Il décida alors de rester sous l'arbre à abris en espérant que la tempête se calme.
Le lendemain matin, le gros de la tempête était passé. Cependant, il continuait à neiger abondamment, mais au moins il parvenait à voir plus loin qu'auparavant. Il avança en ligne droite, en espérant être toujours sur le bon chemin. Il ne pouvait être sûr qu'il s'agissait de la bonne direction, ou bien-même qu'il était sur le bon chemin puisque la neige avait recouvert le sol. Il avait parcouru ce qu'il lui semblait être des kilomètres alors que météo devenait de plus en plus hostile. Il était affamé et il s'inquiétait quant à sa sûreté. Soudainement, il aperçu la forme d'un bâtiment un peu plus loin. Même affaibli, il marcha lentement vers sa direction, en espérant qu'elle était l'abri dont il avait tant désespérément besoin.
Il s'approcha de ce qu'il semblait être une cabane abandonnée. Il ne se souvenait pas avoir noté la présence d'un tel bâtiment lors de son étude de la carte quelques temps auparavant ; mais il s'en enfichait. Il se dépêcha et claqua la porte derrière lui.
Après être entré, il pris un moment pour prendre ses repères. Il observa ses environs n'étant pas certain de ce qu'il trouverait ici. Alors qu'il observait la pièce, il remarqua de nombreux meubles cachés par des draps. Il se promena dans la pièce, remarquant les couches de poussière qui recouvraient le sol. Il retira l'un des draps et révéla un très vieux canapé marron. Alors qu'il retirait les autres draps, il révéla la présence d'une armoire, d'une table à manger, une table de chevet avec une lampe. Il continua d'explorer la petite cabane et découvrit, derrière un mur, une salle de bain avec un lavabo. Cet endroit n'était pas grand chose, mais c'était suffisant pour attendre que la tempête passe.
Celui qui vivait autrefois ici était parti avec la plupart des choses qu'il possédait ; il n'avait laissé que quelques vêtement assez large dans l'armoire. En regardant les vêtements, il comprit qu'ils étaient trop larges pour lui ; mais ils avaient l'air plus secs et plus chauds que ceux qu'il portait. Il retira alors ses propres vêtements pour mettre ceux-là qui étaient plus vieux et plus grands. Il était habitué à porter du 40 en jean. Ces vêtement s'affaissaient sur son corps athlétique, mais il s'en contrefichait. Ils étaient secs et il n'était plus dans la tempête c'était ce qui comptait.
Après s'être changé, il sentit la fatigue l'envahir. Il se dirigea rapidement vers le canapé, se coucha et s'endormit. Quand il se réveilla, il se sentit revigoré et au chaud. Même s'il n'y avait aucun feu, il avait réussit à se débarrasser du froid. Alors qu'il se redressait sur le canapé, une odeur lui saisit les narines. Il n'avait pas réalisé à quel point il était affamé après avoir passé des jours pris au piège par la tempête sans eau ni nourriture. Il scruta les alentours, quelque peu confus. Et tandis que ses yeux passaient au niveau de la table, il découvrit un plat contenant un steak, des patates, des œufs ainsi qu'un verre avec liquide blanc qui devait vraisemblablement être du lait.
Il sentit l'anxiété monter en lui. Qui était entré pour apporter de la nourriture ? S'il n'était pas seul, qui est et où est cette mystérieuse personne ? Il se leva et s'avança vers la table. Il y avait une qui ne disait qu'une simple chose :
Bon appétit !
Il alla vers la porte puis l'ouvrit, un coup de vent glacé lui fouetta le visage. Il referma rapidement la porte. S'il y avait quelqu'un, il n'était pas possible qu'il puisse survivre dans la tempête. Il retourna vers la table et observa la nourriture. Il n'y avait pas de chaise pour s'asseoir autour de la table ; il prit alors le repas et s'installa sur le canapé afin de le déguster.
Il fixa alors cette nourriture qu'on lui avait mystérieusement apportée. Il prit le steak à la main et commença à le manger lentement. Il était incroyablement délicieux. C'était le meilleur steak qui lui eût été de manger jusque là. Après avoir fini son steak, il décida de ne pas manger les œufs et les patates pour les conserver pour plus tard dans le cas où on ne lui apporterait pas autre chose pour se substanter. Il laissa l'assiette de côté et prit le verre de lait. Alors que le breuvage coulait dans sa gorge, il sentit qu'il était trop sucré et trop épais pour n'être que du lait. Mais peu importe ! Il n'était pas encore remplit mais il n'avait plus faim. Durant le reste de la journée, il regarda à travers la fenêtre située à côté de la salle de bain en espérant que la tempête s'estomperait. Il était difficile d'estimer quel moment de la journée il était car les épais nuages de la tempêtes cacher le soleil.
Quand il fit trop sombre pour qu'il puisse regarder dehors, il remarque qu'il avait de nouveau faim. Il décida donc de finir ce qu'il avait mis de côté avant d'aller se coucher. Une fois encore il n'avait pas mangé jusqu'à satiété mais il n'avait plus faim non plus. Il espérait seulement alors que celui qui lui apportait de la nourriture lui en apporterait plus la prochaine fois.
Lorsqu'il se réveilla, il fut déçu ; il entendait encore le vent hurler dehors. Quand il regarda à travers la fenêtre, il vit qu'il neige encore plus fort qu'avant. Mais il avait noter la présence d'une bonne nouvelle, la nourriture. Il y avait la même chose qu'il avait mangée hier, mais à sa grande surprise d'autres repas en plus étaient présents et ils semblaient délicieusement sucrés. Il y avait des cupcakes, des tartes, et même des beignets débordant de crème. Il y avait même un verre supplémentaire de l'épais breuvage sucré. Comme il y avait d'autres plats, il se dit qu'il pourrait prendre celui d'hier, car il avait faim, et laisser ceux sucrés pour plus tard.
Après avoir fini son premier repas et bu sa première boisson, il ressentit le besoin de faire quelque chose. Hier, il s'était ennuyé toute la journée, et là, il avait besoin de faire quelque chose pour passer le temps en attendant que la tempête se calme. Il trouva un chiffon sous la table et décida donc de nettoyer la cabane. Au fur et à mesure qu'il balayait les couches de poussière le bâtiment paraissait de moins en moins abandonné. L'armoire était un beau meuble tâché de rouge avec de multiples détails incrustés. Les murs était faits d'une belle essence de bois. Et la pièce semblait plus spacieuse.
Après cette journée de nettoyage, il s’aperçut qu'il avait commencé à grignoter dans le second plat. Ainsi, quand vint l'heure de finir le second repas, il ne lui restait plus qu'un cupcake à la vanille et le doux breuvage. Une foi qu'il eût fini de manger, il ne sentit toujours pas repu. Il décida alors de se coucher plus tôt que prévu.
Alors que les jour passaient, la tempête ne faiblissait pas et il neigeait même de plus en plus. Il devenait impossible d'essayer de sortir, car le vent soufflait si fort et l'épaisse couche de neige bloquait toute avancée. Néanmoins, à son réveil, la nourriture était toujours de nouveau présente. Le troisième jour, il y eût trois plats ; pour le quatrième, quatre et lors du cinquième, il en eût cinq. Il en espéra un supplémentaire le sixième jour, mais ça c'était arrêté à cinq plats. Les portions semblaient cependant augmenter tous les deux jours.
Le douzième jour arriva, il commençait à sérieusement s'inquiéter de la situation dans laquelle il était. La tempête était toujours là, et il devait déjà être rentré chez lui. Il s'inquiétait pour sa famille en ce demandant ce qu'elle s'imaginait à propos de ce qu'il lui était arrivé. Il décida donc de partir à la recherche de ses anciens vêtements, et de, par la suite, rembarquer pour le voyage du retour qui l'attendait. Il retrouva ses vêtements pour sa randonnée, en boule, dans un coin. Lorsqu'il enfila son pantalon, il remarqua qu'il devait prendre son souffle pour espérer le boutonner. Confus, il le retira et vérifia sa taille. C'était l'un des pantalons plus large qu'il mettait par dessus son autre pantalon. Il se regarda, perdu. Aurait-il pris du poids à cause de toute la nourriture qu'il avait mangé ?
Il jeta le pantalon et fila prendre un des pantalons plus petit. Il parvint à l'enfiler comme d'habitude mais ce fut impossible de le boutonner. Il rentra son ventre du mieux qu'il put, en vain ; il ne put parvenir à faire le tour de sa taille. Il se déshabilla pour être en sous-vêtements, et regarda son corps. Ses abdos était toujours apparents même s'ils semblaient plus mous ; et ses pectoraux était toujours aussi fermes, musclés et bien formés. Il était toujours le même, il avait juste l'air un peu plus grassouillet ; alors pourquoi ne parvenait-il pas à enfiler son pantalon ?
Soudainement, un lourd bruit qui secoua la cabane, interrompit ses pensées. Il essaya d'ouvrir la porte, mais elle ne bougea qu'à peine. Un arbre qui avait fini par devenir trop lourd, avait cédé sous son propre poids et bloquait maintenant l'ouverture de la porte. Il tenta alors de rester calme. Il se rassura en se disant que sa famille ne le voyant pas revenir, avait probablement déjà envoyé une équipe de sauvetage à sa rescousse. Et, après tout, il ne s'était pas trop éloigné du chemin, et comme il y a eu la tempête, ils allaient probablement chercher dans chaque bâtiment.
Il s’assit sur la canapé et s'attaqua nerveusement à un plat entier pour tenter de s'apaiser. Après avoir finit l'entièreté du plat composé de patates, d'œufs, et de deux steaks, il remarqua qu'il avait encore faim. Il ne savait pas si c'était à cause de son état nerveux ou non, mais il s'attaqua à une seconde assiette contenant deux hamburgers accompagnés de frites. Il engloutit ainsi les cinq repas qu'il devait répartir tout le long de sa journée. Mais, dans l'immédiat, il avait tant besoin de réconfort. Avant sa randonnée, il n'avait jamais mangé comme tel.
Il s'était alors empiffré jusqu'à ne plus pouvoir se lever du canapé. Il était plein, mais aussi plein de bonheur. Un moment après, ses esprits lus revinrent et il fut choqué de lui-même. C'était toute la nourriture qu'il était supposé manger tout au long de la journée. Il s'inquiétait alors de ce qu'il mangerait plus tard ; plutôt que de s'inquiéter de toute cette nourriture qu'il venait d'ingérer en si peu de temps. La fatigue lui piqua le nez, et il s'endormit ainsi dans une longue sieste digestive ; ignorant parfaitement ce qui était entrain de lui arriver.
Lorsqu'il se réveilla, il supposa que c'était toujours le même jour, il était juste plus tard. Il regarda les assiette et les verres vides sur le sol, se demandant ce qu'il mangerait pour le dîner. Il regarda en direction de la table et vit cinq plats qui l'attendaient sagement. Il fut surpris. Comment pouvait-il y en avoir cinq autre ? Sa sieste n'a duré que quelques heures et c'était toujours la même journée. Il se leva du canapé, son ventre plein de tout ce qu'il avait mangé un peu plutôt.
Son ventre proéminent était visible de par sa chemise, il dépassait même un peu. Il l'alla vers l'armoire et prit une autre chemise pour remplacer l'ancienne qui était trop serrée pour lui. C'était plus confortable. Il se dirigea vers la table et saisit un plat. Il serait bête de gâcher toute cette nourriture. Même si son corps changeait, cela faisait deux semaines qu'il était bloqué à cause de la tempête qui ne semblait faiblir. Il décida de manger les cinq plats et de ne pas en perdre une miette, car il n'était pas sûr à 100% que cela se produise de nouveau ; malgré le fait que que ce fut le cas auparavant.
La nuit tomba lorsqu'il eût fini le dernier repas. Son ventre est plein et gonflé, et il transpirait à cause de tous les efforts qu'il a dû fournir pour tout terminer. Il n'avait jamais autant mangé de toute sa vie. Il enleva ses vêtements et s'admira. Ses abdos avaient presque disparu, on peinait à percevoir leur existence passée. Ses pecs étaient plus mous et reposaient sur le léger ventre qu'il venait de développer, tandis que ses poignées d'amour commençaient à déborder de son caleçon. Il pinça son ventre un peu pâteux et se demanda combien de kilo avait-il pris au cours des deux dernières semaines. Alors, un éclaire d'inquiétude le traversa, puis il l'oublia en jouant avec la douceur de son ventre. Il décida d'aller se coucher car son ventre tendu lui faisait tout de même mal.
À son réveil, il nota la présence de six repas sur la table accompagnées d'une note. C'était nouveau, car jusqu'à lors, il n'y avait eu que cinq repas et une note disant : "Bon appétit !".
Il alla vers la table et lut chacune des notes :
Petit-déjeuner. Collation. Déjeuner. Collation. Dîner. Dessert.
Il fut impressionné par la diversité de la nourriture et par la grande proportion de chacun des plats. Le petit-déjeuner était six burritos recouverts d'une épaisse couche de fromage avec des pommes de terre rissolées. La première collation était composée de trois cupcakes et de sablés garnis à la confiture de fraise. Le déjeuner pas moins petit était quatre double-cheeseburgers avec une montagne de frites. La deuxième collation contenait une pile de cookies au chocolat qui semblaient aussi larges que son bras. Le dîner était le plus disproportionné : quatre steaks de 45 centimètres recouverts de sauce sur son lit de choux vert avec de gros lardons. Et, finalement, le dessert : un gâteau à deux étages dégoulinant de crème de tous les côtés.
Il était sous le choc et n'en revenait pas de voir autant de nourriture face à lui. Il scruta les environs et aperçut un nouvel chose dans un coin. Il y avait un miroir à pied et une horloge accrochée au mur d'à côté. Il marche en direction du miroir, et s'observa pour la première fois de puis son voyage. Son corps débordait de graisse. Ses poignées d'amour débordées totalement ; ses abdos avaient disparu pour laisser place à un ventre aussi gras que celui d'un porc ; et ses pectoraux étaient gras qu'il avaient plus une allure de seins. Malgré les changements radicaux de son corps, il l'aimait beaucoup. Il se tourna pour admirer ses fesses pleines et rebondies ainsi que ses grosses jambes grasses.
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L'horloge accrochée au mur était elle-aussi étrange. Plutôt que le classique marquage en 12 heures, elle comportait 24 heures. Il vit que pour 06 h 00 il était écrit "Petit-Déjeuner". Puis, il remarqua qu'il devait manger à peu près toutes les deux heures.
Il se demandait alors comment il parviendrait à finir toute cette nourriture dans le temps impartie. Il jeta u coup d'œil vers l'horloge et il s’aperçut que l'aiguille indiquait bientôt 06 h 00. Il décida alors de se mettre au boulot. Il se goinfra des burritos et des pommes de terre rissolées avant de s'affaler sur le canapé. Son estomac était plein à craqué. Il le caressa alors pour essayer de faire disparaître la douleur. Il ne savait pas comment il réussirait à manger aujourd'hui. Lorsque 08 h 00 sonna, il se tira avec lourdeur hors du canapé et se dirigea vers l'assiette de la première collation. Même intimidé, il se sentait prêt à tout manger. Il fit la même chose pour les cinq autres plats.
Après le dessert, il s'allongea sur le canapé. Il fixait le plafond et caressait son ventre encore et encore en espérant apaiser la douleur. C'était désagréable, mais il était heureux d'avoir réussi à finir toute la nourriture que lui avait laissée son mystérieux bienfaiteur. Et tous ses efforts l'attirèrent dans un profond rêve de nourriture à volonté.
Le lendemain matin, il se réveilla avec un silence inhabituel. Le vent de cette étrange tempête, qui le retenait prisonnier, ne soufflait plus. Il regarda dehors par la fenêtre située à côté de la salle de bain ; et vit qu'il ne neigeait plus et qu'il ne restait qu'une fine couche de neige de cette tempête. Il tenta d'ouvrir la porte, et à sa grande surprise, cette dernière s'ouvrit ; l'arbre qui était tombé précédemment avait glissé un peu plus loin, laissant ainsi la voie libre.
La tempête avait pris fin, et il pouvait rentré chez lui. Mais le voulait-il ?
Il jeta un regard en direction des six plats distincts posés sur la table. Il considérait alors comment se serait de retrouver son ancienne vie, sa famille, ses amis ; il savait qu'il serait plus que méconnaissable à leurs yeux. Ils seraient curieux de savoir comment a-t-il pu prendre tant de poids alors qu'il était piégé dans une violente tempête de neige. En conclusion à ses pensées, il se dirigea vers la table et s'affaira à engloutir son petit-déjeuner. Il ne savait ce qu'il allait faire. Alors qu'il mangeait, une étrange sensation le parcourut. Son ventre gonflait et s'avançait sur ses jambes commençant à les faire disparaître. Ce n'était pas douloureux, seulement, bizarre. Il fila alors vers le miroir pour voir ce qu'il lui arrivait. Son corps s'était métamorphosé pendant la nuit. Ses abdos avaient laissé place à un ventre saturé de gras. Ses pectoraux n'était plus que des boules de graisse reposant sur son gros ventre. Le gras de son cul avait engloutit son caleçon. Il avait même développé un double menton. En si peu de temps il était devenu un homme obèse, et il se gavait comme un porc. Et, il a-do-rait ça ! Il rapprocha la table du canapé et s’empiffra autant qu'il le pût, il en dévora même certains en avance. Lorsqu’il ne parvint plus à manger, de toute sa graisseur il se leva.
Sous son poids, le parquet émit un craquement. Il regarda en bas et vit une lumière qui semblait briller en contrebas. Il se mit à quatre pattes et regarda et regarda à travers une fissure ; il vit une pièce entièrement éclairée. Il attrapa une assiette vide et arracha le plancher. Il réussit à faire une ouverture. Les escaliers menant à la pièce se trouvaient à ses pieds, il les suivit et entra dans la pièce. Il observa autours de lui et vit diverses tubes et fils sortant des murs et parcourant la pièce. Au centre, il y avait une chaise en fer et un tube posé dessus. En s'en approchant, il trouva deux notes, une sur la chaise et une autre attachée au tube :
Assied-toi sur moi
Met-moi dans ta bouche
Il avait obéit aux notes jusqu'à présent, alors pourquoi ne le ferait-il pas maintenant ? Il mit le tube dans sa bouche et s'assit sur la chaise, ses poignées d'amour touchant chaque côté de la chaise. Il posa ses bras bien en chair sur les accoudoirs. Soudain, des attaches métalliques entourèrent ses poignets, ses chevilles et son torse. Alors qu'il se tortillait, un liquide blanc et épais s'écoula du tube et pénétra dans sa bouche. Il était sucré, comme la boisson qu'il avait bue tout au long de son séjour dans la cabane. Il avala la quantité de liquide qui s'écoulait, remplissant son ventre déjà plein d'un liquide épais et crémeux. Son estomac commençait à lui faire mal et il se tortillait, mais la sensation était si agréable. Il baissa les yeux alors que son ventre commençait à s'enfoncer dans la contention métallique. Il se remplissait rapidement et adorait cette sensation. Il cessa de se débattre tandis que le liquide se répandait en lui, le faisant grossir. Soudain, aussi rapidement que cela avait commencé, cela s'arrêta. Le liquide a cessé de s'écouler du tube et s'est transformé en un léger filet de ce qui restait. Les attaches se détachèrent des parties de son corps.
En se levant, il sentit l'immense poids de son ventre le tirer vers l'avant. Il s'appuya sur le mur d'un bras, l'autre tenant son ventre au bord de l'implosion. Il sortit lentement du trou pour retourner dans la cabane ; tout juste sorti, il s'écroula au sol, sur le dos, en se frottant le ventre. Il resta ainsi pendant ce qui lui sembla être une heure avant de se lever et de se diriger vers le miroir. Le miroir montrait ce qu'il était devenu. Il était plein de graisse. Son ventre commençait à pendre. Ses bras autrefois saillant étaient recouverts d'une épaisse couche de graisse. Ses fesses et ses cuisses étaient pleines et rebondies. Son corps avait complètement changé en moins de trois semaines de séjour dans cette cabane. Tout en s'admirant, il remarqua quelque chose du coin de l'œil.
La commode semblait légèrement entrouverte. Lorsqu'il s'est approché en se dandinant et qu'il a regardé à l'intérieur, il y avait une toute nouvelle armoire avec des vêtements de taille 5XL et une note à l'intérieur qui disait :
Bienvenue dans ta nouvelle maison, mon gros cochon.
PS : Il s'agit d'une traduction faite par un humain, et comme traduire parfaitement n'est pas possible, la traduction est le fruit de mon interprétation. Je vous rassure néanmoins, je n'ai pas modifié l'histoire, le texte est le même mais d'autres mots et formulations auraient pu être utilisés.
N'oubliez d'aller liker le post original de @jacksonldavis si vous avez aimé l'histoire !
Cabin in the Woods
It was cold and rainy, the wind picking up speed with each passing minute. Josh had been stuck in this declining weather for five days now. No food, no shelter, nobody to keep him company. His solo backpacking trip had turned south fast, and the weather was not going to slow down anytime soon.
He had gone on a solo backpacking trip to test the feats of his endurance. His 6’5 athletic frame had always made him believe he could do anything. He trained like a dog day and night, always pushing his limits. He had acquired a belief that he could survive anything. So, when the opportunity arose to go solo backpacking during the winter break, he hopped on it as quickly as he could.
He had packed everything he thought he would need. A tent, few clothes, some dried pre- made meals to last him for 2 weeks while he set oG on his adventure. What he hadn’t anticipated was the weather.
When he started on his journey the weather would range from 39 to 50 degrees Fahrenheit. He believed his insulated tent and extra clothes would keep him warm throughout his journey. He trekked five miles into the mountains the first day before setting up camp, and another seven the second. On the third day it started to lightly snow. He wasn’t worried about the weather though, as he had those extra layers to keep him warm. After the third day he was eighteen miles into the mountains when he set up camp. The weather that night had started to pick up.
He awoke when his tent was ripped oG the ground by the howling wind, throwing him and his stuG into the air. When he hit the ground, disoriented, he could not see more than ten feet in front of him. His stuG had been tossed around and he was unable to find most of his things. One item of his he found was his jacket and another pair of slightly larger pants. He grabbed them and headed for cover under a tree he could barely make out.
While taking cover under the tree he threw his extra clothes he found over his already freezing clothes. He was concerned because the weather was not anticipated to drop below freezing for it to snow. He was confused, disoriented, and cold. He held onto the tree hoping the storm would pass.
By morning, most of the storm had passed. Although it was still snowing heavily, at least he could see somewhat further than he had before. He trekked in a straight line, hoping he was still on the trail. He could not know for sure if he was going in the right direction or even on the trail at all, as the snow had covered most of the ground. He walked for what felt like miles as the weather started to pick up to an unbearable amount. He was hungry and worried about his safety. Suddenly he saw a silhouette of a building in the distance. Although faint, he slowly made his way over, hoping it was the shelter we desperately needed.
He walked up to what appeared to be an abandoned cabin. He had not noticed any buildings on the map when he studied the map earlier but did not care. He hurried inside and shut the door behind him.
After entering, it took him a moment to collect his bearings. He looked around his surroundings not sure what to be looking for. As he gazed around the room, he saw a bunch of furniture with sheets thrown on top of them. He walked around the room ad miring the thick layer of dust that covered the floors. He pulled back the sheet on a piece of furniture to reveal an antique brown sofa. As he pulled back more sheets there was a dresser, dining table, and a side table with a lamp. He continued to walk around the small building to discover a bathroom behind a wall with a sink. This place wasn’t much, but it was enough to get through the storm.
Whoever had left here had clear out most items, except for some larger clothes in the dresser. As he looks at the clothes, they were sized too big for him to wear, but they looked warmer and drier than the clothes he was wearing. He stripped his own clothing oG to replace them with the older, much bigger clothes. He was used to wearing a size large shirt with 31 waist size jeans. These clothes sagged on his athletic frame, but he did not care. They were dry and he was out of the storm, and that was all that matters.
After changing a wave of exhaustion fell over him. He hurriedly headed over to the couch and slept. When he awoke, he felt refreshed and warm. Although there was no fire, he had finally escaped the cold. As he sat up on the couch a smell slapped him on the face. He had not realized how hungry he had gotten from the previous day and night being trapped in the weather with no food or water. He looked around the room confused. As his eyes swept over the table, he uncovered he gazed upon a plate with a steak, potatoes, eggs, and a glass of white fluid that resembled milk.
He became worried. Who had entered to bring the food? Was he alone? If he wasn’t alone, who and where was this mysterious person? He stood up tall and walked over to the table. There was a note next to the place that read one word.
Enjoy.
He walked ove3r to the door and opened it, only to be hit with a wave of snow and wind knocking him to the ground. He shut the door quickly. If there was a person, there’s no way they could survive in the storm. He walked back over to the table and stared at the food. There were no chairs to sit at around the table, so he grabbed the plate and brought it back to the sofa to eat.
As he stared at the food mysteriously brought before him, his stomach growled with hunger. He grabbed the steak with his bare hand and started to slowly eat it. It was astonishingly delicious. Better than any steak he had ever eaten before. After finishing oG the steak he decided he would not eat the eggs or potatoes, as he wanted to save them for
later in case he couldn’t come across any other food. He stood up and placed the plate back on the table and grabbed the drink. As he swallowed the drink down, he noticed it was too thick and sweet to ben just milk. He did not care though. He wasn’t full but he wasn’t hungry. During the rest of the day, he stared out a small window that was placed next to the bathroom, hoping the storm would die down. It had become harder to tell what time of day it was as the sun was mostly covered by the thick clows of storm above.
When it became too dark to look out the window, he noticed he was hungry again. He decided to finish oG the food bore going to bed. He once again wasn’t full, but also wasn’t hungry. He had only wished that whoever brought this food would bring more in the morning.
When he awoke, he was disappointed. He could hear the howl of the wind. When he looked out the window, he noticed the snow must have pick up faster than before. But he did notice one positive outcome, food. There was another plate consisting of the same things he ate yesterday, but to his surprise an extra plate with some sweets. There was cupcakes, tarts, and doughnuts with what seemed to be cream coming out of the ends. There was an extra glass of that sweet thick drink. He figured because there was another plate, he could enjoy one of them now while he was hungry, and the plate of sweets later.
After finishing the first plate and first drink, he decided he needed to do something. Yesterday bored him and he needed something to do to pass the time while waiting for the storm to pass. He found a on the ground under the table and decided to dust the cabin. As the layers of dust were swept away by the rag, the building started to look a lot less abandoned. The dresser was a beautiful red stained piece with intriquite detail. The walls had a beautiful essence to them. And the room seemed more spacious.
Throughout the day cleaning, he noticed he was snacking on the second plate. When it came around time for him to eat the last plate, all he had left on it was one final vanilla cupcake and the white drink. Although he ate it, he did not feel particularly full. He decided to go to sleep earlier than planned.
As the days passed, the snow had not slowed down and the storm had progressed. It became impossible to even attempt to walk outside, as the wind was too strong and snow too thick. There continued to be plates of food when he awoke from his slumber on the couch. On the third day there were three plates, on the fourth day four, and on the fifth five. After the sixth day he assumed there would be more plated, but it had stopped at five plates. The portions seemed to grow larger every couple of days though.
On the twelfth day he became extremely concerned with his situation. The storm had not passed, and his trip was supposed to be over with. He became worried about what his family thought and what they thought had happened to him. He decided to search for his old clothes and try to embark on his journey. He found the clothes he had originally worn when hiking balled in a corner. He had not touched them since changing into the clothes
from the dresser. He undressed and attempted to put the clothes on. He noticed the shirt was a little tight, but no concern there as he assumed it might have shrunk when it got wet and balled up for over a week. Then when he tried to put his pants on, he noticed he had to suck in to button them. He was confused so he took them oG and looked at the size. These pants were the oversized pair he had put on top of his original pair. He looked at himself confused. Had he put on weight from the food he had been eating?
He threw those pair to the side and found the smaller set of pants. He felt like he always had but the jeans were not buttoning at all. He sucked in his stomach as much as possible, but the pants would not connect at the waist. He undressed into his underwear and looked at his body. He still had his abs, although they had grown a little softer, and his pecs were still firm and round with muscle. He looked the same just slightly softer, so why were his clothes not fitting?
Suddenly he heard a loud crash that shook the cabin. He tried opening the door, but it barely budged. A tree had grown too heavy to support itself and had fallen over, blocking the door from opening. Somehow, he managed to stay calm. He thought to himself his family had expected him to be home already, so they probably had a team searching for him at this moment. He hadn’t wandered from the trail too far, and with the storm they would know to check every building.
He sat on the sofa and started to eat an entire plate of food to clam his nerves. After finishing one entire plate filled with potatoes, eggs, and two steaks he notices he was still hungry. He didn’t know if it was the nerves or not but decided to grab another plate. He had been eating all five of the plates but spread throughout the day, but right now he needed the food to help comfort him. He ate the next plate that was filled with fries and two burgers. He never ate like this before his hike, but he was stressed, and desperately needed to be comforted.
After the second plate he continued to ear the other three until he could not get oG the couch. He was stuGed, but happy. He came to his senses after a moment of collecting himself and was shocked. That was all of the food he was supposed to eat for the day. He became worried about what he would eat later on if he became hungry. Instead of worrying he dozed into a food coma. Blissfully unaware what was happening to him.
When he awoke, he assumed it was the same day, just much later. He looked at the five empty plates and drinks at the floor of his sofa and was curious about what he was going to do for dinner. When he looked at the table there was another five plates of food sitting on the table. He was shocked. How were there another five plates? He had only taken a couple hour nap and it was the same day. He arose from the couch, his stomach still full of the copious amounts of food he ate earlier.
His stomach had protruded from his shirt, his belly peeking out from underneath. He walked over to the dresser and pulled out another shirt and switched it with his old tight
one. It was much more comfortable. He then walked over to the table and grabbed a plate. He decided he didn’t want to waste any food. Although his body was changing it had already been two weeks since the storm had started, and it wasn’t looking like it would slow down. He decided he wanted to continue to eat the five plates and not waste any as he did not know for 100% sure that it would come the next day, although it had previously.
As it became night, he finished the last plate. His stomach distended and his forehead sweating from how much work he had to put in to finishing it all. It was the most he had ever eaten in his life. He took oG all of his clothes and admired himself. His abs were basically gone with just a faint outline of what they used to be. His pecs were softening and resting upon his slight belly, and love handles spilling over his underwear. He started grabbing at his slightly doughy belly and wondered how much weight he had put on throughout those two weeks. A slight flash of concern flashed through his mind but was overwhelmed by an intrusive idea.
He decided to go to bed and sleep oG his soreness. After waking up he noticed there were six plates of foods. All for diGerent meals with labels for each plate. This was new, as there had only been five plates for a while now and only one note saying, “Enjoy.”
Upon walking over to the table, he read each note.
Breakfast. Snack. Lunch. Snack. Dinner. Dessert.
He was in awe at the astonishing number of diGerent foods and size proportions on each plate. Breakfast consisted of six breakfast burritos that were covered in a thick layer of cheese and a giant stack of hashbrowns. The first snack plate held three cupcakes and a pack of strawberry shortcakes filled with jam. Lunch was no smaller, as the plate was stacked high with four double paddy burgers and a mountain of fries. Second snack held a stack of chocolate cookies that seemed to be as wide as his arm. Dinner was the must full plate of them all though. Three eighteen-ounce steaks smothered in gravy on a bed of collard greens and pork fat bites. And finally, dessert was an entire two tier cake with icing dripping down the sides.
He was in utter shock and disbelief about the copious amounts of food in front of him. As he gazed around the room, he noticed something new in the corner. There was a standing mirror with a clock hung on the wall right next to it. As he walked over, he gazed at himself for the first time since starting his journey. His body had fully been engulfed in fat. His love handles spilling from the sides, his abs almost fully gone and replaced with a thick layer of lard, and his previously hard pecs had started shifting into fatter moobs more than anything. Although his body had changed drastically, he enjoyed it very much. He turned to the side to admire how his ass swelled, and his thighs bulked. He never noticed how much weight he truly put on.
The clock hanging on the wall was also strange. Instead of a 12-hour clock it had twenty four markings, to mark each hour of the day. At the 6 am mark it read, “Breakfast.” It looked that every two hours there would be a new meal he was supposed to eat.
He thought to himself how he was going to be able to finish all the food within that time. He glanced at the clock and the arm was almost pointing to the breakfast hour. In his mind he decided to get to work. He hurriedly scarfed down all the hashbrowns and barely managed to eat the burritos before collapsing on the couch. His stomach fully distended. He decided to give it a rub to sooth the discomfort. He was unsure how he was going to manage to eat more later that day. When eight o’clock rolled around he pushed himself up oG the couch and looked at the snack plate. Although intimidating, he was ready to eat the whole thing. He continued this pattern until every meal was finished.
After dessert he laid on the sofa. He was fixated on the ceiling to sooth the soreness in the belly, rubbing it over and over again. He was uncomfortable, but happy that he was able to finish all of the food left for him by whatever brought it. He quickly fell into another food coma and drifted oG to sleep.
When the next morning came, he awoke to an eerie silence. There was no wind, which was odd given the storm that had trapped him. He decided to look out the window near the bathroom and to his surprise there was no more snowfall, just a thick white shiny layer left from the storm. He tried opening the door and to his surprise, the tree he thought had fallen in front of the door had shifted enough for him to squeeze his thick frame out.
The storm had passed, and he could go home. But did he want to?
He looked over at the table that was covered in his six separate meals. While considering going home to his old life, his family, and his friends he knew that he would be unrecognizable to them. They would be curious about what truly happened to him and how he managed to put on so much weight while being trapped in such a strong snowstorm. He walked over to the table and started eating his breakfast. He wanted to think about what he was going to do. As he was eating, he felt an unfamiliar sensation. His belly started to swell and bloat. It wasn’t painful, but an odd sensation. He hurriedly walked to the mirror to see what was going on. His body had fully transformed overnight. He no longer had an outline
of abs, but a full flagged belly. His pecs had turned into round fat sacks resting on his new profound gut. His ass had completely engulfed his underwear. He even developed a double chin. He was completely turning into a fat man without much he was eating, and he loved it. He moved the table to in front of the sofa and continued to eat as much as possible, even eating some meals in advance. When he was finished and couldn’t eat anymore, he stood up.
He heard a crack on the floorboard. When he looked down, he saw a light coming from beneath. He got on his hands and knees to peer through the crack and saw a room fully lit up. He grabbed an empty plate and started to rip the floorboards up with it. When he finally had broken through, he noticed there were steps near where the hole was. He climbed into the room and looked around. There were tubes and wires coming out of the walls, and a big metal chair in the middle of the room. He walked up to the chair and noticed a tube near the neck of the chair. There were two notes, one on the chair and one on the tube.
Sit on me.
Put me in your mouth.
He had listened to the notes so far, so why would he not listen to these? He put the tube in his mouth and sat on the chair, his love handles touching each side. He rested his chunky arms on the armrests. Suddenly metal restraints wrapped around his writs, ankles, and torso. As he squirmed, a thick white liquid seeped from the tube and into his mouth. It was sweet, like the drink he had been drinking throughout his time in the cabin. He swallowed as more poured in, filling his already full belly with thick creamy liquid. His stomach started to ache as he squirmed, but the sensation felt so great. He looked down as his belly started to dig into the metal restraint. He was filling up quickly and loved the feeling. He stopped fighting as more liquid filled inside of him, making him fatter. Suddenly, just as quickly as it had started, it stopped. The liquid stopped pouring from the tube and became a slight trickle from what was left behind. And the restrains unclasped from around his body parts.
As he arose, he felt the immense weight from his belly pull him forward. He leaned against the wall for support with one arm, and the other holding his fully fed belly. He slowly crawled out of the hole back into the cabin, barely making it out before he fell to the floor on his back, rubbing his belly. He held himself like this for what felt like an hour before he got up and walked to the mirror. The mirror displayed what he had become. Fully fledged in fat. His belly was starting to hang. His once ripped arms covered in a thick layer of fat. This ass and thighs full and thick. This body had completely changed within his less than three weeks stay at this cabin. While admiring himself he noticed something in the corner of his eye.
The dresser seemed to be slightly ajar. When he waddled over to it and looked inside there was a completely new wardrobe with size 5XL clothing and a note inside reading...
Welcome to your new home fatty.
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claudehenrion · 11 days ago
Text
Jérusalem, si je t'oublie...
Jérusalem, profitant du calendrier US, défraie la chronique,une fois de plus. Aucune ville, sans doute, n'a été aussi adorée et aussi haïe. Dès les premiers versets de la Bible, un des petit-fils d'Abraham, Esaü, un ''édomite'', fils d'une race détestée, est maudit : ''Éternel, souviens-toi des enfants d'Édom, qui disaient : rasez, rasez jusqu'aux fondements de Jérusalem !'' . Les juifs à cause de l'Histoire, les chrétiens à cause du Christ, et les musulmans à cause d'un rêve que Mahomet aurait fait, ont ainsi construit le mythe de ''la ville trois fois sainte'' (en oubliant de préciser combien de fois elle avait été maudite !).
C'est un des seuls lieux au monde où l'actualité, dans ce qu'elle a de plus apparemment immédiat, ne peut se comprendre qu'en connaissant le détail de la petite et de la grande histoires, et où pas un mot ne peut être dit sans devoir impérativement être étalonné aux arcanes parfois incompréhensibles d'un mélange de récits bibliques (transmission orale), des récits christiques (transmission écrite mais avec un léger décalage quant au ''point zéro''), et des récits coraniques, réputés célestes mais empreints d'une poésie approximative qui les rend scientifiquement suspects. Ici, Abraham, Moïse, Jésus-Christ et Mahomet se rencontrent et tantôt ne font qu'un (c'est assez rare), tantôt cherchent à se neutraliser l'un l'autre à tout jamais (et nous vivons un de ces instants). C'est là aussi qu'ils ont, tous les quatre, pu croiser les chemins de Robinette et de Donald (es noms de MM. Biden et Trump, présidents US, sont un régal pour la ''vis comica'' !). Et c'est là que tout ''coince''
Car il faut d'abord intégrer ce fait, qui ne colle pas avec nos esprits ''modernes'' qui se croient devenus rationnels et raisonnables mais sont surtout raisonneurs et ratiocinneurs, que sans cette histoire ''on-ne-peut-plus-compliquée'', les guerres modernes ne sont pas explicables : leur existence n'est explicable que par leur histoire, et leur ''être'' par leur ''avoir été''. C'est à ce double ''ADN'' que l'on doit que les politicards du moment, incultes à en pleurer et rejetant la notion-même de ''Foi'' (ce qui est ''à pleurer'', aussi !) ne peuvent rien comprendre, rien approcher, rien résoudre et rien régler... les sources, les histoires, les origines et les chroniques des trois grands monothéismes ayant, depuis pratiquement toujours, alimenté les bonheurs et les malheurs hiérosolymites (NDLR : = ''de Jérusalem'').
A chacun de mes pèlerinages dans ces lieux où l'atmosphère est si dense, si évocatrice, si riche et si puissante, j'ai été frappé par le fait que les hommes, lorsqu'on arrivait à leur parler en tête à tête, pouvaient s'aimer et se comprendre autant qu'ils pouvaient se détester et se déchirer dès qu'une troisième personne entrait dans le jeu. Il faut comprendre (je veux dire : ''intégrer'') le fait que cela fait trente siècles et plus que chaque pierre, chaque mur et chaque bout de chemin poussiéreux a cent fois changé de propriétaire, changé de mains, de subordination, de couleur, voire même de langue, s'épanouissant ou se se flétrissant, toujours attendant la paix et certain que c'est par là seulement qu'elle pouvait venir sur terre !
Au Mur des Lamentations sur les ruines du Temple, au Saint Sépulcre à côté du Golgotha, sur l'esplanade des Mosquées où une tradition onirique situe ''le 3 ème Lieu Saint de l'Islam'', tous se retrouvent dans leur foi, et chacun, à tour de rôle, veut être le seul (éventuellement : ''contre les autres'') à posséder ce petit morceau si symbolique de notre Terre : quelques kilomètres carrés dont 30 siècles d'Histoire (c'est-à-dire, le plus souvent, de violence) ont fait un symbole de ''ce que tous les autres ne peuvent pas comprendre''. Je l'ai souvent ressenti dans ma propre chair : tout visiteur se sent, dans la seconde, en quête d'un ailleurs où il serait aimé, compris, porté, exalté, grandi, en communion exclusive avec ''son'' Dieu dans l'Histoire, à côté des deux ''autres''.
J'ai découvert, à chaque fois, comme on a vite fait de ne plus voir l'Autre, ou les autres. Le chrétien ne peut (au sens propre) voir que le Saint Sépulcre, et passe sans même s'en apercevoir, devant les symboles de l'Islam ou d'Isra'el, de même que le musulman ne va voir que ''le Rocher'', ignorant tout le reste, et que le juif va voir sa vision du monde exclusivement ramenée au ''Mur''. il est évident que l'occidental, aidé en cela par sa culture, son éducation et l'évolution interne de ''sa'' partie de l'Univers, va aussitôt imaginer un monde fraternel où les autres seraient admis, en frères (enfin... un peu ! Vous voyez ce que je veux dire !) et pourraient adorer leur partie du lieu tant que cela ne gêne pas ''les autres'' (lire ici : ''sans que ça me gêne, MOI'' !).
En revanche, le musulman, dont le face-à-face avec son Dieu ne remonte qu'à 14 siècles, se tient pour agressé et ne peut, culturellement, que trouver refuge dans la violence, la conquête et la possession. Il suffit, pour le comprendre (sans pour autant justifier ou excuser quoi que ce soit) de nous souvenir quel était notre niveau de Communion-communication avec notre Dieu vers le 14 ou le 15 èmes siècles : Savonarole et l'Inquisition ! Le Juif, lui, blasé par plus de 5000 ans d'union avec Jéhovah, aurait pu comprendre une cohabitation sur des règles précises, mais il a tant souffert à travers les siècles qu'il en est blessé à jamais... et peu enclin à faire des concessions, on le voit chaque jour.
Nos nuls, encombrés qu'ils sont de diplômes inutiles, de théories démodées, de doctrines gaucho-foireuses et de solutions-toutes-faites inapplicables, ne peuvent avoir aucune compréhension d'une situation où la Foi, l'Histoire ressentie, trois cultures non-miscibles et les manières d'adorer Dieu sont les seuls paramètres qui vaillent ! Par aveuglement, ils se sont tous ralliés à une idée à la fois économique et politique qui n'a pas le moindre sens, ici, et ne sera jamais une solution et ne saurait constituer une base de paix : ''deux pays sur un seul territoire partagé en deux...'', c'est-à-dire à peu près la seule chose dont aucun des belligérants, justement, ne veut ! Le seul ennui, c'est que cette anti-solution, intellectuelle mais faussement réaliste, et rigoureusement invivable je le répète, obscurcit leur cerveau et les empêche de rechercher une approche qui puisse, peut-être, déboucher un jour sur un début de dialogue... qui ne peut être que fondamentalement à base religieuse.
Les Juifs, depuis la destruction du Temple, psalmodient, à la fin du Seder (= repas) de la Pâque et à Yom Kippour : לְשָׁנָה הַבָּאָה בִּירוּשָלָיִם, ce qui se dit : L'Shana Haba'ah B'Yerushalaïm et signifie ''L'année prochaine à Jérusalem'', en mémoire de la sortie d'Egypte de leurs lointains ancêtres. Je crains que, sauf si la violence aveugle l'emporte --ce qui n'est vraiment pas à souhaiter mais reste pour le moment la non-solution la plus envisageable--, nous soyons contraints de nous dire à nous-mêmes, année après année et pour longtemps encore... ''l'année prochaine, à Jérusalem''...
H-Cl.
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alapagedeslivres · 10 months ago
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Bilan : Cold Winter Challenge 2023
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titou-nz · 21 days ago
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Johannesbourg - South Africa
Géographie
Situation
Plus grande ville de l'ancienne région du Transvaal, Johannesbourg est située depuis 1994 dans la nouvelle province du Gauteng dont elle est la capitale.
Johannesbourg ayant été fondée sur des terres particulièrement arides à la suite de la découverte d'un gisement d'or, elle n'est traversée par aucun cours d'eau naturel, et ne dispose d’aucune source d'eau potable à proximité. Cette particularité a contraint le gouvernement sud-africain à concevoir un système complexe d’acheminement de l'eau potable, provenant du Lesotho, jusqu'au cœur de la métropole.
La ville est située à une cinquantaine de kilomètres au sud de Pretoria, la capitale du pays. L'Afrique du Sud compte trois capitales : Pretoria, capitale administrative, Le Cap, capitale parlementaire et Bloemfontein, capitale juridique.
Climat
Johannesbourg possède un climat de type océanique tempéré par ses 1 650 m d'altitude. Elle bénéficie de températures assez douces le jour (environ 28° à 30° en été et 10° à 20° en hiver) mais en revanche assez froides le soir (environ 15 °C en été et pouvant descendre en dessous de zéro en hiver).
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bikekokin24 · 28 days ago
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Réhabilitation de la route Kalemie-Manono : un projet stratégique pour le développement de la province du Tanganyika
La réhabilitation de la route Kalemie-Manono, longue de 446 kilomètres, a été officiellement lancée au kilomètre zéro de la commune de Lukuga à Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika (Est de la République démocratique du Congo). Cette route, qui relie les routes nationales 5 et 33, est considérée comme un projet stratégique pour le développement de la province du Tanganyika. Selon le…
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cle-news · 2 months ago
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Si on m'avait dit :
Il y a 500 ans, qu'un réseaux filéaire de communication réunirait toutes les habitations. Je vous aurais dit : On a pas les moyens. Alors on l'a fait progressivement. la quantité de matière employées est impressionnante...
Maintenant si je vous dit que la variation mécanique est instantanée quelque soit la distance et que le relai entre deux tiges peut se faire en un milliardième de secondes.
Que les zones de vide de l'espace comporteraient peut-être des réseaux de communications câblés comportant des relais.
Que les tiges (ça peut aussi marcher avec des câbles tendus) seraient conçues à partir de molécules comportant essentiellement de l'Hydrogène. Que ces tiges seraient déformables mais peu extensibles. Que les relais seraient placés tous les 300 Km au départ, puis tous les 300 000 Km, puis tous les 0.01 UA soit 1 500 000 Km. Que les relais détecterons les étirements des gaines placées autour des fils pour corriger leur position. Permettant ainsi d'employer des fils encore plus fins et un pas plus court. Que le pas des relais serait initialement calculé en se basant sur la variable d'extensibilité du câble correspondant. Qu'un code de hashage serait employé pour vérifier l'intégrité des données. Que le tout permettrait une communications numérique perçue par l'Homme comme étant instantanée quelque soit la distance de l'émetteur. (1 année lumière par exemple (~32 millièmes de secondes avec des relais tous les 300 000 Km), 150 années lumières prendrait 3 minutes. Comment c'est lent...)
Attend un peu... On arriverait à déplacer un Byte sur 9 462 milliards de kilomètres en 32 millisecondes ... La lumière met 1 année.
Pour les relais, il faut :
des panneaux solaires ou autre source d'alimentation (Captage de l'énergie d'une micro étoile artificielle (fusion contenue ou non contenue)) ;
des capteurs : Par exemple : Cellules photosensibles détectant la position du bout de la tige. La lumière passe sur une zone correspondant au pas. Le passage de 0 à 1 correspond donc à l'allongement du fil égal au pas ;
des transistors : (interrupteurs) ;
des bobines magnétiques : Pour déplacer les tiges en position 1 ; et ; des membranes élastiques : Pour ramener les tiges en position zéro. Par exemple, des bobines utilisées dans des circuits de radiofréquence peuvent osciller à des fréquences de l’ordre de 10 MHz ou plus => Objectif 1GHz ; ou
des moteurs électriques alimentés dans un sens pour 0 et dans l'autre pour 1 ; Record de vitesse de rotation d'un moteur électrique, non ciblé pour cet usage, établit à 1667 tours/secondes. Avec un transistor en Y fonctionnant à 3GHz de fréquence ?. Bah le moteur il change de sens à 3GHz et il crame... ou pas ? Avec des micros poulies de démultiplication du mouvement... Il faut du couple.
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saintdizier · 5 months ago
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Le Pumptrack de Saint-Dizier et le kilomètre zéro de la Grande Boucle, comme vous ne les avez jamais vu ! 🦅
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