#L'amour mouillé
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William Adolphe Bouguereau (French, 1825–1905) L'amour mouillé, 1891
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Douce soirée ⭐ ⭐ ⭐ 💕
Elle sort de la salle de bain, ajuste sa serviette, les cheveux encore mouillés, la peau perlée d'eau.
- Dis, à quoi tu penses quand tu me regardes comme ça ?
Il sourit.
- A rien, je te regarde, c'est tout.
- Et qu'est ce que tu vois ?
- Tu paraîs si heureuse chaque matin.
- C'est parce que je me réveille à tes côtés et que dans tes yeux, je lis l'amour.
Et ça me donne envie de chanter et de danser. Et de sourire aussi, comme ça, pour rien.
Parce que nous ce n'est pas une simple histoire d'amour.
Nous, c'est de l'amour dans une belle histoire.
Et tous les jours c'est comme un conte qui commencerait par "il était une fois",
Mais c'est beaucoup plus que ça, c'est "notre fois".
- Tu es si forte et si fragile à la fois et je ne sais pas si c'est la rêveuse madone ou l'envoûtante diablesse que je préfère en toi.
- Tu ne peux séparer les deux, je suis comme ça et...
Laissant glisser la serviette sur le sol.
- Je suis toute à toi...
JM ♥️
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24 juillet
je me suis forcée à aller cimetière pour me faire sortir et pas passer la journée dans ma chambre comme hier mais en attendant quand je suis dehors je travaille pas. en plus c'était bien hier dans ma chambre j'écoutais de la musique j'avais la fenêtre grande ouverte mon nouveau tapis sous les pieds et j'écrivais un texte pour le open call du haus für poesie. j'avais commencé à essayer de traduire marrons glacés en allemand mais j'ai laissé tomber, y avait trop de subtilités, ça change toutes les sonorités, impossible de traduire délicat, délicate parce que c'est pas genré en allemand et en plus c'est moche (zart). c'était clairement au dessus de mon niveau de compétence. j'ai passé la matinée à regarder des tutos et à lire des forums sur le microkorg pour savoir de quoi j'avais besoin pour m'en servir sur scène parce qu'ils demandent une fiche technique dans le open call mais j'ai pas trouvé de réponse claire alors j'ai écrit à r., après de longues hésitations, parce que j'avais peur d'être ridicule, ce qui à la réflexion est encore plus ridicule, mais je suis tellement intimidée par le monde de la musique que je me sens ridicule rien que d'avoir eu l'idée de vouloir utiliser un synthé. le monde des câbles et des adaptateurs et des prises et des machines me mystifie totalement et il me fait peur. ou plutôt il m'ennuie. il m'emmerde profondément. j'ai bien vu l'année dernière à genève quand on a fait le setup pour la perf avec ru. à quel point je servais à rien. alors qu'elle non plus à la base elle y connaissait rien. bref, il m'a dit qu'il me répondrait ce soir tard parce que grosse journée de papa et j'avais envie de lui envoyer mille coeurs.
hier j'ai découvert la signification du mot limérence et je crois bien que c'est de ça que je souffre. ça fait citron vert et ça fait liminal. entre deux. transitoire. sur le seuil. avec un goût acide mais frais. rafraîchissant. mouais. ils disaient que la différence avec l'amour c'est qu'en limérence on se soucie pas du bien-être de l'autre, c'est très autocentré, tout ce qui compte c'est de savoir si l'autre nous aime ou pas. l'autre différence c'est qu'on met l'autre sur un piédestal et qu'on voit pas ses défauts. ok. moi je pense que c'est juste une forme de tomber amoureuse spécifique aux gens qui ont vécu un trauma d'abandon/de négligence dans leur enfance et j'aurais pas appelé ça limérence, mais bon.
(je viens de voir un écureuil!) hier soir je suis quand même sortie prendre l'air et ça s'est transformé en promenade de deux heures, je crois que c'était la meilleure jusqu'à maintenant. à part la toute première le premier soir. j'ai vu le coucher du soleil au tempelhofer feld, je voyais jamais l'intérêt de cet endroit ni l'engouement qu'il suscite parce que c'est juste une piste d'atterrissage vide sans arbres ni rien, mais hier j'écoutais de la très bonne musique et y avait pas trop de monde et le ciel était entre deux averses à moitié gris-mauve à moitié doré, tout était doré et beau et spectaculaire et y avait une atmosphère très paisible. quand le soleil s'est couché il s'est mis à pleuvoir à grosses gouttes c'était le moment entre le jour et la nuit et je savourais l'eau qui me tombait sur les jambes et trempaient mon short gris en molleton les néons étaient allumés dans les rues et les gens mangeaient et buvaient des coups sur les trottoirs mouillés abrités sous les auvents magie magique j'étais enchantée par tout. j'aime bien être dans cet état, quand tout m'émerveille. j'aime bien quand ça arrive. je sais pas à quoi ça tient.
je continue sur ma lancée des efforts, ce soir j'étais dans un bar lesbien avec une fille d'un groupe telegram qui m'a demandé si je voulais l'accompagner au public viewing de princess charming, je le sentais qu'à moitié mais bon toute occasion est bonne à prendre pour rencontrer des lesbiennes alors j'ai dit ok et j'ai passé la soirée à me dire putain je pourrais être tranquille sur mon canapé en train de travailler sur mon texte avec la fenêtre ouverte. il faisait super chaud à l'intérieur et on était collées à l'écran juste à côté du haut-parleur qui me perçait les tympans parce qu'y avait pas de place et les gens qui passaient devant le bar me rentraient continuellement dans le dos et je pensais encore au squelette qui dit if it sucks, hit da bricks!! mais je voulais pas être impolie, alors j'ai patiemment attendu que l'interminable épisode de téléréalité lesbienne se termine en faisant du eye contact avec une fille très grande sur le trottoir qui ressemblait à un des grands frères de stranger things avec son mullet bouclé et sa chemise à manches courtes ouverte sur un marcel blanc.
à un moment sur l'écran géant elles étaient toutes dans la piscine à chanter danser et s'embrasser les unes les autres et les filles dans le bar dansaient et chantaient avec elles et moi je pensais à mon trauma et à mon corps qui se fige, qui se transforme en zombie engourdi et sans vie à chaque fois qu'il faut s'amuser. je le sous-estime toujours. je me dis que j'arriverai bien à le dépasser, dans les bonnes circonstances, mais peut être pas en fait. je me sentais complètement à la masse. je comprenais un mot sur deux de ce que me disait la fille alors qu'on parlait luxembourgeois, elle a payé ma limo fleur de sureau mais j'avais pas de cash à lui donner et je savais pas quoi dire, j'arrivais pas à suivre les conversations en allemand parce qu'y avait trop de bruit et j'arrivais pas à me concentrer. donc je me suis dit que c'était peut être pas une bonne idée d'aller à la soirée flirt speed dating au k-fetisch demain. je vais me contenter d'attendre de rencontrer mon âme soeur au cimetière, même si ça doit me prendre 84 ans, tant pis. on a parlé du lycée, elle a passé quelques années au rodange aussi et elle avait reding et elle m'a dit qu'il avait agressé des filles du lycée et j'arrivais pas à y croire. j'arrivais pas à croire que mon prof de latin que j'ai eu pendant cinq ans était un agresseur sexuel et j'arrivais pas à croire que je l'apprenais dans un bar lesbien à berlin devant une émission de téléréalité projetée sur un écran géant. à la fin on était sur le trottoir avec des gens chiants alors j'ai dit bon j'y vais et je suis allée m'acheter un paquet de chips et je suis rentrée libre comme l'air me mettre en culotte sur mon canap avec mon paquet de chips bonheur divin et suprême.
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A la nuit
Nuits où meurent l'azur, les bruits et les contours, Où les vives clartés s'éteignent une à une, Ô nuit, urne profonde où les cendres du jour Descendent mollement et dansent à la lune,
Jardin d'épais ombrage, abri des corps déments, Grand coeur en qui tout rêve et tout désir pénètre Pour le repos charnel ou l'assouvissement, Nuit pleine des sommeils et des fautes de l'être,
Nuit propice aux plaisirs, à l'oubli, tour à tour, Où dans le calme obscur l'âme s'ouvre et tressaille Comme une fleur à qui le vent porte l'amour, Ou bien s'abat ainsi qu'un chevreau dans la paille,
Nuit penchée au-dessus des villes et des eaux, Toi qui regardes l'homme avec tes yeux d'étoiles, Vois mon coeur bondissant, ivre comme un bateau, Dont le vent rompt le mât et fait claquer la toile !
Regarde, nuit dont l'oeil argente les cailloux, Ce coeur phosphorescent dont la vive brûlure Éclairerait, ainsi que les yeux des hiboux, L'heure sans clair de lune où l'ombre n'est pas sûre.
Vois mon coeur plus rompu, plus lourd et plus amer Que le rude filet que les pêcheurs nocturnes Lèvent, plein de poissons, d'algues et d'eau de mer Dans la brume mouillée, agile et taciturne.
A ce coeur si rompu, si amer et si lourd, Accorde le dormir sans songes et sans peines, Sauve-le du regret, de l'orgueil, de l'amour, Ô pitoyable nuit, mort brève, nuit humaine !...
Anna de Noailles
[Delphin Enjolras - Le murmure de la mer]
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Ghoulcy week day 2 NSFW
Bonjour, cette fois on se retrouve avec le thème NSFW du jour 2. Ce thème est Blindfold. Personne mineure ne pas interagir merci. J'espère que ça vous plaira. Cette histoire est aussi poster en anglais sur mon compte. Bonne lecture.
Malgré ses yeux grand ouverts, Lucy ne voyait que les ténèbres. La peur l'a gagna, elle s'était endormi dans les bras de Cooper comme à son habitude depuis que leur relation avait changé il y a quelques jours. Bordel... Ils avaient enfin trouvé une maison qu'ils pensaient vide où ils allaient pouvoir dormir dans un lit et surtout ne pas dormir dehors pour une fois. Apparemment, elle ne devait pas être si vide que ça. Elle senti un poids sur elle ce qui la poussa à nouveau à se débattre pour se sortir de cette situation et retrouver où était la goule.
« Du calme poupée, ce n'est que moi. » Elle reconnu de suite la voix de l'homme qui avait conquit son cœur.
« Coop ? Qu'est-ce qui se passe, qu'est-ce que tu fais ? » Sa phrase se finit par un gémissement tandis que l'homme sur elle parsema son cou de baisers. Ses sens semblaient être décuplés comparer aux dernières fois, était-ce dû au fait que Cooper lui aurait bander les yeux ?
« On a une occasion en or d'assouvir nos fantasmes dans cette maison où il n'y a que toi et moi. Je me suis dit que ne pas voir ma tronche décomposée t'apporterai plus de plaisir. » Il rigola à la fin de sa phrase mais celle-ci fut une douche froide pour la jeune femme. Son visage était une des choses qu'elle préférait chez la goule, son sourire narquois et ses yeux d'un bleu intense. Elle se fichait pas mal que l'homme soit irradié. Son mari s'était avéré être un pillard qui l'a voulait morte et Maximus ne voyait en elle qu'une fille toute gentille et innocente. La goule fut le premier à ne pas se fier à son apparence angélique et à l'apprécier en entière et non l'image qu'il aurait pu avoir d'elle.
« J'aime voir ton visage, ça me procure beaucoup de plaisir. » Elle tenta de se démener pour atteindre ce qui lui obstruait la vue mais c'était sans compté son amant qui stoppa toute essai.
« Non non non. Tu sais bien qui est aux commandes petite tueuse et j'ai décidé que pour aujourd'hui tu es privé de tes beaux yeux. »
Malgré le ton autoritaire de sa voix, Lucy sut dans son attitude que l'homme était d'humeur joueuse et que peu importe ce qu'elle disait il ne ferait que ce qu'il voulait. Enfin non, elle avait son mot magique, celui qui le ferait tout stopper si elle se sentait mal ou si elle n'était pas à l'aise. Mais la jeune femme ne voulait pas l'utiliser, elle avait entièrement confiance en l'homme. Il ne l'avait jamais fait souffrir depuis qu'elle l'avait rejoins pour poursuivre son père. Et chaque fois qu'ils avaient fait l'amour, Cooper n'avait été que tendresse et caresses, comme si le plaisir de Lucy devait être plus grand que le sien. Cette fois-ci ne semblait pas différente, la goule s'��tait donné pour mission d'amener sa dulcinée au sommet de son plaisir.
Se concentrant plus sur ses sens maintenant qu'elle savait qu'elle n'était pas en danger, Lucy se rendit compte que l'homme l'avait déshabiller avant son réveil. Chacune de ses caresses laissait une traînée brûlante sur sa peau. Une sensation qu'elle voulait de plus en plus, dont elle avait besoin même. Les doigts de l'homme atteignirent l'entrejambe de la jeune femme, ses cuisses s'écartèrent naturellement pour lui laisser autant de place qu'il en aurait besoin. Il n'avait même pas besoin de parler, elle savait ce qu'il lui fallait avec un simple touché. Son index se faufila à l'intérieur, elle était tellement mouillée qu'il n'eut aucun mal à passé. L'autre main de Cooper ne resta pas immobile et remonta jusqu'à la poitrine de la femme, venant pincer et jouer avec un de ses tétons pendant que sa bouche vint s'occuper de l'autre. Toute ses différentes sensations en même temps faisaient perdre la tête à l'habitante d'abri. Son amant avait de l'expérience et cela elle le ressentait à chaque fois qu'ils ne faisaient qu'un.
L'un après l'autre des doigts vinrent rejoindre le premier afin de préparer Lucy à recevoir Cooper en elle. Une préparation que l'homme ne lésinait jamais, depuis leur rapprochement il refusait de maltraitait la jeune femme à nouveau. Comme une sorte d'excuse à chaque fois pour la manière dont il l'a traité au départ de leur rencontre.
Soudain tout s'arrêta et la panique revint en un instant, son corps se figea d'un coup, la tension ayant pris possession d'elle. Cependant, la jeune femme se calma rapidement quand elle sentit sur sa joue la main de son amant qui l'amena à lui afin de l'embrasser. Baiser qu'elle coupa par un halètement de plaisir quand l'homme entra en elle d'un coup de bassin. La bouche de Cooper redescendu sur son cou, venant même mordre celui-ci arrachant un cri à Lucy. Tandis qu'il montrait sa possessivité sur la nuque de la jeune femme, ses vas-et-viens se firent plus rapides et intenses. La chaleur de son amante était des plus délicieuse presque autant que le goût de sa peau, tout en elle lui faisait perdre ses moyens. Il devait lui faire atteindre l'orgasme au plus vite parce qu'il n'allait pas tenir longtemps, son corps lui procurait un plaisir immense peu importe le nombreux de fois qu'il se perdait en elle. Une de ses mains vint sur sa cuisse relevant sa jambe tandis que l'autre se posa sur son clitoris effectuant des mouvements dont il savait faisait perdre l'esprit à sa petite tueuse. La voir ainsi fondre de plaisir tandis qu'elle ne pouvait prédire les prochains mouvements n'ayant pas sa vue pour l'instant valait le coup de ne pas voir ses yeux de biche larmoyants. Absorbés l'un dans l'autre, ils atteignirent l'orgasme ensemble.
Reprenant petit à petit leur souffle, allongés l'un à côté de l'autre, Lucy pu enfin retirer le bandeau qui l'aveuglait.
« C'était intense. » Son souffle était encore saccadé, son corps toujours tremblant de toutes ses sensations. « Mais je préfère quand même voir ton visage. » Cette réplique fit rire la goule qui prit sa compagne dans ses bras.
« T'as raison. Il y a rien de mieux que de regarder tes yeux s'assombrirent à cause du plaisir. »
Lucy n'eut pas le temps de répliquer, la bouche de Cooper venant se poser sur la sienne tandis qu'il déposa son manteau sur eux. Ils pouvaient se permettre de se reposer une dernière fois avant de rependre la route.
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Il est mort pour elle, à ses yeux précisons. C’est ce qu’elle s’est dit après deux semaines sans réponses. Elle a bien vérifié dans le fichier des personnes disparues mais y avait rien. Elle est bien allée à la morgue pour voir de ses yeux vus mais ne l’a pas reconnu. Alors elle l’a imaginé mort quelque part au fond d’elle. AVC entre son cœur et sa trachée, par là dans la poitrine. Elle se dit que ce truc qui pèse un âne mort et qui l’étouffe ça ne peut être que son petit cadavre à lui. Il s’est éteint à coup de silences. Ce qu’elle souffre et comme elle pleure. Tellement elle pleure qu’elle se déshydrate. Alors elle se demande. Un deuil sans défunt, ça se fait comment ? On les dépose où les fleurs en plastique ? Peut-on pleurer sur la tombe de personne ? Ici ne repose pas Matthieu, un peu mort quand même de l’avoir trop négligée. Peut-on prier pour que quelqu’un jamais parti puisse revenir ? Le signe de croix c’est dans quel sens ? Elle ne connaît ni cantiques ni kaddish, se dit que son athéisme manque cruellement d’espoir et de magie. Au fait, combien de temps les veuves du Sud portent-elles le noir ? Au boulot on lui dit que ça lui va bien au teint… Pour la partie dramatique elle a la falaise mais pas les cendres qui vont avec, tant mieux un coup sur deux ça vous revient dans les yeux. Y a plus qu’à s’y jeter elle pense. Elle a pas non plus de mère endeuillée à serrer fort dans ses bras. “Je suis désolée pour votre perte. Votre fils était un homme bon avec une bite formidable.”. Et elle le récite à qui ce discours tout appris qui loue sa beauté en taisant tout le reste. Pour le crématorium elle avait choisi Véronique Sanson (Vous n'êtes qu'un petit voyageur que l'amour m'a envoyé pour que batte mon cœur et qu'il arrive à l'heure) mais pas sûr que sa femme soit d’accord. 150€ la plaque funéraire hors TVA. “Tes mains manquent à mes seins”. Ça fait cher les lamentations. Elle se demande si de crever de désamour ça donne des jours d’ITT. C’est vrai, elle se sent morte de l'intérieur. C’est peut-être elle qu’il faudrait enterrer après tout mais à faire soi-même c’est pénible. Creuser son trou à la limite mais pour ce qui est de reboucher ça devient le bordel, elle oublie l’idée. Au bout du compte son corps fatigué d'avoir trop supporté s'endort lourdement sur un linceul de kleenex mouillés. “Coucou chou, dsl j’ai bossé comme un dingue. Dispo la semaine pro ?”
Photo : Mon amie Clara. Qui n'a rien à voir avec Matthieu, la morgue et les falaises d'Etretat.
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Faut être un homme, au bout d'un moment. Il faut être un homme Il faut être Mais regarde Il faut avoir un visage Et mon visage est rouge et brûlant, j'ai les pores qui suintent Il faut avoir des mains Mes mains sont moites Il faut avoir des jambes Mes jambes tremblent Le bout de mes doigts tremble Il faut avoir des pieds J'ai trébuché dans mes pieds quand le sol m'a paru avoir le tournis Il faut avoir des bras Je me suis épuisé en essayant d'aller chercher du bois toute à l'heure Il faut avoir peut-être un coeur Et je sais bien que j'en ai un Il faut avoir des yeux pour être un homme Et j'ai le blanc de l'oeil tout jaune Et j'ai mon regard noir d'avant qui n'est plus vraiment celui d'avant Et j'ai toute la lumière de cette grande salle qui vient trembler dans mes yeux Parce que j'ai des larmes qui s'y baignent et parce que je suis inconsolable Mais regarde Il faut être un homme On trouvera bien un moyen Il faut bien Tout ira bien D'accord ? Tout ira bien Allez, faut être un homme maintenant Il a toujours fallu Et j'ai réussi parfois J'ai été le chanteur des rues, celui à qui les beaux-parents qui ont trop bu demandent une chanson le dimanche après-midi J'ai été l'amant à qui l'amour n'a jamais fait défaut Il avait un joli nom, mon amour Je me souviens La porte du jardin grinçait Elle entrait parfumée, me tombait dans les bras. J'ai été l'artiste qu'on ne paye pas assez mais qui ne s'arrête pas pour autant, celui qui peint les moulins pour mieux les combattre Tous ceux qui voulaient m'asservir, j'les découpais en tableau J'ai réussi parfois Mais c'était difficile C'était difficile surtout l'hiver Il faut être un homme parce qu'il le faut Et je cherche et j'essaie Je cherche dans mes yeux, Dans mon reflet je cherche l'homme qu'il faut être Et comme mon reflet s'efface, comme il est inconsistant, J'ai la mâchoire anésthésiée J'ose plus serrer les dents J'ose plus percer le miroir de mon regard noir, celui d'avant Je n'ai plus rien de ma force sereine et pénétrante Il faut être un homme et je ne suis que la peur ; la peur et les yeux tout mouillés d'un petit garçon Il faut être un homme parce qu'il faut bien être Il faut arrêter les conneries Il faut arrêter de décevoir Il faut arrêter d'être une honte J'ai trop joué à soulager ma vie La lutte est interminable et je vais pas la gagner Mais il faut être un homme Tout ira bien je le sens Parfois mes forces se rejoignent et moi je rejoins le monde dans un silence pesant Ca va aller, je le dirai à mon amour Ca va aller et je la rejoindrai Il faut être un homme Il faut y arriver, parce que tout le monde y arrive Tout le monde y arrive mieux que moi sans doute Mais il faut y arriver C'est difficile, c'est difficile surtout l'hiver Et l'hiver revient en octobre, c'est nuit déjà à 19h J'ai dans les veines un peu de tout, beaucoup d'alcool et de médocs Je sens mes forces me quitter mais Tout ira bien Je vais revenir encore une fois Il le faut Il faut être un homme Dans ma voix un cri est en train de s'éteindre mais Il faut être un homme Il faut être père Il faut être Donc tout ira bien
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Jann Halexander - Jeune fille
Sais-tu qu'à l'autre bout de l'horizon
Il existe des amours que le temps n'a pu effacer
Que le ciel est bien plus coloré, bien plus bleu
Bien plus bleu, bien plus heureux,
moins pluvieux que le ciel d'autrefois
Je te dis cela, toi qui sais
A ceux qui ne savent pas
A ceux là qui ont le cœur déchiré
Où le soleil est mort bien des fois
A ceux là que la peine emporte
A ceux dont l'esprit est torturé
Quand le cœur n'est pas éclairé
et que la tendre chair n'est plus que lambeaux
Tant l'amour les a déchirés
A ceux là qui ont prié sans cesse
qui ont pleuré la foi, le remord qui ronfle
que l'on tait sans confesse,
Pour assouvir le moi aveuglé de souffrances
sans savoir regarder les larmes de la foi qui continue de couler
A ceux là qui suivaient dans la détresse
les traces d'une lumière étouffée
Quand la vie sans promesse les avait oubliés
Jusqu'à s'user les yeux, le cœur et l'âme de n'être point athée
A tous ceux là je leur dis, croyez sans attendre
aimez chaque instant, car le temps n'est plus à prendre,ni est compté
Il nous est donné quand vos villes s'endorment, quand vous dormez
La nuit devient bavarde, elle nous accompagne
Avec elle, on vient vous visiter, je vous le dis,
Avec mon cœur tout neuf, celui qui vous parle
de cet ailleurs
Car l'étoile un jour est tout près
et nos yeux mouillés tout d'un coup se mettront à briller
Je vous dis cela car quelque part il existe un meilleur
que l'amour des hommes, fatigués, n'avaient pas soupçonné,
Ce que je te dis là, jeune fille, ces mots-là, je ne sais si ce sont les miens
ces mots auraient pu m'être soufflés par Jacques Brel
un matin brumeux du mois de mai...
Texte : Jann Halexander / Fabienne Rague
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📕Coup d'un soir avec le PDG📕
En tant que simple assistante, envoyer un message au PDG en pleine nuit pour demander des films pornos était une initiative audacieuse. Sans surprise, Bethany n'a reçu aucun film. Cependant, le PDG a répondu qu'il n'avait pas de films à partager, mais qu'il pouvait offrir une démonstration en direct. Après une nuit pleine de passion, Bethany était certaine de perdre son emploi. Mais au lieu de cela, son patron lui a proposé : « Épouse-moi, s'il te plaît, réfléchis-y. » « M. Bates, vous vous moquez de moi, n'est-ce pas ? »
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Chapitre 1 Donne-moi un homme
« Bethany, as-tu déjà fait l'amour ? »
Bethany Holt, en voyage d'affaires et ayant bu un peu de vin, était couchée dans son lit d'hôtel, sur le point de s'endormir. Mais à peine a-t-elle fermé les yeux que les paroles de sa meilleure amie, Aimee Bates, lui sont revenues à l'esprit.
« C'est incroyable, Bethany. Tu devrais dormir avec un beau garçon pendant que tu es encore jeune ! Ou alors, tu peux toujours "jouer" avec toi-même. Ne sois pas timide. Je te recommande vivement de t'essayer au porno pendant que tu y es. »
Bethany a gloussé toute seule, incapable de se souvenir de la réponse qu'elle avait donnée à Aimee.
En ce moment, Bethany était tellement ivre que son visage délicat a commencé à rougir, ses cheveux épais s'étalant sur les draps comme des algues.
Dans un mois, elle aurait vingt-six ans et, durant toutes ses années sur cette terre, elle n'avait jamais eu de petit ami. Elle n'avait même pas encore embrassé un homme, et encore moins couché avec lui.
Ce n'était pas la première fois qu'Aimee le suggérait, mais aujourd'hui, Bethany a soudainement senti un désir inexplicable s'éveiller en elle ; peut-être à cause des quantités copieuses d'alcool qu'elle avait consommées.
Bethany s'est redressée dans le lit alors que ce sentiment étrange et nouveau devenait insupportable.
Inconsciemment, elle a léché ses lèvres sèches et attrapé son téléphone. Ayant enlevé ses lentilles de contact, sa vision était floue et elle ne pouvait pas voir l'écran clairement, mais lorsqu'elle a vu le nom de famille familier de sa meilleure amie, elle a cliqué dessus et lui a envoyé un message.
« Envoie-moi des recommandations sur le porno. J'ai envie de regarder quelque chose de cochon. »
Quelques secondes plus tard, elle a reçu une réponse. « Quoi ? »
Bethany a froncé les sourcils et, encore ivre, a plaisanté : « Ne joue pas à l'ignorante ! Soit tu m'envoies du porno, soit tu m'envoies un beau mec. Je suis dans la chambre numéro 1501. »
Elle a même ajouté un emoji de baiser à la fin de son message.
Après avoir appuyé sur « envoyer », Bethany a attendu une réponse, mais le téléphone restait silencieux. Au moment où elle s'apprêtait à sortir du lit pour aller boire de l'eau, la sonnette de la porte a soudain retenti.
Elle n'y a pas prêté attention et s'est dirigée vers la porte. Après tout, Aimee n'enverrait pas un homme dans sa chambre au milieu de la nuit, n'est-ce pas ?
Dès qu'elle a ouvert la porte, Bethany s'est raidie comme une planche.
« M. Bates ? »
On dirait qu'il venait de prendre une douche. Ses cheveux courts étaient encore mouillés et il ne portait qu'une robe de chambre en soie noire, exposant plusieurs chiffres sombres sur sa clavicule enfoncée. Il s'agissait d'un tatouage.
Bethany pouvait clairement voir ses muscles abdominaux bien définis, disparaissant dans une ligne en V.
À cause de sa grande taille et de sa forte carrure, il la dominait et bloquait pratiquement l'entrée de la porte. Son beau visage était partiellement dissimulé dans l'obscurité et ses yeux n'étaient plus aussi indifférents et détachés que d'habitude. Au contraire, il ressemblait à une bête affamée, fixant sa proie.
« M. Bates, que puis-je faire pour… ? »
Elle n'a pas eu le temps de finir sa phrase qu'elle a senti une paire de grosses mains lui saisir l'arrière de la tête. La seconde suivante, elle a senti les lèvres de l'homme se presser contre les siennes.
Bethany pouvait sentir la douceur intense du vin sur sa langue.
Avant qu'elle ait pu comprendre ce qui se passait, elle a été jetée dans le lit et l'homme a grimpé sur elle. Elle portait une chemise de nuit blanche, ce qui a encore attisé le désir de l'homme.
Jonathan Bates était manifestement ivre. Sinon, pourquoi le PDG d'Ensson, la filiale du Groupe Bates, serait-il venu dans la chambre d'hôtel d'une modeste assistante ?
Le premier réflexe de Bethany a été de se débattre, mais tout à coup, elle a cessé de le faire. C'était la première fois qu'elle était seule avec un homme. Son esprit gorgé d'alcool a commencé à se dire que coucher avec un homme aussi beau, aussi riche et aussi puissant serait peut-être une bonne chose.
Jonathan ne se souviendrait pas de qui elle était, tout comme il ne s'était pas souvenu qu'ils avaient été camarades de classe au collège pendant près d'un an.
En tant qu'assistante de bas niveau dans l'entreprise, Bethany croisait rarement le chemin du PDG. Personne ne croirait jamais qu'elle a couché avec lui.
Après avoir réfléchi pendant quelques secondes, elle a finalement trouvé le courage de passer ses bras autour du cou de Jonathan au clair de lune.
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Le n'importe quoi de la flemme
Le n'importe quoi de la flemme
(100% mail authentique)
Venant de passer une excellente soirée en bonne compagnie et n'ayant plus vraiment les yeux en face des trous, je tombai ce matin sur un mail datant de 2016 d'un ancien amour.
Ce blog ayant aussi pour but de consigner mes plus beaux souvenirs, je copie ici ces mots merveilleux, qui éveillent encore en moi aujourd'hui des émotions que je pensais perdues.
Si tu savais combien de fois j'ai imaginé et fantasmé sur ton retour.
Je t'imagine rentrant dans le studio belle et sensuelle comme à chaque fois que je te vois, venir m'embrasser, que nos langues dans nos bouches nous donnent ces pulsions si familières à notre amour, que mes doigts passent dans ton cou, glissant le long de ton dos pour finir pas agripper tes fesses, collant ton corps contre mon membre si dur à ton contact.
Puis ma bouche se détachant de la tienne, ma langue continue son trajet dans ton cou puis sur le haut de ton corps, pendant que mes mains remontent elles aussi en dessous de ton t-shirt pour finir sur tes seins, les agrippant comme tu aimes et les faisant ressortir afin que ma bouche puisse finir son trajet sur tes merveilleux tétons tout en t'entendant gémir de désir, ton bassin faisant des va et vient sur mon entrejambe recherchant à sentir toujours plus mon excitation pour toi.
Là je t'allonge sur le lit et commence à te retirer ton haut et ma bouche se jette alors sur tes seins les mordillant, les aspirant avec ma langue jouant sur eux en même temps.
Cette même langue qui commence à descendre le long de ton ventre pendant que je te retire ton bas et ton string, pour finir entre tes jambes, déjà si mouillées et commence à lécher cet endroit que j'aime tant, pendant que tu te masses les seins mes doigts étant occupés à pénétrer ton sexe.
Te sentant jouir mon excitation est à son comble, je commence à me mettre nu, te dévoilant mon sexe si dur, collant mon corps contre le tien, jouant à glisser sur ton clitoris avant de pénétrer dans cet endroit si mouillé si agréable, faisant des va et vient, t'agrippant avec mes mains si fortes par les épaules et les cheveux alors que maintenant je t’attrape par derrière et que je t'entends crier de plaisir.
L’excitation est si forte que je sens que je vais venir en toi, sur toi dans ta bouche partout où on en aura envie toi et moi.
J'ai tellement envie de toi mon amour, de ta présence de ton amour de ressentir toutes ces émotions qui sont toujours plus fortes dans ces moments là.
Un autre mail:
Je viens d arriver au studio, ce lieu où nos ébats sont si forts et intenses, je tiens fermement mon sexe dans ma main celle que tu aimes tant sentir sur toi et je t'imagine toute mouillée en train de te caresser en pensant à moi, ça m'excite tellement que la pression est trop forte j'ai tant envie que tu passes la porte et que tu viennes t'asseoir sur moi prendre ce plaisir que nous ne ressentons toi et moi réunis l'un dans l'autre, cette extase que j'ai découverte avec toi comme si c était la première fois.
Et je t'imagine te secouant de toutes tes forces sur moi pour me sentir tout au fond de toi et prendre tout ce plaisir à ta disposition.
J'aime ces moments où tu ne penses qu'à faire l'amour avec moi ou rien d autre ne compte, que nos deux sexes l' un dans l autre et le plaisir que l'on prend.
J'aime t'entendre jouir, j'aime jouir en toi. J'aime quand après nous ne sommes plus bons à rien tellement le moment était fort.
Je t'aime tout court mon amour et ce que nous vivons est plus fort grâce à ça.
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///𝗟𝗔 𝗙𝗘𝗠𝗠𝗘 𝗖𝗛𝗥𝗘𝗧𝗜𝗘𝗡𝗡𝗘 𝗘𝗧 𝗟𝗘 𝗖𝗘𝗟𝗜𝗕𝗔𝗧
(13e partie)
QUELQUES CAUSES PROBABLES DU CÉLIBAT CHEZ LES FEMMES CHRÉTIENNES
13. LE MARIAGE SPIRITUELLE OU PHÉNOMÈNE MARI DE NUIT
Le problème de "mari ou femme de nuit" autrement dit "mariage spirituel", est un phénomène très récurrent aujourd’hui et est à l'origine du célibat dans la vie des beaucoup de nos sœurs. Bien que les hommes ne soient pas épargnés dans cette affaire, D'après les statistiques, ce sont principalement les femmes qui sont victimes et rencontrent des difficultés pour se marier. Voilà pourquoi ce sujet mérite sa place dans cet enseignement. Une femme peut se montrer vertueuse tout en possédant tous les attributs nécessaires d’une femme épousable cependant, à cause du fait qu'elle est prise au piège par ses esprits sans le savoir, elle peut être confrontée à des phénomènes anormaux qui la maintiennent dans un célibat forcé. Car, il existe des esprits qui n'ont que pour mission de posséder et de détruire les vies des gens afin de les empêcher l'accès au bonheur du mariage. Mais béni soit Dieu qui nous permet de connaitre ces choses pour nous en délivrer.
1. Les symptômes et manifestations des maris de nuit
Voici quelques indices qui prouvent qu'une femme est la propriété privée d'un ou plusieurs maris de nuit : Pendant que tu dors, tu te vois toujours en train de faire l'amour avec un ou plusieurs hommes. Au réveil, tu te sens toujours épuisée, comme si tu avais travaillé toute la nuit. Rêver des mariages nocturnes alors que tu es encore célibataire. Les accouchements et des allaitement nocturnes. À ton réveil tu as toujours les seins mouillés, des douleurs au niveau du dos ou du bas-ventre, des saignements réguliers et très douloureux. Uriner sur le lit pendant la nuit alors que tu n'as aucune maladie physique, des drôles désirs sexuels et des pertes vaginales chroniques, l'envie de se masturber à des heures précises ou l'envie de coucher avec les hommes. Pour d'autres cela se manifeste par le fait de sentir mauvais même après s'être lavé, une saleté inexplicable. Chez d'autres, c'est la haine et l'insolence envers les hommes, sans aucun motif valable.
2. Quelques origines et portes d'entrée de maris de nuit
La pornographie, la masturbation, la musique profane, les mauvaises paroles proférées contre soi-même sous l'effet de la colère. La débauche l'impudicité, le fait de très mal t'habiller de manière à séduire et à exposer son corps attire aussi ces esprits. Exposer sa vie sur les réseaux sociaux au travers des photos et des vidéos inutiles par effet de mode. L'internet est un monde des esprits dont il faut vraiment faire attention avec tout ce que vous postez. Les cadeaux qu'on reçoit ici et là ; toi qui réclames toujours des cadeaux à n'importe qui à l'occasion de rien, tu ne connais pas l'état d'âme de tous ceux qui t'offre ces cadeaux. Offrir ses dessous ou ses vêtements à n'importe qui sans le sanctifier. Certains maquillages et style que vous imitez par effet de mode en suivant les stars sont aussi à revoir. Il y en a plusieurs, mais on ne saura tout déballer. Mais retenez chères sœurs que ce monde est mauvais et que sans Christ nos vies sont à la merci de l'ennemi.
3. Les conséquences des mari de nuit
Le célibat prolongé à cause d'instabilité émotionnelle ou le refus des hommes à plusieurs reprises sans motif valable, l'attirance pour d'autres femmes, l'envie de se suicider ou de commettre un meurtre. Et au-delà du célibat, ce phénomène peut entraîner des blocages, des maladies chroniques, la stérilité ou la frigidité même si vous obtenez cas même le mariage par grâce. Certaines incompréhensions et disputes répétitives en couple sont aussi la conséquence des mariages spirituels.
En conclusion, si vous vous rendez compte de ces choses dans votre vie, sachez qu'avec Dieu, c'est possible d'en sortir. Soyez en consciente et recherchez la délivrance. Repentez-vous de vos péchés, renoncez à la vie que vous avez menée ou que vous menez actuellement afin de renfermer par la prière les portes que vous avez ouvertes à ces esprits par ignorance de vos actes. Vous pouvez aussi en parler à votre responsable spirituel, pasteur ou mentor afin de vous orienter et de vous accompagner dans ce processus. Shaloom. Lien de la partie précédente : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=3666620916997290&id=100009482530166&mibextid=Nif5oz
David Nkongolo
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Je veux connaître une personne rare, elle adore marcher sous la pluie et aime l'odeur de la terre mouillé, une personne qui aime s'asseoir seule avec une tasse de café, apprécier son goût, se faire plaisir et remémorer tous les bons souvenirs.
Je veux connaître une personne qui rêve , qui apprécie le monde de livre, qui se retrouve dans chaque personnage, qui se trouve étranger dans la réalité de la vie et que comme c'est beau les histoires qui sors de l'ordinaire.
Je veux connaître Une personne aventureuse, qui n'a pas peur de le dire, qui est follement amoureuse de la nature, stupéfait a chaque fois qu'elle vois les montagnes, admirative de chaque espèces, chaque endroits et que chaque détail lui fais penser à l'amour, prospérité, tranquilité et aisance de l'âme.
Je veux connaître une personne capable de voir le bon dans le pire, qui pardonne malgré la douleur, quelqu'un qui peut apprécier l'autre au défauts de ses traits de visages mais par la qualité de son âme, son niveau intellectuel et sa sensibilité envers autrui.
Je veux trouver une personne naturelle, qui vit sa vie , qui aime donner de plaisir à l'instant, de remplir son cerveau d'une bonne dose de bonté, et une autre dose d'amour a son âme pour que la vie soit celle espérée, un Eden sur terre.
I.N
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Cassis mouillé
Je pénètre insouciant la ténébreuse allée où le malheur m'attends pour la dernière curée. Je vais manquer de temps ... oh vous mes souvenirs ... quel événement devrons-nous punir? Qui sous le masque saint de nos premières années. Comme un laquais un chien je n'ose le penser. Amour qu'était l'amour entre âme sexe et enfant... oh non pas cet amour ça je vous le défend . Dans quelques jours l'été et j'en perds la mémoire comme pans effondrés dans un enclos cathare. Reviens vite je prends le corridor humide, que prennent les enfants dans mon souvenir.
Jean-Louis Murat
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Mal.
J'ai mal.
Mal de ne pas savoir où je vais,
De vivre ma vie en restant à l'arrêt.
Mal de ne pas savoir ce qu'elle veut,
Je t'en prie, ne prends pas ça pour un jeu.
Mal de n'avoir plus que des idées noires,
Je ne veux plus être seule tard le soir.
Mal de ne pas savoir où elle veut aller,
Peut-être ne veut-elle même plus de moi à ses côtés.
Mal de pleurer chaque nuit,
Personne ne m'a prévenu que c'était ça la vie.
Mal de ne savoir ressentir qu'à moitié,
Mon cœur ne demande qu'à être choyé.
Mal de ne pas être capable de l'aimer correctement,
Mes "je t'aime" ne sont de loin pas que du vent.
Mal de me répéter qu'elle mérite mieux,
Pourquoi continue-t-elle à tomber pour mes yeux.
Mal de ne faire que de couler,
Que mon oreiller soit constamment mouillé.
Mal de n'être que perdue,
Je veux juste que tu m'emmènes voir les plus belles vues.
Mal de l'imaginer tous les jours repartir,
Je ne vois qu'avec elle mon futur se bâtir.
Mal d'avoir peur de me laisser tomber,
Je me sais déjà incapable de me relever.
Mal de penser que ça ne mène peut-être à rien,
Si c'est le cas alors je vis en vain.
Mal de me sentir seule,
De Nous je ne veux pas avoir à faire le deuil.
Mal de ne pouvoir me confier à personne,
Quant à tout le mal qui en moi résonne.
Mal de brûler à petit feu,
Je ne veux que de nous deux.
Mal de n'être que la moitié de rien,
Peut-être que dans un univers parallèle, je fais quelque chose de bien.
Mal d'encore faire couler mon sang,
De mon corps, être prisonnière dedans.
Mal d'espérer devenir la plus brillante des étoiles,
Ne m'en voulez pas si je deviens leur égale.
Mal de ne pas partir pour de bon,
Peut-être qu'aujourd'hui ne me fera pas faux bond.
Mal de n'être simplement que moi,
Bientôt ça ne sera plus le cas.
Je veux pouvoir enfin goûter au bonheur et à l'amour,
Pourvu que ce soit bientôt mon tour,
Même si cela doit se passer un autre jour,
Dans une autre vie.
2022
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Culotte Mouillée : ep196
Cheyenne: Baby, wake up.
Me: What’s wrong?
Cheyenne: I think the boat is moving.
I yawn, rub my eyes and look at my watch.
Me: It’s high noon. We must have left port while we were sleeping.
Cheyenne: I was dreaming that I was in a waterbed that was sloshing around, and when I woke up I was completely disoriented.
Me: We’re sailing for sure. Let’s get dressed and go on deck before we get seasick.
Cheyenne: I can’t. I’m all sticky from last night.
Me: Okay, let’s take a quick shower, then go topside.
Cheyenne: Good plan!
The boat is moving, and it is rolling. But with 115 feet of waterline it’s not rolling much. But it is heeling to port a fair bit, so we’re definitely under sail. Showering on a moving sailboat presents challenges. The shower is tiny, maybe four square feet, and it’s leaning 20 degrees. So you have to prop yourself up against the wall and use the showerhead like a wand. And there’s no room for any hanky panky. It’s a single serving shower stall.
…
We’re dressed and headed for the deck. When we round the corner at the intersection of the hallway and the kitchen we can see Filet putting together a fancy lunch of cold cut sandwiches, with fresh fruits and sparkling waters.
On deck, the sun is bright and the wind is blowing solidly. Henrik is at the helm and the captain is trimming the main sheet. Henrik looks majestic behind the giant steering wheel of the yacht.
Henrik: Good morning lovely humans! I trust you slept well.
Cheyenne: Yes indeed. Thank you Henrik. Where are we?
Henrik: We’re sailing east toward San Remo.
He points past the port side of the boat.
Henrik: You can see the coast there.
We’re a couple of miles off the coast. Being the Med, there are big yachts everywhere. In the distance I see the distinct three mast design of The Black Pearl, the 106 meter sailing superyacht. It makes our boat look like a dinghy by comparison. There’s always a bigger ship on the horizon in the Med. C’est la vie. We’re sailing to enjoy, not impress.
Solleone has a bimini top with a windscreen so passengers can enjoy sailing on deck, but stay out of the breeze. That is where we find Autumn, Floody and Beri.
Beri: Good morning lovebugs.
Autumn: I see that you’ve made it topside at the crack of noon. Comfy down there?
Cheyenne: Very.
Captain Jean-Luc: Alexa! Eeze time for lunch s'il vous plaît!
Me: I wonder if the Captain realizes it sounds like he’s yelling at an Amazon Alexa every time he does that?
Cheyenne: That is going to drive me fucking nuts.
Alexa appears at the top of the companionway with a large platter of sandwiches and fruits. Filet follows her with sparkling waters, warm and sans ice of course. We’re in Europe, home of the warm Coca-Cola. Yuk.
Alexa: Buongiorno, I see we are all awake bright and early today.
Cheyenne: The jet lag is kicking my ass.
Floody: Jet lag? Is that what you two were doing at 3am? Jet lagging?
Alexa: Signore Floody makes a joke, yes?
Cheyenne (to Alexa): Nous faisions l'amour.
Alexa: Yes Signorina Cheyenne, we all know you were making love.
Cheyenne: Oh, wow, were we …
Floody: Loud?
Autumn. Very loud.
Alexa: Oui, very loud. But I enjoy it. It gave me, how you say “culotte mouillée”
Cheyenne: Wet panties?
Alexa: Oui! Hahaha, It gave me wet panties.
Captain Jean-Luc: Alexa! Please, let zee guests enjoy zee lunch s'il vous plaît!
Alexa: Okay guests, I must go.
Filet and Alexa disappear below deck and we enjoy lunch. Beri puts dijon on a sandwich and shuttles it aft so that Henrik can have a bite to eat while at the helm. San Remo comes into view and I swear I can see “Il Poggio” cut into the hillside. Cyclists must race up and down il Poggio at the conclusion of each year’s Milan-San Remo cycling race.
Me: You speak French?
Cheyenne: Some. I took it in High School.
Me: I forgot that Europeans have a much more relaxed attitude about sex. Alexa seemed a little …
Cheyenne: Inappropriate?
Me: I was going to say “turned on.”
Cheyenne: Maybe she heard, but I don’t need to hear about it. A little discretion would be appreciated.
Me: I’ll chat with her about it after lunch.
Cheyenne: Careful, she might get “culotte mouillée” again.
…
We spend the entire day sailing east. It’s 100 miles exactly from Monaco to Portofino, our destination. Today is our day to make the longest passage of our journey, so we all take turns at the helm. Cheyenne and I team drive for a nice portion of the afternoon. It’s an amazing feeling having this much yacht under your control.
We arrive in Portofino harbor well after dark and drop our anchor. We pushed super hard to reach harbor in a single day, and we’re all thankful that we’ll be sleeping on beds that are horizontal and stationary.
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William Adolphe Bouguereau (French, 1825–1905) L'amour mouillé, 1891
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