#HAGARD
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“Thinking can be best understood in terms of representational structures in the mind and computational procedures that operate on those structures.”
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Joys of motherhood
#mort.txt#my art#tunga#i went to walmart a few days ago and literally every baby in the store was having the worst day of their life#shout out to god strongest soldier the very hagard looking woman waiting for an employee to unlock the nutramigen baby formula case
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PRIMA PAGINA Le Monde di Oggi martedì, 10 dicembre 2024
#PrimaPagina#lemonde quotidiano#giornale#primepagine#frontpage#nazionali#internazionali#news#inedicola#oggi banques#edition#speciale#regne#incertitudes#vive#envoyes#speciaux#damas#delivrance#population#quel#apres#depart#pour#hagards#sortent#leurs#lieux#detention#habitants
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I LOVE YOU HÄGARD THE HORRIBLE you would so be friends with Ragnar Sverre
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i just wanted to sit and read new moon instead i had the most ANNOYING day of my fucking life go to bed wake up to pee only to find it is STILL the same ANNOYING fucking NUISANCE of a day
#LIKE I DONT UNDERSTAND#THE TEXT I READ.#I DONT GET IT#IM BAFFLED. BEFUDDLED IF U WILL.#AND I REALLY WOULD LOVE TO JUST HIT A MF WITH MY CAR#FUCKING HAGARD DECREPIT ALCOHOLIC PIECE OF SHIT#AND IM TIRED OF FUCKING PEACEKEEPERS STOP! JUST FUCKING STOP#MIND YOUR BUSINESS PICK A SIDE ACTUALLY. PICK A FUCKING SIDE OR STFU AND STAY OUT OF IT
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Hmmm... well there was a lot of kitchenwear in the house, alot of which point to... noodles? Bags and bags of flour and eggs, So i would assume so.
not to mention, it was quite messy...
Ahaha—! but that might not be Important. would it now?
Though, i would say.... that tall man's house was awfully suited for my taste~~ perhaps you tall men do have a great prefrence for the little things ♡
——
Oh— and i do recall feeling rather... haggard waking up. I suppose that would make sense if i was at a dungeon — but i remember having to bathe away some...thing? Coating my skin. Ir was rather sticky if i could recall.
Well this is a . . . surprise — Hello, Mithrun. If my guess is correct, I believe you are from the past? At least the description matches up— How you got here, I have no idea, but I'm hoping that provides a bit of context.
I have a fair amount of questions, but I'm absolutely certain you have more. I might have answers to some of them, others I might not.
( @ask-utayaboy )
Ahahah—! From the past..? You certainly are a funny one tall-man! I can never understand your kind's humor.
You are free to inquire anything from me, you know. that is the purpose of this blog... is it not?
#is hagard a real word jn english#its funny bc now mithrun would know exactly what it is. but alas. mithruns a newwwbie
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Just woke up! Well rested today pero muka paring hagard 😂😂
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Sous les regards hagards
du témoin oculaire
/ Ghérasim Luca
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Going through the trailers and other promo videos, I've looked at what they're wearing and I've deduced the following:
Same Episode:
Butcher returns. Hughie in a white shirt, Annie in a stripey jumper.
Black Noir and The Deep attack Butcher and Annie. Annie in a stripey jumper.
Neuman(?) or mystery woman in an apartment building/hotel, pulling bloody skin off her face and throwing it on the floor.
Annie, Butcher and Hughie running down a staircase...following a blood trail. Hughie in a white shirt, Annie in a stripey jumper.
Same Episode:
Annie, Kimiko, MM and Hughie looking pretty hagard. Hughie in a dark shirt, bruise on forehead.
"Violence isn't brave" Hughie in a dark shirt, bruise on forehead.
Hughie covered in blood, dark shirt and bruise on forehead.
Annie with bullet holes wiping blood from her mouth, in a beige coat.
Annie and Kimiko hugging. Annie in a beige coat.
Looks like they're in the same room/building, check the lights and window behind Hughie
#you can make out the bruise on his forehead if you watch the trailer screenshots arent very clear#the boys spoilers#the boys season 4#the boys#hughie campbell#annie january#billy butcher#kimiko#mothers milk
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«Je l’ai aimé parce que rien n’était fait pour.
Parce qu’il se moquait bien d’être séduisant avec moi. Parce que faire des efforts pour plaire au monde semblait ne pas faire partie de ses volontés.
Parce qu’il avait quelque chose de triste bien caché au fond de l’âme. Il avait dû naître comme cela, lui aussi, avec cette nostalgie collée aux poignets.
Je l’ai aimé parce que ses yeux observaient tout sans être retenus par rien. Parce qu’il puait la liberté. Parce qu’il était prisonnier.
Parce qu’il y avait sur ses lèvres un peu d’amertume et beaucoup de tendresse, de l’amour qui a pleuré et l’envie de la passion. Parce qu’il parlait peu. Parce que lorsqu’il parlait, j’avais envie d’écouter. Je ne me souviens pas avoir aimé les mots comme l’eau, qui débordent. Il était nu, même habillé. Pudique de son âme et de son corps. En y regardant de près, je l’ai immédiatement soupçonné de ne pas trop s’aimer. Je l’ai aimé à sa place. J’avais de la place dans le coeur. Il y avait, au fond de son regard, un vieux truc perdu, hagard. J’avais envie de l’aider à le retrouver. Il souriait peu. Pourtant, lumineux. Il me faisait rire sans jamais essayer. Je ne crois pas que les gens drôles m’aient jamais beaucoup amusée. Lui, il me donnait envie de hurler de rire parce qu’il se moquait de lui-même en riant de ce qui l’entourait. Je l’ai aimé parce qu’il était faussement détaché, fragile, sensible, agressif et démuni. Parce qu’il le cachait.
Je l’ai aimé parce que personne ne s’y attendait.
Et je l’ai écrit. Pour oublier.
Mais je n’y suis jamais arrivée.»
Romy Schneider
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La lumière rosée se laissait deviner à l'avant du train.
Cette rumeur luisante et tendre, aurore d'hiver,
Me ravissait alors que le wagon glissait, dérapait
D'un grand ahan, froissant l'air lourd du matin.
Au milieu des champs de givre et de froid
Tout était d'une pâleur épaisse, la campagne laiteuse,
Les bosquets toujours brouillons, les pylônes et éoliennes encore flottants.
Un clocher embrumé, un village esseulé, une autoroute encore désertée
Rien ne me préparait à arriver à Paris.
Mon cœur se serra brusquement, et je pensais
À ces aubes fiévreuses de Moravie
Peu avant Brno, où les rails s'offraient, perpendiculaires aux premiers feux du jour.
Je pus même y ouvrir la fenêtre du wagon
Derrière l'agent du train qui venait de faire sa ronde.
Un fracas terrible, mais que de couleurs, vibrantes comme rarement.
Que de promesses étranges qui m'avait été réservées
Avant de découvrir le stuc frigide de Vienne
Les pavés gelés et les chevaux emmitouflés.
Je fermais les yeux et soupirai, comme surmonté par la brume
Jusque dans mes poumons, à en faire mouiller mes yeux.
Je t'en prie, ne t'étonne pas si tu me trouves hagard,
Lorsque enfin tu finis par me trouver en gare,
Cherchant à me pendre tout tremblant à tes lèvres.
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Tu sais que je suis là
Derrière la porte
Et je sais que cela
Fait que le désir t’emporte
Alors tu te donnes à mon regard
Excitant mes sens
Me laissant hagard
Devant ta sublime indécence
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Les fenêtres sauront
le parfum de la pierre
et de l’air du matin.
Une porte s’ouvrira.
Les tumultes des rues
sera le tumulte du cœur
dans la lumière hagarde.
Tu seras là – immobile et limpide.
Je passerai par la place d’Espagne,
Cesare Pavese.
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"Le damné il est pas commode faut qu’on l’éclaire et bougrement, pour qu’il s’élance aux barricades, qu’il commence à faire le fou. Il préfère lui la vie de famille, l’autobus et le meeting baveux. Au fond, il aime pas les histoires. Il est conservateur fini, il est de la terre, né Bidasse, faut pas l’oublier. Voter ça devrait bien suffire voilà ce qu’il pense intimement. Il tient pas aux sacrifices, aux piscines de sang. Il y tient même pas du tout. Il faut pour ça qu’on l’enfurie, qu’on le picadorise à mort. C’est un tintouin du tonnerre. Il est gueulard mais pacifique. Plus mendigot que fracasseur. Il veut bien encore des violences mais si c’est les autres qui dérouillent […] La vieille Bastille et ses neuf tours, serait toujours au poste, altière, hautaine, formidable, et ne gênerait vraiment personne, pas plus que Fresnes ou l’île de Ré, si les Banques, les démons de Londres, n’avaient pas fait le nécessaire, enflammé la viande saoule à temps, déchaîné l’émeute, le carnage, soulevé l’ouragan des ragots, les torrents de bave conventionnels, l’ébullition de la frime du sang […] Sans or les idées ne sont rien. Il faut verser l’or à foison, à boisseaux, à tonnes, pour soulever le peuple. Qui n’en a pas n’insurge personne. Pas plus aujourd’hui qu’autrefois. Tout est d’abord un commanditaire ! C’est la condition du spectacle ! Et point petit cave chichiteux ! quelque hagard effaré comparse ! Pouah ! Quelle horreur ! Quelle insolence ! Non ! Tel répondant colossal ! Le plus coûteux des opéras ! Y songez-vous ? L’Opéra des insurrections ! Avec Déluges ! Chœurs symphoniques ! Oh ! la ! la ! Si ça vous entraîne ! Tâtez-vous avant d’y toucher ! Vous en avez ? Z’en avez pas ? Quelle est votre banque ? Vous êtes raides ? Alors taisez-vous ! Caltez ! emmerdez personne ! Vous êtes qu’un petit impertinent ! un petit garçon mal embouti ! Allez donc apprendre la musique ! Ça vous disciplinera l’esprit ! On s’insurge qu’avec des espèces et pas du semblant ! des pichenettes ! Non ! Non ! Des trombes ! Cyclones de pèze ! Guillotine est fille de Guichet."
Louis-Ferdinand Céline, Les beaux draps, 1941.
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it shouldn’t surprise me but most of my favorite lines from the movie were from the book
omg the last unicorn is on tubi :)
#add#I rmr reading an interview from Peter s beagle where he talks about how Christopher Lee approached him and asked for certain lines to be#included in the screenplay and how much he respected it and appreciated it#I dooo like how the book goes better than the movie I think#I DHOULD WATCH THE GERMAN DUB#I forgot but in that same interview mr s beagle says that Christopher Lee ALSO voiced king hagard in the German dub of the movie
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"Je l’ai aimé parce que rien n’était fait pour.
Parce qu’il se moquait bien d’être séduisant avec moi.
Parce que faire des efforts pour plaire au monde semblait ne pas faire partie de ses volontés.
Parce qu’il avait quelque chose de triste bien caché au fond de l’âme.
Il avait dû naître comme cela, lui aussi, avec cette nostalgie collée aux poignets.
Je l’ai aimé parce que ses yeux observaient tout sans être retenus par rien.
Parce qu’il puait la liberté.
Parce qu’il était prisonnier.
Parce qu’il y avait sur ses lèvres un peu d’amertume et beaucoup de tendresse, de l’amour qui a pleuré et l’envie de la passion.
Parce qu’il parlait peu.
Parce que lorsqu’il parlait, j’avais envie d’écouter.
Il était nu, même habillé.
Pudique de son âme et de son corps.
En y regardant de près, je l’ai immédiatement soupçonné de ne pas trop s’aimer.
Je l’ai aimé à sa place.
J’avais de la place dans le cœur.
Il y avait, au fond de son regard, un vieux truc perdu, hagard.
J’avais envie de l’aider à le retrouver.
Il souriait peu.
Pourtant, lumineux.
Il me faisait rire sans jamais essayer.
Je ne crois pas que les gens drôles m’aient jamais beaucoup amusée.
Lui, il me donnait envie de hurler de rire parce qu’il se moquait de lui-même en riant de ce qui l’entourait.
Je l’ai aimé parce qu’il était faussement détaché, fragile, sensible, agressif et démuni.
Parce qu’il le cachait.
Je l’ai aimé parce que personne ne s’y attendait.
Et je l’ai écrit.
Pour oublier.
Mais je n’y suis jamais arrivé."
(Romy Schneider)
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