Tumgik
#Fanfiction en français
misschris1412 · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Reza : Danielle rose russell
Edvin : Ben Barnes
33 notes · View notes
cinderella-ish · 11 days
Link
Tumblr media
Chapters: 1/1 Fandom: Fruits Basket - Takaya Natsuki (Manga), Fruits Basket (Anime 2019) Rating: Teen And Up Audiences Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Honda Tohru/Sohma Kyou Characters: Sohma Kyou, Honda Tohru Additional Tags: Angst, Pining, Denial of Feelings, Self-Hatred, Not Beta Read, le français n'est pas ma langue maternelle, Translation Summary:
Elle ne se soucie pas de toi, tu ne vaux pas le saleté sous ses pieds, tu n’es pas même un chat stupide, tu es un monstre qui sera bientôt emprisonné comme tu mérite. Ces pensées sont entendues à plusieurs reprises pendant qu’il espère qu'elles étaient vraies.
Il entend les pieds doux sur l’échelle.
Merde.
2 notes · View notes
Text
🐞 LE BATTEMENT D'AILES DU PAPILLON 🐾
Le chapitre 24 de la fanfiction est en ligne !
Tumblr media
Lire sur ao3
Lire sur fanfiction.net
Lire sur wattpad
Pour lire la fanfiction depuis le début, c'est par ici :
Le battement d'ailes du Papillon - Chapitre 1
2 notes · View notes
camille-lachenille · 9 months
Link
Chapters: 1/4 Fandom: TOLKIEN J. R. R. - Works & Related Fandoms, The Lord of the Rings - All Media Types, The Lord of the Rings (Movies), The Hobbit - All Media Types Rating: General Audiences Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Frodo Baggins/Sam Gamgee, Rose Cotton/Sam Gamgee, Bilbo Baggins/Thorin Oakenshield Characters: Frodo Baggins, Sam Gamgee, Rose Cotton, Bilbo Baggins, Thorin Oakenshield, Elanor Gardner, Hamfast Gardner Additional Tags: Translation, Alternate Universe - Human, Alternate Universe - Historical, Alternate Universe - 1940s, Alternate Universe - 1950s, Alternate Universe - 1960s, Alternate Universe - 1980s, Bisexuality, Heteronormativity, Period-Typical Homophobia, Widowed, Minor Character Death, Grieving, bisexual awakening, Queer Themes, Jewish Dwarves, Bisexual Sam Gamgee, Sam Gamgee is a bi icon, Period-typical Biphobia, Old Gay Couples Summary:
Sam a toujours été amoureux de Frodo. Il lui aura juste fallu quarante ans pour le réaliser.
1 note · View note
isolinia · 2 years
Text
WIP Wednesday [FR] 12 octobre
Tumblr media
Loki x OFC ☕ soulmates AU (VERSION FRANÇAISE)
Le jour de mon vingt-et-unième anniversaire, mon oncle et ma tante m'offrirent un collier hideux. Une grosse boule de verre d'un noir opaque, suspendue à une chaîne en argent, reposait dans une boîte en bois.
Les sourcils froncés, je détachai le regard du pendentif et le posai sur la seule famille qu'il me restait.
Mon oncle avait son perpétuel air bougon et son regard fuyant. Ma tante, elle, était émue aux larmes. Ses yeux brillaient d'un éclat inédit. Une main sur le cœur et l'autre sur la bouche, elle se retenait de pleurer.
Je forçai mes sourcils à retrouver leur alignement horizontal neutre. Le dernière chose que je souhaitais, c'était blesser le couple qui m'avait élevée comme la fille qu'ils n'avaient jamais eue.
― Merci, euh... c'est très joli.
― C'est moche, tu veux dire, grommela mon oncle. Jamais compris leur obsession pour les âmes sœurs !
― Arrête un peu, vieux grincheux, le gronda gentiment ma tante. Ça a bien marché pour nous.
― Mouais, répondit mon oncle pour ne pas avoir à admettre qu'elle avait raison.
Il s'éloigna dans la cuisine en traînant les pieds, nous laissant seules ma tante et moi.
― Des âmes sœurs ? répétai-je, l'expression me semblant trop importante pour passer à côté.
Elle posa sur moi un regard attendri.
― C'est une tradition familiale, m'expliqua-t-elle en récupérant le collier dans la boîte. J'en ai eu un, ton père aussi, et notre mère avant nous, notre grand-père et ainsi de suite depuis des siècles.
Elle souleva la boule de verre à hauteur de mes yeux et la fit tourner entre ses doigts. La surface lisse était tellement opaque qu'aucune lumière ne s'y reflétait.
― Tes parents auraient tellement voulu pouvoir te le donner eux-mêmes...
Ses yeux brillaient de nouveau d'humidité, et je la sentis sur le point de pleurer.
― Comment ça marche ? lui demandai-je pour l'éloigner du passé et la ramener au présent.
― C'est très simple. Lorsque le Destin a choisi ton âme sœur, une couleur ou un symbole apparaît dans la boule de verre.
― C'est tout ?
― Oui, et c'est bien assez.
Ses yeux avaient retrouvé leur éclat rieur.
― Qu'est-ce que tu as eu toi, pour savoir que tonton était ton âme sœur ?
― Un symbole : un vieil ours mal léché !
Elle éclata de rire, et je me joignis à elle quand le vieil ours mal léché en question passa la tête par la porte de la cuisine, pour nous demander en bougonnant pourquoi nous riions comme des oies.
Notre fou rire mourut dans nos gorges lorsqu'il disparut de nouveau dans l'autre pièce.
Ma tante posa le collier dans sa paume ouverte et la tendit vers moi.
― Vas-y, mets-le. Un jour, le pendentif brillera pour toi aussi, tu verras.
Dubitative, je passai la chaîne autour de mon cou. La boule de verre, aussi morte que l'œil d'un corbeau, reposait sur mon pull. À peine je l'effleurai du doigt pour la première fois qu'elle se mit à briller d'une lueur intense et colorée.
― Tata, c'est normal que ça fasse ça ? m'écriai-je, alarmée.
― Impossible, murmura ma tante dans un souffle. Déjà ? Le Destin a déjà choisi ton âme sœur !
― Quoi ? C'est une blague ?
Je reposai les yeux sur la boule magique.
Peu à peu, son noir opaque devint translucide. Le verre prit une teinte vert émeraude et un motif se dessina, de plus en plus net. Bientôt, je discernai un casque doré orné de deux cornes.
Le salon sembla se vider de tout son air. Je savais ce que ce symbole et cette couleur représentaient. Lorsque je relevai les yeux sur ma tante, ses sourcils froncés de colère m'apprirent qu'elle le savait aussi.
― Qu'est-ce que ça veut dire ? balbutiai-je, le souffle court.
Mon oncle, de retour dans la pièce, répondit à la place de son épouse :
― Ça, ma grande, ça veut dire que tu es dans la merde.
Un casque doré. Des cornes de bouc. Du vert foncé.
Aucun doute possible.
Loki était mon âme sœur. Lui, le monstre responsable de la mort de mes parents lors de l'attaque de New York en 2011.
J'étais destinée à aimer la personne que je détestais le plus au monde.
1 note · View note
sinvulkt · 1 month
Text
✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 2 Chap 3
Edmond entrouvrit les mâchoires crispées de l’Abbé Faria et en retira le tissu qui avait servi à étouffer les cris de ce dernier. Puis, il y glissa dix gouttes du miraculeux liquide qui avait ravivé l’Abbé lors de sa crise précédente, il y a plusieurs années de cela. 
Le liquide coula le long de la gorge du mourant, secouant de violentes convulsions l’homme qui avait été le seul compagnon d’Edmond pour les douze dernières années. Une fois ces dernières passées, l’Abbé Faria s'immobilisa dans une torpeur morbide. Edmond essaya de ne pas s’en inquiéter.  Comme la dernière fois, il attendit patiemment au chevet de son seul et unique ami, ailes plaquées nerveusement contre son dos, guettant chaque bruit, chaque tressaillement qui pouvait annoncer sa résurrection. 
Les seuls bruits qui resonnèrent entre les murs furent les cris lointains des autres prisonniers : les porte-clés commençaient leur ronde. Edmond ne s’en soucia pas, trop occupé par l’état critique de son compagnon. 
Faria avait tenté de le prévenir qu’il ne survivrait sans doute pas à cette troisième crise. Il mourrait, tout comme son père avant lui, et le liquide opaque qui était autrefois si efficace, ne pouvait maintenant plus rien y faire. Malgré tout, Edmond se refusait d’y croire. Il prit les doigts glacés de l’Abbé dans ses mains, priant à qui voulait bien l’entendre de sauver cet être si gentil, si sage, qui n’avait jamais rien fait pour mériter ce triste sort.
L’espoir était tout ce à quoi il pouvait se raccrocher désormais.
Quelques minutes passèrent. 
Puis dix. 
Puis vingt.
Sous la paume d’Edmond, les doigts glacés de l’Abbé restèrent immobiles.
“Revenez, mon père ! Revenez !” il murmura, désespérément penché au-dessus du corps crispé. Ses plumes, herissées par sa détresse, retombaient de par et d’autre du vieil homme tel un doux linceul blanc.
Mais le temps passa, et l’Abbé resta de marbre. La demi-heure atteinte, Edmond prit la fiole dans ses mains tremblantes. Elle était encore au tiers pleine. D’après Faria, c’était son ultime chance.
Il s'apprêtait à en verser le contenu dans la bouche encore entrouverte de son ami quand des pas retentirent au-dessus du cachot. Trois coups suivirent bientôt. 
“Vivant ?”
Edmond sursauta. La fiole lui échappa des mains et se brisa à terre, déversant son précieux contenu sur le sol rugueux de la prison. Le porte-clés avait du finir son tour des cellules, et atteint les cachots. Par chance, ou par malheur, il avait commencé par l’Abbé.
Edmond n’eut pas le temps de céder au désespoir que le cliquetis de clé qu’on tourne dans la serrure résonna. 
“Eh l’Abbé ! Vivant ?”
Des années de pratique guidèrent Edmond à se cacher dans les tunnels, tout comme son esprit qui tourbillonnait furieusement pour trouver une solution. L’image de la fiole brisée dansait devant ses yeux, et il semblait à Edmond que juste en tendant la main, il pourrait modifier la cruelle réalité et remonter le temps.
“L’Abbé ?” le porte-clé appela une nouvelle fois.
Edmond avait refermé le passage juste à temps, car le geôlier avait passé sa tête par l’ouverture de la cellule. N’entendant toujours pas de réponse, et ne voyant que le vieil homme allongé, immobile sur son lit, l’homme descendit dans le cachot. Edmond l’observa par une petite ouverture entre les pierres qui scellaient le tunnel. Son cœur battait à tout rompre. Le porte-clé avait-il entendu les cris étouffés de Faria durant sa crise, ou les murmures de détresse d’Edmond qui s’étaient ensuivit ?
Le porte-clé s’approcha prudemment du corps de l’Abbé, puis, voyant qu’il ne bougeait toujours pas quand il l’appelait, le secoua. Ni secousse, ni injonction n’eurent de succès pour ramener le vieil homme parmi les conscients. À la différence de celui-ci toutefois, sa réaction ne fut qu’un juron, suivit d’une courte prière dans sa barbe, et d’un grand cri destiné à ces compagnons. 
“L’Abbé est mort !”
Un second geôlier descendit. 
“Ah ! Le pauvre bougre. Ses histoires de trésor vont me manquer.”
On fit venir le médecin, pour qu’il confirme cette mort. Ce dernier ne trouva pas de poul. Il était alors coutume de vérifier que le prisonnier n’avait pas faussé sa mort par un coup de fer rouge. Bien que réticent à brûler le corps présumément mort d’un vieil homme qui n’avait, de toute manière, aucune intention ou capacité de s’échapper, le médecin s'exécuta. 
L’odeur de brûlé monta furieusement aux narines d’Edmond. Elle resta coincée au fond de sa gorge, étouffante, écoeurante, tel un liquide mousseux qu’on aurait avalé de travers. Pendant un instant, Edmond crut qu’il allait vomir. Ses bras et ses ailes s'enroulent autour de son torse dans une vaine tentative de barrière contre le crépitement de la peau qui fond, mais le regard d’Edmond resta fixé sur la petite ouverture qui lui servait de fenêtre, comme hypnotisé par l’horreur de la scène qu’il épiait. Il frémit. Ses pensées retournaient sans cesse à la fiole brisée, à ce fol espoir qui lui avait simplement glissé des mains. 
Les porte-clés descendirent un sac - “le plus beau linceul du château d’If”, dirent-il, puis, une fois l’Abbé enfilé dans son cercueil de fortune, comme c’était l’heure du déjeuner et qu’ils avaient fort faim, optèrent pour se débarrasser du corps une fois s’être remplis la panse. Une fois qu’il furent parti, Edmond s’approcha du sac de tissus rêche qui cachait son ami. C'était si facile d’imaginer l’Abbé simplement endormi sous cette paroi de coton, et non parti au point de ne même plus ressentir la douleur du fer.
Un tiraillement déchira le cœur du jeune homme. Il se souvenait avec douleur des premières années passées seul, isolé dans quelques mètres carrés avec pour unique partenaire de conversation un mur de pierre, des ras, et une porte vivante— tel qu’il surnommait son geôliers. Sans l’Abbé, Edmond serait devenu fou. Et fou il deviendrait, s’il restait ne serait-ce qu’un mois de plus emprisonné dans la plus profonde solitude, si loin des grandes étendues maritimes qu’il ne voyait plus que dans vagues songes remontant de ses souvenirs. Il eût préféré mourir que de se retrouver à nouveau dans cette glaciale pénombre. Après tout, n'avait-il pas déjà abandonné la vie, quand il entendit Faria pour la première fois ?
Comme une poussée de fièvre, la soif de liberté dévorait le jeune homme. Ses ailes, trop grandes pour la petite pièce que formait la cellule de l’Abbé, se déployèrent à moitié, comme par anticipation de sentir le vent jouer dans ses plumes. Son cœur pleurait la disparition de son ami, mais sa raison lui assurait que s’il ne tentait pas de s’échapper maintenant, tout le savoir que l’Abbé lui avait confié serait en vain.  Faria n’aurait-il pas voulu qu’il fusse libre, qu’il récupère son fameux trésor? N’avait-il pas donné à Edmond des noms, des responsables aux quatorze années de souffrance passées ?
Il y avait, bien sûr, le plan alternatif de fuite que l’Abbé avait évoqué. Il était possible qu’une fois le cachot voisin vide, les geôliers y enferment un nouveau prisonnier. Mais, celui-ci serait-il vraiment aussi innocent qu’Edmond ne l’avait été ? Écouterait-il son plan pour s’enfuir, ou le vendrait-il aux porte-clés ? 
Non, il était bien trop dangereux d’attendre ne serait-ce qu’une seconde de plus. Edmond devait s’enfuir tant qu’il en avait encore l’opportunité. Et puis, s’il se faisait prendre, il n’avait de tout façon pas grand chose à perdre. La mort offrait une douce délivrance à l’enfermement à perpétuité. 
Edmond défit aussi vite qu’il put les nœuds du sac rêche. Si c’était là le meilleur linceul du château d’If, c’est que de linceuls, la prison n’en possédait pas. Portant avec difficulté le corps encore surprenamment chaud de son ami à travers les tunnels qui séparaient leur cellules, il compta les secondes. Il n’avait que très peu de temps avant que les gardes ne reviennent.
Plus d’une fois, les rochers acérés de l’étroit passage mordirent son plumage et lui raclèrent la peau. Edmond ne s’en soucia point. Son esprit était ailleurs, porté sur les milles façon dont sa tentative d’évasion pourrait se finir, tant en bien qu’en mal. Si les gardes l’enterrait, Edmond se laisserait couvrir de terre, ne s’enfuyant qu’une fois ces derniers partis. Si les gardes le jetaient à l’eau, Edmond utiliserait le couteau pour déchirer le sac de l’intérieur et nagerait jusqu'à la rive.
Tout à sa tâche, Edmond ne remarqua jamais comment les membres d’abord glacés de l’Abbé semblèrent se réchauffer sur le temps du trajet. Il ne remarqua pas le battement de cœur ; si faible que même le médecin n’avait pu en discerner le pouls qui pulsait pourtant sous ses doigts. Il ne remarqua pas la respiration tremblotante qui s’était emparé du corps paralysé et qui, silencieusement, discrètement, l’avait ranimé.
Simplement, il déposa l’Abbé sur son lit, déposa un doux baisé d’adieux sur les rides plissées par l'âge de son front. Une larme coula silencieusement le long de sa joue. Puis, Edmond reparti avec la vivacité de la jeunesse dans les tunnels pour se placer dans ce même sac dont il avait retiré son ami un peu plus tôt, récupérant le couteau de cartilage que l’Abbé lui avait appris à fabriquer au passage. Il recousu l’ouverture de l’intérieur de telle sorte qu’on ne distinguait pas le changement qui s’était effectué. Edmond passa l’aiguille dans le dernier trou juste quand les portes-clés, enfin repus, retournèrent au cachot.
Puis, comme une araignée-loup qui guette sa proie, il attendit.
---------------
Vous pouvez aussi trouver ici un prequel, avec la pousse d'ailes d'Edmond.
Et un wingfic fanart inspiré du film.
6 notes · View notes
metablood · 2 years
Text
More Aizawa HC that are straight up depressing (En/Fr)
In English
He still thinks he could have saved Oboro if he trained more seriously before the incident. He clings to his "rational thinking" habit in order to stay sane. With that kind of thinking, it makes no sense to regret the past, or to think about what could have been.
He claims he eats jelly packets because it's practical, but really his stomach hurts from all the stress he's under. Eating has been a struggle for years. He sleeps that much to make up for the lack of nutrition.
Present Mic and himself avoid working together at all cost, because they are terrified they could be responsible if one of them gets hurt or killed. They teamed up again in the manga because they wanted to do something for Oboro/Kurogiri.
He's been neglected as a child, and as a result he thinks he's responsible for everything, all the time. Hizashi and Nemuri have been trying, for years, to teach him how to prioritize.
Anytime he's not asleep he will work, study for teaching, go on patrol, etc. There's almost nothing personal in his bedroom as it would be "a distraction".
Being at UA with Oboro and Hizashi made him feel like he finally had a caring family. He's very close to Nezu for that same reason. Nezu knows that, and refrains himself from asking too much to Aizawa, knowing he would never say "no" to him.
En français
Il pense encore qu'il aurait pu sauver Oboro s'il s'était entrainé plus séireusement avant l'incident. Il s'accroche à sa "pensée rationnelle" pour rester sain d'esprit. En effet, en pensant ainsi, ça n'a pas de sens de regretter le passé, ou de penser à ce qui aurait pu être.
Il prétend manger des gourdes de gelée nutritive parce que c'est pratique, mais en fait il a mal à l'estomac à cause du stress. Cela fait des années qu'il a du mal à bien manger. Il dort beaucoup pour récupérer l'énergie qu'il perd faute d'une meilleure nutrition.
Present Mic et lui évitent de travailler ensemble à tout prix. Ils sont terrifiés à l'idée d'être responsable si l'un d'eux était blessé ou tué. Ils font de nouveau équipe dans le manga car ils veulent faire quelque chose pour aider Oboro/Kurogiri
Il a été négligé durant son enfance, par conséquent il se sent responsable pour tout et tout le monde, tout le temps. Hizashi et Nemuri essaient, depuis des années, de lui apprendre à avoir des priorités.
Du moment où il n'est pas endormi, il va travailler : étudier pour sa classe, aller en patrouille, etc… Il n'y a presque rien de personnel dans sa chambre car ce serait une "distraction".
Être à UA avec Oboro et Hizashi lui a donné l'impression d'avoir enfin une famille aimante. Il est très proche de Nezu pour la même raison. Nezu le sait, et il tâche de ne pas trop en demander à Aizawa, sachant qu'il ne lui dirait jamais "non".
49 notes · View notes
carmilla-dilaurentis · 11 months
Text
Hellooo
La team Bellamort en français, où êtes vous ?!!
@josy57 est là heureusement ❤️
Mais sinon on est vraiment pas nombreuses ? Dans la sphère francophone, surtout.
il va parfois y avoir des aspects de ce ship dans telle ou telle fic, mais en général c'est secondaire dans l'histoire.
Soyons toujours plus 'nombreuses à écrire en français sur eux deux !!!
J'ai besoin de plus de fic qui se centrent autour d'eux ❤️😈
2 notes · View notes
Text
"Bucky n'arrive pas à croire que Steve l'ait abandonné. Pourtant, il est là, tandis qu'on met le cercueil de son amour en terre."
6 notes · View notes
Note
Comment tu vas ?
je vais bien, merci! et toi?
j‘ai pensé à peut-être essayer d‘écrire des opinions des fandoms en français pour me faire practicer… on verra (?) jadjsjsjdjdjjd
et j‘ai aussi pensé a peut-être regarder des films en français… skam france par example… OU. MAZE RUNNER 👁
question pour les mutuals français: est-ce que vous aimez bien les voix (voices?) en français?
7 notes · View notes
afrenchaugurey · 2 years
Text
Chapitre 3 de ma fiction Caribbean Blue écrite pour l'événement NewTina moments.
It's still in French, I'm sorry it takes me ages to edit and translate...
Tumblr media
8 notes · View notes
misschris1412 · 2 years
Link
Tumblr media
7 notes · View notes
i-hold-horrors-hand · 7 months
Text
L'Amour, C'est un Feu (Chapitre 1: Une Envie de Satisfaire Une Excitation Forte)
French translation of Love Is a Fire
(Mary Goore est non-binaire ici, il y a des Insultes récupérées)
(On peut aussi lire sur AO3)
C'est l'instant quand les deux établissent un contact visuel mutuel. Pour Mary, sa bitte convulse dans ses jeans serrés, et il sait qu'il sera satisfait ce soir. Pour Allie, un frisson traverse son corps, et elle sait qu'elle sera le ramènera à chez lui.
Tumblr media
Tout cela commence dans un club pour les gouines. Un club trés salissant et punk, quelque part en France. Un endroit où on peut s'attendre des fans de métal, des punks salissants (plus que le club), des gouines, hommasse, et autres personnes comme ça. Ce n'est pas un club où on peut s'attendre des petites femmes à la mode.
Mais, c'est quoi les lesbianisme, c'est quoi être queer, si ce n'est pas la subversion de la norme qu'on s'attendre?
Allie, une belle femme portant une tenue qui est presque l'haute couture, sirote sa Levrette et regarde autour le bar. Elle observe les femmes, les mascs, et l'autres pendant qu'elle pense de ses opinions sexuelles de ces gouines. Fixer ses gouine pour un raison charnel.
Elle est arrivée ici seule, mais elle ne partira pas seule.
De l'autre côté du bar, un punk assez malapropre du nom Mary inspecte le lieu. Portant une chemise et des jeans déchirées, il est en harmonie ici. Il boit lentement son pur malt peu cher, il le savoure. Il est arrivé ici orginairement pour s'ennuye moins, mais maintenant il veut quelque chose d'autre.
Il a un désir charnal, maintentant.
C'est l'instant quand les deux établissent un contact visuel mutuel. Pour Mary, sa bitte convulse dans ses jeans serrés, et il sait qu'il sera satisfait ce soir. Pour Allie, un frisson traverse son corps, et elle sait qu'elle sera le ramènera à chez lui.
Mais, avant tout tout ça, elles ferant se baiser dans les toilettes. Et, avant tout ça, elles se présentent et parlent un peu. On devrait savouir avec qui on se baiser, naturellement.
Allie vient des États-Unis, et étudie l'histoire d'art à une université française. Aussi, elle est mannequin pour son travail. Elle rire quand Mary lui demande pourquoi elle—une belle fille—est ici dans un club assez grossier? Elle ne veut pas être quelque part d'autre et boire du vin cher? Elle lui dit que les apparances ne disent past tout d'une personne. Il y a plus qu'elle resemble.
Mary vient de Suède, il joue guitar et chante dans un groupe de métal qui a un peu de popularité. Son groupe a joué quelques concerts par ici récemment. Maintenant, ce soir, il est prêt pour l'action et du fun. Il ne parle pas beaucoup de français, vraiment, et il est impressionné quand Allie démontre sa maîtrise. Il lui demande pour une petite leçon.
"Voulez-vous coucher avec moi, ce soir?" Allie bat ses cils dans une manière coquettment.
Mary hausse ses sourcils dans une manière dramatique. "Ooh, la la. Qui s'attendrait q'une petite femme sophistiquée peut être assez franc et audacieuse?"
Allie lui rappelle qu'il y a plus que son apparance peut dire.
Il y a plus à Mary qu'on le pensait, aussi. Allie fait cette découverte quand elles sont aux les toilettes, se déshabiller mutuellement. Elle ne s'attend pas un pénis en érection de Mary. Mais, elle a déjà couché avec des femmes transgenres, et elle est tout de même excitée.
Alors, aux les toilettes graffées, dans un club salissant, elles se baisent. Et, dans le lit, chez Allie.
C'est une nuit bien passée, pour les deux.
1 note · View note
glygriffe · 1 year
Text
Méchant Malade
Fandom : Dans une galaxie près de chez vous Event : Sicktember 2023 Prompt : 7 - You're a jerk when you're sick Word count : 620
Tumblr media
Brad a attrapé les oreillons. Malgré un scan complet du vaisseau et une analyse approfondie des échantillons prélevés sur la dernière planète visitée, personne ne sait comment il a pu entrer en contact avec le virus qui cause la maladie.
Comme on pouvait s’y attendre, Brad n’est pas un patient facile. Il devient méchant quand il est malade. Bob irait jusqu’à dire qu’il devient un méchant malade. Mais les membres de l’équipage commencent à se demander si les gémissements prolongés du scientifique ne seraient pas dûs à une cause valable, pour une fois.
En l’absence d’un médecin de bord, Valence a ressorti le livre La médecine pour les nuls laissé par Mirabella, et Flavien aide le capitaine Patenaude à rebrancher l’interface vocale de Gervais, l’ordinateur de bord. Le tout dans le but de comprendre les complications possibles de cette maladie qu’on croyait disparue. 
“Ben voyons donc, ça marche donc ben mal c’te patente-là!”
Devant la frustration de son supérieur, Flavien intervient timidement : “Heu… Capitaine… Si vous mettez la switch à ON, ça marche mieux, d’habitude.”
“Ha. Ben oui, hein? Bon. Et puis, Gervais, dites-nous quelque chose.”’
La voix nasillarde de l’ordinateur s’élève dans le poste de pilotage : 1-2, 1-2, testing. J’pense que tout est correct, Capitaine . Et merci de me redonner la voix. C'est plus dur de faire du stand-up juste par écrit entre deux rapports de sonde...
“Bien, bien! Valence c’est vous la mieux placée pour nous parler de santé. Faites donc un résumé de la situation à Gervais.”
La psychologue ferme son livre d’un coup sec en déclarant : “Brad a bien les ganglions un peu enflés sous la mâchoire, mais il ne fait même pas de fièvre. Si on n’avait pas lu le diagnostic sur le scanner de l’infirmerie, on ne saurait même pas qu’il a les oreillons. Apparemment la majorité des personnes affectées ne s’en rend même pas compte.”
“ C’est vrai, mais selon ma base de données que j’ai pu consulter en 0.03 seconde, c’est une maladie contagieuse pendant au moins les neuf jours suivants les premiers symptômes et qui peut avoir des complications très douloureuses, comme une inflammation des testicules chez un patient mâle sur cinq. ”
En entendant Gervais, Flavien grimace et porte instinctivement la main à son entrejambe tandis que le capitaine croise subitement les jambes.
“Et bien dans ce cas, ce serait peut-être mieux de l’isoler dans sa capsule de régénérescence durant la période d’incubation, vous ne pensez pas, Valence?”
“Bonne idée, Charles. Ça aurait au moins l’avantage qu’on ne l’entendrait plus”, convient la jeune femme.
Sur ce, Bob entre dans le poste de pilotage, une cuisse de dinde à la main, suivi de près par Brad qui se traîne les pieds.
“Capitaine, Brad dit qu’il n’a pas faim. Est-ce que je peux manger sa part du souper?”
“Il n’en est pas question!” proteste Brad tout en portant la main à son cou et en grimaçant de douleur. “Selon l’annexe 3A, sous-article 42 du code de conduite des officiers, j’ai droit à du manger mou de qualité supérieure, fait à partir des repas réguliers. Ça n’a pas d’importance, que je n’ai pas faim. Vous ne me priverez pas de mes droits! Je vais faire une plainte officielle à la Fédération planétaire, je …”
Instinctivement, le capitaine Patenaude assène le tranchant de sa main sur le cou du scientifique avec un ‘Non, Brad!” bien senti. Le résultat est immédiat : Brad s’écroule sur le sol. Tous les membres de l’équipage présents poussent un soupir de soulagement dans le silence qui suit. Bob grommèle un “Méchant malade!’
Puis on entend la voix grésillante de Gervais, le ton un peu pincé : “ Si vous voulez mon avis, c’est à l’officier scientifique Spitfire que vous auriez dû retirer l’interface vocale plutôt qu’à votre dévoué ordinateur central… ”
1 note · View note
alma37 · 2 years
Text
Did I ever tell you how much I am grateful for thesauruses?
In every language I write?
If they were human, I’ll ask one to marry me.
Tumblr media
0 notes
changbinholic · 2 years
Text
Si quelqu'un a des fics en français qui sont pas super cringe svp faite passé. Faut que je lise plus.
0 notes