#De préférence
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Le chouchou
C'est intéressant de voir que William et Jack, plutôt tolérants, en général, de la bêtise d'Averell et si prompts à le protéger de la vengeance de Joe, sont les plus affectés par la nette préférence de Ma pour le "petit dernier".
Du coup, Ma Dalton est un des rares albums Dalton où leur perte n'a pas été provoquée par Joe ou Averell mais par William et Jack.
#“les pires desperados de l'ouest”...#en même temps#Ma n'y va pas mollo avec ses préférences#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : ma dalton#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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Ledit "MONDE DE LA CULTURE " CONTRE LE PEUPLE !
Ces gens là pensent que tous les gens sont aussi dégénérés qu'eux !
Marre de ces donneurs de leçon qui vivent la plupart hors de France pour ne pas payer d’impôt ! Par Marianne Cheremetieff Vous pouvez soutenir notre travail en vous abonnant mensuellement pour 2 € par mois via STRIPE totalement sécuriséEn cadeau, un livre PDF vous sera envoyé par mail Ledit “MONDE DE LA CULTURE ” CONTRE LE PEUPLE ! J’apprends à l’instant par une gauchiste des théâtres…
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#antisémitisme#La préférence française#le peuple#Marianne Cheremetieff#monde de la culture#Observatoire du MENSONGE#politique#racisme
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petite question parce que ça me chicote depuis quelques temps — aimeriez-vous, quand je poste un stock d'avatars, que je joigne une galerie imgbox pour que ce soit plus rapide à utiliser ? ou ça vous gêne pas de passer par tinyurl ? ça serait pratique ou pas ? 🤔💕
#je me demande#j'ai envie de le faire mais je me demande si ça serait une perte de temps...#let me know vos préférences !! :)
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Writevember jour 5 - La suite de "Le châtelain"
“Alors ? La livraison s’est bien passée ?” lui demande son père lorsqu’Emilie gare la camionnette dans la cour de la boulangerie.
Elle claque la porte du véhicule, et grimace en voyant les traces de terre maculant les portes arrière. Rouler en rase campagne, ça ne passe pas inaperçu…
“Ça va, je suppose. On a failli se perdre, le GPS déconnait, mais on a fini par trouver et livrer à temps les viennoiseries,” répond-elle.
“Ah, vraiment ? C’est vrai que je n’ai jamais utilisé de GPS pour aller jusqu’au château,” marmonne-t-il.
“Tu as déjà déposé le fils Dubois ?” lui hurle sa mère depuis l’intérieur de la boutique.
“Oui, maman, c’était sur le chemin, donc j’ai laissé Chris devant chez lui,” grommelle Emilie tout en déchargeant les caisses vides de la camionnette.
“Eh beh, il pourrait au moins payer le plein…” rouspète sa mère tout en lui tenant la porte ouverte.
“Sarah…” intervient son père.
Emilie se contente d’un soupir.
Sa mère n’a jamais apprécié Christopher - quand bien même ils se connaissent depuis la primaire. Elle le considère comme une “mauvaise influence” - et peut-être n’a-t-elle pas complètement tort, puisque les choses les plus stupides qu’elle a faites ont souvent eu lieu en compagnie du jeune homme.
Ceci étant, si Chris a une mauvaise influence sur Emilie, c’est réciproque…
“Mais assez parlé de ce petit teigneux, je suppose que tu as rencontré Louis ? Alors ?” reprend sa mère.
“Le châtelain ? Oui maman, ne t’inquiètes pas, la livraison s’est bien passé, je n’ai pas fait honte à la boulangerie - “
“C’est pas ça que je te demandes ! Qu’est-ce que tu penses de lui ?”
“Euh… Il a l’air sympa ?”
“Et..?”
“De quoi, et ? Qu’est-ce que tu - Maman !” s’exclame soudain Emilie lorsqu’elle comprend où sa mère veut en venir. “Tu peux arrêter d’essayer de me caser avec tous les types du coin ?!”
“Roooh, tout de suite ! Et puis Louis est un jeune homme bien comme il faut, tu sais, et avec un bon pedigree, ce qui est un avantage non négligeable de nos jours.”
“Chérie, tu parles de Louis comme d’un chien,” soupire son père - sans pour autant décourager sa femme de chanter les louanges du châtelain à leur fille dans l’espoir d’un bon mariage.
Emilie lui jette un regard noir pour cette trahison - mais son père se contente de hausser les épaules. De toute évidence, il est complice et impliqué dans le plan ridicule consistant à envoyer Emilie faire des blind-date tous les weekends.
“N’empêche, tu devrais y réfléchir ! Il passe en ville de temps en temps, il suffirait que tu te débrouilles pour l’accoster, lui proposer un verre - ou non, tiens, du pain frais plutôt ! Le chemin pour atteindre le cœur d’un homme passe par son estomac.”
“Ta mère n’a pas tort.”
“Papa, ne t’y mets pas toi aussi ! Et c’est hors de question que j’ailles draguer le châtelain comme ça !” proteste Emilie.
“Et pourquoi pas, qu’est-ce qui ne te plaît pas chez lui ?”
“Il porte une alliance, et je n’ai pas particulièrement envie de jouer les briseuses de couple,” tacle Emilie, se souvenant très bien de la bague en or sertie de pierres précieuses qui ornait l’annulaire de Louis lorsqu’elle lui a serré la main.
“Oh,” répond son père, l'air soudainement peiné.
“Ah,” ajoute sa mère, comme si elle venait de se rappeler de quelque chose.
“Je sais que tu es désespérée d’avoir enfin des petits-enfants, mais de là à me jeter dans les bras d’un homme marié, quand même…”
“C’est vrai qu’elle ne peut pas être au courant, comme elle vient de rentrer…”
“Hmmm, effectivement je n’ai pas pensé à la prévenir…”
“Prévenir de quoi ? C’est quoi ces messes basses ?” grommelle Emilie en voyant ses parents s’échanger des regards indécis.
“Eh bien…” commence sa mère.
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“Alors, ça s’est bien passé la livraison au château ?” lui demande sa mère lorsque Christopher déverrouille la porte arrière. “Tiens, tant que t’es là, aide moi à bouger ça,” ajoute-t-elle avec un geste en direction d’un fût de bière.
“Ouais, on a failli se paumer en cherchant le château entre deux bleds du coin, mais sinon mission accomplie,” répond Chris en s’exécutant - et grognant quand il se rends compte que le fût en question est plein. Et donc bien lourd.
“C’est vrai que c’est pas très bien indiqué par ici. Je crois qu’il y avait un panneau, avant, mais un crétin s’est emplafonné dessus l’année dernière et la mairie ne l’a toujours pas remplacé. Pose-le là, ça sera bon.”
Avec un dernier grognement, Chris hisse le fût sur une étagère dans la zone de stockage.
“Tu veux un truc à boire ?” lui demande sa mère.
“J’ai le droit à de l'alcool ?”
“Seulement si tu payes.”
“Evidemment. Dans ce cas, file-moi un Schwepps,” répond-t-il.
Sa mère sort une bouteille du réfrigérateur et un verre propre, et lui sert alors qu’il s'assoit au bar.
Il prends une gorgée, appréciant la boisson fraîche et les sensation des bulles -
“Et donc, Louis ? Pas mal, hein ?” questionne sa mère avec un regard appuyé.
- Et s’étouffe promptement avec son Schwepps.
“Respire,” ricane sa mère en lui assénant une claque dans le dos.
“D’où est-ce que tu… C’est quoi c’te… Nan mais ça va pas ?” bredouille finalement Chris après une dernière quinte de toux.
“Bah quoi, j’ai rien dit de mal ?”
“Ben t’a rien dit de bien non plus.”
“Il est poli, doit avoir un petit pactole pour gérer son château, et en plus il n'est pas désagréable à regarder… moi je dis bingo,” argumente sa mère.
“T’as qu'à aller tenter ta chance, dans ce cas…”
“Ah, si j’avais vingt ans de moins ! Ou même dix, tiens, je suis toujours très fraîche, je suis sûre que j’aurais pu avoir ma chance même avec un beau jeune homme comme ça il y a dix ans,” soupire-t-elle.
“Euh… Je plaisantais, hein ! Vas pas me ramener un type qui aurait l’âge d’être ton fils comme nouveau beau-père, ni moi ni les frangins ne seraient d’accord !” panique Chris.
“C’est pour ça que je vais pas tenter ma chance. Mais toi tu pourrais tenter la tienne !”
“Tu ne sais même pas si j’ai une chance - “
“Je sais pas s’il est gay, mais je sais de source sûre qu’il a déjà eu une relation sérieuse avec un homme. Et même si clairement, il mérite mieux, en ramenant Louis à la maison tu relèverais le niveau affligeant des partenaires auquel toi et ton frère m’ont habitué jusque-là,” bougonne-t-elle.
Christopher n’a rien à répondre à cela ; pour le coup, sa mère a raison. Ni Chris ni Jean n’ont fait preuve de beaucoup de goût sur leurs (quelques) relations qui ont été présentées à leur mère jusqu’à maintenant.
Quant à ceux qui ne sont même pas allés jusqu’au dîner en famille… Moins on en parle, mieux il se porte.
“Alors c’est quoi ton plan, au juste ? M’envoyer avec une bouteille de pinot toquer à sa porte et espérer qu’il trouve ça mignon ?” tente-t-il de raisonner.
“Ah non, il boit pas de pinot ! Le seul alcool que je l’ai vu consommer c’est du champagne à la soirée d’élection du maire. Sinon je suis presque sûr que ses commandes habituelles sont pour les visiteurs du château. Tu auras plus de succès avec un bon jus de pomme local, ou quelque chose comme ça.”
“Ah parce qu’en plus c’est un de tes clients ? Tu es en train d’essayer de me caser avec un de tes clients ?!” râle Christopher. “Non mais et puis quoi encore - “
“T’écoutes ce que je dis, ou bien ? C’est pas un poivrot comme les autres cons du coin, donc oui, j’aimerais bien te caser avec lui ! Dieu sait que t’en trouveras pas un comme ça par tes propres moyens.”
“D’abord, merci du vote de confiance, et ensuite, eh bah c’est mort de toute façon. Quelqu’un lui as déjà passé la bague au doigt, à ton bon parti,” réfute Christopher - il avait noté la belle bague que Louis portrait lorsqu’il lui as serré la main.
Cela a le mérite de faire taire sa mère - mais son expression n’est pas celle de quelqu'un embarrassé. Plutôt triste.
“...Qu’est-ce que j’ai dit ?” marmonne Christopher avec un regard suspicieux.
Le regard de sa mère se perd dans le vide pendant un instant -
“Il y a quelque chose que j’ai oublié de te dire au sujet de Louis…”
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“Il n’est plus marié ; il est veuf.”
#my writing#writevember#Ecriture Nov 2024#ocs#en vrai cet AU de châtelain est assez marrant à écrire#je me régale#Selon si j'écris encore pas mal cet AU je referais peut-être un Masterpost au propre à la fin du mois#de préférence avec un peu de correction/édition par un tiers...
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Greffe de Cheveux et Préférences Esthétiques chez les Hommes
Introduction : La greffe de cheveux est devenue une procédure recherchée parmi les hommes cherchant à traiter la perte de cheveux et à améliorer leur apparence générale. Les préférences esthétiques des hommes, influencées par les normes sociales, les désirs personnels et les tendances des célébrités, jouent un rôle significatif dans l’approche de la greffe de cheveux. Cet article explore la…
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#Cheveux Masculins#Coiffure#Densité Capillaire#Différences Culturelles#Greffe de Cheveux#Influence des Célébrités#Lignes Capillaires Naturelles#Préférences Esthétiques#Résultats Adaptés à l&039;Âge#Solutions contre la Perte de Cheveux
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dans un couple, l'un au moins doit être fidèle, de préférence l'autre
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L'automne et l'hiver sont des périodes idéales pour les musées, les expositions et les vernissages. De préférence suivi d'une promenade et d'un café. Ensuite, vous vous sentez vraiment bien.
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La Mode nationale, no. 2, 12 janvier 1907, Paris. Costume de promenade. Bibliothèque nationale de France
Toilette de promenade pour jeune femme ou jeune fille; gros lainage écossais, quadrillé largement de fils noirs sur fond mélangé de blanc, de vieux rouge et de vieux bleu de plusieurs tons. Au bas de la jupe, biais doubles arrondis devant. La jupe-corselet est biaisée devant et couturée. Boléro de drap bleu dans le ton, garni de biais écossais et de boutons de velours. La manche ample est resserrée dans un poignet auquel s'ajoute un parement écossais. Les biais du boléro se font de préférence en velours ou en panne assortis de tons; c'est plus coquet que le gros lainage; les pochettes sont en velours vieux rouge bordées de bleu. (Voir le dos.)
Walking ensemble for young women or girls; heavy Scottish wool, widely squared with black threads on a mixed background of white, old red and old blue of several tones. At the bottom of the skirt, double rounded bias front. The corselet skirt is biased at the front and seamed. Blue cloth bolero to match, trimmed with Scottish bias and velvet buttons. The loose sleeve is tightened into a cuff to which is added a tartan facing. The bias of the bolero is preferably made of velvet or panne in matching tones; it's more stylish than heavy wool; the pockets are in old red velvet bordered in blue. (See back.)
Matériaux: 4m,50 de lainage écossais; 2m,50 de lainage uni; 1m,50 de velours écossais.
Chapeau de feutre bleu, très garni de velours écossais.
Blue felt hat, heavily trimmed with Scottish velvet.
#La Mode nationale#20th century#1900s#1907#on this day#January 12#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#bibliothèque nationale de france#dress#plaid#devant et dos
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les votants rn, ou du moins une partie conséquente d'entre eux, sont racistes. il ne faut pas faire passer leur vote pour un vote de colère ignorante et les infantiliser : les gens savent. c'est pas faute de le répéter depuis la création du parti. ce qui est vrai, c'est que la notion même de racisme ait perdu de sa charge tabou, bien aidée par le traitement médiatique des immigrants. dédiabolisation.
néanmoins, je choisis de croire que ce racisme n'est pas intrinsèque ou irrémédiable.
le racisme, c'est une grille de lecture qui permet de se rassurer ("au moins je ne suis pas..."), de se conforter dans l'idée qu'on est pas en bas de l'échelle sociale et de trouver une explication à ses problèmes (la dégradation des services publiques : "préférence étrangère", incompatibilité des valeurs avec notre société...)
alors comment fait-on pour convaincre quelqu'un de ne plus être raciste ?
déjà, c'est injuste. on doit faire un travail de compréhension et d'empathie auprès de personnes qui ne nous le rendent pas. honnêtement j'ai eu une longue période de colère (5 étapes du deuil tmtc) mais après la colère vient la volonté de faire quelque chose.
il faut aller parler parler aux gens, sur le terrain, dans les petits villages et les petites villes, aller au contact, faire du socialisme local, informer informer informer. travail de fourmi. travail nécessaire.
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Mayotte
Un tiers de la population est sans papiers. Seule la moitié des habitants est française (ayant droit aux aides). Les statistiques concernent les habitations cadastrales (très minoritaires), et on sent le déni colonial partout dans les analyses journalistiques.
À Mayotte, on est dans les affres les plus extrêmes de la République. Une population blanche et assimilée, privilégiée de fait, utilise au quotidien l’avantage d’une population sous-payée qui vit sous les radars et au rabais, du fait de logements informels, de salaires au noir et d’une volonté de se faire oublier.
Ces populations échappent donc à toute règle, qu’elle soit sanitaire ou locative. Les propriétaires des parcelles indiquaient certainement qu’elles étaient squattées, mais les logeurs et les loyers existent partout ! Les propriétaires fonciers touchaient-ils une part des loyers (vu la densité de masures au mètre carré, la somme globale doit être conséquente) ? On ne le saura pas in fine, mais cet argent partait forcément quelque part… On peut imaginer, en revanche, la collusion tacite des autorités et les corruptions administratives et policières qui permettent à ces situations de perdurer. On les constate jusqu’en métropole, c’est dire...
Les revendications de ces travailleurs n’ont jamais abouti qu’à des sanctions pénales, des expulsions préfectorales, qui ne peuvent aboutir vu les relations avec les Comores. En revanche, les cercles mafieux, les marchands de rêve et les proxénètes, eux, échappent à toute mise au pas. Mais pas les soi-disant "meneurs politiques" des émeutes revendicatrices et donc démocratiques. Ces derniers se retrouvent déportés et neutralisés d’une manière ou d’une autre.
Et c’est là que la vase de la politique postcoloniale resurgit sous la fine pellicule de ciment tout frais. On retrouve du Bob Denard, des juntes mafieuses islamistes, des retournements d’ennemis et des sabordages d’anciens alliés. Cela ressemble à d’autres situations coloniales, mais celle-ci est tardive (1975) et tellement éloignée. Et elle concerne un président encore connu : Giscard.
Comme en Kanaky ou à Mururoa, le lointain révèle nos parts les plus sombres et les salauds les plus aventuriers de nos gouvernements. Il faut bien comprendre toutes les opérations secrètes des années 1975-1980, et celles qui vont suivre, pour estimer les soi-disant "indépendances" des pays et territoires sous l’emprise française.
Cela se traduit dans l’imaginaire et la création par la vague des romans d’espionnage des années 1980, notamment la série SAS. Gérard de Villiers avait ses entrées chez les salauds opérationnels. "Mais pas que" ! En reprenant une enseigne de transport aérien (au départ), puis sa concurrente Air France, en mélangeant les symboles du luxe petit bourgeois (Cognac Gaston Delagrange VSOP, Seiko Quartz pour SAS) et les attributs aristocratiques, il magnifiait un sexe de droite (souvent tarifé ou conditionnel, pornographique, éjaculateur précoce, violent, souvent abusif ou torturant).
Ces récits vantent les espions, barbouzes, agents secrets et leurs gadgets électroniques, mécaniques, connectiques, leurs poisons et leurs armes. Tout cela nous ramène à l’actualité explosive et à la tech meurtrière, qui a toujours la préférence de nos dirigeants. (Les années 1980, c’est le gadget partout et la poudre de perlimpinpin dans le nez ou dans les veines, pour mémoire.)
La France reproduit dangereusement ses dérives postcoloniales et ses dénis d’ingérence et de manipulation. Une transparence sur les actions passées, un enseignement des pratiques réelles et des faits permettraient de ne pas projeter toute une population métropolitaine dans des fantasmes républicains d’une France réifiée.
Non, De Gaulle n’était pas un "émancipateur" des peuples colonisés par leurs indépendances, et surtout pas par leur assimilation citoyenne. Il visait "l’intérêt supérieur de la nation", qui se confondait depuis l’avènement de la République avec celui des grandes compagnies marchandes coloniales.
Non, Giscard ne souhaitait pas l’accès des peuples colonisés à une revendication "majoritaire" en leur sein, quelle qu’elle fût. Les gouvernements successifs ont toujours privilégié l’accès aux ressources, la mainmise économique et les intérêts particuliers, ceci par des opérations secrètes, des manœuvres politiciennes et économiques. Ce sont des faits qui méritent l’éclairage pour une compréhension des situations catastrophiques qui s’enchaînent et de l’incurie des services de l’État aux confins de ses territoires.
On rappelle que ces services sont en mesure d’affréter à prix d’or un jet dans l’heure pour acheminer un tout nouveau Premier ministre vers ses obligations cumulatives d’élu, d’où il se permettra d’allouer une somme dérisoire, mais prélevée sur les fonds publics, à l’aide humanitaire pour Mayotte.
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Idée de plugin avec @brunswicked : avoir un panneau de configuration pour des préférences visuelles et de contenu
Visuel : augmenter le texte de la page, arrêter les animations (les gifs?), meilleur contraste, ... Des principes du plugin userway mais plus adapté aux forums
Contenu : définir des thèmes ou des mots sensibles qui seront automatiquement flouté? On éviterait ainsi la pollution de mot trigger sur chaque post et chacun définirait ses limites
Ces paramètres seront propres à chaque personne qui créer son propre safe space?
En attendant -> tutoriel pour créer des balises de trigger
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LA TAPENADE... LA REINE DES APÉRITIFS DE L'ÉTÉ !
• Une ou deux gousses d’ail au choix !
• Deux cuillerées de Câpres et six filets d’Anchois.
• Ajoutez deux cents grammes d’Olives vraiment noires.
• Mélangez maintenant avec une huile d’Olive bien fruitée.
• Et puis mixez le tout, soyez bien attentifs, le tout doit être lisse et de couleur havane !
Et le jus d’un citron ? Des herbes de Provence ? Un peu ! Si vous trouvez le mélange trop fade !
Servez avec du pain à votre convenance, fraîchement grillé, de préférence.
En accompagnement ? Un vin blanc ou rosé bien frais !
Et après ? Fermez les yeux, dégustez...
Entendez-vous les Cigales, c'est la Provence qui vous parle !
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Le week-end et le temps gris me donnent envie de faire des gâteaux. J'aime l'odeur sucrée qui envahit la maison, cette invitation à la gourmandise, celle que connaissaient nos arrière-grands-parents et les leurs. Les gâteaux faits maison, simples, sans chichis, naturellement bons, auront toujours ma préférence.
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LANCEMENT DU SERVEUR DISCORD
Si t'as ouvert ton calendrier de l'avent et que le chocolat d'aujourd'hui était fourré à la noix de coco (eurk), on a du réconfort pour toi !
Pourquoi lancer un serveur Discord ? - D'abord pour se rencontrer, tous ensemble. Prendre la température, apprendre à se connaître, partager une première fois, pourquoi pas s'entraider pour créer quelques personnages, se lier, se conseiller, etc… - Nous sommes actuellement bien avancés dans le processus de création, mais peut-être que sur les dernières petites choses à fignoler nous aurions besoin d'un peu d'aide, ou simplement d'avis, de conseils, connaître vos préférences, etc… Les avantages à rejoindre le serveur ? - Participer à l'élaboration des derniers petits points sur la fondation du forum - Connaître l'avancement de la construction un peu plus en détails, et avoir la primeur des informations Il sera possible aussi d'y réserver un faceclaim, néanmoins votre présence sur le serveur n'est pas obligatoire. Pour cela, vous pouvez nous envoyer un message sur tumblr pour effectuer une réservation.
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saga: Soumission & Domination 356
24h du Mans moto-2
17-04, soir : Comme nous arrivons dans la cour du château, nous rejoignent les derniers motards du groupe. Marc arrive avec Éric et Cédric en passager et Daniel. L'écurie s'étoffe d'une CBR1000RR, du GSX R1000 que j'ai offert à Éric et du GSX R 750 de Daniel. Juste avant la pluie !
Ils ont fait la route ensemble et nous disent avoir rencontré beaucoup d'autre moto allant vers le circuit et pas mal de collègues de nos deux gendarmes.
Je fais la présentation de notre logement du WE et de ses commodités. On se met à l'aise. Les combis sont suspendues un peu partout et comme les autres nous restons en shorty, boxer ou slip selon les préférences de chacun.
De la piscine nous arrivent des cris et des hurlements. Quand on arrive, c'est pour tomber sur une bataille dans l'eau. Bien sûr tout le monde est à poil. Le temps de laisser le peu qui nous restait sur le corps et nous nous joignons à l'échauffourée.
Ça passe au stade " sexe " alors même que personne n'a encore gagné. Les nouveaux n'ont plus l'air d'être fatigués. Ils se lancent dans la mêlée. PH et Ludovic reviennent des chambres avec les kpotes, le gel et du poppers.
Je me régale avec les 23x6.5 du Lad motard. Les gendarmes sont appréciés aussi tout comme Éric et son black mamba.
La partouze bat son plein quand Nicolas (notre hôte) arrive voir si nous avons besoin de rien et vers quelle heure nous comptions dîner. Vu le bruit qu'on fait, il ne pouvait se tromper sur nos activités, donc il devait vouloir participer ! C'est d'ailleurs ce qui lui arrive. Près de l'entrée, Frank était en train d'enculer Jules aux côtés d'un " médecin " en train de démonter le cul de Kamal et d'un de ses confrères celui d'Arnaud. Ils se sont décollés le temps de l'attraper et de l'envoyer tout nu au centre de la mêlée. Sa grosse bite attire Cédric habitué aux gros calibre (rappel : c'est le régulier d'Éric). Il se fait donc bouffer la queue jusqu'à l'os, Cédric en mode " garçon en manque ".
Je me reconcentre sur mon cavalier. Quand il n'est pas en train de chevaucher un étalon, ce sont les 184CV de son ZX10R débridé. Il sait maitriser sa monture et quand il enfonce la totalité de sa bite, il obtient mon obéissance totale !
Ludovic passe me voir entre deux plans. Il me roule une pelle et me dit de bien profiter avant de trouver Marc sur son chemin. Il se fait bloquer, retourner et enculer tout en se faisant pousser sous moi (je suis en levrette). Il embouche ma bite raide et est excité de l'intérieur alors que j'embouche son gland.
Pas besoin de bouger pour nous deux. Ce sont les coups de rein de nos deux enculeurs qui activent nos pipes. Quand Marc tire les jambes de Ludovic pour mettre ses chevilles sur ses épaules, il m'enfonce plus profond sa queue au fond de ma gorge. Trop bon ! Nous nous régalons de nos glands respectifs et de la mouille qui en coule. Quand on se met à juter c'est l'apothéose. C'est je pense aussi ce que pense nos enculeurs que l'on sent se libérer dans nos entrailles (enfin kpote chez moi).
Quelques minutes pour retomber sur terre.
Petit coup d'oeil panoramique. Certains ont déjà juté comme nous mais il reste un petit groupe qui n'en a pas terminé. Je m'approche alors que mes comparses prennent la direction des douches. En fait c'est un mini gang-bang. Nicolas est sur le dos en train d'attendre les jets de spermes des 6 mecs debout au-dessus de lui.
Il ferme les yeux quand ça se met à pleuvoir sur lui. Il reste quelques minutes sous cette couverture avant que les participants l'aident à se relever sans glisser. Il reçoit autant de tape dans le dos que de mecs encore présent. Il apprécie le respect que ça sous-entend. Ce n'est pas parce qu'il s'est fait couvrir de sperme après s'être pris plusieurs mecs dans le cul qu'il n'est pas estimable pour autant.
Il nous accompagne aux douches puis nous précède à la salle à manger. Quand nous y arrivons, il a organisé un grand buffet avec plats chauds.
Dans une ambiance assez bruyante, nous commençons à nous restaurer. Les entrées sont simples et bonnes, principalement constituées de crudités et de charcuteries locales. Les rillettes du Mans sont délicieuses !
Nous voyons pour la première fois son cuisinier alors qu'avec lui Nicolas amène les plats chauds. Je comprends pourquoi il nous l'avait caché ! Le mec doit avoir dans les 20/25 ans, carré de gueule et d'épaules, ses cheveux courts et ses boucles d'oreilles et surtout son cul rebondi moulé dans un jeans trop petit, attirent sur lui les sifflets de ma petite troupe.
Ils nous présentent des cotes de boeufs de 6 ou 7 cm d'épaisseur, grillée sur le dessus embaumant les herbes. Une pierre chaude est là pour recuire si quelques un le préféreraient.
Quand il tranche, l'eau nous coule de la bouche. Elles sont grillées en extérieur et le centre est bleu mais chaud. A part Kamal qui lui demande de passer sa tranche sur la pierre, nous nous régalons de sa cuisson parfaite. Là aussi notre hôte privilégie les élevages locaux. Les 6 cotes disparaissent et il ne reste plus que les os ! Le cuisinier est un peu scié. Il y avait presque 4 kg de viande ! Ça n'empêche pas le plateau de fromages de se faire dévaster à son tour.
Il est évident que l'aide culinaire de Nicolas a reçu plus d'une invitation pour le reste de la soirée. Il nous éconduit gentiment arguant du fait qu'il était hétéro et qu'il avait une copine. Evidemment sa sortie soulève un tollé général. Comme si le fait d'avoir une amie, de lui faire l'amour pouvait l'empêcher de prendre du plaisir avec nous.
Entre notre journée sur le circuit à piétiner, les trajets en moto de certains, la touze et le repas, nous sommes morts de fatigue. On se répartit dans les chambres et les lits au petit bonheur la chance.
18-04 :
Je me réveille dans les bras d'un des gendarmes. Je ne suis pas seul puisqu'avec nous dans ce grand lit dort encore Ludovic.
Je le réveille et nous prenons une douche vite fait. Descendus dans la salle commune nous retrouvons la moitié du groupe en train de petit déjeuner. Ils sont déjà bien réveillés et jouent un peu à chauffer le cuisinier.
Nous ne sommes pas pressés puisque le départ n'a lieu qu'à 15h et que le ciel a du mal à se dégager. On discute avec Nicolas pour savoir si nous rentrons diner ou pas.
Après échanges d'avis, il est décidé que non mais qu'ils nous préparent un en-cas froid pour dans la nuit.
Habitués à des invités anglais, le petit déjeuner est conséquent et nous permettra sans problème d'attendre le soir. Avec un sandwich quand même entre temps !
La deuxième moitié du groupe arrive, les yeux encore collés de sommeil. Certains sont encore en boxer et ils sont bandants mal réveillés comme ça. Ils sont condamnés à faire le tour de la table pour les bisous. Quelques langues fraîches approfondissent ces baisers. Mal réveillés mais les dents brossées quand même ! Cédric retrouve les genoux de son Éric, tout comme Arnaud qui se colle à son Léo.
On discute de la journée à venir. Les plus impatients d'y aller sont évidemment ceux qui n'y sont jamais venus. Ils veulent voir les courses qui précédent le départ. Donc on presse un peu le mouvement.
Douches rapides pour ceux qui en ont besoin. On se glisse dans nos combis. Éric me fait la réflexion qu'on va encore attirer des remarques homophobes. Je nous regarde avec plus d'attention. Effectivement, on est quelques-uns peut être un peu trop " moulés " par le cuir. Tant pis pour les cons.
On quitte nos hôtes et fonçons vers le circuit. Notre petite troupe conflue avec d'autres motards en provenance de Paris. Pour plus de pratique et de sécurité, j'ai pris pour tous des entrées pour un parking gardé à l'intérieur du circuit. Du coup on y laisse les motos et les casques.
Il fait suffisamment chaud pour ouvrir nos combis. Ludovic retire même son t-shirt et réenfile son blouson. Il donne des idées à d'autre et on est la moitié à laisser deviner nos pecs et nos abdos sculpturaux. Comme pas un n'arbore de pilosité, ça attirera encore plus les remarques " déplacées ". On se faufile jusqu'en face des stands pour voir le départ des side-cars. On y reste le temps de les voir passer plusieurs fois puis nous déambulons le long du circuit.
Les néophytes sont surpris de voir que certains motards dorment sur les talus qui bordent la piste. En fait la plupart cuvent déjà l'alcool qu'ils ont ingurgité sans modération.
Après la coupe des 125cc, Marc nous offre à boire. Piétiner pendant 2h30 ça donne soif ! On commence gentiment avec des demis. On partage quelques barquettes de frites en attendant de manger plus tard.
A partir de là, on se disperse. De toutes les façons tous nos smartphones contiennent la totalité des numéros de téléphone des mecs présents et puis on se donne un rendez-vous pour diner ensemble. Marc part avec Éric et Cédric. Je reste avec PH, Ludovic les 2 gendarmes et Jules. On traine dans le village en attendant le départ. Du coup quand il faut se placer, les abords du circuit sont blindés. Moi perso je m'en fous un peu mais Jules et Ludovic sont un peu déçus. En haut des escaliers, entre deux tribunes sur la ligne des stands, des spectateurs devant nous nous bouchent la vue.
G1 attrape Jules et le balance sur les épaules de G2. Je m'accroupi et dis à Ludovic de faire pareil. Il faut que PH le pousse mais une fois que je suis redressé, il domine la foule et voit la piste. Heureusement qu'il n'a pris que 5Kg depuis qu'on s'entraine ! Je peux tenir un bon moment ses 80Kg sur mes épaules. Il reste perché le temps du tour de chauffe et du départ puis glisse au sol. Instinctivement quand il est à terre, il me tourne et me roule une pelle, juste pour me remercier. Evidemment ça déclenche une remarque homophobe. Je me tourne pour voir de qui elle émane.
Un mec 30/35ans moche comme un cul ! La réponse est rapide : " rassure toi, avec ta tête tu n'as aucune chance de m'attirer ". Eclats de rires des mecs qui nous entourent, le pauvre type part plus gêné que nous. Un " mon héros " de la part de Ludovic qui me tombe dans les bras sur un registre mélodramatique achève l'entourage.
Je commence à avoir faim et je ne suis pas le seul. On s'appelle et nous déjeunons tous ensemble. Hot-dogs frites, nous callent pour quelques heures.
Puis on repart dispersés après avoir confronté notre début d'après-midi. Marc, au récit de notre mésaventure, nous dit d'être plus discrets quand même.
Refus de notre part, on ne va pas donner raison aux cons quand même ! Et puis ce n'est pas comme si nous ne savions pas nous défendre.
Avec PH je recherche un petit moment la chapelle. Alban nous a signalé qu'un sculpteur du milieu 20ème en avait réalisé les piliers. On rame un peu car cette dernière n'est plus à l'endroit originel justement nommé " virage de la chapelle ". Elle a été reconstruite de l'autre côté du circuit. Photos, vues générales puis en détails et envoie à l'artiste.
Remerciements immédiats avec demande de prise en gros plan de certains détails particuliers. On passe bien 1h à ces bêtises mais ça fait plaisir à Alban.
Retour dans la foule, et oui la chapelle n'attire pas beaucoup de motards !
On retrouve sur la passerelle Dunlop Frank, Louis, Arnaud et son Léo qui viennent en sens inverse. On se joint à eux et on va trainer les " boutiques ". Les " cuirs " sont de qualité médiocre. On regarde beaucoup mais il n'y a pas grand-chose qui retient mon attention.
Je m'arrête dans l'une d'elle plus pour son vendeur que pour sa marchandise. Le mec est mignon, un peu petit mais une bonne tête, boucle d'oreille à droite comme moi et un torse large mis en valeur par un t-shirt deux tailles trop petites.
Il me demande ce que je cherche et, avant que je n'aie eu le temps de répondre, m'assure qu'il a surement ça en boutique. Je le prends au mot et lui dis que c'est le cas puisque son petit cul outrageusement serré dans son jeans était dans la boutique. Il rit jaune mais entre dans le jeu.
Lui : " désolé vous êtes tombé sur le seul article qui n'est pas à vendre car déjà vendu ".
Moi : " ce doit être négociable si le montant de mes achats est conséquent ? "
Lui : il me déshabille du regard, j'ai toujours le haut de ma combi ouverte sur mon torse musclé et glabre et me sort un " faut voir ".
Je fais le tour de la boutique les autres sont entrés aussi et encombrent les deux allées.
J'avise un T-shirt noir logoté -24h du Mans moto 2015-. Je lui demande conseil pour la taille et lui demande si ça se porte aussi près du corps que le sien.
Réponse du vendeur " bien sûr ". À mon " OK je veux voir ", il n'hésite pas retire le sien et enfile celui que j'ai repéré. Il reste suffisamment longtemps torse nu pour que j'admire son torse large et imberbe aux pecs terminés de deux gros tétons dont un percé d'un anneau inox. Une fois qu'il a enfilé le nouveau T-shirt, je m'approche et passe la main sur le tissu " pour me rendre compte ". Il me laisse faire. En essayant de tester l'épaisseur du tissu, je le pince avec difficulté (il est sec le mec !) et du coup attrape un morceau de chair entre mes doigts. Frisson du propriétaire et en baissant les yeux, je vois sa braguette bien gonflée.
Il s'écarte et fouille pour me chercher un exemplaire et me dit de l'essayer. Je me défais du haut de ma combi qui tombe bas sur mes hanches dévoilant la totalité de mon torse nu et la ceinture d'un bottomless de chez Addicted. Quand je lève les bras pour enfiler le vêtement trop petit, ma combi descend un peu plus dévoilant cette spécificité de mon shorty. Il me dit que je suis bien foutu et à son tour il essaye d'attraper le tissu et pince mon téton libre (de piercing). Je ne peux que laisser échapper un gémissement compromettant. Il tire un peu le bas du t-shirt pour l'amener à ma ceinture et ce faisant touche mon sexe remonté vers mon nombril. Il ne peut plus douter que je bande ! Les copains bouchent toujours les entrées et font que nous sommes tranquilles au fond de l'échoppe. J'attrape son petit cul de mes deux mains et le plaque contre moi en cherchant ses lèvres. Il se laisse faire et je peux malaxer son boule. Je sens au comportement de sa langue dans ma bouche qu'il est prêt à aller plus loin. Je lui dis que c'est cool et que les mecs qui remplissent ses allées sont des potes.
Je m'arrange de sa boucle de ceinture et des boutons du jeans pour pouvoir le descendre sous ses fesses. Mes doigts s'aventurent alors entre les deux masses musculaires et trouve une rondelle accueillante. Chaud le mec, pas de slip ! Je me kpote et dans le même mouvement, je le retourne et enfonce ma bite entre elles, puis dans son cul. Là, c'est son tour de gémir. Heureusement que les motos tournent sur le circuit tout près.
J'entends plusieurs fois " le vendeur est pris, vous pouvez revenir plus tard ? ". J'accélère le tempo tout en faisant attention qu'il " monte " en même temps que moi.
Je le fais juter contre la toile du fond et moi, sous la contrainte des spasmes de sa rondelle, je rempli ma kpote.
Réajustement. Je lui dis que je garde le t-shirt mais qu'il m'en faut 22 autres avant de corriger le chiffre à 24 en pensant à notre hôte et son cuisinier.
PH me rejoint et on se roule un patin. Je vois les yeux du vendeur s'ouvrir tout grand. PH le rassure et lui dit qu'il n'est pas jaloux et que j'ai eu la chance d'être le premier à le voir. Sous-entendu, ç'aurait pu être lui.
Avec mes amis présents, nous estimons les différentes tailles à approvisionner. Comme je ne veux pas m'embarrasser, il nous garde le paquet jusqu'à sa fermeture.
Quand nous viendront le chercher, on trouvera nos achats mis dans un petit sac à dos offert par la maison. Bon, c'est vrai qu'après l'avoir défoncé, je n'avais pas eu le coeur de lui demander une ristourne.
Jardinier
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Ugly Sweater
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Le bonheur s’attache aux plus fragiles aspects, et naît, de préférence, des choses minimes et du vent.
Robert Brasillach- (L’Enfant de la nuit)
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