#Georges Morand
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"Très rarement traité en France, ce thème a été abordé en 2011 dans l’émission Sur les docks de France Culture par le père Georges Morand qui, confronté à ces sociétés secrètes dans le cadre de ses activités au diocèse de Paris, explique avoir rencontré "des personnes qui ont été la proie de groupuscules satanistes extrêmement redoutables pratiquant ce que l’on appelle les messes noires liées à des rites de sorcellerie et de magie, avec des meurtres rituels […] sous le double couvert, et je pèse mes mots, d’une part de la mafia, tous les réseaux mondiaux de la prostitution de bas et de haut étage, du trafic de drogues et d’autre part de personnalités que l’on pourrait dire au-delà de tout soupçon qui tiennent des postes clés dans notre civilisation, que ce soit dans le monde de la politique, toutes tendances politiques confondues […], dans le monde de la magistrature, dans le monde scientifique, dans le monde de la finance, dans le monde intellectuel […] et je dirais même hélas, trois fois hélas, dans le monde ecclésiastique"."
Faits & Documents n° 522, août 2023.
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André Doderet raconte qu'il a passé hier la soirée avec Guynemer, l'homme aux trente-cinq victoires. Pas un ingénu de génie, comme le croyait Doderet, mais quelqu'un d'assez dur, avec beaucoup de cruauté dans le regard; il porte toujours sur lui la photo des trente-cinq avions qu'il a abattus.
Paul Morand, 24 Mars 1917, Journal d'un attaché d'ambassade
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Goed of fout - in de Franse letterkunde maakt het niet heel veel uit
Drie nieuwe romans van Martien Beversluis opgedoken! De kritieken van Jan van der Made in Groot-Nederland eindelijk gebundeld! Eerste serieuze, geannoteerde uitgave van de briefwisseling tussen Henri Bruning en George Kettmann tijdens de Bezettingsjaren gaat verschijnen! Zulke krantenkoppen laten zich in Nederland maar moeilijk voorstellen. Beversluis, Van der Made, Bruning en Kettmann waren…
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#Abel Bonnard#Académie Française#Baudelaire#Brasillach#Buchenwald#Céline#Cocteau#Dignate Robbertz#Drieu la Rochelle#François Pauwels#Gallimard#George Kettmann#Han van Meegeren#Henri Bruning#Jacques Chardonne#Jacques Lusseyran#Jan van der Made#Jérôme Garcin#Jean Prévost#l&039;Obs#Links richten#Lucebert#Lucien Rebatet#Martien Beversluis#Maurras#NouvelObs#NRF#NSB#Paul Morand#Pétain
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La librairie Eric FOSSE est heureuse de vous proposer en souscription deux éditions de luxe de l'Album de Jacques TERPANT, l’un des grands dessinateurs actuels. Après la bande dessinée consacrée à Louis-Ferdinand CELINE ou la mise en dessins de deux romans de Jean RASPAIL, entre autres succès,l’artiste propose en un ouvrage son Panthéon personnel, composé de 40 portraits des auteurs qui l’ont pétri et nourri : Enid BLYTON, Robert Louis STEVENSON, Herman MELVILLE, Arthur CONAN DOYLE, Ernest HEMINGWAY, Clifford SIMAK, Howard Phillips LOVECRAFT, Frank HERBERT, Philippe Kindred DICK, Louis-Ferdinand CELINE, MOEBIUS, Yves CHALAND, Jean RASPAIL, Jean GIONO, Emmanuel LE ROY LADURIE, Pierre SCHOENDOERFER, Georges DUBY, Michel DEON, Robert MERLE, Roger NIMIER, Marguerite YOURCENAR, Jim HARRISON, Paul MORAND, V.S. NAIPAUL, Philip ROTH, Pierre MICHON, Pierre BERGOUNIOUX, Jean-Loup TRASSARD, Michel PASTOUREAU, Charles Ferdinand RAMUZ, Pierre JOURDE, Annie ERNAUX, Richard MILLET, Pascal QUIGNARD, Sylvain TESSON, Marie-Hélène LAFON, Jean de LA VARENDE, Knut HAMSUN, Pierre DRIEU LA ROCHELLE, Ron RASH. Pour enrichir votre bibliothèque : Librairie Fosse 12 rue Puvis de Chavannes 75017 Paris [email protected]
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Les paquebots rêvent encore - Actu-Juridique
https://justifiable.fr/?p=121 https://justifiable.fr/?p=121 #ActuJuridique #encore #les #paquebots #rêvent Dans les coursives de ce qui fut la base des sous-marins allemands à Saint-Nazaire, le musée « Renversante » a installé un musée-paquebot tentant de faire revivre l’ambiance des transatlantiques. Cette Escale Atlantique est faite pour rêver. C’est en effet à partir de Saint-Nazaire que la Compagnie générale transatlantique exploitait les lignes régulières pour le Mexique et Panama, avec plusieurs escales aux Antilles et aux Caraïbes. La Cunard Line avait choisi Cherbourg comme port d’escale français de sa ligne Southampton-New York. Tandis que les paquebots français partaient du Havre pour New York. De Bordeaux, les Messageries maritimes convoyaient les voyageurs vers l’Amérique du Sud. Nous avons retrouvé une étiquette de bagage de la French Line de la Compagnie générale transatlantique pour un retour de New York à Paris. Nous nous sommes pris à rêver qu’elle aurait appartenu à Paul Morand (1888-1976). Celui-ci fut un globe-trotter infatigable. Ses récits publiés durant l’entre-deux-guerres sont « marqués par sa fascination pour la technologie, le voyage est une course effrénée autour de la planète », dit Halia Koo, auteur d’un essai consacré au Voyage, vitesse et altérité selon Paul Morand et Nicolas Bouvier (Honoré Champion, 2024). Paul Morand faisait partie de la génération des poètes itinérants, incarnant davantage l’excellence de l’écrivain transatlantique : « Nous nous mîmes à dévorer la terre, impatients de la lenteur des paquebots, excités par notre soudaine liberté. » Nous ignorons quelle serait la réaction de « L’homme pressé » face à ces immeubles sur mer qui ont succédé aux paquebots qu’il fréquentait. Il serait certainement horrifié, comme le plus grand nombre de ses contemporains. Nous l’entendons réciter son poème intitulé, Dépression sur l’Atlantique (1927) : « Quelle est douce la route d’Amérique, /même défoncée […] Le navire force la mer et s’avance et de partout dans la coque d’acier on vit au rythme de son titanesque système de propulsion. » Le musée de Nantes a ouvert ses portes sur Une esthétique transatlantique fondée sur l’objet-paquebot en observant son extérieur et son intérieur afin de goûter – ou comprendre – l’expérience du voyage. Si l’entre-deux-guerres a inventé le tourisme grâce aux développements technique et économique. Il fallait séduire un public choisi. Les affiches se succédèrent comme celle de Cassandre (Adolphe Jean-Marie Mouron, 1901-1968), décrivant en quelques traits la force du Normandie. Un exemplaire de cette affiche en premier tirage de 1935 a été adjugé 11 000 €, à Drouot, le 25 janvier 2012 par la maison Tajan. Le musée de Nantes présente une série d’affiches largement influencées par l’Art Déco, comme quelques objets – trop peu – et surtout des peintures. La vision des peintres face aux paquebots, se modifie avec des proues élancées comme avec Jules Lefranc et le Lancement de Normandie (1933), ou des accolements de cheminées et manches à air, comme Paquebot Paris (1921-1922), chez Charles Demuth. En réalité, le paquebot a également contribué à l’évolution de l’architecture et du design intérieur. Le luxe incarné, notamment par le Normandie, étant ici, facteur de progrès. Infos Paquebots, 1913-1942, une esthétique transatlantique Musée de Nantes 10 rue Georges Clemenceau 44000 Nantes Jusqu’au 23 février 2025
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William Blake, el bardo londinense
Por Jean Montalte
Traducción de Juan Gabriel Caro Rivera
William Blake (1757-1827), poeta, pintor y visionario, consagró la imaginación como principio divino y fundamental de la existencia humana. Rechazando la prisión del racionalismo ilustrado, su obra es una mezcla de profecía bíblica y fantasmagoría londinense, un testimonio de su extraordinario poder creativo que hasta el día de hoy sigue cautivándonos.
Imaginación: un páramo golpeado por un color caído del cielo, perdido en radiaciones turbias, el valle verde de nuestros sueños despiertos, un sudario púrpura resplandeciente en la noche incombustible, el poder de la mente envuelto por la grisura apagada de las nubes de noviembre, que ondean como el humo ardiente y vaporoso del caldero de una bruja. William Blake lo dijo mejor que nadie: «La imaginación no es un estado, es la misma existencia humana». La imaginación abarca todos los aspectos de la mente y del mundo. Es el paisaje, la tierra de los sabios, el espíritu redescubierto en gracia, antes de tragarse el mundo para absorberlo, contenerlo y finalmente recrearlo.
Si Londres no le hubiera preexistido, si no hubiera nacido allí, concretamente el 28 de noviembre de 1757, en el 28 de Board Street, Carnaby Market, se podría pensar que Blake había concebido los planos de la City a la luz de su gigantomaquia, una nueva Teogonía, a orillas del Támesis. Paul Morand escribió sobre esta ciudad mítica: «Londres fue fundada por gigantes; estos gigantes debían de tener piernas de zancudos para abrirse paso por los meandros pantanosos del Támesis y cabezas más altas que faros para dominar la extensión de los bosques».
Blake, ese gigante que atraviesa el Támesis como un Estigia con el que esta familiarizado, en compañía de Urizen y Los, cuya lucha cósmica continúa, compuso un poema titulado Londres, oscuro reflejo de una ciudad que convoca todas las maldiciones:
«Londres
Deambulo por cada calle tiesa
Por las orillas calcáreas del Támesis
Y veo en cada rostro
Marcas de debilidad, marcas de dolor.
En cada llanto de cada hombre,
En cada llanto asustado de cada niño pequeño,
En cada voz, en cada prohibición,
Oigo las esposas forjadas por la mente.
Oigo el grito del deshollinador
En cada iglesia ennegrecida,
Y el suspiro del infeliz Soldado
Gotea sangre en los muros del Palacio.
Pero sobre todo oigo a través de las calles nocturnas
A la joven puta que maldice
Marchitando las lágrimas del recién nacido
E infectando el coche fúnebre del Matrimonio».
Ciudad de los muertos
En su rico y suntuoso retrato de la ciudad, Peter Ackroyd evoca la atmósfera de «llamas y pestilencia» que a veces se le asocia: «Londres es una ciudad condenada para la eternidad. Siempre se la ha visto como la Jerusalén que los profetas predijeron a grandes gritos, y a menudo se han citado las palabras de Ezequiel para frenar su espíritu conquistador: «Decid a los que la enlucen: ¡lloverá un aguacero torrencial, se desatará un viento tempestuoso y se derribará la muralla! [...]». En 1849, el conde de Shaftesbury describió Londres como la «ciudad de la peste», y en ¡Viva la aspidistra! de George Orwell un personaje habla de una «ciudad de los muertos»».
Una «ciudad de los muertos» no asusta a Blake, acostumbrado a encuentros más allá de la tumba y más allá del mundo, avezado topógrafo del Cielo y de la Tierra, por no hablar del Infierno, del que a veces parece ser arquitecto y director de orquesta al mismo tiempo... Los espectros y los ángeles le son tan familiares como los pobres desgraciados que arrastran su existencia hecha jirones por medio de sus pesados sacos de carne.
A Blake le impresionó una visión en la abadía de Westminster: monjes que descendían de la nave, cantando. La vida cotidiana, nada más. Una vez más, Peter Ackroyd es un buen guía, bien versado en los misterios de estas fantasmagorías londinenses: «A tiro de piedra de Westminster, Tothill Fields formaba parte de una zona ritualizada de poder y culto; un documento del año 785 se refiere a “ese espantoso lugar llamado Westminster”; “espantoso”, en el contexto, significa “sagrado”, “que despierta un terror piadoso”. No es de extrañar, pues, que la fundación de la abadía de Westminster esté envuelta en sueños y visiones».
El genio de la infancia
Más sorprendente, sin duda, es la recurrencia de las visiones en este poeta que ha sido calificado de visionario en más de un sentido. Ya de niño, el país de las maravillas le resultaba natural; jugaba con espejos y veía a Dios a través de la ventana. Un día, al volver de un paseo por el campo, le dijo a su madre que había visto al profeta Ezequiel sentado bajo un árbol. Ella le abofeteó para que desistiera de semejante blasfemia, con el éxito que todos conocemos. Chesterton, perteneciente a una casta espiritual similar, escribió: «No había nada extravagante ni ostentoso en el sobrenaturalismo de Blake. Lo sorprendente no era su frenesí, sino su calma. Desde que conoció a Ezequiel bajo un árbol, nunca había hablado de tales seres excepto en los tonos más ordinarios». El siglo XVIII está lleno de sobrenaturalismo declamatorio, pero Blake fue el único que habló de lo sobrenatural con naturalidad. Muchas figuras muy respetadas dieron fe de milagros; él se limitó a mencionarlos de pasada. Cuando decía que había conocido a Isaías o a la reina Isabel, no lo relataba como un hecho indiscutible, sino como un suceso tan cotidiano que ni siquiera era discutible. Soberanos y profetas bajaban del cielo o se levantaban del infierno para posar para él y él se quejaba de ello sin mostrar la menor sorpresa, como si sólo fueran modelos profesionales que le causaban un poco de molestia».
Estas visiones sobrenaturales proceden de una fe, mítica y divina, que él vinculaba a la infancia, del mismo modo que Giambattista Vico vinculaba la facultad de imaginar a la infancia de los hombres y los pueblos. En un alegato vivo y proverbial, advirtió a los adultos contra la represión de esta fe infantil, sin duda con vívidos recuerdos de la bofetada de su madre en la cara:
«Quien se ríe de la fe de un niño
será burlado, viejo y moribundo.
Quien enseña a un niño a dudar
No encontrará la salida de la tumba podrida.
Quien respeta la fe de un niño
Triunfará sobre el infierno y la muerte.
El niño tiene sus juguetes, el viejo sus razones,
Son los frutos de las dos estaciones».
Al principio, la imaginación
William Blake fue un ser complejo, cuya mente se forjó a partir de una aleación contradictoria. A quien lo mira demasiado de cerca, o incluso demasiado de lejos, le parece un caos indescriptible. Opositor al racionalismo y a la Ilustración, fue sin embargo un entusiasta defensor de la Revolución Francesa, antes de que el Terror apagara su ardor. Libertario y feminista antes de tiempo – ilustró la obra militante de Mary Wollstonecraft, la «madre del feminismo», Vindication of the Rights of Women – y, pese a propugnar la liberación sexual, llevó una vida pacífica y austera con su compañera de toda la vida: la angelical Catherine Boucher. Deploraba la anarquía religiosa de la que eran responsables Lutero y Calvino, pero hablaba con suficiente dureza de la Iglesia católica y del clericalismo, al que detestaba en su totalidad y sin distinción. Era pacifista, pero poseía una rara violencia interior que utilizaba para librar una guerra espiritual contra el racionalismo. Rechazaba el Antiguo Testamento, pero conversaba con los Profetas que se le aparecían en sus visiones. Seguía una doctrina secreta, el maniqueísmo, pero no pertenecía a ninguna sociedad secreta, y tal vez ni siquiera a ninguna sociedad, porque era un hombre extremadamente radical. Admirador de la Rebelión americana y de la Revolución francesa, Blake fue también un patriota inglés paroxístico, con un nacionalismo habitado por su profundo misticismo. «Esto», observa Pierre Boutang en su introducción a Chansons et Mythes, «es lo que Blake quería decir con su Albión, el Hombre Único, cuyo soporte tomó, con extrema audacia totalitaria y nacionalista, por el inglés de las Islas Sagradas, donde llegó a situar, según una oscura y loca tradición, ¡toda la Historia Sagrada!».
¿Dónde reside la coherencia de la obra, más allá de las sinuosidades del hombre Blake? En mi opinión, reside en el papel principal asignado a la Imaginación – término que aparece constantemente en mayúsculas en sus escritos y que mantendremos aquí –, en la que discierne la facultad divina por excelencia, si no la divinidad misma, ya que a veces la equipara con Jesús, un Jesús muy personal, sin embargo, que no se ajusta a la ortodoxia católica. Según Boutang, es y quiere ser el «hereje original», el «hereje integral».
Por eso he concebido este pequeño texto dedicado a William Blake a la vez como un modesto comentario sobre su obra y como un alegato en favor de los poderes de la Imaginación, a la que me gustaría que se asignara un lugar central en la lucha metapolítica. Blake me parecía una figura tutelar de primer orden. Nadie ha ido tan lejos, con tanta intensidad, en defender la Imaginación. Incluso la convertiría en una religión, un cristianismo revisado y corregido a la luz de esta facultad o poder, este estado fundamental del Ser, esta Instancia cósmica eterna. Llegó a decir: «No conozco otro cristianismo o Evangelio, aparte de la libertad del cuerpo y de la mente juntos, para ejercitar las divinas artes de la Imaginación, de la Imaginación que es la obra real y eterna de la que el universo de la vida no es más que una sombra debilitada, y en la que viviremos en nuestros cuerpos eternos e imaginarios cuando estos cuerpos mortales de la vida ya no existan».
La palabra de Blake
La poesía de Blake tiene una finalidad metafísica. Según Pierre Boutang, «en la imperiosa y violenta profecía» oculta en la poesía mítica y guerrera de Blake, se despliega un esplendor que «evoca inmediatamente para los oídos latinos alguna luz o gloria». Este esplendor es entonces «un modo de resonar del Verbo, una guerra inmortal que no tiene otro o menor objeto que reabrir las puertas del Paraíso, y vencer a los Querubines que las guardan y cubren».
A falta de reabrir las puertas del paraíso, tengo la intención de dedicarle, algún día, una obra digna del entusiasmo – ¡concepto muy querido por Rémi Soulié! – que él tiene el poder de transmitir...
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Bulletin Académie Vétérinaire France, BAVF - 2023, tome 176
See on Scoop.it - Insect Archive
Le «Bulletin de l’Académie Vétérinaire de France » publie des articles dans les domaines scientifiques, techniques, juridiques, historiques et éthiques où s'exercent les compétences du vétérinaire, incluant le concept d’unicité de la santé "One health". Il publie également les Actes officiels de l’Académie Vétérinaire de France. Les contributions sont en langue française ou anglaise.
Académie Vétérinaire de France
2023, tome 176
ENGAGEMENT DE L’ACADÉMIE VÉTÉRINAIRE DE FRANCE AU SEIN DE LA FÉDÉRATION EUROPÉENNE DES ACADÉMIES DE MÉDECINE (FEAM). COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU 5 OCTOBRE 2023
Stefan CONSTANTINESCU, Christophe ROUSSELLE, Jean-Jacques SOULA, Anne-Marie VANELLE, André JESTIN
https://doi.org/10.3406/bavf.2023.71062
STOMOXES : NUISANCE, VECTEURS POTENTIELS ET LUTTE INTÉGRÉE
Gérard DUVALLET
https://doi.org/10.3406/bavf.2023.71061
ONE HEALTH (UNE SEULE SANTÉ) : CONCEPT NOUVEAU EN MATURATION OU VIEILLE HISTOIRE ?
Patrick GIRAUDOUX
https://doi.org/10.3406/bavf.2023.71063
PRIX DE THÈSE D’UNIVERSITÉ DE L’AVF 2022 : UNE APPROCHE TRANSLATIONNELLE DE LA RECHERCHE SUR LAPHYSIOPATHOLOGIE DE LA SCHIZOPHRÉNIE ET LES INTERACTIONSGÈNES-ENVIRONNEMENT
Fanny DEMARS, Boris CHAUMETTE, Thérèse JAY, Marco POMPILI, Marie-Odile KREBS
https://doi.org/10.3406/bavf.2023.71057
PRÉVENTION DE LA PROPAGATION DES ZOONOSES : DE « COMPTER SUR LA RÉPONSE » À « RÉDUIRE LE RISQUE A LA SOURCE »
Traduction par Patrick GIRAUDOUX et Serge MORAND de PREVENTION OF ZOONOTIC SPILLOVER: FROM RELYING ON RESPONSE TO REDUCING THE RISK AT SOURCE One Health High-Level Expert Panel (OHHLEP) : Wanda MARKOTTER , Thomas C. METTENLEITER , Wiku B. ADISASMITO , Salama ALMUHAIRI , Casey BARTON BEHRAVESH , Pépé BILIVOGUI , Salome A. BUKACHI , Natalia CASAS , Natalia CEDIEL-BECERRA , Dominique F. CHARRON , Abhishek CHAUDHARY , Janice R. CIACCI ZANELLA , Andrew A. CUNNINGHAM , Osman DAR , Nitish DEBNATH , Baptiste DUNGU , Elmoubasher FARAG , George F. GAO , David T. S. HAYMAN , Margaret KHAITSA , Marion P. G. KOOPMANS , Catherine MACHALABA , John S. MACKENZIE , Serge MORAND , Vyacheslav SMOLENSKIY , Lei ZHOU
https://doi.org/10.3406/bavf.2023.71059
LA POLLINISATION PAR LES ABEILLES CERTES, MAIS N’OUBLIEZ PAS LES AUTRES POLLINISATEURS !
Mohamed GHARBI
https://doi.org/10.3406/bavf.2023.71058
(...)
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[...] Il parle aussi de ses amis, des écrivains qu'il aime, des pays où il a vécu. Saint-Malo où il avait une petite maison qu'il craint de ne jamais revoir. Saint-Malo l'émeut et le fascine, il en décrit les recoins. Il parle de Rennes... Quintin, où il s'est marié et fut médecin. Il aime aussi parler des dentelles dont sa mère faisait le commerce et qu'il allait livrer lorsqu'il était enfant... La patience de la dentellière, sa modestie et sa ténacité, lui inspirent l'admiration et le respect... "Ces travaux ne sont plus possibles... Tant de finesse, de patience, d'amour... On ne peut plus trouver ça que dans les couvents !".
À midi, nous déjeunons avec du poisson fumé. J'avais apporté une bouteille de bordeaux rouge. Céline n'en a bu qu'une goutte par courtoisie. Il proscrit le vin : "Je suis hygiéniste, le vin, l'alcool, le tabac sont à rejeter. Comment voulez-vous qu'un homme qui fume toute la journée n'ait pas l'esprit enfumé ?".
Cet après-midi, nous nous sommes promenés dans la forêt où les faisans dorés se laissent approcher. Nous avons ensuite été jusqu'au bord de la Baltique. Ferdinand marche avec peine, se plaint de bourdonnements d'oreille et de sa blessure au bras droit qui le relance...
Il aime répéter que seule la médecine l'intéresse... "J'ai décidé d'écrire pour deux raisons... Médecin à Clichy, je gagnais peu d'argent, et je ne dormais pas la nuit. C'est l'insomnie due au vertige de Ménière qui m'a permis de bâtir Voyage au bout de la nuit. Ça m'a valu bien des emmerdements !". Beaumarchais avait raison quand il disait : "Les Français, peuple frivole et dur...".
Nous avons parlé aussi de Léon Bloy et de Gauguin qui ont vécu au Danemark et qui n'y furent pas heureux. Bloy vivait à Kolding, près de Fredericia, ville royale... Ferdinand me demande de lui envoyer les tomes du Journal dans lesquels Léon Bloy parle de son séjour au Danemark. Il a beaucoup aimé le livre d'Henri Calet, Le Tout sur le tout... Parmi les écrivains qu'il aime... Ramuz, George Lenotre, Mac Orlan, Simenon, Marcel Aymé, Victor Cherbuliez... "Qui lit encore Le Comte Kostia ? à part quelques maniaques de mon genre...". Et Paul Morand : "Ah ! celui-là, un homme qui a inventé un truc bien à lui... le style jazz...". Dans le passé, il révère Tallemant des Réaux, Agrippa d'Aubigné, Rivarol, Chamfort...
Il évoque aussi ceux qui lui écrivent ou viennent le voir... Le docteur Camus, Pulicani, Arletty, Marie Canavaggia, Perrot et Paraz, et Daragnès, et Marcel Aymé... Et le pasteur Löchen, son ami danois. Et des copains de la butte, Le Vigan, Bonvillers, Max Revol... Il est aussi très ému par le courage de Paul Lévy, qui depuis notre entrevue ne cesse de proclamer sa sympathie pour Céline, sans tenir compte des cris et des menaces...
[...] Dans la soirée il lui arrive de rester un long moment silencieux ou bien il médite à voix haute... il évoque l'exode à travers l'Allemagne avec Lucette et Le Vigan et Bébert enfermé dans une musette, Bébert le tigre européen immortel : "Ici j'ai le temps de réfléchir...".
Quelques instants plus tard, les animaux vont entrer en scène pour le repas du soir... La chienne Bessie, que les Allemands ont abandonnée en quittant le Danemark, une bête fière et sauvage, d'une approche difficile, à qui Ferdinand parle avec tendresse et qui s'enfuit dans la forêt pendant plusieurs heures pour quelque chasse mystérieuse... les deux danois... Et Bébert le patron à qui un grognement suffit pour que la piétaille des chatons cesse de crier et de faire des galipettes. Ferdinand observe ce petit monde en souriant.
Devant la porte de la maison, il y a des perchoirs pour recevoir les oiseaux. Et lorsque la nuit tombe, deux hérissons viennent boire le lait dans la soucoupe placée pour eux au bas de la haie.
"J'ai le cirque... La danseuse... et les animaux savants...".
La veille de mon départ, j'ai passé quelques heures à Copenhague... Au rayon français d'une librairie, j'ai trouvé un exemplaire de Semmelweis que Céline a signé. Pour ce dernier soir, il me semble qu'il fait encore plus froid qu'hier... Dans la petite pièce où je couche... il y a de l'eau glacée le long des murs... Lucette m'a fait chauffer deux briques entre lesquelles je me cale. Je dors avec deux lainages et deux paires de chaussettes...
Sur le quai de la gare, où ils m'ont accompagné... Ferdinand bavarde et s'amuse comme un enfant de tout ce qui nous entoure. Le train manœuvre. Aux fenêtres des wagons-lits sont accoudés les conducteurs, l'un d'eux a un visage un peu inquiétant... Ferdinand me pousse du coude et toujours en riant me dit à mi-voix : "Regarde celui-là... Et bourrique !... Et donneur !...".
Sur le ferry-boat, je relis mes notes, et je pense que maintenant il va falloir se battre pour le procès... J'écris ce nom, Céline, que la presse d'aujourd'hui n'écrit presque jamais, si ce n'est pour l'accabler d'injures... Et je pense au bonheur de ces jeunes qui un jour, peut-être pas trop éloigné, vont découvrir Voyage, Mort à crédit et tous ses livres, tous, sans exception... Les veinards...".
Pierre Monnier, Ferdinand furieux, Lausanne, Ed. L'Age d'Homme, 1979, p. 93.
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Here's an attempt at an English translation through Google:
Homosexuality in literature Les Marges magazine survey
Paris, May 1926.
The biweekly Marges publishes surveys that often gain notoriety. At one time we had answers to the questions: "Are literary prizes needed?", "Is the French Academy an useful or harmful institution?", "What is the ugliest monument in Paris?", etc, etc. The last survey was intended to cause a much greater sensation than the previous ones caused. The questions asked by Marges were as follows:
1. Has the portrayal of homosexuality increased in literature since the war and, if so, why?
2. Does the portrayal of perverted people influence morals? Is it harmful to art?
3. If this tendency is to be combated, by what means? If tolerated, why?
Thirty-two writers and literary figures answered the questions. Unfortunately, the names are almost all second- or third-rate. The most outstanding ones include Barbusse, Dujardin, Fabre, Mauclair, Mauriac, Rachilde, Vautel and others. With this in mind, perhaps the "Greats" didn’t answer the questions because the survey wasn’t sent to them, for unknown reasons. Claudel spoke out on this matter very clearly in his dispute with the surrealists, Valéry never speaks in the surveys, Duhamel and Benoit are too busy, Cocteau's busy with his conversion, they are afraid of Delteil, Morand has returned sick from Siam, and Giraudoux is too serious an official to deal with such a matter. Moreover, many other writers did not receive the letter with questions, because it was known in advance that they would be overly interested in sharing their answers.
The survey, like a questionnaire, perfectly illustrates the thesis that everyone sees around them only what they want to see, i.e. that the world — an eternal mirror — repeats only what is happening inside a person. All writers answer the first question in the affirmative. But Barbusse sees the homosexual instinct as a symptom of the profound social and moral decline of a certain part of contemporary society. The pleasure with which some writers put their talents at the service of similar issues when the old world, tossed by economic and social upheavals, is heading towards an abyss or a revolution, does not reflect positively on this phalanx of intelligentsia decadents. It can only strengthen young people's contempt for the "wealthy and powerful," etc, etc. Dominique, on the contrary, claims that it is evidence of humanity's return to primitive barbarism. Monarchist Georges Maurevert believes that only a dictatorship can save contemporary France from homosexual tendencies, just as the homosexuality of the First Republic was destroyed by the appearance of Napoleon (despite the fact that his co-consul Cambacérès had to marry an actual concubine to hide his tastes!).
The skillful and intelligent François Mauriac, a pervasive psychologist and an outstanding Catholic writer, in perhaps the most reasonable answer of all, says at the end: "I do not see how in a pagan society the perverts should be tolerated or condemned more than the Malthusians, self-rapists or those who abuse their wives. In these matters we cannot recognize the competence of any tribunal except the Holy Inquisition." Ambroise Vollard writes simply: "Lord! I have the honor to tell you that I was brought up in the Catholic, Apostolic and Roman religion, and that St. Paul says: ‘Let not this word ever be spoken among you.’ Therefore..."
Of course, the judgments of all the interviewees are extremely negative over the authors promoting homosexuality, like Proust and Gide — who deal with this issue —, and finally, they speak with contempt of poor Freud, about whom someone else has already said that "He will finally be able to solve the pansexuality complex using psychoanalysis."
Many respondents believe that the interest in the issue of homosexuality is simply the result of massive jobbery. Almost everyone emphasizes trends issues. La Fouchardière says: "We had a generation of consumptive (breast-fed, as they said) poets, we had a generation of neurasthenic novelists, we had a generation of alcoholic writers... Then we had to wear the halo of an artificial paradise, smoke opium and inhale cocaine... today you have to be a pederast." Some emphasize the influence of the spreading homosexuality on women's behavior. Gerard Bauer says: "Women instinctively felt the danger (even those who did not suspect it). They offered their hair to the minotaur, refined their shapes, became involved in the exercises of the young men. They began to make pacts with the enemy." Most answers, apart from phenomena such as Wilde in England or Death in Venice of Mann and the entire Wandervogelbewegung in Germany, attribute the emergence of homosexual tendencies to the war. Once again, it is proof that France closes its eyes to what is happening abroad and thinks all social and moral movements (romanticism, positivism, socialism) arise completely spontaneously from the Gallic soil.
The editor of Marges, Eugène Montfort, concludes with an afterword at the end: "In any case, one should express the wish that one of this survey's outcomes would be the ability to remain a normal person without causing scandal, to love women without passing for one's pre-war grandfather, antediluvian monster. As Léon-Paul Fargue says: 'it's time to have the right to talent without being a pederast.'"
Front-page Literary News circa 1926: Homosexuality in Literature, a Survey, translated from the French (my favorite--do you think the increasing prevalence of homosexual themes in literature is a consequence of WWI, & do you think it's had an influence on social mores?)
#extremely interesting article!#gay literature#lgbt literature#gay history#lgbt history#france#1920s
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Philippe Audibert x Georges Morand
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https://www.modaonlinemagazalari.com/moda-markas/georges-morand/
Georges Morand
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Model wearing Lacoste coat, vintage Chanel bow and Georges Morand gloves, photographed by Estelle Hanania, styled by Benoit Behume for Tank Magazine
#lacoste#lacoste coat#chanel#vintage chanel#chanel bow#georges morand#gloves#green#green coat#tank magazine#estelle hanania#benoit behume#fashion photography#style#style inspiration#fashion inspiration#fashion#love#fashion lover#fashion blog#fashion blogger#moda 365
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Compte de la 1ère influençeuse noire patriote américaine. Plus d'1 million de vues grâce à deux sources. D'abord l'enquête de F&D. Puis les dossiers de Mar-a-Lago détenus par Trump. Cette Candace Owens est soutien de Trump depuis plusieurs années et est demeurée solide lors du grand test de l'affaire Floyd/BLM de l'été 2021. C'est toujours par les actes en période de crise que l'on reconnaît qui est qui. Quant aux soupçons sur le "couple présidentiel" ils vont beaucoup plus loin que ce que l'on peut en dire. Aucun de ces deux-là n'est vraiment celui qu'il dit être.
Ce qui compte pour nous c'est l'intérêt supérieur du pays, libérer le pays de la tyrannie des canailles décrites par les Drumont, Bernanos, Morand, Céline, Coston, Ratier, nos repères, nos boussoles et principes directeurs dans les brouillards actuels. Relire ces grands anciens là nous mettra tous d'accord et nous fera voir plus loin.
#Candace Owens#John Michael#F&D#Faits et Documents#Egalité et Réconciliation#France#Tradition#Henri Coston#Edouard Drumont#Georges Bernanos#Louis-Ferdinand Céline#Emmanuel Ratier#Paul Morand#BLM#Xavier Poussard#Donald Trump#Brigitte#Brigitte Gate#Youtube
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“Never had a day been so painful to me”
The battle has been lasting for six hours when a Russian column of 5000 grenadiers attacks the hillock of Eylau where Napoleon is and directly threatens the barn which serves as ambulance to Larrey: "At the moment when a real consolation was spreading in the soul of all our wounded, an unexpected movement made by the enemy's right wing to overwhelm our left, precisely on the point of the ambulance, almost caused trouble in all these unfortunates: already some, who could walk, had fled; others were making vain efforts to follow them and to escape this unforeseen attack by the enemy: but we were their supports; we were to die with them rather than seek ignominious salvation. I hastened to complete the section I had started on one leg and in the presence of all the wounded who remained, I expressed forcefully the resolution I had taken not to give up my post; I assured them that, whatever the result of this alert which appeared wrong to me, they had nothing to fear for their lives. All my students rallied around me, and swore not to leave me. "[..]
The arrival of Ney's army corps, at 7 o'clock in the evening, decides the Russian generals to evacuate Eylau and to retreat in good order under cover of the night. Forty-seven thousand victims, French and Russians, killed or wounded, lie there, countless red spots soon covered with snow, petrified by the cold, lit by the flames of the latest fires. The muteness of the living responds to the silence of the dead. "We spent the rest of the night on the icy snow, around the ambulance bivouac fire. Never had a day been so painful to me; never had my soul been so deeply moved: it had been impossible for me to hold back my tears, at the very moments when I sought to sustain the courage of my wounded. "
Hundreds of them arrived at the barn on that fatal day. General d'Hautpoul, hero of the cavalry charge, had his right thigh fractured and torn apart by a blow from a musket [..]
During the charge, General Grouchy, at the head of his dragoons, feels his horse fall under him, killed. He gets up, takes a saber strike before being taken prisoner. Not for long because his aide-de-camp, Lafayette's son, frees him. Bloodied, Grouchy gets back in the saddle and resumes the charge. Only Napoleon's order to get bandaged by Larrey stops him!
The wound is superficial, quickly sutured, like that of the arm of General Morand, another hero of the day.
General Rabusson of the Guard's light cavalry prevented the enemy from invading Larrey's barn and saved the lives of the wounded threatened with being impaled by Russian bayonets. Brought by his companions, "the appearance of this wounded man was frightful, he did not have a human face, he was in imminent danger and covered with wounds; there were seventeen: the most serious were to the head and to the chest." In particular three bayonet blows to the skull, forehead, left cheek with dental fractures, accompanied by three saber blows to the thorax with blowing pulmonary wounds. Larrey closes them immediately, then unbridles the facial wounds before methodically suturing them, "a few cups of broth and a little good wine indeed revived him, and I judged him fit for evacuation ..." before healing!
[..]
At the beginning of the night, Napoleon, true to his habit of visiting the wounded, arrives at the barn after having walked through the fields covered with corpses piled on top of each other. Looking overwhelmed, he tries to smile sadly at the sick, encourages them to heal, recommends them to Larrey or promises a pension to the wives and children of those who are about to die. The next day, the Emperor returns to find Larrey like the day before, operating standing in the frozen snow, in his windswept barn.
Jean Marchioni - Place à monsieur Larrey, chirurgien de la garde impériale
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eff anotha cracka by snotgirrl featuring Rouge Bunny Rouge
Sally Circle tall tank, $13 / Velvet by Graham Spencer stitch jacket, $160 / Boris Bidjan Saberi white denim skinny jeans / Mimi Holliday by Damaris bra, $23 / Dr. Martens short heel boots, $305 / Burberry zipper shoulder bag / Valentino jewelry, $120 / We Are All Smith chain pendant necklace / Georges Morand fingerless biker glove / Goody thick hair accessory / Forever 21 hair band headband, $1.17 / Rouge Bunny Rouge mascara / Yves Saint Laurent eye pencil makeup, $34 / Laura mercier lipstick, $26 / Clinique long wear eyeshadow / NARS Cosmetics shiny nail polish, $20
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ON AURA TOUT VU les gants dans tous leurs etat pour l’automne-hiver 2017-2018
ON AURA TOUT VU les gants dans tous leurs etat pour l’automne-hiver 2017-2018
ON AURA TOUT VU Paris – Une licence, pour la fabrication mondiale, vient tout juste d’être signé avec le célèbre gantier français Georges Morand (fabrication et distribution) à compter de l’automne-hiver 2017-2018.
Georges Morand exploitera la licence des lignes de gants et gants bijoux des marques:
«ON AURA TOUT VU » et
«MOULIN ROUGE® by ON AURA TOUT VU».
Le gantier produit déjà les…
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