#Les coeurs silencieux
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CHALLENGE Petit Bac 2024 : si j’avais participé… Ma première LIGNE aurait été...
Sur le blog de Light and Smell, j’ai découvert le Challenge Petit Bac 2024, défi créé pour la quatorzième édition par Enna lit, Enna vit. Découverte tardive qui ne m’a pas permis de m’inscrire à temps pour cette année mais qui m’a vivement intéressée. J’ai consulté toutes mes lectures de 2024 et j’ai essayé de trouver un titre par catégorie, l’objectif étant de remplir une ligne après l’autre,…
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#Ankaoua#Calmel#Et le ciel sera bleu#Hazelwood#Historiques#Kilomètre zéro#L&039;épouse allemande#L&039;or maudit#La bibliothèque ambulante des Appalaches#Les coeurs silencieux#McKinley#Messina#Miss Cyclone#Pavlenko#Peyrin#Richardson#Rimmer#Romances société et les autres#Tal Men#The love Hypothesis#Thrillers et policiers#Un si petit oiseau#Une insolente curiosité
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A quoi ressemblent nos larmes ?
Les larmes sont comme des messagers silencieux de nos émotions les plus profondes.
Les larmes, vues à travers un microscope, révèlent une beauté insoupçonnée.
Chaque goutte renferme un monde de cristaux, de sels et de protéines, formant des motifs uniques et fascinants.
Observer les larmes de près nous rappelle la complexité et la richesse de nos émotions, même dans nos moments les plus fragiles.
Elles peuvent exprimer, la tristesse, la joie, la colère ou même le soulagement.
Lorsqu'elles coulent, elles libèrent un poids de notre coeur et nous aident à nous connecter avec nos sentiments les plus authentiques.
Les larmes sont un langage universel qui transcende les mots et qui nous rappelle notre humanité partagée.
Ne retiens pas tes larmes
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Le relent du tabac, l'effluve du café, un parfum de cuir ou de sental et mon coeur se retrouve heurté par ton souvenir, silencieux
Parfois j'observe la ville en songeant que tu vis, quelque part entre ces rues désormais inconnues
J'espère que tu souffres
et que tu ris
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Parfois les phrases non dites, ce sont les plus belles.
Nous les gardons à l'intérieur de nous comme un écrin,
Pour les émotions.
On les garde dans le coeur.
Et pendant que les autres pensent que nous sommes silencieux.
Ils ne savent pas que c'est à ce moment-là,
Qu'on parle plus.
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Jour 5 : Vibration
Un battement de coeur, quand il est calme, est une vibration. Un silence, un écho, un frisson. Il vibre, doux, tendre, subtil, caché sous les poumons, derrière la cage thoracique. Il volète, palpite, tremble avec douceur, comme un papillon aux longues ailes fragiles, comme une feuille qui glisse dans le vent. Un coeur calme est silencieux comme une respiration, poignant comme un soupir.
Et soudain, à la vue du danger, ou de l'amour, ou de l'inconnu, il éclate, il tambourine, il balance, il tonne : il bat à toute vitesse, tape de grands coups dans la poitrine, pompe de grandes lampées de sang, avale de larges quantité d'oxygène. Un coeur aux abois est un tambour, le galop d'un cheval affolé, le grondement du tonnerre au creux de la nuit : il brûle, blesse, déchire, halète, se démène pour survivre.
Il prendra son temps pour se calmer, pour ralentir, pour reprendre son rythme de croisière : le coeur est prompt à accéler, à bondir, mais réticent à retourner au repos. Il ralentira lentement, hésitant, avec précaution, jusqu'à retrouver le confort d'un battement régulier, d'une vibration familière.
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Le sang qui brûle, la tête qui bouillonne, comment ne pas imploser ? Mon corps tout entier frôle l'accident. C'est une vague d'émotion d'une violence inouïe qui détonne à l'intérieur de mon crâne. Là maintenant, j'aimerais mourir. Là maintenant, j'aimerais tout détruire. Transpercer chaque parcelle de mon corps, chaque parcelle de mes pensées monstrueuses. chaque seconde est un spasme qui me fait douloureusement mal. Une agonie silencieuse me tranche la gorge. Plus un son ne sort de ma bouche, mon estomac se tord.
Un moment silencieux.
Mon visage prend feux, mon coeur s'effondre et implore. Mes larmes deviennent folles. La destruction est une passion humaine. Comment vais-je me sauver ?
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"Nathan, tu le sais à présent: ce sont les livres qui lisent à l'intérieur des hommes. Leur but n'est pas d'exprimer ce que l'auteur veut dire mais de t'examiner. Tandis que tu t'échines à étudier leur sens, ils analysent ton âme. Ils ont ce singulier pouvoir, alors que tu te crois maître de leur exploration, de palper tes secrets. Ils creusent dans ton coeur, ils sondent tes mystères. En visiteurs des songes, ils auscultent ce que ta conscience n'a jamais su nommer. A mesure que tu les traverses, ils exhument tes failles, ils réveillent tes ombres. Silencieux malgré le grand bruit de leur verbe, ils opèrent leur guerre de vérité. Leurs phrases sont des miroirs et leurs pages des yeux: ils deviennent, tout rédigés qu'ils soient, les lecteurs de leurs propres lecteurs. Ce n'est qu'une fois leur travail achevé qu'ils ne déroulent rien d'autre qu'un commentaire de toi. Et j'ai vu dans ton être sitôt que tu m'ouvris." Nathan Devers extrait de: "Penser contre soi-même"/Albin Michel
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Les plus belles personnes sont celles qui ont souffert le plus. Elles portent leurs pensées comme des pierres précieuses et la mémoire de leurs blessures comme si c'était une robe chaude. Les plus belles personnes ont sur le coeur des douleurs qui pèsent comme des rochers et vous n'avez aucune idée de combien de profondeur vit dans leurs silences. Les plus belles personnes que vous puissiez rencontrer sont celles qui ont eu l'âme plongée dans le désespoir et savent naviguer comme des navires silencieux, avec un profond respect, à côté des larmes d'autrui. Les personnes les plus précieuses au monde ont craint de perdre le battement de leur coeur sur le précipice de la douleur, et ce seront celles qui sauront lire en vous et être à vos côtés de quand vous aurez toute l'âme accrochée à un tourment .
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Ce soir
Ce soir, j’ai peur de m’endormir,
Dans ton souffle qui serait le dernier.
Alors je veille. Gardien silencieux de tes songes.
A la lueur de tes nuits agitées, ton visage reflète des mondes infinis et tes murmures, les secrets qu’ils renferment.
Comme j’aimerai pouvoir découvrir les richesses de ce coeur, mais la nuit, Cerbère fantasque n’est guère partageuse.
je traverse les heures jusqu’à l’aube pour m’endormir épuisé, le sourire aux lèvres car je sais qu’à mon réveil tu seras là.
Un jour de plus, une nuit de moins.
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Lyon, quartier de la Martinière, jeudi 27 avril 2023, midi ou à peu près, temps doux. Dans ce quartier de restaurants rapides, j’attends l’ouverture de la boutique de falafels quand, sur le trottoir d’en face, j’aperçois un homme qui danse, léger et élégant, larges gestes précis des bras terminés comme des têtes de canards, qui lui font comme une danse ‘égyptienne’ ; et même, il virevolte, ses jambes bougent bien, sans à coups, fluides. Très bien. Je traverse et m’approche. Sa danse ne dure pas. On dirait qu’il retombe : maintenant il est lourd et voûté, fringues sales et bras marqués de petites blessures. Voix éraillée : ‘...et moi, j’écoute Wauquiez...et il dit ça...Wauquiez...’ Léger quand il dansait, il est lourd et douloureux : ça ne va plus. Puis il se tait et se plante devant le passage piétonnier (comme on voit sur la photo ci-dessus). Quand il attend, il est silencieux. Je prends alors cette photographie et j’entends : ‘...ça c’est pas bien, monsieur, c’est pas gentil...’C’est un très jeune livreur, occupé à décharger un camion blanc, tout près. Sympathique et tranquille, mais à l’air désolé et réprobateur, il insiste d’un signe de la main : ‘...c’est pas gentil, la photo...’ Je m’approche. Il ajoute : ‘...il est malade, moi, ça me fait mal au coeur...’ Il est très jeune, presque enfantin, au très fort accent slave. J’explique que je fais ça depuis longtemps, pour qu’on parle d’eux, pour qu’on s’en occupe enfin, pour qu’on parle un peu d’eux, et que oui ils sont malades, ils ne vont pas bien etc...’ Le jeune débardeur continue son travail et sourit ; il me dit : ‘...alors c’est bien, chef, c’est bien..bonne journée, c’est bien...’
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Bilan mars 2024 : 8 lectures et beaucoup d'émotions !
C’est parti pour le bilan mensuel. Mars 2024 représente 8 lectures : essentiellement des romances : une romance dite historique et sept romances contemporaines dont une Bande Dessinée. Mon coup de coeur de MARS 💚💚💚💚💚 revient au dernier roman de Sophie TAL MEN, Les cœurs silencieux : il aborde de nombreux thèmes que j’adore : la famille, les non-dits, le pardon, l’abandon, la différence et le…
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#Après toi#coup de coeur#Gallard#Hilderbrand#Hoover#Irwin#L&039;hôtel Natucket#L&039;indifférence de l&039;eau qui dort#Lafebre#Les coeurs silencieux#Malgré tout#Messina#November 9#Ponte#Romances société et les autres#Scandale à Bath#Stergann#Sur scène#Tal Men
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Astre de la nuit
Oh astre de la nuit, si belle est ton aura,
Que tout devient magique, et même bien au-delà.
Tu recouvres la terre d'un voile mystérieux,
Tu fermes les paupières, tu rends tout silencieux.
Tu règnes en Maître d'Œuvre, en faisant des merveilles,
Tu encenses l'atmosphère, pour la rendre sans pareil.
Mais tu prends garde aussi, aux pauvres malheureux,
Qui n'ont que la misère, dans le fond de leurs yeux.
Tu rends ce monde moins triste, durant quelques instants,
Tu fais un nid d'amour, pour les jeunes amants.
Et tu peux d'un seul geste, faire entendre le silence,
Et calmer dans nos coeurs, cette peur incessante.
Au terme de ton règne, se lève le soleil,
Pour éclairer l'azur, de ces mille merveilles.
Alors tout doucement tu vas te retirer,
Attendre la fin du jour, pour tout recommencer…
Marie-Rose Porte
Source : Web - Bonne nuit en poésie -
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Leur relation n'était pas qu'une histoire d'amour. Bien que parfois des mois de silence les éloignait l'un de l'autre, leurs âmes se rejoignaient et dansaient ensembles pour soigner leur chagrin. Ils avaient compris qu'ils étaient les seuls à être là l'un pour l'autre en réalité. Elle le savait depuis longtemps mais lui, venait de le comprendre. Il pleurait la femme qu'il avait pensé sienne. Elle pleurait la famille qu'elle avait pensé sienne. Elle les avait tous laissés derrière, abandonnés à leur misère de coeur, et elle avait le sentiment d'être rescapée d'un naufrage, dans lequel ils avaient tous perris.
Elle avait plus souffert que lui, je crois. Elle était plus forte que lui, je crois. Car elle savait surmonter la peur, les doutes, et tout ce qui va avec. Lui, il avait plus de mal, il avait tendance à fuir, et à l'abandonner à son sort, parce qu'après tout, elle était forte, et elle n'avait pas besoin de lui, pensait-il. Et c'est vrai, elle était de moins en moins en rage ou en tristesse lorsqu'elle faisait face à l'indifférence du seul qui comptait vraiment pour elle. Son abscence lui avait permis de guérir.
Pourtant, c'est bien son âme qui venait réchauffer son cœur juste avant de dormir. Elle sentait comme une douce chaleur effleurer sa joue. Elle sentait ses murmures lui susurrer à l'oreille qu'il l'aimait. Ils faisaient l'amour, c'était si fort que parfois les larmes lui coulaient de grâce. Elle sentait sa présence dans tout son corps. Elle savait que lorsqu'elle ressentait cela, c'est qu'il la ressentait aussi de son côté. Mais comparé à elle il ne parlait pas beaucoup. Enfin, ça dépendait. Il ne parlait pas beaucoup de ce qu'il ressentait pour elle. Et c'est comme ça qu'elle l'aimait. Mystérieux, silencieux. Elle aimait aussi quand il était tout agité et qu'il lui comptait toutes ses idées farfelues. Elle avait le sentiment d'être la seule à le comprendre. Elle avait l'impression de lire en lui. Elle savait qui il était, juste en le regardant, ou en pensant à lui. Elle pouvait sentir ce qu'il vivait et ressentait, même à distance, quand il ne se parlaient pas. Elle imaginait que c'était pareil pour lui, peut être d'une façon différente. Mais elle sait qu'il sentait quand elle avait le coeur brisé et qu'elle pleurait. Elle le sentait courir vers elle pour la câliner, ou au contraire elle le sentait fuir quand il avait peur. Elle sentait si il n'était pas sur de lui, ou au contraire, lorsqu'il était chaud comme la braise et qu'il avait envie de lui arracher tout ses vêtements.
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Esaie 38:5 Va, et dis à Ézéchias: Ainsi parle l'Éternel...: J'ai entendu ta prière, j'ai vu tes larmes...
Psaumes 34:17 Quand les justes crient, l'Éternel entend, Et il les délivre de toutes leurs détresses;
Psaumes 34:18 L'Éternel est près de ceux qui ont le coeur brisé, Et il sauve ceux qui ont l'esprit dans l'abattement.
Tu ne vois toujours pas encore l'autre bord? Ecoutes: "reste silencieux devant les hommes, mais pleure, prie, et deverse ton coeur devant Le Seigneur" Il te justifiera et t'honorera.
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Comment s’occuper de son problème « tout·e seul·e »
Mettre en place un tout petit dispositif : comme par exemple soi, du papier, et un stylo. Vous serez trois : il y a le problème, il y a toi qui écris, et il y a ce qui sera écrit.
Et aussi, il y a toi après avoir écrit. Qui pourra soit juste s’enfuir en repartant libéré de ce qui a été déchargé là ; soit un soi capable de revenir après l’écriture, capable de se relire.
De relire pour repenser ce qui a été écrit, préciser des choses. Ajouter de nouvelles informations, de nouvelles idées, faire ressortir de nouveaux points, ajouter des nouvelles remarques. Ajouter sur le texte des « étiquettes », faire ressortir des « groupes » d’idées dans ce qui a été écrit.
Mais avant cela, écrire.
Écrire, soit pour décrire : comment tu te sens, ce qui vient d’arriver. Décrire le plus concrètement possible. Qui a dit quoi, qui a fait quoi, qu'est-ce qui a été fait comme toujours, comme d’habitude, qu'est-ce qui était nouveau ; qu'est-ce qui a été un choc, qu'est- ce qui est monté crescendo mais de manière complètement incontrôlable, qu'est-ce qui était silencieux et qui n’a pas bougé.
Ou alors, écrire, pour poser une question, et puis faire une liste : une liste de ce qui aurait pu être mieux, une liste de ce qui fait que ça arrive comme ça à chaque fois, à tous les coups.
Et puis stop.
Puis revenir. Relire. Et reprendre un stylo. Se dire qu’on a maintenant sous les yeux une liste de « petits problèmes » qui « causent » quelque chose ; en l’occurrence le grand problème.
Alors, pour chaque élément que l’on repère dans le texte, on peut soit dessiner des flèches et placer au bout des solutions, ou des idées ou des types de choses-à-faire liées. Soit trouver un mot susceptible de résumer l’idée — rendant ainsi possible de faire des « familles » de problèmes, et de trouver comment faire ressortir des traits de ressemblances entre les problèmes. De trouver des « sortes », des « types », de problèmes.
L’important, c’est de revenir sur la première « déclaration » et de la faire discuter ; par soi-même.
Comme si un·e amie venait t’expliquer un problème et que tu essayais de lui dire qu’il, ou elle, n’est pas seul·e et que ce problème existe par ailleurs. Et que, en général, on s’en occupe en termes de [...].
Mais aussi, comme si tu essayais de produire des « reminders », un schéma simple pour expliquer les mouvements de l’action, pour simplifier la lecture des dynamiques en cours dans le problème.
Par exemple, disons que tu as besoin, d’une part, de certains ingrédients pour un gâteau et, par ailleurs, d’un médicament à la pharmacie. Tu simplifies : et tu dis, en une phrase, « je dois aller faire des courses ». Ici, tu as donc soit « besoin de ne pas oublier ton portefeuille », pour payer, dans les deux cas, ou « besoin d’un moyen de transport » pour aller là-bas, dans les deux cas également. Tout dépend de ce que tu veux dire et la solution est induite dans l’ « axe » choisi.
Peu important la manière d’écrire employée — narrer les évènements, décrire des scènes, des sensations, faire des listes de problèmes, de causes, de solutions —, ne pas oublier de clôturer la session.
Trouver de quoi faire un moment de conclusion ; que ce soit en finissant par des « points positifs », des « choses bien quand même », par un ré-étiquetage des éléments dans la liste, une to-do-list. Ou alors peut-être écrire une conclusion-bilan qui résume l’affaire en trois points, ou un plan (ce qui ne fonctionne pas toujours).
*
Et avant tout ça, commencer par écrire la date. Voire l’heure, comme ça tu peux voir combien de temps tu as écrit, parfois c’est rigolo. Parfois pas du tout.
Écrire la date parce que ce que tu décris date d’aujourd’hui, que c’est vrai aujourd'hui et peut-être pas demain, ou peut-être pas hier ; mais aujourd'hui c’est vrai. Aujourd’hui, c’est ce qu’il se passe quand tu cherches à écrire ce que tu ressens, ou ce qui s’est passé selon tes yeux. Selon ton coeur. Selon tes mots.
C’est vrai aujourd'hui, et aujourd'hui on est le ? Tel jour, tel mois, telle année, tel moment de la semaine.
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la banalité du mal
l’indifférence face au laid
la pauvreté du coeur
l’absence de sens
l’intégrité qu’envers sa médiocrité
la lâcheté des silencieux
la peur du rejet des insécures
le besoin insatiable de plaire
le manque de courage devant la vérité
l’absence de loyauté (surtout même envers soi)
l’esprit pauvre et tordu
les comportements intéressés
le besoin incessant d’être rassuré
l’égocentrisme crasse
la complaisance dans le drama des imbéciles
les pulsions de destruction
l’attraction envers la médisance
l’incapacité à se réjouir du silence et de l’harmonie
la malveillance des gens ordinaires
la banalité du mal disait Hannah Arendt?
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