#Gallimard
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basicallyanotherwitchesthing · 2 months ago
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James Hadley Chase - Miss Shumway Jette Un Sort - Gallimard - 1972
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lovefrenchisbetter · 1 year ago
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L’ami qui ne m’a pas sauvĂ© la vie
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coulisses-onirisme · 9 days ago
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Un trĂ©sor prĂ©sentĂ© par l'UNESCO .... Une pĂ©pite de la littĂ©rature fĂ©minine orale ....1994, Landays : Dans les vallĂ©es afghanes, dans les camps de rĂ©fugiĂ©s du Pakistan, les femmes pashtounes improvisent des chants d'une extrĂȘme intensitĂ©, d'une foudroyante violence. D'oĂč le nom de landay qui les dĂ©signe et qui signifie : «le bref». Cette forme poĂ©tique limitĂ©e Ă  deux vers compose en fait un instantanĂ© d'Ă©motion, Ă  peine plus qu'un cri, une fureur, un coup de dague entre les Ă©paules. Car ce poĂšme trĂšs scandĂ© dit l'amour, l'honneur ou la mort et toujours, Ă  travers ces trois thĂšmes, toujours la rĂ©volte. Jamais sans doute si courte vocalise n'a autant rĂ©vĂ©lĂ© sur l'inhumaine condition de la femme en Islam, sur l'oppression qui la rĂ©duit Ă  l'Ă©tat d'objet domestique et l'asservit au code infantile des hommes. PrivĂ©e de toute libertĂ©, brimĂ©e dans ses dĂ©sirs et son corps, la femme pashtoune n'a d'autre Ă©chappĂ©e possible que le suicide ou le chant...
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garadinervi · 2 months ago
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Jacques Roubaud, Aphasie, in Quelque chose noir. Poèmes, Gallimard, Paris, 1986, pp. 131-132
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mon-nid · 21 days ago
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less-ismore · 2 months ago
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L'Actéon marcheur de Pierre Klossowski (Le Bain de Diane, 1956).
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mmepastel · 4 months ago
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« GrĂące » au covid, j’ai eu le temps de dĂ©vorer goulĂ»ment ce copieux roman. A cause du covid, en partie, je me sens un peu dĂ©faillante pour Ă©crire une chronique Ă  la hauteur. Car c’est un livre incroyable selon moi, un livre que je ne suis pas prĂšs d’oublier.
DĂšs le dĂ©but j’ai Ă©tĂ© frappĂ©e par une foule de similitudes entre le destin des deux protagonistes et le mien. Je suppose que c’est parce que j’ai bientĂŽt 50 ans, et que leur histoire, vu de loin est banale, ordinaire, comme la mienne. C’est un peu une auscultation du couple. Alors, Ă  quelques annĂ©es prĂšs, ils sont plus jeunes que moi/nous mais le roman s’arrĂȘte en 2014, et leur histoire dĂ©marre en 1992 ; grosso modo, on est raccord.
MĂȘme si c’est Ă  Chicago.
Mais le livre ne parle pas que des mutations du couple, de l’érosion des sentiments, des mythologies qui sous-tendent les amours, loin de lĂ . MĂȘme si c’est le point de dĂ©part et le point d’arrivĂ©e. La construction du roman d’ailleurs est assez incroyable, totalement maĂźtrisĂ©e, complexe mais fluide, astucieuse (elle donne envie de tourner les pages car un suspense psychologique s’installe). Le romancier a expliquĂ© qu’ayant vĂ©cu jeune Ă  Chicago puis y Ă©tant revenu plus tard, il avait constatĂ© une gentrification de la ville, notamment des quartiers si excitants, bohĂšmes et anticonformistes, ceux oĂč nos deux hĂ©ros, Jack et Elizabeth, vont se rencontrer et s’aimer, jeunes, naĂŻfs et pleins d’espoirs. L’auteur raconte que ce qui arrive Ă  ces grosses villes arrive parfois aussi aux gens. Parce qu’on change. Obligatoirement. Le temps passe. L’amour mute ou s’émousse, c’est bien la question, en tous cas une des questions posĂ©es par la vie et ce rĂ©cit. En plus, ils font un enfant, petit ĂȘtre complexe et pas facile, et se mettent Ă  vivre en banlieue
 ils deviennent ce qu’ils ont moquĂ© en leur Ăąge d’or. Leur/Notre temps en plus leur/nous a lancĂ© dans les jambes internet et ses vertiges. Le monde a changĂ©, ses habitants occidentaux aussi.
Il mĂȘle alors Ă  l’observation psychologique trĂšs trĂšs fine de ses personnages, l’observation des autres changements : le rapport Ă  l’art, peinture et photographie, le rapport au roman comparĂ© aux liens hypertextes offerts par internet, la thĂ©orie puissante de l’effet placebo qui fonctionne au point d’interroger l’importance de la croyance, l’avĂšnement de Facebook, son fonctionnement par algorithmes qui transforme les liens sociaux (surtout pour les gens seuls), l’accĂšs Ă  l’information et Ă  la dĂ©sinformation et peut aussi donc mener aux thĂ©ories du complot, au dĂ©sir de trouver des voies autres pour tenir debout (mĂ©decine parallĂšle, croyances, Ă©sotĂ©risme flou), l’éducation, nourrie de prĂ©ceptes aussi prĂ©cis qu’angoissants. Il est autant romancier qu’ethnologue, sociologue, psychologue, vulgarisateur numĂ©rique. Son livre est volontiers historique et extrĂȘmement documentĂ© (dans le chapitre « Craquage », les rĂ©fĂ©rences ostensibles ont un effet comique imparable). A cela, il ajoute le dĂ©sir humain d’accĂ©der au bien-ĂȘtre qui parait si proche dans nos sociĂ©tĂ©s occidentales pourvu qu’on ne soit pas dans la misĂšre (Jack et Elizabeth se dĂ©brouillent correctement sur le plan financier), et qui pourtant semble inaccessible (elle fait le constat de n’ĂȘtre jamais dĂ©tendue, libre, confiante), ce qui s’explique par des problĂšmes non rĂ©solus venant de son enfance tout autant que par le bombardement d’informations stressantes que nous apporte la technologie, ainsi que les contraintes modernes.
J’ai appris Ă©normĂ©ment de choses sur tous les domaines citĂ©s ci-dessus et j’ai Ă©tĂ© Ă©blouie par l’intelligence qui les analysait, les liait, les confrontait, avec humour et parfois cruautĂ©. Je me suis retrouvĂ©e un nombre incalculable de fois dans toutes ces problĂ©matiques, jusqu’à des dĂ©tails troublants, bref.
C’est impossible de rĂ©sumer l’intrigue, les enjeux. Il faut lire ce livre, faire l’expĂ©rience de la lecture de ce livre. C’est un vrai voyage intime, stimulant et drĂŽle, bouleversant par moments, qui en plus permet de mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Je suis Ă©poustouflĂ©e par le talent de ce gars. (Je n’avais pas lu son premier roman apparemment trĂšs remarquĂ© pourtant.)
A mes yeux c’est un grand livre, qui va compter. En tous cas, pour moi, c’est un choc.
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fieriframes · 9 months ago
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[Dijon, honey. Darling. French from Gallimard in 1946. This is this year's model. That's awesome!]
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amandineandre · 10 months ago
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Publication, revue Aventures
Vous trouverez un texte que j'ai écrit dans la revue Aventures, c'est le tout premier numéro et elle est pensée par Yannick Haenel...
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carolemm · 11 months ago
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« Panorama » est un roman policier dystopique qui se passe en France en 2049.
Depuis la Revenge Week de 2029, rĂ©volution qui a Ă©clatĂ© suite au ras-le-bol d’une sociĂ©tĂ© oĂč trop de crimes restent impunis, on vit dans l’ùre de la Transparence.
DĂ©sormais, afin d’éviter les crimes, les Français peuvent vivre dans des maisons en verre oĂč chacun peut/doit ĂȘtre Ă©piĂ© par son voisin.
Plus de violences intrafamiliales, plus de maltraitances dans les EHPAD
 Tout manquement aux lois, dĂ©clenche une arrestation suite Ă  une dĂ©nonciation des voisins et en guise de tribunal, la vindicte publique. Le coupable doit prouver qu’il ne l’est pas.
L’histoire dĂ©bute par une disparition, celle d’un couple et de leur enfant vivant dans un de ces quartiers en verre

J’ai beaucoup aimĂ© ce livre au style trĂšs Ă©purĂ© de Lilia Hassaine. On comprend vite que le crime n’est pas le sujet central. On vit dans un monde pas si diffĂ©rent du nĂŽtre. J’ai apprĂ©ciĂ© les petites phrases sibyllines ironisant sur les mĂȘme problĂšmes que ceux de notre monde actuel : la maltraitance, le qu’en dira-t-on, les Ă©crans, les rĂ©seaux sociaux, l’éducation, la police, la santĂ©, l’intimitĂ© sacrifiĂ©e Ă  la sĂ©curitĂ©, la dictature du paraĂźtre 

«  Il lui a enfin prĂ©sentĂ© Louise, qu'elle trouve formidable et ouverte, deux adjectifs qui ne veulent rien dire. Ouverte Ă  quoi? je lui rĂ©ponds, ça veut dire quoi « ouverte »? Ouverte sur le monde, curieuse, attentive, j'en sais rien moi, ça veut dire quoi « ouverte » ? TolĂ©rante, elle voulait dire. Elle lui a parlĂ© de sa bisexualitĂ©, et Louise a trouvĂ© ça top, alors que je me suis contentĂ©e de hausser les Ă©paules quand elle me l’a annoncĂ©e en avril. Je ne vois pas ce qu'il y a de top dans une orientation sexuelle, c'est la tienne et tu as le droit de mener ta vie comme tu l'entends. Je ne pense rien du fait qu'une femme soit bi, tout comme je ne pense rien du fait qu'elle soit noire ou asiatique, ce n'est Pas ma grille de lecture des gens... »
« Faire un effort. Pour quoi faire ? Ma fille est gonflée de certitudes mais c'est à moi de faire des efforts. Personne ne fait d'efforts ici. Rien ne nous y invite d'ailleurs. Ni l'école, ni la société, ni la technologie. J'allume mon smartphone, et je ne sais plus ce qui est vrai. Peu importe. Ce qui compte, c'est que ça circule. Les flux. Les tendances. Se laisser influencer par ses propres idées. L'algorithme nous approuve, entretient nos croyances, nous conforte dans nos choix. Je partage des articles, des posts, pour évangéliser mes amis, ma famille. Je partage, sans débattre. Ne pas communiquer, pour ne pas évoluer.
Échanger, pour ne surtout pas changer.
Alors faire des efforts... »
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sanjaangie · 2 months ago
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weinberl · 2 months ago
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Fabrice Humbert ‘L’expĂ©rience des FantĂŽmes’
But this lieutenant took part in a number of expeditions which, beyond the nightmares, the dead and the ghosts made the whole of England dream. An expedition that made him a hero, a word that maybe has no real meaning as such, but which meant I lot to the romantic nature of Jane. After the Coppermine, John Franklin became the man who ate his boots.”*** John Franklin is a man of exception in

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lejournaldupeintre · 3 months ago
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The future of Gallimard
Gallimard  is one of the leading French book publishers. After building Madrigall in 1992, Antoine Gallimard would therefore strive to implement the necessary devices for a fourth generation Gallimard to ensure the destiny of the group. In 2020, Antoine Gallimard’s company had a turnover of €585 million. But many observers question the future, by eyeing Bernard Arnault, majority shareholder and

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garadinervi · 2 months ago
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Jacques Roubaud, Ludwig Wittgenstein, in Quelque chose noir. Poèmes, Gallimard, Paris, 1986, pp. 45-46
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rcvandenboogaard · 3 months ago
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Goed of fout - in de Franse letterkunde maakt het niet heel veel uit
Drie nieuwe romans van Martien Beversluis opgedoken! De kritieken van Jan van der Made in Groot-Nederland eindelijk gebundeld! Eerste serieuze, geannoteerde uitgave van de briefwisseling tussen Henri Bruning en George Kettmann tijdens de Bezettingsjaren gaat verschijnen! Zulke krantenkoppen laten zich in Nederland maar moeilijk voorstellen. Beversluis, Van der Made, Bruning en Kettmann waren

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mmepastel · 10 months ago
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J’ai adorĂ© ce roman.
On est allĂ©s Ă  Istanbul dix jours il y a de nombreuses annĂ©es (avant Erdogan), et j’avais adorĂ© ce voyage, cette ville. J’avais lu Orhan Pamuk dĂ©jĂ , qui m’avait subjuguĂ©e avec Neige et Mon nom est rouge. Je ne sais pas pourquoi, je me suis sentie bien lĂ -bas. Franchement dĂ©paysĂ©e, mais j’ai trouvĂ© les gens chaleureux, complexes
 (on a discutĂ© avec plusieurs habitants, et bu longuement du raki avec le gars qui tenait un tout petit hĂŽtel avec son frĂšre, juste en face de la MosquĂ©e Bleue), et la ville m’a parue incroyable, tant imprĂ©gnĂ©e d’un passĂ© brillant et chaotique. TrĂ©pidante, mĂ©langĂ©e, un vrai Tetris de cultures diffĂ©rentes, d’ambiances contrastĂ©es. Ultra moderne, ultra ancienne. Une mosaĂŻque. Et cette mĂ©lancolie souriante
 l’eau trouble du Bosphore

De ce livre de Burhan Sönmez, je ne savais pas trop quoi attendre, pas une rĂ©plique d’Orhan Pamuk sous prĂ©texte que les deux sont turcs. Et pourtant, je retrouve quelque chose de cette mosaĂŻque mĂ©lancolique.
L’auteur est d’origine kurde et c’est là son troisiùme livre ; je ne le connaissais pas avant.
Plein d’histoires sont imbriquĂ©es autour du personnage central, Avdo, un vieil homme maĂźtre marbrier dans un cimetiĂšre stambouliote, qui vit dans une baraque au cƓur dudit cimetiĂšre. C’est un homme heureux, malgrĂ© un passĂ© difficile et tragique. C’est un homme bon, et pour ceux et celles qui croisent sa route, il est devient souvent un ami, un confident. Il est soucieux des autres, et ne fait pas de grande diffĂ©rence entre les vivants et les morts, sans doute par dĂ©formation professionnelle, mais aussi parce qu’il a appris Ă  faire sans les gens chers qu’il a perdus. Il dialogue autant avec les Ă©toiles que les tombes. A travers son histoire et celles de ceux qu’il croise, le romancier tisse une toile complexe qui Ă©claire par bribes l’histoire complexe du pays, ses beautĂ©s, ses richesses, ses violences et ses blessures. On a donc Ă  faire avec de trĂšs nombreux personnages issus de mondes et d’époques diffĂ©rents. Avdo est spirituel sans ĂȘtre croyant, et il voit clair dans le jeu de l’imam de la mosquĂ©e d’à cĂŽtĂ© (lequel est plus intĂ©ressĂ© par l’argent que par dieu) avec qui il a pourtant des relations cordiales.
La vĂ©ritĂ© c’est qu’il est orphelin, et qu’il ne sait pas qui il est puisqu’il ne sait pas qui est sa mĂšre (selon sa pensĂ©e). Il est donc syncrĂ©tique par essence. Il prĂ©fĂšre croire les histoires des hommes et des femmes et la vĂ©ritĂ© de leurs cƓurs plutĂŽt que de se conformer Ă  des prĂ©ceptes. Tout petit, il a Ă©tĂ© recueilli par un homme qui ne savait plus comment il s’appelait lui-mĂȘme, puis par un maĂźtre marbrier qui lui a transmis sa passion. Avant de connaĂźtre l’amour et de donner rendez-vous sous les amandiers

Dans ce livre, il est fortement question d’identitĂ©. De nom. Qui est-on vraiment ? Que signifient les noms que l’on nous donne ou ceux que l’on porte ou ceux que l’on se choisit ? Quelle est la part qui nous est donnĂ©e, celle qui nous appartient ? Il s’agit d’une quĂȘte intime, presque d’une enquĂȘte parfois.
Il est aussi beaucoup question d’amour, souvent immuable, qui survit Ă  la mort et crĂ©e du possible autour de soi.
C’est un magnifique livre, Ă©maillĂ© d’humour discret, dĂ©licat, qui bouscule nos façons de penser, occidentales et rationnelles. Entre le conte et la fable, avec beaucoup de poĂ©sie, et du thĂ©, trĂšs sucrĂ©.
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