#La Fille Aux Étoiles
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Pour Marie Christine
La fille aux Étoiles
Une fée, Deux Fées, trois Fées
Cent mille Fées coude à coude
Merveilleusement coiffées
Arrivent à Hollywood. C'est pour toucher la poupière
Chacune comme il se doit
De la fille de Jean-Pierre
Avec le bout de leurs doights
Pour cette fête enfantine
Nous nous sommes en allés
Aurpès de Marie Christine
Dans son pays étoilé.
Jean
🧚🏻♀️🧚🏻♀️
For Marie Christine
The girl with the stars
One fairy, two fairies, three fairies
One hundred thousand Fairies shoulder to shoulder
Wonderfully styled
Arrive in Hollywood. It's to touch the eyelid
Each as it should be
From Jean-Pierre's daughter
With the tips of their fingers
For this childish party
We left
Next to Marie Christine
In her starry country.
Jean
🧚🏻♀️🧚🏻♀️
Beautiful poem/song Jean Cocteau wrote the 4th April 1946 for celebrate Tina's birth. Jean Cocteau was friend of Tina's parents.
This poem was published in 2002 Cine Zine Zone magazine and has bee shared by @74paris, thank you very much 🙏🏻 I made a rough translation...
#Tina Aumont#1946#muse#La Fille Aux Étoiles#Jean Cocteau#Cine Zine Zone#2002 Cine Zine Zone#Tina Aumont's collection#collaboration
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
#undertale#au#ua#killer#aim sans#nuisance#nuisance sans#killer sans#birthday#and I only realize after 2 days that I forgot to make tags ('•w • )#of course Nightmare will know... probably
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Parallèle Episode Origines (S1) & Spécial Londres
(les vidéos sont dans mon tweet)
La saison 1, c'était le commencement, la découverte de leurs pouvoirs, la première rencontre avec le Papillon. Ils ne savent pas encore ce qui les attend. Le ton est plus léger, le Papillon n'est qu'un inconnu, un super vilain sans identité à empêcher de nuire.
Ladybug se tient debout sur la Tour Eiffel en plein jour, devant une foule de gens et les chaînes de télévision nationales (et devant un Chat Noir ébahi avec des étoiles dans les yeux). Sûre d'elle, elle défie le Papillon d'une voix forte, qui porte.
A ce moment-là, elle s'adresse tout autant à la foule qu'à elle-même : elle leur (se) fait une promesse. C'est à ce moment qu'elle accepte pleinement son rôle. Elle est Ladybug.
Ce n'est pas un hasard si Marinette revient à l'épisode Origines pour récupérer son Miraculous dans le Spécial Londres (outre le fait que c'est un moment qui ne perturbe pas le cours du temps).
C'est un retour aux sources. Un récit initiatique. Elle contemple le chemin parcouru depuis ce jour-là, ce jour où elle ne se sentait pas capable d'être Ladybug et où elle est finalement devenue cette super-héroïne sans plus jamais regarder en arrière malgré toutes les difficultés rencontrées.
L'épisode spécial Londres, lui, symbolise la fin d'un arc narratif, une conclusion (qui n'en est pas vraiment une), et cristallise de nombreux rebondissements qui vont se répercuter violemment sur les prochaines saisons.
(Le calme avant la tempête, huile sur toile, 2024)
Chronobug rencontre le nouveau Papillon pour la première fois, mais contrairement à l'épisode Origines, elle l'affronte seule, sans Chat Noir, dans une pièce exigüe plongée dans le noir, sans aucune audience, et en chuchotant.
L'insouciance de l'épisode Origines a été remplacée par l'expérience, et surtout par le poids de l'année écoulée et son lot d'angoisse et de responsabilités écrasantes et bien trop lourdes pour les épaules d'une jeune fille de 14 ans.
Et pourtant, son discours est sensiblement le même. On retrouve la même assurance, la même conviction dans sa voix qu'à ses débuts : nouveau Papillon ou pas, elle sera toujours là pour faire régner l'ordre et la justice et pour lui mettre des bâtons dans les roues. Tout comme elle l'avait promis au précédent Papillon, elle vaincra ce nouvel ennemi quoi qu'il arrive.
#miraculous ladybug#miraculous#adrien agreste#marinette dupain cheng#chat noir#ladybug#miraculous spoilers#ml thoughts#ml analysis#ml spoilers#miraculous special#miraculous special london#miraculous word#miraculous london#mlb spoilers#miraculous london spoilers#miraculous ladybug origines#miraculous floconfettis
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Si vous me cherchez Vous ne me verrez pas dans les grands magasins, parmi la foule assoiffée de biens matériels. Je préfère le calme de la forêt, ou la sérénité des vieux cimetières isolés, pieds nus dans l'herbe, attentive aux bruits des branches qui se meuvent sous la brise, aux chants des oiseaux qui sonnent comme une mélodie harmonieuse, aux vols des papillons, petits clins d'œil des défunts... Vous ne me trouverez pas dans les centres aquatiques ou de thalassothérapie. Je me baigne dans les rivières ou la mer, parmi les êtres de la nature. J'adore le bruit des vagues s'échouant sur le sable, le massage des courants plus ou moins chauds ou froids sur mon corps. J'aime observer le parcours de l'élément eau que rien n'arrête. L'eau contourne les obstacles, les dépasse, et poursuit sa route sans se poser de questions. Vous ne me croiserez pas à des spectacles sons et lumières, bondés de monde et de nuisances sonores. Je serai sous les rayons de la pleine lune, me remplissant de ses douces énergies, en scrutant les étoiles où résident mes frères galactiques. Enveloppée de l'obscurité de la nuit, je ferai face à la lumière de la reine des astres, me rappelant mes origines stellaires. Vous ne m'apercevrez pas sous les projecteurs, sous les stroboscopes, au contact d'une population déchaînée. Je préfère les crépitements du feu de bois, la danse de ses flammes, ses messages, sa chaleur. Le son du tambour, aligné sur les battements de mon cœur. La communion avec les éléments et les différents plans. Je suis fille du feu, de la terre, de l'eau et de l'air. Femme sur Terre, une âme de l'Univers. Je suis tout et rien à la fois. L'œil du cyclone au cœur de la tempête, la pluie, le beau temps, l'arc en ciel, l'orage et l'ouragan.
Patou Llech
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L'hybride
Dans l'obscurité du Palazzo di Volturi Altheïana Swan, la sœur aînée d'Isabella, se tenait aux côtés d'Aro. Leur amour était aussi intense que dévorant, défiant toutes les lois et les préjugés du monde surnaturel dans lequel ils évoluaient.
Lorsque Altheïana tomba enceinte de leur enfant, une lueur de joie mêlée de peur éclaira les yeux d'Aro. Il savait que la grossesse d'une humaine portant l'enfant d'un vampire était un miracle aussi rare que dangereux. Aro était surprotecteur envers Altheïana, craignant que le poids de cet enfant hybride ne la tue.
Chaque jour, il veillait sur elle avec une inquiétude palpable, ne laissant aucun détail lui échapper. Il l'entourait de soins et de tendresse, veillant à ce qu'elle reste en sécurité et en bonne santé.
Malgré ses craintes, Altheïana restait forte et déterminée, soutenue par l'amour inconditionnel d'Aro. Elle savait que leur enfant était un symbole de leur amour et elle était prête à tout pour le protéger.
Les mois passèrent et la grossesse d'Altheïana progressait. Chaque battement de son cœur résonnait comme une douce mélodie pour Aro, lui rappelant à quel point elle était précieuse pour lui.
Enfin, le moment tant redouté arriva. Altheïana mit au monde une petite fille en parfaite santé, prénommée Lilith. Les premiers pleurs de l'enfant remplirent la pièce d'une douce musique, apportant un soulagement infini à Aro. En un instant, le nouveau père transforma sa compagne et après qu'il se soit assuré qu'Althéïana suive son chemin, il prit sa petite fille contre lui.
La naissance de Lilith scella leur amour encore un peu plus fort. Aro savait à présent que rien ne pouvait les séparer, que leur famille était leur plus grande richesse.
Et alors qu'il tenait sa fille dans ses bras pour la première fois, Aro sut qu'il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour protéger Altheïana et Lilith, pour les aimer et les chérir pour l'éternité. Dans l'obscurité de leur monde, leur amour brillait comme une étoile, guidant leur chemin vers un avenir rempli de promesses et d'espoir.
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J'ai terminé "La maison aux sortilèges" d'Emilia Hart et j'ai adoré !
Je n'ai pas bien profité de la fin parce que c'est toujours à ce moment-là que l'ensemble du monde qui se tient habituellement autour de moi décide de venir gesticuler devant mes yeux, poser des questions, faire du bruit en mangeant ou simplement être là alors que je voudrais que tout disparaisse mais bon c'est contraire à l'usage quand on ne vit pas dans une grotte.
L'histoire se déroule sur 3 époques, et on rencontre trois femmes fortes. D'abord Kate en 2019, qui quitte un conjoint violent alors qu'elle est enceinte, elle se réfugie dans une petite maison à la campagne, léguée par sa tante. Il y a aussi Violet en 1942, une adolescente très proche de la nature, mais vivant avec un père riche et plus proche des convenances que du bien-être de sa fille. Et enfin Altha, dont on lit le journal datant du 17eme siècle et commençant par relater son procès pour sorcellerie.
Petit à petit, on apprend ce qui lie les trois femmes, cette puissance qui va pousser Kate à mieux se connaître, Violet à déterrer presque littéralement des secrets de famille et Altha à enfreindre la promesse faite à sa mère.
J'ai lu rapidement les 430 pages, on ne se prend pas la tête, on est face aux problématiques que les femmes vivent depuis des siècles. Altha, Kate et Violet sont des warriors au milieu de tout ce qui voudrait que les femmes marchent droit. Il y a des petites touches de magie çà et là et moi j'aime bien ça.
⭐⭐⭐⭐⭐ totalement 5 étoiles.
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La Danseuse
Par un jour, la cour du prince convia une danseuse
Accompagnée de ses musiciens.
Elle fut présentée à la cour,
Puis elle dansa devant le prince
Aux sons du luth, de la flûte et de la cithare.
Elle dansa la danse des étoiles et celle de l’univers ;
Puis elle dansa la danse des fleurs virevoltant dans le vent.
Et le prince d’être subjugué.
Il la pria de s’approcher.
Elle se dirigea alors vers le trône
Et s’inclina devant lui.
Et le prince de demander :
« Belle femme, fille de la Grâce et de la joie, d’où vient ton art ?
Comment peux-tu maîtriser la terre et l’air dans tes pas,
L’eau et le feu dans ta cadence ? »
La danseuse s’inclina de nouveau devant le prince et dit :
« Votre Altesse, je ne saurais vous répondre,
mais je sais que :
L’âme du philosophe veille dans sa tête.
L’âme du poète vole dans son cœur.
L’âme du chanteur vibre dans sa gorge.
Mais l’âme de la danseuse vit dans son corps tout entier. »
Khalil Gibran
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Bouteille à la mer
Hello Tumblr !
J'ai un problème : je ne supporte pas/plus mon coloring, je boude photoshop, et je supporte à très petite dose de porter mes propres avatars. Seulement voilà : certains de mes fcs manquent cruellement de ressources récentes (voire de ressources tout court), voilà pourquoi je viens par ici dans l'espoir qu'une de mes poupées saura t'inspirer ! Toutes sont jouées sur MEGAVERSE (tw : hp), pour le contexte rapide (je sais que beaucoup aiment avoir un peu de "fond" pour l'inspi !)
(fantastique multi-dimensionnel, inspirations hp, sense8 et +) Une pluie d'âmes-étoiles traverse les mondes : longtemps l'équilibre demeure imperturbé, mais l'avènement d'un nouveau millénaire fait basculer la balance. Sur l'île magique d'Elysium, un laboratoire sorcier libère après son explosion des milliers de particules magiques, contaminant certains non-mages de pouvoirs divers, et ouvrant une brèche sur une dimension parallèle, où l'île de neferis, jumelle d'elysium, vit sous le joug des moldus...
Concernant les demoiselles en question : (clique sur le fc pour la galerie hihi)
kawai ruka - jazz vixen ( NOTION + PINT )
Non-mage de la dimension de Terre-2, Neferis, contaminée, pouvoir à la Malicia de x-men - absorption de magie/d'énergie vitale, Jazz est obligée de porter des gants depuis qu'elle a plongé un de ses camarades de lycée dans le coma par accident, le jour où elle a découvert son pouvoir.
Joueuse ardue de l'univers MIRROR (réalitée virtuelle ultra futuriste, à la ready player one), seul endroit où elle peut s'évader de sa réalité, elle fait partie d'un groupe de joueurs anonymes (ne connaissent que leurs alias mutuels et pas l'identité derrière)
Basically, elle se déteste
kang haerin - rym oesterwind ( NOTION + PINT )
Jeune aspirante dragonnière depuis un an, casse cou, toujours le sourire aux lèvres, toujours la première à foncer tête baissée (pour mieux finir avec quelques côtes fêlées). Empathique, tendre, optimiste.
En couple avec ses cinq âmes destinées, polycule - les aime tous de façon à la fois différente et égale, à la même intensité. Sans elleux, elle se sent incomplète.
madison beer - serafina crescent ( NOTION + PINT )
Fille d'un ambassadeur du peuple vélane auprès du magisterium, famille renommée pour leur beauté, leur charme et leur influence dans les cercles élitistes d'Elysium. Sa mère, elle, est à la tête d'un des plus grands réseaux immobiliers de l'île, à l'origine de certaines de ses résidences les plus belles/sécurisées.
Princesse ne connaît pas le "non" pour réponse, a toujours tout obtenu sur un plateau d'argent
Pour elle, on ne l'aime pas par choix, on l'adore simplement grâce à sa nature, les vélanes dotées d'une beauté envoûtante. à ses yeux, de ce fait, les relations n'ont pas la moindre réalité. elle est bien consciente de l'attrait qu'elle peut susciter et l'utilise à son avantage dans les contextes sociaux et politiques.
Sous le joug d'un maître chanteur avec son groupe d'amis depuis quelques mois (inspi hierarchy, je glisse au passage qu'on cherche toujours Azael dans ce groupe, sait-on jamais..... )
Voilà ! En espérant qu'une au moins t'inspire quelques avatars (ou de venir nous rejoindre sur MGV, je serai ravie de t'accueillir et te proposer des liens avec une de mes poupées !)
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Michel Berger
Michel Jean Hamburger, dit Michel Berger, est un pianiste, auteur-compositeur-interprète, directeur artistique et arrangeur musical français, né le 28 novembre 1947 à Neuilly-sur-Seine et mort le 2 août 1992 à Ramatuelle (Var).
Michel Berger, musicien français., Au milieu des années 1960, il commence sa carrière de chanteur et est présent sur la photo du siècle aux côtés des vedettes de la pop française.
En 1984, aux côtés de sa compagne France Gall pour un séjour à Rome., Tombe de Michel Berger et de sa fille Pauline, qui deviendra également plus tard celle de France Gall, au cimetière de Montmartre (division 29). & Allée Michel-Berger dans le parc Monceau.
Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux
Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux est une chanson écrite, composée et interprétée par Michel Berger sur l'album Différences sorti en 1985. Elle a été éditée en 45 tours l'année suivante. C'est la chanson phare de l'album et l'une des plus connues du répertoire de Michel Berger.
youtube
Celui-là passe toute la nuit A regarder les étoiles En pensant qu'au bout du monde Y'a quelqu'un qui pense à lui....
Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux — Wikipédia (wikipedia.org)
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Astrud Gilberto - THE GIRL FROM IPANEMA en 1965
Décès de la chanteuse Astrud Gilberto, l’artiste brésilienne, figure de la bossa nova, s’est éteinte à l’âge de 83 ans le 5 juin 2023, a annoncé sa famille «J’apporte la triste nouvelle que ma grand-mère est devenue une étoile aujourd’hui et qu’elle se trouve aux côtés de mon grand-père Joao Gilberto», également chanteur, mort en 2019, a écrit leur petite-fille Sofia Gilberto.
Née en 1940 à Salvador, dans le nord-est du Brésil, elle a été pendant plusieurs années l’épouse de Joao Gilberto, autre icône de la musique brésilienne. La «reine de la bossa nova», dont la discographie compte 19 albums, a immortalisé «Garota de Ipanema», de Tom Jobim et Vinicius de Moraes, en interprétant le refrain en anglais dans une version enregistrée à New York avec le saxophoniste Stan Getz, et intitulée «Girl form Ipanema».
Cela lui a valu de devenir la première chanteuse brésilienne à remporter un Grammy, avec le disque de l’année 1964. Éloignée de la scène depuis 2002, elle a vécu les dernières années de sa vie aux Etats-Unis
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roger taylor x french reader - fluff (sassy roger)
hi I wanted to post a snippet from a fanfiction we're writing on Queen with my best friend. but it's in french. (2205 words)
let me know if you'd be interested in me translating my work. :)
FR : pour ceux qui parlent français, j'avais envie de poster un extrait d'une longue fanfic qu'on écrit avec ma meilleure amie. Roger rencontre Jane pour la deuxième fois avant leur concert. (2205 mots)
On se mit en route tout en appréciant le silence entre nous. Le truc avec Mac, c'est qu'on avait pas toujours besoin de se parler, on était pas gênées par le silence, il nous faisait du bien, surtout quand on passait beaucoup de temps ensemble. Après une dizaine de minutes, nous arrivions dans le quartier universitaire où nous croisâmes pleins d'étudiants marchant dans la même direction que nous. Le tumulte autour de nous, la musique qu'on entendait du bar, les gens qui parlaient dans un brouhaha , tout ça fit monter en moi une certaine excitation. On s'engouffrait dans le couloir étroit placardé d'affiches pour des fêtes et autres événements qui prenaient place sur le campus. Je croisais quelques personnes que je connaissais de vue et je leur fis signe avant de rentrer dans la salle d'où la musique provenait. À ma grande surprise, la scène était vide des musiciens de la veille. Je reconnaissais leurs instruments, surtout la batterie avec le sourire dessiné dessus, mais la musique provenait de hauts-parleurs.
Le pub universitaire n'était pas particulièrement rempli, il était encore un peu tôt. Molly m'entraîna jusqu'au bar où elle commanda deux bières qu'on trinqua ensemble. Accoudée au bar, une fille que je ne connaissais pas s'approcha d'elle et elle commencèrent à discuter. Je jetai un coup d'œil à la scène, puis dans la salle, mais aucun musicien en vue, pas celui que je recherchais en tout cas. Je posai ma main sur le bras de Molly pour lui faire comprendre que je m'éclipsais sans l'interrompre dans sa discussion et partis avec ma pinte en main.
Je présumais qu'ils ne devaient pas être bien loin et j'entendais une certaine agitation dans le couloir. En sortant, toujours aucune trace d'eux alors je m'approchai d'une des filles que j'avais croisée plus tôt.
- Est-ce que tu aurais vu le groupe, par hasard ? lui souris-je.
La fille aux cheveux châtains me répondit qu'ils trainaient souvent à l'arrière du pub, tout en me pointant une sortie au bout du couloir. Je la remerciais et me mis en route vers la sortie. J'entendais déjà des voix provenant de l'extérieur. Je pris une gorgée dans ma bière amère et poussai la lourde porte en bois qui me fit atterrir dehors où quelques personnes étaient en train de fumer et discuter sous les étoiles. Il ne me fallut pas longtemps pour trouver celui que je recherchais ; une tignasse blonde accoudée sur le capot d'un van, en train de lui-même fumer. Il discutait avec, je présumais, les deux autres membres du groupe.
Je m'avançais sans trop y réfléchir vers eux tout en prenant quelques gorgées. Ils étaient tous les trois en pleine discussion sur leurs chansons lorsque j'arrivai à leur hauteur. Sans m'attarder plus longtemps, je m'approchais du type debout, tout en posant ma main sur son bras, je levai la tête pour regarder le grand brun.
- Excuse-moi, tu n'en aurais pas une pour moi ? lui dis-je en pointant la cigarette à ses lèvres.
Il acquiesça gentiment et sortit son paquet pour m'en tendre une que je pris avec ma main de libre pendant que le guitariste continuait de parler avec animosité. Cigarette en bouche, bière dans ma main droite, je tenais la cigarette entre mes doigts pendant que le chanteur sortit son briquet pour en allumer le bout. Il bloquait le vent avec sa main pour que la flamme cesse de s'éteindre. Pendant ce court instant où il était pleinement concentré sur ma cigarette, mon regard dévia sur ma droite et je croisais les yeux de Roger, qui était déjà en train de m'observer. Accoudé sur le van, il expirait la fumée de sa bouche tout en maintenant le contact visuel, et ce fut moi qui le brisai lorsque le briquet s'éteignit et qu'en inspirant je ressente le tabac remplir mes poumons. Alors, je reportai mon attention sur le chanteur.
- Merci pour la cigarette, dis-je en expirant la fumée avant de me détourner d'eux, sentant toujours un regard brûler sur moi.
Je marchais avec l'intention de rentrer à l'intérieur, mais je ne pus m'empêcher de sourire lorsque j'entendis une voix derrière moi accompagnée de pas qui me rattrapaient.
- Excuse-moi, dit-il alors que je me retournais vers lui.
J'inspirais un coup sur le tabac et nos yeux se rencontrèrent une seconde fois. Il avait le même regard mystérieux et intrigué qu'il m'avait lancé à peine quelques secondes plus tôt. Je me rendais compte que c'était la première fois que je l'avais vraiment en face de moi. Il n'était pas très grand, on faisait sûrement la même taille mais je portais des talons aujourd'hui, cependant ça n'enlevait absolument rien à son charme. J'étais surprise de voir que sa chemise était boutonnée de façon conventionnelle. Ça me rappelait la veille et la façon dont il était assis sur la chaise à côté de moi, comme si elle lui appartenait, comme si le pub entier lui appartenait. Évidement, je n'avais pas oublié ses cheveux blonds qui lui arrivaient jusqu'aux épaules, la première chose que j'ai recherchée dans la foule aujourd'hui.
- Tu es bien rentrée chez toi hier ? me tira-t-il de mes pensées.
Je fronçais désormais les sourcils tout en esquissant un léger sourire, pas certaine de la raison pour laquelle il me posait cette question.
- Je crois bien, oui.
- Tu crois ? à son tour de hausser un sourcil. J'ai dû te supplier de prendre un taxi car tu ne voulais pas rentrer, ria-t-il sans méchanceté.
D'un coup, la chaleur me monta aux joues, je me sentis gênée et mes souvenirs s'éclaircirent enfin. Le pub fermait, on avait trainé longtemps. Je refusais de partir et c'est lui qui m'avait trouvé le taxi. Je n'aimais pas être aussi ivre, surtout quand je me rendais ridicule devant des inconnus. Je baissais les yeux et riais de gêne, ne sachant pas comment me comporter après avoir appris qu'il m'avait vue dans un état pareil.
- Désolée, j'étais venue avec une amie, mais on s'est perdues de vue, puis on a discuté et je n'ai pas vu le nombre de verres que j'ai-
- Hey, c'est rien, t'as pas à t'inquiéter, dit-il en posant sa main sur mon épaule pour me rassurer. Ça nous arrive à tous.
Je ressentais la chaleur de sa main sur celle-ci de longues secondes après qu'il l'ait retirée.
- Tu as quand même décidé de revenir ce soir, fit-il en souriant, incapable de garder son sérieux.
Il détendit immédiatement l'atmosphère et je me laissais aller �� rire tout en relevant mes yeux vers le batteur.
- Merci en tout cas. Mais ne crois pas que je suis revenue pour toi, j'accompagne mon amie.
Il fit mine de regarder autour de moi.
- Tu parles de l'amie imaginaire d'hier soir ?
Il semblait amusé par ma mine à moitié agacée. J'eus un petit sourire en coin, lui aussi. Il rit un instant à peine et amena sa cigarette à ses lèvres.
- Je ne me rappelle pas que tu m'aies dit ton nom.
Pas un mensonge, puisqu'effectivement, je ne me souvenais pas l'avoir entendu me le dire.
- Alors, ça, ça m'étonne pas, ria-t-il, cette fois-ci plus fort.
Je le jaugeais du regard pendant quelques secondes. Il avait vraiment un beau sourire, mais je n'allais pas me laisser attendrir comme ça. Ne voulant pas réagir à sa moquerie, je tournai les talons pour marcher en direction de la porte. Je l'entendis marmonner, ce qui me fit bien rigoler et avant que je ne l'entende arriver, il me rattrapa et se posta devant moi, me bloquant le chemin et me tendant sa main.
- Roger Taylor.
- Enchantée Roger, lui répondis-je en serrant sa main. Jane Stonem.
Il hocha la tête, satisfait de ma réponse et lâcha ma main. On se regarda un instant, un instant où nos yeux étaient encore une fois braqués dans ceux de l'autre.
Du coin de l'œil, j'aperçus Brian arriver à notre hauteur et tapoter sur l'épaule de Roger pour lui faire signe que ça allait être à eux de jouer. Celui-ci lui répondit qu'il allait arriver.
- J'imagine que tu as mieux à faire que de venir nous écouter, alors.
- Si tu me vois dans le pub, c'est qu'on m'y a forcée.
Un autre rictus apparut sur son visage. Il me sourit une dernière fois avant de se retourner et de s'engouffrer à l'intérieur, en bousculant quelques personnes qui tentaient de rentrer. Je me souris à moi-même en pensant à l'échange étrange qu'on venait d'avoir en tirant une dernière fois sur ma cigarette. J'aperçus, au-dessus de ma tête, le ciel parsemé d'étoiles et j'écrasai le mégot sous mon pied pour rentrer à l'intérieur.
J'avais fini ma bière et je déambulais dans les couloirs avec une question en tête : où était Molly ? Mais je ne vis que quelques personnes accoudées au mur placardé d'affiches. La foule qui y était précédemment avait dû se réfugier à l'intérieur car, alors que je me rapprochais de l'embrasure de la porte, j'entendis des applaudissements, sifflements et encouragements, et l'instant d'après, le bruit de percussions qui résonnaient et une mélodie à la guitare électrique. En rentrant dans la salle tamisée, tous étaient tournés vers la petite scène, le son de la musique devint plus claire à mes oreilles. C'était une musique entraînante, mais pas agressive, qui jouait. Je fis balayer mon regard à travers le pub à la recherche de ma colocataire, mais elle n'était ni au bar, là où je l'avais laissée précédemment, ni dans la foule à priori.
Appuyée contre l'embrasure de la porte, mon regard continuait à balayer l'endroit jusqu'à ce que je m'attarde sur le groupe sur scène. Je remarquais évidemment le guitariste et le bassiste qui étaient debout, mais mon regard était attiré par le batteur. Bien qu'il était en retrait, c'était sa présence qui était la plus remarquable. C'était lui qui menait la danse en réalité, le chef d'orchestre, celui qui dictait le rythme. Ça lui donnait beaucoup de charisme. En plus de ça, je remarquais la façon dont sa concentration se traduisait dans ses expressions faciales. Il avait l'air parfaitement à l'aise avec son instrument, mais il se mordait parfois la lèvre inférieure. Je le voyais froncer les sourcils tandis que le rythme de la musique s'accélérait, d'une part car il se concentrait, mais aussi par plaisir. Il vivait la musique jusque dans ses expressions. Il était encore plus séduisant lorsqu'il jouait.
Soudain, alors que j'étais en train de le fixer depuis quelques longues secondes, il tourna sa visage et posa son regard sur moi. Le fait que j'étais en train de le regarder le fit sûrement sourire car je remarquais un rictus prendre forme au coin de ses lèvres. Il avait l'air satisfait et reporta son attention sur sa batterie tout en lançant quelques regards aux musiciens et à la foule tandis que la musique se terminait. Le blond tapa une dernière fois sur son instrument et lança sa baguette en l'air avec sa main droite.
Après les applaudissements de la foule, je le vis faire un signe de tête au guitariste comme pour donner un signal et une musique qu'ils avaient interprétée hier se mit à jouer. Le rythme donnait envie de bouger et j'aperçus la foule se détendre et commencer à danser. Je voulais me joindre au public alors j'ai retiré ma veste pour la déposer sur une des chaises à ma droite, là où j'avais déjà laissé mon verre vide.
Je me frayais désormais un chemin entre les gens, voulant me rapprocher de ceux qui dansaient déjà afin de les rejoindre. La musique résonnait plus fort et le public au devant de la scène bougeait sur le rythme de la batterie. L'idée que c'était Roger qui contrôlait la cadence à laquelle nos corps bougeaient me donna envie de lui jeter un coup d'œil. Ma surprise fut plus grande lorsque je me rendais compte qu'il était déjà en train de m'observer, alors que j'étais en contre-bas de la scène, en train de laisser aller mon corps. Je soutins son regard tout en bougeant légèrement la tête. Son expression n'était plus joueuse, ni la mienne d'ailleurs. Il n'y avait pas l'ombre d'un sourire, juste une intensité dans son regard qui me rendait fébrile, bien que je continuais à le regarder comme si j'étais hypnotisée. Je fus la première à briser cet échange de regards en fermant les yeux, me laissant entrainer par la musique. Je sentais la chaleur des corps qui se bousculaient autour de moi et qui me donnaient encore plus envie de bouger. En rouvrant les yeux, son regard brûlait toujours sur moi, mais il le redirigea bien vite sur son instrument, tout en entre-ouvrant légèrement la bouche. La mélodie arriva à sa fin et mon corps, toujours bercé par la musique, ralentissait sa danse.
- Merci à tous d'être là ce soir ! dit le chanteur. Nous avons Brian May à la guitare, Roger Taylor à la batterie, et moi-même, Tim Staffel, à la basse !
Les cris et applaudissements furent francs. Je me souvins à l'instant que je n'avais toujours pas retrouvé Molly et je jetai un coup d'œil derrière moi. Je l'aperçus en train d'applaudir près du bar, un peu en retrait. Contente de la voir, je souris et me mis à marcher en sa direction, mais je jetai tout de même un dernier coup d'œil vers la scène, d'où Roger me regardait.
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Démocratie / religion : un couple inséparable ?
Pendant ces dernières vacances, j'ai eu la chance de lire un livre récent de Hartmut Rosa, ''Pourquoi la démocratie a besoin de la religion''. Ce bouquin m'a transporté au septième ciel (Petit rappel, pour sourire : les astrologues babyloniens avaient découvert que six étoiles semblaient hors de l'organisation de la ''voûte céleste'' (alors dite ''fixe'') : Soleil, Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne avaient donc été associées, chacune, à un ''ciel'' spécifique. Cette image a été reprise par Ptolémée, et jusqu'à Copernic... Puis les sexologues ont détourné ce ''septième ciel'' vers d'autres cieux…).
Hartmut Rosa est un des sociologues majeurs de la modernité. Largement inconnu en France (il n'est pas assez ''de Gauche'' pour l'être, puisqu'il a formulé de grandes réserves sur la modernité –qu'il critique, ce qui est un péché mortel contre la doxa, ceci expliquant cela !), c'est un disciple de Habermas dont Il partage la vision d'un capitalisme prédateur. Mais s'il poursuit des rêves de justice et d'émancipation, il refuse la mode qui voit la solution à tous les problèmes dans la seule critique du catholicisme, qui était si ''prégnant'', il y a 250 ans, que les Lumières en avaient fait l'ennemi à abattre (''Ecrelinf'', écrasons l'infâme, écrivait Voltaire...). Au moment où il ne représente plus aujourd'hui que 2 % de la population française, les fils des prétendues ''Lumières'', définitivement éteintes, ne voient même pas l'anachronisme de toutes leurs prises de position ! Mon Dieu (si j'ose dire ça en leur présence) ! Sont-ils périmés !
Les lecteurs réguliers de ce Blog ont tout de suite compris pourquoi ce livre m'a tellement séduit : depuis notre n°1, le 15 novembre 2013, je n'ai jamais caché ma croyance profonde que le retour aux fondamentaux chrétiens –sources profondes de la civilisation dite occidentale, fille d'Athènes, de Rome et de Jérusalem-- pouvait encore sauver le monde de sa chute vertigineuse actuelle.. idée dans laquelle je persiste, même si je me sens souvent bien seul et en opposition avec ''ce qui est à la mode et que les pouvoirs officiels font croire vrai'', càd. avec cette doxa-du-jour qui égare tant de braves gens, contaminés par cette pathologie tellement plus mortifère que les ''fake-pandémies'' (genre covid) dont nous gavent les médias ''main stream'' (ce terme désignant les destinataires des subventions de l'Etat, donc les suppôts de la mensongère ''vérité officielle''). Vous imaginez mon bonheur devant cet ''essai'' stimulant, à contre-courant de toute la pensée officielle (donc dépassée, par définition : le temps que leur fatras conceptuel atteigne leur lobe droit... l'info est obsolète !).
Le ''script'' est d'une simplicité... biblique : face à une accélération sociale toujours plus agressive pour les individus comme pour les groupes humains, Hartmut Rosa affirme que la religion offre une sorte d'antidote à ce mouvement de destruction de l'individu qui est une tendance lourde de notre monde en marche vers sa fin programmée --et apparemment voulue par certains. Pour lui, la religion –et plus particulièrement son rameau chrétien (nous y reviendrons)-- favorise une manière ''d'être au monde'' qui rejette les excès de contrôle, de domination et de normes inutiles, pour ''se tenir comme un cœur qui écoute...'' comme le dit la prière de Salomon...
Son point de départ est la constatation du mécontentement (en voie de généralisation) qu'engendre notre mauvaise habitude de ne plus voir, juger et évaluer le monde qu'en termes et en fonction de critères économiques (en France, nous en vivons un exemple permanent : nous sommes condamnés à survivre dans un monde où le discours de Macron et de Le Maire sont les références prépondérantes. Quel désastre !). Rosa explique :''Le sentiment que ''ça ne peut pas continuer comme ça'' est devenu culturellement dominant... et il ne débouche sur rien que la violence et le chaos...''.
(NB : on le vit ''H 24'', avec l'appel à l'aide de nos paysans qui demandent respect, considération, écoute, fin des idées absurdes (donc de l'emprise néfaste des malfaisants de Bruxelles) et restitution de leur dignité volée... et à qui on répond : 50 millions d'Euros ici, 30 millions là et 20 ailleurs... en leur vantant les beautés de l'Europe et de la Norme.. comme ne peuvent s'empêcher de le faire Macron et Attal, jetant ainsi de l'huile sur le feu, en plein drame civilisationnel... ).
Devant ce grand doute collectif, H. Rosa parie que ''la religion peut aider à retrouver ce dont nous avons vraiment besoin'' et veut quitter les modalités de l'agression-seule-solution-possible, en retrouvant un iso ''pari de Pascal'' : ''Qu'est-ce que j'y gagne, moi ?'' Et ''Qu'est-ce que cela me coûte / me rapporte'' ?... ce qui invite et incite à la redécouverte d'une attitude résolument ''autre'', tournée vers le bien-être inhérent à se laisser parcourir par un autre souffle. Dans cet essai audacieux, le sociologue nous invite à envisager volontairement que la voie que nous avons choisie et privilégiée n'est sûrement pas la seule, et sans doute loin d'être la meilleure. Lui, offre, en un mouvement contraire, la ''face lumineuse'' de la religion –en espérant la guérir de ses pathologies, qu'il estime plus facilement guérissables que … tout ce qui ne va pas dans le bon sens dans le système actuel.
En tout état de cause, son analyse ouvre la porte à de nouvelles possibilités de dialogue entre croyants et non-croyants... et rien que l'espoir de ce seul authentique progrès justifierait qu'on donne sa chance à ce ''on ne l'a plus essayé depuis des siècles... On dit Chiche ? Il y a, depuis peu, tant de pays qui s'ouvrent enfin à un retour de l'intelligence dans les systèmes politiques que si on ouvrait cette porte hermétiquement interdite par des idéologies dont pas une seule n'a réussi, jamais, même un peu... ça n'irait sans doute pas plus mal, et peut-être même mieux. Après tout, tout va si mal qu'on n'a pas grand chose à perdre ! Il suffit de voir à quelle vitesse le rouge et le rose disparaissent de notre ciel –et ''c'est pas trop tôt !''-- pour avoir envie de se remettre à croire à nos lendemains... Merci, Monsieur Rosa !
H-Cl.
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Star Ac' et pipes à crack.
Je ne vais pas mourir aujourd’hui. Je le sais car j’ai demandé au pendule que Clotilde m’a offert samedi dernier. Par contre le con il a pas sû me donner la date de mon rendez-vous avec la Fin. Vraiment ça sert à rien ce machin. En revanche ce que je sais c’est qu’hier soir j’ai senti sous mes doigts une petite bille dans mon sein gauche, ou c’est le droit. Gauche par rapport à qui. Ça y est je m’embrouille. Bref, un truc qui n’a rien à faire là où je l’ai trouvé. Parce que les billes normalement on joue avec dans la cour quand on a 8 ans, on est pas censés les ranger dans ses nichons quand on en a 35. Enfin en 1972 je veux dire, les billes, parce qu’aujourd’hui j’imagine plutôt les pré-ados jouer aux mikados avec des pipes à crack. Fissa j’ai pris rendez-vous avec Docteur Quin. A une lettre près je consultais une star de sitcom c’est dommage. La mienne a 67 chats, mesure 1m90 au bas mot et fume des clopes dans son cabinet entre deux patients. Je l’aime beaucoup. En attendant le verdict et comme je suis une personne mesurée ce matin je me suis mis en tête de choisir la musique de mes funérailles. On prévoit jamais de mourir à 35 ans mais en même temps mon pote Guillaume il avait pas prévu de mourir à 17 et ses parents lui ont passé l’hymne de la Star Ac’ à l’église. Damn. Mon père adore Zaz. Soyons pragmatiques. Organisons-nous. Que vous dire d’autre avant la fin… J’aime pas les orchidées. Les compo d’interflora me filent de l’urticaire. Je veux être incinérée dans un cercueil low-cost. Gaspillez plutôt votre argent dans une bouteille d’Hennessy XO que vous boirez au goulot à ma santé. Je souhaite que mes cendres soient jetées dans l’océan, celui des Landes de préférence. Mais pas sur la plage de mon camping naturiste favori. Bien qu’imaginer tous mes proches à poil lors de mon dernier envol me fait quand même marrer. M’enfin bonjour les souvenirs pour plus tard lorsqu'ils se feront griller la saucisse au soleil en plein mois d’août, obligés de penser à leur pote morte qui leur flingue un peu le paradis (pas celui d’en haut avec les vierges tout ça, celui d’en bas où les gens sont tous nus sous les pins). Si la casse-bonbon du crématorium, la fille avec les cheveux derrière les oreilles et le tailleur prune de chez Cache-cache vous dit “non mais c’est interdit maintenant les urnes doivent rejoindre une concession gniagnia mesures sanitaires gniagnia un protocole gniagnia”, flanquez lui votre genoux entre les jambes et partez en courant (sans oublier l’urne ce serait idiot). Je serais pas contre une dernière course poursuite en Fiat Punto. L’idée d’être enfermée dans un vase, ça m'angoisse. Au pire renversez-le sans faire exprès “oups pardon quelle maladroite”. Je préfère finir dans un caniveau que dans un tiroir. Et pour terminer si vous pouvez glisser une invitation à Josh Hartnett n’hésitez surtout pas.
PS : Les meufs, on le dira jamais assez, palpez-vous les miches, pétrissez vos tétés, examinez vos loches. Il n’y aura probablement rien mais un jour vous pourrez tomber sur une petite nouvelle, qui elle-même ne sera probablement rien. Dans le doute. Les crabes se cachent parfois derrière les billes.
Ma playlist pour le jour J :
I will survive - Gloria Gaynor
Respire encore - Clara Luciani
Santé - Stromae
J’ai oublié de vivre - Johnny Hallyday
Le Grand Sommeil - Etienne Daho
Breathe - Sean Paul
I Feel better - Hot Chip
Gravé dans la roche - Sniper
Plus près des étoiles - Gold
Je reviendrai - Dick Rivers
Les adieux d’un sex-symbol - Starmania
Cache ta joie - Claudia Phillips
Taking me back - Jack White
Mourir sur scène - Dalida
L’adresse de Josh Hartnett :
Josh Hartnett Entertainment 360 10100 Santa Monica Blvd Suite 2300 Los Angeles, CA 90067 États-Unis
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Tag Game: Writing Pattern
Tagged by @calimera62 , thank you! 💙
Rules: list the first line of your last 10 (posted) fics and see if there's a pattern!
1. band-aids don't fix bullet holes (Bad Blood by Taylor Swift, Arsyn/Catastrophe - T)
La flèche bardée de matériel technologique s’enfuit de la corde tendue par Cat, décrivit une belle arabesque parabolique… et échoua lamentablement dans le sable, à quelques mètres de sa cible.
2. La Fille du Roi Arthur (Kaamelott, OC - G)
Arthur avait rêvé de marcher dans les champs, main dans la main avec son enfant, qui lui brandirait fièrement le petit médaillon qu'il lui aurait offert - tout comme son père de substitution, en son temps, lui en avait forgé un, pour lui montrer son amour et le placer sous la protection des dieux.
3. Poètesse cosmique (The Cosmic Wheel Sisterhood, Rangimarie - G)
Rangimarie s’est éveillée au cœur d’une étoile déchue, où l’espace et le temps n’avaient plus de sens, et c’est ainsi que son existence a commencé.
4. It's not the shade we should be casting (The Dragon Prince, Ezran - G)
« Nous ne pouvons faire face à cette menace seuls », s'était dit Ezran.
5. Deux facettes de la même pièce (Good Omens, Arizaphale/Crowley - G)
Une librairie bien tenue, dont aucun livre n'est jamais vendu.
6. Actes Manqués (Kaamelott, Guenièvre/Mevanwi - G)
Elles sont assises sur le lit, côte à côte.
7. Infodémie (Inside Job, Reagan et Brett - G)
« Brett, tu as fini le dossier COVID qu'on doit passer aux journalistes ? »
8. La pollueuse (fiction originale sur les légendes guyanaises - G)
Joséphine préférait être appelée « Fifine » par ses amis… du moins, ceux qui prétendaient l'être.
9. Caprice (Interview With The Vampire, Claudia - G)
Louis essayait de faire preuve d'autorité.
10. Guerrière des songes (fiction originale - G)
Vous l’ignorez encore, mais chaque nuit, je vous sauve la vie.
*
J'ai l'impression que je commence souvent par des prénoms ou par des pronoms, sauf dans quelques cas où je décris plutôt le lieu ou l'action. En tout cas, c'était un exercice agréable et cela me donne envie de me remettre à écrire !
Et je tagge @azzzryel , @blatterpussbunnyfromhell , @chonaku-things , @kabbal et @kaantt !! Vous êtes également libres de le faire si vous en avez envie ^^ Et aucune pression pour celleux que j'ai taggé'e's, idem, ne le faites que si ça vous dit :)
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«Jamais dans ce cerveau n’entrera aucun nombre !» dit l’ange, appuyant son doigt sur mon front. Je devins à l’instant le mouton noir des chiffres. En échange, il me donna la poésie. La poésie ! L’enfant maudite des Lettres ! La mal-aimée du monde ! Seules les folles poussent le petit portail blanc de la poésie. Dans l’odeur de poudre à canon de la neige, sur la timide martyre de l'abstrait descendit le premier poème : Étoile furibonde, Pétale d’or du monde, Je ne puis que rêver ! Dieu écrit aux filles à l’encre rouge.
— Lydie Dattas, Carnet d'une allumeuse : La mal-aimée
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Segundo día de abril~
Adrien se caracteriza por ser un chico muy romántico y algunos dirían que un poco anticuado~
Una de las formas más tiernas que tiene para expresar sus emociones es escribiendo cartas, y está vez no es la excepción~
Chère Marinette.
Tu es la plus jolie fille que j'aie jamais rencontrée. Chaque fois que je regarde ton sourire, je pense aux étoiles. Sois mon éternelle princesse.
Adrien~
#miraculous ladybug#mlb#marinette dupain cheng#adrien agreste#adrinette#adrinetteapril2023#april 2023#april#escrito a mano
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