#Fanfiction en français
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misschris1412 · 1 year ago
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Reza : Danielle rose russell
Edvin : Ben Barnes
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cinderella-ish · 5 months ago
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Chapters: 1/1 Fandom: Fruits Basket - Takaya Natsuki (Manga), Fruits Basket (Anime 2019) Rating: Teen And Up Audiences Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Honda Tohru/Sohma Kyou Characters: Sohma Kyou, Honda Tohru Additional Tags: Angst, Pining, Denial of Feelings, Self-Hatred, Not Beta Read, le français n'est pas ma langue maternelle, Translation Summary:
Elle ne se soucie pas de toi, tu ne vaux pas le saleté sous ses pieds, tu n’es pas même un chat stupide, tu es un monstre qui sera bientôt emprisonné comme tu mérite. Ces pensées sont entendues à plusieurs reprises pendant qu’il espère qu'elles étaient vraies.
Il entend les pieds doux sur l’échelle.
Merde.
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miraculous-floconfettis · 1 year ago
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🐞 LE BATTEMENT D'AILES DU PAPILLON 🐾
Le chapitre 24 de la fanfiction est en ligne !
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Lire sur ao3
Lire sur fanfiction.net
Lire sur wattpad
Pour lire la fanfiction depuis le début, c'est par ici :
Le battement d'ailes du Papillon - Chapitre 1
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briardoll · 2 months ago
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Obey me headcanons - édition française ♡ deuxième jour
Un défi où j’écris fanfiction en française !
Merci pour lire!!
- Mammon dépense tout son argent sur toi quand il voit ton en ligne achats panier complet. Il aime pour voir ton visage confus se transformer en un sourire timidité et heureux (╹◡╹)♡
- un démons peut régénérer leurs corps extrêmement rapidement, leurs entier corps. Perdu un bras? C’est complètement de retour dans 2 jours. Perdu un dents? Ne prend que quelques secondes. Si je devenais une démone, je pourrais verser de l’eau de javel dans mon yeux et ils guériraient en quelques minutes seulement. (Ils ont tellement de chance :,( Je veux essayer de me couper la main et de la voir repousser – à des fins éducatives bien sûr.)
- Beel aime à regarder la pluie tomber. Lorsqu'il étudie, cela l'aide à se concentrer sur ce qu'il étudie. Belphie aime ça aussi.
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sinvulkt · 6 months ago
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✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 2 Chap 3
Edmond entrouvrit les mâchoires crispées de l’Abbé Faria et en retira le tissu qui avait servi à étouffer les cris de ce dernier. Puis, il y glissa dix gouttes du miraculeux liquide qui avait ravivé l’Abbé lors de sa crise précédente, il y a plusieurs années de cela. 
Le liquide coula le long de la gorge du mourant, secouant de violentes convulsions l’homme qui avait été le seul compagnon d’Edmond pour les douze dernières années. Une fois ces dernières passées, l’Abbé Faria s'immobilisa dans une torpeur morbide. Edmond essaya de ne pas s’en inquiéter.  Comme la dernière fois, il attendit patiemment au chevet de son seul et unique ami, ailes plaquées nerveusement contre son dos, guettant chaque bruit, chaque tressaillement qui pouvait annoncer sa résurrection. 
Les seuls bruits qui resonnèrent entre les murs furent les cris lointains des autres prisonniers : les porte-clés commençaient leur ronde. Edmond ne s’en soucia pas, trop occupé par l’état critique de son compagnon. 
Faria avait tenté de le prévenir qu’il ne survivrait sans doute pas à cette troisième crise. Il mourrait, tout comme son père avant lui, et le liquide opaque qui était autrefois si efficace, ne pouvait maintenant plus rien y faire. Malgré tout, Edmond se refusait d’y croire. Il prit les doigts glacés de l’Abbé dans ses mains, priant à qui voulait bien l’entendre de sauver cet être si gentil, si sage, qui n’avait jamais rien fait pour mériter ce triste sort.
L’espoir était tout ce à quoi il pouvait se raccrocher désormais.
Quelques minutes passèrent. 
Puis dix. 
Puis vingt.
Sous la paume d’Edmond, les doigts glacés de l’Abbé restèrent immobiles.
“Revenez, mon père ! Revenez !” il murmura, désespérément penché au-dessus du corps crispé. Ses plumes, herissées par sa détresse, retombaient de par et d’autre du vieil homme tel un doux linceul blanc.
Mais le temps passa, et l’Abbé resta de marbre. La demi-heure atteinte, Edmond prit la fiole dans ses mains tremblantes. Elle était encore au tiers pleine. D’après Faria, c’était son ultime chance.
Il s'apprêtait à en verser le contenu dans la bouche encore entrouverte de son ami quand des pas retentirent au-dessus du cachot. Trois coups suivirent bientôt. 
“Vivant ?”
Edmond sursauta. La fiole lui échappa des mains et se brisa à terre, déversant son précieux contenu sur le sol rugueux de la prison. Le porte-clés avait du finir son tour des cellules, et atteint les cachots. Par chance, ou par malheur, il avait commencé par l’Abbé.
Edmond n’eut pas le temps de céder au désespoir que le cliquetis de clé qu’on tourne dans la serrure résonna. 
“Eh l’Abbé ! Vivant ?”
Des années de pratique guidèrent Edmond à se cacher dans les tunnels, tout comme son esprit qui tourbillonnait furieusement pour trouver une solution. L’image de la fiole brisée dansait devant ses yeux, et il semblait à Edmond que juste en tendant la main, il pourrait modifier la cruelle réalité et remonter le temps.
“L’Abbé ?” le porte-clé appela une nouvelle fois.
Edmond avait refermé le passage juste à temps, car le geôlier avait passé sa tête par l’ouverture de la cellule. N’entendant toujours pas de réponse, et ne voyant que le vieil homme allongé, immobile sur son lit, l’homme descendit dans le cachot. Edmond l’observa par une petite ouverture entre les pierres qui scellaient le tunnel. Son cœur battait à tout rompre. Le porte-clé avait-il entendu les cris étouffés de Faria durant sa crise, ou les murmures de détresse d’Edmond qui s’étaient ensuivit ?
Le porte-clé s’approcha prudemment du corps de l’Abbé, puis, voyant qu’il ne bougeait toujours pas quand il l’appelait, le secoua. Ni secousse, ni injonction n’eurent de succès pour ramener le vieil homme parmi les conscients. À la différence de celui-ci toutefois, sa réaction ne fut qu’un juron, suivit d’une courte prière dans sa barbe, et d’un grand cri destiné à ces compagnons. 
“L’Abbé est mort !”
Un second geôlier descendit. 
“Ah ! Le pauvre bougre. Ses histoires de trésor vont me manquer.”
On fit venir le médecin, pour qu’il confirme cette mort. Ce dernier ne trouva pas de poul. Il était alors coutume de vérifier que le prisonnier n’avait pas faussé sa mort par un coup de fer rouge. Bien que réticent à brûler le corps présumément mort d’un vieil homme qui n’avait, de toute manière, aucune intention ou capacité de s’échapper, le médecin s'exécuta. 
L’odeur de brûlé monta furieusement aux narines d’Edmond. Elle resta coincée au fond de sa gorge, étouffante, écoeurante, tel un liquide mousseux qu’on aurait avalé de travers. Pendant un instant, Edmond crut qu’il allait vomir. Ses bras et ses ailes s'enroulent autour de son torse dans une vaine tentative de barrière contre le crépitement de la peau qui fond, mais le regard d’Edmond resta fixé sur la petite ouverture qui lui servait de fenêtre, comme hypnotisé par l’horreur de la scène qu’il épiait. Il frémit. Ses pensées retournaient sans cesse à la fiole brisée, à ce fol espoir qui lui avait simplement glissé des mains. 
Les porte-clés descendirent un sac - “le plus beau linceul du château d’If”, dirent-il, puis, une fois l’Abbé enfilé dans son cercueil de fortune, comme c’était l’heure du déjeuner et qu’ils avaient fort faim, optèrent pour se débarrasser du corps une fois s’être remplis la panse. Une fois qu’il furent parti, Edmond s’approcha du sac de tissus rêche qui cachait son ami. C'était si facile d’imaginer l’Abbé simplement endormi sous cette paroi de coton, et non parti au point de ne même plus ressentir la douleur du fer.
Un tiraillement déchira le cœur du jeune homme. Il se souvenait avec douleur des premières années passées seul, isolé dans quelques mètres carrés avec pour unique partenaire de conversation un mur de pierre, des ras, et une porte vivante— tel qu’il surnommait son geôliers. Sans l’Abbé, Edmond serait devenu fou. Et fou il deviendrait, s’il restait ne serait-ce qu’un mois de plus emprisonné dans la plus profonde solitude, si loin des grandes étendues maritimes qu’il ne voyait plus que dans vagues songes remontant de ses souvenirs. Il eût préféré mourir que de se retrouver à nouveau dans cette glaciale pénombre. Après tout, n'avait-il pas déjà abandonné la vie, quand il entendit Faria pour la première fois ?
Comme une poussée de fièvre, la soif de liberté dévorait le jeune homme. Ses ailes, trop grandes pour la petite pièce que formait la cellule de l’Abbé, se déployèrent à moitié, comme par anticipation de sentir le vent jouer dans ses plumes. Son cœur pleurait la disparition de son ami, mais sa raison lui assurait que s’il ne tentait pas de s’échapper maintenant, tout le savoir que l’Abbé lui avait confié serait en vain.  Faria n’aurait-il pas voulu qu’il fusse libre, qu’il récupère son fameux trésor? N’avait-il pas donné à Edmond des noms, des responsables aux quatorze années de souffrance passées ?
Il y avait, bien sûr, le plan alternatif de fuite que l’Abbé avait évoqué. Il était possible qu’une fois le cachot voisin vide, les geôliers y enferment un nouveau prisonnier. Mais, celui-ci serait-il vraiment aussi innocent qu’Edmond ne l’avait été ? Écouterait-il son plan pour s’enfuir, ou le vendrait-il aux porte-clés ? 
Non, il était bien trop dangereux d’attendre ne serait-ce qu’une seconde de plus. Edmond devait s’enfuir tant qu’il en avait encore l’opportunité. Et puis, s’il se faisait prendre, il n’avait de tout façon pas grand chose à perdre. La mort offrait une douce délivrance à l’enfermement à perpétuité. 
Edmond défit aussi vite qu’il put les nœuds du sac rêche. Si c’était là le meilleur linceul du château d’If, c’est que de linceuls, la prison n’en possédait pas. Portant avec difficulté le corps encore surprenamment chaud de son ami à travers les tunnels qui séparaient leur cellules, il compta les secondes. Il n’avait que très peu de temps avant que les gardes ne reviennent.
Plus d’une fois, les rochers acérés de l’étroit passage mordirent son plumage et lui raclèrent la peau. Edmond ne s’en soucia point. Son esprit était ailleurs, porté sur les milles façon dont sa tentative d’évasion pourrait se finir, tant en bien qu’en mal. Si les gardes l’enterrait, Edmond se laisserait couvrir de terre, ne s’enfuyant qu’une fois ces derniers partis. Si les gardes le jetaient à l’eau, Edmond utiliserait le couteau pour déchirer le sac de l’intérieur et nagerait jusqu'à la rive.
Tout à sa tâche, Edmond ne remarqua jamais comment les membres d’abord glacés de l’Abbé semblèrent se réchauffer sur le temps du trajet. Il ne remarqua pas le battement de cœur ; si faible que même le médecin n’avait pu en discerner le pouls qui pulsait pourtant sous ses doigts. Il ne remarqua pas la respiration tremblotante qui s’était emparé du corps paralysé et qui, silencieusement, discrètement, l’avait ranimé.
Simplement, il déposa l’Abbé sur son lit, déposa un doux baisé d’adieux sur les rides plissées par l'âge de son front. Une larme coula silencieusement le long de sa joue. Puis, Edmond reparti avec la vivacité de la jeunesse dans les tunnels pour se placer dans ce même sac dont il avait retiré son ami un peu plus tôt, récupérant le couteau de cartilage que l’Abbé lui avait appris à fabriquer au passage. Il recousu l’ouverture de l’intérieur de telle sorte qu’on ne distinguait pas le changement qui s’était effectué. Edmond passa l’aiguille dans le dernier trou juste quand les portes-clés, enfin repus, retournèrent au cachot.
Puis, comme une araignée-loup qui guette sa proie, il attendit.
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Vous pouvez aussi trouver ici un prequel, avec la pousse d'ailes d'Edmond.
Et un wingfic fanart inspiré du film.
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carmilla-dilaurentis · 1 year ago
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Hellooo
La team Bellamort en français, où êtes vous ?!!
@josy57 est là heureusement ❤️
Mais sinon on est vraiment pas nombreuses ? Dans la sphère francophone, surtout.
il va parfois y avoir des aspects de ce ship dans telle ou telle fic, mais en général c'est secondaire dans l'histoire.
Soyons toujours plus 'nombreuses à écrire en français sur eux deux !!!
J'ai besoin de plus de fic qui se centrent autour d'eux ❤️😈
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nofrigatelikefanfiction · 1 year ago
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"Bucky n'arrive pas à croire que Steve l'ait abandonné. Pourtant, il est là, tandis qu'on met le cercueil de son amour en terre."
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nevereverthem · 4 months ago
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Fanfictions talk (Discussion sur les Fanfictions) :
Quick question (Question rapide),
If I write something and I am technically able to write it in two languages... should I do that? (Si j'écris quelque chose et que je suis techniquement capable de l'écrire dans deux langues... Est-ce que je devrais le faire?)
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i-hold-horrors-hand · 1 year ago
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L'Amour, C'est un Feu (Chapitre 1: Une Envie de Satisfaire Une Excitation Forte)
French translation of Love Is a Fire
(Mary Goore est non-binaire ici, il y a des Insultes récupérées)
(On peut aussi lire sur AO3)
C'est l'instant quand les deux établissent un contact visuel mutuel. Pour Mary, sa bitte convulse dans ses jeans serrés, et il sait qu'il sera satisfait ce soir. Pour Allie, un frisson traverse son corps, et elle sait qu'elle sera le ramènera à chez lui.
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Tout cela commence dans un club pour les gouines. Un club trés salissant et punk, quelque part en France. Un endroit où on peut s'attendre des fans de métal, des punks salissants (plus que le club), des gouines, hommasse, et autres personnes comme ça. Ce n'est pas un club où on peut s'attendre des petites femmes à la mode.
Mais, c'est quoi les lesbianisme, c'est quoi être queer, si ce n'est pas la subversion de la norme qu'on s'attendre?
Allie, une belle femme portant une tenue qui est presque l'haute couture, sirote sa Levrette et regarde autour le bar. Elle observe les femmes, les mascs, et l'autres pendant qu'elle pense de ses opinions sexuelles de ces gouines. Fixer ses gouine pour un raison charnel.
Elle est arrivée ici seule, mais elle ne partira pas seule.
De l'autre côté du bar, un punk assez malapropre du nom Mary inspecte le lieu. Portant une chemise et des jeans déchirées, il est en harmonie ici. Il boit lentement son pur malt peu cher, il le savoure. Il est arrivé ici orginairement pour s'ennuye moins, mais maintenant il veut quelque chose d'autre.
Il a un désir charnal, maintentant.
C'est l'instant quand les deux établissent un contact visuel mutuel. Pour Mary, sa bitte convulse dans ses jeans serrés, et il sait qu'il sera satisfait ce soir. Pour Allie, un frisson traverse son corps, et elle sait qu'elle sera le ramènera à chez lui.
Mais, avant tout tout ça, elles ferant se baiser dans les toilettes. Et, avant tout ça, elles se présentent et parlent un peu. On devrait savouir avec qui on se baiser, naturellement.
Allie vient des États-Unis, et étudie l'histoire d'art à une université française. Aussi, elle est mannequin pour son travail. Elle rire quand Mary lui demande pourquoi elle—une belle fille—est ici dans un club assez grossier? Elle ne veut pas être quelque part d'autre et boire du vin cher? Elle lui dit que les apparances ne disent past tout d'une personne. Il y a plus qu'elle resemble.
Mary vient de Suède, il joue guitar et chante dans un groupe de métal qui a un peu de popularité. Son groupe a joué quelques concerts par ici récemment. Maintenant, ce soir, il est prêt pour l'action et du fun. Il ne parle pas beaucoup de français, vraiment, et il est impressionné quand Allie démontre sa maîtrise. Il lui demande pour une petite leçon.
"Voulez-vous coucher avec moi, ce soir?" Allie bat ses cils dans une manière coquettment.
Mary hausse ses sourcils dans une manière dramatique. "Ooh, la la. Qui s'attendrait q'une petite femme sophistiquée peut être assez franc et audacieuse?"
Allie lui rappelle qu'il y a plus que son apparance peut dire.
Il y a plus à Mary qu'on le pensait, aussi. Allie fait cette découverte quand elles sont aux les toilettes, se déshabiller mutuellement. Elle ne s'attend pas un pénis en érection de Mary. Mais, elle a déjà couché avec des femmes transgenres, et elle est tout de même excitée.
Alors, aux les toilettes graffées, dans un club salissant, elles se baisent. Et, dans le lit, chez Allie.
C'est une nuit bien passée, pour les deux.
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enbyfallenfromthedeadstars · 7 months ago
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reblog bcause i just saw a good fic with some conjugation / translation errors again, and like I GET IT, french is hard so please ask for help i swear it messes some very good texts
Call to the writers of the marauders fandom ‼️
I've seen several posts / stories
about struggling to get the Black to say things in french (it's literally one of the few headcanons everyone agrees about) because of not knowing the language
having incorrect french sentences due to literal translations and failure to understand the difficult french conjugation
I'm french, that's why my english can be a bit lame, and propose to translate the passages you need help with, so you don't have to use Google Trad or DeepL that can be quite of weird sometimes.
I'm open to all types of scenes, except maybe the sexual ones (even if I don't really know how french can be slipped in it ?? anyway). You can always take your shot in my DMs with a Content Warning before it.
Share this post (or reblog it to give it more visibility) with people who can be interested by this friendly volunteering from a fellow marauders enjoyer, I hope I'll be able to help some of you :)
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misschris1412 · 2 years ago
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alma37 · 2 years ago
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Did I ever tell you how much I am grateful for thesauruses?
In every language I write?
If they were human, I’ll ask one to marry me.
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white-assassin · 6 months ago
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Français
[ANNONCE – MOMENTS PROJECT, LANCEMENT] (English below)
Aujourd’hui, et après un long moment d’absence, je suis fière de vous annoncer le lancement de mon plus gros projet de fanfiction à ce jour >w<
Quatre issues, deux camps, une histoire ; la vôtre.
Deux mois. C’est le temps qui s’est écoulé depuis ce terrible soir où le Q.G. militaire de Central s’est effondré, emportant Roy et Alphonse, qui y avaient foncé tête baissée au secours d’Edward, kidnappé par les homonculi. Depuis lors, Riza n’a plus revu aucun d’entre eux. On les dit « portés disparus » ; « supposés morts », même. Mais la soldate, elle, est convaincue du contraire : elle en est sûre, elle l’a aperçu au milieu de ce paysage désolé, Edward est bel et bien vivant… et toujours aux mains de l’ennemi.
Pour le sauver et espérer retrouver les deux disparus, Riza va devoir se retrousser les manches et remonter la piste des miettes de pain que l’alchimiste a laissées dans son sillage. Mais la chose n’est pas pour plaire à tout le monde : dans l’ombre, des forces qui la dépassent sont à l’œuvre et n’entendent pas de cette oreille que la jeune femme cherche à leur arracher la pièce maîtresse de leur plan…
Embarquez pour une aventure épique de plus de 360 000 mots ! Basée sur le Pride!Ed ending du jeu BlueBird’s Illusion, cette fanfiction, dont vous serez le héros, vous placera tour à tour dans la peau des personnages de l’un et l’autre des camps, avec à la clef, quatre fins possibles. Tous vos choix auront une incidence sur la fin de l’histoire et conduiront à des scènes inédites !
Réussirez-vous à sauver Edward ? Retrouverez-vous les disparus ? Arrêterez-vous les homonculi, ou bien servirez-vous leurs plans et condamnerez-vous Amestris et ses habitants à une fin tragique ? Toutes ces questions ont leurs réponses ; celles-ci sont entre vos mains.
Découvrez Moments dès le 3 octobre prochain !!!
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English
Today, after a long absence, I’m proud to announce the launch of my biggest fanfiction project to date >w<
Four endings, two factions, one story; yours.
Two months. That’s how long it’s been since that dreadful night when Central’s military headquarters collapsed, taking Roy and Alphonse with it after they rushed headlong to rescue Edward, who had been kidnapped by the homunculi. Since that terrible day, Riza hasn’t seen any of them. They are said to be ‘missing’; even ‘presumed dead.’ But Riza is convinced otherwise: she’s certain she saw the boy amidst that desolate landscape. Edward is very much alive… and still in the hands of the enemy.
To save him and hopefully find the two missing men, Riza will have to roll up her sleeves and follow the breadcrumbs the alchemist has left in his wake. But it won't be easy: in the shadows, dark forces are at work and won’t allow the young woman to snatch the key piece of their plan from them…
Embark on an epic adventure of over 360,000 words! Based on the Pride!Ed ending of the BlueBird’s Illusion game, this choose-your-own-adventure fanfiction allows you to experience the story from the perspectives of characters in both factions, leading to four possible endings. All your choices will impact the story’s outcome and lead to unique scenes!
Will you manage to save Edward? Will you find Roy and/or Al? Will you stop the homunculi, or will you serve their plans and doom Amestris and its inhabitants to a tragic end? The answers to all these questions are in your hands!
Discover “Moments”, starting on October 3rd!!!
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sinvulkt · 6 months ago
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Traduction (bourrée d’anglicismes, je sais) — pour les francophones
De ce jour, jusqu’au 31 Août...
🎊 🎉 🎨 THE CREATIVE FESTIVAL COMMENCE 🎨 🎉 🎊
Pour les artistes et écrivains qui avaient cette idée en tête mais n’ont pu l’accomplir durant la première partie de l’événement— c’est l’occasion !
Pour les créateurs qui n’ont pas pu s’inscrire en avril mais voulaient participer a l’événement— c’est l’occasion !
Pour les personnes inspirées par un des dessins ou par une des fanfics— c’est l’occasion !
Comment participer ?
Sur Tumblr: Tag ton œuvre Vaderkin Creative Festival 2024 et mentionne notre tumblr Vaderkin-is-a-lightning-rod pour qu’on pusise te rebloguer.
Sur AO3: Tag ton œuvre Vaderkin Creative Festival 2024 et ajoute la dans la collection vaderkin_creative_exchange_2024
Ceci est un événement pour promouvoir les fanworks ’inspirés de’, en prenant pour inspiration les magnifiques créations du Vaderkin Creative Exchange 2024. Il n’y a pas besoin de s’être inscrit préalablement au gift exchange pour participer. Vous pouvez faire un fanart ou une fanfic d’une des fics de l’événement (elles-mêmes inspirée par un dessin), faire un fanwork inspiré d’un des dessins de l’événement, voir même commencer un artfight ! La seule limite, c’est que l’inspiration source doit venir d’une des œuvres de l’événement.
Vous pouvez trouver ci-dessus le post tumblr anglais d’origine qui contient la masterlist de toutes les (magnifiques) créations dont vous pouvez vous inspirer pour ce Drawing Festival!!
En gros, soyez inspirés, dessinez, et amusez-vous! 🎶💥
Hello everyone!!
We’ve got a lot of amazing pieces of art and fictions for the Vaderkin Creative Exchange 2024! I’m super proud of all of you. 💜
On this day, until the 31 August...
🎊 🎉 🎨 THE CREATIVE FESTIVAL OFFICIALLY OPEN 🎨 🎉 🎊
For the artists and writers who had this idea for one of the prompt they received but didn’t have time to make it — this is the occasion!
For creators who missed the deadline and wanted to join the event — this is the occasion!
For people inspired by one of the drawings, or by one of the fanfiction scenes — this is the occasion!
How to participate?
On Tumblr: Tag your work Vaderkin Creative Festival 2024, precise the work that inspired your art, and mention the server blog @vaderkin-is-a-lightning-rod so we can repost you.
On AO3: Tag your work Vaderkin Creative Festival 2024, precise the work that inspired your art, and add your work to the vaderkin_creative_exchange_2024 collection
This is an event to give you the chance to draw fanarts or write fanfiction on the amazing creations this event produced. You don’t need to have signed up to the event nor receive / made a gift for it. You can make a fic or an art inspired by a fic which itself was inspired by another art, make a fanwork inspired by an art of the event, and begin an art fight! The only limit, is that it must be linked in some way to one of the event works.
Basically, be inspired, draw, write, and have fun! 🥳
Vaderkin Creative Exchange 2024 Masterlist
Fanfiction
Sáinnithe by @sinvulkt for @squad-724
Field of Dreams by @fanfictasia , TiranaSorki for @mina-jamsin-derulo
Letters by @fanfictasia , TiranaSorki for @mina-jamsin-derulo
Dying Stars by @fanfictasia , AminaGila for @acryliccassetteart
Heaven Swallowed the Smoke by AshCatchem for @nightingalewritings
As Everything Burns by @fanfictasia , RivanaRita for @zero-max
Paths by @wisechaosglitter for @sunrisemcash
Eyes on Ahsoka by @rinn-e for @mina-jamsin-derulo
Beyond the Stars: The Enduring Legacy of a Galactic Hero, 20 Years Later by Squidwonder for @tramp-fiction
grudging sacrifices by @unlikecharlie for @cinderfeather
just like a photograph by @withyourrhythm for @omaano
Is this the droid you want to die on? by @adragonsfriend for @ladyv-aka-via
Flightless by @ravenite-void for @fancyfrey
Fragments of a Dynasty by @tantive404 for @ravenite-void
Under the Moonlight by cherrycourage for @artmelody
Present, Past, and Future by @wendingways for @mina-jamsin-derulo
knowing how it goes (but never how to stop it) by MillionLights for @vandervoiz
The Restless Devourer by @vandervoiz for @sinvulkt
in thousands of agonies - i exist by @femmefangirl for @asteral-feileacan
Brillant and Blue by @nightingalewritings for @sinvulkt
In Common by @pat-the-togorian for @fanfictasia , RivanaRita
Angel of Fire by @asteral-feileacan for @starlesssky72
How to date a Time Traveling Jedi (quickest routes, no shortcuts) by @zero-max for @yatsukisakura
Art
A Scar In the Eye and [Panel 2] by @piroporopi for @vandervoiz
Alone by my side by @nightingalewritings for @tantive404
In from the desert by @nightingalewritings for @adragonsfriend
Vaderkin Creative Exchange 2024 art by @jarenka for @rinn-e
They were great and a family by @ravenite-void for Melly (ao3)
Through time and into darkness by @ravenite-void for @wendingways
Art for Vaderkin creative exchange 2024, The Winter Picnic and Art #2 by @wendingways for @unlikecharlie
[ART] Your Mistake by @asteral-feileacan for @fanfictasia , Tirana
No Respite From The Past and A Cord Unsevered by @vandervoiz for @letitrainathousandflames
Artwork by @artmelody for @pat-the-togorian
Vader kidnapped, Disaster trio (or with Padmé) being a family, Eldritch Dragon Anakin, Anakin transforms, horrified and Vaderkin falling from the sky by @fancyfrey for @sinvulkt
Beginning at the end by @mina-jamsin-derulo for @artmelody
Eyes on the future by @mina-jamsin-derulo for @christina-stark-skarlet-stileto
Until The Night Ends by @mina-jamsin-derulo for SquidWonder
Artwork by @starlessskys-artblog for @ravenite-void
The Clone Wars: 20 Years Later! Exclusive Interview with General Anakin Skywalker-Amidala by @tramp-fiction for @wisechaosglitter
To protect, Anakin... Or Vader?, Blob Vader get BOOPED and Surrender by @sinvulkt-art for @cinderfeather
The restless devourer, The dark wyrm, The puppeteer by @sinvulkt-art for MillionLights (ao3)
Anakin and Fives shenanigans by @omaano for @fanfictasia , Amina
Of Shotguns and Band-aids  by @zero-max for @asteral-feileacan
Artwork by @ladyv-aka-via for @shevek
Massive Mer Ani by @squad-724 for @zero-max
Medusa Vader by @squad-724 for @nightingalewritings
March on the Temple by @acryliccassetteart for @fanfictasia , Rivana
Panel by @yatsukisakura for @withyourrhythm
When Your Boss is Very Heavy by @cinderfeather for MaDonz(ao3)
[Art] Mom did it better by MaDonz for AshCatchem
Chaos by @fanfictasia , RivanaRita for @femmefangirl
This is the fourth step of the Vaderkin Creative Exchange 2024 event. You can find the full event rules here.
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submissivegayfrenchboy2 · 26 days ago
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17 / 01 / 2025
🇺🇸🇬🇧 English / Anglais 🇬🇧🇺🇸
My SteveBycky fanarts
You may have noticed that in the past few days I've rebloged (and commented) a lot of SteveBucky fanarts and fanfictions. It inspired me these two drawings that I've made quickly, with pencils.
Here are drawings that I made in homage to Steven Rogers and James Buchanan Barnes.
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The first one I made is a drawing where we see the Winter Soldier in a gigantic pond and Steven is very small. We can imagine that the Winter Soldier is normal size and Steve Rogers is abnormally tiny, or that Bucky Barnes is huge while Steve is normal size even though he is small. Or maybe Steve is tiny and Bucky is giant, which explains the size difference. I drew Steve with a light blue shirt and big pants, brown shoes and standing on a large wooden crate to try to wait for his huge lover. James Barnes is dressed in his outfit seen in the Disney+ series FALCON AND THE WINTER SOLDIER. So he has his new mechanical arm, but I left him with his long hair that we saw until AVENGERS ENDGAME.
I was mostly inspired by the amazing arts by my friends @antoniomatosxd2 @joepringle
This allows a contrast with the other drawing, which I did afterwards, where I imagined Steven Rogers and James Barnes during the Second World War. Steve is dressed in a light blue shirt, again, but with a collar more reminiscent of 1940s fashion, a sweater and tie in the color of the American flag, and his hair styled in the front. His gray pants are more flared at the bottom, as men's pants were cut in the 1940s. Likewise, his brown shoes reveal his white shoes. Next to him is his best friend and lover James Barnes, dashing in his American soldier's uniform. They look at each other lovingly. 🥰 I designed this drawing where the size difference is more realistic and consistent with what we see in the movie CAPTAIN AMERICA. FIRST AVENGER.
I've talked here about my love for the height difference in the Stucky ship :
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Mes fanarts Stucky
Vous avez sûrement remarqué que j'ai reblogué et commenté de nombreux dessins et histoires sur Steve Rogers et Bucky Barnes. Ça m'a donné envie d'en publier aussi. Je les ai fait rapidement avec des crayons de couleur et des feutres.
Voici des dessins que j'ai réalisé en hommage à Steven Rogers et James Buchanan Barnes.
Le premier que j'ai fait est un dessin où l'on voit le Soldat de Lhiver étang gigantesque et Steven est tout petit. On peut imaginer que le Soldat de l'hiver est d'une taille normale et que Steve Rogers est anormalement minuscule, ou bien que Bucky Barnes est immense alors que Steve a une taille normale même s'il est petit. Ou alors, Steve est minuscule et Bucky est géant, ce qui explique la différence de taille.
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J'ai dessiné Steve avec une chemise bleu clair et un pantalon gros, des chaussures marrons et monté sur une grande caisse en bois pour tenter d'attendre son amoureux immense. James Barnes est vêtu de sa tenue qu'on voit dans la série Disney+ FAUCON ET LE SOLDAT DE L'HIVER. Il a donc son nouveau bras mécanique, mais je lui ai laissé sa longue chevelure qu'on a vu jusqu'à AVENGERS ENDGAME.
Cela permet un contraste avec l'autre dessin, que j'ai fait après, où j'ai imaginé Steven Rogers et James Barnes durant la Seconde Guerre mondiale.
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Steve est vêtu d'une chemise bleu clair, là encore, mais avec un col plus proche de la mode des années 1940, un pull et une cravate au couleur du drapeau américain, et les cheveux coiffés sur le devant. Son pantalon gris est plus évasé en bas, comme les pantalons masculins étaient coupés dans les années 1940. De même ses chaussures marrons laissent voir ses chaussures blanches. À côté de lui se trouve son meilleur ami et amoureux James Barnes, fringant dans son uniforme de soldat américain. Ils se regardent l'un l'autre amoureusement. 🥰 J'ai conçu ce dessin où la différence de taille est plus réaliste et conforme à ce que l'on voit dans le film CAPTAIN AMERICA. FIRST AVENGER.
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sinvulkt · 6 months ago
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Find the english version here.
Nemo arracha le fusil des mains du naufragé hébété et tira. Une fois, deux fois. Les balles ricochèrent sur la peau du monstre, sans lui faire le moindre mal. L’anguille secoua la tête comme pour se débarrasser d’un fourmillement désagréable, puis se précipita sur le naufragé que Nemo venait de désarmer. L’homme n’eut pas le temps de pousser un seul cri qu’il avait disparu dans la gorge de la créature.
Nemo recula d’un pas, le cœur battant à tout rompre. Blaster et Humility devaient s’approcher de la plage maintenant, sans avoir remarqué qu’il s’était arrêté pour distraire le monstre. Bientôt, ils auraient atteint le navire et Nemo pourrait courir à son tour, ou l’anguille serait morte. Il rengagea son fusil.
Un œil vicieux et rempli de haine le fixait, le défiant de lui tirer dessus. Nemo l’obligea.
Le coup parti, touchant la créature sur la peau tendre près de la paupière. Le monstre se tordit de douleur. Les arbres tressaillirent sous la puissance des coups, semblables à un tremblement de terre. Le sol semblait se dérober sous chacun des pas de Nemo, le faisant trébucher alors qu’il tentait de s’éloigner du son assourdissant. Un bourdonnement continu emplit ses oreilles.
Il n’eut pas le temps de reprendre son équilibre que, folle de rage, l’anguille ouvrit grand la gueule et se jeta sur lui. Le talon de Nemo se coinça dans les racines d’un arbre, et son fusil partit valser dans la nature. Un souffle chaud caressa son visage,  fétide rappel que le monstre se rapprochait. Les secondes s’écoulèrent lentes et rapides à la fois tandis que Nemo s'acharnait en vain à déloger son pied. Il se rendit finalement à l’évidence : il ne pourrait pas esquiver.
Utilisant son seul recours, il leva le pistolet qu’il avait gardé à sa taille et tira de nouveau. Et encore. Et encore. Sans effet. La gueule restait grande ouverte, tel un inarrêtable gouffre béant, quelque soit les coups qui la perçait. Il rechargea. Déjà le monstre se tenait à moins d’un mètre, le piège de ses mâchoires masquant la lumière du soleil. Puis, juste comme Nemo tira la dernière balle droit dans l’œsophage se précipitant sur lui, la créature fut parcouru d’une convulsion. 
Les mâchoires aiguisées de dents longues comme son avant bras se refermèrent autour de lui, le plongeant dans une pénombre totale. Nemo cligna des yeux, s’attendant à ce qu'à tout moment la gueule se referme, le broyant sous ses crocs ou l’étouffant dans l'acide gastrique. Mais, contre toute attente, le silence continua, pas même brisé par une respiration sifflante ou le flux et reflux de l’haleine fétide qui l’entourait.
Le monstre était mort.
Nemo essaya de soulever l’une des dents. La mâchoire était lourde et, profondément enfoncée dans le sol, elle ne bougea pas. Nemo se gaina. Ses pieds s'écartèrent, son bassin se baissa, ses muscles se tendirent et, d’un effort surhumain, il poussa. Un rayon de lumière récompensa ses efforts puis la gueule retomba, lourdement, l'entraînant avec lui. Nemo s’étrangla sur la poussière et l’atmosphère putride de la gueule. Les souvenirs de sa cellule à Kalpani lui chattouillèrent l’esprit. Pour chaque seconde qu’il passait dans ce piège cadavreux, il lui semblait devenir un peu plus claustrophobe. Porté par l’énergie du désespoir, il reprit ses efforts pour soulever la dent. Cette fois, la mâchoire s'entrouvrit, laissant une profonde traînée dans le sable. C’était juste assez pour que Nemo rampe au dehors, ce dont il ne se fit pas prier.
Il commençait à peine à se dégager quand il remarqua que la chair du museau était restée collée à ses doigts. Il secoua ses mains, en vain. Le museau tout entier y semblait accroché. Nemo tira de toutes ses forces, sans plus de résultat. Une pointe d'inquiétude crispa ses traits. Il appuya son pied contre la mâchoire pour plus d'appui et, lâchant un juron, tira au point de se déboîter l’épaule. La peau du monstre s’allongea comme un vieil élastique, déformant la tête triangulaire de l’anguille, mais elle resta obstinément accrochée. Aussitôt qu'il s'arrêta, pantelant et exténué, son bras s'enfonça avec un bruit répugnant dans la peau de la créature jusqu'au coude.
Sa main le brûlait. Nemo serra les dents contre la vague de douleur qui lui remontait le poignet. Il avait l’impression que le membre était plongé dans l’acide. Au vu du caractère surnaturel de la créature qui le coinçait, qui sait si ce n’était pas le cas. Nemo fixa la masse de chair grouillante qui s'étendait sur son bras. D’ici quelques minutes, elle aurait atteint l’épaule.
Son cœur se durcit. Il porta la main à sa ceinture et en tira son poignard, puis fourra le bas de sa chemise dans sa bouche. La lame, parfaitement aiguisée, entama la chair sans mal. Elle ne tarda pas à atteindre un nerf, lui arrachant un cri étouffé. Nemo serrait les dents si fort que sans la chemise suintant la sueur qu’il avait glissé entre ses mâchoires, il se serait déjà coupé la langue.
Un soudain pic de douleur au niveau de son pied l'arrêta dans son agonisante besogne et lui fit baisser les yeux. Le pied qu’il avait posé sur une des dents de la créature pour y prendre appui n’était plus posé, mais encastré. Une secousse de la cheville lui confirma ce qu'il craignait. Une goutte de sueur coula sur son front. Son pied était autant collé que son bras, comme si l’ivoir avait fondu autour de sa chaussure, et que cette dernière s'y enfonçait doucement. Déjà, une brûlure semblable à celle qui lui dévorait le poignet enflammait sa jambe.
Il ne pouvait plus sentir ni ses doigts, ni ses orteils.
Le poignard glissa mollement de sa main libre. Nemo fixait béatement ses membres se faire dévorer, avec l’impression de regarder la mort en face. Puis, pris d’une soudaine fureur fiévreuse, il se baissa pour récupérer sa lame, et ré-attaqua son épaule. Nemo ne craignait pas la mort. La plupart des gens qu’il avait aimé l'attendaient là, dans l’après vie, et mourir ne serait que les rejoindre. Mais si Nemo ne craignait pas la faucheuse, il ne se livrerait pas sans combat à elle pour autant; pas tant que la Compagnie existait impunément et que sa famille restait invengée.
C’était trop tard, bien trop tard. Nemo avait à peine entamé l’os que la masse grouillante recouvrait son poignard, puis son autre main. Que la chair étrange s’emparait de son entrejambe, son bassin, son torse. Que l’espèce de mousse rosâtre grimpait le long de son cou, puis de son visage, lui coupant la respiration. Nemo était immobile, paralysé dans cette prison organique qui semblait le digérer vivant.
La substance remonta contre ses yeux, le priva un à un du goût, de l’odorat, de la vue, de l'ouïe, du toucher. Tout n’était que brulure fourmillante et âcre, si étendue qu’il était incapable de dire si la sensation était réel, ou un écho de souvenir s’accaparant de son imagination. Nemo était totalement incapable de distinguer où se terminait son propre corps et où commençait la masse grouillante qui l'entourait. Il n’eut pas à s'en soucier bien longtemps. Après un ultime sursaut de conscience, le néant l'enveloppa.
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Nemo se réveilla, la vue troublée.
Son esprit tournait au ralenti. Il se tenait à cette frontière entre éveil et sommeil, où l’on se souvient encore du surnaturel des songes et où on ne questionne pas l’absurdité de la réalité. Il lui semblait vaguement être mort, dévoré par le cadavre d’un gigantesque reptile, mais l’idée semblait si saugrenue qu’il lui était difficile de croire que tout cela était un souvenir, et non pas l’effet de quelques plantes hallucinogènes de l'île.
Il essaya de battre des paupières pour éclaircir sa vision, mais aucun muscle ne lui répondit. Son corps, lourd et engourdit, répondait par tressaillement. Nemo avait l’impression d’avoir les bras et les jambes coincés dans un immense sac, et il peinait à se mouvoir. Il parvint tout de même à tourner la tête. Une forme blanche et brillante ressemblant fort à un minuscule squelette humain se refléta dans ses pupilles.
Une sensation de picotement attira son attention. Nemo huma l’air salin, regrettant que le soleil soit si fort et qu’aucune paupière ne vienne protéger ses yeux. Il était parcouru de l’étrange certitude que les picotements correspondaient aux membres de son équipage, et que ces derniers avaient atteint la bordure de la mer. 
Son corps se mouva entre les arbres humides, l’instinct le guidant dans ses contorsions. Il ne questionna pas la taille étrangement réduite de la végétation, ou la sensation ténue de la terre qui craquait et glissait sous sa peau, ni ce nouveau picotement qui le guidait. L’attention embrumée du sommeil de Nemo était focalisée sur l’idée de retrouver sa cabine sur le Nautilus, et d’en finir avec cette île maudite.
Il atteint la plage et s'arrêta, perdu. Les picotements avaient cessé. Après un instant de recherche, il arriva à distinguer un point flou qui se déplaçait sur l’eau : une barque. Nemo ouvrit la bouche pour les appeler, mais seul un vrombissement grave en sortit. Quelques instants plus tard, des voix criardes et distordues surgirent de la barque, frappant ses tympans. Voyant que le point flou ne s’approchait pas, et, qu’au contraire, il s’éloignait de plus en plus vite, Nemo s’élança dans les vagues.
L’eau glissa délicieusement le long de son corps. Elle l’acceuillit comme on accueille un vieil ami, s’écoulant sans effort le long de son coup, de son torse, de sa queue. Elle remplit ses branchies, chassant l’air qui s’y était douloureusement coincé, et Nemo eut la sensation de respirer pour la première fois.
La confusion se mêla à l’effroi. Nemo n’avait pas de queue, il avait des jambes. Il n’avait pas de branchies, il avait des poumons. Et il n’avait jamais, au grand jamais, nagé aussi vite.
Une décharge cent fois plus forte que les picotements qui l’avaient guidée plus tôt déferla sur son cerveau. C’était comme si une lanterne de la forme du Nautilus était apparue devant ses yeux, l’appelant comme la torche attire l’insecte. Nemo se précipita sur la zone ressemblant au pont, espérant trouver l’écoutille. Il y trouva un cri d’effroi. La naufragée qui les avait aidés un peu plus tôt affichait une expression de terreur en le regardant.
La confusion l’empli de nouveau.
C’est moi, Nemo !
Un grondement fut le seul son qui s'échappa de sa gorge. La naufragée se carapata et disparut à l’intérieur du vaisseau. Peu de temps après, le son familier des moteurs du Nautilus remplit ses oreilles. 
Un pincement désespéré lui tordit le cœur. Ils allaient partir sans lui. 
Le nautilus est à moi !
Son corps réagit de lui-même. Avant qu’il ne le réalise, Nemo s'était enroulé fermement autour du Nautilus, son long corps sinueux . Il lui vint à l’esprit que si le Nautilus était si petit, et lui si grand, jamais il ne pourrait passer par l’écoutille. Et pourtant il pouvait se voir sans mal tendre les bras, faire tourner la roue qui scellait la porte, puis se glisser à l’intérieur de l’échelle qui le mènerait à son navire. 
Sa tête se colla à la baie vitrée qui constituait le devant du sous-marin. Plusieurs taches de couleurs le fixaient, sans bouger. 
Je suis votre capitaine !
L’un d’entre eux s’activa soudainement, se précipitant vers la zone contenant les balais de commande. Le bouclier se mit en mouvement avec un crissement effroyable qui vrillait les tympans. Nemo s'écarta du son horrible d’un coup sec, permettant ainsi au bouclier de se refermer. Il fixa le métal un instant, choqué de l’impudence de son équipage, sa queue toujours possessivement enroulée autour du reste du navire. 
C’est alors qu’il remarqua le reflet qui s’affichait dans la surface polie. La créature qui le dévisageait n’avait ni cheveux, ni barbe, ni oreilles. Elle n’avait pas de bras ou de jambes, juste un long cou sinueux couvert d’écailles qui se perdait dans l'océan. C’était la tête triangulaire d’un monstre sans visage, semblable à celui qu’il avait abattu un peu plus tôt.  
Des années plus tôt, durant ses longs mois d’emprisonnement à Kalpani, il avait déposer son nom auprès de la tombe immatérielle de sa femme et sa fille, et s’en était choisit un nouveau. Un nom qui le séparait de l’agonie du passé. Un nom qui promettait de consacrer sa vie à son vœu de vengeance.
Nemo…
Le nom latin dont il avait été si fier lui semblait ironique désormais. Après tout, qui prendrait le temps de considérer la nature humaine d’un monstre marin ? Désormais, aux yeux du monde, il était réellement “Nemo”.
Personne.
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