Tumgik
#Guenièvre de Carmélide
likielandco · 1 year
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Ça restera à jamais ma scène préférée du film.
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« L'amour est cette insoutenable innocence d'éprouver pour quelqu’un un sentiment absolu tout en sachant nos vies provisoires et notre choix faillible. »
Yves Simon, « Les Éternelles »
Attention: dessins AI Generated, fair warning, so don’t bother me and read the keywords.
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losttranslator · 11 months
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goustan qui veut pas que léodagan et séli forcent guenièvre à épouser arthur si elle veut pas de lui.......... papi goustan for the win
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 6
Bonjour à toutes et tous !!
Je sais j’ai tardé à poster ce nouveau chapitre mais grâce à @ladychoco je me suis mis un bon coup de pied aux fesses ! Et le voilà 😉
J’espère qu’il vous plaira, j’ai hâte de lire vos commentaires.
Bonne lecture.
Chapitre 6 : La Réalisation
Arthur Pendragon n’était pas connu pour être un homme patient. Que ce soit pour attendre des nouvelles de son ex-femme, ou pour tolérer le nombre incalculable d’abrutis étant venus demander sa main à Léodagan, c’était tout bonnement pareil. Le Roi de Bretagne avait les nerfs à vifs. Une semaine sans aucune nouvelle, pas une lettre pas un mot… Il pensait que Guenièvre aurait au moins pris la peine de rassurer ses parents… Cela dit, cela ne devrait pas le surprendre puisqu’elle ne les avait même pas informés de son départ. Alors, quand Angharad vint le voir pour lui dire qu’elle avait des nouvelles, il se dit qu’il était bien bête de ne pas avoir pensé à elle plus tôt.
_ Le seigneur Perceval m’a envoyé une lettre, dit-elle, la porte de la chambre du Roi juste ouverte.
_ Entrez !
_ Il dit qu’il se trouve chez la tante de Madame …
_ La sœur de Léodagan ?
_ Il semblerait… Le seigneur Perceval ne sait pas écrire, c’est l’oncle de Madame qui l’a aidé à la faire… Je doute que Madame soit au courant de cette initiative…
_ Vous avez sans doute raison… Elle sait que si elle révélait sa position, tous ces idiots qui frappent ici depuis quatre jours iraient directement la voir.
_ Et en quoi cela dérange Monsieur que Madame ait des prétendants ?
Arthur lança un regard noir à Angharad. La jeune femme avait toujours eu la langue bien pendue, il ne devrait pas en être surpris. Pour autant, il n’avait pas de conseil à recevoir d’une femme même pas foutue de faire comprendre ses sentiments à Perceval. Il préféra donc ignorer sa question et la congédia sans ménagement.
_ Monsieur devrait bien réfléchir… car s’il veut récupérer Madame, il ferait mieux de le faire pour les bonnes raisons et pas simplement parce que d’autres hommes se sont, eux, aperçus que Madame était digne d’être aimée et non trompée et humiliée à longueur de temps.
La servante prit alors ses jambes à son cou, n’attendant pas la réponse du roi. Elle savait qu’elle avait dépassé les bornes mais il fallait qu’il comprenne qu’il ne pouvait plus jouer comme il le faisait… S’il voulait vraiment refaire de Guenièvre sa reine, elle devait s’assurer que les choses seraient différentes pour sa maîtresse. Elle ne devait pas revenir si le Roi comptait ne rien changer à son comportement.
-o-
C’était difficile à admettre mais Angharad avait raison. Le Duc d’Armorique était venu rencontrer Léodagan afin de lui demander la main de Guenièvre. Un de plus ou un de moins, après tout quelle importance, son ex-beau-père les avaient pratiquement tous fait fuir. Seulement, cette fois, Léodagan avait reçu poliment le jeune homme d’environ trente ans. Grand, des cheveux châtains et des yeux verts, il aurait pu charmer n’importe quelle dame du royaume. Toutefois, ce n’était pas n’importe quelle dame du royaume qu’il voulait courtiser mais bel et bien l’ancienne Reine… et cela faisait du mal à Arthur de le reconnaître mais il était un parti tout à fait convenable. Le roi de Carmélide devait être du même avis car il avait reçu le prétendant avec une politesse qu’il ne lui connaissait pas… En effet, attiré par l’appât du gain et par l’idée d’emmerder royalement Arthur, Léodagan avait pris soin d’écouter attentivement la demande de ce duc bien sous tous rapports. Ne rester maintenant qu’à savoir où se cachait Guenièvre… Une information qu’Arthur décida finalement de garder pour lui…
Après tout, n’avait-il pas le droit de faire comme bon lui semblait ? Il était le Roi non d’un chien ! C’est alors qu’au détour d’un couloir désert, il entendit une conversation des plus instructives :
_ Elle est enfin partie, nous devons en tirer avantage ! chuchotait Démétra, face aux autres maîtresses du Roi.
_ On est bien d’accord mais maintenant que c’est fait qui serait en droit de prendre sa place ? demanda Aelys sur le même ton.
_ Nous avons œuvré pendant trop longtemps pour exacerber tous ses défauts auprès du Roi ! Il nous faut agir sans perdre de temps ! Pour ma part, je suis celle ayant été avec le Roi le plus longtemps donc je suis la mi…
_ Attendez un instant ! Pourquoi devriez-vous passer en priorité ?
_ C’est vrai ça ! Si vous étiez vraiment aussi forte que vous le prétendez le Roi n’aurait jamais pris d’autres maîtresses après tout ! s’exclama fermement Tumet, soutenant sa sœur.
_ Je ne vous permets pas ! Et puis, je n’en ai rien à faire de votre avis ! Je suis persuadée de gagner et puisque vous ne voulez pas l’admettre, lorsque je serais Reine j’aurais le pouvoir de me débarrasser de chacune d’entre vous !
_ Comme l’ancienne Reine vous voulez dire ? demanda sarcastiquement Azénor, sous le ricanement des autres pintades de mes deux.
_ Non pas comme l’ancienne Reine puisque nous avons fait tout ce que nous pouvions pour que jamais il ne la touche ! Nous avons eu de la chance qu’elle soit conne comme une chaise et que lui préfère notre compagnie à la sienne ! On a juste eu à maintenir la situation en l’état… Mais quand je serais Reine, je m’assurerai qu’il reste bien dans mon lit comme j’ai toujours su le faire malgré votre présence à toutes !
Sur ces dernières paroles, Démétra s’éloigna de ses « amies », passant juste à côté d’Arthur sans le voir…
_ Va falloir la jouer serrée… On ne peut pas la laisser faire…
_ Arthur aura toujours besoin de maîtresses, même si elle arrive à ses fins. Elle est bien trop sûre d’elle ! Rien ne dit qu’elle gagnera cette guerre…
_ J’ai entendu dire qu’Arthur voulait récupérer Guenièvre…
_ Pfff… Alors ça, je n’y crois pas une seule seconde ! Elle l’a toujours dégoûté ! Cela n’aurait aucun sens qu’il veuille la récupérer !
Tour à tour, elles acquiescèrent. Sachant pertinemment que, de toute manière, elles avaient tout fait pour entretenir ce dégoût. 
_ Et bien mesdames, que la meilleure gagne !
-o-
En retournant à sa chambre, Arthur était mortifié. Comment avait-il pu s’enticher de toutes ses hypocrites, sournoises et mesquines ? Des opportunistes, voilà tout ce qu’elles étaient ! Il savait que quand d’autres auraient mené la vie impossible à ses maîtresses, Guenièvre n’avait eu envers elles que de la bienveillance… Jamais elle n’avait mal parlé de ou à ses maîtresses… Elle aurait été en droit de le faire… Mais elle ne leur avait offert que de la gentillesse et en retour elle n’avait le droit qu’à leur hypocrisie et leurs moqueries…
Non, il ne pouvait pas tolérer cela. Il n’avait pas besoin de ça, d’elles dans sa vie. Elles se croyaient indispensables et irremplaçables. Il comptait bien leur montrer qu’il n’y avait qu’une seule personne dans ce cas : celle qui était déjà partie.
Angharad avait raison. S’il voulait récupérer sa femme, il fallait le faire pour les bonnes raisons et il devait procéder à certains changements afin de mériter son retour. Il devait tout d’abord se poser toutes les bonnes questions. La première : que voulait-il de Guenièvre à présent ? Sa présence, sa gentillesse, sa compréhension… Il y avait autre chose mais il n’était pas prêt… Était-il seulement capable de l’aimer…
La deuxième : était-il en mesure de renoncer à la promesse faite à Aconia ? Voulait-il faire évoluer sa relation avec Guenièvre et lui accorder enfin la seule chose qu’elle avait jamais voulu ? Aimerait-il avoir un héritier avec elle ?
Il se souvenait parfaitement des mots qu’elle avait prononcé avant de partir : « Je ne peux plus accepter d’être humiliée jour après jour, année après année en sachant que jamais vous ne m’aimerez comme moi je vous aime. »
Les choses avaient-elles évoluées pour lui ? Était-il réellement sûr de pouvoir et vouloir changer son comportement ne serait-ce que vis-à-vis d’elle ?
Ses paroles résonnaient dans sa tête depuis plus de six jours maintenant : « J’ai besoin d’être aimée mais aussi d’aimer en retour ! ».
Il ne pouvait pas changer du jour au lendemain. Il le savait mais pouvait-il fournir des efforts et considérer cette femme pour ce qu’elle était : un trésor précieux et inestimable, la seule personne de tout ce foutu pays à n’avoir jamais voulu profiter de son statut et à avoir fait l’erreur de tomber amoureuse de l’homme et non du Roi qu’il est ?
La réalisation le frappa alors aussi soudainement qu’un éclair. La réponse à toutes ces questions était définitivement bien trop simple : Oui. Car elle en valait la peine. Elle méritait qu’il se batte pour elle comme il aurait toujours dû le faire dés le premier jour. Ce ne serait certainement pas facile. Il devrait se jeter corps et âme dans la bataille mais il était prêt. Il la voulait, la désirait mais surtout souhaitait l’aimer comme il aurait toujours dû l’aimer.
-o-
Le lendemain, Arthur convoqua chacune de ses maîtresses dans la salle du trône. S’il voulait prouver sa détermination, autant commencer par cela. Il avait convié Léodagan, Séli, Bohort, Karadoc et Mévanwi à assister au spectacle qu’il allait donner, ceci dans un seul et unique but : faire comprendre à chacun que sa décision était sincère mais surtout irrévocable.
Démétra, Aélis, Azénor, Tumet et Azilis entrèrent ensemble dans la salle. Elles arboraient toutes un grand sourire qui ravie Arthur. En effet, afin de leur donner la leçon qu’elles méritaient, il avait fait en sorte que les personnes ayant été les prévenir leur fassent miroiter une nouvelle de la plus haute importance pour chacune d’entre elles.
_ Bien. Je pense qu’il est inutile de vous faire patienter plus longtemps. Je vous ai fait venir afin de vous annoncer une nouvelle de la plus haute importance. J’ai pris une grande décision.
Les cinq femmes le regardaient avec un immense intérêt et une impatience à peine contenue, tandis que les autres personnes conviées se demandaient dans quelle merde le Roi allait-il les mettre ce coup-ci.
_ Je souhaite ardemment que… Toutes les cinq… Vous vous cassiez d’ici en vitesse !
Dire qu’ils étaient surpris serait un doux euphémisme.
_ Mais Sire… Je ne compr…
_ Vous n’avez absolument pas besoin de comprendre Démétra ! J’ai simplement décidé que la comédie avait assez durée. Vous n’êtes pas à votre place ici. Vous ne l’avez jamais été et ne le serez jamais. Il est grand temps que je cesse de repousser la seule et unique femme digne de siéger à mes côtés. J’en profite pour demander solennellement au roi et à la reine de Carmélide la main de leur fille. Et pour que ce soit bien clair, si par malheur Guenièvre décide de refuser ma requête, ce dont elle aurait tout à fait le droit, je ne veux aucune autre femme. Ce sera Guenièvre de Carmélide ou personne. Je tiens à ce que tous soient au courant, je n’accepterai aucune autre proposition de mariage. Maintenant, je ne le répèterai pas une autre fois : cassez-vous et ne revenez pas !
Sous les regards médusés de toutes les personnes conviées, le Roi Arthur Pendragon se leva de son trône et sortit de la salle les laissant comme des glands. Les anciennes maîtresses n’en menaient pas large et se demandaient comment elles avaient pu en arriver là… Elles n’avaient pas vu venir ce retournement de situation. Personne ne l’avait vu, pas même Mévanwi qui tâchait de se faire aussi discrète que possible. Elle ne l’avait pas cru lorsqu’il disait vouloir récupérer sa femme… Elle allait certainement regretter la lettre qu’elle avait envoyée à peine deux jours auparavant…
Au moins, les choses étaient on ne peut plus claires.
Seule une servante s’étant cachée dans un renfoncement de la pièce esquissa un fin sourire. Angharad était enfin rassurée. Il avait enfin compris… Il restait maintenant à la convaincre elle…
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miung-dreamer · 2 years
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Est ce qu’on a conscience que cette femme qui a peur des oiseaux et des loups, qui est de nature conciliante, a décidé de tenir tête à ses parents et s’est enfuie de Carmélide ?  Et qu’elle a ensuite envoyé bouler sa belle-doche et Cryda ?
Elle est partie (probablement) seule sur les routes en payant des diligences puis des guides pour se rendre à Tintagel. TOUTE SEULE. Elle a bravé la solitude, les bruits étranges de la nature, les nuits froides, parce qu’elle voulait le retrouver.
La Bretagne du Vème siècle, c’est pas les autoroutes d’aujourd’hui avec des Courtepaille et des aires (sales) pour faire pipi.
Mais elle l’a fait car rendre hommage à son mari (supposé) décédé, le revoir une toute dernière fois, avait plus de sens et d’importance que de rester cloîtrer en Carmélide par peur d’engueulades familiales.
Est ce qu’Arthur y a pensé au moins qu’elle s’est mise en danger pour lui, pendant ses dix années d’exil ? Est ce qu’il a enfin compris à ce moment-là toute l’immense affection qu’elle lui porte ? Est ce qu’il a ressenti du remords ? 
****
Purée ce personnage est tellement fort dans tous les sens du terme. Guenièvre 🧡
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jananabananawithnopeel · 10 months
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Bonjour 🎅
Ton Santa attend la neige en prenant des notes.
En attendant, il se demande :
Quels sont tes ships exotiques préférés ?
Coucou 👋
J’ai l’impression que ça fait des années que j’ai pas vues de noël blanc. En même temps où j'habite, y’a pas trop de neige sauf parfois en février. En tout cas, je te souhaite de jolies matins plein de flocons !
Pour répondre à ta question, je vais considérer qu’exotique, c’est tout ce qui n’est pas canon ?
J’adore Guenièvre vraiment très beaucoup, c’est une cutie I mean just look at her 🥰
Dans ma tête, j’essaie toujours de lui donner un peu d’amour et de bonheur. Donc je pars du principe que tout le monde tombe plus ou moins amoureux d’elle 😌
J’ai un faible pour Guenièvre/Demetra (another cutie). Je partage d’ailleurs un headcanon/AU avec yumeka où Demetra est en fait la maîtresse de Guenièvre et pas celle d’Arthur.
Guenièvre/Edern friendship et/ou romance. J’ai plusieurs headcanons où Guenièvre et Edern se connaissent depuis qu’elles sont nées/petites puisqu'elles viennent toutes les deux de Carmélide et que Léodagan connaît assez son père pour la recommander à Arthur. Aussi, le trope du chevalier avec sa princesse toussa 👉👈 [insert le clip de “Cup Runneth Over” by Kiki Rockwell here]
Guenièvre/Alzagar un autre ship que je dois à Yumeka ❤️
Guenièvre/Attila (vous avez dit exotique ???) Celui là ca vient de l’episode 317
Arthur a ramené Grüdü, déguisé en femme. Attila : C'est la plus belle femme de Kaamelott ? Arthur : La plus belle. Attila : C'est Guenièvre ?
Et du coup la première fois qu’Attila voit Guenièvre pour de vrai c’est le coup de foudre (pour lui en tout cas).
Léodagan/Séli/Lancelot Bon, je dis pas ça que parce que j’ai co-écrit la seule fic avec ce ship mais listen si on prend le mec le plus puceau de Kaamelott et qu’on le met avec le vieux couple qui n’a aucun scrupule, aucune gêne et qui a probablement déjà tout essayé bin ça donne ce ship et c’est bien
Mevanwi/Lancelot listen LISTEN. EUX. Juste. Two vilain bitches. Ils se détestent, ils sont toxiques et ça me suffit.
Nessa/Kolaig Les deux disparaissent dans KV1 au même moment et on entend plus jamais parler d’eux
Le headcanon ici, c’est que Nessa non plus elle était pas complètement insensible au brun à bouclette qui écrit de la poésie en secret à sa maîtresse et vient de temps en temps leur parler à la fenêtre. Après sa chute, Kolaig n’est pas mort, mais il a quand même pris cher et n’est pas en état d’aller au rocher avec Arthur pour retirer Excalibur. Heureusement, sa sœur (celle dont le pâtissier de Kaamelott est amoureux) habite pas loin. Le choc initial passé d’avoir le roi et la reine de Bretagne (tous les deux présumés morts), ainsi que deux illustres chevaliers (c’est comme ça qu'ils se sont présentés) et son frère à moitié mort chez elle, elle accepte de garder son frère jusqu’à son rétablissement. Le problème ? C’est qu’elle doit aller chercher quelques herbes pour soigner son frère, mais Kolaig ne peut pas rester seul. Nessa, restée silencieuse jusque-là, saute sur l’occasion et se propose de rester et veiller sur lui. Arthur, Guenièvre, Perceval et Karadoc (enfin surtout Guenièvre) finissent par reprendre la route avec la conscience tranquille, Kolaig est entre de bonnes mains.
Uther!Yvain/Ygerne  Je suis tellement désolé de ressortir des trucs du fin fond de Tumblr mais ce crackship ne m’a jamais quitté depuis qu’il est discuté dans ce post. Je n’ai rien a dire pour ma défense I’d still read this ship.
Capito/Sallustius Je trouve qu'ils agissent comme un vieux couple marié. Ils me rappellent des gens que je connais.
Très curieuse de savoir ce qu'il leur est arrivé après qu’Arthur les ai viré de Bretagne et de l’ambiance sur le bateau pendant le voyage du retour.
La Dame du Lac/La Dame du Feu Je sais qu’elles ont genre 2 répliques, mais c’est pas ça qui va m'arrêter. Si elles sont pas besties elles sont soulmate, l’un comme l’autre ca me va.
J’ai beaucoup d’autre ship bizarre mais je me suis retenu et j’en ai mis que 10 voilà 😊
Et bientôt et passe une bonne fin de semaine petit Santa 💖
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gerceval · 2 years
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Le Choix - chapitre 5
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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Guenièvre n'avait pas eu le temps de retirer sa main de la joue d'Arthur et la voix tonitruante de Léodagan retentit dans le couloir.
- Non mais ça va bien oh ? Qu'est-ce que vous croyez que vous êtes en train de faire espèce de grand trou de balle !
Arthur se retourna vers lui, interdit, tandis que Léodagan continuait sa tirade outragée.
- Vous croyez que vous pouvez vous en tirer comme ça à susurrer des mots doux à ma fille ? Elle est reine de Bretagne la petite je vous signale, vous comprenez ce que ça veut dire ? Alors je vous vois venir avec votre yeux bleus larmoyants et votre mèche là, mais elle a pas l'intention de bécoter un sous-fifre c'est moi qui vous le dis - ou alors l'intention va vite lui passer, et c'est moi qui vais m'en charger, j'espère que je me fais bien comprendre !
Arthur n'avait pas eu le temps d'en placer une. Il avait parlé plus vite que sa pensée quand Guenièvre l'avait pris pour Lancelot et qu'il avait répondu sans la détromper. Et maintenant, il devait faire face aux conséquences bien pourraves de son manque de réflexion. Comment allait-il bien pouvoir se tirer de ce mauvais pas ? Avant qu'il ne puisse réagir, Guenièvre avait eu ce léger basculement en arrière qu'elle avait quand elle était sur le point de répliquer et de faire entendre ce qu’elle avait en tête sans se laisser intimider.
- Non mais dites père, je ne vous permets pas !
- Vous, occupez-vous de vos miches !
- Mais justement, je suis bien assez grande pour m'occuper de mes miches toute seule !
- Ah ne commencez pas hein, parce que la réprimande paternelle elle peut partir !
À la menace de Léodagan, le sang d’Arthur ne fit qu’un tour.
- Eh oh, c’est vous qui allez vous calmer ou vous voulez que je m’en occupe ?
Léodagan le toisa calmement, l'œil légèrement pétillant comme s'il avait attendu la remarque de trop avec impatience, et lui colla un bourre-pif monumental sans se laisser démonter.
- Père !
- Nan mais ça va pas la tête !
- Ah mais si vous croyez que je vous ai pas vu tourner autour de la reine depuis tout ce temps ! Alors mon bonhomme si vous croyez que vous pouvez vous adresser au roi de Carmélide comme ça en plus d'essayer de tripoter la reine de Bretagne il va falloir vous remettre les idées en place vitesse grand V !
Arthur avait porté sa main à son nez, et commençait déjà à sentir le sang couler légèrement.
- Seigneur Lancelot de mes deux, marmonna Léodagan, manifestement satisfait de son petit effet.
Mais Arthur n'avait pas l'intention d'en rester là. En essayant d'épargner son nez, il asséna un coup de tête à Léodagan qui se voulait monumental. Au lieu de quoi, ayant eu un peu de mal à jauger sa propre taille, il ne se pencha pas tout à fait assez pour atteindre l'endroit de la tête de Léodagan qu'il visait, et écrasa à nouveau son nez endolori contre le visage de son adversaire. Léodagan laissa échapper un grognement qui ne fut pas sans déplaire à Arthur, mais ce dernier geignit encore plus fort. Sans perdre une seconde, Léodagan empoigna Arthur. Les coups se mirent à pleuvoir de part et d’autre, rythmés par les cris de Guenièvre qui essayait désespérément de les séparer.
Arthur, déséquilibré par ce grand corps qu’il ne connaissait pas encore, ne résista pas à la tentative de Léodagan pour le faire tomber, mais parvint à l’emporter dans sa chute, et les deux hommes finirent par tenter de s’asséner coups de poings et coups de genoux mutuellement sur les dalles froides du couloir. Au bout de quelques minutes d’un pugilat somme toute ridicule, Guenièvre cessa ses efforts pour interrompre leur empoignade et se barra purement et simplement. Cela fit à Arthur l’effet d’une douche froide. En effet, ça ne ressemblait à rien. Léodagan parut reprendre ses esprits exactement de la même manière, et les coups s’arrêtèrent. Les deux hommes se relevèrent, un peu honteux mais toujours pleins d’un orgueil viril. En s’époussetant, Léodagan entreprit d’enterrer la hache de guerre.
- Scusez seigneur Lancelot, c’est pourtant pas pour la loyauté que je porte à mon gendre…
Bon à savoir, se dit Arthur dans un coin de sa tête.
- Mais enfin, vous savez comment c’est, on n’a pas envie que ses enfants se fourrent dans des bourbiers sentimentaux…
- Nan mais je comprends, je comprends, c’est tout à votre honneur.
- Ah mais ne recommencez pas seigneur Lancelot, vous savez très bien que vous gonflez tout le monde avec vos histoires d’honneur et après il suffit de se lever la nuit pour aller pisser et on vous voit en train de… Pardon, ça me reprend.
Arthur ne répondit pas cette fois.
- Bon, ben sur ce ! Pas que ça m’ait beaucoup fatigué de vous latter mais enfin quand même je suis plus de première jeunesse, je retourne au plumard. Passez une bonne nuit seigneur Lancelot, et que je vous prenne pas à rôder autour de la chambre de ma fille, ajouta-t-il sur un ton de plaisanterie qui masquait à peine la menace.
- Bonne nuit à vous, répondit laconiquement Arthur, trop occupé à réfléchir à la tête en vrac qu’il devait à voir, et à ce à quoi le reste de sa nuit allait ressembler.
Tandis que Léodagan s’éloignait en direction de sa chambre, Arthur resta pensif. Sa conversation avec Guenièvre avait ouvert plus de questions qu’elle n’avait apporté de réponses ; pour autant, il ne pouvait pas se permettre d’aller la retrouver dans sa chambre sans crier gare. Un frisson le traversa – le froid du couloir commençait à se faire glacial.
[Votez ici pour ce qui se passe au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
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Ce que c'est que le vide
Day 4: Dead on your feet WC: 1,2k
Arthur relisait le compte rendu fait sur un simple palimpseste et soupirait presqu'à chaque mot, non tant à cause des fantaisistes désinences, résultat d’une romanisation mal entretenue, mais bien à cause du contenu même.
« Il commence vraiment à m'énerver avec ses tourelles. Et avec qui il les peuplerait de toute façon ! »
Par réflexe, il tourna la tête à droite, anticipant le soupir agacé de la princesse de Carmélide. Mais ce soupir ne vint pas. Le lit était vide, Guenièvre n'était plus là. Arthur eut une seconde de pause, comme surpris par ce dont il avait pourtant connaissance. Puis il se reprit et reposa le parchemin sur la table basse avant de souffler la chandelle. Il s'installa bien confortablement dans son lit et s'enroula très serré dans la couverture. Il ferma les yeux. Au bout d'une minute, il les rouvrit.
Quand il veillait aussi tard pour continuer à s'occuper des affaires du royaume, Guenièvre avait tendance à s'endormir bien avant lui et ne restait que sa bouche pour gémir de temps en temps quand il se plaignait trop. En même temps, elle prenait toute la couette et quand enfin il se décidait à dormir, il devait tirer dessus pour récupérer sa part. Guenièvre grognait et il en retirait une sorte de satisfaction de pouvoir la faire chier pour la dernière fois de la journée.
Ce soir, donc, il n'y avait personne pour lui retirer la couette. Personne pour, en voulant la récupérer, se rapprocher de lui jusqu'à qu'ils fussent deux corps respirant lentement côte à côte et se réchauffant par leur simple proximité. Arthur avait toute la couette, mais il avait froid.
Le lendemain, après un petit déjeuner sans histoire - ce qui revenait à dire : seul - il se dirigea vers la salle du trône. C'était, comme beaucoup de jours par mois, jour de doléance au château. Il y avait déjà foule. Bohort, aussi droit qu’un piquier, l'attendait près du trône. Arthur s'installa lentement sur son siège, mais avec cette espèce de lourdeur que confère ce sentiment d'immense lassitude. Le peuple commença à défiler. Bohort, à présent assis, lisait d'une voix claire, mais ennuyeusement monotone, la doléance du plaignant. Il y avait ce chevalier errant qui ne voulait plus errer autant et demandait une chambre au château. Il y avait ce paysan dont le coq s'était noyé et qui accusait de coquine la boulangère. Il y avait ce commerçant qui venait dénoncer un collègue qui ne respectait pas le prix franc.
« C'est la journée où ils blâment tous les maux du monde sur moi, en fait ? lança le roi, déjà blasé au pauvre Bohort qui grimaça.
- Sir, voyons, répondit ce dernier presqu'en geignant avant,heureusement, d’être emporté par sa flamme, ils ne vous blâment pas, ils comptent sur vous ! Vous êtes le roi, qui avait la justice au creux de la main ! C'est pour trouver l'espoir qu'ils viennent vous voir ! »
Arthur le fixa quelques instants. Bohort lui offrit un sourire sincère - et naïf. Surtout naïf. Il se détourna. Lancelot aurait haussé les épaules et proposé de les renvoyer pour cause de doléance non correctement formulée.
Puis vint un cas plus épineux. Les deux parties rejetaient la faute (un arbre pourri qui avait fait des dégâts en s'effondrant) sur l'autre en prétextant que l'arbre qui faisait évidemment borne entre leur deux propriétés n’était en réalité que sur la propriété de l’autre. Arthur, indécis, se tourna vers le sincère Bohort. Et Bohort lui retourna ce visage déjà vu cent fois : celui d'un Bohort confondu et peureux. Il bégayait tant qu'il ne put rien dire - et peut-être que c'était en fait là un stratagème pour s'abstenir de son devoir de conseil. Arthur soupira. Lancelot lui manquait comme quand s’installe l’hiver, le pépiement des oiseaux.
Le soir vint. Arthur s’installa confortablement dans son lit avec une assiette remplie de charcutaille et un pichet de vin. Ah, pouvoir manger et boire sans entendre sa femme le houspiller en prétendant qu’il mettait des miettes partout ! Finalement, c’était ça le bonheur. Il était en train de faire bonne chair, au lit. Et il allait se coucher dans le silence le plus complet et avec toute la couette. Non vraiment, s’il s’était laissé aller à quelque apathie ce jour, ce n’était qu’à cause du poids du quotidien. Maintenant, il pouvait en profiter de l’absence de Guenièvre la mièvre. Et Lancelot ? Bon débarras lui aussi. Il était parfois perspicace, mais qu’est-ce qu’il était insupportable avec ses grands airs et sa droiture trop rigide ! Bonne nuit, Caamelott, et à la nouvelle vie d’Arthur !
*
Le lit était froid.
Le siège à côté du trône n’était pas occupé par la bonne personne.
Quand il tournait la tête aux repas, il voyait un vide (Yvain se retenait absolument de prendre la place de sa sœur, même si cela faisait déséquilibre dans la tablée). Et ses oreilles recevaient en permanence les remarques acerbes de ses beaux-parents qui déversait leur fiel sur leur fille passée à l’ennemi. Il aurait pu y voir une marque de loyauté, mais il connaissait trop Léodagan et sa femme pour savoir que cela relevait davantage du manque de tendresse qu’ils accordaient à leur progéniture. Yvain s’écrasait, pour ne pas changer et Guenièvre seule avocate d’elle-même n’était plus là pour se défendre. Les pensées d’Arthur s’embrouillaient. Oui, Guenièvre était chiante. Mais non, elle ne l’était pas pour lui. Oui, Guenièvre mangeait trop. Mais non, il aimait sentir la boule que formait son corps entier et qui lui réchauffait le dos (car il n’osait jamais s’endormir le visage tourné vers elle). Non, Guenièvre n’était pas ingrate. Non, ce n’était pas une gosse indigne. Non, elle ne s’était pas jetée dans les bras du premier venu.
Guenièvre s’était jetée dans les bras du premier à l’avoir traitée comme elle le méritait.
Que le lit était froid, le soir.
*
« Sir… Sir, est-ce que vous nous écoutez ?
- Hum ? »
Arthur releva la tête, revenant au présent. Bohort faisait toujours sa tête de chien battu, le Père Blaise était aussi frustré que d’habitude par ses nombreuses ratures et les autres chevaliers regardaient leur roi d’un air mi-curieux, mi-blasé. Léodagan eut un rire sec.
« Bah dites-le nous si on vous emmerde. »
Arthur regarda à sa droite. Le siège habituellement occupé par Lancelot était demeuré vide. Bien qu’il ne s’agît pas du siège périlleux, aucun n’avait eu l’audace de venir s’y asseoir. À y repenser, peut-être que Lancelot aurait pu s’asseoir sur le siège périlleux, quand il était encore au château. Peut-être qu’en lui ravissant sa femme, il s’était déchu de cet exploit. Peut-être qu’au contraire, il l’avait gagné. Arthur revint à son beau-père.
« Oui, vous m’emmerdez. »
Même Léodogan ne s’attendait pas à une réponse aussi franche. Les chevaliers baissèrent la tête et s’entre-regardèrent, mal à l’aise. Arthur jeta un coup d’œil à la ronde (table). Il se rendit compte qu’il n’avait rien à faire là. Il hocha deux trois fois la tête puis il se leva. Personne ne le retint. Il s’en vint directement à sa chambre, se déshabilla et alors qu’il faisait grand jour, se coucha. La seule chose qu’il pouvait encore faire – dont il avait encore l’énergie ou l’espoir – c’était d’attendre.
Attendre son retour.
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wengenn · 1 year
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Je viens de revoir Kaamelott 1er volet ! Et je me suis fait plusieurs réflexions, que je vous offre en vrac :) (/!\ évidemment spoilers /!\)
Déjà. Première remarque, et selon moi la plus "importante" : YVAIN WHERE ????? Nan mais pour de vrai, il est pas en Carmélide avec ses darons, il est pas non plus avec Bohort et Gauvain ?? Y-VAIN-WHERE ! Oubli dans le scénario ? Refus de Simon Astier d'être dans le film ? Mort du personnage ??? il est même pas mentionné !!!??!"!'?-€)2-_)#+28_;#8 Y'a de quoi se poser des questions quand même >:/
Selon moi, c'est pas la seule chose qui manque à ce film. J'aurais aussi beaucoup aimé voir des scènes de retrouvailles, déjà entre Guenièvre et ses parents -bon d'accord y'en a une, mais c'est plus des retrouvailles "générales" donc ça compte pas. :) Ensuite une scène avec Merlin et Elias !! Oui. même si bon, là c'est purement personnel parce que j'adore ces deux là. Mais quand même !! Et entre bohort et léo aussi ! En fait, une scène avec tous les personnages dans la même pièce. Sans forcément de dialogues entre chacun d'entre eux, mais juste une scène pour les voir tous ensemble, au moins une fois, puis laisser l'imagination faire le reste. Mais y'a BEAUCOUP de personnages dans KV1. En plus de ceux qu'on connaissait déjà, y'en a une bonne dizaine de nouveaux, donc c'est pas évident de tous leur donner leur moment- sachant que le film dure déjà deux heures.
Et en fait, le film est avant tout centré sur Arthur, ça se voit très clairement. Donc je pense que c'est normal, si on a pas ces fameuses scènes de retrouvailles.
Pour passer sur des points plus positifs : J'ai vraiment adoré le film. Rien que le début ! Le son de la corne au début du film ! Ça aurait pu ne pas y être, ça aurait rien changé en soit. Mais c'est un petit détail qui donne le sourire d'entrée de jeu ! Un autre détail super touchant, qui est peut être pas fait exprès mais je pense que si quand même : Lors de l'évasion des résistants grâce au réseau souterrain, alors qu'Arthur est endormi depuis sa capture par les saxons à Gaunes. La première personne qu'il voit, lorsqu'il se réveille : c'est Merlin !! C'est celui qui est à l'origine de toute son histoire en tant que roi de Bretagne ! Et lui aussi qui lui permet du coup de pas crever avec les autres par Lancelot ! :D merci de donner à merlin de la reconnaissance putain. he deserves it <3
En revenant au tout début du film, le premier personnage connu qu'on voit c'est Venec ! LE Venec qui a permis à Arthur de s'enfuir à la fin du livre 6 ! Et pour ajouter à ça, c'est lui aussi qui lui permettra de s'enfuir de sa condition d'esclave ; là aussi je trouve ça dommage qu'il ne revienne pas après dans le film. Même si là encore, ç'aurait été compliqué à placer. Mais Venec il carry de fou ! Merci de lui donner de la reconnaissance à lui aussi. C'est pas le personnage le plus moral, mais c'est de loin l'un des plus fidèles à Arthur, bien au dessus d'autres. *tousse* genre karadoc *tousse tousse*
Et évidemment, le premier personnage qu'Arthur retrouve après le Duc d'Aquitaine, et mis à part Gauvain et Lionel qui sont des cas un peu particuliers, c'est notre cher Bohort. Celui qui lui est resté fidèle du début à la fin, celui qui a fait face à son cousin pour essayer de protéger Arthur, même en sachant qu'il n'avait aucune chance. Notre cher Bohort dont l'évolution est putain de visible, évidente ! Le mec organise la résistance ! Encore contre son cousin le dictateur !!!€!-"(#;4;_ Bohort est l'un des personnages qui selon moi, n'a pas assez de reconnaissance pour le chemin qu'il a parcouru. Comme Merlin en fait.. "On peut douter de tout, sauf de la nécessité d'être du côté de l'opprimé". Can relate.
La visite de la soeur de Léodagan m'a aussi évidemment fait penser au seul moment de la série où elle est mentionnée : Guenièvre parle de comment quand Léo va pas bien, il passe quelques jours chez elle en Carmélide puis en revenant tout va mieux. C'est une assez drôle coïncidence que l'une des seules et apparemment très rares fois où elle vient le voir, il retrouve aussi ses adorés engins de siège (d'ailleurs cette scène >>>). Entre ça et le fait qu'elle pratique l'hydromancie, je me demande si la madame aurait pas un peu plus que des notions de base en terme de magie..
Et pour continuer dans les théories, on passe maintenant à la toute fin du film : le sauvetage d'Arthur après son combat contre Lancelot. (lequel le traité d'incapable alors que c'est lui qui prend la fuite bref........) Meghan. Prend. L'épée. Par. La. Lame. Soit c'est pour montrer qu'elle est pacifiste ou pas à l'aise avec la violence ou simplement pas entraînée au combat, SOIT. Parce que faire tenir Excalibur par quelqu'un d'autre poserait problème. Pourtant, on sait qu'elle ne flamboie que si elle reconnaît la destinée de son porteur. Meghan ?? Aurait-t-elle un destin incroyable ??? Développé dans les prochains films ???? Et le fait que la caméra se concentre particulièrement sur elle lorsqu'elle sort de la salle ??????? Sachant qu'en plus, c'est la première femme à la tenir, cette épée, de toute la série c'est pas arrivée une seule fois. Même la dame du lac elle l'a pas fait oh !!!! Voilà. Peut être que c'était juste un détail osef, mais un brin de réflexion fait pas de mal.
Lamorak à la table ronde. That's it that's the tweet.
Elias qui balance des mini sorts à la fin quand ils crament leur potager. well that's cute.
En sortant un peu de la review de film, je trouve ça assez intéressant de pas avoir fait essayer à Perceval de retirer l'épée, ni de la lui faire tenir quand elle a perdu ses flammes. Parce qu'honnêtement, je pense que ça aurait réussi. But who knows ?
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katewalker · 3 years
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KAAMELOTT | Livre V “Le Royaume Sans Tête” vs. “Kaamelott: Premier Volet”
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ahma-art · 3 years
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Deuxième partie ! J’ai fait un croquis super détaillé puis au moment de mettre les couleurs je me suis dit “EH SI JE LES FLOUTAIS???” et du coup bah voilàààà (AH AUSSI ! J’ai ENFIN VU LE FILM !)
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likielandco · 2 years
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Bonjour à tous, bonjour mes reines, Bonjour mes chevaliers, bonjour Kaamelott fandom!
Ça fait un long moment n’est-ce pas?
Je vais être honnête: je me suis forcé à ne pas poster sur Tumblr, car je souhaitais vraiment pouvoir revenir vers vous tous avec une date définitive pour l’update de l’OS 11.
Alors sans faire de ronds de jambes, je vous annonce que je poste la première partie du OS 11, le mardi 31 janvier, à 20h 🥳
Ça fait plus d’un an que je n’ai pas updater ma fic sur AO3, mais je n’ai jamais, jamais, jamais cessé de l’écrire. Des mois et des mois de frustration et de prise de tête car ma vie professionnelle a pris un tournant intense, et toutes les nouvelles responsabilités qu’on m’a attribué n’ont pas ramené que du pognon, elles ont aussi ramené beaucoup de stress. Pour le coup, écrire le OS 11 m’a beaucoup aidé émotionnellement, même quand je ne pouvais sortir que 2 pages par semaines, même quand j’en effaçait 10 par pure perfectionnisme.
Le revers de la médaille c’est la culpabilité de ne pas avoir pu partagé la suite avec vous, mes lectrices et lecteurs tellement merveilleux et tellement impliqués dans LPDG.
L’attente a été longue et j’en suis la première désolée, mais pour le coup, je reviens non seulement organisée, mais aussi avec du Lourd (notez le grand L 😂)
Le OS 11 fait bien plus que 100 pages, je vais pas vous donner le décompte tout de suite, sinon vous allez halluciné 😅
À tout ceux qui attendent l’update depuis tout ce temps, à tout ceux qui commentent, qui m’envoient des messages d’encouragements sur Tumblr, qui n’ont pas l’intention d’abandonner cette histoire malgré le manque d’update, qui veulent toujours continuer à suivre les aventures de Guenièvre et Arthur, de la Svala et son Dux Bellorum… je veux vous dire que je vous adore, que je brûle de reconnaissance, que ces centaines de pages vous sont dédiés, que je n’ai jamais relâché mes efforts pour vous donner une suite, que vous méritez la grosse bombe que ce OS 11 va être, et que vous allez manger de plus de cent pages avec uniquement Guenièvre et Arthur. Yup. On se rattrape comme on peut. ❤️
Vu la longueur de la bête, je vais devoir découper le OS en trois parties. Ça me fend le cœur mais c’est comme ça. J’ai grave hésité à tout balancer d’un coup, mais ça ferait trop, beaucoup trop à digérer. Il y aura énormément de dialogues, plus que dans la totalité des OS précédents, et la façon dont j’ai construit ce chapitre, chaque élément, chaque attaque, question ou révélation entre Arthur et Guenièvre, va trouver son écho au fur et mesure de la lecture. Aucun de ces deux personnages ne perdra le nord dans leur affrontement, ce fameux affrontement qui aborde finalement leur mariage passé. Vous allez probablement avoir l’impression d’assister à un match de tennis, puis à une avalanche 😅
Beaucoup des questions qu’on m’a posé en commentaire sur AO3, trouveront leurs réponses, il y aura beaucoup de révélations sur Horsa, sur Lancelot… bref, ça va être la pétarade quoi.
Je vous conseille fortement de relire la fic depuis le début, ou tout du moins depuis le OS 5, la destruction de Kaamelott, pour pouvoir savourer à quel point le OS 11 est un écho et une fatalité évidente pour tout ce qui s’est passé avant dans l’histoire. Tout les dialogues entre Arthur et Guenièvre du OS 5 au OS 10, sont particulièrement importants.
J’ai la chance inouïe d’avoir des lectrices et lecteurs qui flairent mes plots comme Sherlock Holmes flairent les mystères. J’espère que vous allez kiffé ce qui vient, les dénouements et les renouements des plots, tout ça c’est pour vous!
Finalement, même si cette année 2023 ne s’annonce pas plus chill que les autres niveau boulot, j’ai décidé de faire de LPDG une priorité. Ça veut dire poster tout les mois. On va voir si j’y arrive, mais je suis déterminée. Je veux m’avancer dans cet objectif avec bienveillance et sans stress ou culpabilité, j’ai déjà trop de ça dans ma vie. À travers LPDG, je veux viber avec vous, rire avec vous, pleurer avec vous, hurler avec vous et à mon petit niveau, rendre hommage à l’univers de Kaamelott qui m’a tant donné et ce depuis que je suis petite.
La seconde partie du OS sera posté fin février, la troisième fin mars. Ça part en crescendo, soyez prévenue! Énormément de angst, mais aussi énormément d’amour, comme il se doit. ☺️
Ok je crois que c’est tout! Encore merci, merci beaucoup, merci mille fois, merci tellement à toutes les personnes qui ont glissé dans mes DM sur Tumblr, juste pour m’encourager, ou juste pour me demander comment ça va… merci à toute les personnes qui commente sur AO3. Ça n’a pas de prix, ça signifie tant pour moi. Merci pour tout les kudos et les Hits, merci pour votre temps, merci pour votre soutien, merci pour votre lecture.
À très vite,
Avec tout mon amour,
Lily.
#LesPétalesDeGuenièvre🌸
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quietparanoiac · 3 years
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Du coup, j'ai regardé par le carreau du couloir pour voir si vous étiez pas en train de marcher le long du rempart sud, comme je sais que vous faites des fois... mais vous y étiez pas.
Kaamelott (2005-2009), 2x25 | 3x57 (Séli Et Les Rongeurs | Cuisine Et Dépendances)
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 3
Hello à tous ! J’espère que vous avez passé un bon week-end !
Chapitre 3 : La Destination
Guenièvre de Carmélide ne put s’empêcher de soupirer bruyamment une fois sortie de son ancienne chambre. Tout son corps tremblait. Il lui avait fallu tout son courage pour s’opposer au Roi et à présent tous ses nerfs se relâchaient enfin. Elle fit quelques pas en se reposant contre le mur. Elle devait s’éloigner le plus possible… Mais c’était sans compter sur le chevalier Perceval :
_ Ma Reine ? Vous allez bien ?
Guenièvre essuya son visage des nombreuses larmes versées avant de finalement se tourner vers le chevalier.
_ Seigneur Perceval ! Si vous souhaitez parler au Roi il est dans sa chambre.
_ En fait, il m’a balancé la porte à la figure juste avant d’y rentrer un peu plus tôt… J’étais dans le cirage pendant un bon moment je pense… jusqu’à ce que je vous vois sortir…
_ Je dois vous laisser, je suis navrée…
Seulement, Perceval n’était pas disposé à la laisser s’échapper.
_ Où allez-vous donc ma Reine ? Je peux vous accompagner si vous le…
_ Ne m’appelez plus comme cela ! Je ne suis plus Reine…
_ Je comprends pas…
Guenièvre soupira une nouvelle fois avant de poursuivre son chemin vers les quartiers des serviteurs, où Angharad devait déjà l’attendre.
_ Ma Reine ? Vous allez où ? Je peux peut-être vous accompagner…
_ N’avez-vous point une réunion de la table ronde dans peu de temps ?
_ Bah… C’est possible, je sais plus bien après ce coup sur la tête… Mais j’pense pas que le Roi voudrait que je vous laisse seul…
_ Je vous le répète Seigneur Perceval : je ne suis plus Reine. Ce que voudrait ou ne voudrait pas le Roi à mon encontre n’a plus aucune importance…
_ Je comprends pas bien… Pourquoi vous dites que vous n’êtes plus la Reine ?
_ Mon mariage avec le Roi vient d’être annulé. Je ne suis plus ni la Reine, ni même sa femme. Il est donc inutile de me suivre…
Arrivée à destination, Guenièvre toqua à la chambre de sa bonniche. Lorsqu’Angharad ouvrit, elle écarquilla les yeux en voyant sa maîtresse vêtue modestement à côté de son soupirant.
_ Je suis navrée de vous déranger mais je préférais que vous l’appreniez par moi au lieu de devoir faire confiance aux commérages qui ne vont pas tarder à se répandre.
_ Madame ?
_ Mon mariage avec le Roi a été annulé. Je quitte le château sur l’heure. Je souhaitai juste vous dire aurevoir et merci d’avoir été mon amie…
_ Mais Madame… Que dites-vous là ? Une annulation de mariage ?
_ J’aimerai avoir le temps de vous en dire plus… Sachez juste qu’il s’agit de ma décision, j’ai fait annuler mon mariage. Je dois partir à présent…
Guenièvre prit brièvement la jeune femme dans ses bras avant de filer vers la sortie réservée aux serviteurs.
_ Seigneur Perceval ! Je vous en supplie ne la laisser pas toute seule ! Suivez-la et protégez-la ! Je ne sais pas ce qu’elle a en tête mais les routes sont trop dangereuses pour une femme seule…
Le chevalier acquiesça brièvement, prit un instant la main de la jeune servante, puis courut rejoindre la Reine… enfin l’ex-Reine. Angharad avait du mal à saisir exactement tous les tenants et aboutissants de la situation mais elle ferait peut-être mieux de prévenir le Roi et le Seigneur Karadoc que Perceval filait le train de la Reine… enfin, ex-Reine.
-o-
Guenièvre et Perceval finirent par sortir de l’enceinte du château et se retrouvèrent sur la route royale. La princesse de Carmélide essayait de faire rebrousser chemin à son accompagnateur, sans grand succès.
_ Il n’est pas nécessaire que vous m’accompagniez Seigneur Perceval, je peux voyager seule !
_ Ma Reine, les routes sont trop dangereuses ! Angharad et le Roi m’en voudraient s’il vous arrivait quelque chose ! Donc temps que l’on ne sera pas arrivé à constipation, je resterai avec vous !
_ Constipation ? demanda Guenièvre, troublée par son insistance.
_ Bah là où vous voulez vous rendre quoi.
_ Destination ?!
_ Ah oui, ça marche peut-être mieux ! Merci ma Reine.
_ Arrêtez de m’appeler comme ça ! Je ne suis plus Reine !
_ Ouais, je sais mais si je vous appelle pas comme ça, je sais pas comment vous appeler…
_ Guenièvre, tout simplement.
_ Ouais mais je trouve pas ça assez respectueux…
_ C’est juste mon prénom Seigneur Perceval… Vous voulez absolument m’accompagner ?
_ Oui, ma Reine, je serais plus rassuré.
_ Alors ce sera à la condition que vous arrêtiez de m’appeler « ma Reine » pour me nommer Guenièvre à la place !
Perceval la regardait attentivement. Il n’était pas certain de pouvoir, ni vouloir, l’appeler ainsi mais si c’était le prix à payer pour venir avec elle…
_ D’accord mais vous m’appeler Perceval tout court alors !
_ Marché conclu !
Ils se sourirent amicalement, continuant de marcher…
_ Où allons-nous du coup ?
_ Ma tante réside avec son mari dans un domaine au bord de la mer. Un peu au-dessus de la ville d’York.
_ C’est au moins à trois jours de marche ça ?!
_ En effet… Mais on peut pousser jusqu’en Carmélide si vous êtes pas content ! Il faudra juste ajouter trois jours de marche en plus…
_Trois jours, plus trois autres jours, ça fait…
_ Six jours Perceval, coupa Guenièvre en voyant le chevalier compter sur ses doigts.
_ Ah bah alors non, trois jours c’est très bien !
_ Ma tante sera contente de me voir, cela fait longtemps que je n’ai pas pris le temps de lui rendre visite.
_ Votre tante, c’est la cousine de votre mère c’est ça ?
_ Non, c’est la sœur de mon père, Fraganan, répondit-elle en fronçant les sourcils au mot « cousine ».
Perceva acquiesça gentiment sans faire de commentaire. Il restait, tout de même une question trottant dans la tête du chevalier :
_ Vous avez dit à Angharad que vous avez annulé votre mariage avec le Roi…
_Oui et ?
_ Pourquoi vous avez fait ça ?
_ Vous ne voulez pas savoir…
_ Je vous poserai pas la question si je voulais pas savoir !
_ Perceval… Ce n’est pas que je ne vous fais pas confiance mais je crains que la vérité ne vous mette en colère et ne fasse baisser votre estime pour le Roi.
_ C’est pas faux… Mais du coup, c’est quoi qu’il a fait le Roi ?
La princesse leva les yeux au ciel. Pour l’avoir suffisamment entendu de la bouche d’Arthur, elle savait que le chevalier était mou de la comprenette. Cependant, il était si gentil et agréable avec elle qu’elle ne se voyait pas le renvoyer bouler comme avait pu le faire son ex-mari.
_ Vous savez que le roi a des maîtresses ?
_ Oui, j’ai jamais trop compris d’ailleurs… Au Pays-de-Galles, les hommes ils prennent pas de maîtresse. La fidélité, c’est important chez nous que ce soit envers l’homme ou envers la femme. En plus, quand on est amoureux, je pense qu’on a pas besoin de maîtresse… C’est pour ça que j’ai jamais compris, puisque le Roi il vous aime, pourquoi il avait besoin de maîtresses.
Guenièvre resta interdite quelques minutes. Elle avait cru mal entendre les dires de Perceval. Ces paroles étaient si surprenantes qu’elle crut un instant les avoir rêvées…
_ Le Roi n’a jamais été amoureux de moi.
_ Bah moi, je pense que…
_ Non, je vous assure il ne l’est pas, ne l’a jamais été et ne le sera jamais ! Là n’est pas la question de toute façon ! J’ai surpris le Roi embrassant Dame Mévanwi, c’est pour ça que j’ai décidé d’annul…
_ QUOI ! QUOI ?! Le Roi a embrassé cette vilaine morue ?!
_ Cette quoi ?
_ Mévanwi, la femme de Karadoc ! C’est rien qu’une mocheté, qu’une grosse morue, une vilaine frisée !
_ Perceval !
_ Quoi ? Vous allez me dire le contraire peut-être ? Elle me donne envie de gerber dés que je la vois ! Et vous me dites que le Roi l’a embrassé ?! Je sens que je vais être malade…
Guenièvre n’en revenait pas. Auprès de toute la gente masculine du royaume, Mévanwi était considérée comme une très belle femme. Même elle, ne pouvait nier ce fait et pourtant… Pourtant, le Seigneur Perceval, sans doute le chevalier le plus fidèle du Roi Arthur, pensait sincèrement que la femme de son plus proche compagnon était hideuse. Il y avait de quoi se poser des questions…
Cependant, Guenièvre se mentirait à elle-même si elle disait qu’elle n’était pas ravie que le chevalier pense cela de la femme qui avait finalement réussi à briser son mariage…
Le voyage jusque chez sa tante allait être long mais avec un acolyte comme Perceval de Galles, Guenièvre de Carmélide se disait qu’elle n’aurait pas pu trouver mieux pour éviter de broyer du noir.
-o-
NDA: Voilà à vous de me dire ce que vous en pensez ;)
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miung-dreamer · 2 years
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Mes ptites fics Pendranievre
J’ai décidé d’enfin faire un post regroupant les quelques modestes textes que j’ai pu écrire ici et là. Pour ceux qui sont curieux, enjoy the ride : 
1) Le rouge et le bleu
Un moment quelque part durant le dernier épisode du livre VI où Arthur, alité, se remémore Guenièvre.
2) Avant, maintenant et pour toujours
Post-KV1, Guenièvre confronte Arthur sur ses “démons”.
3) Un moment pour se détendre
Post-KV1, la reine s’inquiète pour son mari et cherche un moyen pour le décompresser.
4) Un songe dans le désert
Durant son exil, Arthur l’esclave rêve de son épouse bretonne.
5) Tenir sa main encore un peu
Longtemps après KV1, Arthur doit faire face à une épreuve douloureuse.
6) Un jour nouveau
Un matin pas comme les autres pour le roi et la reine.
7) J’attends votre retour : partie I / partie II (à venir)
Post-KV1, Arthur revient fatigué de son expédition sur l’île de Thanet. Il a une mauvaise surprise en rentrant en Carmélide.
**********
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losttranslator · 3 years
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Vous vous rappelez de l’épisode “Le Solitaire” dans le livre III, où y a Léodagan, Bohort, Guenièvre et Arthur qui se pointent tous au campement de Lancelot chacun de leur côté pcq ils voulaient tous voir s’il allait bien, ils voulaient pas qu’il se sente seul, et ils voulaient lui refiler de la bouffe ?
Et Lancelot ça le gonfle tellement qu’il s’enferme dans sa tente pendant qu’ils mangent ? 
Jpp d’avoir Lancelot tellement apprécié et entouré, avec tout le monde qui veut s’assurer qu’il va bien, et lui qui vit ça comme un emmerdement. Genre même Guenièvre qui vient exprès pour lui filer du jambon ça le gonfle. L’idée d’avoir un cousin lui fait péter les plombs. Arthur qui veut son bien-être c’est une offense personnelle à ses yeux. Svp, Léodagan le Sanguinaire se faisait du souci pour lui et ça le fait pas tilter.
Lancelot a des rondelles de salami devant les yeux et un revêtement imperméable sur le coeur c’est pas possible. Comme ‘il a besoin de personne,’ c’est insultant que les gens veuillent l’aider. L’ironie, quand on a Arthur qui a tellement besoin d’aide, et qui se fait larguer tellement souvent.
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(édit : jetez un oeil au Reblog de @thehappyegg je vous promets ça vaut le détour)
Kaamelott Prompt
Anna meurt en couche laissant Loth veuf en charge d'un jeune Gauvain.
Léodagan, désireux d'ouvrir une alliance avec ses voisins du Nord, décide de marier sa fille Guenièvre au roi Loth et d'unir leur nation pour bouter les romains hors de la Bretagne. La force de la coalition que forment les Pictes, la Carmélide et les Orcaniens est dévastatrice et il ne leur faut pas beaucoup d'effort pour vaincre l'envahisseur. 
Réticente à épouser un homme qui se rapproche de l'âge de son père, Guenièvre se promet de s'enfuir. Mais l'amour est une plante tenace qui peut naître d'entre les plus durs des rochers et guérir le plus triste des cœurs. 
Malgré tout, la pourriture qui habite l'âme de Loth et son penchant pour la traîtrise peuvent-ils vraiment disparaître ou au contraire la jeune reine va-t-elle être intoxiquée par le pouvoir et la corruption ? 
Les romains chassés et Excalibur toujours fermement ancré dans son roc sacré, il ne reste plus qu'une seule question à laquelle répondre : qui va prendre le trône et devenir roi de Bretagne ?
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