#La Petite Voleuse
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La Petite Voleuse, Claude Miller, Charlotte Gainsbourg, 1988
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La Petite Voleuse, Claude Miller, Charlotte Gainsbourg, 1988.
Synopsis : Une petite ville du centre de la France dans les années cinquante. Janine en sortant de l'école vole un paquet de cigarettes dans une voiture de l'armée américaine et un vêtement aux « Folies de Paris ». Le directeur de cet établissement arrive chez ses parents adoptifs et découvre le butin. Un jour, Janine rencontre Raoul, jeune couvreur, en train de voler. La complicité, puis l'amour va lier ces deux jeunes gens en rebellion contre leur monde.
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The Little Thief (La petite voleuse) dir. Claude Miller, 1988
I watched it out of curiosity about the story and I must admit that I have mixed feelings about this film. Either way, it's worth watching (if you can stand the annoying behavior of the main character ;) and form your own opinion.
#the little thief#la petite voleuse#the little thief 1988#claude miller#charlotte gainsbourg#films#movies#80s movies#80s#1988#french cinema#cinemetography
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Claude Miller, February 20, 1942 – April 4, 2012.
Directing Charlotte Gainsbourg in La petite voleuse (1988). Photo by Nathalie Eno.
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PLAISIR DE LECTURE
--- TEXTE EROTIQUE de LOUISE DUMONT
Tu es étendu sur le lit, tout nu, la lumière tamisée, tu te crois seul, mais je vient de rentrer. Je t’entends bouger doucement, je t’observe, je vois tes mains qui caressent doucement ton torse, qui glissent sur tes hanches, sur ton sexe qui palpite à ton toucher. Tu joues avec les poiles qui l’entoure, une de tes mains va plus loin vers tes couilles. Ta main droite glisse tout autour de ton gland et le serre lentement, je vois une goute de sperme qui brille, j’entends un petit gémissement, je crois que tu t’imagines des choses érotiques, ton sexe gonfle, s’érige, tu le serres plus fort, un vas-et-viens, j’ai des frissons d’un coup, j’ai envie de poser ma bouche, de te prendre entre mes lèvres et continuer mais je reste te regarder. Tes gémissements se font plus fortes, ta main caresse, masse, joue avec le bout de ton gland, jusqu’à ses racines, tes autres doigts prends tes boules, les serrent pour plus de plaisir. Un cri étouffé, tes hanches qui ondulent, se soulèvent, tu écartes tes jambes plus fort, tu t’abandonnes à des milliers des sensations solitaires, je m’enivre, je mouille, alors, je descends ma main et je me touche, mon clitoris qui réagit violement, je me mords les lèvres pour ne pas gémir et t’effrayer.
Je sens les coups de tes reins dans mon ventre en feu, je sens mes doigts qui glissent, qui te remplacent, je m’imagine ton sexe dur qui m’enfonce, je te regarde toujours, tes mouvements de plus en plus rapides, j’ondule, je me frotte contre le mur, ma tête en arrière, je te regarde, encore et encore, plaisir exquise de voleuse de sensations, tu t’attrapes avec les deux mains, tu serres fort, tu cris presque, ton sexe érigé et gonflé à l’extrême, un jet de sperme qui jailli d’un coup de râle animal que je ressens au plus profond de moi-même. Tu te relâches doucement, je reprends mon souffle, je glisse au long du mur et je ferme les yeux dans une chaleur béate…
P: Louise Dumont
ART Stephane CZYBA
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tw/ viol, apologie du viol
moi qui taffe dans une petite librairie spécialisée en bd je me dois de vous rappeler à tous.tes que le film voleuses (2023) est l'adaptation ciné d'une bd nommée la grande odalisque, écrite par florent ruppert et co-écrite par bastien vivès, et autant on connaît tous la polémique (légitime) autour de vivès autant personne ne semble au courant que ruppert est un prédateur sexuel reconnu et inculpé dans plusieurs accusations d'agressions sexuelles sur jeunes femmes de 20 ans de moins que lui.
il est tellement dans la sauce que sa maison d'édition l'a lâché et il s'est enfui en thaïlande pour échapper au lynchage collectif et à la polémique.
mon but c'est pas de faire culpabiliser qui que ce soit, vous avez le droit de voir ce film, vous avez même droit de l'aimer si vous voulez. mais le monde de la bd est loin d'être tout rose et il me semblait important de vous le préciser.
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Un fille très jeune sur un très vieux rocher s'assoit et fume. La fumée à sa bouche comme un serpent circule. S'approche vers elle une femme osseuse, aux angles étoffés de lourds voiles. Elle pose sur la petite un regard de craie dure. Puis, elle parle:
Telle que je te vois, petite, tu tiens dans chaque main et le bien et le mal, tu pétries le cou de cet oiseau sinistre et t'amuses du sang qui coule dans tes paumes. Sa douleur t'amuse, et la souillure te plaît. Tu ne crois ni en lui ni en la force qui le broie mais adores le sang qui encrasse tes doigts. Tu refuses de mener cette vie qui t'inonde. Passant comme une voleuse sous les enseignes vives, tu ricanes du spectacle des galeries luxueuses et à chaque table t'invites et te moques du festin, injuries les convives. Tu crois la solitude qui te ramène le soir plus vibrante et belle que toutes les voix du monde. Tu crois qu'elle en est pleine, de toutes ces voix, comme tu percois les landes pleines d'étés et de meurtres.
Certains mots prononcés te font tressaillir: navire, blessures, crime, nuit, joyaux. Ce genre de mots répandent en toi une gloire d'élection. La laideur te fascine comme l'ultime miracle, couronnement des têtes de l'ombre. Tu t'en vas chaque jour chasser la rencontre de ces infréquentables, de ceux-là qui restent quand la foule s'écarte. Tu voudrais éprouver leurs lois, partager leur langue, leur vermine, hanter leur voie. Etre des leurs, qu'ils te rebaptisent et te marient à l'un d'eux; le plus brute et sordide et dont tu admireras les yeux.
Quand tombera sur toi l'odieux frisson, tu te retourneras maudite et profane.
Les mots auront fané. Les trains seront passés. Les horizons affaissés sous ton corps devenu mûr. La route s'imposera: immense, droite, implacable. Comme chacun l'a fait, tu t'y engageras, toi et le reste de ta force. Tu auras le front fier des infirmes, la bouche sèche.
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Charlotte Gainsbourg
La petite voleuse, The Little Thief (1988)
(via kaipanzero)
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Celle qui a volé la lune
C’était une petite fille du nom d’Emilie
Qui avait une drôle d’idée en tête.
Elle n’en parla à personne, pas même à ses amies,
Connues pour être de véritables pipelettes.
…
Un soir, elle descendit de son lit
Et quitta la maison avec une telle discrétion
Que le chien du voisin ne l’entendit
Préférant dormir que de passer à l’action.
…
Elle marcha jusqu’au parc d’à côté,
Et grimpa en haut d’une cage à écureuil.
Puis, elle brandit un grand filet
Afin d’attraper la lune de la taille d’un œil.
…
La lune parlait avec une étoile,
Lorsqu’elle sentit le contour d’un voile
Recouvrir son visage rond et souriant,
Avant de disparaitre, soudainement.
…
« Mais où est passé la lune ? » Criait-on
Dans la rue, dans les villes et les cités.
« Qu’on jette donc en prison
Celui ou celle qui a osé la voler ! »
…
Souriante et heureuse de son éclat,
Emilie retourna sagement chez elle.
Mais une petite lumière se dégagea
De sa poche désignant la criminelle.
…
« Que caches-tu dans cette poche ? »
Demanda un policier au regard méchant.
« Ce n’est rien, juste une petite roche
Sur laquelle est posé un vers-luisant. »
…
L’agent, un peu…énormément crédule,
Crût la gamine et la laissa rentrer.
Enfin, dans sa chambre de taille ridicule,
Elle sortit aussitôt, une lune courroucée.
…
Cependant, en découvrant la voleuse
Dont le minois attendrissait les pires méchants.
La lune ne chercha pas à être batailleuse
Et demanda, sur son kidnapping, des arguments.
…
Alors Emilie expliqua par ces phrases :
« Ma chambre est bien trop étroite.
Dès que je touche les murs, je les écrase.
J’ai besoin de place pour dormir bien droite »
…
Surprise par ses explications mais compatissante
La lune accepta qu’Emilie dorme sur elle
A condition de retourner près des étoiles scintillantes
Là où se trouve sa place réelle.
…
Depuis, une petite fille dort régulièrement
Sur la lune en forme de croissant.
Et comme ses rêves se réalisent,
Demain, elle volera le soleil. Elle se l’est promise.
Alex@r60 – août 2023
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La petite voleuse, Claude Miller, 1988
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Kung Fu Panda 4
** DERNIÈRE MISE À JOUR : 27 mars 2024 **
Synopsis Après trois aventures dans lesquelles le guerrier dragon Po a combattu les maîtres du mal les plus redoutables grâce à un courage et des compétences en arts martiaux inégalés, le destin va de nouveau frapper à sa porte pour … l’inviter à enfin se reposer. Plus précisément, pour être nommé chef spirituel de la vallée de la Paix. Cela pose quelques problèmes évidents. Premièrement, Po maîtrise aussi bien le leadership spirituel que les régimes, et deuxièmement, il doit rapidement trouver et entraîner un nouveau guerrier dragon avant de pouvoir profiter des avantages de sa prestigieuse promotion. Pire encore, il est question de l’apparition récente d’une sorcière aussi mal intentionnée que puissante, Caméléone, une lézarde minuscule qui peut se métamorphoser en n'importe quelle créature, et ce sans distinction de taille. Or Caméléone lorgne de ses petits yeux avides et perçants sur le bâton de sagesse de Po, à l’aide duquel elle espère bien pouvoir réinvoquer du royaume des esprits tous les maîtres maléfiques que notre guerrier dragon a vaincu. Po va devoir trouver de l’aide. Il va en trouver (ou pas ?) auprès de Zhen, une renarde corsac, voleuse aussi rusée que vive d'esprit, qui a le don d’irriter Po mais dont les compétences vont s’avérer précieuses. Afin de réussir à protéger la Vallée de la Paix des griffes reptiliennes de Caméléone, ce drôle de duo va devoir trouver un terrain d’entente. Ce sera l’occasion pour Po de découvrir que les héros ne sont pas toujours là où on les attend.
Kung Fu Panda 4
27 mars 2024 en salle | 1h 34min | Aventure, Animation, Comédie, Famille, Arts Martiaux
De Mike Mitchell (V), Stephanie Stine
| Par Jonathan Aibel, Glenn Berger
Avec Manu Payet, Jack Black, Viola Davis
en ligne gratuitement sur 123movies & Reddit, y compris où regarder le film d'Universal Pictures à la maison. Est-ce qu'Kung Fu Panda 4 2 est la voie
de Water 2024 disponible en streaming ? Est en train de regarder Kung Fu Panda 4 2 The Way of Water r sur Disney Plus, HBO Max, Netflix ou Amazon
Prime? Oui, nous avons trouvé une option / un service de streaming authentique. Détails sur la façon dont vous pouvez regarder Buzz Kung Fu Panda 4 2 The Way
d'eau gratuite tout au long de l'année sont décrites ci-dessous. maintenant
Un week-end d'ouverture élevé pour Kung Fu Panda 4 serait un bon début pour la suite au box-office. Le
l'ouverture annoncée de 135 millions de dollars signifierait que le suivi fera en un week-end ce qu'il a fallu au premier film de James Cameron un
semaine complète à gagner. Cependant, le box-office d'Kung Fu Panda 4 2 aura toujours du mal à battre l'original. La magie de
L'improbable course au box-office d'Kung Fu Panda 4 est l'incroyable bouche à oreille du film et les visionnements répétés qui ont aidé à garder le
film pertinent et en salles pendant 234 jours. C'est du jamais vu de nos jours, même pour les plus grands films. Pour référence,
Kung Fu Panda 4 a dépassé 161 jours cette année.
Nouvel Kung Fu Panda 4 à long terme: Les projections au box-office du week-end d'ouverture de The Way of Water font que la suite double presque James
Le premier film de Cameron. Le film de science-fiction original de 2009 a battu toutes sortes de records au box-office pour devenir le
film le plus rentable de tous les temps. L'incroyable succès d'Kung Fu Panda 4 au box-office a à son tour attiré beaucoup d'attention sur
combien d'argent va gagner Kung Fu Panda 4 2. Même si personne ne s'attend à ce que la suite dépasse les 2,9 milliards de dollars d'Kung Fu Panda 4 dans le monde
transport, le gros budget du film et l'investissement de Disney dans l'avenir de la franchise signifient qu'il y a une certaine pression sur
Le film concerne Alice (Florence Pugh), une femme au foyer qui vit dans le bonheur conjugal avec son mari, Jack (Harry Styles),
dans une ville des années 1950 appelée Victory dans le désert californien. Le terrain appartient à l'employeur de Jack, le Victory Project,
qui a amené son personnel et leurs conjoints à vivre dans cette oasis de pelouses irriguées et entretenues tout en travaillant sur
projets d'ingénierie top-secrets. Tous les matins, Jack part au travail l'estomac plein d'un petit-déjeuner parfait
et revient ce soir-là dîner sur la table et sa femme rayonnante le supplie de faire l'amour.
Dès le départ, il est clair que quelque chose ne va pas dans l'utopisme et les habitants suburbains brillants et hyperréalistes de Victory.
Mais Wilde ne prend pas la peine d'essayer d'aggraver un sentiment de malaise, car le film est des visions installucinatoires qui surprennent
Alice hors de son bonheur, et la seule femme noire de Don’t Worry Darling avec un dialogue, Margaret (KiKi Layne), donne un
avertissement précoce que tout va mal avec un discours terrifié qui est pratiquement une copie miroir de LaKeith
L'explosion pétrifiée de Stanfield dans le film de Jordan Peele. sadasa d sadasd
Super Mario Bros, Kung Fu Panda 4 est-il maintenant disponible en streaming ? Regarde, Kung Fu Panda 4 sur Disney Plus, HBO Max,
Netflix ou Amazon Prime ? Oui, nous avons trouvé une option/un service de streaming authentique écrit par Katie Silberman. vie
avec son mari dans une communauté expérimentale utopique commence à s'inquiéter que sa compagnie glamour puisse se cacher
secrets troublants.
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Hier la journée a été TRÈS RICHE
J'ai plus ou moins raté mon oral de civilisation mais c'est pas grave parce qu'au moins c'est passé maintenant
J'ai donné mon CV et ma lettre de motivation pour Sevenoaks
J'ai passé beaucoup de temps avec mon amoureux, on a pris un petit déjeuner ensemble (bon vers 14h mais c'est un petit dej quand même, en plus ça faisait pas longtemps qu'il était réveillé), il a pas mal joué et on s'est préparés
C'est moi qui ai fait la cuisine hier soir, je lui ai préparé des pâtes (étonnamment ça faisait vraiment longtemps) et du coup j'avais préparé une petite sauce avec de la sauce tomate, les restes de champis, de l'oignon rouge et puis plein d'épices, c'était vraiment trop bon
C'était prévu que j'aille à la patinoire avec Pops et d'autres gens à 21h mais Fred commençait à 23h, je savais pas, du coup je leur ai dit que je viendrai un peu plus tard
J'ai voulu les attendre devant la patinoire mais c'était infini et il faisait froid alors on s'est rejoint directement chez Pops vers minuit, c'était un peu cringe ce moment là
Il y avait Pépin et Ferko, Jay et Ludo, et puis après il y a Morgane qui est venue avec garçon sympa qui s'appelle aussi Jason
JE DÉTESTE MORGANE ELLE ME MET TROP MAL A L'AISE ????
On a fini par décoller tant bien que mal pour aller à la barge avec Pepin, Pops et Jay
Mon dieu, je m'attendais archi pas à ça
Bon déjà la barge c'était vraiment cool pour une fois, il y avait du bon son. A un moment je sors fumer et il y avait un garçon assis sur le petit poteau, il me regarde et il sourit puis il me demande de lui raconter une anecdote
Il avait l'air vraiment super sympa et touchant alors je me suis assise et je lui ai raconté l'anecdote de la teuf, je lui ai demandé de me raconter une anecdote aussi et au final on a discuté super super longtemps
Il s'appelle Tom et il a 30 ans, si je me souviens bien je crois qu'il habite plus vraiment sur Troyes
On a beaucoup beaucoup parlé de littérature c'était trop chouette, on a parlé de la Voleuse de Livres avec son ami aussi
On s'est vraiment bien entendu et il a même décidé de me payer un verre "parce que je lis des livres et que c'est vraiment chouette"
Ça m'a vraiment fait plaisir de le rencontrer et d'avoir ces discussions
SEULEMENT
ENTRE TEMPS Y'A UN ZIGOTO QUI A BIEN BU (je crois) ET DONC
Je prends mon verre, je vois Jay
Jay commence a me bousculer gentiment pour rire, puis il me fait des guillis ????
Puis il me chope par la taille en se collant a moi et il me touche les seins ???
J'étais vraiment bien pétée mais j'étais pas à l'aise
Je pensais juste à mon amoureux
J'ai dit a Jay que c'était mort, qu'il ne se passerait pas quoi que ce soit mais on a continué à danser malgré tout
Et visiblement vu les messages que j'ai vu en me réveillant ce matin monsieur était vraiment deter pour avoir mon cul
"il reste quelque chose entre nous" PTDRRRRRR MDRRRRR ROULADE ARRIÈRE PIROUETTE
Après la barge on est rentrés chez Pops, je me rappelle plus vraiment du chemin mais je crois qu'on a croisé une fille avec une bombe de peinture et qu'on a graffé des coeurs <3
Chez Pops on a continué de boire encore un petit peu et puis Ferko et Pepin ont proposé de nous ramener en voiture Jay et moi
Entre temps mon amoureux m'avait envoyé plein de messages trop mims, il était prêt à venir me chercher à pieds pour être sûr que je rentre pas seule alors qu'il sortait du travail
Quand je suis rentrée c'était vraiment trop bien, j'étais tellement heureuse et soulagée de retrouver ses bras. Pendant la soirée la situation avec Jay m'avait un peu mis la pression mais bam là tout allait mieux et tout était trop chouette
Il avait même ramené de la pizza 4 fromages parce qu'il se doutait que j'aurais faim avec l'alcool etc
On s'est posés dans le canap et on a discuté et ris aux éclats pendant plus d'une heure et ensuite zou direction le groooos dodo
C'était une soirée marrante
(ah oui et aussi: apparemment j'ai dit à Fred hier soir (enfin ce matin du coup) que c'est Pops qui me l'avait donné et que c'est effectivement de la beuh bien qu'on ait un doute que ce soit du CBD, mais quoi qu'il en soit ça m'a fait tout drôle tout a l'heure d'ouvrir ma pochette et de voir l'équivalent d'un 30 balles sorti de nulle part 😂)
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29 septembre
j'arrive pas à croire que je suis toujours sur la plage. je me suis assise sur un rocher plat avec les fesses immergées en pensant à bruxelles qui est arrivée numéro un ex aequo avec sète dans mon sondage, mais hier dans le bus j'arrêtais pas de voir des panneaux pôle emploi sur la route et ça m'a un peu refroidie, même si la même chose m'attend à bruxelles, mais c'est moins dégueu, je sais pas. pendant que je pensais à bruxelles j'ai senti quelque chose me picorer le petit orteil et c'était une bébé crevette! une bébé crevette qui me montait sur le pied et qui m'a dit va à bruxelles lara. ok crevette. elle a pris son courage à deux pattes et elle a traversé mon pied gauche et elle est redescendue de l'autre côté, comme si je faisais partie du rocher. puis une deuxième crevette un peu plus grosse l'a suivie, elle a traversé un pied puis l'autre, je la sentais légèrement plus que l'autre. ça m'a fait rigoler et j'en revenais pas de ma chance d'être assise sur ce rocher avec le cul dans l'eau et une crevette qui me grimpe sur le pied, alors que ça devrait juste être un truc normal de la vie sur terre, qui fait partie de l'expérience terrestre, et oui ça l'est, mais c'est aussi un privilège.
parfois la mer s'arrête et puis elle reprend
j'ai vu sur ig que m. avait fait une attaque de panique et j'aurais aimé qu'elle puisse sentir des crevettes marcher sur son pied elle aussi, ou voir le banc de petits poissons scintillants qui nageaient à côté de moi.
30 septembre
j'étais censée être dans le train pour rentrer aujourd'hui et au lieu de ça je suis en train de rattraper mon mois d'août passé sur premiere pro en chaussettes, j'ai du attendre 17h30 pour aller à la plage parce qu'il faisait 33 degrés, j'ai passé l'après-midi en culotte et en brassière et j'ai enfin envoyé mes textes aux revues littéraires. grande satisfaction. ce matin j'ai pris le vélo et je suis partie au cap d'agde en suivant le chemin que j'avais pris à pied la dernière fois, sans encombres, je sais toujours en faire. j'ai aimé surtout la première partie qui traversait les petits chemins broussailleux de l'arrière-plage, c'était le seul endroit où y avait de la verdure. et le parc à côté d'aqualand mais bof. j'ai même roulé sur la route avec les voitures dans le centre et je me suis dit you go girl!! à voix haute, trop fière. j'ai attaché le vélo à une barrière sur le parking de la grande conque et je me suis promenée le long des falaises. le jour où loki a été piqué à la maison j'étais descendue sur la plage noire et j'étais remontée de l'autre côté en grimpant sur les rochers, il faisait gris et j'étais en tongs et les petits cailloux glissaient sous mes pas et je pensais à twilight 2 quand kristen stewart est triste à cause d'edward et qu'elle se met en danger inutilement en faisant des trucs dangereux pour noyer son chagrin.
3 octobre
sur les marches du poste de secours comme marissa cooper pour mon dernier journal sur la plage, est-ce que je vais me repasser les quatre saison de newport beach en rentrant à la maison? peut être. tout à l'heure en remontant du bord de l'eau pour aller vers le sable sec ça m'a fait un petit trou dans le coeur de me dire que j'y redescendrais plus avant... trop longtemps. mais la solitude commence à me peser et surtout jean luc est de retour et hier soir j'ai du fuir à l'appart de c. à minuit et demi, j'ai même pas mis l'électricité je me suis éclairée au téléphone comme une voleuse et j'ai dormi à même le dessus de lit, sans enlever les coussins dessous. j'en peux plus de mes problèmes de sommeil. et puis je suis contente de me construire mon automne-hiver petit à petit, hier soir j'ai reçu un mail du feff pour me dire qu'ils adoraient mon film et que je pourrai dormir à heima et j'ai passé une heure à regarder le prix des vols pour reykjavik devant l'amour est dans le pré, est-ce que c'est raisonnable? non mais tant pis.
tout à l'heure en marchant sur la plage j'ai vu une fille qui devait avoir mon âge, jolie et fine et longue, elle était assise sur sa serviette et elle regardait ses enfants jouer dans l'eau avec leur père et je me suis dit: j'ai pas d'âge. j'ai pas d'âge, j'ai pas de présent, j'ai pas 32 ans.
4 octobre
à paris sur le quai du canal st. martin, je viens de manger un croissant portugais avec de la crème à deux euros soixante et je suis allée voir l'expo sur tove jansson dans une espèce de halle recouverte de moquette aux couleurs criardes un peu louche. mon moment préféré c'est quand je suis sortie dans la petite impasse pavée et que j'ai traversé un shooting de mode avec ma valise en me frayant un passage à travers les quinze mille personnes qui regardaient/assistaient et j'en avais rien à foutre et ça me faisait rigoler parce que ce matin encore j'étais chez denise la voisine qui buvait le café en robe de chambre à l'aube dans son petit appartement puis dans la voiture toute pourrie de rené le voisin qui m'a amenée à la gare et je vis pour ce genre de contrastes. j'adore les contrastes. les contre-points. kontrapunkt comme disait jana à archa. passer d'un extrême à l'autre. être en décalage. en décalage voulu, évidemment. en opposition mais sans adversité. ma tenue est très kontrapunkt par exemple: chemise de nuit ancestrale + tshirt warrior records/sweat noir + adidas et chaussettes apparentes. mais j'aime bien m'adapter aussi. hier à midi je mangeais mes restes de courgettes devant les infos comme tous les autres vieux de la résidence et aujourd'hui j'ai mangé un sandwich à la rosette à 3 euros 90 sur un banc sous un arbre rue de la roquette avec des parisiens qui déjeunaient eux aussi d'un sandwich sur un banc.
ce matin avant de partir j'ai vu le mail de point de chute qui me disaient qu'ils avaient accepté mes textes, que je serais pas rémunérée, et que j'étais invitée à une lecture pour la soirée de lancement à la librairie exc le 15 décembre. y a deux mois exactement c'était mon souhait le plus cher, mais là après le livre de christophe hanna qui m'a un peu désillusionnée et le prix des vols pour l'islande et ma lecture au rainbow center non rémunérée et ma performance à la konschthal avec c. non rémunérée, je sais pas comment je peux continuer comme ça. trop de frais. trop de travail gratuit. j'ai passé des semaines à travailler sur ces textes. évidemment que je le fais pas pour l'argent, ça n'aurait aucun sens, mais je peux pas être poète/artiste sans travail pour payer les frais liés à mon travail non rémunéré.
ce matin dans le train pour paris je me creusais la cervelle pour trouver un moyen de gagner de l'argent de manière pas trop chiante, mais à part faire le tour des wagons de première pour demander si quelqu'un voulait bien devenir mon/ma mécène, j'ai pas trouvé. ça me semblait la solution la plus viable en tout cas. aussi, au bout d'une heure à peu près je me suis rendu compte que le mec assis à côté de moi me faisait de l'effet, un peu, lorsqu'il était appuyé de mon côté et que moi je penchais du sien. il était grand avec les cheveux un peu longs il portait des lunettes et il écoutait une interview de mélenchon sur thinkerview en tapant du code. peut être qu'il gagnait beaucoup d'argent et que j'aurais du lui demander à lui. il avait un sticker de baleine sur son macbook. j'étais à deux doigts de lui demander s'il habitait à paris et si je pouvais venir dormir chez lui le 15 décembre.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 11
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour bonjour, après un certain délai, voici le retour des Hatereads !
(J'ai l’impression de sonner comme un disque rayé à chaque introduction, mais c’est dur de se renouveler, d’accord 🙁)
Bref, je vous avais quitté après un chapitre des plus déplaisants ! Wouw ! En effet, après le grooming de Chem, nous avons eu droit au speedrun de la rédemption de Selenba et surtout, à la fin du chapitre précédent, Cal forçait et était un énorme creep ! Le chapitre 10 s’achevait sur l’arrivée de Mara dans la chambre où Tara et Cal venaient de s’interrompre en pleine partie de péchotage. Mais comment va donc réagir Mara, qui est amoureuse de Cal ! TAN TAN TAAAAAN
Je veux juste revoir Mourmur sortez-moi de là.
Le chapitre 11 se nomme “Mara, ou l’art d’éviter les chiens de garde et de partir discrètement avec le butin”.
“Curieusement, Mara paraissait échevelée, comme si elle avait été frappée par un vent violent. Mais elle ne fournit aucune explication.
— Salut Tara, fit joyeusement sa petite sœur en l’ignorant totalement, concentrée sur Cal. Cool, c’est justement toi que je cherchais, Cal. J’ai réussi !
Cal se leva et la salua en claquant son poing sur son cœur.
— Bravo, jeune Voleuse, vous avez gagné vos premiers galons de future Voleuse Patentée. Ça n’a pas été trop difficile ?”
Contrairement à ce que la fin du chapitre précédent laissait présager, il n’y a donc pas de scène de malentendu : en fait, Mara ne semble pas remarquer ce qu’il se passait entre sa sœur et son crush. Au lieu de ça, elle détaille la façon dont elle a obtenu son diplôme. Cette scène est parsemée d’éléments plutôt chouettes : l’entente entre Cal et Mara (qui ne se résume pas au crush que cette dernière a sur lui), une mise en avant pas trop mal du personnage de Mara, qui n’a pas énormément été montrée de ce que je me souviens... et surtout, ce passage :
“— Je suis fier de toi, s’exclama Cal en prenant le cylindre, nous allons l’apporter ensemble chez ta tante, ainsi elle verra que ma suggestion de t’utiliser comme équipe d’appoint était judicieuse.
— Quoi ? s’exclama Tara qui venait de comprendre qu’ils ne parlaient pas d’un exercice. Tu as fait tout cela réellement ?
Les deux Voleurs se retournèrent vers elle, perplexes.
— Euh, fit Mara, oui, pourquoi, tu pensais que c’était quoi ?
— Mais un entraînement ! s’indigna Tara, horrifiée. C’est ce que tu as dit : un exercice pour un enfant de deux ans !
— Hou, tu as passé du temps avec des nains, récemment, sœurette ? Parce que c’était juste une façon de parler, hein ?
— Mais tu aurais pu être tuée ! C’est insensé ! Et tout ça pour un parchemin ?”
Okay, je dois dire que c’est un des meilleurs débuts de chapitre de ce bouquin jusque-là. Ce passage a plein de petits trucs sympas : Tara qui s’inquiète pour sa sœur (même si c’est l’hôpital qui se fout de la charité, vu sa propension à aller se mettre en danger sans prévenir, ça reste appréciable), qui n’est pas au fait de tout ce qui concerne les Voleurs Patentés, le détail plutôt subtilement repris concernant les nains... franchement, jusque-là, j’apprécie cette scène.
La discussion s’égare sur un culte autour d’une carotte sacrée, avant de revenir dans les rails.
“— Bref, je trouve quand même que mêler ma petite sœur à notre quête des documents de la guerre des Failles, c’est horriblement dangereux. (même si j’aime l’idée de voir Mara en action, je dois dire que je suis d’accord avec Tara. S’il arrive quelque chose à Tara, Mara est en ligne directe pour devenir Héritière à sa place. Ce serait bien d’éviter que les royautés partent toutes dans la nature en même temps, surtout pour aller faire des missions dangereuses)
— Tara, fit doucement Mara, ce que tu fais est bien plus dangereux. Alors si je peux aider, de quelque façon que ce soit, ce ne sont pas deux, trois krakens et des gardes qui vont m’en empêcher. Et puis c’était vraiment amusant, crois-moi.
Tara retint un gémissement. Tous ses amis semblaient (enfin à part Fabrice) (mettre la coupure « (enfin à part Fabrice) » juste après le « semblaient » est ma foi une idée audacieuse) ne rêver que de bagarres et de défis (oui d’ailleurs, ils sont pas un peu traumatisés ? Ils sont tous déjà morts une fois, ou ont frôlé la mort, ont été torturés, certains membres de leurs familles ont été asservis, ont souffert... ça pourrait les freiner un tant soit peu, non ? Fabrice a des raisons d’avoir des réserves, en fait. Je pense que le reste du magicgang a des gènes de dodo). Elle aurait bien voulu que sa famille s’abstienne s’ilvousplaît-merci. Elle avait déjà perdu son père, son grand-père et sa mère dans la bataille, si elle pouvait garder ses frère et sœur en vie, ce serait vraiment bien.
— D’ailleurs, Jar est sur Terre, il est en train de récupérer les documents que nous avons trouvés au musée du Caire. L’Egypte est vraiment un pays très intéressant sur Terre, tu sais ? (Alors que notre fameuse Egypte d’Autremonde, ce qu’elle est chiante ! Plus sérieusement, je vois pas pourquoi elle précise « sur Terre », surtout que ça fait une répétition)C’est fou le nombre de documents magiques AutreMondiens qu’ils ont accumulés. Il devrait être là dans quelques heures.
Tara en eut le souffle coupé”
Je répète, du coup, mais même si Jar ne veut plus être Héritier, ça pourrait être vachement utile que l’empire ait un remplaçant en cas de pépin. Ne serait-ce que pour les gens à gouverner, éviter le chaos et la prise du trône par, au hasard, Magister.
Quoi qu’il en soit, Jar et Mara sont déterminés à repousser l’invasion des démons, c’est plutôt cool ! Moi qui craignais que ce chapitre continue hors-bord par rapport à l’intrigue centrale du tome, me voilà un peu apaisée.
“La porte se referma derrière eux. Tara se mordit la lèvre. À un moment ou à un autre, il allait falloir qu’ils avouent à Mara qu’ils sortaient ensemble.
Elle se mordit la lèvre un peu plus fort. Ça, c’était une scène qu’elle n’avait pas hâte du tout de vivre.”
Noooooon scénario reviens-
Et... ils sortent pas ensemble ? Cal et Tara ne sortent pas ensemble, rien de ce genre n’a été officialisé. Je veux dire, j’étais là, j’ai lu le livre. Ils ne se sont pas dit ça.
“Quelques minutes plus tard, son hor vibra.
C’était Cal.
« Tro bon hâte de t revoir. Ce soir ? » (quoi)
Et pourquoi Cal utilisait des abréviations alors que la seule chose qu’ils avaient à faire c’était de dicter le message à leur boule de cristal ou comme dans le cas de Tara de son hor ? (Parce qu’il est avec Mara, potentiellement, je sais pas ? T’es pas la feuille la plus épaisse de l’artichaut, Tara)
Elle dicta la réponse.
« Trop bon oui. Pour ce soir, sais pas. Trop vite ? » (je buggue sur ce “trop bon”. Est-ce que. Je. Est-ce que madame S.A.M. pense que les jeunes se disent “trop bon” après avoir failli se pécho ? Je comprends pas.)
Le message s’afficha tout de suite en réponse.
« Jamais trop vite. Vie est longue mais parfois courte. Ne gâchons pas. » (pourquoi il écrit bien d’un coup ?)
Il allait vraiment falloir qu’il surmonte le traumatisme de la mort d’Eleanora. (oh bah oui, c’est vrai que le deuil d’un proche ça se fait facilement et que ça ne change pas notre personne à tout jamais, pense-tu) Parce que s’il pensait que Tara pouvait mourir d’une seconde à l’autre, (il n’aurait pas tort) leur relation prendrait un tour compliqué. Elle s’apprêtait à lui répondre lorsqu’il texta :
« Rentre dans bureau Impératrice. T’appelles après. Tu fais quoi ? »”
Bon, bref, cet échec cuisant faisant office de tchat entre djeunz se conclut sur Cal qui dit qu’il viendra la rejoindre à midnuit.
Hm. Tu sais, Cal, ta chérie a besoin de dormir... ? Je doute que quelqu’un travaillant jusqu’à minuit serait vraiment dans le mood pour une partie de jambes en l’air.
Bref, une ellipse passe, ce qui donne l’occasion de rappeler que Tara est une Héritière res-pon-sable
“Tara prévint ses gardes qu’elle partait, encore. Ceux-ci soupirèrent. Elle leur avait appris qu’essayer de l’en empêcher revenait à se retrouver douloureusement paralysés pendant des heures, vu la puissance de sa magie.”
Awwww trop mignon. Vous croyez qu’ils éprouvent la faim, la soif ou l’envie d’aller aux toilettes, quand ils sont paralysés ? En tout cas, on précise bien que c’est douloureux :-). Mais inutile d'avoir de la peine pour eux, ce sont des figurants, les figurants n’ont pas d’opinion propre, de vécu, d’émotion, ou de proches qui les attendent à la maison.
“S’ils ne voulaient pas être métamorphosés en statues, ils avaient intérêt à ne pas l’ennuyer. Ils obéirent donc, la mort dans l’âme pendant qu’elle préparait ce dont elle avait besoin pour sa mission.”
Ouiiii-euh on est pas une dictatureeeeuh, on a un conseil, on est trop progressisteuuuh par contre si des gardes voulant juste faire leur devoir empêchent dame Tara de faire des conneries, c’est punition immédiate et personne à qui s’en plaindre, faut pas déconner.
“Dont le plus important : sa combinaison spatiale, qu’elle fit rentrer dans les poches de sa robe de sortcelière.
Galant boudait, mais elle ne pouvait pas l’emmener. Elle aurait pu le miniaturiser encore plus et le garder dans sa combinaison, mais elle préférait ne pas s’inquiéter pour lui, alors qu’elle affrontait la magie démoniaque."
C’est pas supposé être très douloureux de s’éloigner de son Familier ? Même quand c’est qu’une affaire de mètres ? Là elle va sur la Lune ? C’est très loin, la Lune ?
“Quelques minutes et trois transferts plus tard, elle était sur la Lune terrienne. Les deux thugs de garde qui s’ennuyaient comme des rats morts furent contents de la voir, elle leur apportait tout le temps des friandises hors de prix qu’elle « empruntait » aux cuisines du palais. (y a pas quelqu’un d’autre qui peut filer des trucs sympas à manger à ces pauvres gardes ?)
Ils pensaient qu’elle venait réfléchir (c’était ce qu’elle leur avait dit) dans un endroit tranquille en regardant la Terre. Contrairement à la Garde des Amazones sur Terre, ils ne savaient pas que deux objets démoniaques se trouvaient sur la Lune. (????? Et ils pensent qu’ils sont là pourquoi, pour surveiller que les cratères s’enfuient pas ??????) Un Transmitus plus tard et elle se retrouvait devant les Gardiens. Qui lui demandèrent de se déshabiller.”
… vous savez quoi, je suis trop accablée pour ça, on skippe.
“Elle frissonna et, pas parce qu’il faisait – 273,15° dehors, la température du zéro absolu. Mais bien parce que les fantômes griffus et pleins de crocs l’effrayaient. (oui d’ailleurs ils lui demandent de se déshabiller alors qu’elle est sur la LUNE ? C’est pas des pervers, en fait, ils ont juste envie qu’elle crève) La dernière fois qu’elle était venue, elle leur avait fait une proposition. Elle espérait qu’ils accepteraient, comme ceux qui avaient protégé les objets démoniaques sur Terre et se trouvaient à présent sans travail.”
Oh, chic, je m’étais trompée ! Voici la troisième instance de ce livre du trope cher à madame S.A.M. : « Les personnages évoquent très clairement un plan qui sera réutilisé plus tard dans l’intrigue, en termes qui sont non seulement giga vagues, pas agréables à lire mais qui sont en plus savamment calculés pour qu’on les ait oubliés au moment où ce qu’ils concernent surgit » ! Wouhou ! J’en ferai pas un compteur mais ça m’a refait penser à mes tendres compteurs qui m’attendent à la maison. C’est suffisant pour remplir mon cœur de joie.
Tara se retrouve face aux objets démoniaques, dont les âmes rentrent en contact avec elle pour la supplier de faire en sorte qu’elles meurent et atteignent Outremonde plutôt que le roi des démons. Tara leur promet d’essayer, si elles acceptent de l’aider à lutter contre les démons, en ajoutant qu’elle fera en sorte de ne pas consommer trop de leurs âmes afin que les autres puissent mourir en paix. La Lance et l’Armure se transforment donc pour passer inaperçues, et Tara leur demande encore de limiter leur effet de mutation au contact de son corps.
« — Personne… personne, gémirent-elles, ne nous a demandé, personne n’a dit « s’il vous plaît, aidez-moi et je vous aiderai ». C’était toujours nous consumer, nous utiliser. Nous avons lutté, à notre façon, pour nous venger. Nous ne te ferons rien, tu nous aides, nous te protégeons. (Les âmes hésitèrent, cherchant le concept dans l’esprit de Tara.) Nous sommes amies.
Formidable. Voilà maintenant que Tara était copine avec une Lance et une Armure démoniaques. »
*prend Tara par le col* ma petite chérie. Ces êtres tourmentés acceptent de t’aider, ils retrouvent lentement la raison - mieux, ils te font confiance et vont jusqu’à vous qualifier d’amis, eux qui semblaient perdus pour la cause. Je sais que la force absurde du scénario est dans ton camp, que madame S.A.M. ne s’intéresse pas aux notions qu’elle écrit, mais si tu pouvais arrêter avec ce ton désinvolte, comme si sauver le cas désespéré d’âmes démoniaques relevait d’une banalité et pas d’un défi à la fois effrayant, essentiel et grisant, ça me ferait grand plaisir.
Sérieusement !! Dépasser les limites du monde, porter secours à son prochain, déterrer l’espoir là où il semblait enfoui hors de portée de tous, envers et contre tout, ça tire vraiment rien à cette meuf ?? Si Tara était un personnage cachant ses émotions derrière le sarcasme, ces deux petites phrases moqueuses ne m’auraient rien fait, j’aurais compris ça comme un coping mechanism du personnage. Pareil, si Tara venait de découvrir Autremonde et qu’elle était distante des implications du lien qu’elle a créé avec les Objets, ce serait compréhensible qu’elle n’ait pas d’empathie. Mais elle sait ce que sont les Objets démoniaques ! Elle le sait si bien qu’elle a tenté de leur aménager un environnement apaisant ! Elle les traite déjà comme des êtres conscients ! Ces deux phrases ironiques dans la narration ne suggèrent rien, c’est juste un moyen de rire parce que « oh bah dis donc une armure et une lance qui me demandent mon amitié, c’est cocasse ». Oui, sauf qu’en-dehors du grotesque de la situation, ça n’a rien de drôle, en fait.
Du coup, je ne peux pas prendre au sérieux le paragraphe suivant, où Tara se dit que les âmes n’ont pas eu le choix dans leur conception et méritent la pitié. Encore une fois, sa relation à elles est crade. Tara ne peut pas traiter de monstres ceux qui les ont manipulées alors qu’il y a quelques chapitres, elle leur signifiait qu’elle pouvait les laisser à un sort de vide éternel si elles ne l’écoutaient pas ! Et la placer en sauveuse de leurs vies de façon si désinvolte, juste… non ! Merde, enfin !
Bref, Tara enfile la version modifiée de l’Armure, devenue des bijoux, et empoche la Lance, devenue un stylo. Elle note que ça ne lui fait pas d’effet, puis passe les Gardiens (ceux-ci tentent un coup de pression, mais clairement l’autrice les a rétrogradés à des comic reliefs, ne vous attendez pas à ce qu’ils servent à quelque chose). A la suite de quoi, elle retourne à Tingapour.
Là-bas, elle est très distraite par la présence des Objets sur elle, craignant ce qu’elle a fait mais aussi de se faire repérer. Elle croise Robin à une réception, songe qu’il va falloir qu’elle lui avoue qu’elle sort avec Cal (j’insiste mais pour moi elle ne sort pas avec Cal, hein-), et puis, enfin, le scénario fait son grand retour.
En effet, à la réception se trouvent des Tadixiens et des Madixiens (habitants des deux Lunes d’Autremonde, ce sont des personnages qu’on a peu vus jusque-là, mais dont j’aime bien le charadesign). Lisbeth annonce l’arrivée des démons et qu'Archange a demandé Tara en mariage. Étant données les circonstances, elle précise que les démons ne seront pas reçus sur Autremonde même, mais sur Tadix. Et Tadix étant, apparemment, un genre de grand casino, ça risque d’être assez fun comme ambiance.
Je suis partante, pour être honnête.
« Elle voyait bien pourquoi Lisbeth avait pris cette décision. Il suffirait de détruire les Portes de transfert entre Tadix et AutreMonde pour que les démons soient piégés sur le satellite. Mais connaissant Lisbeth, Tara subodorait qu’il y avait une demi-douzaine d’autres raisons pour justifier ce choix. Qu’elle allait vite découvrir en tirant les t’sils du nez de sa tante. »
« J’ai remplacé un mot de cette expression par un terme Autremondien, du coup c’est bon, c’est une expression Autremondienne ! » : 2
Oui, j’ai uniquement copié collé ce passage pour ça. Et aussi pour le paragraphe hilarant qui suit :
« Elle sourit intérieurement. Plus le temps passait, et plus elle s’apercevait qu’elle utilisait des expressions AutreMondiennes. Quelques années plus tôt, elle aurait pensé « tirer les vers du nez ». Maintenant, spontanément, elle pensait aux redoutables t’sils verts. »
Parce que bien évidemment, les expressions autremondiennes et françaises sont calquées les unes sur les autres !
Pourquoi est-ce que je dis “françaises” ? Parce que d’un pays à l’autre, les façons de parler divergent, même traduites. Par exemple, là où en France on dit “Serre-moi la pince” pour parler du fait de se serrer la main, au Cameroun, l’expression signifie littéralement “Casse-moi l’os”. En l’occurrence, pour l’expression présente : en Allemagne et en Angleterre, on utilise des expressions similaires pour dire “extirper la vérité à quelqu’un” (même si on dit to worm a secret out of somebody en Angleterre, ce qui signifierait plutôt “se tortiller comme un ver pour aller chercher la vérité de quelqu’un”. Par contre on dit bien jemandem die Würmer aus der Nase ziehen, en Allemand, ce qui, là, veut dire “tirer les vers du nez de quelqu’un”). En Italie, par contre, on dit “Scalzare uno”, ce qui veut dire “déchausser quelqu’un”.
Pourquoi autant pinailler pour une question d’expression ? Parce qu’inventer des expressions saugrenues d’Autremonde sans tomber dans la facilité de “détourner une expression française à la mode Autremonde” aurait été une façon ludique et simple d’approfondir le lore d’Autremonde sans être lourdingue. En soi, madame S.A.M. le fait un peu dans le livre : “filer plus vite qu’un kré-kré-kré ayant repéré une salade fraîche” n’est pas une expression qui se calque sur quelque chose que je connais. C’est juste dommage que ce passage suggère qu’Autremonde et la France ont les mêmes expressions.
Et pourquoi dire “La France”, encore une fois ? Parce qu’il y a eu un souci semblable plus tôt avec “tomber dans les miams”, c’est-à-dire “tomber dans les pommes”. Pour dire qu’on s’évanouit, je n’ai pas trouvé d’équivalent à “tomber dans les pommes” en allemand ou en anglais, ni particulièrement ailleurs, donc quelque chose me dit que madame S.A.M. se base en grande partie sur les expressions déjà connues en France.
Bref, je vais être mesquine, mais puisque les terriens ne sont pas supposés être au courant de l’existence d’Autremonde et des sortceliers, à part une poignée de personnes dans les gouvernements, ça veut dire que ce sont les expressions d’Autremonde qui sont repompées de la Terre, et non l’inverse. Chaar.
Donnnc, sur cette note linguistique, continuons.
“Plus le dîner avançait et plus Tara se sentait fébrile. Comment allait-elle réagir ? Cal emplissait son cerveau et elle n’arrivait tout simplement pas à voir plus loin que minuit. […] Et puis, c’était un si total revirement de tout ce qu’elle avait vécu jusqu’ici avec Robin, dont elle était persuadée qu’il était son grand amour, qu’elle avait un peu de mal à conceptualiser Cal en petit copain.
Rien à faire, son cerveau bloquait. Cal en gamin farceur, oui, Cal en prodigieux Voleur, oui, Cal lui sauvant la vie un demi-millier de fois, oui… mais Cal l’embrassant… c’était plus dur à passer. Pourtant, lorsqu’il l’avait tenue dans ses bras, cela lui avait paru parfaitement naturel. Comme si leurs deux corps s’étaient reconnus.
Sauf que dès que Cal était loin d’elle, tous ses doutes revenaient au grand galop. À croire qu’ils n’attendaient que ça pour la torturer. Comme si elle n’avait pas assez de soucis comme ça !”
Ouaip, bah ça confirme mon idée que l’attirance de Tara pour Cal est purement physique. C’est d’autant plus creepy que Cal pense savoir mieux qu’elle ce qu’elle éprouve pour lui.
À la fin du repas, Lisbeth signifie à Tara de la suivre. La narration indique qu’il est à peu près minuit, l’équivalent de 22h sur Terre, puisque sur Autremonde les jours comptent 26h. Je trouve que ça porte à confusion, au pire dites qu’il est 24h on vous en voudra pas, surtout qu’on dit “minuit” pour indiquer mi-nuit, la moitié de la nuit, ici ça a pas de sens de dire “minuit” alors que c’est pas la moitié de la nuit... ? Fin bref.
“Mais, fidèles à leur habitude, elles ne dirent rien, à part saluer les gens qui se trouvaient encore dans les couloirs, allées et parcs du palais en dépit – ou à cause – de l’heure tardive”
« Elles ne dirent rien à part saluer »... ? « À part pour saluer », peut-être, non... ?
Wouw, combo de gros pinaillage, veuillez m’excuser, je suis en forme. Allez, on va y aller plus doucement, je vais arrêter de faire des remarques toutes les quelques lignes sinon je sens qu’on ne va pas en finir.
Donc il fait nuit, et le palais est baigné par la lumière argentée des lunes, et argh putain une phrase qu’il faut que je critique en approche-
« Sous cette lumière flatteuse, le teint de l’Impératrice prenait une teinte parfaitement blanche, comme si elle était faite de porcelaine et non pas de chair et de sang. »
Ton teint qui prend une teinte blanche il aurait pas un dictionnaire des synonymes qui traîne quelque part sur lui par hasard ?
Bon allez cette fois j’arrête. En vrai c’est mesquin de ma part de m’appesantir sur ça, mais je n’aime pas quand ce genre d’erreurs qui sautent aux yeux passent dans les bouquins publiés. Après, je me permets cette pause pour souligner que malgré toutes mes remarques, en terme de rédaction et de contenu, madame S.A.M. n’est pas la pire créatrice qui soit, loin s’en faut. Je crois que je m’arracherai plus que les cheveux si je devais faire le même exercice avec du Vivès, parce que son contenu est littéralement inqualifiable et que je n’aurais pas l’énergie mentale pour une chose pareille. En terme de rédaction, je ne sais pas ce qu’elle fait d’autre, mais j’ai un fort souvenir du Manoir d’Evelyne Brisou-Pellen, une des rares séries que je me suis refusée de continuer parce que je détestais le style d’écriture. J’en parlerais peut-être un jour, mais selon mon appréciation personnelle, c’est catastrophique. Ce n’est pas pour autant qu’il faut hausser les épaules face au contenu que madame S.A.M. produit, mais je me permets de le souligner ici vu que j’ai été très critique dans les paragraphes précédents.
Quoi qu’il en soit, Lisbeth et Tara vont dans la chambre de Lisbeth. Cette dernière se… met en pyjama, for some reason (j’veux dire gros mood hein, si je pouvais être en permanence en pyjama je me gênerais pas, go girl), et elles poursuivent leur discussion.
Tara relève le choix d’aller faire l’accueil des démons sur Tadix, et dit que c’est plutôt habile, pour la même raison que celle déjà donnée précédemment (c’est-à-dire qu’en cas de problème, les Portes de Transfert pourront être détruites facilement, interdisant l’accès à Autremonde aux démons).
Lisbeth réplique que ce n’est pas l’unique raison : en effet, elle est sûre que tout le monde va mourir à Tadix !
Coupure fracassante.
Bravo, tu m’as profondément et irrémédiablement choquée (pas du tout) avec cette déclaration ahurissante semblable à toutes celles qu’on a vues précédemment, maintenant ramène-moi ce que tu entends par là, Lisbou.
« Tara en resta bouche bée. En fait de déclarations fracassantes, celle-ci méritait une médaille. »
Trop smart le bouquin, genre il a repéré ses propres tendances lourdingues, ça les rend moins lourdingues du coup ! (pas du tout)
Lisbeth se reprend en précisant qu’elle évitera au possible que les gens meurent, mais qu’essentiellement, elle a trouvé un point de chute pour éviter davantage de problèmes avec les démons. La solution a été de piéger la planète entière.
Je… ne vois pas ce que tu vas déclencher à part davantage de rancœur chez les démons dénués de leurs chefs, mais c’est une décision, je présume.
Le chapitre se termine sur cette note très confuse. Il m’a pris du temps, le chapitre était relativement long, partait dans différents sens et j’ai été pas mal occupée. Je me rends compte en revenant au début du chapitre pour en évaluer la longueur qu’on y a à peine vu Mara. Malheureux, mais bon, c’est comme ça. Le prochain chapitre se concentrera sur Lisbeth, dans la continuité de celui-ci, je présume !
À la prochaine, et j’espère au plus vite ! :D
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Coucou toi! Enfin, je me décide à oser faire une petite demande d'avatar dans le coin pcq bcp trop fan de tes créations snif donc envie d'en porter un peu.♡ Ce serait pour Anya Chalotra, une petite frappe impulsive et colérique travaillant pour une orga trempant dans l'illégalité en tant que voleuse et qui participe à des combats illégaux - et de rue, donc qui se retrouve souvent amochée... A une peur panique de l'abandon, un goût extrême pour la douleur ainsi qu'un piètre instinct de survie. Je te mets un moodboard ainsi qu'une playlist si utiles, et puis une petite galerie (pas très remplie je m'en excuse (cdc pour la 3e img si jamais..)) en espérant qu'elle t'inspirera quelque chose à l'occasion. Merci pour la considération, j'espère aussi avoir bien fait les choses bc première fois que je fais ça mdrrrr. Bonne journée/soirée!♡
Hello par là
DEJA
merci pour tes mots !! Franchement t'imagines pas à quel point ça me fait plaisir de lire ça... Moi qui ai pas du tout la moindre prétention d'avoir un quelconque public, savoir que ce que je fais plait, c'est genre... Ca a refait ma semaine quoi !
Du coup j'ai tenté quelques trucs et je suis même allé voir ta fiche pour la lire (j'ai failli venir sur le fo à son ouverture et en lisant ton message la vibe de ton perso m'a troooop dit quelque chose fallait que j'aille vérifier)
BREF, comme d'hab, si jamais quelque chose ne te plait pas hésite pas à me le dire ! Y'a aucun soucis ! Et si tu veux que je modifie quelque chose hésite pas non plus!
Encore merci pour ce message et ta commande !
Bonne soirée!
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S4 - TV, Fr2
En début de Saison 4, Melissa et Gaëlle sont désespérément seules. Cyril et Franck sont repartis en métropole. Mais, surprise, lors d’une enquête, Melissa tombe sur Cyril, secrètement revenu en Martinique pour infiltrer l’univers d’un homme d’affaire impliqué dans divers trafics. Entre danger et trouble amoureux, les deux infiltrés sont démasqués et Melissa va sauver Cyril de la mort. Ils retombent dans les bras l’un de l’autre, mais le retour de Pascal, l’ex-mari de Melissa, tout juste sorti de prison, bouleverse leur amour. Melissa va tout faire pour résister aux manipulations de son ex-mari…
Ce n’est pas à un homme que Gaëlle sera confrontée, mais à une petite voleuse de 15 ans, Thaïs, qu’elle surprend en train de cambrioler un bateau. Gaëlle la remet aux services sociaux mais la jeune fille fugue à nouveau et demande à Gaëlle de la garder provisoirement avec elle… Drôle de cohabitation pour Gaëlle qui doit apprendre à assumer un peu d’autorité et de responsabilité vis-à-vis de l’adolescente. Gaëlle semble transformée par cette nouvelle expérience mère-fille, mais le bruit court qu’elle est menacée : un contrat serait conclu sur elle…
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