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#Clément DUCOL
guycourtheoux · 28 days
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Emilia Perez, le film de Jacques Audiard, c'est vraiment une énorme claque. A voir absolument.
Ce n’est pas tous les jours qu’on voit un film at que l’on prend vraiment une grosse claque, et c’est ce qui m’est arrivé avec un réalisateur que je classe désormais comme l’un des plus grands de sa génération : Jacques Audiard. Certes il de qui tenir, son père Michel Audiard fut un des plus grands scénaristes et dialoguistes français si ce n’est le meilleur  entre les années 50 et 80, qui s’est…
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genevieveetguy · 4 months
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Emilia Perez, Jacques Audiard (2024)
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sonyclasica · 10 days
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CLÉMENT DUCOL Y CAMILLE
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EMILIA PÉREZ: SELECCIÓN DE LA BANDA SONORA DE LA PELÍCULA
Consíguelo AQUÍ
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thomas-querqy · 13 days
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Emilia Perez réalisé par Jacques Audiard avec... 😍😍
Un film bluffant, qui surfe sur l'esprit d'époque mais avec la bonne idée de le situer au Mexique où les violences mafieuses et masculines ne sont pas un vain mot ; si l'on rajoute ses dialogues en espagnol et un peu d'anglais, il est taillé pour les Oscars.
Les chansons de Clément Ducol et Camille, les chorégraphies de Damien Jalet, et leur insertion dans le récit, tout est admirable.
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d'après "les passantes" de Georges Brassens
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Camille et Clément Ducol, les compositeurs de "Emilia Perez" programment 42e rue | France Musique
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awardswatcherik · 2 months
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TIFF 2024: Mike Leigh, Durga Chew-Bos, Camille Dalmais and Clément Ducol to Receive TIFF Tribute Honors
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vaevictis2 · 5 months
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Toi, tu dis il me manque Tant de choses tu sais toi Toutes ces choses qu'il me manque Et ma vie passera Et ma vie incroyable Et je vivrai comme ça Sans danser sur la table
Danse sur la table - Clément Ducol & Vincent Delerm © Lili Louise Musique
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splendidenolwenn · 6 years
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NEW ALBUM | Studio time - Paris, 3 juillet 2018
Clap de fin pour l’enregistrement du septième album studio de Nolwenn Leroy ! 🎻🎧💿
Ce mardi 3 juillet marquait la fin des séances studio pour l’artiste et sa nouvelle équipe... A ses côtés, nous pouvons ainsi apercevoir la divine Anne Gravoin, mais aussi Karen Brunon, les fidèles Clément Ducol et Frédéric Koella, et encore plein d’autres jolis visages...
Sans oublier la présence de Vincent Frerebeau, patron du label Tôt ou Tard, qui l’accompagne depuis mars sur son Gemme Tour avec Zouave Production...
Nolwenn nous réserve de bien belles surprises... A découvrir très prochainement !
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la-valise-rtl · 6 years
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Folk de Nolwenn Leroy
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L’album Folk de Nolwenn Leroy à gagner dans la Valise RTL.
Il n’est pas toujours aisé d’écrire Je t’aime. C’est parfois pour cela qu’on aime tant chanter les mots des autres. Dans son nouvel album, Nolwenn Leroy chante Jacques Higelin, Nino Ferrer, Nicolas Peyrac ou Francis Cabrel, entre autres. Des songwriters qui ont en commun le pouvoir de réconforter les jours de pluie. Des chansons qui font toutes parties d’un genre musical et d’un état d’esprit : le folk.
Le folk est cette musique qui réchauffe et réveille des émotions enfouies. Jouée et chantée le plus simplement du monde, une chanson folk n’a pas d’autre âge que celui de l’humanité et de ses errances.
Au plus près d’un petit groupe de musiciens respirant le bonheur de jouer, Nolwenn a enregistré 13 chansons intemporelles en live au studio Ferber. Puisant dans ce que les fiançailles du folk et de la langue française ont engendré de plus intemporel, Nolwenn offre une nouvelle incarnation à des chansons et à des émotions.
Folk signifie populaire. En réveillant certaines de nos émotions les plus intimes, cet album réalisé par Clément Ducol (Vianney, Camille…) rappelle de la plus simple des manières à quel point Nolwenn fait partie de nos vies.
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Début du deuxième carnet de bord
On a dit on fait un spectacle
Invités : Vincent Dedienne, Vincent Delerm, Clément Ducol, Ava Hervier, JP Nataf, Sandra Nkaké
septembre 2016, 104
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a2sparis · 5 years
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«Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part»
FILM. «Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part»
Réalisation, adaptation et dialogues : Arnaud Viard. Scénario : Arnaud Viard, Vincent Dietschy, Emmanuel Courcol et Thomas Lilti. Directeur de la photo : Emmanuel Soyer. Musique : Clément Ducol. Principaux acteurs : Jean-Paul Rouve, Alice Taglioni, Benjamin Lavernhe, Camille Rowe, Elsa Zylberstein, Aurore Clément, Sarah Adler, Christophe Paou et Elsa Damour-Cazebonne. Durée : 1h29.  
S’assumant pleinement comme «mélodrame familial d’aujourd’hui», ce beau film choral, plein de sensibilité et d’émotion, fait beaucoup penser - ce qui est un compliment - à certains films de Claude Sautet, dont le réalisateur et scénariste du film, Arnaud Viard, reconnaît d’ailleurs s’être inspiré. Bénéficiant d’un remarquable travail du directeur de la photo, Emmanuel Soyer, le film est interprété par de fort bons acteurs, dont les beaux visages sont souvent filmés en gros plan. Le film raconte plusieurs mois de la vie d’une famille, unie et solidaire : la mère, Aurore, 70 ans, veuve, qui vit dans une grande maison bourgeoise en Bourgogne (le film a été tourné dans le village de Fixin, dans le département de la Côte-d’Or) et ses quatre enfants, trentenaires ou quadragénaires, Mathieu, Margaux, Jean-Pierre et Juliette. Mathieu, peu sûr de lui (peut-être parce qu’il n’a pas été désiré par sa mère), finira par se libérer. Et trouver enfin l’amour. Margaux, elle, a beaucoup de mal à réaliser son rêve : devenir photographe professionnelle. Jean-Pierre, 48 ans, l’aîné de la fratrie, a, en apparence, pleinement réussi sa vie, tant au plan affectif que professionnel. Mais, en fait, cette vie «ne l’épanouit pas», dit Jean-Paul Rouve, qui interprète ce rôle. Jean-Pierre - dit pour sa part Viard - «n’est pas allé vers son désir et se rend compte qu’il est passé à côté de sa vie». Longtemps auparavant, Jean-Pierre a abandonné à la fois son métier de comédien et la femme qu’il aimait, Héléna, qui réapparaît soudainement dans sa vie pour lui annoncer que, très malade, elle va mourir «dans pas très longtemps». Et Jean-Pierre réalise alors qu’il est toujours très amoureux d’elle.
«Trop grand écart entre sa vie et celle dont il rêvait»
< Les rêves de Jean-Pierre ressurgissent >, poursuit Viard. Mais c’est trop tard. < L’écart entre la vie qu’il a et celle dont il rêvait, est devenu trop grand >, ajoute Viard. Seul, désemparé, Jean-Pierre se suicidera. Après sa mort, commence une seconde grande partie du film, centrée sur la plus âgée des deux filles de la fratrie, Juliette, 40 ans, professeure de lettres dans l’enseignement secondaire et, par ailleurs, auteure de nouvelles non encore publiées. Juliette va écrire l’histoire de Jean-Pierre. Et cette nouvelle sortira en librairie dans un recueil intitulé... comme le film de Viard, mais aussi comme le recueil de nouvelles d’Anna Gavalda dont s’est inspiré Viard pour écrire son scénario. Paru en 1999, le livre de Gavalda a obtenu, entre autres, le Prix de la nouvelle de l'Académie française et a été traduit dans une vingtaine de langues. À partir de ce livre, Viard a construit une histoire qui est une sorte de synthèse de plusieurs des nouvelles du recueil de Gavalda, notamment celle qui raconte comment une femme sur le point de mourir et un homme essaient de se retrouver après s’être longtemps efforcés d’oublier que, étant jeunes, ils s’étaient passionnément aimés. Aux membres de la fratrie, précise Viard, «j’ai insufflé des situations, des bouts de dialogues ou d’histoires que j’ai piochés dans les nouvelles de Gavalda».
LE RÉALISATEUR : Arnaud Viard, né en 1969 à Lyon, également comédien, formé au cours Florent, école parisienne d’art dramatique, a réalisé antérieurement deux longs métrages, «Clara et moi» (2004) et «Arnaud fait son deuxième film» (2015).
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splendidenolwenn · 6 years
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NEW ALBUM |  “En studio avec Nolwenn Leroy“ - Extraits !
A une semaine de la sortie du nouvel album de Nolwenn Leroy, découvrez des images exclusives de l’enregistrement en studio !
L’occasion d’entendre de nouveaux extraits, dont “La Rua Madureira”; “Sacré Géranium”; et “Jolie Louise”. Des chansons qui nous promettent déjà de belles légendes d’automne...
Rendez-vous le 2 novembre pour vous procurer l’album “FOLK” !
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splendidenolwenn · 6 years
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NEW ALBUM | “Je ne peux plus dire je t’aime” - Premier extrait !
Quand l’élégance de Nolwenn se reflète dans son art, ses idées, et absolument tout ce qu'elle entreprend… 🌼🍂🍁🧡💛
“Au début de l’Été, j’ai eu la chance de pouvoir m’enfermer au studio Ferber avec quelques amis musiciens et musiciennes, pour y enregistrer mes versions de chansons que j’aime infiniment. Des chansons françaises qui font toutes parties d’un genre musical et d’un état d’esprit : le FOLK. Avant de vous en dévoiler plus dans les jours à venir, voici pour vous un premier extrait d’une chanson écrite par l’immense Jacques Higelin…🌼🧡🍁🍂” https://NolwennLeroy.lnk.to/JeNePeuxPlusDireJetAime #folk #autumniscoming #newmusic #newalbumsoon
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splendidenolwenn · 6 years
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NOLWENN LEROY
La Folk dans l’âme…
“Nolwenn Leroy a choisi de placer son nouvel album sous le signe de la Folk à la française, en reprenant 13 standards d’artistes ayant donné leurs lettres de noblesse à ce répertoire intemporel qu’elle affectionne particulièrement, d’Yves Simon à Nicolas Peyrac, Jean-Michel Caradec ou Francis Cabrel. A l’occasion de cette parenthèse enchantée dans sa discographie, elle s’est confiée à nous avec sincérité, fraicheur et enthousiasme, alors qu’elle s’apprête déjà à porter ces titres sur scène, au Trianon à Paris les 26 et 27 mars 2019 et en tournée. Rencontre avec une artiste élégante et populaire, comme on les aime à JSM…”
– Comment est née cette idée d’album « Folk » ? Il était question d’un « Bretonne 2 », semble-t-il…
Je n’ai jamais voulu enregistrer un « Bretonne 2 », mais on m’avait effectivement posé la question de savoir s’il y aurait une suite un jour. Ca n’avait pas de sens pour moi, d’autant que les suites sont toujours ratées, à part celle du «Parrain II ». Et puis je trouve qu’elles ont toujours un côté un peu opportuniste. Or, ça n’a jamais été l’histoire de « Bretonne » : c’était tout, sauf un album opportuniste : il correspondait plutôt à une envie profonde en moi et allait à contre-courant de tout ce qu’on entendait à l’époque. Enregistrer une suite à « Bretonne » aurait justement enlevé de la beauté à ce projet. En revanche, j’ai davantage imaginé « Folk » comme son extension, dans la mesure où les débuts de la Folk en France étaient liés à la musique celtique. En ce sens, les deux albums sont dans une forme de continuité malgré tout.
– Quand a-t-il été enregistré ?
Je l’ai enregistré cet été au Studio Ferber à Paris : c’était la première fois, depuis mon premier album, que je ré-enregistrais en France. J’ai enregistré « Histoires naturelles » chez Laurent Voulzy, et depuis je n’ai plus jamais enregistré ici, en dehors de projets ponctuels ou de participations à des albums multi-artistes. L’idée était de repartir avec des musiciens français, dans un studio parisien où j’avais des souvenirs magnifiques d’enregistrements occasionnels : j’adore ce studio, le son qu’il y a, l’équipe qui y travaille… J’ai eu aussi la chance de travailler avec Clément Ducol, un musicien extraordinaire, sans lequel l’album n’aurait pas cette couleur. Je voulais absolument lui en confier la production, notamment pour son travail avec Camille que j’adore. On m’en parlait toujours comme d’un arrangeur de cordes sublimes, mais c’est beaucoup plus que cela en réalité : un musicien polyvalent impressionnant.
– « Folk » est sorti alors que ta tournée « Gemme » n’était pas terminée : pourquoi cette précipitation ?
Je commence déjà à écrire mon prochain album, car je pense qu’aujourd’hui, j’a un peu payé sur l’album « Gemme » le fait d’avoir trop attendu avant de le sortir. J’étais un peu trop restée en tournée acoustique avec « O filles de l’eau ». J’étais sur scène et ne me rendais pas compte que le temps passait, alors qu’il s’était écoulé plus de trois ans. Et puis, j’avais vécu des choses sur le plan personnel (n.d.l.r : la naissance de son fils Marin). Pour « Folk », je n’ai pas voulu refaire cette erreur d’attendre trop longtemps : aujourd’hui, la réalité de ce métier est que pour des artistes de ma génération, on ne peut plus se permettre de s’absenter des années, comme le faisaient des Voulzy ou Cabrel. Chaque sortie d’album demande à re-mobiliser son public ; c’est un éternel recommencement, même quand on sa place. Aujourd’hui, on est obligé de présenter des choses plus régulièrement. C’est l’interêt aussi de ces projets « parenthèses », qui me permettent d’être là pendant que j’écris mes chansons, car quand je prépare un album, je ne vais pas au marché aux chansons chez tous les éditeurs de Paris. Cela me prend du temps et je ne peux pas sortir des projets personnels tous les six mois. Les musiques urbaines ont peut-être habitué le public à des sorties très régulières, alors il faut suivre. Le public jeune est dans la consommation immédiate, sur Deezer, Spotify, avec les playlists… On retrouve l’esprit des années 60-70 finalement, où on sortait un 45 tours dès qu’on avait une bonne chanson, pour la balancer aux radios et essayer d’en faire un tube. Travailler sur un album de treize ou quatorze chansons, pour en extraire un ou deux singles, ça prend du temps pour un résultat frustrant, si bien qu’on peut légitimement s’interroger sur la façon de proposer et consommer la musique aujourd’hui. Bref, ce projet « Folk » m’a laissé du temps pour écrire mes propres chansons, tout en les alimentant d’influences diverses : il n’est pas arrivé par hasard, mais correspondait à une envie de m’immerger dans un univers qui aura forcément des influences sur mes prochaines chansons, de même qu’il y a eu un avant, et un après, « Bretonne ».
© Photo: Yves Bottalico / Propos recueillis par Eric Chemouny
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splendidenolwenn · 6 years
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As-tu eu l’occasion de faire écouter tes reprises à certains des artistes concernés  ?
Absolument ! Bien sûr que certains ne sont plus parmi nous mais il y en a beaucoup comme Nicolas Peyrac, Francis Cabrel et Yves Simon qui sont encore là. Pour parler de Nicolas Peyrac par exemple, je lui ai envoyé un petit mot avant la sortie de l’album en lui disant que l’on ne pouvait pas se passer du titre sublime qu’est « So Far Away From L.A ». Le film de cette chanson représente tellement les années 70 qu’on se devait de la mettre dans la tracklist. Il a été touché par ma version et il m’a envoyé un message qui m’a fait chaud au cœur. Quand on parle d’hommage, on espère que ce dernier va être bien reçu et ça a été le cas. J’étais très angoissée de lui envoyer le titre parce que j’avais envie que tout se passe bien. Au final, tout s’est bien déroulé donc ça fait vraiment plaisir !
Comment as-tu fait le choix des titres présents sur ce nouvel opus ?
J’ai commencé par faire une liste idéale selon moi en laissant pas mal de chansons de côté qui feront peut-être l’objet d’un second volet. Je n’aime pas les albums longs donc j’ai fait un vrai choix. J’ai recoupé ma liste avec celles d’autres personnes qui connaissaient bien cette période ou qui ont une passion pour la musique folk. Voilà, comment le choix s’est fait.
Si tu ne devais retenir qu’un titre de cet album, lequel serait-ce ?
Alalala que c’est dur ! (Rires) Je dirais, je dirais… En fait, j’en vois deux. Ça serait « Marions les roses » du groupe Malicorne et la chanson de Jacques Higelin. Il y a aussi la chanson de Francis Cabrel qui a une histoire particulière et personnelle sur cet album. C’est difficile de choisir… Ça serait « Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai » pour l’histoire personnelle et « Je ne peux plus dire je t’aime » pour le second choix.
Cet album, enregistré au Studio Feber, est réalisé dans les conditions live, à l’ancienne. Pourquoi avoir fait ce choix dans la production ?
Faire ce choix avait un sens par rapport au style de musique que l’on retrouve sur l’album. C’est un album de parti pris, on a rien laissé au hasard dans la façon de l’enregistrer. Ça allait de soi d’enregistrer ces chansons comme elles ont pu l’être à l’époque, le plus simplement du monde. Et puis dans la musique folk, il n’y a pas de minauderies, c’est pas propret. On a fait 4-5 prises pour chaque titre et on a gardé la meilleure. Il y a très peu d’albums qui sont enregistrés de cette manière aujourd’hui et c’était très important pour moi de pouvoir travailler dans ces conditions. Dans la façon de chanter, d’enregistrer et de travailler avec Clément Ducol, ça m’a beaucoup apporté dans ce que j’ai pu mettre dans mon chant.
Il y a peu tu étais à Lyon pour chanter devant l’immense et la talentueuse Jane Fonda. Des parcours comme le sien t’inspirent-ils dans ta vie de femme, d’artiste et de mère ?
C’est certain ! Jane Fonda c’est  quand même une sacrée gonzesse… C’est un honneur que d’avoir chanté pour elle lorsqu’elle a reçu le Prix Lumière. C’était vraiment un beau moment. Effectivement, ça ne peut être qu’une inspiration parce que c’est une femme de cœur, de tête et d’engagement. Elle m’inspire par rapport à mes propres engagements que je tiens depuis très longtemps. J’étais engagée avant même qu’artiste soit mon métier. Je suis partie en voyage humanitaire au Mali pour distribuer des fournitures scolaires dans des petits villages lorsque j’avais 13 ans. Après j’ai fait fac de droit justement pour éventuellement faire ma vie professionnelle dans l’humanitaire au cas où la musique ne marche pas. C’était aussi un engagement citoyen. Aujourd’hui, le fait d’être artiste me donne l’opportunité de poursuivre dans cette voie d’une manière différente. C’est en cela que le parcours de Jane Fonda m’inspire…
Une dernière question qui brûle les lèvres de tes fans… Folk fera-t-il l’objet d’une tournée ? Voir de quelques prestations live ?
Absolument ! On a déjà pas mal de séances de dédicaces et showcases de prévus jusqu’à Noël. Et puis à partir du mois de mars, on repart en tournée avec l’album Folk. On sera au Trianon les 26 et 27 mars et également dans le reste de la France avec des festivals l’été prochain. Il y une sorte de fondu enchaîné entre les deux tournées puisqu’il nous reste des dates du « Gemme Tour » jusqu’à la fin du mois de novembre. On reste sur la route pour mon plus grand bonheur car c’est quand même ce que je préfère faire. On va pouvoir retrouver l’ambiance et le son que l’on peut entendre sur l’album lors de la tournée qui arrive. Ça va être une très belle tournée !
© Propos recueillis par Marie Guillot Farneti pour Aficia
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splendidenolwenn · 6 years
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NEW ALBUM | « Folk » - Pré-commande
“Il n’est pas toujours aisé d’écrire Je t’aime. C’est parfois pour cela qu’on aime tant chanter les mots des autres. Dans son nouvel album, Nolwenn Leroy chante Jacques Higelin, Nino Ferrer, Nicolas Peyrac ou Francis Cabrel, entre autres. Des songwriters qui ont en commun le pouvoir de réconforter les jours de pluie. Des chansons qui font toutes parties d’un genre musical et d’un état d’esprit : le folk.
Le folk est cette musique qui réchauffe et réveille des émotions enfouies. Jouée et chantée le plus simplement du monde, une chanson folk n’a pas d’autre âge que celui de l’humanité et de ses errances.
Au plus près d’un petit groupe de musiciens respirant le bonheur de jouer, Nolwenn a enregistré 13 chansons intemporelles en live au studio Ferber. Puisant dans ce que les fiançailles du folk et de la langue française ont engendré de plus intemporel, Nolwenn offre une nouvelle incarnation à des chansons et à des émotions.
Folk signifie populaire. En réveillant certaines de nos émotions les plus intimes, cet album réalisé par Clément Ducol (Vianney, Camille…) rappelle de la plus simple des manières à quel point Nolwenn fait partie de nos vies.”
🌼💿 Pré-commandez dès maintenant “FOLK” le nouvel album de Nolwenn Leroy pour le recevoir le 2 novembre, le jour de sa sortie ! 💿🌼
© Photo: Yves Bottalico
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