#je me régale
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Writevember jour 5 - La suite de "Le châtelain"
“Alors ? La livraison s’est bien passée ?” lui demande son père lorsqu’Emilie gare la camionnette dans la cour de la boulangerie.
Elle claque la porte du véhicule, et grimace en voyant les traces de terre maculant les portes arrière. Rouler en rase campagne, ça ne passe pas inaperçu…
“Ça va, je suppose. On a failli se perdre, le GPS déconnait, mais on a fini par trouver et livrer à temps les viennoiseries,” répond-elle.
“Ah, vraiment ? C’est vrai que je n’ai jamais utilisé de GPS pour aller jusqu’au château,” marmonne-t-il.
“Tu as déjà déposé le fils Dubois ?” lui hurle sa mère depuis l’intérieur de la boutique.
“Oui, maman, c’était sur le chemin, donc j’ai laissé Chris devant chez lui,” grommelle Emilie tout en déchargeant les caisses vides de la camionnette.
“Eh beh, il pourrait au moins payer le plein…” rouspète sa mère tout en lui tenant la porte ouverte.
“Sarah…” intervient son père.
Emilie se contente d’un soupir.
Sa mère n’a jamais apprécié Christopher - quand bien même ils se connaissent depuis la primaire. Elle le considère comme une “mauvaise influence” - et peut-être n’a-t-elle pas complètement tort, puisque les choses les plus stupides qu’elle a faites ont souvent eu lieu en compagnie du jeune homme.
Ceci étant, si Chris a une mauvaise influence sur Emilie, c’est réciproque…
“Mais assez parlé de ce petit teigneux, je suppose que tu as rencontré Louis ? Alors ?” reprend sa mère.
“Le châtelain ? Oui maman, ne t’inquiètes pas, la livraison s’est bien passé, je n’ai pas fait honte à la boulangerie - “
“C’est pas ça que je te demandes ! Qu’est-ce que tu penses de lui ?”
“Euh… Il a l’air sympa ?”
“Et..?”
“De quoi, et ? Qu’est-ce que tu - Maman !” s’exclame soudain Emilie lorsqu’elle comprend où sa mère veut en venir. “Tu peux arrêter d’essayer de me caser avec tous les types du coin ?!”
“Roooh, tout de suite ! Et puis Louis est un jeune homme bien comme il faut, tu sais, et avec un bon pedigree, ce qui est un avantage non négligeable de nos jours.”
“Chérie, tu parles de Louis comme d’un chien,” soupire son père - sans pour autant décourager sa femme de chanter les louanges du châtelain à leur fille dans l’espoir d’un bon mariage.
Emilie lui jette un regard noir pour cette trahison - mais son père se contente de hausser les épaules. De toute évidence, il est complice et impliqué dans le plan ridicule consistant à envoyer Emilie faire des blind-date tous les weekends.
“N’empêche, tu devrais y réfléchir ! Il passe en ville de temps en temps, il suffirait que tu te débrouilles pour l’accoster, lui proposer un verre - ou non, tiens, du pain frais plutôt ! Le chemin pour atteindre le cœur d’un homme passe par son estomac.”
“Ta mère n’a pas tort.”
“Papa, ne t’y mets pas toi aussi ! Et c’est hors de question que j’ailles draguer le châtelain comme ça !” proteste Emilie.
“Et pourquoi pas, qu’est-ce qui ne te plaît pas chez lui ?”
“Il porte une alliance, et je n’ai pas particulièrement envie de jouer les briseuses de couple,” tacle Emilie, se souvenant très bien de la bague en or sertie de pierres précieuses qui ornait l’annulaire de Louis lorsqu’elle lui a serré la main.
“Oh,” répond son père, l'air soudainement peiné.
“Ah,” ajoute sa mère, comme si elle venait de se rappeler de quelque chose.
“Je sais que tu es désespérée d’avoir enfin des petits-enfants, mais de là à me jeter dans les bras d’un homme marié, quand même…”
“C’est vrai qu’elle ne peut pas être au courant, comme elle vient de rentrer…”
“Hmmm, effectivement je n’ai pas pensé à la prévenir…”
“Prévenir de quoi ? C’est quoi ces messes basses ?” grommelle Emilie en voyant ses parents s’échanger des regards indécis.
“Eh bien…” commence sa mère.
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“Alors, ça s’est bien passé la livraison au château ?” lui demande sa mère lorsque Christopher déverrouille la porte arrière. “Tiens, tant que t’es là, aide moi à bouger ça,” ajoute-t-elle avec un geste en direction d’un fût de bière.
“Ouais, on a failli se paumer en cherchant le château entre deux bleds du coin, mais sinon mission accomplie,” répond Chris en s’exécutant - et grognant quand il se rends compte que le fût en question est plein. Et donc bien lourd.
“C’est vrai que c’est pas très bien indiqué par ici. Je crois qu’il y avait un panneau, avant, mais un crétin s’est emplafonné dessus l’année dernière et la mairie ne l’a toujours pas remplacé. Pose-le là, ça sera bon.”
Avec un dernier grognement, Chris hisse le fût sur une étagère dans la zone de stockage.
“Tu veux un truc à boire ?” lui demande sa mère.
“J’ai le droit à de l'alcool ?”
“Seulement si tu payes.”
“Evidemment. Dans ce cas, file-moi un Schwepps,” répond-t-il.
Sa mère sort une bouteille du réfrigérateur et un verre propre, et lui sert alors qu’il s'assoit au bar.
Il prends une gorgée, appréciant la boisson fraîche et les sensation des bulles -
“Et donc, Louis ? Pas mal, hein ?” questionne sa mère avec un regard appuyé.
- Et s’étouffe promptement avec son Schwepps.
“Respire,” ricane sa mère en lui assénant une claque dans le dos.
“D’où est-ce que tu… C’est quoi c’te… Nan mais ça va pas ?” bredouille finalement Chris après une dernière quinte de toux.
“Bah quoi, j’ai rien dit de mal ?”
“Ben t’a rien dit de bien non plus.”
“Il est poli, doit avoir un petit pactole pour gérer son château, et en plus il n'est pas désagréable à regarder… moi je dis bingo,” argumente sa mère.
“T’as qu'à aller tenter ta chance, dans ce cas…”
“Ah, si j’avais vingt ans de moins ! Ou même dix, tiens, je suis toujours très fraîche, je suis sûre que j’aurais pu avoir ma chance même avec un beau jeune homme comme ça il y a dix ans,” soupire-t-elle.
“Euh… Je plaisantais, hein ! Vas pas me ramener un type qui aurait l’âge d’être ton fils comme nouveau beau-père, ni moi ni les frangins ne seraient d’accord !” panique Chris.
“C’est pour ça que je vais pas tenter ma chance. Mais toi tu pourrais tenter la tienne !”
“Tu ne sais même pas si j’ai une chance - “
“Je sais pas s’il est gay, mais je sais de source sûre qu’il a déjà eu une relation sérieuse avec un homme. Et même si clairement, il mérite mieux, en ramenant Louis à la maison tu relèverais le niveau affligeant des partenaires auquel toi et ton frère m’ont habitué jusque-là,” bougonne-t-elle.
Christopher n’a rien à répondre à cela ; pour le coup, sa mère a raison. Ni Chris ni Jean n’ont fait preuve de beaucoup de goût sur leurs (quelques) relations qui ont été présentées à leur mère jusqu’à maintenant.
Quant à ceux qui ne sont même pas allés jusqu’au dîner en famille… Moins on en parle, mieux il se porte.
“Alors c’est quoi ton plan, au juste ? M’envoyer avec une bouteille de pinot toquer à sa porte et espérer qu’il trouve ça mignon ?” tente-t-il de raisonner.
“Ah non, il boit pas de pinot ! Le seul alcool que je l’ai vu consommer c’est du champagne à la soirée d’élection du maire. Sinon je suis presque sûr que ses commandes habituelles sont pour les visiteurs du château. Tu auras plus de succès avec un bon jus de pomme local, ou quelque chose comme ça.”
“Ah parce qu’en plus c’est un de tes clients ? Tu es en train d’essayer de me caser avec un de tes clients ?!” râle Christopher. “Non mais et puis quoi encore - “
“T’écoutes ce que je dis, ou bien ? C’est pas un poivrot comme les autres cons du coin, donc oui, j’aimerais bien te caser avec lui ! Dieu sait que t’en trouveras pas un comme ça par tes propres moyens.”
“D’abord, merci du vote de confiance, et ensuite, eh bah c’est mort de toute façon. Quelqu’un lui as déjà passé la bague au doigt, à ton bon parti,” réfute Christopher - il avait noté la belle bague que Louis portrait lorsqu’il lui as serré la main.
Cela a le mérite de faire taire sa mère - mais son expression n’est pas celle de quelqu'un embarrassé. Plutôt triste.
“...Qu’est-ce que j’ai dit ?” marmonne Christopher avec un regard suspicieux.
Le regard de sa mère se perd dans le vide pendant un instant -
“Il y a quelque chose que j’ai oublié de te dire au sujet de Louis…”
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“Il n’est plus marié ; il est veuf.”
#my writing#writevember#Ecriture Nov 2024#ocs#en vrai cet AU de châtelain est assez marrant à écrire#je me régale#Selon si j'écris encore pas mal cet AU je referais peut-être un Masterpost au propre à la fin du mois#de préférence avec un peu de correction/édition par un tiers...
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je crois que j’aime plus justine triet, les photos d’elle en mode branlos et sa désinvolture que ses films (et j’adore ses films)
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Petit croquis colorié d'un grand moment pour la langue française sur QSMP. ( Pas du tout fait à la dernière minute pour le "qsmp language day", du au fait qu'il n'y a pas assez de Français ici et qu'il me fallait une excuse )
Le contexte si jamais :
#On est la hein#Première fois que je dessine q!maxo#j'espère que cette 1er représentation régale mes q!maxo enjoyers /j#qsmp#qsmp maximus#qsmp language day
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franchement, les tous premiers chapitres des limites obscures sont plus que médiocres, mais le reste du bouquin... mwah. Je comprends la décision d'Erik L'Homme d'avoir touché le moins possible aux manuscrits de Pierre Bottero, mais waaah les premiers chapitres des limites obscures de la magie sont tellement bof........ la personnalité d'Ombe dedans est différente de l'Ombe du reste du bouquin :(
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sorry about the french on main but je suis en train de lire un yaoi et y'a deux bougs qui s'engueulent et se traitent respectivement de "bite volage" et "homo perfide" je vais chialer
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Je me régale de voir et regarder ce si beau garçon dans son si délicieux slip blanc!
#delicious briefsguys#male beauty#beau mec sexy#sexy briefs#gay underwear#white briefs#tightywhities#delicious bulge#profil#beautifull buttocks#beautifull crotch
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saga: Soumission & Domination 356
24h du Mans moto-2
17-04, soir : Comme nous arrivons dans la cour du château, nous rejoignent les derniers motards du groupe. Marc arrive avec Éric et Cédric en passager et Daniel. L'écurie s'étoffe d'une CBR1000RR, du GSX R1000 que j'ai offert à Éric et du GSX R 750 de Daniel. Juste avant la pluie !
Ils ont fait la route ensemble et nous disent avoir rencontré beaucoup d'autre moto allant vers le circuit et pas mal de collègues de nos deux gendarmes.
Je fais la présentation de notre logement du WE et de ses commodités. On se met à l'aise. Les combis sont suspendues un peu partout et comme les autres nous restons en shorty, boxer ou slip selon les préférences de chacun.
De la piscine nous arrivent des cris et des hurlements. Quand on arrive, c'est pour tomber sur une bataille dans l'eau. Bien sûr tout le monde est à poil. Le temps de laisser le peu qui nous restait sur le corps et nous nous joignons à l'échauffourée.
Ça passe au stade " sexe " alors même que personne n'a encore gagné. Les nouveaux n'ont plus l'air d'être fatigués. Ils se lancent dans la mêlée. PH et Ludovic reviennent des chambres avec les kpotes, le gel et du poppers.
Je me régale avec les 23x6.5 du Lad motard. Les gendarmes sont appréciés aussi tout comme Éric et son black mamba.
La partouze bat son plein quand Nicolas (notre hôte) arrive voir si nous avons besoin de rien et vers quelle heure nous comptions dîner. Vu le bruit qu'on fait, il ne pouvait se tromper sur nos activités, donc il devait vouloir participer ! C'est d'ailleurs ce qui lui arrive. Près de l'entrée, Frank était en train d'enculer Jules aux côtés d'un " médecin " en train de démonter le cul de Kamal et d'un de ses confrères celui d'Arnaud. Ils se sont décollés le temps de l'attraper et de l'envoyer tout nu au centre de la mêlée. Sa grosse bite attire Cédric habitué aux gros calibre (rappel : c'est le régulier d'Éric). Il se fait donc bouffer la queue jusqu'à l'os, Cédric en mode " garçon en manque ".
Je me reconcentre sur mon cavalier. Quand il n'est pas en train de chevaucher un étalon, ce sont les 184CV de son ZX10R débridé. Il sait maitriser sa monture et quand il enfonce la totalité de sa bite, il obtient mon obéissance totale !
Ludovic passe me voir entre deux plans. Il me roule une pelle et me dit de bien profiter avant de trouver Marc sur son chemin. Il se fait bloquer, retourner et enculer tout en se faisant pousser sous moi (je suis en levrette). Il embouche ma bite raide et est excité de l'intérieur alors que j'embouche son gland.
Pas besoin de bouger pour nous deux. Ce sont les coups de rein de nos deux enculeurs qui activent nos pipes. Quand Marc tire les jambes de Ludovic pour mettre ses chevilles sur ses épaules, il m'enfonce plus profond sa queue au fond de ma gorge. Trop bon ! Nous nous régalons de nos glands respectifs et de la mouille qui en coule. Quand on se met à juter c'est l'apothéose. C'est je pense aussi ce que pense nos enculeurs que l'on sent se libérer dans nos entrailles (enfin kpote chez moi).
Quelques minutes pour retomber sur terre.
Petit coup d'oeil panoramique. Certains ont déjà juté comme nous mais il reste un petit groupe qui n'en a pas terminé. Je m'approche alors que mes comparses prennent la direction des douches. En fait c'est un mini gang-bang. Nicolas est sur le dos en train d'attendre les jets de spermes des 6 mecs debout au-dessus de lui.
Il ferme les yeux quand ça se met à pleuvoir sur lui. Il reste quelques minutes sous cette couverture avant que les participants l'aident à se relever sans glisser. Il reçoit autant de tape dans le dos que de mecs encore présent. Il apprécie le respect que ça sous-entend. Ce n'est pas parce qu'il s'est fait couvrir de sperme après s'être pris plusieurs mecs dans le cul qu'il n'est pas estimable pour autant.
Il nous accompagne aux douches puis nous précède à la salle à manger. Quand nous y arrivons, il a organisé un grand buffet avec plats chauds.
Dans une ambiance assez bruyante, nous commençons à nous restaurer. Les entrées sont simples et bonnes, principalement constituées de crudités et de charcuteries locales. Les rillettes du Mans sont délicieuses !
Nous voyons pour la première fois son cuisinier alors qu'avec lui Nicolas amène les plats chauds. Je comprends pourquoi il nous l'avait caché ! Le mec doit avoir dans les 20/25 ans, carré de gueule et d'épaules, ses cheveux courts et ses boucles d'oreilles et surtout son cul rebondi moulé dans un jeans trop petit, attirent sur lui les sifflets de ma petite troupe.
Ils nous présentent des cotes de boeufs de 6 ou 7 cm d'épaisseur, grillée sur le dessus embaumant les herbes. Une pierre chaude est là pour recuire si quelques un le préféreraient.
Quand il tranche, l'eau nous coule de la bouche. Elles sont grillées en extérieur et le centre est bleu mais chaud. A part Kamal qui lui demande de passer sa tranche sur la pierre, nous nous régalons de sa cuisson parfaite. Là aussi notre hôte privilégie les élevages locaux. Les 6 cotes disparaissent et il ne reste plus que les os ! Le cuisinier est un peu scié. Il y avait presque 4 kg de viande ! Ça n'empêche pas le plateau de fromages de se faire dévaster à son tour.
Il est évident que l'aide culinaire de Nicolas a reçu plus d'une invitation pour le reste de la soirée. Il nous éconduit gentiment arguant du fait qu'il était hétéro et qu'il avait une copine. Evidemment sa sortie soulève un tollé général. Comme si le fait d'avoir une amie, de lui faire l'amour pouvait l'empêcher de prendre du plaisir avec nous.
Entre notre journée sur le circuit à piétiner, les trajets en moto de certains, la touze et le repas, nous sommes morts de fatigue. On se répartit dans les chambres et les lits au petit bonheur la chance.
18-04 :
Je me réveille dans les bras d'un des gendarmes. Je ne suis pas seul puisqu'avec nous dans ce grand lit dort encore Ludovic.
Je le réveille et nous prenons une douche vite fait. Descendus dans la salle commune nous retrouvons la moitié du groupe en train de petit déjeuner. Ils sont déjà bien réveillés et jouent un peu à chauffer le cuisinier.
Nous ne sommes pas pressés puisque le départ n'a lieu qu'à 15h et que le ciel a du mal à se dégager. On discute avec Nicolas pour savoir si nous rentrons diner ou pas.
Après échanges d'avis, il est décidé que non mais qu'ils nous préparent un en-cas froid pour dans la nuit.
Habitués à des invités anglais, le petit déjeuner est conséquent et nous permettra sans problème d'attendre le soir. Avec un sandwich quand même entre temps !
La deuxième moitié du groupe arrive, les yeux encore collés de sommeil. Certains sont encore en boxer et ils sont bandants mal réveillés comme ça. Ils sont condamnés à faire le tour de la table pour les bisous. Quelques langues fraîches approfondissent ces baisers. Mal réveillés mais les dents brossées quand même ! Cédric retrouve les genoux de son Éric, tout comme Arnaud qui se colle à son Léo.
On discute de la journée à venir. Les plus impatients d'y aller sont évidemment ceux qui n'y sont jamais venus. Ils veulent voir les courses qui précédent le départ. Donc on presse un peu le mouvement.
Douches rapides pour ceux qui en ont besoin. On se glisse dans nos combis. Éric me fait la réflexion qu'on va encore attirer des remarques homophobes. Je nous regarde avec plus d'attention. Effectivement, on est quelques-uns peut être un peu trop " moulés " par le cuir. Tant pis pour les cons.
On quitte nos hôtes et fonçons vers le circuit. Notre petite troupe conflue avec d'autres motards en provenance de Paris. Pour plus de pratique et de sécurité, j'ai pris pour tous des entrées pour un parking gardé à l'intérieur du circuit. Du coup on y laisse les motos et les casques.
Il fait suffisamment chaud pour ouvrir nos combis. Ludovic retire même son t-shirt et réenfile son blouson. Il donne des idées à d'autre et on est la moitié à laisser deviner nos pecs et nos abdos sculpturaux. Comme pas un n'arbore de pilosité, ça attirera encore plus les remarques " déplacées ". On se faufile jusqu'en face des stands pour voir le départ des side-cars. On y reste le temps de les voir passer plusieurs fois puis nous déambulons le long du circuit.
Les néophytes sont surpris de voir que certains motards dorment sur les talus qui bordent la piste. En fait la plupart cuvent déjà l'alcool qu'ils ont ingurgité sans modération.
Après la coupe des 125cc, Marc nous offre à boire. Piétiner pendant 2h30 ça donne soif ! On commence gentiment avec des demis. On partage quelques barquettes de frites en attendant de manger plus tard.
A partir de là, on se disperse. De toutes les façons tous nos smartphones contiennent la totalité des numéros de téléphone des mecs présents et puis on se donne un rendez-vous pour diner ensemble. Marc part avec Éric et Cédric. Je reste avec PH, Ludovic les 2 gendarmes et Jules. On traine dans le village en attendant le départ. Du coup quand il faut se placer, les abords du circuit sont blindés. Moi perso je m'en fous un peu mais Jules et Ludovic sont un peu déçus. En haut des escaliers, entre deux tribunes sur la ligne des stands, des spectateurs devant nous nous bouchent la vue.
G1 attrape Jules et le balance sur les épaules de G2. Je m'accroupi et dis à Ludovic de faire pareil. Il faut que PH le pousse mais une fois que je suis redressé, il domine la foule et voit la piste. Heureusement qu'il n'a pris que 5Kg depuis qu'on s'entraine ! Je peux tenir un bon moment ses 80Kg sur mes épaules. Il reste perché le temps du tour de chauffe et du départ puis glisse au sol. Instinctivement quand il est à terre, il me tourne et me roule une pelle, juste pour me remercier. Evidemment ça déclenche une remarque homophobe. Je me tourne pour voir de qui elle émane.
Un mec 30/35ans moche comme un cul ! La réponse est rapide : " rassure toi, avec ta tête tu n'as aucune chance de m'attirer ". Eclats de rires des mecs qui nous entourent, le pauvre type part plus gêné que nous. Un " mon héros " de la part de Ludovic qui me tombe dans les bras sur un registre mélodramatique achève l'entourage.
Je commence à avoir faim et je ne suis pas le seul. On s'appelle et nous déjeunons tous ensemble. Hot-dogs frites, nous callent pour quelques heures.
Puis on repart dispersés après avoir confronté notre début d'après-midi. Marc, au récit de notre mésaventure, nous dit d'être plus discrets quand même.
Refus de notre part, on ne va pas donner raison aux cons quand même ! Et puis ce n'est pas comme si nous ne savions pas nous défendre.
Avec PH je recherche un petit moment la chapelle. Alban nous a signalé qu'un sculpteur du milieu 20ème en avait réalisé les piliers. On rame un peu car cette dernière n'est plus à l'endroit originel justement nommé " virage de la chapelle ". Elle a été reconstruite de l'autre côté du circuit. Photos, vues générales puis en détails et envoie à l'artiste.
Remerciements immédiats avec demande de prise en gros plan de certains détails particuliers. On passe bien 1h à ces bêtises mais ça fait plaisir à Alban.
Retour dans la foule, et oui la chapelle n'attire pas beaucoup de motards !
On retrouve sur la passerelle Dunlop Frank, Louis, Arnaud et son Léo qui viennent en sens inverse. On se joint à eux et on va trainer les " boutiques ". Les " cuirs " sont de qualité médiocre. On regarde beaucoup mais il n'y a pas grand-chose qui retient mon attention.
Je m'arrête dans l'une d'elle plus pour son vendeur que pour sa marchandise. Le mec est mignon, un peu petit mais une bonne tête, boucle d'oreille à droite comme moi et un torse large mis en valeur par un t-shirt deux tailles trop petites.
Il me demande ce que je cherche et, avant que je n'aie eu le temps de répondre, m'assure qu'il a surement ça en boutique. Je le prends au mot et lui dis que c'est le cas puisque son petit cul outrageusement serré dans son jeans était dans la boutique. Il rit jaune mais entre dans le jeu.
Lui : " désolé vous êtes tombé sur le seul article qui n'est pas à vendre car déjà vendu ".
Moi : " ce doit être négociable si le montant de mes achats est conséquent ? "
Lui : il me déshabille du regard, j'ai toujours le haut de ma combi ouverte sur mon torse musclé et glabre et me sort un " faut voir ".
Je fais le tour de la boutique les autres sont entrés aussi et encombrent les deux allées.
J'avise un T-shirt noir logoté -24h du Mans moto 2015-. Je lui demande conseil pour la taille et lui demande si ça se porte aussi près du corps que le sien.
Réponse du vendeur " bien sûr ". À mon " OK je veux voir ", il n'hésite pas retire le sien et enfile celui que j'ai repéré. Il reste suffisamment longtemps torse nu pour que j'admire son torse large et imberbe aux pecs terminés de deux gros tétons dont un percé d'un anneau inox. Une fois qu'il a enfilé le nouveau T-shirt, je m'approche et passe la main sur le tissu " pour me rendre compte ". Il me laisse faire. En essayant de tester l'épaisseur du tissu, je le pince avec difficulté (il est sec le mec !) et du coup attrape un morceau de chair entre mes doigts. Frisson du propriétaire et en baissant les yeux, je vois sa braguette bien gonflée.
Il s'écarte et fouille pour me chercher un exemplaire et me dit de l'essayer. Je me défais du haut de ma combi qui tombe bas sur mes hanches dévoilant la totalité de mon torse nu et la ceinture d'un bottomless de chez Addicted. Quand je lève les bras pour enfiler le vêtement trop petit, ma combi descend un peu plus dévoilant cette spécificité de mon shorty. Il me dit que je suis bien foutu et à son tour il essaye d'attraper le tissu et pince mon téton libre (de piercing). Je ne peux que laisser échapper un gémissement compromettant. Il tire un peu le bas du t-shirt pour l'amener à ma ceinture et ce faisant touche mon sexe remonté vers mon nombril. Il ne peut plus douter que je bande ! Les copains bouchent toujours les entrées et font que nous sommes tranquilles au fond de l'échoppe. J'attrape son petit cul de mes deux mains et le plaque contre moi en cherchant ses lèvres. Il se laisse faire et je peux malaxer son boule. Je sens au comportement de sa langue dans ma bouche qu'il est prêt à aller plus loin. Je lui dis que c'est cool et que les mecs qui remplissent ses allées sont des potes.
Je m'arrange de sa boucle de ceinture et des boutons du jeans pour pouvoir le descendre sous ses fesses. Mes doigts s'aventurent alors entre les deux masses musculaires et trouve une rondelle accueillante. Chaud le mec, pas de slip ! Je me kpote et dans le même mouvement, je le retourne et enfonce ma bite entre elles, puis dans son cul. Là, c'est son tour de gémir. Heureusement que les motos tournent sur le circuit tout près.
J'entends plusieurs fois " le vendeur est pris, vous pouvez revenir plus tard ? ". J'accélère le tempo tout en faisant attention qu'il " monte " en même temps que moi.
Je le fais juter contre la toile du fond et moi, sous la contrainte des spasmes de sa rondelle, je rempli ma kpote.
Réajustement. Je lui dis que je garde le t-shirt mais qu'il m'en faut 22 autres avant de corriger le chiffre à 24 en pensant à notre hôte et son cuisinier.
PH me rejoint et on se roule un patin. Je vois les yeux du vendeur s'ouvrir tout grand. PH le rassure et lui dit qu'il n'est pas jaloux et que j'ai eu la chance d'être le premier à le voir. Sous-entendu, ç'aurait pu être lui.
Avec mes amis présents, nous estimons les différentes tailles à approvisionner. Comme je ne veux pas m'embarrasser, il nous garde le paquet jusqu'à sa fermeture.
Quand nous viendront le chercher, on trouvera nos achats mis dans un petit sac à dos offert par la maison. Bon, c'est vrai qu'après l'avoir défoncé, je n'avais pas eu le coeur de lui demander une ristourne.
Jardinier
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Ugly Sweater
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J'aime cet instant où je me retrouve entre tes jambes, cet instant où je te déguste, cet instant où tes mains vont se poser sur mes fesses..
Tout d'abord tu vas me retenir avec tes pieds qui caresseront mon ptit cul, qui me pousseront encore plus près de ton envie. Ensuite tu attraperas mes cheveux pour me donner ta cadence, enfin tes mains sur les fesses qui iront fouiller mon intimité.
Ces instants précieux où je suis à tes pieds, où je suis à Toi et où plus rien d'autre ne compte que nos plaisirs partagés.
Sentir tes jambes sur mes flancs, sentir ta douceur contre ma peau.
Je me régale et m'impatiente de tes mains qui prennent le temps de venir me combler.
Comme une gourmande je vais tout prendre de Toi.
Ensuite, je te regarderai comme si c'était la première fois et je viendrai me blottir contre toi...
MartyWha@20230413
Une belle soirée de samedi à toutes et tous :)
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La voisine à un noyer qui à donner peu cette année, mais assez tout de même pour quelle m'en vende 5 kg. Des noix fraiches et charnues dont je me régale à toutes heures de la journée. Je les déguste tel quel ou dans des préparations culinaires. Il faut bien que l'automne qui s'installe nous apporte quelques joies.
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Je suis angoissée à l'idée de partir avec lui en vacances. J'étais très angoissée l'année dernière aussi mais c'était pas la même chose exactement. En réalité ça me rend triste et coupable. Je suis au bord de la crise de nerf toutes les 10 minutes et je sais que je vais avoir envie de lui démarrer la gueule trop régulièrement pour qu'on se régale. La période est épuisante moralement. Pour 5 min de soleil, je me prends 2 semaines de pluies dans la gueule. Je me sens très seule en vérité, je peux un peu compter sur personne et c'est en partie de ma faute. Je vais exploser à un moment donné, je suis sur le fil. Je ravale et si c'était que mon vomi ça ne serait pas si douloureux. Je suis biaisée, la journée a été dure mais vraiment, au bout du rouleau. Je suis tellement en colère contre moi que je pourrais en vomir
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Les lieux privés
Ces lieux sont dissimulés au regard de tous et toutes. Pour pouvoir y entrer, il faudra payer le prix ou réunir les conditions ; il est aussi possible que l’accès à l’un de ces lieux soit offert en récompense lors d’évènements. Le country club et le bar underground servent à créer des communautés dans la communauté, ou contre la communauté. Ils rassemblent des personnages proches, qui se distinguent du reste des habitants, et qui peuvent alors sociabiliser entre eux. Les mines sont surtout là pour celles et ceux qui ont envie de se créer des frayeurs. Chaque lieu secret aura un sous-forum de flood dans lequel les membres pourront sociabiliser, discuter de sujets éventuels, de liens, etc. Les membres ayant accès à ces lieux pourront aussi choisir d’y tenir des mini-évènements pour se rassembler. Ces lieux ne sont pas inamovibles. Si l’un d’eux n’intéresse personne, il sera tout simplement débloqué et converti en forum standard. Un lieu pourra aussi être fermé définitivement ou temporairement à la suite d’un évènement qui se produit in-game (un incendie par exemple). Et bien sûr, d’autres pourront être ajoutés en fonction de la demande des membres. (note : je réfléchis à ajouter 1 ou 2 autres lieux parce que je me demande si ces trois-là sont suffisants. Je n’ai pas encore fait de choix ; s’il vous vient une idée ou une envie, n’hésitez pas à m’en faire part, et pensez à me communiquer un nom ou pseudo que je puisse ajouter aux crédits.)
Le country club L’entre-soi est nécessaire, parce que l’enfer c’est les autres. Nécessaire à la survie de la caste des notables. Elle se terre dans des lotissements clos et se réunit loin des regards. Leur terrain de jeu favori : le Catasauqua Country Club, rebaptisé mesquinement le Catastrophe Cuntry Club par ses indésirables. Là, on se retrouve entre gens bien. On se régale de mets délicats dans une ambiance feutrée avant une partie de golf. L’été on profite de la piscine. Les frais d’adhésion sont exorbitants, c’est le prix de la tranquillité, de l’exclusivité. N’entre pas ici qui veut parce qu’il faut préserver le statut, et les secrets qui viennent avec. Ce qui s’y passe, ce qui s’y dit, ne quitte jamais les murs de l’établissement. Les employés du lieu sont à la fois complices et victimes de leurs bourreaux, terrifiés par la perspective de perdre leur gagne-pain. La direction joue le jeu, trop contente de glaner chèques et secrets pour se priver d’une telle manne.
Note de jeu : l’accès au CCC est débloqué en dépensant des points seulement s‘il est cohérent que votre personnage y soit accepté. Le staff du CCC et la direction n’auront pas besoin de débourser des points pour accéder au lieu. Il est possible qu’un évènement public ait lieu au CCC, auquel cas tous les membres pourront y accéder de manière temporaire.
Les mines Les longs tunnels désertés des anciennes mines de fer plongent dans le flanc de la montagne. De tous les lieux du coin, c’est l’un des plus maudits. Le traumatisme de la fermeture brutale de l’industrie sidérurgique dans les années 80 survit encore comme un cancer en ville. Les symptômes de cette maladie sont nombreux. Des légendes. Des mineurs disparus s’y trouveraient encore, guettant l’arrivée d’intrus qu’ils attaqueraient violemment. On y trouverait des fantômes et des démons. Certains disent même qu’en s’enfonçant trop loin dans les mines, on finirait sa route en enfer.
Note de jeu : l’accès aux mines est débloqué en dépensant des points. Y poster un sujet comporte des risques car chaque sujet sera visité une fois par le maitre du jeu qui y postera un effet aléatoire. En raison des risques, poster un sujet dans les mines rapportera 2x plus de points qu’ailleurs.
Le bar underground Ici, on vient parce qu’on n’a nulle part où aller. On rejoint les rangs grandissants des alternatifs en tout genre, celles et ceux qui n’ont pas voulu ou réussi à se tailler une existence selon le code de conduite calibré de la vie en banlieue. Le volume de la musique est trop élevé, la bière y est bon marché mais fade, les standards d’hygiène n’y sont qu’occasionnellement respectés. Pour son public, le Fat Felix est un lieu de villégiature nocturne où on peut laisser tomber le fardeau du regard des autres le temps d’une nuit. Mais certain.es le sentent : la pollution a gagné l’écosystème. Les prédateurs ont flairé l’opportunité, car dans ce lieu de liberté relative, on peut se fondre dans la masse avec aisance.
Note de jeu : on peut débloquer l’accès au Fat Felix en dépensant des points de rp ou sur invitation d’un.e autre membre y ayant déjà accès (qui devra alors dépenser ses propres points). Le maitre du jeu pourra aussi offrir l’accès au lieu à des personnages qui pourraient y trouver leur bonheur.
Un dernier mot pour la suite Bravo à vous, vous n’avez fait que des bons choix. J’espère que vous serez un peu moins perspicaces avec les intrigues… Le reste du contenu reste caché pour le moment 😉 Je posterai un autre messages pour la fin de semaine avec quelques questions pour vous, notamment concernant une éventuelle date d’ouverture.
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Mercredi
Dans onze jours, ce mois de juillet si bizarrement commencé va changer de visage, car si tout va bien, mes Eurasiens d’amour se jetteront alors dans mes bras. En attendant, je rêvasse au soleil, bois du thé glacé, me régale de chansons retrouvées de Bob Dylan, comme Life is hard (album « Together through life ») ou Spirit on the water (album «Modern Times », thème de la tournée qui m’avait permis de le voir en 2008 au Zénith de Toulouse). Et puis je lis avec bonheur « Que reviennent ceux qui sont loin », de Pierre Adrian, qui a pour cadre la Bretagne et la grande maison familiale où se croisent en été toutes les générations. Il écrit, et j’applaudis : Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. Aussi, plus loin : Et je songeais qu’il n’y a qu’au mois d’août qu’on est vraiment un enfant. (sous-entendu, libre, en plein air et en mouvement). Et encore : Je ne supportais pas l’idée d’un lieu où je ne reviendrais plus jamais. (...) Et je croyais que toute la vie, il serait possible de courir partout et de revenir. Comment ne pas penser à notre maison familiale, que j’ai contribué à faire vendre alors que je l'avais toujours considérée comme mon ultime refuge. Auparavant, j’ai lu deux bons romans offerts par mon amie J. : « A pied d’œuvre », de Franck Courtès, et « La Société très secrète des marcheurs solitaires », de Rémy Oudghiri, où j'ai pioché de belles citations : La musique est le désir des choses qu’on ignore, signée Gabriel Fauré, ou : Quand on écoute sans regarder, on voit, de Fernando Pessoa. Les nuages filent, héron cendré et grand cormoran s’affrontent sur les eaux paresseuses de la Garonne, les fruits s’énervent d’été, j'attends le retour de la lune et contemple, rassuré, la pile de livres qui m’attendent : « Dans son sillage », roman de Jessica Andrews recommandé par ma fille, dont je suis aveuglément, ou presque, les prescriptions littéraires et musicales ; « Chelsea Girls », récit autobiographique de la poétesse Eileen Myles ; « Les Jaloux », de l’excellent James Lee Burke (86 ans), dont je lis tout ce qui paraît depuis une quinzaine d’années, comme je le faisais avec d'autres vieux compagnons, Charles Bukowski ou Jim Harrison. Je sais, je parle trop, mais pas souvent.
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QUE L'AVENTURE COMMENCE!
A chaque nouvelle année, c'est le moment de faire ses vœux pour l'année suivante...et le nouvel an 2023, je l'ai fais avec ma poule, (Karine).
C'est autour d'une coupette que l'idée est venue: le GR34 à pied!?
Puis, concrétisation lors d'une visite en avril de la p'te famille à la maison où Karine me relance, " ma poule, tu me régales !"
1h plus tard, nous avions nos billets: DERMAT CROZON!
Retrouvailles jeudi 25 juillet au soir chez karine pour un dernier check des sacs et pour profiter d'une dernière nuit douillette...
On s'en reparle du sac ma poule 🤣 jamais sans mes crèmes...
Merci Chou d'avoir pris soin de nous et de nous avoir emmenées à 6h du matin à Tourcoing!
Ptite nuit, mais ravies: l'aventure commence!
ET v'la l'aventure...
Un ouigo classique, tu fais la queue, tu t'installes à ta place, tu es heureuse...et 6h03, je dis à karine, c'est pas normal qu'on ne parte pas...
5min plus tard, pti jingle sncf qui nous annonce une heure de retard pour acte malveillant sur voie...on revient vers vous quand on en sait plus...
10 min plus tard, de nouveau ce jingle : "mesdames, messieurs, je ne vais pas vous mentir, c'est la merde."
Rappelons le contexte, journée d'ouverture des JO à Paris et plusieurs sabotages ont eu lieu pendant la nuit un peu partout sur le réseau ferroviaire français entrainant dans un premier temps des retards puis tres vite de nombreuses suppressions de train.
...alors au début tu ris...puis, on te fait sortir du train (remarques, ca te laisse le temps de regler tes dragonnes), on te fait remonter en urgence 😅🤣 cours ma poule//café ou pas café //😅🤣.
Pour en réalité partir 4h30 en retard, en te disant on va passer par la gare du nord pour changer de conducteur...bref, on arrivera à 15h à Massy TGV... soit 9h depuis notre arrivée à Tourcoing...
On pensait jusque 14h16, qu'on aurait une correspondance pour Rennes ou Brest, mais en vain...plus aucun train?!
Et c'est à force de fouiller qu'on a trouvé Astrid, qui en galère comme nous, a fait le choix de prendre sa voiture pour aller à Brest.
Parfait!
A peine le temps de boire une bière et voilà notre chauffeur, en route pour 5h et plus de voiture...arrivée prévue 21h...
Cela nous laisse le temps de décaler le bateau à demain matin, et de passer 2, 3 coups de fil pour notre 1ere nuit bretonne et hop, karine nous trouve une pte cousine, Anne Laure qui veut bien venir nous chercher, nous héberger et nous déposer au bateau demain matin pour qu'on rejoigne la presqu'île de Crozon.
Pti apero dînatoire en famille: quel accueil ! Merci à Anne Laure et Julien.
Au top...émotions, sensations et création de souvenirs pour cette 1ere journée bien remplie, mais au final, on attaque comme prévue le Gr demain matin!
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De la couleur encrée dans ton cœur
Habitant des étoiles installé sur terre,
École brutale,
Tu ère ici-bas,
Et tu recherche jusqu'à la fin ce qui te régale.
Pulsion de métamorphose à chaque chapitre de ta vie, et l'envie te lapide d'Être, Telle les météorites qui éclates la terre.
Cauchemar lorsque tu ignore que beaucoup ont besoin de toi, de ton corps si doux,
Dessin imaginé par un esprit désorganisé,
Ton image est bien pâle comparé à la réalité,
En constance approbation de tes pulsions, j'aime me balader dans les sillons de ton Être, devenir chimère et m'imprimer dans ton songes,
T'apporter le repos du soir et la chaleur du doux matin,
Je te dirais peut-être à demain ?
Jolie chagrin ❤️
P.amis
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L'abbaye Notre-Dame de Beaulieu-en-Rouergue (ou de Belloc) est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1144 et qui est aujourd'hui un centre d'art contemporain. Elle est située dans la commune de Ginals dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne à la limite des départements du Tarn et de l'Aveyron. L’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue, comme une centaine d’autres monuments, propriété de l’État, est gérée, animée et ouverte à la visite par le Centre des monuments nationaux.
régulièrement il y a des expositions, je me régale de ces découvertes artistiques
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J'aime cet instant où je me retrouve entre tes jambes, cet instant où je te déguste, cet instant où tes mains vont se poser sur mes fesses..
Tout d'abord tu vas me retenir avec tes pieds qui caresseront mon ptit cul, qui me pousseront encore plus près de ton envie. Ensuite tu attraperas mes cheveux pour me donner ta cadence, enfin tes mains sur les fesses qui iront fouiller mon intimité.
Ces instants précieux où je suis à tes pieds, où je suis à Toi et où plus rien d'autre ne compte que nos plaisirs partagés.
Sentir tes jambes sur mes flancs, sentir ta douceur contre ma peau.
Je me régale et m'impatiente de tes mains qui prennent le temps de venir me combler.
Comme une gourmande je vais tout prendre de Toi.
Ensuite, je te regarderai comme si c'était la première fois et je viendrai me blottir contre toi...
MartyWha@20230413
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