Tumgik
#HORS ES
milkyplier · 1 year
Note
IM INSANELY PROUD OF YOU TOO 💖💖💖
ALSO YOU HAVE SKILLS W HORSES???? HELLO?? TELL ME ABT HORSES PLEASE
🩷🩷🩷 YOU’RE SO SWEET I 😭😭😭
HONEY I ABSOLUTELY WILL TELL YOU ABOUT THE HORSES IM SO GLAD YOU ASKED HOLY HECK—
I started riding lessons three years ago, in June of 2020!!! I started on a sweet mare named Willow, and when we had to give her back to her old owner I switched to another spicy mare called Lady Mae, back in 2022. I love her will all of my heart, but I had to stop riding her as my primary bc we just aren’t a good match. She made me lose confidence in myself as a good rider, so I’m riding another mare called Star :D I haven’t ridden Star a lot—like once—but my riding instructor told me that she think Star will be perfect for me. My instructor has a horse, Ms. Candy, who is basically her other half—they’ve done and been through so much stuff and my instructor says she wouldn’t be who she is today without her. She says she thinks Star will be my Ms. Candy :D
I’m going to be helping to train my instructor’s horses this summer!!! She wants me to help with her OTTB mare, Saratoga, and I’ll be helping train Star especially bc she’s new around the barn :D I’m still gonna get to ride Lady Mae a bit, just not as often XD XD XD I had to stop lessons bc my parents can’t afford them but my instructor is the most awesome person in the universe and she lets me stay with her for days so I still get to see her and the mares :D I’ve come a super long way, as a rider, and I want to be exactly like my riding instructor and train horses and teach people!!! I hope to stay with my instructor a ton this summer so I can ride a whole bunch.
Uhh that was a huge info dump XD XD feel free to ask me specific questions, about my horsey experiences or even horses in general :D I love talking about them but I don’t get to a lot and I will answer to the best of my abilities!!!
I can also draw horses, so if you’d like a sketch lmk!!!
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Garroth helps out on the farm and Laurence convinces him to come on horserides with him once he notices Garroth is nervous around them. All of their horses are pretty-even tempered (minus his beloved 1000 pounds of rage) so things go well.
Granted Garroth throws up from nerves after the first time they actually go for a walk on them. Because he thought the horse was going to buck him off the entire time.
garroth is just like me fr (terrified of horses i went horseback riding once (1 time) and i was so scared the whole time (i was also supervising kids so it was. a stressful situation.)) i do not blame him but i would also go horse back riding if Laurence "Rizz" Zvahl was leading the horses and convincing me to.
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greedandenby · 4 months
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Transcript of all the French dialogue in Interview with the Vampire S2 E03 "No Pain".
You asked, yours Frenchly delivered. Bonne lecture ! (long-ass post incoming)
(did not use timestamps as these may vary, but rather scene descriptions)
Armand’s Children of Darkness:
Coven vampire: La mort punira toute infraction de la première et de la cinquième des grandes lois.
Armand sees Lestat at the theatre (performing Marivaux’s Le Triomphe de l’amour):
Lestat (as Arlequin): Ah ! Vous êtes donc des femmes !… (vous êtes deux) friponnes !… et par-dessus le marché, un honnête homme !...
Armand: Tu es le bâtard de Magnus. Je sais que tu peux m’entendre, mon enfant.
Lestat: Qui m’appelle « enfant » ?
Armand: Il est mort, n’est-ce pas ? Je peux prendre soin de toi. Je peux t’apprendre ce qu’il ne t’a pas appris. Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Mais de quoi s’agit-il, mes libérales dames ?
Armand: Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Encore plus honnête.
Armand confronts Lestat and Nicolas:
Armand (to the coven vampires): À la maison.
Coven vampires: Oui, maître. Désolés, maître.
Lestat (to Nicolas): Tu es si distrayant dans la fosse que je ne me rappelle plus du texte.
Nicolas: Je ne peux pas lire mes notes quand j’entends tes pieds sur le plancher… Nous allons nous faire attraper.
Lestat: Je l’espère… Entends-tu cela ?
Nicolas: Par-dessus tes incessantes divagations ? Comment pourrais-je entendre quoi que ce soit ?... Qu’est-ce ?
Lestat: Là… Quelqu’un me regarde.
Nicolas: Tu es toujours au centre de l’attention.
Lestat: Il pense que je ne sais pas qu’il est là.
Nicolas: Est-ce encore de la poésie ?... Viens plus près de mon oreille. Je peux seulement comprendre quand tu t’approches.
Lestat: En pardessus.
Armand: Gardes-tu ce garçon comme aide-mémoire ?
Nicolas: Lestat, connais-tu ce gitan ?
Armand: La solitude que tu ressens, il ne l’atteindra jamais. Sois avec les tiens.
[Side note: they translated « the loneliness you feel, he will not reach it » for « atteindra », but i think Armand is actually saying « il ne l’éteindra jamais », in the sense of « he will not extinguish it ». It makes a LOT more sense.]
Lestat: Et abandonner mon gilet à carreaux ? Mon col jabot ? Vivre comme une larve ?
Nicolas: Lestat, que se passe-t-il ?
Lestat: Rien. Il n’est rien… Bonne nuit, homme étrange !
Armand: Lestat ! Là !
Nicolas: Lestat ?
Lestat: Nicki !
Armand: Tu ne lui as pas révélé ta vraie nature, n’est-ce pas ?
Lestat: Quel est ce pouvoir ?... Je n’ai pas ce pouvoir !
Armand: Mais tu l’auras. Tu as le sang de Magnus. Tu gâches ton potentiel en menant cette vie-là.
Lestat: Relâche-le ! Relâche-le !!!
Armand: Et voici un buveur de sang !
Lestat: Qui es-tu ?
Armand: Je suis Armand. Je suis le chef de ton clan.
Lestat: Nicki !
Armand: Ramène ton gilet chez les larves, veux-tu ?
Lestat confronts the Children of Darkness:
Armand: Je suis heureux que tu sois venu. Il est sain et sauf.
Lestat: Il est saigné. Il ne se réveille pas… Est-ce si amusant de vivre dans une telle saleté et la puanteur ?
Coven vampire: Nous devons servir Dieu au travers de Satan et au travers d’Armand.
Lestat: Ah… Une trinité crottée.
Coven vampire: Tu vas attirer la colère de Dieu sur nous avec tes péchés !
Lestat: Qui sont ?
Coven vampire: Tu vis parmi les mortels ! Tu marches dans le temple de Dieu !
Lestat: Il parle de l’homme triste avec les mains clouées ? Ah… Bien. C’est un arbre tombé. Raboté simplement pour les simples d’esprit. Du même arbre, on fit le pied d’une table et, là, une flûte ! Rampez hors de cette prison qu’il bâtit pour vous… Dieu… Satan… Armand… Est-ce vrai ? Hm ? Nous sommes les Dieux. Vous êtes les Dieux !
Lestat visits Armand:
Lestat: Que s’est-il passé ?
Armand: Je pourrais parler jusqu’à la fin du monde sans jamais te dire tout ce que tu as détruit ici.
Lestat: Nous sommes seuls. Satan ne nous écoute pas… Comment transformes-tu l’air en feu ? Comment bouges-tu des objets par la simple force de ton esprit ?
Armand: Demande-t-il, tout en dansant dans les cendres… Tu as fait de ton Nicolas l’un des nôtres ? Est-ce que le garçon a accepté le don ?... Trop fragile. J’aurais pu te prévenir.
Lestat: Il s’en remettra.
Armand: Certainement pas.
Lestat: J’ai une idée.
Lestat performs for Armand at the theatre (again, Le Triomphe de l’amour) :
Lestat (as Arlequin): Oh ! Mes mignonnes, avant que de vous en aller, il faudra bien, s’il vous plaît, que nous…
(As Lestat) Ils viennent accompagnés, séduits dans un élan collectif. Ils rient ensemble, pleurent ensemble.
Armand: Qu’est-ce, pour un vampire ?
Lestat: Une opportunité. Hamlet est mort sous les coups d’une lame empoisonnée, mais l’acteur qui gît sous leurs yeux respire encore. Dans ce temple, croire protège. Annonce que tu es un vampire. Bois le sang à la vue de tous. Mets en scène les rituels de ton clan, pas depuis les égouts mais depuis le premier balcon.
Armand: Je n’ai pas de clan. Tu m’en as privé.
Lestat: Au contraire, maître.
(as Arlequin): Je n’ai encore qu’un commencement d’envie de n’en plus faire.
Outside the theatre:
… assouvir vos cruelles envies au théâtre des vampires !
At the theatre performance:
Victim: J’ai tant d’années ! Tant d’années !
Theatre vampire: Des années ? La mort ne respecte pas l’âge !
Armand: Regarde comme ils sont immobiles. Ils croient vraiment que c’est une pièce de théâtre. Des clous sur une porte à Wittenberg. Tu as mené une réforme, Lestat.
Lestat: Nous l’avons fait ensemble.
Armand: Tu fais une meilleure Mort.
Lestat: La faux fait tout le travail.
Armand: Après une centaine de nuits ici, tu t’ennuies déjà ?
Lestat: Seulement avec le jeu d’acteur… Allons-y.
Armand: Ici ? Maintenant ?
Lestat: C’est une loge spacieuse.
Armand: Il nous observe.
Lestat: Il devrait regarder sa partition.
Armand: Lestat… Je t’aime.
Lestat: Oui… Je t’aime aussi.
Aaaand that's it (for now), folks! Will do subsequent episodes if there's more French in them (more likely than not!). Bisous !
Episode 2 here
Episode 4 here
Tagging the peeps who requested: @nalyra-dreaming @indelicateink @chicalepidoptera @zailafaneez
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starlightomatic · 1 year
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Kapitl א
AN: A groisse shkoyach (farshteyst, val bin ikh goffish) tzu mayn chaverte (ekh, nisht in deye veg) raven, bloodytearz666 far helfen mir mit der shpil un oislaig. Du bist gevaldig! Justin du bist der gelibter far mayne troyerike lebn du bist gevaldig oikh! MCR IS GEVALDIG!!
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Shulem aleichim, ikh hayst Ebony Khoyshekh Dementia Raven Way un hob ikh lange shvartze hor (dos is vi hob ikh gegat mayn numen) mit lila shurus and royte etzus vos gait tzu mitn rukn un ayzik bloye oygn mit klore trern un a sach menschen zogn az ikh kuk vi Amy Lee (AN: oyb du kenst ir nisht gey avek!). Gerard Way is nisht fun mayn mishpoche ober ikh vil az es is emes val er is a gantze heysele. Ikh bin a vampyr ober mayn tzayn zenen glaych un vays. Hob ikh blas vays hoys. Ikh bin okh a machsheyfe, and ikh gey tzu a magish shule hayst Hogvarts in Aingland. Dart bin ikh in di zibeten yor (ikh bin zibetzen). Ikh bin a goth (oyb di kenst nisht kenen) un ikh trogn a sach shvartze klayder. Ikh hob lib Heisse Topic un ikh koiffen alle mayn klayder fun dort. Tzum bashpil, haynt hob ikh getrogn a shvartze korset mit vos richtn shnirl arum im un a shvartze kleyne-shesl, rozeve fishnetz un shvartze milchome-shvitlech. Ikh hob getrogn shvartze lipnshtift, vaysse yisud, shvartze oygn-leyner, un royte oygn-shotn. Ikh hob gegangen aroys fun Hogvarts. S'hot geshneyen un geregnt az s'iz geven un zun, az ikh bin geven gantz gliklech. A sach prepz hob gekukt af mir. Ikh gelaygnt aroyf mayn mitn finger af dem.
"Shulem aleichem!" hot a kol geshrign. Ikh hob gekukt. S'iz geven... Drako Malfoy!
"Aleichem shulem, Drako. Vos hert zikh?" hob ikh gefragt.
"Gornisht." er hot gezogt, shemevdik.
Ober, ikh hob gehert mayn chaverim rufn mir un ikh hob muz gegangen.
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
AN: S'IZ GUT?? BITE zogt mir shkoyach!
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repulsiveliquidation · 10 months
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La Princesa
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[Ona Batlle x Reader] Part 1.5 of [She's going to be okay.] [Royalty] [Angel in the House]
Days with La Princesa!
“Patri! Help me with the cake, will you?” you yell through the house. Lucy is helping Kiera bring out the hors d'oeuvre as you were tasked with the massive cake Alexia had gotten. Ona’s mother insisted on having dinner with everyone so a large table was set up outside. The whole team was here, some of your England teammates had made the trip too since the party was during Christmas break.
Speaking of Ona, she was sat on the back porch with a virgin margarita in hand chatting away with Alessia, Ella and Grace. Leah was helping set the table as Georgia fanned away at the barbeque. There wasn’t a quiet corner anywhere, everyone buzzing since the announcement of the baby’s gender. La Princesa was the talk of the town, Ona’s hand rubbing her belly affectionately every time anyone spoke about her. It was a new habit, one that you had many pictures of on your phone.
There were steaks, seafood and piles of vegetables as everyone helped themselves to all the food. You were cutting up some steak for Ona (because she’s the OG La Princesa) when Mapi cleared her throat at the end of the table. Everyone groaned and rolled their eyes when she stood up, signature grin on her face. This couldn’t be good.  
“I would like to propose a toast to our team mom and dad. Y/N, you take care of us and make sure we’re okay. You notice things that many people would simply ignore. You’ve been there for us more than we deserve. Ona, you’re always ready to help any one of us at the drop of a hat. You are the sweetest person I know, I love you for that. The two of you are perfect together, no need to thank me for setting you two up. But because of that I propose we name La Princesa after me. Thank you, I love you both, ¡Salud!”
“As touching as that was Mapi, we are not naming our daughter after you.”
“A middle name will do.”
“Absolutely not.”
“Okay, okay! We have presents to open, cake to eat! Let’s head inside!” Leah called, ushering everyone inside as the girls began to quickly clean up. Once everyone settled inside, you helped Ona on the couch beside you, wrapping your arm around her shoulders as she leaned into you while everyone else brought over their presents.
“Are you okay, darling?” you ask her, kissing her forehead softly as you rub her arm.
“Sí, she’s been kicking a lot. I’ve also needed to pee too many times today.”  
“Our little footballer. I love you so much.”
“I love you too, mi amor.”
“Are you sure I can’t convince you of just one name; we are Spanish, she can have several names.”
“No, Mapi!” you both yell at her, Ingrid yanking her to the kitchen to help serve the cake.
//
“Oh Patri, it’s adorable!”
“How did you even get that?”
“Mamí, Esto es perfecto!”
“Girls, I didn’t think they MADE these!”
You heard Ona and the girls opening gifts in the living room. You were putting away all the extra food in the kitchen when Alexia walked in with another dish. She smiled awkwardly, being quiet. You didn’t push it, wiping your hands and moving the containers into the fridge. Suddenly she cleared her throat and you turned to look at her.
“What’s wrong?”
“Ona told me.”
“What exactly did she tell you?”
“That you wanted me to be La Princesa’s godmother.”
“Oh, yes. Do you want to be?”
“It would be my greatest honor. But, why?”
“When we were thinking about it, only you came to mind. Don’t get me wrong, I would die for all those girls out there and I know they would do the same for my family. But I know without a doubt that if something happened to me, my girls would be safest with you.”
“You are my family too, I will protect them with my life; I promise you.”
“I love you, Ale. You’re a sister to me, I don’t think you understand how important that has been to me over the years.”
“And you for me, hermosa. I love you too.”
//
“Baby? We’re home, love.” You shook Ona softly and as she woke, you walked over and opened her door for her. She climbed out slowly, feet swollen and aching from being on them all day. She was too stubborn to ask you to carry her, walking gingerly into the house. You were grabbing stuff from the boot of the car when you saw her walking slowly. You put everything down and walked up beside her, gently picking her up into your arms. She giggled and held onto you as you walked into the house with her and laid her in bed. She kissed you cheek and whispered an accented “thank you,” before you walked back out to grab all the gifts and bags from the car. Dropping them on the dining table to be dealt with tomorrow, you walked into the bedroom to find Ona already asleep again.
Chuckling, you slowly take her shoes off and slip your jersey she was wearing off before pulling on one of your hoodies over her small frame. It swallowed her but she snuggled into it anyway. You make quick work of yourself, changing into shorts and a sports bra before climbing into bed behind her. She searches for you in her sleep, reaching out and holding onto your arm as she goes back to sleep. You smile fondly, hand rubbing soothing circles over her belly and whispering “I love you girls,” before falling asleep yourself.  
//
“That’s not the right one.”
“What do you mean, this is exactly what you sent me to get.”
“No, I wanted the blue one, this is red.”
“Angel, you asked for red.”
“I remember asking for blue, Y/N.”
You sigh, shoulders slumping in defeat. Ona was having a bout of crazy cravings that began at 3 in the morning. She sent you to the shops to look for Chips Ahoy (a/n don't ask, they are my current obsession.) the other night but they didn’t have them so you bought a different kind and put it on a plate for her with a glass of milk like she requested. She took one bite and knew they were wrong, immediately starting to cry.
“Please Mi Reina, it’s late. You have a checkup tomorrow, we need to sleep.”
She sniffled, “But I wanted Chips Ahoy.”
“I know baby but all the stores I went to didn’t have them. I’ll go look tomorrow and buy them for you, okay? Please darling, you need to sleep.”
“You better buy all the Chips Ahoy you can find, amor or it’s the couch for you.”
“Yes, your highness.”
//
“Love, please stop moving.”
“You try sleeping with a literal football inside you kicking like there’s no tomorrow.”
“When we have a second baby. What can I do for you?”
“Talk to her please. She always calms down when you do.”
You throw the covers off and move over to lay between her legs. You can just about see her face above her belly. She's smiling, eyes sparkling as she watches you talk to the baby. You rest your head on her thigh, left hand holding Ona’s, right hand rubbing her belly softly.
“Hello princess, it’s Mama. I’ve missed you, you’re getting so big already. I had a pretty good day at training, met all your aunties too. They can’t wait to meet you, you’re going to be the most spoilt little girl out there. Now, mami is trying to sleep okay? She needs her energy so we can see if you’re being a good growing girl tomorrow hm? Can we put your striker skills to the side and let your beautiful mother sleep? That’s my girl. I love you, I can’t wait to meet you.” You kiss her belly softly, leaning over and kissing Ona too.
“For your information, she’s going to be a defender.”
“Please darling, she’s already showing signs of being a wonderful striker like me.”
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pupsmailbox · 7 months
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ZOMBIE ID PACK
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NAMES ⌇ ada. adrien. aiden. aj. alice. altair. ambrosia. amy. angel. apparition. appendix. arius. arrow. arthur. ash. asher. aspen. atticus. augusta. bane. barrett. ben. benny. bernadette. bones. brain. brains. briar. caden. caleb. callan. carl. carlos. casey. casper. ciaran. claud. claudia. clay. clementine. coffin. corps. corpse. corpsie. dakota. damion. david. dearil. decay. diego. doom. dustin. echo. edward. elkridge. ellie. ember. emilee. emily. ethan. eveline. everett. flesh. frail. frailesse. frailette. frailita. frank. frankie. ghost. ghoul. ghoulette. ghoulia. ghoulita. grant. grave. graves. gravestone. grayson. griffin. grim. grimm. gutesse. harper. hazard. helen. horrell. horrelle. hunter. husk. jesse. jill. joel. john. judith. jules. kade. kaiden. kilian. klaus. kyle. lee. leon. liam. lily. luke. lurk. maggie. maggot. mangled. mara. marcus. marion. marionnette. max. maxwell. medusse. mera. merle. mira. mist. misty. mona. morb. morbesse. morbette. morbid. morgan. morganna. morgue. morguesse. morguette. mort. morte. morticia. mould. muerta. muerto. mura. mutt. myra. myrtle. necro. necros. nemesis. neo. nick. nikolai. nox. nyk. nyx. octavia. ophelia. parker. perseus. plague. priscill. quille. rain. raine. rayne. resurrect. resurrection. revenant. riley. rob. roman. rookie. rose. rosemary. rosie. rot. rotesse. rotette. ruin. ryan. saifu. sam. scar. scaresse. scarette. scarlett. scottie. scratch. shade. shadow. shaun. six. skull. slash. slashesse. slashette. slug. star. stitch. stitches. stitchie. stitchy. strike. sydney. tank. thorn. thorne. tomb. trickie. valentine. vamp. vertebrae. vex. victor. violet. virus. walter. wesker. wren. wyatt. z. zack. zed. zeke. zob. zoe. zomb. zombesse. zombette. zombina. zombita. zomblita. zon.
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PRONOUNS ⌇ axe/axe. ba/battle. bite/bite. bleed/bleed. bleugh/bleugh. blood/blood. bo/bone. bone/bone. brain/brain. break/break. chain/chain. coff/coffin. coffin/coffin. cor/corpse. corpse/corpse. corr/corrupt. craw/crawl. dark/dark. de4/de4th. de/de4d. dea/dead. dea/defeat. dead/dead. death/death. decay/decay. decay/decayed. dir/dirt. empty/empty. end/end. es/escape. evil/evil. fa/fate. fang/fang. freak/freak. fright/fright. fungi/fungi. ghou/ghoul. gloom/gloom. gore/gore. grave/grave. green/green. grim/grim. grim/grime. gun/gun. gut/gut. ha/harm. holy/holy. hor/horror. horde/horde. hurt/hurt. hx/hxm. hy/hym. infect/infect. it/it. ix/ix. k1/k1ll. ki/kill. kill/kill. lab/lab. li/lich. lurk/lurk. mo/mold. mold/mold. morbid/morbid. mou/mourn. mould/mould. mu/mutant. mutant/mutant. nec/necro. prey/prey. rain/rain. reap/reaper. rib/rib. rip/rip. rot/rot. rot/rotten. rotten/rotten. sa/sacrifice. sa/save. scar/scar. sea/search. shatter/shatter. shoot/shoot. shx/hxr. sick/sick. slit/slit. snarl/snarl. thxy/thxm. thy/thy. tomb/tomb. tri/tricked. un/dead. undead/undead. vamp/vamp. vi/virus. viru/viru. zo/zombie. zom/zombie. zomb/zomb. zomb/zombie. zombie/zombie. ⚰️/⚰️. 🍖/🍖. 🧟/🧟. 🧠/🧠.
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willcmsv · 2 months
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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lisaalmeida · 4 months
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♡ ELLE ET LUI ♡
-Il lui dit sans bruit…
“Tu es comme la mer,
Toujours changeante,
Toujours nouvelle…
Parfois calme, ondulante,
caressante, vagues après vagues,
Tu m’entoures,
Guérissant mes blessures, Apaisant mes peurs…
Parfois furieuse,
Tes flots me secouent,
Tes eaux me giflent,
Burrasqueso après bourrasques,
Ton Amour me façonne,
Abattant mes digues,
Sulptantc mon corps,
Forgeant mon âme…
Tout entier, tu me laisses entrer…
Dans ton cœur je suis un Dieu.
Toujours je te désire, toujours je t’aime.”
-Elle lui répond en silence…
"Tu es comme un récif,
Solide, ancré jusqu’au fond de moi…
Toujours présent
Malgré mes tempêtes,
Malgré mes creux,
Tu te tiens à mes côtés.
Fier, dressé vers le ciel,
Tu gardes toujours la tête hors de l’eau, m’empêchant de me noyer…
Fragile, tu te laisses aussi caresser,
Bercer contre mon cœur,
Contre mon corps.
Tout entière, je m’offre à ton regard…
Fans tes yeux je suis une Déesse.
Toujours je t’aime, toujours je te désire.”
~Jean-Philippe Ruette
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aleatus177 · 5 months
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Other drawing i did like… months ago, still one of my favorite drawings
anywayyyss
i LOVE crows, they’re so cute and i want my best friend to be a crow (perdón Luna, no es como que vayas a ver esto)
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2 hors 43 minutes and 28 seconds :DD
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thewhumpcaretaker · 3 months
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⚜ 𝕋𝕙𝕠𝕤𝕖 𝕎𝕙𝕠 ℍ𝕒𝕧𝕖 𝕊𝕠𝕞𝕖𝕥𝕙𝕚𝕟𝕘 𝕥𝕠 𝕃𝕚𝕧𝕖 𝔽𝕠𝕣 - ℂ𝕙. 𝕍: 𝔻𝕚𝕤𝕔𝕣𝕖𝕥𝕚𝕠𝕟 ⚜
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*✧・゚: *✧・゚ ✧.*★ Thank you to @evren-sadwrn for the beta read!
Summary: As promised, Chidi helps Vincent get out of his fencing clothes.
TW: smut (anal), lack of aftercare, jealousy, bickering, violent thoughts
Author's Note: I accidentally stole the line "I didn't say you could leave" from Evren in this Vincent x Chidi fic that you should definitely go read!
A golden lock clicking into place. Salt. Vanilla. Roses. Sweat and too-sweet cologne, gathered in the hollows under Vincent’s collarbones. Unspeakable scent of something at once princely and animal. Glowing skin, haloed in heat that touches the lips even before they make contact. Smooth hardwood slamming into his back, a weak but insistent hand pinning him against the door by the throat, a velvet tongue forcing its way between his teeth. Chidi felt these sensations hurled at him, like diamonds thrown into his lap. A hardness that physically struck him, so sudden and powerful it ached.
And then it pulled away just as suddenly. “Déshabillez-vous. [Strip.]”
Of course, Chidi obeyed. He was naked in front of the Comte now, and anything could happen to him. Vincent could humiliate him, mock him, even report him for indecency just for a laugh. And he didn’t care. It was only in his own eagerness that he realized how badly he had wanted this, that he had pined for it not just in these strange few days, but for years. Probably from the first moment he laid eyes on Vincent and felt something devastatingly vulnerable stirring beneath those glassy green irises.
That same vulnerability was stirring there even now as the Comte surveyed him, a hunger for soul-deep contact, a demand to be seen and to be worshipped. What was it, exactly? How was it conveyed? Was it in that half-lidded, unfocused sort of drooping? The way those pupils seemed to fix on no particular point and then to fix on him for just a fraction of a second, not daring to look for any longer? Whatever it was, it made him ravenous, it hardened his muscles to the point of trembling as his whole body tried to become Vincent’s rock, Vincent’s safe place to rest.
Was this really happening? He pulled away the fencing jacket with pure reverence, slid the puckered fabric of white slacks down over endless thighs until a pretty, glistening, rosy thing exposed itself to him, stealing his breath. He was really seeing his master’s cock, after trying not to picture it, trying to respect it, trying not to even look there... And now he could stay there, kneeling, to slip Vincent’s shockingly delicate feet out of now-scuffed white shoes, with that gorgeous length (proportionate to the Comte’s height) at the level of his lips.
All he wanted was to put it down his throat.
“Que dois-je faire pour vous, monsieur ? [What should I do for you, sir?]”
Vincent saw him looking, but only laughed. “Montez sur le lit. Face cachée. [Get on the bed. Face down.]”
Oh.
The heavy, embroidered comforter that he had hesitated even to touch a few days ago pressed up against his chest, his navel, his cock. Every thread stood out in urgent vividness, an anticipation of pleasure and pain. How long had it been since he’d been with another man? Not since he had joined the Myrmadons, that much was certain. Their lifestyle left little room for leisure, and even less for privacy. “Monsieur, je suis… hors entraînement. S'il vous plaît, soyez doux avec moi. [Sir, I am…out practice. Please be gentle with me.]”
There were hands sweeping over his ass, as if studying its shape. Vincent’s voice was casual, conversational. “Tu sais, tu es le seul à pouvoir me parler de cette façon et à avoir un espoir d'être entendu. Je crois que je t'aime bien. Tu m'as intrigué, l'autre jour, avec ce pétale de rose. Assez pour que je pense que j’aimerais faire ça de temps en temps. [You know, you are the only one who can speak to me that way and have any hope of being heard. I think I like you. You intrigued me, the other day, with that rose petal. Enough that I think I’d like to do this from time to time.]” The hands pulled away and he could hear the movement of a drawer. There was no warning before the first finger plunged into him, but it was slick with lube, and tenderly, teasingly slow. Vincent leaned forward across his back to take him by throat and continued whispering, now right into his ear. “Et si tu exploites ça, si jamais tu agis comme si je te dois ça ou si tu me prends pour acquis… [And if you exploit that, if you ever act like I owe you for this or take me for granted…]” A second finger plunged into him, no longer so gentle. He bit back a gasp. “Je vais vous expliquer. Est-ce que tu comprends? [I’ll run you through. Do you understand?]”
“O-Oui. Oui, monsieur.”
“Bien!” It was almost bubbly, the way he said it. Chidi could hear his smile. Vincent nipped affectionately at his ear before bouncing back up to a sitting position on top of his thighs. His fingers shifted angle as he did and Chidi couldn’t contain a moan. The soft, slow fucking resumed. He struggled to relax, to loosen up…It was a gift to be treated so gently and he didn’t want to make his master impatient in the midst of such kindness. But he wasn’t waiting anyway. A third finger, and Chidi almost screamed. Whether it was the pain or the stimulation, he did not know. Vincent felt the way he tensed and started rubbing his back, far more concerned for his comfort than he could ever have anticipated. “Êtes-vous d'accord? [Are you okay?]”
Chidi realized there were tears pricking his eyes. “Oui. Je vous suis tellement reconnaissant, monsieur… d'avoir pensé à moi. [Yes. I’m so grateful to you, sir…for thinking of me.]” He forced out the words through the haze of pain and the heat building below his stomach.
Vincent leaned down and kissed the center of his back. So uncharacteristically delicate. But that kindness only extended so far. “Ne jouis pas sur ma literie, Chidi. Je ne veux pas de désordre. [Don’t cum on my bedding, Chidi. I don’t want a mess.]”
“D’accord.”
Then everything drew back, leaving him momentarily empty. His cock throbbed in protest. “Es-tu prêt? [Are you ready?]”
“Oui.”
And then all pretense of delicacy was gone, and Vincent plunged inside him, and all the way out, and in again. He was not remotely ready. Every thrust was a stab, a knife echoing all the way through to the length of his shaft, pleasure chasing every twist of pain like poison on the blade. It stole his breath and threatened at every moment to send him over the edge but he held on as promised. Don’t think about the way Vincent’s hips drove his cock deep into the comforter, hugged at all sides by soft silk and gold threads.  He tried to focus on the pain instead but it only turned him on even more. Vincent was unleashing on him, using him, his rhythm thoughtless and frantic, nails digging into his hips. Don’t cum. Don’t cum.
But neither of them could last long at this rate. He felt Vincent change pace to something totally self-serving, no longer focused on anything except rubbing himself against Chidi’s tightness as fast as possible. The sheer desperation of it nearly overwhelmed him after all. His hands were already clenching fistfuls of silk in a bid to contain himself when he heard Vincent whine, “Chidi… putain…” and felt that delectable rush of heat inside him.
And then it was over. He was empty, face down and still achingly hard while Vincent wiped himself off and ordered him to dress and quit the room. Chidi could barely hear him over the ringing in his ears. There was something horrible about it…and something beautiful in knowing that every bit of humiliation he felt was pride fed directly into Vincent.
Trembling, he collected his clothes while the Comte did the same. He had already finished buttoning his own suitcoat when he moved to collect Vincent’s from the back of the plush chair in front of his desk. The desk was strewn with personal effects – clearly the Comte had not expected to have guests in his room. There was, for instance, a letter in clumsy French, signed with love by Santino D’Antonio.
“Qu'est ce que tu regardes? [What are you looking at?]” Vincent demanded, his voice suddenly sharp. But it was too late.
“Je m'excuse d'avoir vu quoi que ce soit. Ce n'était pas mon intention. [I apologize for seeing anything. It was not my intention.]”
“Et qu'as-tu vu ? [And what did you see?]”
Chidi just turned his head to the side, staring out the window. Of course, he suspected Vincent had many lovers. But this seemed like something more. Someone who exchanged letters, who expected him back a certain time. Anger flared up in his chest. How dare this Santino expect anything at all of Vincent? “Vous traite-t-il bien, monsieur ? [Does he treat you well, sir?]”
Vincent snatched the letter from the desk and the jacket from his arm. “Quel genre de question est ce? Vous n'avez pas le droit de connaître mes affaires. [What kind of question is that? You have no right to know about my affairs.]” No, then. Not as well as I’d treat you, Chidi thought. He gave a forced nod and turned to leave the room. The ache between his thighs was quickly turning from delicious to sickening, and spreading up to his heart.
“Je n'ai pas dit que tu pouvais partir ! [I didn’t say you could leave!]”
Chidi froze in place, facing his master. His lips were clamped together in silent obedience, but his nostrils flared with every breath.
The Comte couldn’t look at him. “… Ne le dis pas à mon père. Ne parlez à personne de Santino ou de… ça. Si vous le faites, je veillerai personnellement à ce que votre service chez nous prenne fin. […Don’t tell my father. Don’t tell anyone about Santino or about…this. If you do, I’ll ensure personally that your service with us comes to an end.]” That you die, and so does the person you’re protecting.
“Bien sûr que non. Je suis discret. [Of course not. I am discrete.]” I would not make you carry gushing love letters into a hostile place.
Vincent continued staring off into the corner for a long moment, weighing whether that was good enough. He tongued at the corner of his mouth in irritation. Then, “Bien. Aller. [Fine. Go.]”
And he went, to be reprimanded for not being at his post. To jerk off in the bathroom on a 5 minute break, rage and lust mixing into real bloodlust as he imagined this damned Santino D’Antonio with a polished shoe compressing his windpipe and a bullet hole through each hand that had touched Vincent. Touched Vincent without being worthy.
He barely heard Fritz prattling on next to him about how Mrs. Harkan had been spotted alive in Paris. Those five Myrmadons had died in vain, and their replacements wouldn’t be here for another…however long. He just nodded along, daydreaming about catching a train to Italy in the night, and trying to picture what kind of face he might pistol whip when he got there.
Only one sentence reached his brain. “Clever of you to let the Comte win earlier.”
“I did no such thing.”
“Really? And what did you do afterwards? Because – “
“Keep your voice down or better yet, shut the fuck up. You have no idea what you’re talking about. He’d never consider me anyway. His type is crime bosses, models, honest-to-god princesses. Maybe he toys with me but I know my place. Now drop it.”
Fritz looked at his friend with something approaching pity and said nothing more. Good, then. He had no more suspicions. Chidi’s chest felt very heavy, but if this was what it cost to be by Vincent’s side, protecting him, he’d do it. He’d live in secret, untrusted, thankless, for as long as it took. Yes, he knew his place. His place was right below his master…and above everyone else in the world.
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selidren · 8 days
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
9/10
J'imagine que Cléo se sentira comme un poisson dans l'eau à Paris. Elle se rêve en citadine depuis que nous sommes petites, et c'est bien pire depuis qu'Antoine est parti au pensionnat. Je crois qu'elle s'en fait une fausse idée bien romantique mais en même temps, elle a l'air si heureuse. Elle va habiter l'appartement de mon cousin Ange qui se situe au centre de la ville, et il a promis qu'il s'occuperai bien d'elle et qu'il lui ferait découvrir ce que la capitale a de mieux à offrir. Je pense qu'il ne réalise pas que Cléo aime davantage l'idée qu'elle se fait des choses que les choses en elles mêmes. J'ai peur que tout ce qu'elle découvre la déçoive.
Transcription :
Constantin « Cléopâtre. Es-tu déjà allé au courrier ? »
Cléopâtre « Non, Papa… Pas encore… pourquoi j’irai d’ailleurs ? »
Constantin « Et bien pour recevoir la confirmation de ton inscription à la faculté voyons! Tu verras ma fille, c’est un des meilleurs moments qui soient dans une vie que d’apprendre que tu vas pouvoir te consacrer à l’étude durant des années. Jeune homme j’en ai été tout ému. »
Albertine « Te connaissant, je n’en suis pas étonnée. Je regrette de ne pas t’avoir connu à cette époque. »
Constantin « Ne le sois pas. J’étais tant absorbé que te rencontrer à ce moment aurait été compliqué. J’aurai du choisir entre toi et mes études. »
Cléopâtre « Vous exagérez Papa. »
Constantin « Du tout. Sache que l’amour que j’ai pour ta mère occupe mes pensées à chaque instant, et c’était encore bien plus vrai quand nous n’étions pas mariés. Je n’étais pas bon à grand-chose quand elle n’était pas là, mais ce n’était pas plus facile quand elle était à mes côtés, car la seule pensée de ne pouvoir la toucher me rendais à demi fou. Notre mariage fut sans aucune commune mesure le pinacle de ma vie d’alors, car enfin nous avons pu... »
Albertine « Constantin ! Ne voulais-tu pas aller voir si tu avais reçu le courrier de Monsieur Bénédite ? »
Constantin « Ah oui bien sur ! Sais-tu ma chérie qu’il a prévu de retourner en Egypte visiter le tombeau de Toutankhamon ? »
Albertine « Je pensais qu’il en revenait. »
Constantin « C’est un sacré voyage pour un homme de son âge ! Et n’est pas Eugénie Le Bris qui veut, cela doit se préparer. »
Albertine « Vas-y donc Constantin, je te rejoins plus tard. »
Cléopâtre « Je ne savais pas que Papa avait ce côté si… romantique. Il a parlé de vous avec une telle émotion dans la voix. »
Albertine « Ton père est un homme compliqué, mais aussi passionné. »
Cléopâtre « Oui, par ses vieilles tombes poussiéreuses et ces antiquités hors de prix que personne n’a le droit de toucher. Enfin, je savais que vous aviez fait un mariage d’amour, mais j’imaginais moins de... »
Albertine « D’affection ? Il est vrai qu’il ne montre presque rien devant les autres, il garde ses marques d’affection pour notre intimité de couple. Il faut que tu saches que se dévoiler est un exercice difficile pour ton père, que cela le fait se sentir extrêmement vulnérable. »
Cléopâtre « J’ai toujours pensé que c’était plus raisonné qu’autre chose. Je ne savais même pas qu’il était capable d’émotions aussi intenses. »
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Epicine & Neopronouns That Predate 1999
This list is very long, with many similar pronouns! Contrary to popular belief, neopronouns aren't that new, and were never that rare. A noticable potrion of this list contains neopronouns 100 or more years old, and even more that are 50+ years old!
The vast majority pronouns in this post are sourced from Aether Lumina. Some pronouns were left off this list, so if you want to dig deeper, check the page out!
And we're not kidding--the list under the cut is LONG!
Non-Alphabetical
[name]/[name]/[name]s/[name]s/[name]self [replace [name] with person’s name, ie Alex would be Alex/Alexs]
*e, h*, h*s, h*s, h*self (splat pronouns, c.1990s) [source] [source2]
þe/þim/þir/þirs/þimself (þ is pronouned th & þe rhymes with he, 1978) [source] [source2]
3e/3im/3er/3ers/3imself (3 is pronounced z &3e sounds like zee, 1995) [source]
ðe (conjugation unknown, 1995) [source]
A-G
a/a/as/as/aself (from Middle english, 1789) [source] [source2]
ae/aer/aer/aers/aerself (1920) [origin/source]
ala/alum/ales/ales/alumself (derived from Latin and Hawai'ian, 1989) [source] [source2]
che/chim/chis/chis/chimself (1951) [source]
co/co/cos/cos/coself (1970) [source]
e/em/eir/eirs/emself
E/Em/E's/E's/E'sself (c.1977) [source]
e/em/es/es/esself or emself (1878 and 1890) [source]
E/Ir/Ir/Irs/Irself (1982) [source]
e/rim/ris/ris/risself (1977) [source]
em/em/ems/ems/emsself (1977) [source]
en/ar/es/es/esself (1974) [source]
en/en/en/ens/enself (1868) [source]
er/er/ers/ers/erself (1863) [source]
et/et/ets/ets/etself (1979) [source]
ey/em/eir/eirs/eirself (Elverson pronouns) [source]
fm/fm/fms/fms/fmself (1972) [source]
ghach (Klingon, conjugation unknown, 1992) [source]
H
ha/hem/hez/hez/hezself (1927) [source]
han/han/hans/hans/hanself (1868) [source]
hann/hann/hanns/hanns/hannself (1984) [source]
he/him/his/his/himself (generic; not actually a neopronoun)
he'er/him'er/his'er/his'er's/his'er'self (1912) [source]
heesh/heesh/heeshs/heeshs/heeshself (c.1940) [source]
heesh/herm/hiser/hisers/hermself (1978) [source]
heesh/himer/hiser/hisers/hiserself (1934) [source]
hem/hem/hes/hes/hesself (1974) [source]
heor/himor/hisor/hisor/himorself (1912) [source]
her'n/her'n/her'ns/her'ns/her'nself (1935) [source]
herm/herm/herm/herms/hermself (1985) [source]
hes/hem/hir/hirs/hirself (1935) [source]
hes/hes/hes/hes/hesself (1984) [source]
hesh/himmer/hizzer/hizzers/hizzerself (1927) [source]
hesh/hiser/himer/himer/hermself (1974) [source]
heshe/hem/hes/hes/hemself (1981) [source]
hey/heir/heir/heirs/heirself (1979) [source]
hi/hem/hes/hes/hesself (1884) [source]
hir/hirem/hires/hires/hirself (1979) [source]
h'orsh'it (1975--joke pronoun but it rocks) [source]
ho/hom/hos/hos/homself (1976--not a joke pronoun but prone to jokes) [source]
hor/hor/hors/hors/horself (1890) [source]
hse/hse/hses/hses/hseself (1945) [source]
hu/hum/hus/hus/huself (1982) [source]
hymer/hymer/hyser/hysers/hyserself (1884) [source]
I-P
id/idre/ids/ids/idself (1989) [source]
ip/ip/ips/ips/ipsself (1884) [source]
ir/im/iro/iros/iroself (1888) [source]
kai/kaim/kais/kais/kaiself (1998) [source]
kin/kin/kins/kins/kinself (1969) [source]
le/lem/les/les/lesself (borrowed from French, 1884) [source]
le/lim/lis/lis/limself (1884) [source]
na/na/nan/nans/nanself (1973) [origin/source] [source2] [source3]
ne/nem/nir/nirs/nemself
ne/nim/nis/nis/nimself (c.1850) [source]
on/on/ons/ons/onsself (1927?) [source]
one/one/ones/ones/oneself (1770) [source]
per/per/pers/pers/perself or personself (1972) [origin-ish/source] [source]
phe/per/per/pers/perself (1998) [source]
po/xe/jhe/jhes/jheself (c.1997) [source]
S-T
s/he / him/er / his/her / his/ers / him/erself (1973) [source]
se/hir/hir/hirs/hirself (1977?) [source]
se/sem/ses/ses/sesself (1990) [source]
she/herim/heris/heris/herisself (1970) [source] [source2]
she/herm/herm/herms/hermself (1976) [source]
SHe/Hir/Hir/Hirs/Hirself (1997 or earlier) [source]
shem/hem/hes/hes/hesself (1974) [source]
shem/herm/herm/herms/hermself (1973) [source]
sheorhe/herorhim/herorhis/hersorhis/herorhimself (1974) [source]
shey/shem/sheir/sheirs/sheirself or shemself (1982 & 1979) [source] [source2]
sie/hir/hir/hirs/hirself (borrowed from German, pre-2001) [source]
soloc/sebita/seniri/siculis/sulago (1998) [source]
su/su/sus/sus/suself (borrowed from Spanish, 1921) [source]
ta/ta/tas/tas/tasself (borrowed from Mandarin Chinese, 1971) [source]
tey/tem/ter/ters/temself (1971) [source]
tey/tem/term/terms/termself (1972) [source]
thir/thim/thiro/thiros/thiroselves (plural form of ir/im, 1888) [source]
thon/thon/thon/thons/thonself (allegedly 1858, definitely existed since or before 1884) [source] [source2]
U-Z
uh/uh/uhs/uhs/uhself (1975) [source]
um/um/ums/ums/umself (1877, 1879) [source]
un/un/uns/uns/unself (1868) [source]
ve/ver/vis/vis/verself (1995) [source]
ve/vim/vis/vis/visself (1974) [source]
ve/vir/vis/vis/visself (1970) [source]
xe/xem/xyr/xyrs/xemself
z/z/z/z/zself (1972) [source]
ze/zim/zee/zees/zeeself (1972) [source]
ze/hir/hir/hirs/hirself (1996) [source]
ze/zir/zir/zirs/zirself
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iranondeaira · 3 months
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Combien j’ai apprécié chaque moment passé avec toi ...
Pardon .
J’aurais voulu avoir une autre chance de te dire combien je t’aime quand bien même il est trop tard maintenant que l’histoire n’est apparemment plus à suivre ...
Notre histoire ...
Je me réveille la nuit, une douleur liquide qui coule dans tout le corps, cherchant l’erreur que j’ai pu commettre... les jours sont restés les mêmes, ils se suivent ... les nuits se sont transformées en vertige, ton absence est trop présente pour que je puisse tenir ton souvenir hors de moi , la vie est courte mais lente et donne à espérer ...
je ne te cherche pas ... tu es là ... oui certains soirs tu me fais mal ... je m’imagine marchant dans les rues, nos rues ... à la recherche de ton fantôme ... Je sais qu’une part de ma vie d’homme vient de marquer le pas, elle restera là... longtemps... à ne plus pouvoir passer la porte de ces lieux ... à attendre que le temps efface les traces ... à attendre ... de sentir imperceptiblement l’indifférence atténuer la douleur ... avec le temps ...
Je sais que je ne pourrais plus dire je t’aime, je me sens étranger à moi-même, une part de moi est partie avec toi ... je t’ai laissé aller là où personne n’avait trouvé le chemin ... j’en étais moi-même heureux de la surprise de me découvrir à travers tes yeux, sentir mon corps devenir vivant sous ta chaleur... j’y ai cru si fort ...
Toi seule pouvait te faufiler là où j’étais ... Toi seule pouvait trouver le chemin de ce jardin que la vie m’avait donné à fermer ... j’y ai cru à cette promesse ... nous étions amants ... j’y ai cru à nos cœurs à corps ... j’y ai cru à cet amour, il venait de tellement loin ...
je porterai le deuil de cette histoire, un bout de mon histoire ... ce sont les choses de la vie paraît-il ... je vais apprendre à vivre sans toi, je me souviendrai de ton goût de pommes de cerise et de lilas, je me souviendrais du parfum de verveine, de vanille de ce petit bonheur tout doux ... Je dois vivre sans tes bras, avec le souvenir de ton sourire, de tes yeux ... Ma raison renoncera mais je sais que ma mémoire est marquée au fer rouge tel le tatouage qui coure sous ma peau ... oui je t’ai dans la peau , les jolies danses sont rares , tu étais, tu es ma plus belle danse ... notre histoire est, était ... un moment ... bien.
Il me faudra du temps pour ne plus être frappé par cette panique de la raison si je devais te revoir même par hasard ... Je te vois danser sur les quais dans cette petite robe noire ... je sais que je n’aurai pas la force et pourtant je voudrais te revoir .
Avons-nous bien vécu la même histoire ? Oui, parfois je reste immobile les yeux dans le vide et de me demander si ce n’était pas un rêve, juste un joli rêve .
Mon amour est abîmé ... tu n’aurais qu’à ouvrir les bras pour tout recommencer... tout reconstruire ... une nouvelle histoire ... Nôtre histoire ...
Toi sinon personne
.. .’ ....
🎨 : Gleb Gloubetski
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clairikine · 3 months
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Allez les ami•es je me suis fendu d’une BD exprès pour l’occasion. Votez votez votez, hors de France, pas hors de France, en ligne, à l’urne, par procuration, comme vous pouvez mais VOTEZ, pour le Nouveau Front Populaire, pour empêcher le pire, pour (enfin) le meilleur.
UPDATE: now with texte alternatif!
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leseffrontesfr · 10 months
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« Désolée, mais je n’irai pas jusqu’à dire qu’il s’agit d’une violence domestique. C’est un homme, il peut riposter et me mettre hors d’état de nuire mais il a choisi de me laisser faire, du coup il est consentant. Il aime ça, sans doute. Il le fait exprès. Chaque soir, quand je le vois passer la porte, j’ai envie de le cogner. Son air malheureux, soumis, implorant… Ah, il faut que je me défoule ! Pan ! Un coup dans les mollets. Je lui hurle : « Tu es en retard. » Il se répand en excuses. Pan ! Mon thyrse fait craquer son dos. Il gémit. J’enrage : « Le vin, imbécile ! Il n’y en avait plus qu’une bouteille ! » Je lève à nouveau le thyrse. Il se recroqueville, tente de protéger sa tête. « Pardon Agavé, pardon ! Je vais tout de suite en chercher. » Alors je me déchaîne : je fais pleuvoir une grêle de coups. Je l’accule dans un coin de l’entrée. Le sang tâche le mur. J’ai chaud. Une crampe m’arrête. Je me découvre une ampoule — ma pauvre main ! J’ai soif. Je laisse le minable jeté sur le sol comme une serpillière. Je claque la porte : direction Dionysos, mon caviste préféré ! Je boirai jusqu’à oublier mon dégoût. Qu’ai-je fais pour mériter de vivre avec un sous-homme ? N’y a-t-il personne capable de me dompter ? »
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lilias42 · 2 months
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De nouveau merci à @ladyniniane pour le tag !
Pourquoi avoir choisi ton url ? J'ai toujours utilisé ce pseudo "Lilias42" où que je sois depuis toute petite alors, j'ai continué. ça vient du pokémon Lilia car je trouvais son nom joli mais, ça devait être déjà pris alors, j'ai rajouté un "S"
Des blogs annexes ? Aucun. J'avais pensé à un moment de m'en créer un pour poster les fiches que j'avais faites pour mon master, ça aurait centralisé toutes les informations en français mais, étant donné que j'ai des photos sous licence, ce serait limite-limite niveau légalité et droit d'auteur et je n'ai plus vraiment l'énergie pour le faire. Un jour peut-être alors.
Depuis combien de temps es-tu sur Tumblr ? D'après mes archives, juillet 2021... nom d'une aile que le temps passe vite !
Avez-vous une balise de file d'attente / queue tag ? J'ai pas mal de brouillons mais, pas de fil d'attente en cours ou de tag spécifique pour ça. Sinon, je note toujours mon travail avec un tag "écriture de curieuse" / "dessin de curieuse" / "[insérer type de sujet de billet possible] de curieuse" ... histoire de retrouver ce que j'ai fait auparavant
Pourquoi as-tu commencé ton blog ? Je crois que je voulais accéder à certains blogs bloquant les anonymes et pour rebloguer des billets que j'aimais bien
Pourquoi as-tu choisi ton icône / pfp ? Il s'agit d'Aura, mon plus vieil OC que j'utilise aussi souvent pour me représenter. Avant, c'était Castti Florenz, mon personnage préféré d'Octopath Traveler II. C'était une image officielle que je trouvais joli, et ça m'évitait d'avoir de potentiels ennuis en reprenant un fanart, hors de question de voler quelqu'un.
Pourquoi avoir choisi ton en-tête ? C'est une image officielle de Sothis dans Fire Emblem Three House. Son personnage a un TAS de problème mais, je trouvais cette image cool, elle est officielle en accès libre et comme mon blog parle surtout de ce jeu et de mes fanfics autour, ceci explique cela !
Quel est ton article avec le plus de notes ? Alors là... aucune maudite idée... peut-être mon billet sur l'origine de Pan vu qu'il a été reblogué par le compte officiel de la semaine spécial OC. Mes dessins semblent plus intéressé que mes écrits en tout cas mais, c'est surement parce que c'est plus facile à comprendre que des billets de plus de 50 pages de Word écrit en français, les dessins sont plus universels...
Combien de mutuelles avez-vous ? Les mutuels, c'est les gens qui sont abonnés à nous et où on est nous-mêmes abonnés à eux , c'est ça ? Alors... tatata... on est 6 !
Combien d'abonné as-tu ? On est 18 à bord ! Aucune idée de comment on a pu être aussi nombreux sur un blog avec surtout du texte, des dessins de personnes tordues et écrit en français mais, je trouve ça déjà énorme ! Merci beaucoup tout le monde !
Combien de personnes suivez-vous ? 88 abonnement en tout ! J'essaye de ne pas suivre trop de monde afin de ne pas encombré mon fil d'actualité et pouvoir en lire un maximum, d'où le fait que je ne m'abonne pas souvent à ceux qui me suivent.
Avez-vous déjà écrit un shitpost ? Des billets critiques assez énervées au sujet d'une scène ou d'un élément de 3nopes d'une histoire que je trouvais mal fait, oui, c'est déjà arrivé, même si j'argumente toujours et je ne crache pas sans raison sur un truc. Mais écrire quelque chose d'énerver, pour troller gratuitement des gens qui n'ont rien demandé ou juste cracher sur quelque chose sans argument ? Non, et je n'ai pas envie d'en faire, je trouverais ça profondément crétin de juste cracher sur quelque chose sans justifier pourquoi je pense que c'est mauvais, encore plus si c'est juste pour énerver les gens, pour ensuite retomber dessus et me dire que j'ai craché ma haine stupidement juste pour cracher. Je préfère garder mes billets et mon énergie pour des trucs que j'aime ou que je trouve drôle. Quitte à m'énerver, je m'énerve dans mon coin et ça en reste-là, ça reste pas gravé dans les méandres d'internet.
A quelle fréquence utilisez-vous Tumblr chaque jour ? Plusieurs fois par jour, surtout que c'est le seul "réseau social" que j'utilise et où je poste.
Vous êtes-vous déjà disputé avec un autre blogueur ? Non, et je n'espère pas que ça arrivera. De toute façon, dès que je voie certains utilisateurs qui ont l'air d'être nerveux ou juste là pour se battre avec tout le monde, je les bloque à vue histoire de rester tranquille. En plus, la plupart des temps, c'est des anglophones que je bloque alors, se disputer dans deux langues différentes en devant traduire un drama, ce qui apporte toooouuus les risques de mal interprété les choses car, certains mots n'ont pas la même portée en français qu'en anglais... c'est bon, ce serait une pure perte de temps et j'ai des choses plus intéressantes à faire de mon temps que me battre sur internet avec des gens à l'autre bout de la planète que je ne connais même pas, tout en sachant que de toute façon, ça finira avec personne qui ne bouge sur ses positions.
Que pensez-vous des messages du type "tu dois rebloguer ceci" ? Quand c'est des gens que je ne connais pas, c'est de l'eau sur les plumes d'un canard, ça ne me fait ni chaud ni froid et de toute façon, soit j'aurais la flemme d'encombrer mon blog avec, soit j'oublierai. Déjà que je reblogue rarement...
Aimez-vous les jeux de tags ? Oui !
Aimez-vous les jeux de questions ? Evidemment ! Aucune idée où les trouver directement sur Tumblr à part au petit bonheur la chance et quand j'en trouve un, j'oublie souvent de le rebloguer en le mettant dans mes favoris ou en brouillon mais, j'aime bien ça !
Lequel de vos mutuels est célèbre sur Tumblr ? Vu qu'on ne peut pas voir le nombre d'abonné des gens, aucune idée. J'aurais bien ma petite idée sur qui pourrait l'être mais bon, c'est un peu le cadet de mes soucis. En plus, est-ce que c'est si important que ça ? On est là pour s'amuser et parler de fandom, ce n'est pas une course à la popularité.
Vous avez le béguin pour un mutuel ? Non.
Des tags ? Alors... voyons... allez @mwezina , @fuckingferalhawks , @sinniel ! C'est déjà pas mal ! Et évidemment, tout ceux qui ont envie de faire le test, n'hésitez pas !
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