#Les coeurs silencieux
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alapagedeslivres · 3 months ago
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CHALLENGE Petit Bac 2024 : si j’avais participé… Ma première LIGNE aurait été...
Sur le blog de Light and Smell, j’ai découvert le Challenge Petit Bac 2024, défi créé pour la quatorzième édition par Enna lit, Enna vit. Découverte tardive qui ne m’a pas permis de m’inscrire à temps pour cette année mais qui m’a vivement intéressée. J’ai consulté toutes mes lectures de 2024 et j’ai essayé de trouver un titre par catégorie, l’objectif étant de remplir une ligne après l’autre,…
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kilfeur · 16 days ago
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Quelque chose que j'ai bien aimé est comment le trio Terry, Aaravos et Claudia et celui de Callum, Runaan et Rayla se contrastent. Aaravos manipule Terry avec l'accord à contre coeur de Claudia malgré ses moments de sincérités et de manipulation avec elle. Et s'impose justement entre la relation de Claudia et Terry. Runaan en revanche, est silencieux et ne s'impose pas vraiment. Tandis que Rayla souhaite ramener Runaan chez lui même si ce serait sans elle. Les seuls moments où justement il s'impose c'est celui du bannissement de Rayla ou quand Callum l'agace à répéter les mêmes choses car il était nerveux. Et même dans le combat entre Claudia et Callum, il préfère attendre avant de décocher sa flèche pour décider du sort de la jeune fille. Montrant que justement, il le reconnait à sa propre valeur.
Something I liked was how the trio of Terry, Aaravos and Claudia and that of Callum, Runaan and Rayla contrast with each other. Aaravos manipulates Terry with Claudia's reluctant agreement, despite his moments of sincerity and manipulation with her. And imposes himself right between Claudia and Terry's relationship. Runaan, on the other hand, is silent and doesn't really impose himself. Rayla, on the other hand, wants to take Runaan home, even if it means without her. The only time he imposes himself is when Rayla is banished or when Callum annoys him by repeating the same things because he was nervous. And even in the fight between Claudia and Callum, he prefers to wait for him before shooting his arrow to decide the girl's fate. Showing that he recognizes Callum for his own worth.
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au-jardin-de-mon-coeur · 5 months ago
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A quoi ressemblent nos larmes ?
Les larmes sont comme des messagers silencieux de nos émotions les plus profondes.
Les larmes, vues à travers un microscope, révèlent une beauté insoupçonnée.
Chaque goutte renferme un monde de cristaux, de sels et de protéines, formant des motifs uniques et fascinants.
Observer les larmes de près nous rappelle la complexité et la richesse de nos émotions, même dans nos moments les plus fragiles.
Elles peuvent exprimer, la tristesse, la joie, la colère ou même le soulagement.
Lorsqu'elles coulent, elles libèrent un poids de notre coeur et nous aident à nous connecter avec nos sentiments les plus authentiques.
Les larmes sont un langage universel qui transcende les mots et qui nous rappelle notre humanité partagée.
Ne retiens pas tes larmes
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licoeur · 2 months ago
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Le relent du tabac, l'effluve du café, un parfum de cuir ou de sental et mon coeur se retrouve heurté par ton souvenir, silencieux
Parfois j'observe la ville en songeant que tu vis, quelque part entre ces rues désormais inconnues
J'espère que tu souffres
et que tu ris
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lisaalmeida · 1 year ago
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Parfois les phrases non dites, ce sont les plus belles.
Nous les gardons à l'intérieur de nous comme un écrin,
Pour les émotions.
On les garde dans le coeur.
Et pendant que les autres pensent que nous sommes silencieux.
Ils ne savent pas que c'est à ce moment-là,
Qu'on parle plus.
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krezreb · 1 year ago
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Le sang qui brûle, la tête qui bouillonne, comment ne pas imploser ? Mon corps tout entier frôle l'accident. C'est une vague d'émotion d'une violence inouïe qui détonne à l'intérieur de mon crâne. Là maintenant, j'aimerais mourir. Là maintenant, j'aimerais tout détruire. Transpercer chaque parcelle de mon corps, chaque parcelle de mes pensées monstrueuses. chaque seconde est un spasme qui me fait douloureusement mal. Une agonie silencieuse me tranche la gorge. Plus un son ne sort de ma bouche, mon estomac se tord.
Un moment silencieux.
Mon visage prend feux, mon coeur s'effondre et implore. Mes larmes deviennent folles. La destruction est une passion humaine. Comment vais-je me sauver ?
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liemhurle · 1 year ago
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Jour 5 : Vibration
Un battement de coeur, quand il est calme, est une vibration. Un silence, un écho, un frisson. Il vibre, doux, tendre, subtil, caché sous les poumons, derrière la cage thoracique. Il volète, palpite, tremble avec douceur, comme un papillon aux longues ailes fragiles, comme une feuille qui glisse dans le vent. Un coeur calme est silencieux comme une respiration, poignant comme un soupir.
Et soudain, à la vue du danger, ou de l'amour, ou de l'inconnu, il éclate, il tambourine, il balance, il tonne : il bat à toute vitesse, tape de grands coups dans la poitrine, pompe de grandes lampées de sang, avale de larges quantité d'oxygène. Un coeur aux abois est un tambour, le galop d'un cheval affolé, le grondement du tonnerre au creux de la nuit : il brûle, blesse, déchire, halète, se démène pour survivre.
Il prendra son temps pour se calmer, pour ralentir, pour reprendre son rythme de croisière : le coeur est prompt à accéler, à bondir, mais réticent à retourner au repos. Il ralentira lentement, hésitant, avec précaution, jusqu'à retrouver le confort d'un battement régulier, d'une vibration familière.
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dutempsoujetaispoete · 11 months ago
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CETTE DOUCE BRISE LES FATIGUE
-« Monsieur,
Comment voulez-vous que j’écrive encore ? »
L’air rêveur, ils regardent à travers la fenêtre, embaumés par un rayon de cet orange suave.
La douce brise caresse les herbes des pampas au ton beige.
Ce ton qu’a le temps de la nature en fin de journée d’été ; épuisé mais harmonieux.
Sereins, leur poitrine est envahie.
Assez pour regarder tendrement le trou de leur cœur, et lui sourire en sachant que ce léger vide ne sera jamais rempli,
mais que l’acquis de la vie suffit parfois pour combler ce qui est nécessaire.
Ces roseaux à plumes, plantes qui nous touchent audacieusement et suavement lorsqu’on les bouscule en marchant,
semblent écrasées par le poids du soleil.
Retenues par la terre, elles ne peuvent s��envoler et se voient effleurées par le vent lourd de l’air.
De l’autre côté de la fenêtre, dans la salle aux murs usés et tachés,
A côté de ce bureau dans lequel sont éparpillées les livres,
Ils sont là,
Perdus dans leur image commune.
L’un d’entre eux observe ces livres, portes tant espérées vers ces êtres dans lesquels on pénètre.
L’infiltration, d’abord timide, fait découvrir les traits de leurs visages à travers les lignes.
Modelant les contours, meublant l’espace que l’on essaye d’imaginer de ruelles en pierres et de chemins fabuleux,
Voilà que tout bouge et se crée autour du passager.
Peu à peu, glissant dans ces âmes imaginaires, ils ne font plus qu’un.
Et il les regarde tristement, ces bouquins fermés, et se dit que dehors il devrait pouvoir être lui-même dans cet espace-temps.
En voilà un autre : curieux élève qui, comme chacun d’eux, est recouvert des plus grands rêves et les voit s’entrechoquer car ils ne sait plus dans lequel se laisser baigner.
Ils voient la simplicité d’un chemin qui se glisse entre les arbres,
Voient déjà leur courage prochain,
La flaque de boue qui éclabousse leur genoux,
Les cœurs emplis des amours prochains,
la sensation même de ce qui n’a duré qu’une seconde,
Le touché du bois sur leurs membres lorsqu’ils sautent la haie, les changements de temps qui se feront sûrement,
et s’imaginent.
Quelle beauté c’est d’être en harmonie avec ce temps,
Sous la calme pluie d’un ciel doucement gris, dont les nuages se baladent au-dessus de nous.
Ce temps apporte une fatigue teintée d’espoir et de visions.
L’eau nous mouille légèrement le visage ; seulement pour nous bousculer tendrement et rendre leur fraicheur aux herbes qui nous entourent.
Quelle beauté que de voir en un ciel silencieux cette bleue mélancolie.
Et, se laissant alors surprendre par un pincement de coeur, ils observent les songes qui doucement s’évaporent sous leur yeux impuissants.
La brise leur chuchote que l’ange qui embaume notre corps ne peut aller où il le souhaite.
Et la voix du professeur se fait plus grave :
Le ton se lève, les visages se tournent.
Extirpés inopinément de leur voyage,
les voilà de retour à l’espace clos de la réalité.
Et le maître pointe sa longue règle vers le tableau empli de craie.
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icariebzh · 1 year ago
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 "Nathan, tu le sais à présent: ce sont les livres qui lisent à l'intérieur des hommes. Leur but n'est pas d'exprimer ce que l'auteur veut dire mais de t'examiner. Tandis que tu t'échines à étudier leur sens, ils analysent ton âme. Ils ont ce singulier pouvoir, alors que tu te crois maître de leur exploration, de palper tes secrets. Ils creusent dans ton coeur, ils sondent tes mystères. En visiteurs des songes, ils auscultent ce que ta conscience n'a jamais su nommer. A mesure que tu les traverses, ils exhument tes failles, ils réveillent tes ombres. Silencieux malgré le grand bruit de leur verbe, ils opèrent leur guerre de vérité. Leurs phrases sont des miroirs et leurs pages des yeux: ils deviennent, tout rédigés qu'ils soient, les lecteurs de leurs propres lecteurs. Ce n'est qu'une fois leur travail achevé qu'ils ne déroulent rien d'autre qu'un commentaire de toi. Et j'ai vu dans ton être sitôt que tu m'ouvris." Nathan Devers extrait de: "Penser contre soi-même"/Albin Michel
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jeanchrisosme · 2 years ago
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Les plus belles personnes sont celles qui ont souffert le plus. Elles portent leurs pensées comme des pierres précieuses et la mémoire de leurs blessures comme si c'était une robe chaude. Les plus belles personnes ont sur le coeur des douleurs qui pèsent comme des rochers et vous n'avez aucune idée de combien de profondeur vit dans leurs silences. Les plus belles personnes que vous puissiez rencontrer sont celles qui ont eu l'âme plongée dans le désespoir et savent naviguer comme des navires silencieux, avec un profond respect, à côté des larmes d'autrui. Les personnes les plus précieuses au monde ont craint de perdre le battement de leur coeur sur le précipice de la douleur, et ce seront celles qui sauront lire en vous et être à vos côtés de quand vous aurez toute l'âme accrochée à un tourment .
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alapagedeslivres · 9 months ago
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Bilan mars 2024 : 8 lectures et beaucoup d'émotions !
C’est parti pour le bilan mensuel. Mars 2024 représente 8 lectures : essentiellement des romances : une romance dite historique et sept romances contemporaines dont une Bande Dessinée. Mon coup de coeur de MARS 💚💚💚💚💚 revient au dernier roman de Sophie TAL MEN, Les cœurs silencieux : il aborde de nombreux thèmes que j’adore : la famille, les non-dits, le pardon, l’abandon, la différence et le…
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worldwriting · 2 years ago
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Ce soir
Ce soir, j’ai peur de m’endormir, 
Dans ton souffle qui serait le dernier.
Alors je veille. Gardien silencieux de tes songes.
A la lueur de tes nuits agitées, ton visage reflète des mondes infinis et tes murmures, les secrets qu’ils renferment.
Comme j’aimerai pouvoir découvrir les richesses de ce coeur, mais la nuit, Cerbère fantasque n’est guère partageuse.
 je traverse les heures jusqu’à l’aube pour m’endormir épuisé, le sourire aux lèvres car je sais qu’à mon réveil tu seras là.
Un jour de plus, une nuit de moins.
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 year ago
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Astre de la nuit
Oh astre de la nuit, si belle est ton aura,
Que tout devient magique, et même bien au-delà.
Tu recouvres la terre d'un voile mystérieux,
Tu fermes les paupières, tu rends tout silencieux.
Tu règnes en Maître d'Œuvre, en faisant des merveilles,
Tu encenses l'atmosphère, pour la rendre sans pareil.
Mais tu prends garde aussi, aux pauvres malheureux,
Qui n'ont que la misère, dans le fond de leurs yeux.
Tu rends ce monde moins triste, durant quelques instants,
Tu fais un nid d'amour, pour les jeunes amants.
Et tu peux d'un seul geste, faire entendre le silence,
Et calmer dans nos coeurs, cette peur incessante.
Au terme de ton règne, se lève le soleil,
Pour éclairer l'azur, de ces mille merveilles.
Alors tout doucement tu vas te retirer,
Attendre la fin du jour, pour tout recommencer…
Marie-Rose Porte
Source : Web - Bonne nuit en poésie -
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dubalai · 2 years ago
Photo
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Lyon, quartier de la Martinière, jeudi 27 avril 2023, midi ou à peu près, temps doux. Dans ce quartier de restaurants rapides, j’attends l’ouverture de la boutique de falafels quand, sur le trottoir d’en face, j’aperçois un homme qui danse, léger et élégant, larges gestes précis des bras terminés comme des têtes de canards, qui lui font comme une danse ‘égyptienne’ ; et même, il virevolte, ses jambes bougent bien, sans à coups, fluides. Très bien. Je traverse et m’approche. Sa danse ne dure pas. On dirait qu’il retombe : maintenant il est lourd et voûté, fringues sales et bras marqués de petites blessures. Voix éraillée : ‘...et moi, j’écoute Wauquiez...et il dit ça...Wauquiez...’ Léger quand il dansait, il est lourd et douloureux : ça ne va plus. Puis il se tait et se plante devant le passage piétonnier (comme on voit sur la photo ci-dessus). Quand il attend, il est silencieux. Je prends alors cette photographie et j’entends : ‘...ça c’est pas bien, monsieur, c’est pas gentil...’C’est un très jeune livreur, occupé à décharger un camion blanc, tout près. Sympathique et tranquille, mais à l’air désolé et réprobateur, il insiste d’un signe de la main : ‘...c’est pas gentil, la photo...’ Je m’approche. Il ajoute : ‘...il est malade, moi, ça me fait mal au coeur...’ Il est très jeune, presque enfantin, au très fort accent slave. J’explique que je fais ça depuis longtemps, pour qu’on parle d’eux, pour qu’on s’en occupe enfin, pour qu’on parle un peu d’eux, et que oui ils sont malades, ils ne vont pas bien etc...’ Le jeune débardeur continue son travail et sourit ; il me dit : ‘...alors c’est bien, chef, c’est bien..bonne journée, c’est bien...’
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windapapillon · 2 years ago
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Leur relation n'était pas qu'une histoire d'amour. Bien que parfois des mois de silence les éloignait l'un de l'autre, leurs âmes se rejoignaient et dansaient ensembles pour soigner leur chagrin. Ils avaient compris qu'ils étaient les seuls à être là l'un pour l'autre en réalité. Elle le savait depuis longtemps mais lui, venait de le comprendre. Il pleurait la femme qu'il avait pensé sienne. Elle pleurait la famille qu'elle avait pensé sienne. Elle les avait tous laissés derrière, abandonnés à leur misère de coeur, et elle avait le sentiment d'être rescapée d'un naufrage, dans lequel ils avaient tous perris.
Elle avait plus souffert que lui, je crois. Elle était plus forte que lui, je crois. Car elle savait surmonter la peur, les doutes, et tout ce qui va avec. Lui, il avait plus de mal, il avait tendance à fuir, et à l'abandonner à son sort, parce qu'après tout, elle était forte, et elle n'avait pas besoin de lui, pensait-il. Et c'est vrai, elle était de moins en moins en rage ou en tristesse lorsqu'elle faisait face à l'indifférence du seul qui comptait vraiment pour elle. Son abscence lui avait permis de guérir.
Pourtant, c'est bien son âme qui venait réchauffer son cœur juste avant de dormir. Elle sentait comme une douce chaleur effleurer sa joue. Elle sentait ses murmures lui susurrer à l'oreille qu'il l'aimait. Ils faisaient l'amour, c'était si fort que parfois les larmes lui coulaient de grâce. Elle sentait sa présence dans tout son corps. Elle savait que lorsqu'elle ressentait cela, c'est qu'il la ressentait aussi de son côté. Mais comparé à elle il ne parlait pas beaucoup. Enfin, ça dépendait. Il ne parlait pas beaucoup de ce qu'il ressentait pour elle. Et c'est comme ça qu'elle l'aimait. Mystérieux, silencieux. Elle aimait aussi quand il était tout agité et qu'il lui comptait toutes ses idées farfelues. Elle avait le sentiment d'être la seule à le comprendre. Elle avait l'impression de lire en lui. Elle savait qui il était, juste en le regardant, ou en pensant à lui. Elle pouvait sentir ce qu'il vivait et ressentait, même à distance, quand il ne se parlaient pas. Elle imaginait que c'était pareil pour lui, peut être d'une façon différente. Mais elle sait qu'il sentait quand elle avait le coeur brisé et qu'elle pleurait. Elle le sentait courir vers elle pour la câliner, ou au contraire elle le sentait fuir quand il avait peur. Elle sentait si il n'était pas sur de lui, ou au contraire, lorsqu'il était chaud comme la braise et qu'il avait envie de lui arracher tout ses vêtements.
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anoukphotographyuniverse · 2 days ago
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Gaming Infinity Nikki - Manuel d'expédition : les lieux à photographier
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Bonjour tout le monde ! Vous connaissez maintenant Infinity Nikki je pense surtout au vu de tout ce que je poste actuellement sur le jeu. Cette fois, nous nous plongeons dans le manuel d'expédition. Guide rapide : - Allez sur le lieu de la photographie, l'icône de l'appareil photo apparaîtra à côté des quêtes et la petite icône de fil sur le côté gauche de l'écran vous indiqueront qu'il s'agit d'un lieu d'expédition. - Passez en mode photo, assurez-vous que le lieu d'expédition est encadré par un petit rectangle affichant le nom du lieu d'expédition au-dessus. N'hésitez pas à retirer Nikki de la photo. - Après avoir pris la photo, le bouton de téléchargement apparaîtra à droite de cette dernière. Pour que la photo soit comptée dans le manuel, elle doit être téléchargée. Cliquez donc sur le bouton "Importer". - Après cela, la photo DOIT apparaître dans le manuel avec le titre du lieu d'expédition. Vérifiez, au cas où ce ne serait pas le cas, pour éviter de revenir sur les lieux plus tard. Les lieux : - Mémorial de Fleur-de-Souhait - Pont en rondins des montagnes - Balançoire près du sentier - Statue de Lilina - L'Aile de Raie - Balançoire du vieil arbre - Aire de pique-nique du lac - Banc du port - Graffiti de rue - Coin de la place aux ruines - Etang d'émeraude - Cénote silencieux - Miroir du dressing de Nonoy - Sanctuaire de l'observation - Buffet de desserts de l'Aile de Raie - Scène du club de rire de bibiraton - Chambre de Nonoy - Cabane de l'attrapeur d'insectes - Forêt aux bourgeons - Belvédère du cygne - Habitat du boeufestin - Ruines du palais de la Reine - Ruines du palais de la Reine : tour - Base du terrain de l'académie - Camp abandonné du souhaiteur exalté - Etang chatoyant - Sylveroc de Coeur-du-lac - Panorama des champs de fleurs - Façade de maison du village - Champ de parmefrange - Coin de village - Champs dorés - Cirque des Beaux Garçons - Marché joyeux - Gare Tchou-Tchou - Entrée de la vallée - Entrée du laboratoire de création - Tranquillité du banc de sable - Grand arbre de millevoeux - Laboratoire esthétique de Timis Photographie secrète : Lorsque vous aurez pris les 40 photographies, une dernière vous sera proposée. Read the full article
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