#JE SUIS BEAUCOUP TROP EXCITÉ
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DEVINEZ QUI A PRIS DES PLACES POUR ALLER VOIR LE MISANTHROPE (OUI LA MISE EN SCÈNE QUE VOUS SAVEZ) AVEC SON MEILLEUR POTE
#JE HURLE#JE SUIS BEAUCOUP TROP EXCITÉ#je vais être dans la même pièce qu’éric génovèse. mon idole. c’est incroyable ce qui se passe putain#la complainte de julot#prépa talk#comédie française#le misanthrope
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Jean-Philippe (partie 2)
La journée suit son cours, je suis plus ou moins concentrée à la job. Mais ça, c’est juste parce que c’est le 4 à 6 du jeudi. Je suis toujours fébrile à l’idée de boire du vin. Je parle de la situation à mes ami·es.
« Est-ce que je lui réécris? », leur demande-je, sachant très bien que je vais pondre une belle petite phrase accrocheuse à Jean-Philippe dans deux verres de vin no matter what. Je ne fais qu’assurer mes arrières.
Mes ami·es me conseillent autant qu’iels me déconseillent de renchérir avec une phrase timidement coquine. OK, les chum·es. Je vais écouter mon petit cœur dans ce cas-là. C’est correct.
On est deux verres de vin plus tard. It’s time.
Je largue mon attaque en DM : « Si jamais ça te tente d’avoir une compagnonne d’écriture pour un de tes shows, on pourrait se motiver dans un café. SI JAMAIS! »
Ew, j’ai dit « compagnonne ». Moving on.
Il prend du temps à répondre.
Fuck. J’ai tout gâché.
Je vis mon 4 à 6 comme tous les jeudis: j’enchaîne les verres de blanc. J’embarque sur le rouge, je me sens un peu triste. Je commence à être fatiguée. C’est prenant, se mettre out there. Se rendre vulnérable. De laisser sa destinée amoureuse dans le cellulaire d’un autre. Pis y’est en couple, anyway. Qu’est-ce que je fais?
Je quitte le 4 à 6 pour me réfugier dans ma torpeur avec mon chat. J’ai faim. Je traverse le parc près de chez moi quand je reçois trois textos. Trois.
C’est Jean-Philippe.
« C’est pas tombé dans les mains d’un sourd » (le comique) « C’est sûr que j’écris rien si t’es là par contre J’ME CONNAIS! » « Mais sait-on JAMAIS. »
Attendez. Je pense que mon cœur m’a lâché. C’est ça, mourir? Est-ce qu’on peut mourir de bonheur? Enterrez-moi vite au parc Baldwin. J’ai besoin d’une pause pour reprendre mes esprits.
Je relis ses messages. J’écris rien si t’es là par contre. Si je suis là. Je vais être partout où tu veux, mon homme. Il est définitivement célibataire. Ou TRÈS ouvert. Ça, c’est clairement du flirt. Je ne peux plus le nier, moi qui ai tant espéré.
It’s on, bitches. Je sors l’artillerie lourde avec ma répartie et des flèches coquines, mais sans plus. Je dois le faire languir un peu. Macérer. Comme un bon vin, qui peine à être dégusté.
Je lui propose qu’on se jase ça ce soir, tant qu’à. Il est 19h et je suis juste assez alcoolisée pour être drôle, flirty. J’ai pas besoin d’alcool pour être comme ça, c’est juste que je me sentais particulièrement chatte. Meow.
« On dirait qu’on est dûs pour se jaser, hein? », me répond-t-il. Oui, Jean-Philippe. On est plus que dûs. Je te dirai pas que je regarde des shows dans lesquels tu figures pis je m’imagine toutes sortes de scénarios coquins. Dis-moi pas que je vais les réaliser? Me donnerais-tu cette chance-là?
Voyons, je suis complètement coucou. Je fan girl trop. Mais il me donne juste assez de jus pour que j’aie envie de finir le litre au complet. Je bois ses paroles.
On se dit qu’on va se reparler de nos disponibilités, parce que ce soir il est trop fatigué. Normal. Ben correct, c’était un peu précipité. Faut que je me calme. Faut QU’ON se calme. Je le veux en forme quand on va se voir parce que God knows que ce ne sera pas reposant.
Cue la nuit.
Ding de-ding de-ding.
Mon alarme du matin sonne, mais j’étais déjà réveillée. Beaucoup trop excitée à l’idée qu’on se réécrive. Je lui écris mes dispos. J’attends d’avoir les siennes.
« Maudit, y’a rien qui fonctionne pour moi! », m’a-t-il rédigé. Bon. Pas grave. On trouvera un moyen.
Il continue à écrire. Les trois petits points de suspension bondissent.
Ils arrêtent.
Ils bondissent.
Ils arrêtent.
J’ai un mauvais feeling.
Suis-je allée trop loin? J’ai les mains moites, les genoux mous, le cœur en guénille. Qu’est-ce qu’il veut me dire?
Vvvvz vvvz (un son de vibration).
« L’autre truc qui me chicotte, c’est que je suis terriblement en couple. Hier, je suis complètement tombé sous ton charme mais puisque ça devient flirty tout ça (en tout cas, complètement de mon bord je dois t’avouer) je suis plus prudent ce matin je dirais. On est un couple qui se permet quand même certaines libertés occasionnelles, mais on est plutôt dans un mode plus serré vu qu’on essaie de faire un bébé. »
Quoi.
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Tu peut poster un extrait de silent as shadows s'il te plait?
Bien sûr! J'espère que la traduction n'est pas trop mauvaise! Je suis désolé s'il contient beaucoup d'erreurs. 💙💙💙
(Keep scrolling for English, I hope the translation doesn't suck too bad)
Le moment de méditation de Rey'ka fut interrompu lorsque Toruk secoua la tête et qu'une main douce se posa sur son épaule. Son amie d'enfance la plus âgée sourit et salua les guerriers Omatikaya qui avaient débarqué et attendaient avec impatience qu'elle s'adresse à eux. Une partie d'elle se demandait pourquoi ils étaient si... excités? Était-ce le mot? Spider lui a tout raconté sur le précédent olo'eyktan et ses incroyables exploits sous le manteau de Toruk Makto.
Alors que la majeure partie d'elle était encore en train de s'adapter à tant d'attention, le reste de Rey'ka se retrouva à ne pas aimer ça. Elle était tellement habituée à être négligée ou mise de côté à cause de sa 'malédiction' qu'elle n'a jamais appris ce que c'était que d'être si importante pour quelqu'un. Eh bien... il y en avait quelques-uns. Son père. Calme. Et son frère.
Elle leva le menton un peu plus haut et suivit ses anciens amis. Elle regarda le Samson comme s'il allait prendre vie tout seul et l'écraser dans des mâchoires métalliques. Mais elle s'est ensuite arrêtée net lorsqu'elle a vu les gens sortir de l'avion. Encore des gens du ciel!
Pas beaucoup, mais un seul suffisait pour attirer son attention. Plus d'alliés. Finis les humains qui ont choisi le peuple. Spider lui avait raconté tellement d'histoires sur ses amis ; elle savait qu'il y en avait davantage parmi les Omatikaya. Quelques Na'vi portant des vêtements de skypeople étaient également avec eux. Rey'ka regarda les chefs de clan alors qu'ils se saluaient, puis revint vers un Na'vi grand et mince, vêtu de vêtements beiges ressemblant à des humains et orné de ce qu'elle reconnut immédiatement comme des bijoux de style Olangi.
Rey'ka se souvint des histoires que son père lui racontait sur la dernière grande bataille des Olangi. Même s'ils n'étaient pas partis, le clan dans son ensemble a été grièvement blessé en combattant pour Eywa. Lorsqu'elle repensait à ces histoires, surtout lorsqu'elle et son père étaient restés chez les Tayrangi, Rey'ka sentit quelque chose se serrer dans son cœur à la pensée de ce qui s'était réellement passé toutes ces années auparavant. Oui, elle n'avait que 8 ans. Mais son peuple était là... les Olangi étaient là... les Tayrangi... Omatikaya... qui d'autre...?
Le grand et mince Na'vi s'approcha d'elle avec sa main descendant de son front pour la saluer. Avant que la main de l'homme ait fini son mouvement, la main de Rey'ka tendit la main et attrapa sa main. Personne ne l'a vu et l'homme s'est figé dans un mélange de surprise et de peur.
Tout le monde se fige. Qu'avait fait cet homme pour insulter le septième Toruk Makto...?
Les oreilles de Rey'ka se retirèrent et sa queue remua rapidement. Elle regarda la main de l'homme entre eux, la tournant et appuyant son pouce sur sa paume jusqu'en dessous des jointures jusqu'à ce que les doigts s'étirent sous la pression. Un...deux...trois....
Les yeux de Rey'ka levèrent vers ceux de l'homme; le sien est rempli d’incertitude. Ce regard perçant qui hantait Qauritch depuis des mois et des mois. Des yeux qui voyaient dans les gens, recherchant des choses qu'ils ne montraient pas à la surface. Four. Quatre doigts. Le grand et maigre Na'vi qui se tenait à côté de l'olo'eyktan de l'Omatikaya avait quatre doigts.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Question: Can you post an extract from silent as shadows please?
Answer: Of course! I hope the translation isn't too bad! I'm sorry if it contains a lot of errors.
Rey’ka’s moment of meditation was cut short when toruk shifted his head and a gentle hand landed on her shoulder. Her oldest childhood friend was smiling and waving her hand back to the Omatikaya warriors who had landed and were eagerly waiting for her to address them. Part of her wondered why they were so...excited? Was that the word? Spider told her all about the previous olo’eyktan and his amazing feats under the mantle of Toruk Makto.
While most of her was still adjusting to this much attention, the rest of Rey’ka found herself not liking it. She was so used to being overlooked or pushed aside due to her ‘curse’ that she never learned what it was to be this important to someone. Well...there were a few. Her father. Quiet. And...her brother.
She lifted her chin a little higher and followed her old friends over.
She eyed the Samson like it was going to spring to life on its own and crush her in metal jaws. But then she stopped dead in her tracks when she saw the people who exited the aircraft.
More sky people!
Not many but even one was enough to draw her attention. More allies. More humans who chose the People. Spider had told her so many stories of his friends; she knew there were more of them among the Omatikaya. A few Na’vi wearing sky people clothing were with them as well. Rey’ka looked to the clan leaders as they greeted each other then back to a tall, skinny Na’vi in beige human-like clothing and adorned as what she immediately recognized as Olangi-style jewelry.
Rey’ka remembered the stories her father told her about the Olangi’s last great stand. While they were not gone, the clan as a whole was heavily wounded fighting for Eywa. When she thought back on the stories, especially when she and her father stayed with the Tayrangi, Rey’ka felt something tighten around her heart at what truly happened all those years ago. Yes, she was only 8. But her people were there...the Olangi were there...the Tayrangi...Omatikaya...who else...?
The tall, skinny Na’vi approached her with his hand coming down from his forehead to greet her. Before the man’s hand finished its motion, Rey’ka’s hand shot forward and grabbed a hold of his hand. No one saw it and the man went rigid in some combination of surprise and fear.
Everyone froze. What had this man done to insult the seventh Toruk Makto...?
Rey’ka’s ears went back and her tail swished quickly. She stared at the man’s hand between them, turning it and pressing her thumb up his palm to the underside of the knuckles until the fingers stretched under the pressure. One...two...three....
Rey’ka’s eyes lifted to the man’s; his own wide with uncertainty. That piercing stare that had haunted Qauritch for months upon months. Eyes that saw into people, searching for the things they didn’t show on the surface. Four. Four fingers. The tall, skinny Na’vi who stood beside the olo'eyktan of the Omatikaya had four fingers.
#atwow#atwow fanfiction#atwow oc#rey'ka#rey'akina#silent as shadows#ao3 writer#this was longer than i expected#ask the author
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YOUTH RADIO CHAPITRE 1
(couloir)
Makoto : waaah...... j'ai beau vérifier dans toutes les directions, il n'y a vraiment personne.
hmm, peut-être que je suis arrivé trop tôt ? quoique s'il y avait du monde je ne réussirais peut-être pas à me concentrer sur mon travail.
il n'y a pas un bruit, je vais pouvoir réussir à me concentrer, aller travaillons un peu avant que tout le monde arrive.
(classe 2-A)
BONOJOUURR!!!!!!♪
effectivement il n'y a personne, je suis bien le premier.
...............
(j'ai sorti mes feuilles et mon stylo en me disant "au travail !!" c'est super mais...... je suis perdu. je ne sais pas quoi écrire..)
(jusqu'à présent... ou plutôt, jusqu'à ce que anzu chan arrive à yumenosaki il n'y avait pas beaucoup de postes en tant que membre du comité de diffusion....)
(bien sûr, c'est déjà arrivé que j'ai eu a choisir des pistes audio pour l'émission de midi, j'ai aussi déjà eu à rédiger des articles sur l'actualité de l'établissement.)
(pas mal de choses étaient réglementées par le conseil des élèves, donc je ne pouvais pas diffuser ce que je voulais. pour moi ce modèle de hiérarchie a toujours été présent ici.)
(il y avait des moments où je n'aimais vraiment pas ça, alors j'allais dans le quartier commerçant près de l'école et je recherchais de la bonne musique bon marché.)
(mais durant DDD, fine, dirigé par Tenshouin senpai, le président du conseil des élèves, s'est effondré et la monarchie absolue s'est effondrée.)
(les dream festivals ont également beaucoup changé avec le retour des shuffle unit et l'ajout du système "S3".)
(maintenant que l'on peut créer librement nos émissions sans se soucier du conseil des élèves, Nito senpai est tout excité.)
(l'autre jour, je travaillais sur un article pour l'émission du club, j'ai travaillé tellement dur jusqu'à en négliger mon sommeil.)
(je ne fais vraiment pas le poids face à nito senpai..... je suis tellement dépendant de lui que je peux même pas rédiger un script par moi-même.)
ah! ce n'est pas le moment de déprimer! demain je serais de service, alors je dois être en pleine forme!!
(je dois prouver a nito senpai que shinobu kun et moi pouvons assurer seuls, afin qu'il ait l'esprit tranquille.)
bon !! je suis remotivé! quel thème choisir...... quelque chose de pas trop sérieux, comme ça ce sera plus amusant à écouter que si c'était un sujet compliqué.
quelque chose d'amusant... quelque chose d'amusant... qu'est-ce qui me rendrait content ? autant que de manger mon plat préféré par exemple ?
ah! pourquoi pas un classement de mes plats préférées !
héhé je suis tellement intelligent ! c'est important de mettre beaucoup de réflexion dans nos émissions, même cette saison !
♪~♪~
WAH !! anzu chan!? depuis combien de temps tu es là ?
oh, est-ce que tu as entendu tout ce que je disais depuis tout a l'heure ?
euh.. certes j'y ai mis du cœur mais tout ça c'était juste une blague...
ah, tu n'es pas obligée de me dire ton avis ! après avoir vu ta réaction, je sais déjà ce que tu en penses...
au, au fait, c'est vraiment bien que tu viennes aussi tôt a l'école.
moi ? je suis de service pour l'émission d'après-demain après midi. donc je suis venu tôt pour rédiger le brouillon du programme~♪
je n'arrive pas bien à me concentrer chez moi, c'est pourquoi j'écris généralement mes brouillons à l'école ou à la bibliothèque, mais cette dernière n'est pas encore ouverte alors je me suis installé là.
um ? anzu chan où vas-tu avec ce sac ? oh, est-ce que tu as oublié quelque chose chez toi ?
"si je reste ici je vais gêner"...... non tu ne me déranges pas du tout, d'ailleurs ça serait même mieux si tu restais là, anzu chan !
anzu chan, est-ce que toi aussi tu es inquiète à propos de la production et des chansons du prochain live ? si tu es en train de chercher des musiques, alors aide-moi aussi !
eh bien, j'ai décidé le contenu pour l'émission mais je n'ai pas encore décidé quel genre de musique je vais mettre.
oui, je suis membre du comité de diffusion~♪ je dois réfléchir aux idées pour les programmes. et c'est également mon travail de décider quelles chansons nous diffuserons♪
les réglementations se sont assouplies, donc si on veut utiliser des chansons de groupes de l'école on n'est plus obligés d'utiliser que celles faites par les membres du conseil des élèves !
on peut toujours utiliser celles faites par les groupes du conseil, mais on a aussi la possibilité d'en utiliser d'autres !
après tout il est important que les idols de notre école découvrent de nouvelles chansons pour développer leur sensibilité musicale.
après tout lorsque l'on est chef cuisto et qu'on mange des plats délicieux, on a envie de les refaire pour les servir à nos clients pas vrai ?
mais également,
si nous nous limitons à ce qu'il y a dans l'école, notre champ de vision sera forcément réduit. il faut qu'on puisse développer notre capacité de voir les choses dans une plus large perspective pour que nos capacités en tant qu'idols s'élargissent aussi.
enfin c'est pas à moi de dire des choses aussi ambitieuses.. quoi qu'il en soit, maintenant je suis libre de faire un peu tout ce que je veux.
je me demande de quelle manière je pourrais le mieux en profiter..
euh, hum, tu, tu vois, tout à l'heure quand je disais que je cherchais de la bonne musique pas chère ?...
ah tant mieux tu t'en souviens ! eh bien, je pensais aller jeter un coup d'œil dans les boutiques aujourd'hui.
si, si par hasard tu as du temps libre anzu chan, je me demandais si tu aurais envie de venir avec moi pour trouver de la musique..
comme toi aussi tu cherches des chansons je pense qu'on pourrait faire d'une pierre deux coups ?
wah.... faire les recherches demain après l'école ce serait ce qui te conviendrait le mieux ? wah, tu acceptes vraiment qu'on y aille ensemble ??
merci anzu chan !♪ je choisis toujours les musiques de mon émission en fonction de mes goûts personnels donc ça arrive que ça ne soit pas très varié...
mais si anzu chan est là alors je pourrais avoir un avis extérieur pour trouver les meilleures chansons~♪
Mao : oh, j'entendais du bruit depuis le couloir, c'était toi makoto
makoto : oh ? isara kun ? tu es censé être dans la classe d'à côté, qu'est-ce que tu fais là ?
mao : hm. je revenais de mon travail au conseil des élèves, et en passant par là j'ai entendu des voix depuis cette classe.
j'étais tellement impressionné que quelqu'un soit là si tôt, alors j'ai voulu voir qui c'était et c'était vous. vous sembliez bien vous amuser alors je suis rentré♪
makoto : ah d'accord. isara kun, tu avais l'air vraiment occupé avec le travail du conseil des élèves hier, ne te force pas trop d'accord ?
mao : haha, merci !
moi je travaille dur, mais le vice président a encore plus de travail!
il y a des gens qui occupent des postes plus importants que le mien, alors je ne peux pas me permettre de partir en premier.
makoto : ah ouais, quand nito senpai reste tard au club je lui demande toujours si je peux faire quoique ce soit pour l'aider.
alors je comprends vraiment ce que tu ressens isara kun.
mao : tous les deux on a quelqu'un de très sérieux au-dessus de nous. il faut qu'on se montre à la hauteur en leur rendant la pareille.
makoto : ahaha, c'est vrai
mao : cette conversation est passionnante, mais je suis curieux de savoir de quoi vous parliez tout les deux avant que j'arrive.. est-ce que vous pourriez m'inclure dans votre discussion ?
~~~~~~~~~~~~
END☆
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3 gars. 2 papillons. 1 arrêt.
Vous ai-je dit comment je trouve le polyamour fascinant?
—
Mercredi dernier, je suis allée voir l’expo Pussy Riot au MACM avec un adorable américain. On a bu dans 3 bars, je lui ai fait visiter la ville. On s’est embrassés timidement et je suis rentrée, souriante.
—
Vendredi dernier j’allais jouer au pool avec Grande barbe. Ça faisait plusieurs très longs audios qu’on s’échangeait. Il était fasciné par mon intérêt pour le dollification et c’était la première fois que je rencontrais quelqu’un qui était vraiment excité à l’idée de jouer à la poupée avec moi.
Il ne boit pas. À jeun, on a parlé beaucoup, on ne s’est pas embrassé mais on a convenu de se revoir.
—
Lundi je suis allée au cimetière avec la Licorne américaine. Puis je lui ai fait découvrir le smoked meat. On a bu des cocktails, il m’a demandé si je voulais aller ailleurs ou peut être aller chez lui « to make out ». Il était gêné d’être aussi direct. C’était notre 2e date, je pouvais bien pousser l’exploration plus loin. On a acheté des bouteilles à la SAQ. Je l’ai questionné sur ses kinks. On a frenché beaucoup. Il m’a dit qu’il aimait attendre la 3e date ou plus pour baiser. C’est drôle parce que j’aime ça aussi, le tease, faire monter la passion. On est allés dans son lit. On a frotté nos organes génitaux. C’était génial. Tellement kinky soft et challengeant.
Le lendemain il m’a fait remplir le tableau bdsm des intérêts et limites. Il m’a envoyé sa version avec ses kinks. On est très excités par nos points communs. Je le revois vendredi prochain, je suis en train de traiter nos datas, pour voir sur quels boutons on pourra appuyer.
—
Mardi matin Grande barbe m’a laissé un audio poli et honnête pour me dire qu’il avait eu une belle soirée mais qu’il n’avait pas assez de points en commun avec moi pour continuer de me voir. Que même si nos kinks communs étaient terriblement excitants, il avait besoin de connecter sur d’autres sujets, comme la politique, les jeux de société et le canot. J’ai respecté son opinion et lui ai souhaité bonne chance.
J’étais quand même contente, ça me laissait plus de place pour les autres, et j’aimais pas tant sa barbe.
—
Ce soir, j’ai rencontré le Papa à vélo pour la première fois. Il m’avait demandé d’avance si on pouvait s’embrasser dès notre rencontre, pour casser la glace. J’ai trouvé ça tellement hot. « Je suis game ». Il était nerveux. Je l’ai vite mis en confiance. On est allés au musée. On a mangé du gâteau au fromage. Je l’ai trainé dans mon spot secret au centre ville où on a frenché comme deux amoureux aux yeux pétillants pendant des heures. Des gamins. Une sensation réciproque de tomber en amour. On était tellement bien à se serrer dans nos bras en se regardant dans les yeux. Rire. Se regarder. Frencher. Se raconter des secrets gênants sur nos vies. Il est tellement beau. Il me trouve tellement belle.
En quittant cet endroit après trop d’intensité pour un débutant du dating, il me lance « peut être que c’est trop tôt pour dire ça, mais je pense que je vais avoir besoin de temps pour processer ce qu’on vient de vivre. Si je t’écris tout de suite je vais négliger ma famille, ma blonde, prend le pas mal si je ne t’écris pas tout de suite. Je ne me suis jamais senti comme ça pendant une date c’est trop hot, j’ai l’impression d’être high »
Comprenant trop bien ce qu’il vit dans sa tête, je l’ai rassuré. J’ai dit que je comprenais et que j’attendrais qu’il me texte quand il sera prêt.
De l’amour je te dis. Je l’ai senti, lui aussi, mais il a peur.
—
3 gars en couple. 3 niveaux d’expertise. Dans les trois cas je suis ouverte. J’ai parlé des trois gars au Patron. Et il est bien correct avec ça.
(Je pourrais développer tellement plus la dessus… je vais tenter d’être plus assidue mais tout ça me rend tellement heureuse.)
Jadoooooorre les dates. J’adore rencontrer des garçons. J’en veux plus.
BRB
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Automne 1917, Hylewood, Canada (8/9)
Depuis le début de la guerre, la scène politique en Ontario est profondément influencée par les orangistes, qui sont fidèles à la monarchie et à l'Empire britannique. Les grands journaux de Toronto critiquent les Canadiens français pour ne pas contribuer à l'effort de guerre, et on nous impose depuis juillet le service militaire obligatoire… Quand on voit les efforts déployés par le R22eR, je trouve cela honteux.
A cause de sa politique francophobe, Ontario est la risée du Québec. Ils nous appellent « nos Boches à nous » et nous surnomment "Huntario", en référence aux invasions de peuples nomades au Moyen Âge… Quand on voit comment les Anglophones nous traitent, on comprend que nous soyons presque unanimement opposés à ce service et qu'il existe un si faible sentiment de loyauté des francophones pour le Canada.
Sur l’île, si on enlève ceux qui sont déjà en service, cette loi concernerait cinq hommes : mon beau-frère (alors qu’il a trois enfants, pensez-vous !), le mari de ma nièce Winie, le frère du jeune Zéphir (dont les malheureux parents font toujours le deuil), le Révérend de l’île (un homme d’église !), et un neveu de mon beau-frère. Cette loi n’est pas encore appliquée. Des élections fédérales vont avoir lieu en décembre, et nous en sauront davantage après cela.
[Transcription] Marie Le Bris : Sincèrement, Agathon, es-tu obligé de te montrer ainsi en spectacle ? On dirait que tu t’es coiffé avec un balais brosse. Si j’avais des cheveux comme les tiens, j’aurais au moins la décence de mettre une casquette. Winifred Bernard : Irène, chérie, ne court pas trop loin ! Jules Le Bris : Tout va bien, ma nièce ? Winifred Bernard : Bonsoir, mon oncle. J’aimerais profiter de ma soirée, mais mon aînée m’échappe comme une anguille. Eugénie Le Bris : Ah, les enfants, à cet âge là. Winifred Bernard : A qui le dites-vous ! Elle court partout, et je n’ai pas une minute de répit. Mais je ne peux pas la laisser sans surveillance. Jules Le Bris : Marie, toi qui te plaignais de t’ennuyer, ne veux-tu pas aller jouer avec ta cousine ? Marie Le Bris : C’est que je commence à m’habituer à l’ennui, et je tombe de sommeil, regardez comme mes yeux sont lourds. Non, je suis mieux ici. Eugénie Le Bris : Agathon, va jouer avec Irène. Vous avez pratiquement le même âge. Winifred Bernard : Laissez, Eugénie, Marie a raison, il se fait tard et la petite est fatiguée. C’est probablement pour cela qu’elle est si excitée. Je devrais rentrer la coucher. Quel dommage, je m’amusais beaucoup…
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Winifred Simmon#Irène Bernard#Ferdinand Bernard#Earnest Simmon#Lucien Bernard#Napoléon Bernard#Louis Rumédier#Zéphir Rumédier#Eugène Rumédier#Marie Rumédier
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@modocanis
(J'espère que tu le verras enfin 😭) Bonjour :D Bon tout d'abord je voulais commenter deux ou trois choses, la première c'est que je suis très reconnaissant envers vos œuvres car elles m'ont inspiré à continuer à étudier comment dessiner et à m'améliorer en cela à part ça elles m'ont aussi sorti de l'artblock et je veux ajouter que vos œuvres sont très amusantes à lire et avec des arrière-plans intéressants. Vous utilisez très bien les personnages bibliques et leur donnez des situations et des interactions entre eux qui sont assez particulières dans le bon sens du terme. Comme je l'ai déjà dit, à chaque fois que vous postez quelque chose de nouveau, je suis vraiment excité et j'en parle avec certains de mes amis xD J'aimerais aussi continuer à dessiner vos anges et faire mes propres dessins pour eux dans le futur (peut-être faire des animatiques si j'apprends à les faire).
En ce qui concerne le fanart, il est probablement trop doux pour ce que sont Lucifer et Michael, ils ne sont certainement pas calmes quand il s'agit de se toucher ou de s'embrasser (ne me blâmez pas s'ils sont trop ooc, je voulais juste les voir s'embrasser 😔). Il n'y a pas de raison particulière pour laquelle j'ai ajouté le bandeau d'oreilles de chat sur Lucifer, j'ai juste pensé qu'il correspondait au personnage et c'est tout xD.
Et enfin concernant son apparence je l'ai basé sur quelques fanarts que j'ai trouvé et de vieilles peintures d'eux que j'ai trouvé + ma propre interprétation parce que je n'ai pas pu trouver une description exacte des personnages et j'ai du improviser.
Je pense que c'est tout, encore une fois merci beaucoup d'avoir écrit un si beau travail et j'attends avec impatience vos nouvelles œuvres. Bonne journée :D
(PD:Désolé s'il y a des fautes d'orthographe ou des phrases absurdes, le français n'est pas ma langue maternelle :c)
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Depuis quelques temps, j'ai envie d'un Black. Avec un grand B. Personne en particulier. Un Black.
C'est la première fois que j'ai envie d'un mec. Un mec en entier. D'habitude c'est les bites et les situations qui m'excitent. Pas les mecs. Je ne me sens pas gay. Je n'embrasse pas. Je ne masse pas ni ne caresse! Je branle, je suce, je me fais baiser... c'est ça que j'aime!
Mais là, depuis quelques semaines, je me branle en pensant que je suis la femme mâle d'un Black. Je ne me vois même pas en fille ni en travestie.
Je suis en mec. J'ai envie de lui. Je le vois grand, musclé, sympa et plutôt directif. On se voit dans l'heure de midi. Où il décide!
Il m'embrasse à pleine bouche. Je caresse son corps ferme et chaud. Je sens monter son plaisir. Et il m'embrasse encore. Beaucoup. Goulument. Je le caresse sous son T-shirt. Je sens son torse. Lisse.
Il me prend pour sa femelle. Ne me lâche pas. Il est ferme. Il dirige.
Sa queue durcit. Je la caresse à travers son jean. Je la sens bien contre moi. Dure. Grande. Grosse.
Il me plaque contre lui. Me touche les fesses. Me fait sentir que je lui appartient.
Quand il est prêt, il me fait signe de le sucer. Là où on est. Dans sa voiture, sur un parking, dans sa chambre...
Je sors sa queue. Énorme. Je la suce comme je peux. Je la branle. La caresse. Je lui lèche doucement le gland. Le frein. Ses couilles lisses. Pleines.
Elle est dure. Je suis sa femme. Il me lève pour m'embrasser sur la bouche. Dans la bouche. A pleine bouche. Il adore. Moi aussi.
Il est dur. Ferme. Chaud. Black. Excitant. Il dirige. Je kiffe.
Je le suce à nouveau. Je sens qu'il s'excite. Du jus transparent commence à couler doucement. Je sens le goût.
Il me relève. Me défait mon jean. Me le baisse sur les genoux. Il fait pareil avec mon slip et me plaque contre le capot de sa voiture. Je suis à lui. Je suis un mec et je me sens être sa femme. Sa pute plutôt. Il est marié et je suis son vide couilles surtout!
Il m'écarte les fesses, crache sur mon trou, et étale sa bave avec le bout de sa bite.
Je suis plaquée sur le capot. Lascive. Je sens sa main qui m'appuie dans le dos. Fermement.
Je sens son gland contre mon trou. J'ai envie qu'il rentre. Je l'attends. Je sais que ce sera fermé. Appuyé. Profond.
Il y va. Mon trou a l'habitude. 4 a 5 fois par semaine au minimum. Le passage est fait!
Il ne s'arrête pas. Quand il commence à rentrer, il va jusqu'au bout. Doucement mais sans s'arrêter. C'est propre. Je me lave désormais tous les matins en prenant ma douce. Au cas où il m'appelle. Me siffle!
Je le sens bien. Il me plaque toujours. Je suis à lui. Des voitures passent sur la route pas loin. Nous sommes un peu cachés, mais pas tant que ça. Il s'en fiche. C'est un vrai mâle. Un baiseur. Un alpha. Il assume de baiser une femme, un mec, un travesti. Il plante sa bite, il jouit et c'est tout ce qui compte!
Il me baise. Je suis excité d'être là. A sa merci. Toujours plaqué contre son capot. Je subit. Il dirige tout. S'en fiche de ce que je pense. Il baise.
Je sens sa queue me remplir à chaque va-et-vient. Profondément. Au début ça fait toujours un peu mal. Mais mon corps s'habitue au fur et à mesure des coups de boutoir. Je me garde bien de dire quelque chose. La situation est trop excitante pour que je gâche le moment.
Je suis sa femelle. Son dégorgeoir. Sa femme ne lui suffit pas et il aime baiser un petit mâle, me dit-il régulièrement.
Il accélère. Ça va venir, je commence à le connaître. Il ne s'éternise pas.
Il me plaque plus fort. Ça vient. Il se crispe au fond de moi. Bien au fond. Il jouit.
Tout s'arrête. Il me tient toujours fermement. Il profite de son plaisir. J'adore.
Il se détend enfin. Ressort et m'invite à le nettoyer.
Je m'exécute. A genoux de nouveau. Je lèche. J'avale. Je nettoie sa bite avec ma bouche. L'odeur et le goût de mon cul m'excitent. Elle doit être nickel.
Je sens son jus couler sous moi.
Il se rhabille. Me roule une dernière pelle. Il adore ça après que je l'aie nettoyé. Puis il me laisse planté là comme d'habitude.
Il me sifflera quand il aura de nouveau besoin de se vider... demain ou après demain sans doute!
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Voilà, dernier réveil en Afrique du Sud 😔. Je suis à la fois excité de notre vol de ce soir et de revoir notre chez nous et nos animaux, et de vous revoir vous !! mais à la fois triste d’arriver au terme de ces belles vacances 😍.
Nous commençons notre journée par le petit déjeuner. Et comme annoncé dans le post d’hier, ce sera fruits et yoghurt 😂. Pas de bouche en feu pour ce matin 😁Ensuite on prépare nos sacs, faisons le check-out et demandons si nous pouvons laisser nos bagages à l’hôtel pour la journée.
On commande notre Uber direction l’apartheid museum. Dès notre arrivée, on est tout de suite mis dans le bain. On reçoit chacun un ticket sur lequel est inscrit si nous devons emprunter l’entrée pour les blancs ou celle pour les noirs. La séparation ne dure que quelques mètres, mais ça fait tout bizarre 😅. Ensuite commence le musée. Au début j’ai un peu de mal à crocher, jusqu’à l’histoire de Nelson Mandela et au début des arrestations des militants noirs, où j’ai plus été pris par l’histoire. Il y a une salle où le plafond est recouvert de corde pour se prendre. Il y en a au moins une cinquantaine. Elles représentent les personnes victimes d’exécutions politiques. Ça fait froid dans le dos, l’atmosphère est lourde dans ce musée. Vers la fin de l’exposition, ils diffusent des films d’archives sur des écrans. Je ne suis pas resté longtemps dans les salles. Les films étaient extrêmement violent, rien n’était censuré. Nous avons mis plus de deux heures à faire le tour du musée. Il est presque 13h lorsque nous arrivons à la cafétéria où nous mangeons quelque chose avant de prendre le bus.
Nous nous rendons à nouveau à Rosebank, où nous faisons quelques derniers achats. Sur le coup des 16h, nous appelons un Uber pour retourner à l’hôtel chercher nos affaires. Il y a beaucoup de circulation pour arriver au centre ville, mais ça va on a prévu de la marge. On réorganise nos sacs en soute et nos sacs cabine (on en avait un chacun un pour venir et maintenant deux chacun pour le retour 😅), et à 17h nous prenons notre encore un Uber (mais cette fois le dernier) direction l’aéroport. Pour sortir de la ville le traffic est fluide. On avait un chouette chauffeur avec qui on a bien parlé. Surtout d’argent à vrai dire 😂 on s’est rendu compte que pour les sud-africains tous les blancs sont riches. Alors on lui a expliqué que certes on a assez d’argent pour voyager mais on ne roule pas sur l’or pour autant. Lorsqu’on lui a dit le prix de notre loyer il était abasourdi. Bon qu’on se comprenne bien, on est pas du tout en train de se plaindre de notre situation financière auprès de lui hein 😂😂, on est très reconnaissant de la chance qu’on a de mener la vie qu’on mène. Ensuite il nous parle de ces voyages, et qu’il ressent une certaine angoisse de quitter le pays. Il a peur de comment il sera traité ailleurs. Je pense que cette peur est fondée, surtout lorsqu’on qu’on connaît le passé du pays. Mais je pense qu’il risque moins de venir en Europe que nous dans les rues de Joburg 😂.
Il est 17h40 lorsque nous arrivons au terminal A de l’aéroport de Johannesburg. Nous nous rendons directement au check-in, qui a pris beaucoup de temps car il n’y avait que trois guichets ouverts. Nos sacs dépose, on passe la sécurité et la douane (on a eu notre tampon de sortie, on va pouvoir rentré ! 😘). On se dirige ensuite vers le lounge, qui n’était pas compris dans nos tickets, on l’a réservé en plus et il était vraiment pas cher, un peu plus de 20CHF chacun. Et ça en vaut la peine, il y a le buffet salé et sucré, les boissons chaudes, sodas, et boissons alcoolisées, et on a même pu aller se doucher! Ça fait trop du bien après une journée passée en ville. On est prêt pour nos 11h de vol retour pour Londres 🇬🇧!
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Je vais te faire mal...
« Je vais te faire mal tu sais ? »
Comment j’en suis arrivé à prononcer cette phrase ?
Cela fait 6 mois que S et moi sommes ensemble, quoi que cela veuille dire. Nous nous voyons régulièrement, le plus souvent que nos emplois du temps nous le permettent, nous faisons l’amour toutes les nuits que nous avons en commun et c’est incroyablement bon.
S est ouverte, et nous avons rapidement trouvé l’un et l’autre ce qui nous procure du plaisir. Pour autant, je sens que la communication est difficile pour elle. Mais pas tout le temps. Elle parle aisément de sa faculté à éjaculer par exemple (j’ai pour ma part assez rapidement identifié ce qui pouvait l’amener à cette effusion). Mais quelque chose n’est pas dit et je sens qu’elle aimerait aborder le sujet. Cependant cela ne viendra pas d’elle.
Un jour elle me dit qu’elle a lu quelques jours auparavant une nouvelle érotique. J’essaie de la questionner mais elle ne m’en dit pour le moment pas plus.
Quelques semaines plus tard je reviens à la charge et lui demande de quoi parlait cette nouvelle. Elle tourne un peu autour du pot, et ne me répond pas vraiment.
« C’était sur un blog. Il y en avait beaucoup. Si je la retrouve, je te l’enverrai. »
Et de fait elle finit par me l’envoyer.
La nouvelle parle d’une femme qui participe à un jeu entre adultes. Plusieurs hommes sont assis à une table. La femme est sous la table. Une cloche retentit et à chaque tintement, la femme doit sucer un homme de son choix et si possible le faire jouir. Les hommes de leur côté ne doivent pas laisser transparaître leur trouble éventuel.
La femme n’a pas le droit de s’occuper de plus d’un homme à la fois sous peine d’être punie. Evidemment, elle fera ce qu’il faut pour être punie.
Ce que je relève, et que S me confirme d’ailleurs, c‘est l’aspect domination/soumission. « C’est quelque chose qui m’excite beaucoup. »
Je creuse un peu la question pour connaître son expérience dans le domaine. Elle me parle de contrainte, de cravache…
De mon côté je pratique volontiers la fessée et l’idée lui plait. J’émets l’idée de nous procurer une cravache et elle valide avec enthousiasme.
Il y a donc eu une nuit de découverte. De fessées d’abord qui m’ont permis de déterminer ce qu’elle était capable de supporter. Le fait est que mes mains ne semblent pas atteindre sa limite de douleur.
Nous passons donc à la cravache. Je demande à S de s’agenouiller face au mur, le cul vers moi. Elle tend les fesses. Elle est excitée.
L’expérience est nouvelle pour moi et pourtant je me glisse aisément dans mon nouveau rôle. Je teste un peu l’élasticité de l’outil et très rapidement je suis prêt. Je maîtrise le claquement efficacement. S gémit bruyamment à chaque coup qui vient lui brûler l’épiderme. Son corps ondule comme pour mieux appréhender la douleur mais jamais elle ne demande d’arrêter ni ne cherche à se soustraire à mes coups que j’intensifie pourtant avec une excitation non dissimulée.
Après cette séance, ses fesses garderont des stries qu’elle m’enverra en photo.
J’en garde un trouble que je n’aurais pas imaginé.
Quelques jours plus tard S doit se rendre dans une autre ville pour un voyage professionnel. Elle me propose de la rejoindre à l’hôtel. Je lui explique que je ne vais pas pouvoir prendre le train avec la cravache qui dépasse de mon sac. Cependant, j’ai l’idée d’un outil de remplacement. Elle me demande lequel mais je préfère le lui montrer le moment venu.
Le soir, nous sommes dans le lit de l’hôtel, je l’embrasse. Le moment est d’une tendresse rare. Nous sommes excités.
« - Je vais te faire mal tu sais ?
- Oui je sais.
- Tu en as envie ?
- Oui j’en ai envie. »
Je lui demande alors de reprendre la position de la dernière fois, à genoux, face au mur. J’ai déroulé ma ceinture en cuir, j’en ai fait une boucle dont je règle la longueur pour qu’elle ne soit ni trop longue, ni trop courte. Rapidement, je lui assène le premier coup. J’observe sa réaction. Elle gémit et tortille des fesses comme pour appeler un nouveau coup. Je m’exécute à cette injonction tacite.
Je multiplie les coups, je ne mesure pas vraiment la force que j’y mets. Elle gémit, elle crie. Parfois, je fais une pause et empoigne son sexe trempé pour y enfoncer mes doigts brusquement comme je sais qu’elle aime. Puis je reprends mes coups.
Quand j’estime que continuer pourrait la faire basculer dans une douleur prédominante qui l’empêcherait de penser l’acte, de l’intellectualiser et donc d’y prendre du plaisir, je m’arrête. Je lui demande alors de s’allonger. Je lâche ma ceinture et je m’applique désormais à lui donner du plaisir, comme pour la récompenser de sa résistance à la brûlure du cuir.
En très peu de temps elle enchaîne trois orgasmes. Elle éjacule abondamment à chaque fois et nous finissons la nuit dans une flaque.
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l'enfer c'est les autres ma foi
12.03.23, 02:21 - now playing : trop nul icare://
quand j’étais en dernière année de l’Ecole de Culture Générale, j’avais le prof de français le plus débordé que je n’avais jamais vu. c'est-à-dire, il lui est arrivé une fois de venir en classe avec deux chemises (portées donc) et il se trompait tout le temps dans le rendu de nos corrigés avec ceux d’un autre cours. je le voyais comme un passionné, s’emballant souvent dans les explications et les analyses qu’il essayait de nous transmettre. je me suis souvent demandée s’il n’était pas peut-être un peu frustré, de devoir enseigner le français à un niveau aussi intermédiaire que le nôtre. il nous demandait toujours de participer aux cours, parce qu’il voulait pouvoir construire des échanges fructueux avec ses élèves, mais ça se terminait souvent en grands monologues, avec un silence lourd dans la salle.
il s’avère que je faisais beaucoup d’absentéisme à l’école. cette année-là, je me rappelle avoir accumulé plus de 330 heures de non-présence. toutefois, son cours était celui auquel j’allais le plus. je n’y allais pas forcément parce c’était intéressant, je m’ennuyais beaucoup, mais j’aimais bien écouter ce prof, comme une radio dans l’arrière-fond, pendant que je dessinais dans mon agenda, que j’essayais d’écrire des poèmes ou encore que je geekais sur mon bigo. de temps en temps, je l'interrompais quand il amenait des opinions tirées par quatre épingles. cela me permettait d’entrer en débat avec lui et de questionner ses propos, qu’il aimait soutenir d’une ardeur un peu trop personnelle à mon goût. parfois, je le poussais tellement à bout, qu’il finissait par me renvoyer du cours (oups).
vu que c’était l’année du certificat de l’ECG, on étudiait le commentaire de texte. on devait être capable d’expliquer un passage choisi d’un livre qu’on aurait travaillé durant l’année. c’est comme ça qu'on s’est retrouvés à étudier Huis Clos. un jour, il s’exclama qu’on allait enfin pouvoir discuter de cette fameuse phrase : “l’enfer c’est les autres”. il était tellement excité, insistant grandement à ce que l’on donne notre avis sur la question. ensuite, il entama une longue tirade, comme à son habitude, afin de définir sa vision du vrai et du juste. ce jour-là, j’étais de mauvaise. c’était trop simple de lui rentrer dedans.
monsieur prof, avançait que Sartre, avec cette phrase, avait trouvé une ultime vérité : nous étions entièrement définis par la réalité que l’autre avait de notre personne. que nous n’existions que dans l’œil de l’autre et que si ce n’était pas pour eux, nous n’aurions aucune essence. il oublia de préciser que Sartre était athée et que s’il percevait les choses ainsi, c’était bien parce qu’il ne croyait pas en l’existence d’une puissance supérieure. je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire qu’il avait 100% tort de dire que ce phénomène était un véritable absolu. certes, je pouvais comprendre son point de vue, mais d’aller jusqu’à dire que notre ultime existence n’est que possible si l’on se retrouve en lien avec l'autre était absolument ridicule. je n’avais pas envie d’entendre que c’était une fatalité. parce que pour moi, les autres ne voyaient pas ma vraie valeur. donc si je devais être déterminée par eux, exister seulement grâce à eux, cela voudrait dire que je n’étais qu’un autre cliché gênant de la gow déprimée, en colère, agressive, désorganisée, intense et sombre. donc non, je n’avais pas envie de croire que ses paroles étaient tellement vraies… j’ai réagi. peut-être que c’est parce que ce qui me gênait chez lui c’est ce qui me piquait le plus chez moi. ce prof me dérangeait. et ce à quoi il me renvoyait, mes failles, mes défauts, c’était l’enfer pour moi.
bien évidemment, il a fini par me renvoyer. et je suis allée dans le bureau de la conseillère sociale. quand je lui ai raconté, elle a rigolé, levé les yeux au ciel et a dit : “c’est si drôle comment vous vous amusez à miroiter une personne à la perfection, au point où vous vous retrouvez à l’explosion et la rupture. peut-être que si vous ne preniez pas les choses aussi personnellement, vous vous rendriez compte que finalement ce que vous disiez était du pareil au même”. je ne savais pas quoi dire. elle s'esclaffa et reprit : “oh et puis c’est tellement ironique. vous êtes dans mon bureau parce que vous vous êtes fait renvoyer, et maintenant vous allez avoir une énième retenue, un mercredi après-midi, alors que vous pourriez passer votre temps à faire autre chose. tout ça parce que vous avez eu envie de questionner l’existentialité aujourd'hui. vous voyez où je veux en venir ?” elle me regarda droit dans les yeux, de ses yeux bleus perçants. c’était comme ça qu’elle communiquait avec moi parfois. à travers le regard. des messages qu’elle me faisait passer, destinés uniquement à élever ma petite conscience d’ado.
…je peux maintenant admettre que cette posture de bad teen gyal en furie était une perte de temps. d’énergie aussi, oui. l’importance que j’accordais à certains combats me paraît anodine et futile aujourd’hui. pour être honnête, je ne m’en souviens même pas de la moitié. mais de ce jour là, comme d’autres, je m’en rappelle. parce que j’ai réagi. et toujours quand je recroise les ombres de mon passé. ils m’en projettent un film muet de mémoires et je n’en vois que le miroir de mes fautes. merci à ce prof et à cette conseillère, à la lecture et la philosophie, merci à la morale et à l’éthique pour leurs enseignements inhérents. l’enfer c’est les autres ma foi, autant en faire quelque chose.
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Lettre 36
Dimanche 12 Mars 2023
Cher Hugo,
La journée post partiel a été calme. J'ai pu profiter d'une grasse matinée et trainer dans mon lit ne appréciant Dr House que je dévore encore et toujours. La série touche bientôt à sa fin et elle sera bientôt ajoutée à mon tableau. J'ai décidé de ne pas commencer à reviser trop tôt parce que j'ai de petits contrôles entre temps avant le dernier partiel de samedi.
Toute la journée, bien qu'elle ait été entrecoupée de moments différents, j'ai discuté avec Thibault. Nous avons papoté de tout et de rien, il a d'ailleurs commencé à mettre son visage à la caméra et a découvert que j'étais une multi tache. Bah oui ! Maintenant il sait pour mes comptes, l'Egypte, les crimes et aussi pour le meme game et les videos youtube. Il s'est montré très intéressé, a posé plein de questions, je le sentais très admiratif et étonné. Son ton a soudainement changé, il s'est adoucit et est devenu beaucoup plus locace. J'ai beaucoup aimé cette partie de la journée, je dois dire que sa présence me détend et je rigole beaucoup à son contact. Nous sommes visiblement jamais fatigués de discuter, jamais fatigués de l'un et de l'autre, ni même épuisés en termes de sujets. J'ai le sentiment qu'on se trouve mutuellement très intéressants et ça nous va bien. Les choses évoluent à une vitesse extrêmement lente mais dans le fond, ce n'est pas plus mal.
J'ai quand même un peu travailler parce que j'avais des contrôles de compréhension orale à faire sur Eureka pour l'espagnol. Je ne te raconte pas l'enfer ! Je n'avais tellement pas envie, une flemme immense s'était emparée de moi bien avant que je me lance. A la fin je me suis quand même prêtée au jeu pour rendre un travail propre et faire de belles phrases, en particulier quand j'ai compris que c'était noté. Au départ j'ai surtout cru que c'était un exercice à faire pour le lendemain après-midi. Alors heureusement que je l'ai fait ! Quelle angoisse ahah.
Enfin, la lettre est courte étant donné le peu de choses faites durant cette journée. J'ai aussi eu mon grand père au téléphone, nous avons conclu que nous irions visiter l'intérieur du Panthéon quand nous nous rendrons à Paris en juin. J'ai hate de prendre plein de photos et d'élargir le panel de choses faites dans cette ville. Je pense lui proposer de faire le musée d'Orsay aussi mais nous verrons. En plus ce sont de supers idées, mon grand-père a été de nombreuses fois à Paris mais n'a jamais fait le Pantheon, ca pourrait être super de partager ca avec lui. Je suis toute excitée !
J'espère que tout se passe bien pour toi et que la journée de demain sera encore meilleure. Passes une bonne nuit, je t'aime Hugo.
M.
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200924 urgence constante
+ L'importance, dans le combat, de désacraliser
240924 Va courir. Et surtout arrête de réfléchir, c'est ce que tu fais de pire.
270924 Et s'il y a du soleil, j'en prends, et s'il y a de la pluie, je laisse tomber.
+ Les arbres très excités du chemin.
+ Image: un gros pull à capuche jeté sur le haut d'une porte vitrée: que faire de la moitié déformée et qui pend derrière...
+ What you do and how then call you for doing it (the hair voltige lady) - Juan Carlos
+ Chill with violence (Juan Carlos)
280924 Ex-Hood (Josias)
290924 "in spite of suffering" (Leonard Cohen)
300924 Jean-Louis Dessalles: "Ce qui nous survit, à long terme, ce sont des informations, pas des molécules."
021024 Chanson du pianiste fantôme et on n'entend que le bruit des touches de piano pianotées, pas les notes (mais je chante)
+ Tu es le pied
Et moi l'antenne
Tu fais l'angle obtus
Je reste droit
Je capte tout
Le pied regarde
Au ras du sol
Voit la merde
Sous sa semelle
Sent sans sentir
Je reste droit
Je capte tout
Je sais déjà
Un pied qui regarde
C'est ridicule
Une antenne
C'est un fou
On n'a rien à se dire
Mais si l'on se disait tout
On verrait bien.
+ Moving forwards under falling leaves and rain - eyes open wide on the way - shining shapes brown and grey - going thoughtless into the white noise - Moving forwards under falling leaves and rain - certain of my goal - proud of my senses - eyes closed at times - Moving forwards under falling leaves and rain - not escaping anything - not trying to remember - but every now and then, an idea's putting a smile on my face - Moving forwards under falling leaves and rain -
+ J'arrête de faire du style. Parce que je veux raconter simplement qu'en montant les escaliers en essayant de ne pas faire de bruits avec mes pieds, déjà, ça me brûle moins dans les jambes, et en plus, ça me fait remettre en question le souvenir que j'ai de mon père qui m'obligeait à faire comme ça, enfant, ce que je considérais comme une violence. J'arrête de croire sans regarder. J'arrête de dire que je ne peux pas trop me servir de mon ordinateur parce que je ne peux pas trop rester devant un écran à cause de mes yeux qui me font mal: déjà, ça n'est que l'oeil droit, et puis, avec tous les e-mails que j'écris, avec toutes les vidéos Youtube que je regarde, et avec tout le porno que je me tape, en fait je peux bien taper ce que je veux. En plus, j'ai décidé d'arrêter le porno, au moins pendant 90 jours, ce qui nous rendra au 1er janvier 2025, et dans l'espoir d'en être sevré ce jour-là.
J'arrête de rêver autrement que la nuit, je reprends mon passé le plus important et je le révise. Je suis en psychothérapie depuis environ un an, je crois que ça m'aide à arriver là où j'en suis. Et à l'écrit, j'en suis peut-être à ce moment où j'ose écrire franchement, d'un trait brut, avec la confiance que c'est dans cette honnêteté que va venir s'installer un style, une patte, quelque chose qui en fait n'a pas à être beau exprès, mais que je vais laisser être. Je fais un saut risqué en avant, comme je le conseille autour de moi si souvent. Comme je le fais, de mieux en mieux, en chantant sur scène avec Josias, comme je le fais de mieux en mieux en disant non aux prétendants que je ne veux pas garder dans ma vie.
J'arrête de vouloir faire du style pour entamer ce projet qui s'appelle encore Marseille mais dont le nom évoluera, je crois. Je vais parler de mon père, de la ville que je connais en puzzle, de mon frère, peut-être un peu de ma mère, de Fabien, de Nicolas, de violence et de croyance, de trajets aller-retour du Grau du Roi à Marseille en passant à côté d'Arles et de vacances, d'immeubles, beaucoup, de nuits dehors et dedans, de lits, de jeux, d'avions et de femmes... J'ai ouvert une liste, je la refermerai quand ça fera trop. Je vais m'efforcer de ne pas m'arrêter à ce début de texte. Je tape depuis que je suis rentré de la bibliothèque, il y a peut-être dix minutes, et j'ai peu eu besoin de regarder l'écran.
+ Et voilà que j'ai envie d'écrire sur tout. Me libérer de l'onanisme dont j'étais l'esclave manuel et mental m'offre déjà, dès le premier jour de la victoire, l'appétit de donner aux réalités qui m'intéressent une face de plus. Je viens d'être objet de la magie du miel comme je ne l'avais jamais vécu. Ça n'est rien puisque c'est connu, et pourtant j'en suis heureux et j'ai envie de le dire: mon palais me brûlait à cause de tout ces bonbons au chocolats mangés plus tôt à la bibliothèque, j'ai tout de même mangé des légumes râpés, du fromage et du pain grillé, souffrant un peu de leur passage dans ma bouche, et voilà l'idée qui me vient d'éteindre le feu avec du miel, mieux qu'avec de l'eau tiède, me suis-je dit en pensée, et j'ai eu raison, l'effet en a été immédiat! Et j'ai ajouté une seconde cuillère à la dose initiale, par gourmandise, oui (du miel de bruyère, acheté au pays basque avec Manon, envoyée dans un colis par ses soins!), mais aussi pour continuer de sentir le miracle en même temps que de le vivre. J'ai commencé de me relire, mais je me suis retenu de le faire plus: je ne veux pas entendre ma voix, mon style peut-être, je veux continuer d'écrire pour le plaisir d'écrire, la joie de dire, l'émerveillement très actuel des mots qui me viennent et qui ne se bousculent pas dans ma tête, qui sortent gentiment par mes doigts, qui disent juste ce que je veux dire. Moi-même, je ne me force pas, c'est délicieux! Je repense à la nuit dernière où je me suis dit, à plusieurs reprises, que tout mouvement, tout changement, chaque toucher, virement du corps vers l'autre côté, chaque bout de rêve était agréable, dans ce temps limité (et comment dire le contraire d'arrêté?). Au réveil, j'avais mal à la hanche, à l'œil, au ventre. J'ai écrit un jour qu'il se passe la nuit des choses terribles dans le corps et qu'il faudrait ne pas être là, eh bien, la nuit dernière, c'était le contraire. Je sens que les sons, la musique, recommence à guider le choix de ce que je dis, je laisse faire mais je garde le sens comme priorité, c'est certainement cet équilibre-là qui vaut le mieux. J'ai l'impression de dérouler un fil que j'ai enroulé jusque là, économisant mes efforts avec la petite satisfaction de préparer un moment, ce mouvement qui commence. Ce soir, je suis heureux d'écrire et ça ne me paraît pas vain. Je pense bien à Manon et à d'autres lecteurs potentiels mais là aussi, équilibre: je laisse cette considération sur le bord de la route. Je fais l'expérience de dire et je jouis du processus, pour moi, et je montrerai ça demain ou plus tard, si j'en ai l'envie. Je sens mon attention déviée, ma concentration décroitre. Évidemment, le grand responsable en est ce smartphone allumé sur le côté droit du bureau. Mais voilà que ce mot, bureau, me replonge dans les images qui viennent de moi: mon bureau! J'en parle, oui, d'habitude, mais ça me donne rarement la fierté que je ressens à l'instant présent. J'écris un texte sur mon bureau, je tape un texte, je rédige en inventant des phrases qui traduisent ce que je ressens! Fierté, je vais de l'avant, vorwärts, comme j'aime le dire! Je suis séché, je m'arrête, de parler cette fois.
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Chapitre 06 : Achats et Baguettes - Part 3
Une fois sortis, nos jeunes sorciers allaient ensuite à la boutique de potion où ils font la rencontre de M.Parry Pippin puis ils sont allés voir M.Timothy Teasdale qui dirigeait The Magic Neep pour acheter quelques graines. “Bon je crois qu’on a presque tout. Il nous reste plus que la baguette magique.” Dit Helena qui vérifia la liste. Lorsqu’elle fit référence à l’achat de la baguette, Nolan fut comme excité comme jamais d’avoir enfin sa propre baguette magique. “Oui !!! Allons s’y vite ! Je n’attends que ça !” “Doucement Nono. La boutique ne va pas s’envoler.” gloussa Helena. “Oui, oui , on y va.” Dit-elle en marchant en direction de la fameuse boutique d'Ollivander. Le point le plus important pour ne deux jeunes sorciers qui allaient avoir enfin leur propre baguette. Une fois devant la porte de la boutique de baguette, Helena s’arrêta pendant un instant comme figée d’une certaine émotion nostalgique. “En nous y sommes ! Tu es prête à avoir ta baguette ? … Tout va bien Hele ?” demanda le jeune homme qui pencha la tête envers sa sœur qui semblait perdue dans ces pensées. “Oh ! Oui pardon Nono … ce n’est rien. Tu sais … juste une sensation de déjà vu … enfin … tu vois … “ dit timidement la fille blonde un peu mélancolique mais la main de son frère à de quoi la réconforter et la rassurer. “Oui je sais. Ne t’inquiète pas. Dis toi que tu as toujours rêvé de ce moment d’avoir ta propre baguette ! Que ton rêve se réalise enfin !” sourit le garçon au sourire doux. Une fois que Helena avait repris son esprit, le serpentard ouvrit la porte et la laissa passer comme un gentleman. “Miss Drake.” imita la vieille voix gracieuse du majordome Frédéric, de quoi amuser sa sœur. “Oh grand merci mon cher frère. Comme c’est très aimable à vous.” gloussa la fille qui rentra avec un dernier coup d'œil sur la ruelle marchande et aperçut une silhouette étrange pendant un brève instant. Nolan avait aussi remarqué quelqu’un les observer de loin mais quand il tenta de trouver la personne en question, l’observateur s’en alla en se fondant dans la foule de sorciers marchant dans la ruelle. Le jeune sorcier souffla doucement avant de suivre sa sœur à l’intérieur de la boutique. C’était toujours impressionnant de voir une boutique remplie de nombreuses baguettes mais le plus troublant fut pour les deux Drakes étaient de entendre comme des voix ou des murmures de quoi les faire vaciller car ils étaient perturbés d’entendre comme un bourdonnement de murmures, un peu comme la ancienne magie mais c’était différent. Ce pourrait il que cela provienne des baguettes ? Soudain, le bruit s’arrêta lorsqu’un vieil homme arriva à l’avant de la boutique pour accueillir notre duo Drake. “J’arrive dans une… Ah! C’est vous ! Hum, un instant je vous prie.
Ah. Hmm. - Bonjour, monsieur. Nous cherchons… - Une nouvelle baguette, oui. Ce n’est pas trop tôt. - Oui, je … “ Ce n’est pas trop tôt “ ? - Vous êtes les deux nouvelles élèves de cinquième année ? Mais qu’est-ce que je raconte ? C’est évident, vous êtes plus que spécial! De nouveaux Drake dans ma boutique hohoho ! Par la barbe de Merlin, c’est plus qu’un honneur pour moi de vous aider à trouver votre baguette. Moi qui pensais que vous iriez chez mon frère à la boutique du chemin de traverse. “ Dit l’homme surexcité en voyant les deux jeunes sorciers. Le sorcier semblait en savoir beaucoup sur leur famille.
“Gerbold Ollivander. Enchanté ! Mais nul doute que vous avez déjà entendu parler des Ollivander. Les meilleurs fabricants de baguettes au monde grâce à votre famille. Nous, les Ollivander, sommes très reconnaissant envers vous les Drakes. Je suis ravi de vous rencontrer, vraiment.” La présentation du gérant de la boutique semblait plus que enjouée mais aussi inspirait un profond respect pour la maison des dragons. “Enchanté, M. Ollivander. Je suis Nolan et ma sœur Helena. Oui, notre famille n’a pas manqué de parler de votre famille. Nous sommes plus qu'heureux d’être ici avec vous.” parla le serpentard en premier. Au début les deux enfants étaient un peu gênés la grand admirateur du vieil homme envers leur famille mais très vite ils se détendent car cela était compréhensif au vu du lien qu’ils y avaient entre les deux familles. La famille Drake avait initié la famille Ollivander, l’art de confectionner des baguettes magiques.
Mais cette information était secrète, rare sont les personnes au courant de ça, bien sur tous les Ollivanders savait et transmettait le savoir et l’information à chaque génération.
___ Part 4 -> ici
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Comment j’en suis venue à lui dire « je t’aime »
(Attends une minute je vais me servir un gin)
Je ne pose pas la question, je connais très bien la réponse.
Je tombe facilement amoureuse. Après tout j’ai dit à Daddy que je l’aimais dès le premier soir.
Je ne fais pas partie des gens qui trouvent que ce mot est difficile à dire ou qui lui accordent une si grande importance. Je dis souvent à mes amis des phrases comme « OK bonne journée je t’aime »
Mais c’est toujours délicat de dire à un amant, après moins de 10 rencontres, qu’on l’aime, parce qu’on ne sait pas comment il va l’interpréter. Dans ce cas-ci je sais exactement pourquoi je l’ai dit à la Licorne américaine.
Parce qu’il m’a offert une version de moi que je trouve belle.
Il a décidé de m’appeler « chimie »
Ça en dit long sur l’énergie qu’on avait ensemble. L’impression d’avoir un nouvel ami qui sera dans ma vie pour longtemps, une confiance qui fait que j’aurais fait beaucoup de choses pour lui. Il a écouté mes désirs, mes limites et ma vulnérabilité, et a décidé de m’offrir tout ce qui était en son pouvoir pour que je puisse les repousser.
Il commençait chaque scène en me disant ce qu’il avait comme plan pour la soirée. Il s’assurait à chaque 25 coups que j’étais correcte, que je savais encore c’était quoi mon safe word.
Et après m’avoir torturé physiquement ou mentalement (enfin, c’est ce qu’il pense qu’il faisait parce que c’était assez soft), il me couvrait de baisers et de hugs en me disant que j’avais été une bonne fille. On rigolait dans les bras de l’autre en planifiant déjà notre prochaine rencontre. On dormait ensemble collés.
Entre deux dates, il me posait des questions pour savoir s’il pouvait aller dans telle ou telle direction, si je préférais qu’il agisse d’une façon ou d’une autre, et pendant ce temps, j’étais excitée, seule à la maison, en attendant de le revoir.
On a rien fait de si compliqué, on a acheté quelques accessoires pour pouvoir essayer des choses, il a bien mis quelques glaçons ici et là sur mon corps, ou encore il m’a bandé les yeux pour me laisser ressentir les choses qu’il me faisait… Mais ce que je trouve le plus beau c’est qu’il m’a ouvert tout un nouveau monde de possibilités qui fait que même si je sais qu’il repart chez lui et que je ne le reverrai pas avant quelques mois, j’ai juste envie de continuer à pousser ce qu’il m’a inculqué. J’ai déjà quelques plans dans ma tête. J’y ai pensé toute la journée. Je vous en reparlerai.
Quand je lui ait dit « okay, je vais le dire, je t’aime », ça faisait déjà 3-4 dates que je voulais lui dire.
Juste parce que je me sens bien et qu’il s’occupe bien de moi. Il est venu par dessus moi, m’a encore embrassé et m’a dit, en français avec son accent trop mignon, « je t’aime aussi ».
On s’est réveillés en retard ce matin. Je lui ai dit qu’il pourrait lire ma lettre d’adieu (ou de remerciements, je ne sais plus ce que j’ai dit) sur Tumblr.
Son vol est demain.
Et moi j’ai plein de textes de non-fiction avec du spanking, des poupées, des jouets et des kinks à écrire.
C’était un excellent plan de cours, professeur.
Love you.
- Chimie
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L'IMPORTANCE DE NOTRE VIE DE DÉVOTION
On dit que le petit-déjeuner est le repas le plus important de la journée. Bien que je préfère commencer la plupart des matinées avec mes trois œufs brouillés standard et une tasse de café, je dois respectueusement être en désaccord avec ce sentiment populaire. Le repas le plus important que vous et moi devrions consommer quotidiennement consiste en un temps concentré avec Dieu dans sa Parole et dans la prière (Ps. 1 : 1-2).
Pourtant, même si vous et moi avons besoin d’une vie de dévotion cohérente, beaucoup d’entre nous ont du mal à suivre le rythme. Nous commençons plus de mois de janvier que nous ne voulons l'admettre, excités par les grands projets de lecture de la Bible entière au cours de l'année, mais le plus souvent, nous nous retrouvons quelque part au milieu d'un autre sacrifice dans le Lévitique.
Pourquoi ce passage constant de l’enthousiasme à l’apathie ? Quand je pense à ma propre expérience et à celle de ceux dont j'ai été le pasteur au fil des années, je crois que la qualité et la cohérence de notre temps quotidien dans la Parole de Dieu augmentent et diminuent en fonction de notre rappel de pourquoi cela est important en premier lieu.
La vérité est que rechercher Dieu par la prière et le temps passé dans sa Parole n’est pas toujours facile, amusant ou naturel pour nous. Cela demande des efforts et de la discipline. Si vous êtes comme moi, l’effort et la discipline sont de courte durée lorsque vous oubliez le pourquoi qui motive ce à quoi vous êtes appelé.
La Bible est remplie de riches motivations pour faire de notre vie de dévotion une priorité, mais par souci de brièveté, permettez-moi de vous en rappeler trois.
La Parole de Dieu révèle la volonté de Dieu
En tant que pasteur, je conseille régulièrement les personnes qui tentent de discerner la volonté de Dieu. Pour cela, je suis très reconnaissant. Je suis reconnaissant que la plupart des chrétiens se soucient sincèrement d’honorer Dieu dans leurs décisions et dans leur vie quotidienne. Malheureusement, trop de chrétiens se plaignent de leur désir de connaître la volonté de Dieu avec une copie fermée de la Parole de Dieu à leurs côtés. Le Psaume 119 : 105 dit : « Ta parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier. » Nous devons ouvrir le Livre.
Quel don que Dieu ne nous ait pas laissé à de simples spéculations, mais nous ait en fait bénis avec la révélation de Sa volonté dans Sa Parole. Nos chemins seront plus droits et nos décisions seront plus fortes si nous accordons la priorité à une méditation régulière sur la Bible. Peu de choses vous inciteront à approfondir les Écritures comme savoir qu’à travers elles, Dieu révèle sa volonté.
La parole de Dieu nous rappelle notre péché
Dans Romains 7 :7, Paul nous rappelle que « sans la loi, je n’aurais pas connu le péché ». Les Écritures mettent en lumière ce qui se trouve réellement dans nos cœurs et dans nos vies.
Dans notre salon, nous avons une vieille commode remplie de jouets de nos enfants. Cette commode en particulier a fière allure, jusqu'à ce que nous ouvrions les stores et laissions le soleil la frapper. Le soleil révèle chaque bosse et chaque bleu que de nombreuses années d'utilisation lui ont infligés. La lumière révèle ce qui est réellement là. Les Écritures ont le même effet dans nos vies.
Je ne me souviens pas d'un moment passé dans la Parole et dans la prière où je ne suis pas reparti convaincu d'un manque spécifique dans ma vie. Chaque fois que je lis, je me souviens des normes saintes et parfaites de Dieu et de mon incapacité totale à les respecter. Ce rappel régulier de mon péché aide mon humilité et me maintient dépendant de sa grâce.
La Parole de Dieu ravive nos cœurs
J'ai besoin de me ressourcer régulièrement. Le café a un moyen de me revigorer l’esprit le matin. Le sommeil a le pouvoir de raviver mon corps la nuit. Un bon rire avec un bon ami est un moyen de raviver mes émotions. Mais seule la Parole de Dieu, par la puissance de l'Esprit de Dieu, a le pouvoir de raviver nos cœurs – le siège même de tout ce que nous sommes.
Dans le Psaume 119 :50, le psalmiste prie : « Ceci est ma consolation dans mon affliction, que ta parole m'a ranimé. » L’ensemble des Écritures nous montre qui est Jésus et ce qu’il a accompli en notre faveur à travers sa vie, sa mort et sa résurrection. L’Esprit de Dieu utilise la Parole de Dieu pour remplir à nouveau nos cœurs d’amour, de joie, de paix, de patience et du reste des fruits qu’il nous a promis (Galates 5 : 22-23).
Ne manquez pas une autre occasion de vous agenouiller, d'ouvrir le Livre de Dieu et de le supplier de raviver votre cœur de la manière dont Lui seul peut le faire.
De toute évidence, les raisons pour lesquelles nos vies de dévotion sont importantes ne manquent pas, et je suppose que peu de ce que j'ai partagé jusqu'à présent vous surprend. Malheureusement, la familiarité ne nous protège pas nécessairement des motivations légalistes qui se cachent dans les recoins sombres de notre cœur. Les motivations comptent. La raison pour laquelle vous faites ce que vous faites est tout aussi importante que ce que vous faites.
La prière n’est jamais le prix que nous payons pour rendre Dieu redevable. La lecture de la Bible n’est jamais un moyen de mériter l’approbation de Dieu. Nous ne construisons pas une vie de dévotion pour que Dieu nous aime. Nous construisons une vie de dévotion parce que, en Christ, Dieu nous aime déjà. Si votre vie de dévotion dégénère en tentatives d'obtention de la faveur et de l'approbation de Dieu, vous dévalorisez la beauté de la grâce de Dieu en Christ.
Ne vous y trompez pas, votre vie dévotionnelle est de la plus haute importance. Mais le motif est tout. Si vous le construisez pour de mauvaises raisons, ce qui est censé être un moyen de la grâce de Dieu dans votre vie sera perdu.
- Ryan Huguley
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