#Compagnie-M
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missviolet1847 · 7 months ago
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Cari Compagni,
sì, Compagni , perché è un nome bello e antico che non dobbiamo lasciare in disuso; deriva dal latino " CUM PANIS " che accomuna coloro che mangiano lo stesso pane .Coloro che lo fanno condividono anche l'esistenza con tutto quello che comporta : gioia, lavoro, lotta e anche sofferenze.
È molto più bello che "Camerata " come si nominano coloro che frequentano stesso luogo per dormire, e anche " Commilitone " che sono i compagni d'arme.
Ecco, noi della Resistenza siamo Compagni perché abbiamo sì diviso il pane quando si aveva fame ma anche , insieme, vissuto IL PANE DELLA LIBERTÀ che è il più difficile da conquistare e mantenere .
Oggi che, come diceva Primo Levi , abbiamo una casa calda e il ventre sazio, ci sembra di aver risolto il problema dell'esistente e ci sediamo a sonnecchiare davanti alla televisione.
All'erta Compagni !
Non è il tempo di riprendere in mano un'arma ma di non disarmare il cervello sì, e l'arma della ragione e più difficile da usare che non la violenza. Meditiamo quello che è stato e non lasciamoci lusingare da una civiltà che propone per tutti autoveicoli sempre più belli e ragazze sempre più svestite. Altri sono i problemi della nostra società: la PACE , certo ,ma anche il LAVORO per tutti , la LIBERTÀ di accedere allo studio , una vecchiaia serena ; non solo egoisticamente per noi , ma anche per tutti i cittadini .Così nei diritti fondamentali della nostra Costituzione nata dalla RESISTENZA .
Vi giunga il mio saluto , Compagni dell'associazione Nazionale Partigiani d'Italia e Resistenza sempre.
Vostro Mario Rigoni Stern , Mira ( Venezia )
20 gennaio 2007 ( lettera inviata all'Anpi di Treviso
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blainvillemitsubishi · 1 year ago
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microcosme11 · 3 months ago
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Feminine vanity versus Napoleon
Un jour, l'Empereur, étant dans le parloir avec Mme de Montholon, regardait avec sa lunette du côté de la maison de garde ; il vit au dehors de la limite plusieurs personnes arrêtées. C'étaient M. et Mme Stürmer, M. de Montchenu et peut-être le commissaire russe, M. Balmain. Mme Bertrand, accompagnée de M. de Montholon ou du Grand-Maréchal, allait à leur rencontre. Il dit à Mme de Montholon : << Allez les joindre, Madame. »-- « Mais, Sire, il faut que j'aille m'habiller. » — « Vous êtes bien, répliqua l'Empereur avec un mouvement d'impatience. Allez. » Mme de Montholon sortit du parloir ; mais, au lieu de diriger ses pas vers la compagnie, elle les porta vers sa maison. L'Empereur, mécontent de ne pas l'apercevoir, dit à quelqu'un qui était en cet instant près de lui : « Mme de Montholon se trouve toujours assez bien pour venir chez moi, mais jamais assez belle pour aller voir les autres. »
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One day, the Emperor, who was in the parlor with Madame de Montholon, was looking through his spyglass at the guardhouse; he saw several people stopped outside the boundary. They were M. and Mme Stürmer, M. de Montchenu and perhaps the Russian commissioner, M. Balmain. Mme Bertrand, accompanied by M. de Montholon or the Grand Marshal, was going to meet them. He said to Mme de Montholon: "Go and join them, Madame."
"But, Sire, I must go and get dressed."
"You look fine," replied the Emperor with a movement of impatience. "Go."
Mme de Montholon left the parlor; but, instead of directing her steps towards the company, she went towards her house. The Emperor, unhappy at not seeing her, said to someone who was near him at that moment: "Mme de Montholon is always dressed well enough to come to my house, but never beautiful enough to go and see others."
Souvenirs de Mameluck Ali (google books)
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chantssecrets · 3 months ago
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L'écrivain américain James Baldwin lors d'un déjeuner à Paris en compagnie de son agent littéraire (M) et d'une amie. (Photo by Sophie Bassouls)
American writer James Baldwin at a lunch in Paris with his literary agent (M) and a friend. (Photo by Sophie Bassouls)
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marianaillust · 5 months ago
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"Alors ce fut le tour d'Athos, de Porthos et d'Aramis de monter la garde avec d'Artagnan quand il était de garde. La compagnie de M. Le chevalier des Essarts prit ainsi quatre hommes au lieu d'un, le jour où elle prit d'Artagnan. "
L'intérieur des mousquetaires,  Les Trois Mousquetaires
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chic-a-gigot · 1 year ago
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La Mode illustrée, no. 38, 19 septembre 1920, Paris. Advertisement. Le Savon de Toilette Erasmic conserve la fraîcheur du teint. Illustration: Florence M. Leicester. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
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ekman · 6 months ago
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– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant... 
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
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vadaviaaiciap · 8 months ago
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I compagni di M non si smentiscono mai!
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petit-atelier-de-poesie · 10 months ago
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QUELQUES TRUCS BIEN. JANVIER 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Espérer pour mon amie P. qu’elle puisse acheter cet appartement où elle serait bien avec vue dégagée sur le parc et les commodités pour assurer son activité professionnelle 
Reprendre le boulot avec entrain puisque la convalescence a assez duré 
Profiter d’être alitée pour rattraper le temps de lecture
Sortir de convalescence en prenant plaisir aux tâches domestiques : vider la poubelle (de mouchoirs) 
Apprécier le silence du monde dont je me trouve en retrait par nécessité et maladie. Prendre mon mal en patience 
Entrer au cinéma et sortir en empathie pour le règne animal 
Être invitée pour manger la galette. Savourer et se nourrir d’amitié 
Discuter avec maman de sa grand-mère et des traces que laissent les disparus 
Aller au cinéma pour voir la dernière palme d’or 
Éviter les conflits malgré le clivage. Garder en tête l’intérêt des enfants. Garder le silence et le sourire 
Accueillir une nouvelle collègue de travail en passant outre les mesquineries actuelles de l’équipe. Espérer le meilleur à venir 
Me confier à mon collègue psychologue sur le sentiment de déception quant à l’échec des projets thérapeutiques de groupe.  Accepter l’impossibilité du travail dynamique et collaboratif en situation d’activité collective. Comprendre qu’il faut m’en tenir à faire des séances individuelles et des écrits 
Manger du chocolat noir offert avec le cœur et le sourire. En reprendre encore un peu 
Savourer la caresse de la petite main de mon petit M. pendant qu’il boit son biberon dans mes bras 
Appeler une amie dans la détresse et l’inquiétude par rapport à la santé de son frère. Ressentir de la compassion 
Projeter de voir les meilleurs films de l’année dernière au cinéma 
Vider mon sac en réunion de soignants et passer outre les mesquineries 
Recevoir une amie à l’improviste pour un apéro 
M’attendrir pour la première dent de mon petit M. qui grandit déjà 
Entrer dans la nouvelle année en bonne compagnie. Être au spectacle des feux d’artifices et des faux airs de fête 
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gregor-samsung · 6 months ago
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" Re Leopoldo II era ossessionato dall'idea di possedere una colonia, e la sua brama cadde sul bacino del fiume Congo. Per realizzare il suo sogno creò l’Associazione internazionale del Congo e finanziò l’esploratore inglese Henry M. Stanley, che nei suoi viaggi lungo il fiume stipulò una serie di trattati con i capi indigeni in nome dell'associazione. Forte di questo, Leopoldo II si presentò alla Conferenza di Berlino (1884-1885), convocata per tracciare le linee della spartizione europea dell'Africa, e ottenne l’affidamento del bacino del Congo. Il 29 maggio, il re del Belgio proclamò lo “Stato indipendente del Congo”, che diventava così di sua proprietà. Leopoldo II divise quell'enorme territorio in blocchi che affidò a compagnie private, alle quali concedeva il diritto esclusivo di sfruttare tutto quello che poteva essere asportato: avorio, olio di palma, rame, legno tropicale, ma soprattutto il caucciù, molto ricercato in Europa. Per costringere gli africani a raccogliere il caucciù (un lavoro molto pesante) il re istituì un vero e proprio sistema di terrore. Se un villaggio si rifiutava di obbedire (il lavoro non era retribuito!), arrivava la milizia delle compagnie che bruciava le capanne e sparava a vista, uccidendo tutti, donne e bambini. Per assicurarsi che i soldati avessero realmente usato le cartucce per uccidere le persone, gli ufficiali esigevano che tagliassero le mani delle vittime e le consegnassero poi al commissario, che le avrebbe contate. Un orrore in nome del profitto, del caucciù! Fu una carneficina che ridusse la popolazione del Congo da circa venti a otto milioni nel 1911. Durante il regno di Leopoldo II molti missionari, soprattutto belgi, andarono a portare il Vangelo in Congo e costruirono chiese, scuole, dispensari: “Eppure,” scrive nel suo studio The Sacrifice of Africa il teologo ugandese Emmanuel Katongole, “il ruolo del cristianesimo rimase quasi invisibile”. Il cristianesimo occidentale riteneva che il suo campo di competenza fosse il campo “spirituale” e “pastorale”, mentre allo Stato toccava l’aspetto politico. Secondo Katongole è stato questo il tipo di cristianesimo portato in Africa. "
Alex Zanotelli, Lettera alla tribù bianca, Feltrinelli (collana Serie Bianca); prima edizione marzo 2022. [Libro elettronico]
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kvara si rende conto che forse la rivalità che sente per davide non è esattamente platonica. enjoy!
Lui non era mai stato un tipo molto aperto, anzi, fin da piccolo era stato un ragazzo di poche parole, che faticava a fare amicizia con gli altri. Impacciato, taciturno, goffo.
Khvicha non aveva molti posti nel mondo da chiamare casa. Certo, c'era la sua terra natale, ma ormai la Georgia si trovava a migliaia di kilometri si distanza da lui. E quella grande e strana città nella quale ora viveva, dove tutti lo trattavano come un dio, dove inneggiavano il suo nome e dove avevano esposto foto, bandiere e murales con la sua faccia e quelle dei suoi compagni, non poteva certo essere considerata davvero casa, o perlomeno non ancora. Si sentiva più come un re nel suo palazzo dorato pieno delle sue chincaglierie: bello, anche divertente viverci, ma gli mancava quel calore, quella familiarità che solo un posto che veramente si considera casa potrebbe dare.
Ma il campo. Il campo da calcio era tutta un'altra storia.
Forse era lì, solo lì, che si sentiva veramente nel luogo dove poteva essere completamente libero. Senza paranoie, senza pensieri. Gli bastava avere un pallone tra i piedi e nient'altro per tornare a respirare con leggerezza. Per tornare a sentirsi di nuovo vivo.
E non c'era momento in cui si sentiva più vivo che durante i big match, quelli contro le altre grandi squadre, quelli che contavano davvero, quelli dove giocano i fuoriclasse che ti spingono a dare il meglio di te per non esserne da meno, che ti fanno sudare ogni centimetro conquistato, ogni pallone, l'adrenalina alle stelle.
Era da poco più di un anno al Napoli, eppure già si era scontrato con alcune delle più grandi squadre europee, contro diversi calciatori che gli avevano dato filo da torcere e che gli avevano regalato la soddisfazione di un vero duello.
Eppure.
Eppure c'era qualcosa di diverso con quel Calabria.
Dal primo momento in cui si erano ritrovati faccia a faccia, con lo sguardo intenso dell'altro completamente concentrato su di lui, Khvicha era stato investito da una scarica di adrenalina diversa dalle altre. Era come se Calabria fosse il suo doppio, anticipava quasi ogni sua mossa, gli era costantemente col fiato sul collo. Khvicha era suo, e non se lo sarebbe fatto scappare per nulla al mondo.
Anche questo primo scontro di stagione non era stato diverso. Khvicha avrebbe mentito se non avesse ammesso di aver aspettato con ansia proprio il momento in cui lui e Calabria si sarebbero di nuovo ritrovati sullo stesso campo.
Alla fine però, questa volta, nessuno dei due aveva davvero vinto. Un pareggio, forse evitabile, forse no, ma comunque un pareggio. La frustrazione gli bruciava dentro. Aveva deluso i loro tifosi, per giunta in casa, e se solo quella palla fosse entrata in porta all'ultimo momento, allora –
«Hey, great match!»
Khvicha si girò verso Calabria. Gli si stava avvicinando ancora col fiatone, ma con un sorriso compiaciuto sulle labbra. Inspiegabilmente, il suo primo, irrazionale pensiero fu che gli mancava vederlo coi suoi vecchi capelli ricci.
Scosse la testa. «Yeah, you've been very good, man» gli rispose, ricambiando il sorriso.
Questa volta Calabria rise di gusto. «You're pretty good yourself!» disse, per poi avvicinarglisi ancora di più, a braccia aperte. E per quanto solitamente lui non fosse il tipo da contatto fisico ravvicinato con persone che conosceva poco, aprì a sua volta le braccia e ricambiò l'abbraccio senza un attimo di esitazione. Poteva giurare di sentire Calabria sorridere mentre gli stringeva un braccio intorno alle spalle, la mano che si alzava ad accarezzargli la testa.
Una calda sensazione che proveniva da qualche parte nella sua pancia gli risalì fino al petto. Cercò di ignorarla, focalizzandosi solo sul calore dell'abbraccio dell'altro. Respirò a fondo l'odore di sudore dell'altro per calmarsi. Sudore, erba falciata, terreno umido: quelli erano gli odori del campo, odori di casa, che non mancavano mai di farlo stare meglio. Calabria sapeva di tutti questi messi insieme, e di un altro odore che non riusciva a classificare ma che doveva essere semplicemente lui. Era un buon odore, pensò.
Quando si separarono – e oddio, quanto tempo era passato? Gli era sembrata passata un'eternità, ma dovevano essere stati solo pochi secondi – Calabria gli stava ancora sorridendo, tutto denti. Khvicha notò che quando sorrideva gli si formavano delle rughe di espressione intorno agli occhi. Perché le trovava adorabili?
Dopo un attimo di quella che per un momento gli era sembrata esitazione – doveva essere un abbaglio, esitazione per cosa? – Calabria si allontanò, salutandolo con una mano. «To the next match!» urlò, prima di raggiungere i suoi compagni.
Khvicha restituì il saluto, anche se ormai non gli stava più prestando attenzione. Al prossimo match, di nuovo. Sarebbero passati mesi prima di riscontrarsi. Non era una novità.
E allora perché il cuore gli si era stretto in petto a sentire quelle parole?
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Khvicha non aveva idea del perché, ma quell'abbraccio era stato ripreso da praticamente tutti gli account sportivi italiani.
Cioè, era solo un abbraccio. Un sacco di avversari si salutano alla fine di una partita, no? Però tutti sembravano voler elevare quel momento a picco massimo della sportività tra due avversari, per qualche strana ragione. Forse era proprio perché la rivalità tra lui e Calabria era ormai nota, e quell'abbraccio a qualcuno poteva essere sembrato strano per quello. Sbuffò. Per certe persone era davvero difficile distinguere la rivalità sul campo dalla vita vera. Lui era esattamente l'opposto, e una rivalità così sentita non poteva portargli altro che avere maggior ammirazione del suo avversario, e quell'abbraccio non ne era stato che la naturale conseguenza. Semplice rispetto reciproco. Nulla di più.
Il fatto che si fosse andato a cercare e salvare tutte le angolazioni possibili in cui i giornalisti avevano scattato quel momento era un altro discorso. Era un bel ricordo da mantenere, ecco tutto.
Fu proprio mentra scollava il feed di Instagram che si accorse che Calabria aveva messo una nuova storia. Toccò l'icona rotonda colorata senza neanche pensarci su e si ritrovò davanti la foto di loro due che si abbracciavano, con la caption Respect.
Di nuovo quella sensazione di calore in fondo allo stomaco. E stava pure sorridendo come un deficiente.
Mise un cuore alla storia e gli mandò un messaggio.
Respect to you too, brother
It was a fun match
Chiuse Instagram e bloccò lo schermo del telefono. Aspettò la bellezza di dieci secondi netti prima di sbloccarlo di nuovo per controllare se ci fosse un messaggio di risposta. Ma che cazzo gli stava prendendo.
Stava per ribloccare il telefonino e andarlo a chiudere a chiave in un cassetto per non toccarlo mai più, quando il suono di una notifica echeggiò per la stanza. Erano due messaggi di Calabria.
Li aprì subito.
It's always fun to play against you! 😉
I wish we could do it more often... ☹
Oh. Quindi anche a Calabria mancava scontrarsi con lui. Sentì il cuore iniziare a battere più forte.
Me too
Si fermò un secondo, poi aggiunse un altro messaggio:
I really like how we fit together on the field
Ecco, l'aveva inviato. Oddio, sperava di non essere andato troppo oltre con quel commento. E se avesse frainteso? Se gli avesse dato fastidio? Se –
Oh you bet we fit well together 😉
Khvicha dovette ripetersi più volte che stavano parlando solo ed esclusivamente dei loro scontri sul campo di calcio. Nient'altro.
Uno scontro sul campo particolarmente allusivo.
Cazzo cazzo cazzo.
Il suono di una nuova notifica gli evitò un crollo mentale imminente riportandolo alla realtà.
How about we see each other for a rematch next time we both have a free day? I could come to Napoli or you could come to Milano
What do you think? 😁
Khvicha rilesse quelle parole.
Cosa ne pensava? Pensava che forse, forse, quello che provava per Calabria non era solo ammirazione da avversario e che forse aveva un principio di infatuamento...
(Ripensò ai suoi occhi azzurri, ai suoi capelli ricci, al suo sorriso che gli arrivava fino agli occhi: forse il forse era un eufemismo)
...e forse questo suo infatuamento era ricambiato.
I would like that very much, Cala
La risposta arrivò dopo qualche istante.
And please, call me Davide 😉
Khvicha sorrise. Forse poteva anche trovarsi a migliaia di kilometri da casa sua, ma chi lo diceva che non se ne poteva costruire una nuova dalle fondamenta?
Thank you, Davide
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blainvillemitsubishi · 1 year ago
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urween · 6 months ago
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"Ombres dans la peau"
Davis Mitchell x FTMreader
notes : j'ai déjà publié ce petit écrit sur wattpad mais je pense qu'il est aussi doux ici <3
résumé : Davis décide d'écrire une lettre à une personne qu'il vient de rencontrer à l'hôpital, devant un distributeur défaillant.
! warnings : sang, deuil, décès
1 063 mots
Description à la première personne
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“Cher fan de kitkat,
J’espère que ma lettre ne va pas déranger votre vie, ou du moins pas à un trop gros niveau. En fait, non, j’espère qu’elle va vous déranger. J’espère qu’elle va faire froncer vos sourcils, entrouvrir vos lèvres et battre votre cœur, car de mon côté, mon cœur bat à mille à l’heure et j’aimerais ne pas être seul dans cette position.
Au moment où je vous écris, je suis toujours assis sur le même siège, celui en face du distributeur numéro 714 à l’hôpital St Andreas, au second étage. La première fois que j’ai utilisé ce distributeur il n’a pas non plus fonctionné, tout comme vous j’avais demandé un paquet de friandises sucrées mais le sachet est resté bloqué. À ce moment j’avais vraiment envie d’un paquet de M&M'S, sûrement autant que vous pour votre kitkat, mais ce distributeur n’a pas voulu faire son travail. J’avais très faim, et aussi ma femme venait de mourir, peut-être que vous aussi vous aviez très faim.
Sur vos manches il y avait du sang séché et même si ce n’est pas quelque chose d’anormal dans un hôpital, ça m’a interpelé. Vous aviez un air confus sur le visage et vos lèvres étaient rouges, vos dents n'arrêtaient pas de les mordre. C’est dommage car je pense que vos lèvres sont très douces, enfin ce n’est que de l’observation. Vous n’aviez aucunes affaires à part un peu de monnaie dans votre poche gauche alors je pense que votre accident était soudain, comme la plupart des accidents. Ma femme s’est pris une voiture à 90km/h, c’était soudain pour elle, alors que moi j’ai eu une demie seconde pour voir cette voiture arriver. Comme vous, en allant au distributeur je n’avais pas d’affaires, tout avait brûlé lors de l’accident, mais j’avais encore trois pièces au fond d’une poche presque trouée. Moi aussi j’avais du sang sur mes vêtements, mais pas autant que vous, et moi il n’était pas sec. Je l’ai remarqué en marchant dans le couloir, mes chaussures laissaient de très légères marques rouges au sol, avant je n’aurais pas remarqué ce détail, j’étais du genre à ne pas faire attention aux choses. Avant de mourir ma femme m’a dit ‘pas ta chaise pas ton problème’ et elle avait raison. J’espère que le sang sur vos manches n’était pas celui de quelqu’un que vous aimiez, car j’ai retiré celui de ma femme en crachant sur ma chaussure, et maintenant je me rend compte comme il était précieux.
Lorsque je vous ai dit que le distributeur appartenait à une compagnie privée et que l’on ne pouvait donc pas l'ouvrir pour récupérer notre nourriture, vous avez sursauté. Pourtant les femmes avec qui j’ai couché m'ont toujours dit que ma voix était douce, mais peut-être que vous étiez simplement dans vos pensées. Vous m’avez regardé en fronçant les sourcils et vos lèvres déchirées se sont ouvertes mais vous n’avez pas parlé. J’ai expliqué que pour moi aussi le paquet s’était coincé dans l’appareil et vous avez regardé le kitkat immobile dans la machine. Moi j’ai regardé vos cheveux courts et marrons en me disant qu’ils étaient pleins de poussières et ça m’a fait pensé aux pissenlits gris qui s’envolent lorsque l’on souffle dedans.
Depuis la mort de ma femme il y a un an, je parle beaucoup aux inconnus, alors je vous ai parlé, même si vos yeux restaient bloqués sur ce kitkat inerte.
J’ai expliqué que je venais ici pour chercher des papiers appartenant à ma belle-mère car elle avait fait une visite de contrôle dans cet hôpital. J’ai dit que depuis la mort de Julia elle perdait peu à peu la tête mais qu’elle restait quelqu’un d’important pour moi. J’ai même ri en imaginant la tête de Margot, ma belle-mère, si elle me voyait parler à quelqu’un comme vous. Margot et Phil sont très fortunés et ils ont leurs petites manières, surtout Margot, alors si elle m’avait vu parler à une personne couverte de sang qui fixait un point imaginaire, elle aurait certainement poussé un de ses minis cris qui font mal aux oreilles. Mais moi je ne suis pas comme ça, enfin je ne le suis plus, et le sang sur vos joues ne m’a pas déranger.
Mais lorsque la porte d’accueil s’est ouverte et que l’air frais est rentré, vous vous êtes comme réveillé. Vos yeux noisettes m’ont regardé pendant trois secondes, j’ai compté, et vous êtes parti.
Je n’ai jamais été attiré par les hommes mais j’y ai pensé après la mort de Julia. Lorsque je vous parlais, j’essayais de dessiner vos traits dans mon esprit et c’était une tâche compliquée car je ne sais pas dessiner. Mais je sais que votre visage est petit, tout comme vous, que vos joues semblent être agr��ables à mordiller et que vos cils sont aussi noirs que longs. Aussi, quelque chose m’a interpelé en regardant votre profil, vous avez deux fossettes vers les pommettes, comme deux petites ombres posées dans votre peau ou le début de pommettes saillantes. Je n’avais jamais vu ce genre de caractéristiques chez une femme auparavant et c’est pour cela que je vous ai mieux regardé. Pardonnez-moi, mais j’ai commencé par analyser votre buste et il était semblable au mien. Au vu de votre pantalon large je n’aurais pas pu deviner si plus bas le constat était le même alors je n’ai pas essayé. J’ai observé votre cou et aucune pomme d’Adam n’était spécialement visible. Alors j’ai encore une fois regardé ces petites fossettes et j’ai souris car elles vous vont merveilleusement bien.
Je ne savais pas votre nom, il aurait pu m’être utile pour comprendre, et vous ne m’avez pas non plus parlé avec des mots que les tympans peuvent comprendre.
Au moment où j’écris ces mots je suis maintenant dans ma voiture et je suis passé par l’accueil pour savoir votre nom. Ils me l’ont donné mais je ne l’écrirais pas ici car vous et moi le savons déjà, et si un jour quelqu’un d’autre venait à lire mes lettres, j’aimerais que cette personne imagine un prénom pour la description que j’aurais fait de vous.
J’espère vous revoir et obtenir votre accord pour que l’on se tutoie.
Oh et ils se trouvent que les employés à l’accueil devraient être licenciés car ils m’ont aussi donné votre adresse.
- En espérant que ma lettre dérangera votre vie
Davis C. Mitchell ”
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aita-blorbos · 10 months ago
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AITA for inviting friends without telling the other guests at a meet up I'd organized?
Call me T. (M, ~40). I've been working on a project for the last few months, to merge multiple compagnies with mine (I'd be CEO) but I've met a bit of friction from the other CEOs (T, M~70; L, F~35; F, M~25 - F inherited the compagny way earlier than was planned after the former boss drowned).
Anyway, I've basically won over L, despite her former right hand man's opposition to the project, and so I Invited T and F over to discuss things once more, but I thought that they weren't going to just accept because things hadn't changed much since last negociation, so I invited S (M~??? he looks like a kid but I think he's a small adult) to join us, with a bunch of his friends. They're a bit intimidating, and I wanted T and F to feel how serious I was and maybe to feel a bit threatened. Just enough to give them an incentive to accept the merger.
Anyway, things didn't go well, S punched me in the guts and everyone's mad at me and they will still be for like five generations or something because I made an enormous blunder apparently, and I'm wondering if it's because I didn't inform everyone of who'd be there. so AITA for inviting friends without telling the other guests at the meet up? I need to stress once more that i'm the one who organized the meet up so they're all my guests.
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carbone14 · 1 year ago
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Le caporal Urban Mayo de la 13e Compagnie de campagne du Corps du génie royal canadien devant un panneau d'avertissement « Vous entrez en Allemagne – Soyez sur vos gardes » – Campagne d'Allemagne – Opération Veritable – Wyler – Allemagne – 9 février 1945
Photographe : Lieutenant Michael M. Dean
©Bibliothèque et Archives Canada - PA-143945
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harshugs · 3 months ago
Note
Dal lato mio, avendo dato due lauree, posso dirti che i ringraziamenti sono totalmente facoltativi. Ho avuto compagni che non li hanno mai fatti, altri che li hanno fatti molto lunghi, è molto personale. Io in triennale avevo fatto un percorso un po' particolare e mi era piaciuto farli rivisitando le persone chiave del mio percorso. In magistrale ho fatto tre righe con i soliti convenevoli e qualche amichetto extra. Quindi, per farli forzati o contro, sentiti pure libera di saltarli a piedi pari 💪🏻
-M
apposto allora, vedrò come andranno i prossimi anni ma se dovessi laurearmi adesso direi che al massimo ringrazierei i miei hahaha
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