#Coeur de Boeuf
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ergonauticus · 3 months ago
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nálam nő ilyen a balkon.
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sh0esuke · 11 months ago
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" Waitress "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Vinsmoke Sanji.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Une jolie serveuse travaille au Baratie. Elle est douce, serviable, aimable, pile poil le genre de femme qui sait faire chavirer le coeur de Sanji. Et, bonne nouvelle pour le jeune homme, la demoiselle en question est extrêmement réceptive à ses avances.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS.If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS.Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟗𝟕𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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« Très bien. »
J'appuyai la pointe de mon stylo contre mon carnet, offrant un sourire charmant au couple assis devant moi.
« Je reviens vous voir dans quelques instants, votre repas arrivera sous peu. »
La femme hocha la tête, elle m'ignora rapidement pour faire face à son époux et poursuivre leur précédente discussion, de mon côté, je m'en allais leur chercher de quoi boire et grignoter. Je passai juste avant par la cuisine pour faire part à Patty des nouvelles commandes. Il ne s'en étonna pas, malgré l'heure tardive, le soleil s'était déjà couché. Mon collègue se contenta d'acquiescer et de se mettre aux fourneaux. Je sortis de la pièce, empruntant à nouveau les portes coupe-feu et ramenai à la table une carafe d'eau, une bouteille de vin ainsi qu'un panier de petits pains.
« Voici pour vous. »
Je forçai un énième sourire.
« La suite arrivera très rapidement. » m'exprimai-je. « Appelez moi si vous nécessitez quoique ce soit d'autre. »
Je m'en allai sur cette phrase.
Slalomant entre les tables vides et d'autres contenant quelques clients bourrés que monsieur Zeff se chargerait de virer à coup de pied au cul, je rejoignis de nouveau la cuisine. Toute la journée, je n'avais fait que ça : salle principale, cuisine, sale principale, cuisine. Je priais pour que ces derniers allers-retours soit les derniers. J'étais épuisée.
Les portes se refermèrent derrière moi. La pièce était vide, outre deux silhouettes que je voyais marcher ici et là. Mais c'était calme. Enfin. Cela me donna l'occasion de souffler un peu.
Tout le monde devait se trouver sur le pont du restaurant à festoyer. C'était un nouvel ajout du patron pour attirer les jeunes, faire davantage de profits. Le calme régnait en maître ici. Pas de cris, de demandes incessantes, de fourchettes raclant la vaisselle ou de rire grossiers. Il y avait cependant cette odeur de nourriture, elle avait été présente toute la journée, elle était omniprésente, et même si au début elle avait titillé mon estomac et l'avait fait avidement grogner, à présent elle me donnait la nausée.
Je reniflai grossièrement, retirant mon tablier et l'abandonnant sur la table à ma droite. Je m'assis sur une des chaises.
Patty me remarqua et me zieuta. Simultanément, il cuisinait.
« T'as une petite mine toi. »
« Tu trouves ? » je m'étonnai.
Il hocha la tête, distribuant deux boeufs sur sa poêle.
« La journée a été dure, tu as le droit d'être à plat. »
Je rejetai ma tête en arrière.
« Mes pieds me font un mal de chien, tu n'as pas idée. »
« J'imagine bien, ne t'en fais pas. » il rit.
Le plafond était joli. Tout l'était.
Mais j'étais tellement fatiguée... Je baillai grossièrement, le dos de ma main devant mes lèvres et des petites larmes dans les coins de mes yeux. Mes lèvres s'ouvrirent en grand. Cela me fit un mal de chien. Tous mes muscles étaient endoloris. Lorsque je baissai la tête je regardai Patty finir le repas des deux derniers clients. Au loin, j'aperçus Sanji. J'en fronçais les sourcils.
J'étais persuadée qu'il était au bar, à converser avec les clientes. Que faisait-il ici ? De plus qu'il me semblait en train de concocter un repas lui aussi. Il faisait revenir quelques légumes dans une grosse poêle. Cela m'intrigua, cependant, j'étais trop épuisée pour faire quoi que ce soit.
« Patty..? »
« Ouais ? »
Je fermai mes yeux, laissant mon collègue dériver un peu de son attention sur moi.
« Tu crois qu'après le patron va virer tout le monde ? Et si on dormait au calme ce soir ? »
« Qui sait, si tu demandes gentiment. »
« Mouais... »
Je levai mes deux bras dans les airs.
« Je suis sérieux tu sais. »
J'ouvrai un œil dans sa direction. Patty disposait des morceaux de légumes et la viande dans deux assiettes. C'était les commandes, elles étaient enfin prêtes. J'allais enfin finir mon service. J'allais enfin aller dormir.
« Le patron a jamais su dire non à une jolie fille. »
Je me mis à rire.
« Tu te fiches de moi ? »
« Même pas. » insista-t-il. « Bon. Tiens tes assiettes, tu peux aller filer servir tes deux derniers clients. »
Je rattachai mon tablier à mon bassin et me précipitai dans sa direction. Patty me tendit les deux repas, je les saisis et me mis en direction de la sortie de la pièce. Je me dépêchai. Je me dépêchai infiniment. Je me dépêchai avec conviction et espoir. Une fois les deux clients servis, mon sourire de nouveau arboré, je débarrassai les tables restantes.
Habituellement, tout était sous contrôle. Chaque serveur avait ses clients et sa table désignés, lorsque ceux-ci s'en allaient, il devait nettoyer derrière eux. Cependant, le soir, c'était un peu plus chaotique. Les serveurs s'en allaient profiter au bar, ayant nettoyé maladroitement la salle principale afin de s'en aller au plus vite festoyer. C'était pourquoi je me retrouvais à nettoyer. Je récoltai quelques assiettes et verres passés inaperçus. Et aussi quelques morceaux de pain qui avaient fini sur les banquettes ou à même le sol.
Ce fut les mains pleines que je revenais dans la cuisine. Une montagne de vaisselles dans les mains, je fis signe à Patty de m'aider.
« Allô ? Il y a quelqu'un ? »
Cependant, au même moment, je sentis une autre paire de mains m'aider.
Des mains plus douces, chaudes. Des mains qui n'avaient pas encore été abîmées par les années passées aux fourneaux. Les mains de Sanji.
« Laisse-moi faire. »
Ses doigts forçaient sur la vaisselle. Il m'en débarrassa en un clin d'œil. Hébétée, j'ouvrai la bouche.
« Qu'est-ce que- Qu'est-ce que tu fais ici ? »
Sanji rejoignit le lavabo au bout de la pièce. Il y déposa la montagne de saletés et revint rapidement dans ma direction, il prit un chemin un peu plus long pour se saisir d'un verre et d'une assiette. Lorsqu'il revint finalement, il me fit signe de me rasseoir sur ma chaise ce que, d'un air perplexe, je fis.
« C'est quoi ? »
Ma question lui fit arquer un sourcil. Comme si je venais de lui avouer qu'il avait l'air ravissant, il sourit et tourna un regard pétillant dans ma direction.
« Je t'ai vue travailler toute la journée. Je me suis dis qu'être aussi jolie et efficace devait te demander beaucoup d'effort. »
Il glissa l'assiette de légumes et le verre de vin sous mon nez. Il décora le tout d'une bougie au centre de la table et accompagna cela d'une rose dans une grand bouteille vide, puis, de couverts. Ce fut à mon tour de sourire. À le voir aussi soucieux de mon bien-être, mon cœur s'emballa. Une agréable chaleur pétilla dans mon bas ventre. Tout ça, pour moi ? Venant de Sanji ça ne m'était pas étonnant, mais tout de même... Je ne m'y étais pas attendue. Je triturai mes doigts, relevant un regard confus dans ses beaux yeux bleus.
« Mange, reprends des forces. »
« Tu as fait ça pour moi ? » je le questionnai en me saisissant de la fourchette.
« Pour qui d'autre ? » il répondit avec adoration.
J'ignorai sa remarque pour me focaliser sur l'assiette. C'était un festival de couleurs. Sous mes yeux, je retrouvai une sublime ratatouille sous forme de rondelles de légumes avec un poisson fris accompagné de quelques herbes et de carrés de citron. Le poisson était magnifique. Il brillait sous la lampe qui nous surplombait et était encore fumant. Sans parler de la ratatouille disposée de manière parfaite. Sanji n'avait rien laissé traîner sur les contours de la vaisselle. Elle était propre comme un sous neuf, c'était à croire qu'il l'avait relavée avant de me servir, juste histoire d'être sûr. Cette hypothèse forçait un sourire sur mes lèvres. C'était idiot... Il n'aurait jamais fait ça.
J'approchai timidement les dents de ma fourchette en direction du poisson.
« C'est trop gentil, Sanji.. Tu n'aurais pas dû. »
« Pourquoi pas ? »
Je coinçai une bouchée de nourriture entre mes dents, relevant mon visage au passage.
« Il est tard, tu aurais pu faire autre chose. » m'expliquai-je. « Tu as passé toute la journée à travailler comme moi, tu dois être épuisé... »
« Pour satisfaire la faim d'une aussi jolie demoiselle, jamais. »
Sa réplique me fit glousser. Sanji me regarda tendrement finir son assiette, c'était à croire qu'il avait des cœurs dans les yeux à me fixer ainsi. Je roulai les miens au ciel. Juste après, je m'attaquai au poisson.
Ce fut au même moment que nous entendîmes la porte menant au pont s'ouvrir. Je tournai la tête, prête à voir Patty nous saluer. Il avait dû oublier quelque chose.. Toutefois, mon corps entier se figea d'effroi à la vue du patron. Il referma la porte derrière lui.
Monsieur Zeff fronça les sourcils à nous voir assis. Sanji le foudroya du regard.
Mes couverts m'en tombaient des mains.
« Déjà lassé de la fête, le vieux ? »
« Si tu avais fini ton travail à l'heure peut-être que tu aurais pu y participer, sale morveux. » répliqua-t-il.
« Monsieur je- »
« Il reste deux clients dans la salle, je peux savoir pourquoi personne ne s'occupe d'eux ? »
Immédiatement, je me levai.
Le patron avait tout remarqué. C'était stupéfiant. Il avait remarqué la montagne de vaisselles laissée à l'abandon dans l'évier, d'un simple coup d'œil sur les portes coupe-feu il s'était rendu compte qu'il restait deux civils dans la salle principale et il avait aussi remarqué que Sanji m'avait fait à manger. Il marchait jusqu'à nous, son visage était aussi fermé qu'une porte d'Impel Down. Il semblait à la fois furieux et indifférent, cela me terrifia.
J'avais le coeur qui battait à vive allure mais cette fois, pour une toute autre raison.
« Pardon monsieur, j'étais- »
« Trop occupée à roucouler avec ce bon à rien, je vois ça. »
« Quoi ? Non ! Non, je vous assure. »
Monsieur Zeff jeta un coup d'œil dédaigneux en direction de mon repas. Il releva la tête et me questionna sans attendre :
« Qui a cuisiné ça ? »
« Sanji, monsieur. »
Le concerné, qui était toujours assis, répliqua :
« J'ai pas trop utilisé de tes ingrédients, j'ai retenu la leçon. Je me suis servis des restes de Patty. »
Des restes ?
« Des restes ? Laisse moi rire. »
Monsieur Zeff me força à me décaler sur le côté. Il extirpa une fourchette de son tablier et me vola un morceau de mon repas. J'étais un peu trop sonnée pour lui en vouloir néanmoins.
Sanji m'avait fait à manger avec des restes ? Je n'y croyais pas. C'était... C'était inconcevable.
La chair du poisson était divine, il avait forcément dû utiliser le meilleur morceau ! Sans parler des légumes... Ils avaient tant de saveur et étaient juteux à souhait. Si il avait vraiment utilisé des restes, les légumes n'auraient pas eu cette forme ni consistance. Même moi qui n'était qu'une serveuse en herbe le savait.
« Immonde. »
Sanji grogna.
« Comment ça 'immonde' ? » répéta-t-il, irrité.
« Le poisson fond dans la bouche comme de la bouse de cheval et les légumes sont trop assaisonnés. »
« Parce que t'en as déjà goûté de la bouse, pour en savoir quelque chose, sale vieux schnock ? » s'emporta Sanji.
« Tout ce que je sais, c'est que ton plat n'a pas sa place sur ce navire. »
Monsieur Zeff nettoya avec nonchalance son couvert avec ma serviette et le rangea. D'un ton inébranlable, il coupa court Sanji et brisa ses rêves :
« Dans mon restaurant, tu n'es et ne resteras qu'un misérable serveur. Tu ferais mieux de t'en tenir à ton rôle, si tu ne veux pas que je te foute dehors. »
Il se tourna ensuite vers moi.
« Quant à toi, tu ferais mieux de prendre des nouvelles de nos clients. Ils doivent t'attendre. »
Mon dos se redressait.
« Oui, monsieur. Tout de suite, monsieur. »
Mon ticket de sortie offert, je pris mes jambes à mon cou et quittai la cuisine. J'avais marché à grande vitesse, jeté au passage un dernier coup d'œil larmoyant à Sanji. Il me faisait mal au cœur.
Monsieur Zeff n'était pas juste avec lui. Tout le monde sur le Baratie savait que Sanji avait l'étoffe de devenir le meilleur cuisiner de tout East Blue, il avait des mains d'or. Cependant, pour nous ne savions quelle raison, monsieur Zeff refusait de lui offrir une promotion et de le laisser se charger des fourneaux. Même encore aujourd'hui, il brisait sa confiance en lui et l'humiliait. J'avais beau admirer mon patron, je trouvais son comportement détestable et déplacé. Ce fut sur cette conclusion que je revins auprès de mes deux clients.
Je me présentai face à eux, mes mains liées. Sous les douces lumières tamisées.
« Tout se passe bien, madame, monsieur ? »
La femme me sourit.
« À merveille, merci beaucoup ! »
« C'est délicieux, en effet. » déclara le mari. « Ont nous avait recommandé votre restaurant et je ne m'attendais pas à ce que la cuisine soit aussi succulente. »
« Je m'assurerai de faire passer le message au gérant du lieu, merci. Profitez bien de la fin de votre repas, je reviendrai vous débarrasser lorsque vous aurez fini. »
« Merci, c'est gentil. »
« Je vous en prie. »
Accompagnant le tout d'un sourire, je fis demi-tour. À présent, la salle était vide. Hormis les deux derniers clients, les autres qui avaient été assoupis ou trop ivres pour bouger avaient étrangement disparus. Les assiettes avaient toutes été débarrassées. Outre le sol qui avait sérieusement besoin d'être nettoyé, la salle principale du Baratie ne faisait désormais plus peine à voir. Elle resplendissait dans toute sa splendeur. Comme à son habitude.
Sur ce, je retournai dans la cuisine.
« -es sûr ? »
« Si je te le dis. »
Du coin de l'œil, je vis monsieur Zeff et Sanji. Sur ma droite, tout deux assis ⸺monsieur Zeff à ma place⸺ ils discutaient. Lorsque je m'approchai, notre patron me remarqua et se leva. Je me figeais à nouveau. C'était qu'il était intimidant... J'étais persuadée qu'il allait me sermonner. Ou juste s'en aller. Voire me demander à déguerpir. Je m'étais attendue à tout. Sauf aux mots qui sortirent de sa bouche.
« Le bar t'empêche de dormir ? »
Je clignai des yeux.
Hein ?
« Hein ? »
Monsieur Zeff posa sa main contre sa hanche.
« Je te demande si le bar fait trop de bruit le soir. » répéta-t-il. « Sanji m'a dit que c'est à cause de ça que tes performances au travail ont décliné. »
« Quoi ? Non, non ! Je vous assure ! »
Je secouai vivement une de mes mains.
« Je suis juste un peu fatiguée aujourd'hui, mais je redoublerai d'efforts demain ! »
« Tu la terrorises, elle est même pas capable de te dire la vérité. » siffla Sanji.
« Ferme la, espèce de sale ingrat. » répliqua monsieur Zeff. « J'avais bien remarqué qu'elle mentait. »
Oh oh.
« Le.. Le bar est un peu bruyant.. ? »
Je me pinçais les lèvres.
« C'est vrai qu'il l'est. » repris-je. « Mais juste un peu ! Je vous assure, monsieur. »
« Je prends note des plaintes. » parla le patron. « Je réglerai ça, ça n'arrivera plus, tu dormiras en paix ce soir. »
Monsieur Zeff caressa affectueusement le haut de ma tête. Il s'en alla peu après.
« Hein ? »
Je me tournai vers Sanji.
« Qu'est-ce que tu lui as dit ? »
Celui-ci me fit signe de m'asseoir, je lui obéis. Monsieur Zeff retourna du côté du bar, il nous laissait seuls, refermant la porte sur ses pas.
« Je lui ai dit que son fichu bar t'empêchait de te reposer, et comme il sait pas dire non à une jolie fille, il va t'écouter. »
« Alors Patty disait vrai ? »
Amusé, Sanji hocha la tête. Il zieuta la table sous mon nez et se gratta ensuite la nuque.
« Tu veux.. Tu veux finir ton assiette ? »
Je baissai l'assiette sur mon repas.
« J'en ai très envie, oui. » répondis-je.
Sanji me sourit.
« Tu as aimé, alors ? »
J'hochai vivement la tête en me servant de mes couverts sur ma ratatouille.
« Je n'ai pas un palais aussi fin que monsieur Zeff. » j'avouai.
« Ce vieux schnock ne sait pas de quoi il parle. Regarde le, il tient à peine debout. »
« Je ne comprends pas.. »
Je ne repris la parole qu'une fois ma bouchée terminée.
« C'est délicieux, vraiment. » affirmai-je. « Je n'ai jamais rien mangé d'aussi bon. C'est une... Une explosion de saveurs ? Patty le dit souvent quand monsieur Zeff propose des plats. »
Je fronçai mes sourcils.
« C'est comme ça qu'on dit, Sanji ? »
Le sourire encré sur ses jolies lèvres me rendit hésitante.
« Ouais. C'est exactement ça.. »
À m'y méprendre, j'aurais pu jurer que c'était vrai. Sanji, il...
Il avait des cœurs à la place des yeux.
« Une véritable explosion de saveurs. »
Je détournai le regard sur mon repas. Il me rendait nerveuse à me contempler ainsi.
« Quoi.. Quoi qu'il en soit.. »
Je pris un morceau de poisson et le goûta.
« Je ne partage pas du tout son avis. »
J'affirmai cela sur un ton un peu plus ferme, ne laissant aucunement place au doute. J'avais mâché son poisson une seconde plus tôt, je l'avais goûté de mon propre chef. Et alors que sa saveur idyllique s'était propagée sur mon palais, je me retrouvais incapable de donner raison à mon patron. Sanji était un véritable génie. Un cuisinier comme je n'en avais jamais vu. Patty était bon, tout comme Carne, et le reste des cuisiniers du Baratie. Sanji était différent. Je le jurais, Sanji était complètement différent d'eux. Il rajoutait une touche de nouveau, une pincée d'explosions d'épices dans ses assiettes. Je n'avais jamais mangé quelque chose de similaire auparavant.
C'était même à se demander ce qu'il faisait encore ici... Sanji gâchait son talent.
« Tu devrais faire quelque chose de tout ton savoir, tu sais. »
La paume de sa main collée contre sa joue, Sanji m'admira lécher son assiette jusqu'à la dernière goûte.
« Je suis sûre qu'avec ton talent tu pourrais devenir un des plus grands cuisiniers au monde. »
« Tu le penses vraiment ? »
Je séparai mon assiette de mes lèvres, penchai la tête sur le côté et, après l'avoir reposée sur la table, je m'empressai d'acquiescer vivement.
« Tu as des mains d'or, Sanji. »
Soudain, il approchai une de ses mains de mon visage. Sanji s'était penché sur sa chaise et posa son pouce sur le coin de ma bouche. Ce fut vif, presque instinctif de sa part. Il y récolta quelque chose et apporta son pouce entre ses lèvres.
« Je veux bien te croire, si c'est toi qui le dis. »
Le petit rictus qui accompagnait ses propos fit palpiter mon cœur. Mes yeux s'ouvraient. J'étais... C'était indescriptible.
Je me saisis de ma serviette et tapota le contour de mes lèvres. Avec embarras, je remis de l'ordre dans mon apparence. Puis, je finis mon verre de vin d'un traite. Sanji ne me quitta pas du regard. Il m'avait regardée faire avec amusement. Mon cœur battait si fort... Je le sentais crier jusque dans mes oreilles. Sanji était bien trop doué lorsqu'il s'agissait de me faire effet. Il en était conscient, il en jouait, ça n'était pas possible autrement... J'étais dans tous mes états.
Une fois levée, je rattachai mon tablier et m'humectait les lèvres.
« Je vais... Je vais m'a- hum, m'assurer que les deux clients sont- qu'ils sont- »
Je pointai nerveusement les portes coupe-feu de mon index.
« J'y vais..? »
Le rire qu'il poussa manqua de m'achever. Il fallait que je sorte d'ici. Je ne survivrai pas une minute de plus. Sanji leva une main désinvolte. Il rapprocha mon assiette, verre et couverts de lui, sûrement allait-il nettoyer la vaisselle. Après tout, la pile qu'il m'avait précédemment prise était toujours là. Elle n'attendait que lui..
« Je t'en prie, vas-y. »
« Je- Je reviens ! »
Marchant à reculons, je ne le quittais pas du regard.
« Attends moi, je vais t'aider, d'accord ? »
Sanji rit.
« D'accord. » il répéta.
Sur ma sortie, je manquai de trébucher. Sanji ne me vit pas, ni même les deux clients, et j'en fus reconnaissante à l'univers tout entier. Je m'approchai de la table des civils et me présentai de nouveau à eux. Tout ça, le cœur battant à vive allure et de la fumée s'échappant de mes oreilles.
Je le sentais, cette soirée était loin de se finir dans le calme..
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foodies-channel · 1 year ago
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🍥 Caprese salad made with Coeur de Boeuf tomatoes
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helene-tolden · 10 months ago
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🇫🇷Café Gaudi Février 2024.
Jour 14. Cœur.
Tomates coeur de boeuf.
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masquesetbergamasques · 1 year ago
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Fenouils confits a la tomates et aux oignons
3 bulbes de fenouil
1 grosse tomate coeur de boeuf
1 gros oignon
2 gousses d’ail
Graines de cumin + graines de fenouil
1/2 cc de cumin en poudre
1/2 cc de piment en poudre
1 cc d’origan
Sel, poivre, huile d’olive
Faire chauffer l’huile olive dans la poele , couper les bulbes en deux ou quatre, les placez face bombée sur le dessus.
Faire dorer a feu fort , une fois les parties plates bien dorées, ajouter l’oignon en lamelles, couvrir et laisser cuire a feu moyen pendant 5 minutes.
Pendant e temps , couper la tomates en cubes.
Apres le 5 minutes ajouter les cubes de tomates, les graines de cumin et de fenouil, l’origan séché, le sucre et enfin le sel et le ooivre, ajouter une demi verre d’eau.
Laisser compoter une bonne heure et demi, en vérifiant que cela n’attache pas.
A déguster tiède ou froid.
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lepetitlugourmand · 2 years ago
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@vititoempanadas : Quand deux frères argentins Nicolas et Facundo, passionnés de gastronomie, décident d'ouvrir un restaurant dédié pleinement à l'empanada, cet addictif petit chausson farci de gourmandises, cela donne "Vitito Casa de Empanadas". Situé en plein coeur du Vieux-Nice, ce lieu simple et authentique est non seulement un hommage à Vitito, le grand-père, mais aussi à la convivialité argentine. Nicolas, chef de cuisine baroudeur et autodidacte, a traversé de long en large le continent sud-américain à la découverte d'inspiration et de cultures culinaires. Après un séjour « coup de foudre » gastronomique en France, il décide de s'installer à Nice. Il travaille un temps comme chef de partie à Peixes, puis son esprit d'entrepreneur le bouscule et il créé @afeulent06 traiteur Asado-BBQ argentin pour des évènements privés et des manifestations publiques. C'est en voyant la passion et l'engouement de ses clients pour l'empanada qu'il décide, avec son épouse d'ouvrir leur établissement et il embarque son petit frère Facu dans l’aventure. Tout est fait suivant les recettes traditionnelles. La pâte est fine et croustillante, les savoureuses et pimpantes farces maison sont préparées avec des légumes locaux et de saison, les viandes coupées au couteau mitonées avec amour viennent d'exploitations environnantes, comme la ferme Le Mérinos à Utelle ou de La Saurea à Tourette-Levens. A découvrir et déguster sans tarder : Poulet fermier façon basquaise, Caprese (mozzarella tomate basilic), Pulled Pork effiloché échine de porc pruneaux sauce bbq, Jambon-fromage, Végétarien (légumes de saison), Vitito ou Vitito Picante(boeuf "Angus" coupé au couteau) sans oublier la suggestion du mois, par exemple, boudin créole, noix, pomme granny smith et mozzarella ou encore inspirée d'ailleurs comme le Brasilera frit aux crevettes, poivron et mozzarella.... et accompagnés des sauces maison : Chimichurri ou Criolla. Pour terminer en douceur on peut compter sur l'empanada dulce de leche ou pomme, vanille-gingembre. Ces petits chaussons du bonheur se dégustent sans modération @vititoempanadas #empanadas #asado #vieuxnice #cotedazurfrance #streetfood #argentina #nissalabella #local (à Vitito) https://www.instagram.com/p/CpX5mDLI858/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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il-mostrc · 16 days ago
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Hannibal sweeps Lawrence's (@bloodypuzzle) side, just over his shoulder as he tips the nozzle of wine to his glass. The robust red paired well with the meal tonight (or rather the person tonight.) A smile spreads across his face, slanted and genuine, as Lawrence invites what Hannibal would do to him (in a culinary sense.) The meal that was presented to him tonight was a technician, a rather rude one at that. His business card was shredded and placed in the rubbish later. It had served its purpose in the rolodex of the rude.
He can pick up Lawrence's cologne and the splash of his aftershave with this proximity. There's also a detection of what he did today- oil, grease.. the ingredients of tinkering. Whether it was with his contraptions or his prized red car itself. With the bottle back on the table, he unlatches the buttons to his suit and takes his seat across from him.
"Je mangerais ton coeur," Another edge of a smile, he lifts his glass to him. "It would be in the fashion of coeur de boeuf. Deliciously prepared warm surrounded by a bordeaux cognac sauce.." He takes a sip of wine, almost crestfallen it does not share the flavor of the brandy he was mentioning.
"You'd taste exquisite, my dear. Truly an mouth watering affair." His tongue sweeps the bottom tier of his lip.
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Lawrence stopped eating for a moment. He sipped his wine before he spoke. On the end of his fork was a bite of meat. Perfectly prepared, of course. The oncologist knew that it had come from an arm, though he was not sure which of their victims the limb once belonged to. That made him smile, and Lawrence's eyes looked over at Hannibal. "Tell me, darling," he said softly. "If it were me, on one of your slabs down there - how would you do it ?? Prepare me, serve me. I am . . . curious." Lawrence took the meat between his teeth then and savored it. He looked forward to Hannibal's meals ; nowadays, he consumed his fellow man with as much enthusiasm as his lover. The rude and the ungrateful belonged on their plates.
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christophe76460 · 30 days ago
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Job 1 et 2
Il y avait dans le pays d'Uts un homme qui s'appelait Job. Et cet homme était intègre et droit; il craignait Dieu, et se détournait du mal. Il lui naquit sept fils et trois filles. Il possédait sept mille brebis, trois mille chameaux, cinq cents paires de boeufs, cinq cents ânesses, et un très grand nombre de serviteurs. Et cet homme était le plus considérable de tous les fils de l'Orient. Ses fils allaient les uns chez les autres et donnaient tour à tour un festin, et ils invitaient leurs trois soeurs à manger et à boire avec eux. Et quand les jours de festin étaient passés, Job appelait et sanctifiait ses fils, puis il se levait de bon matin et offrait pour chacun d'eux un holocauste; car Job disait: Peut-être mes fils ont-ils péché et ont-ils offensé Dieu dans leur coeur. C'est ainsi que Job avait coutume d'agir. Or, les fils de Dieu vinrent un jour se présenter devant l'Eternel, et Satan vint aussi au milieu d'eux. L'Eternel dit à Satan: D'où viens-tu? Et Satan répondit à l'Eternel: De parcourir la terre et de m'y promener. L'Eternel dit à Satan: As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n'y a personne comme lui sur la terre; c'est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal. Et Satan répondit à l'Eternel: Est-ce d'une manière désintéressée que Job craint Dieu? Ne l'as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui? Tu as béni l'oeuvre de ses mains, et ses troupeaux couvrent le pays. Mais étends ta main, touche à tout ce qui lui appartient, et je suis sûr qu'il te maudit en face. L'Eternel dit à Satan: Voici, tout ce qui lui appartient, je te le livre; seulement, ne porte pas la main sur lui. Et Satan se retira de devant la face de l'Eternel. Un jour que les fils et les filles de Job mangeaient et buvaient du vin dans la maison de leur frère aîné, il arriva auprès de Job un messager qui dit: Les boeufs labouraient et les ânesses paissaient à côté d'eux; des Sabéens se sont jetés dessus, les ont enlevés, et ont passé les serviteurs au fil de l'épée. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle. Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Le feu de Dieu est tombé du ciel, a embrasé les brebis et les serviteurs, et les a consumés. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle. Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Des Chaldéens, formés en trois bandes, se sont jetés sur les chameaux, les ont enlevés, et ont passé les serviteurs au fil de l'épée. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle. Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Tes fils et tes filles mangeaient et buvaient du vin dans la maison de leur frère aîné; et voici, un grand vent est venu de l'autre côté du désert, et a frappé contre les quatre coins de la maison; elle s'est écroulée sur les jeunes gens, et ils sont morts. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle. Alors Job se leva, déchira son manteau, et se rasa la tête; puis, se jetant par terre, il se prosterna, et dit: Je suis sorti nu du sein de ma mère, et nu je retournerai dans le sein de la terre. L'Eternel a donné, et l'Eternel a ôté; que le nom de l'Eternel soit béni! En tout cela, Job ne pécha point et n'attribua rien d'injuste à Dieu.
Or, les fils de Dieu vinrent un jour se présenter devant l'Eternel, et Satan vint aussi au milieu d'eux se présenter devant l'Eternel. L'Eternel dit à Satan: D'où viens-tu? Et Satan répondit à l'Eternel: De parcourir la terre et de m'y promener. L'Eternel dit à Satan: As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n'y a personne comme lui sur la terre; c'est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal. Il demeure ferme dans son intégrité, et tu m'excites à le perdre sans motif. Et Satan répondit à l'Eternel: Peau pour peau! tout ce que possède un homme, il le donne pour sa vie. Mais étends ta main, touche à ses os et à sa chair, et je suis sûr qu'il te maudit en face. L'Eternel dit à Satan: Voici, je te le livre: seulement, épargne sa vie. Et Satan se retira de devant la face de l'Eternel. Puis il frappa Job d'un ulcère malin, depuis la plante du pied jusqu'au sommet de la tête. Et Job prit un tesson pour se gratter et s'assit sur la cendre. Sa femme lui dit: Tu demeures ferme dans ton intégrité! Maudis Dieu, et meurs! Mais Job lui répondit: Tu parles comme une femme insensée. Quoi! nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal! En tout cela Job ne pécha point par ses lèvres. Trois amis de Job, Eliphaz de Théman, Bildad de Schuach, et Tsophar de Naama, apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Ils se concertèrent et partirent de chez eux pour aller le plaindre et le consoler! Ayant de loin porté les regards sur lui, ils ne le reconnurent pas, et ils élevèrent la voix et pleurèrent. Ils déchirèrent leurs manteaux, et ils jetèrent de la poussière en l'air au-dessus de leur tête. Et ils se tinrent assis à terre auprès de lui sept jours et sept nuits, sans lui dire une parole, car ils voyaient combien sa douleur était grande.
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lesmangetoutsenimages · 4 months ago
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Quand on vous dit que nos coeur de boeuf n'ont pas bcp de graines, ce n'est pas exagéré !
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imortellekim · 6 months ago
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Aliment tortue pelandusa.
 Crabe
 Truite
 Anguille
 Saumon
 Brochet
 Ablette
 Omble de rivière
 lotte
 doré jaune
 guppy
 Ecrevisse, langoustine
 Escargot, limace, vers de terre d'élevage (salit l'eau) riches en minéraux
A bannir :
 Crevettes séchées
 Pain, biscottes
 Pâté/croquettes pour chat/chien
 Epluchures
 Lait, yahourt, fromage
 Gâteau, chocolat
 Laitue
 Pommes de terre
  Pâtes, riz
 Champignons
 Poisson rouge, sardine, éperlan, poisson chat, chabot, carpe, hareng, alose
 
Vous pouvez également donner (comme la tortue de terre) :
 Pissenlit (fleurs et feuilles) riche en calcium, trèfle violet (les tortues en raffolent)
 Plantain
 Lizeron
 Figue
Fruits en petite quantité (maximum 10% de la ration)
 Orange (bon rapport Ca/P)
 Kiwi
 Mangue
 Papaye
 Fraise
 Framboise, mûre
 Groseille, myrtille
 Ananas (très peu)
 Endive (bon rapport Ca/P)
 Figue de barbarie (très bon rapport Ca/P et riche en sucre) à donner 1 à 2 fois par mois
 Feuilles de navet
 Chicorée frisée
 Mâche
 Cresson
 Brocoli (pas la fleur)
 Persil
 Blette
 Epinard frais
 Luzerne
 Lentille et jacinthe d'eau
Vous pouvez également donner de la viande mais seulement aux tortues omnivores ou carnivores adultes (aliments très complets) :
A donner maximum 1 fois par semaine
 Foie de veau, de boeuf ou de poulet
 Coeur de boeuf
 poulet, dinde crue
 Souriceaux
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yes-bernie-stuff · 8 months ago
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Genèse 20
1 Abraham partit de là pour la contrée du midi; il s'établit entre Kadès et Schur, et fit un séjour à Guérar.
2 Abraham disait de Sara, sa femme: C'est ma soeur. Abimélec, roi de Guérar, fit enlever Sara.
3 Alors Dieu apparut en songe à Abimélec pendant la nuit, et lui dit: Voici, tu vas mourir à cause de la femme que tu as enlevée, car elle a un mari.
4 Abimélec, qui ne s'était point approché d'elle, répondit: Seigneur, ferais-tu périr même une nation juste?
5 Ne m'a-t-il pas dit: C'est ma soeur? et elle-même n'a-t-elle pas dit: C'est mon frère? J'ai agi avec un coeur pur et avec des mains innocentes.
6 Dieu lui dit en songe: Je sais que tu as agi avec un coeur pur; aussi t'ai-je empêché de pécher contre moi. C'est pourquoi je n'ai pas permis que tu la touchasse.
7 Maintenant, rends la femme de cet homme; car il est prophète, il priera pour toi, et tu vivras. Mais, si tu ne la rends pas, sache que tu mourras, toi et tout ce qui t'appartient.
8 Abimélec se leva de bon matin, il appela tous ses serviteurs, et leur rapporta toutes ces choses; et ces gens furent saisis d'une grande frayeur.
9 Abimélec appela aussi Abraham, et lui dit: Qu'est-ce que tu nous as fait? Et en quoi t'ai-je offensé, que tu aies fait venir sur moi et sur mon royaume un si grand péché? Tu as commis à mon égard des actes qui ne doivent pas se commettre.
10 Et Abimélec dit à Abraham: Quelle intention avais-tu pour agir de la sorte?
11 Abraham répondit: Je me disais qu'il n'y avait sans doute aucune crainte de Dieu dans ce pays, et que l'on me tuerait à cause de ma femme.
12 De plus, il est vrai qu'elle est ma soeur, fille de mon père; seulement, elle n'est pas fille de ma mère; et elle est devenue ma femme.
13 Lorsque Dieu me fit errer loin de la maison de mon père, je dis à Sara: Voici la grâce que tu me feras; dans tous les lieux où nous irons, dis de moi: C'est mon frère.
14 Abimélec prit des brebis et des boeufs, des serviteurs et des servantes, et les donna à Abraham; et il lui rendit Sara, sa femme.
15 Abimélec dit: Voici, mon pays est devant toi; demeure où il te plaira.
16 Et il dit à Sara: Voici, je donne à ton frère mille pièces d'argent; cela te sera un voile sur les yeux pour tous ceux qui sont avec toi, et auprès de tous tu seras justifiée.
17 Abraham pria Dieu, et Dieu guérit Abimélec, sa femme et ses servantes; et elles purent enfanter.
18 Car l'Éternel avait frappé de stérilité toute la maison d'Abimélec, à cause de Sara, femme d'Abraham.
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les-degustations-ugo · 1 year ago
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🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, est ce que les médailles influence votre achat de vin ❓❓🇫🇷
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🍇🍷AOP Bordeaux Supérieur Château Le Luc Regula rouge 2020 cuvée Le Bois Sacré 🍇🍷:
🍇 :
Merlot 70%
Cabernet Sauvignon 30%
🏺:
1 étoile au Guide Hachette 2023
👁️ :
Une robe de couleur grenat soutenu avec des reflets violets.
👃 :
Un nez expressif sur des notes de fruits noirs et épices.
💋 :
En bouche, on a un vin équilibré, puissant, tannique. Sur des arômes de mûre, myrtille, cassis, épices (poivre en grains, la réglisse). Une bonne longueur en bouche avec une finale sur des notes de chocolat, fruits secs (noisettes, amandes).
📜En résumé📜 :
J'ai beaucoup aimé cette cuvée qui allie générosité, puissance et fruitée en bouche. Un Bordeaux facile à boire que je vous recommande. Un vin pouvant se bonifier 5 à 10 ans en cave.
🧆Dégusté sur Steak tartare de boeuf🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Lamproie à la Bordelaise, Aiguillettes de canard, Boeuf aux légumes, Boulettes de veau, Carbonade à la flamande,.....
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine pour voir toutes les cuvées et promotions du moment📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des
vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
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🇫🇷🗣️Description du Domaine 🇫🇷🗣️
Proche de la Réole, tapi près d'un bosquet d'arbres séculaires, le Château Le Luc Régula domine la Garonne. Il couvre 11 hectares situés principalement sur un large plateau ensoleillé, au coeur du vignoble bordelais.En succombant au charme paisible du château du XVIIIème siècle et son parc aux essences séculaires, nous avons entamé un nouveau et passionnant voyage, en rétablissant, dans sa vocation initiale, un château avec une très ancienne tradition viticole.
S’il est des lieux à proximité desquels on passe et repasse sans soupçonner qu’ils abritent des trésors, assurément Le Luc est de ceux-là.Son histoire viticole remonte au moins au XIIIème siècle. On trouve en effet trace d’une ordonnance royale de 1289 (l’Aquitaine était alors Anglaise, la culture de la vigne Entre-Deux-Mers et le commerce du vin, alors important) commandant une enquête suite à une plainte déposée par des habitants « parce que le châtelain dépréciait le vin qu’il vendait ».On le voit, la dénonciation du mal-boire, tellement à la mode en notre époque de remise en cause de nos méthodes de consommation alimentaire, n’est pas née d’hier !
Jusqu’au début du XXème siècle, le château est resté aux mains d’une même lignée issue de Jean de Ferrant, qui, en 1446, obtint par faveur féodale la jouissance des droits de péage par terre et par eau.
On trouve dans la succession des nobles possesseurs du lieu : Jean d’Orgier, seigneur du Luc, chevalier de l’Ordre de Malte décédé en 1698 à l’âge de 96 ans, Jean de Ferrant de la Tour mort en 1732 à l’âge de 96 ans, Pierre Paul Berry de Beauvallon, chevalier de l’ordre militaire de Saint-Louis, Jacques de Banisette de Beaubrun, seigneur de la noble maison de Graves marié en 1777 à Anne, fille de Jean-Baptiste de Casmont, seigneur des nobles maisons du Cros, du Luc, de la Tour et du château des Gravous, « la bénédiction nuptiale étant donnée en la chapelle du Château du Luc ».
Le château Le Luc Regula constitue aujourd’hui un superbe vignoble de 5.5 hectares, orienté au Sud-Ouest, « cap 210 », la meilleure orientation pour le mûrissement du raisin.
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⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓Hello corkscrew lovers. And you, do medals influence your purchase of wine ❓❓🇬🇧
🍇🍷AOP Bordeaux Supérieur Château Le Luc Regula red 2020 cuvée Le Bois Sacré 🍇🍷:
🍇:
Merlot 70%
Cabernet Sauvignon 30%
🏺:
1 star in the Hachette Guide 2023
👁️:
A deep garnet color with purple reflections.
👃:
An expressive nose with notes of black fruits and spices.
💋:
On the palate, we have a balanced, powerful, tannic wine. With aromas of blackberry, blueberry, blackcurrant, spices (peppercorns, licorice). Good length in the mouth with a finish of notes of chocolate, dried fruits (hazelnuts, almonds).
📜In summary📜:
I really liked this vintage which combines generosity, power and fruitiness on the palate. An easy-drinking Bordeaux that I recommend. A wine that can improve for 5 to 10 years in the cellar.
🧆Tasted on Beef steak tartare🧆.
🍷Some possible food and wine pairings with this vintage🍷: Lamprey à la Bordelaise, Duck needles, Beef with vegetables, Veal meatballs, Flemish carbonade,.....
📌Don't forget, drinking a barrel is saving a winemaker. Go to the estate's website to see all the current vintages and promotions📌.
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞Most wines were tasted and spat out. Unpaid tasting.
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🇬🇧🗣️Domain Description 🇬🇧🗣️
Close to Réole, lurking near a grove of centuries-old trees, Château Le Luc Régula overlooks the Garonne. It covers 11 hectares located mainly on a large sunny plateau, in the heart of the Bordeaux vineyards. By succumbing to the peaceful charm of the 18th century castle and its park with centuries-old species, we began a new and exciting journey, restoring its vocation initial, a castle with a very old wine-growing tradition.
If there are places near which we pass and return without suspecting that they house treasures, Le Luc is certainly one of them. Its wine-growing history dates back at least to the 13th century. We indeed find traces of a royal order from 1289 (Aquitaine was then English, the cultivation of vines Entre-Deux-Mers and the wine trade, then important) ordering an investigation following a complaint filed by inhabitants "because the squire depreciated the wine he sold." As we can see, the denunciation of bad drinking, so fashionable in our era of questioning our methods of food consumption, was not born from yesterday !
Until the beginning of the 20th century, the castle remained in the hands of the same lineage descended from Jean de Ferrant, who, in 1446, obtained by feudal favor the enjoyment of toll rights by land and water.
We find in the succession of the noble owners of the place: Jean d'Orgier, lord of Luc, knight of the Order of Malta who died in 1698 at the age of 96, Jean de Ferrant de la Tour who died in 1732 at age 96, Pierre Paul Berry de Beauvallon, knight of the military order of Saint-Louis, Jacques de Banisette de Beaubrun, lord of the noble house of Graves married in 1777 to Anne, daughter of Jean-Baptiste de Casmont, lord of the noble houses of Cros, Luc, Tour and the Château des Gravous, “the nuptial blessing being given in the chapel of the Château du Luc”. Château Le Luc Regula today constitutes a superb 5.5 hectare vineyard, facing South-West, “cap 210”, the best orientation for the ripening of the grapes.
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🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi. E tu, le medaglie influenzano il tuo acquisto di vino ❓❓🇮🇹
🍇🍷AOP Bordeaux Supérieur Château Le Luc Regula rosso 2020 cuvée Le Bois Sacré 🍇🍷:
🍇:
Merlot 70%
Cabernet Sauvignon 30%
🏺:
1 stella nella Guida Hachette 2023
👁️:
Colore granato intenso con riflessi violacei.
👃:
Un naso espressivo con note di frutti neri e spezie.
💋:
Al palato abbiamo un vino equilibrato, potente, tannico. Con aromi di mora, mirtillo, ribes nero, spezie (pepe in grani, liquirizia). Buona persistenza in bocca con finale di note di cioccolato, frutta secca (nocciole, mandorle).
📜In sintesi📜:
Mi è piaciuta molto questa annata che unisce generosità, potenza e fruttato al palato. Un Bordeaux di facile beva che consiglio. Un vino che può migliorare dai 5 ai 10 anni in cantina.
🧆Degustato su Tartare di manzo🧆.
🍷Alcuni possibili abbinamenti enogastronomici con questa annata🍷: Lampreda alla bordolese, Aghi d'anatra, Manzo con verdure, Polpette di vitello, Carbonata alla fiamminga,.....
📌Non dimenticare, bere una botte fa risparmiare un enologo. Vai al sito dell'azienda per vedere tutte le annate e le promozioni del momento📌.
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞Most i vini venivano degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
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🗣️🇮🇹Descrizione i Dominio 🗣️🇮🇹
Vicino a Réole, nascosto nei pressi di un boschetto di alberi secolari, il castello Le Luc Régula domina la Garonna. Si estende per 11 ettari situati prevalentemente su un ampio altopiano soleggiato, nel cuore dei vigneti bordolesi.Cedendo al fascino pacifico del castello del XVIII secolo e del suo parco con specie secolari, abbiamo iniziato un nuovo ed entusiasmante viaggio, ripristinando il suo vocazione iniziale, un castello dalla antichissima tradizione vitivinicola.
Se ci sono luoghi nei pressi dei quali passiamo e torniamo senza sospettare che custodiscano dei tesori, Le Luc è sicuramente uno di questi, la cui storia vitivinicola risale almeno al XIII secolo. Troviamo infatti tracce di un ordine reale del 1289 (l'Aquitania era allora inglese, la coltivazione della vite Entre-Deux-Mers e il commercio del vino, allora importante) che ordinava un'inchiesta a seguito di una denuncia presentata dagli abitanti "perché il signorotto svalutava il vino che venduto." Come possiamo vedere, la denuncia del cattivo bere, tanto di moda nella nostra epoca che mette in discussione le nostre modalità di consumo alimentare, non è nata da ieri!
Fino all'inizio del XX secolo il castello rimase nelle mani della stessa casata discendente da Jean de Ferrant, che, nel 1446, ottenne per favore feudale il godimento dei diritti di pedaggio su terra e acqua.
Troviamo nella successione dei nobili proprietari del luogo: Jean d'Orgier, signore di Luc, cavaliere dell'Ordine di Malta morto nel 1698 all'età di 96 anni, Jean de Ferrant de la Tour morto nel 1732 all'età di 96 anni 96, Pierre Paul Berry de Beauvallon, cavaliere dell'ordine militare di Saint-Louis, Jacques de Banisette de Beaubrun, signore della nobile casata di Graves sposato nel 1777 con Anne, figlia di Jean-Baptiste de Casmont, signore delle nobili case di Cros, Luc, Tour e del Château des Gravous, “la benedizione nuziale impartita nella cappella del Château du Luc”.
Château Le Luc Regula costituisce oggi uno splendido vigneto di 5,5 ettari, esposto a sud-ovest, “cap 210”, il miglior orientamento per la maturazione delle uve.
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makinglightweight · 1 year ago
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30/35
Though my coach is right that you can’t truly gain or lose weight a week before a race, you can definitely gain water weight by eating a bunch of random shit you can’t digest.
I went to bed at 61.6kgs. Woke up at 61 sharp at 4am after the worst night’s sleep I’ve had in a very long time. Made myself coffee and prayed I would be able to take a shit by 6am. It do be like that. At least I’m making my mistakes before the actual race.
Arrived at the boat house at 60.7kgs. Sat down on the bike layered up to sweat my ass off. Shed 2.1 kilos of water within 30’ of biking, probably a bit over VT1. Dried myself up, had a bottle of water, a bottle of this is food - which I realized is kind of like Ensure for hipsters - and a serving of oatmeal with a scoop of Bircher muesli and a bit of dried fruit. Went out on the water nice and pregnant with my food. Did a 30’ warmup and then did 2x2k, incremental rates between race pace and max. Paddled back in, had another bottle of water. Am currently lying in bed with a stomach ache and another bottle of water ingested. Going to try to get some sleep.
Weighed myself around 11am at 60.8kgs. Went downstairs to cook up some lunch. Almost burnt the kitchen down making a cup of pasta with half a coeur de boeuf tomato and lots of chili flakes on top.
Tried to watch East of Eden after lunch, instead found myself blessed with a two hour nap. Went for an evening session at 6pm, still in blistering heat, to do 2x1k, core stability and 20’ of easy bike.
For dinner I had 200g of grilled chicken breast. Honestly didn’t feel very hungry in the first place. Went to bed.
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larrysballetslippers · 1 year ago
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What's your favourite bread? And if you don't eat bread, what's your favourite tomato? Mine are olive bread and coeur de boeuf (idk the name in english) ✌🏻
this is the perfect ask!! my fav bread is definetely something with cheese, so a grilled cheese sandwich. but omg a focaccia!!!! those are heavenly!! I don't have much knowledge on tomatoes tho... hmmm I like it when they are more hard? the soft ones just don't go that good bite.
send me some asks
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frankienereau · 2 years ago
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Ce soir, c'était "le boeuf sur le toit" version IMAX. J'ai beau connaître le truc par coeur, j'ai été embarqué par ce film d'à peine plus d'une heure qui nous plonge au coeur de ce concert improbable des Beatles sur les toits de Saville Row, un beau midi de janvier 1969, au coeur d'un Londres encore un peu victorien mais basculant dans la culture pop.
Ce qui frappe d'entrée, c'est la vie trépidante dans les rues de Londres, tous ces taxis, tous ces piétons et cette grisaille des murs. Et puis, tout là-haut, sur les toits, une petite troupe qui s'affaire à préparer son guet-apens. Petite troupe, je m'entends : 5 caméras sur le toit-scène, 1 caméra sur le toit d'en face (le propriétaire apparaît dans le film, abasourdi de n'être pas au courant) et 3 caméras dans les rues pour interviewer les passants (idée géniale). Et une autre caméra cachée dans le hall d'entrée qui s'avère précieuse quand deux policiers arrivent pour parlementer dans le but de faire taire tout ce bruit ("Déjà 30 plaintes en quelques minutes"). George Martin était au courant, lui : on le voit faire un clin d'oeil à la camera en entrant au début du film.
Michael Lindsay-Hogg dirige l'équipe image et Glyn Johns et George Martin veillent au son depuis le studio du rez-de-chaussée, relié à la console du toit.
Paul mène le bateau dès le début avec son "Get Back" qui chauffe le groupe, chacun (à part lui) arborant manteaux de fourrure (John et George) ou imper rouge bien flashy (Ringo) vu que Londres au mois de janvier, hein...
Au fil des morceaux, John se détend et reprend le lead sur "Don't Let Me Down" ou "Dig A Pony". "I've Got A Feeling", mon morceau préféré de l'album "Let It Be", est exemplaire de la cohésion de ce groupe qui n'a pas joué en public depuis 3 ans : la complicité entre les deux hommes (Paul chante seul au début, puis c'est au tour de John avant qu'ils se rejoignent en répons sur le dernier couplet) y est magique et naturelle. Les années de formation à Liverpool, Hambourg et les tournées harassantes leur ont donné une assurance incroyable. Ça a beau être enregistré sur un toit, le groupe "sonne", alliant musicalité et punch. Car les répertoire est rock'n'roll : "Get Back" (3 fois), "Don't Let Me Down" (2 fois), "I've Got A Feeling" (2 fois), "I Dig A Pony", "One After 909". Et c'est tout puisque la maréchaussée britannique, forte de 4 hommes (dont 2 constables casqués hilarants), finit par faire entendre la voix de la minorité qui crie "Assez !" face à tout ce bruit qui descend des toits, à cet effarant pandemonium provoqué dans les rues par la foule qui s'agglutine, tête tournée vers le ciel, heureuse d'entendre ce délicieux boucan mais aussi frustrée de ne pouvoir en être témoin oculaire. Le micro-trottoir opéré par les cameramen des équipes au sol est émouvant, touchant : on y voit des gens de toutes classes exprimer leur réaction globalement positive à ce cadeau tombé du ciel. Avec des trognes incroyables, que ce soit parmi les riches propriétaires ou les gens simples. Une galerie de portraits encore marqués par le poids de la société, le poids des classes et un côté encore très classique dans l'apparence extérieure. Alors que 4 étages plus haut, les Fab Four arborent leurs visages chevelus, barbus et leurs dégaines débraillées. Pas de maquilleuse ici. Ils apparaissent dans leurs habits de tous les jours, sans fard. Le contraste est même saisissant avec leur entourage : Mal Evans, leur road manager, a encore le même look qu'au début des années 60. Michael Lindsay-Hogg, plus cool, arbore néanmoins un costume chic. Sur les toits alentours, quelques employés matent le concert de leur vie en costards !
George entame le concert le visage un peu fermé, mais se laisse gagner petit à petit par l'enthousiasme des autres. Peut-être est-il triste que Patti ne soit pas là, alors que Maureen Starkey est bien présente, se dehanchant sur la musique. Yoko, elle, semble s'ennuyer ferme (et fait un peu la tronche de voir son homme s'eclater autant à la fin). Linda n'apparaît que dans la sequence finale où le groupe est réuni dans le studio pour écouter la bande. Les sourires sont révélateurs : ils savent qu'ils ont assuré. Ils partagent ce moment avec celui qui apporte le ciment du son : Billy Preston tient le piano électrique durant tout le concert et son jeu apporte un swing exceptionnel au groupe, notamment dans une séquence du "Get Back" final où il se tire la bourre avec la basse de Paul sur un riff funky à souhait.
Si le film est programmé prés de chez vous cette semaine, faites vous plaisir : allez le voir, vous en ressortirez avec l'impression d'avoir vécu sur un toit pendant une heure. Le toit du monde !
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lepetitlugourmand · 2 years ago
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@yose.restaurant, situé au coeur du gourmet quartier du Port de Nice, est une délicieuse et pimpante enclave sud-américaine qui fait fretiller les papilles. Thomas Porcu et Benjamin Rollin vous reçoivent avec professionnalisme et justesse. Les deux amis, qui se sont connus au Lycée hôtelier Paul Augier, ont cette même passion du bon et des saveurs enjouées et voyageuses. Tous deux ont travaillés dans de belles maisons et aux Etats-Unis@ Mais c’est la cuisine péruvienne claquant de peps des ceviches et rafraichi de leche tigre, de maïs cancha, d’aji amarillo et de piment rococo, qui les rassemblera à nouveau pour ouvrir ce projet dans leur ville natale à Nice. Ils embarquent dans cette aventure gourmande la cheffe franco-péruvienne Eva Gonzales. Elle propose des assiettes parfaitement enlevées où les poissons à la fraicheur absolue, frétillent des condiments ajustés et traditionnels, comme il se doit à Lima. Le très fin et vif Ceviche classique de Daurade se déguste en passion de sa belle mâche, la daurade est imprégnée de leche de tigre (fumet de poisson et de fruits de mer agrementé de citron vert et de piment), les deux sortes de maïs viennent cadencer de leur texture : le cancha de son côte grillé et croustillant et le choclo de sa juteuse claquance en bouche, la patate douce arrondit l’ensemble. Le Tiradito de boeuf à l’accent fumé ou de thon à l’identité iodée ont chacun leur propre character, entre fondant et percutant des piments jaune ou rouge, de l’avocat ou des pickles d’oignons ou de betterave. C’est vif, enjoué et parfaitement vibrant. Les plats virevoltent entre le Poulpe à la cuison parfaite, il s’imprègne d’aji panca et de chicha de jora, la volaille s’invite dans une sauce coco, piment et noix de Pécan, quant aux ribs de cochon, ils se caramélisent de chicha morada. Les desserts se dégustent allègrement comme le Ceviche d’ananas ou les churros minutes. Les cocktails en apéritif ou pour tout le repas sont d’une rare perfection créative. Yose vous fera vivre un moment gourmand et raffiné dans un décor élégant d’une douce et moderne hacienda où il fait bon vivre. #ceviche #cuisineperuvienne #cotedazurfrance #gastronomie #nicefrance #chef #peru (à YOSE) https://www.instagram.com/p/CpnVvNfIXf0/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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