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James Hadley Chase - Miss Shumway Jette Un Sort - Gallimard - 1972
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L’ami qui ne m’a pas sauvé la vie
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Jacques Roubaud, Aphasie, in Quelque chose noir. Poèmes, Gallimard, Paris, 1986, pp. 131-132
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L'Actéon marcheur de Pierre Klossowski (Le Bain de Diane, 1956).
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« Grâce » au covid, j’ai eu le temps de dévorer goulûment ce copieux roman. A cause du covid, en partie, je me sens un peu défaillante pour écrire une chronique à la hauteur. Car c’est un livre incroyable selon moi, un livre que je ne suis pas près d’oublier.
Dès le début j’ai été frappée par une foule de similitudes entre le destin des deux protagonistes et le mien. Je suppose que c’est parce que j’ai bientôt 50 ans, et que leur histoire, vu de loin est banale, ordinaire, comme la mienne. C’est un peu une auscultation du couple. Alors, à quelques années près, ils sont plus jeunes que moi/nous mais le roman s’arrête en 2014, et leur histoire démarre en 1992 ; grosso modo, on est raccord.
Même si c’est à Chicago.
Mais le livre ne parle pas que des mutations du couple, de l’érosion des sentiments, des mythologies qui sous-tendent les amours, loin de là. Même si c’est le point de départ et le point d’arrivée. La construction du roman d’ailleurs est assez incroyable, totalement maîtrisée, complexe mais fluide, astucieuse (elle donne envie de tourner les pages car un suspense psychologique s’installe). Le romancier a expliqué qu’ayant vécu jeune à Chicago puis y étant revenu plus tard, il avait constaté une gentrification de la ville, notamment des quartiers si excitants, bohèmes et anticonformistes, ceux où nos deux héros, Jack et Elizabeth, vont se rencontrer et s’aimer, jeunes, naïfs et pleins d’espoirs. L’auteur raconte que ce qui arrive à ces grosses villes arrive parfois aussi aux gens. Parce qu’on change. Obligatoirement. Le temps passe. L’amour mute ou s’émousse, c’est bien la question, en tous cas une des questions posées par la vie et ce récit. En plus, ils font un enfant, petit être complexe et pas facile, et se mettent à vivre en banlieue… ils deviennent ce qu’ils ont moqué en leur âge d’or. Leur/Notre temps en plus leur/nous a lancé dans les jambes internet et ses vertiges. Le monde a changé, ses habitants occidentaux aussi.
Il mêle alors à l’observation psychologique très très fine de ses personnages, l’observation des autres changements : le rapport à l’art, peinture et photographie, le rapport au roman comparé aux liens hypertextes offerts par internet, la théorie puissante de l’effet placebo qui fonctionne au point d’interroger l’importance de la croyance, l’avènement de Facebook, son fonctionnement par algorithmes qui transforme les liens sociaux (surtout pour les gens seuls), l’accès à l’information et à la désinformation et peut aussi donc mener aux théories du complot, au désir de trouver des voies autres pour tenir debout (médecine parallèle, croyances, ésotérisme flou), l’éducation, nourrie de préceptes aussi précis qu’angoissants. Il est autant romancier qu’ethnologue, sociologue, psychologue, vulgarisateur numérique. Son livre est volontiers historique et extrêmement documenté (dans le chapitre « Craquage », les références ostensibles ont un effet comique imparable). A cela, il ajoute le désir humain d’accéder au bien-être qui parait si proche dans nos sociétés occidentales pourvu qu’on ne soit pas dans la misère (Jack et Elizabeth se débrouillent correctement sur le plan financier), et qui pourtant semble inaccessible (elle fait le constat de n’être jamais détendue, libre, confiante), ce qui s’explique par des problèmes non résolus venant de son enfance tout autant que par le bombardement d’informations stressantes que nous apporte la technologie, ainsi que les contraintes modernes.
J’ai appris énormément de choses sur tous les domaines cités ci-dessus et j’ai été éblouie par l’intelligence qui les analysait, les liait, les confrontait, avec humour et parfois cruauté. Je me suis retrouvée un nombre incalculable de fois dans toutes ces problématiques, jusqu’à des détails troublants, bref.
C’est impossible de résumer l’intrigue, les enjeux. Il faut lire ce livre, faire l’expérience de la lecture de ce livre. C’est un vrai voyage intime, stimulant et drôle, bouleversant par moments, qui en plus permet de mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Je suis époustouflée par le talent de ce gars. (Je n’avais pas lu son premier roman apparemment très remarqué pourtant.)
A mes yeux c’est un grand livre, qui va compter. En tous cas, pour moi, c’est un choc.
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[Dijon, honey. Darling. French from Gallimard in 1946. This is this year's model. That's awesome!]
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Publication, revue Aventures
Vous trouverez un texte que j'ai écrit dans la revue Aventures, c'est le tout premier numéro et elle est pensée par Yannick Haenel...
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« Panorama » est un roman policier dystopique qui se passe en France en 2049.
Depuis la Revenge Week de 2029, révolution qui a éclaté suite au ras-le-bol d’une société où trop de crimes restent impunis, on vit dans l’ère de la Transparence.
Désormais, afin d’éviter les crimes, les Français peuvent vivre dans des maisons en verre où chacun peut/doit être épié par son voisin.
Plus de violences intrafamiliales, plus de maltraitances dans les EHPAD… Tout manquement aux lois, déclenche une arrestation suite à une dénonciation des voisins et en guise de tribunal, la vindicte publique. Le coupable doit prouver qu’il ne l’est pas.
L’histoire débute par une disparition, celle d’un couple et de leur enfant vivant dans un de ces quartiers en verre…
J’ai beaucoup aimé ce livre au style très épuré de Lilia Hassaine. On comprend vite que le crime n’est pas le sujet central. On vit dans un monde pas si différent du nôtre. J’ai apprécié les petites phrases sibyllines ironisant sur les même problèmes que ceux de notre monde actuel : la maltraitance, le qu’en dira-t-on, les écrans, les réseaux sociaux, l’éducation, la police, la santé, l’intimité sacrifiée à la sécurité, la dictature du paraître …
« Il lui a enfin présenté Louise, qu'elle trouve formidable et ouverte, deux adjectifs qui ne veulent rien dire. Ouverte à quoi? je lui réponds, ça veut dire quoi « ouverte »? Ouverte sur le monde, curieuse, attentive, j'en sais rien moi, ça veut dire quoi « ouverte » ? Tolérante, elle voulait dire. Elle lui a parlé de sa bisexualité, et Louise a trouvé ça top, alors que je me suis contentée de hausser les épaules quand elle me l’a annoncée en avril. Je ne vois pas ce qu'il y a de top dans une orientation sexuelle, c'est la tienne et tu as le droit de mener ta vie comme tu l'entends. Je ne pense rien du fait qu'une femme soit bi, tout comme je ne pense rien du fait qu'elle soit noire ou asiatique, ce n'est Pas ma grille de lecture des gens... »
« Faire un effort. Pour quoi faire ? Ma fille est gonflée de certitudes mais c'est à moi de faire des efforts. Personne ne fait d'efforts ici. Rien ne nous y invite d'ailleurs. Ni l'école, ni la société, ni la technologie. J'allume mon smartphone, et je ne sais plus ce qui est vrai. Peu importe. Ce qui compte, c'est que ça circule. Les flux. Les tendances. Se laisser influencer par ses propres idées. L'algorithme nous approuve, entretient nos croyances, nous conforte dans nos choix. Je partage des articles, des posts, pour évangéliser mes amis, ma famille. Je partage, sans débattre. Ne pas communiquer, pour ne pas évoluer.
Échanger, pour ne surtout pas changer.
Alors faire des efforts... »
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One book a day...
“Mon grand-père n’était pas un patriarche du dix-neuvième, c’était déjà un homme moderne. Il avait lu Kafka et Thomas Mann, mais il était disposé à courir le risque du ridicule pour me dire ce qu’il avait à me dire. Et je lui en serai toujours reconnaissant parce que, depuis lors, il m’est resté l’idée que nous tâtonnons dans le noir. Que nous ne savons ni ce qui est bien ni ce qui est mal pour nous. Mais que nous pouvons librement décider du sens à donner aux choses qui arrivent. Et cela, c’est au fond notre seule et unique force.” Une citation qui me renvoie à cette autre, de Thomas Gunzig : “On mime pas mal l'adaptation au monde mais en fait on est complètement largué, tous.“
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Fabrice Humbert ‘L’expérience des Fantômes’
But this lieutenant took part in a number of expeditions which, beyond the nightmares, the dead and the ghosts made the whole of England dream. An expedition that made him a hero, a word that maybe has no real meaning as such, but which meant I lot to the romantic nature of Jane. After the Coppermine, John Franklin became the man who ate his boots.”*** John Franklin is a man of exception in…
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Jacques Roubaud, Ludwig Wittgenstein, in Quelque chose noir. Poèmes, Gallimard, Paris, 1986, pp. 45-46
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The future of Gallimard
Gallimard is one of the leading French book publishers. After building Madrigall in 1992, Antoine Gallimard would therefore strive to implement the necessary devices for a fourth generation Gallimard to ensure the destiny of the group. In 2020, Antoine Gallimard’s company had a turnover of €585 million. But many observers question the future, by eyeing Bernard Arnault, majority shareholder and…
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J’ai adoré ce roman.
On est allés à Istanbul dix jours il y a de nombreuses années (avant Erdogan), et j’avais adoré ce voyage, cette ville. J’avais lu Orhan Pamuk déjà, qui m’avait subjuguée avec Neige et Mon nom est rouge. Je ne sais pas pourquoi, je me suis sentie bien là-bas. Franchement dépaysée, mais j’ai trouvé les gens chaleureux, complexes… (on a discuté avec plusieurs habitants, et bu longuement du raki avec le gars qui tenait un tout petit hôtel avec son frère, juste en face de la Mosquée Bleue), et la ville m’a parue incroyable, tant imprégnée d’un passé brillant et chaotique. Trépidante, mélangée, un vrai Tetris de cultures différentes, d’ambiances contrastées. Ultra moderne, ultra ancienne. Une mosaïque. Et cette mélancolie souriante… l’eau trouble du Bosphore…
De ce livre de Burhan Sönmez, je ne savais pas trop quoi attendre, pas une réplique d’Orhan Pamuk sous prétexte que les deux sont turcs. Et pourtant, je retrouve quelque chose de cette mosaïque mélancolique.
L’auteur est d’origine kurde et c’est là son troisième livre ; je ne le connaissais pas avant.
Plein d’histoires sont imbriquées autour du personnage central, Avdo, un vieil homme maître marbrier dans un cimetière stambouliote, qui vit dans une baraque au cœur dudit cimetière. C’est un homme heureux, malgré un passé difficile et tragique. C’est un homme bon, et pour ceux et celles qui croisent sa route, il est devient souvent un ami, un confident. Il est soucieux des autres, et ne fait pas de grande différence entre les vivants et les morts, sans doute par déformation professionnelle, mais aussi parce qu’il a appris à faire sans les gens chers qu’il a perdus. Il dialogue autant avec les étoiles que les tombes. A travers son histoire et celles de ceux qu’il croise, le romancier tisse une toile complexe qui éclaire par bribes l’histoire complexe du pays, ses beautés, ses richesses, ses violences et ses blessures. On a donc à faire avec de très nombreux personnages issus de mondes et d’époques différents. Avdo est spirituel sans être croyant, et il voit clair dans le jeu de l’imam de la mosquée d’à côté (lequel est plus intéressé par l’argent que par dieu) avec qui il a pourtant des relations cordiales.
La vérité c’est qu’il est orphelin, et qu’il ne sait pas qui il est puisqu’il ne sait pas qui est sa mère (selon sa pensée). Il est donc syncrétique par essence. Il préfère croire les histoires des hommes et des femmes et la vérité de leurs cœurs plutôt que de se conformer à des préceptes. Tout petit, il a été recueilli par un homme qui ne savait plus comment il s’appelait lui-même, puis par un maître marbrier qui lui a transmis sa passion. Avant de connaître l’amour et de donner rendez-vous sous les amandiers…
Dans ce livre, il est fortement question d’identité. De nom. Qui est-on vraiment ? Que signifient les noms que l’on nous donne ou ceux que l’on porte ou ceux que l’on se choisit ? Quelle est la part qui nous est donnée, celle qui nous appartient ? Il s’agit d’une quête intime, presque d’une enquête parfois.
Il est aussi beaucoup question d’amour, souvent immuable, qui survit à la mort et crée du possible autour de soi.
C’est un magnifique livre, émaillé d’humour discret, délicat, qui bouscule nos façons de penser, occidentales et rationnelles. Entre le conte et la fable, avec beaucoup de poésie, et du thé, très sucré.
#burhan sönmez#la pierre et l’ombre#Gallimard#littérature turque#littérature#livres#litterature#roman#livre
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[French from Gallimard in 1946.]
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