#Carola Regnier
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dare-g · 2 years ago
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The Holy Bunch (1991)
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rwpohl · 6 months ago
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maries lied: ich war, ich weiß nicht wo, niko von glasow 1994
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lifejustgotawkward · 7 years ago
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Seduction: The Cruel Woman (1985, dirs. Elfi Mikesch and Monika Treut).
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universallycrownpirate · 6 years ago
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Sonja Ziemann (* 8. Februar 1926 in Eichwalde bei Berlin) ist eine deutsche Schauspielerin, Tänzerin und Sängerin. In den 1950er-Jahren galt sie, häufig an der Seite ihres Kollegen Rudolf Prack eingesetzt, als eine der beliebtesten Schauspielerinnen Deutschlands.
Bereits im Alter von zehn Jahren begann Sonja Ziemann ein Tanzstudium an der Berliner Tanzschule von Tatjana Gsovsky und hatte 1941 ihre ersten Auftritte als Ballerina. Etwa gleichzeitig begann sie eine Ausbildung an der Ufa-Schauspielschule und hatte ihr Leinwanddebüt mit einer Nebenrolle in Ein Windstoß von Walter Felsenstein. 
Noch während des Zweiten Weltkrieges drehte sie weitere Filme, nach Kriegsende konnte sie ihre Karriere mit Filmen wie Sag’ die Wahrheit(1946) und Herzkönig (1947) fortsetzen. 
Bekannt wurde Ziemann durch zahlreiche Filmerfolge in den 1950er Jahren, allen voran die OperettenverfilmungSchwarzwaldmädel (1950) und der Heimatfilm Grün ist die Heide (1951). Beide Filme lockten jeweils über 15 Millionen Zuschauer in die Kinos und wirkten stilbildend für das während dieser Zeit populäre Genre des Heimatfilmes.
Eine Zeitlang galten Ziemann und ihr Schauspielerkollege Rudolf Prack, an dessen Seite sie in mehreren Filmen auftrat, als ein Traumpaar des deutschen Films. Sonja Ziemanns Bekanntheitsgrad war so hoch, dass sie sich 1957 in Helmut Käutners Spielfilm Die Zürcher Verlobung selbst verkörperte. Um sich etwas von dem Image des „nette Mädels von nebenan“ zu lösen, spielte Ziemann 1958 eine ernstere Rolle in dem polnisch-deutschen Filmdrama Der achte Wochentag von Aleksander Ford. Anschließend folgten für Ziemann Charakterrollen in Filmen wie Hunde, wollt ihr ewig leben und Menschen im Hotel. Gelegentlich trat die Schauspielerin auch in internationalen Produktionen auf, etwa an der Seite von Richard Widmark in dem Spionagefilm Geheime Wege (1960) sowie in dem starbesetzten Kriegsfilm Die Brücke von Remagen (1969). Nach 1970 war Ziemann nur noch gelegentlich vor der Fernsehkamera zu sehen, zuletzt 1997 in zwei Folgen der Fernsehserie Park Hotel Stern. Zudem hatte sie Theaterauftritte in Stücken von Frank Wedekind und Tennessee Williams.
Ihre dritte Ehe mit dem Schauspieler und Regisseur Charles Regnier hielt von 1989 bis zu Regniers Tod im Jahr 2001.
Sonja Ziemann lebt am Tegernsee in Bayern und in St. Moritz. 2006 war sie nach vielen Jahren erstmals wieder in einer Talkshow, der ARD-Sendung Beckmann, zu Gast. 2011 wurde sie für den Dokumentarfilm Germaine Damar – Der tanzende Stern interviewt.
„Charles“ Regnier (* 22. Juli 1914 in Freiburg im Breisgau; † 13. September 2001 in Bad Wiessee) war ein deutscher Schauspieler, Regisseur, Hörspielsprecher und Übersetzer. Einige Quellen nennen unzutreffenderweise 1915 als Regniers Geburtsjahr. In den 1950er und 1960er Jahren war er einer der meistbeschäftigten deutschen Theater- und Filmschauspieler. Seine eigenwillige, dezidiert intellektuelle Spielweise und sein zuweilen leicht spöttisch wirkendes, distanziertes Auftreten wurden zu seinen Markenzeichen und machten ihn zu einem gefragten Charakterdarsteller. Regnier lebte in Deutschland, Italien und in der Schweiz. Am 13. September 2001 starb er nach einem Schlaganfall in Bad Wiessee. Er wurde auf dem Friedhof Badenweiler-Lipburg, dem Ort seiner Kindheit, beigesetzt. Regnier hatte drei Brüder: Henri Regnier, der von 1962 bis 1982 Unterhaltungschef beim Norddeutschen Rundfunk war; Axel Regnier (1916–2006), ebenfalls Schauspieler sowie Produzent beim Bayerischen Rundfunk, und Georg Regnier (1923–1996). Aus der ersten Ehe mit der Schauspielerin und Sängerin Pamela Wedekind, mit der Regnier von 1941 bis zu ihrem Tod 1986 verheiratet war, gingen drei Kinder hervor: Der Konzertgitarrist und Autor Anatol Regnier, die Schauspielerin Carola Regnier sowie die Geigerin Adriana Regnier, seit dem 17. Februar 1974 mit dem Musiklehrer und Flötensolisten Peter Schiffers verheiratet. Die beiden Söhne aus dieser Ehe sind Stephan Schiffers, Filmregisseur und Drehbuchautor, und Heinrich Schiffers, Musiker und Filmkomponist. Von 1989 bis zu seinem Tod 2001 war Regnier mit der Schauspielerin Sonja Ziemann verheiratet.
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potoetcabengo · 12 years ago
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L’œil qui jouit : BEHINDERT, de Stephen Dwoskin
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Un dîner entre amis. D’un côté de la table, la caméra, à hauteur d’homme assis, attablé(e) donc. Une femme arrive, l’homme-caméra filme son entrée pour ne plus la lâcher. Les quinze minutes qui ouvrent Behindert de Stephen Dwoskin sont la quintessence même de la rencontre amoureuse, le moment et le lieu, dans tout le cinéma, où l’éveil du désir et de l’attraction réciproques, impérieux, ont été filmés avec la plus belle insistance, la plus grande sûreté. Dans un nappe sonore de conversations dont rien n’est réellement audible, avant que ne s’y mêle l’écho, diffus, des notes soutenues de Gavin Bryars, l’homme-caméra, en une série de zooms et raccords – techniquement de faux raccords, mais ils ne pourraient être plus vrais, plus symbiotiques avec celui qui filme –, revient inlassablement sur le visage de la femme assise en face de lui. D’emblée, il n’y a qu’elle. La caméra devient œil, les plans regards entre deux battements de paupières, appendice au corps du filmeur. Elle détaille le visage en face, magnifique, ses yeux, son sourire, sa peau, et saisit toutes les nuances qui l’animent : un visage reflet de l’âme. Son regard à elle, d’abord furtif, est aimanté, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que lui. On y lit mille émotions, la curiosité, la pudeur, l’hésitation, l’étonnement, le bouleversement, l’effroi même parfois devant la montée du trouble intérieur. La réciprocité des regards et du désir entre filmeur et filmée invalide tout discours sur le voyeurisme des films de Dwoskin : il regarde autant qu’il est regardé et, à travers son œil-caméra, on regarde autant qu’on est regardé. L’effet de miroir renvoie bien plus à soi, à son propre corps, à son propre désir, qu’une caméra voyeuriste, solitaire, unilatérale. Ici, tout est dédoublé, ou plutôt redoublé, à la puissance deux : il/on désire et il/on est désiré.
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Au terme du dîner, tous quittent la table pour s’asseoir sur le lit, à l’exception de l’homme-caméra, qui filme toujours la femme. Elle se retourne régulièrement, puis vient le rejoindre, jusqu’à ce qu’elle se lève pour partir. Au même moment, l’hôtesse du dîner amène à table, à côté de l’homme-caméra, deux béquilles. À la dérobée, le regard de la femme, désarçonné et déçu, s’assombrit. Celui du filmeur n’hésite ni ne se trouble un instant. Il propose de la raccompagner. Gênée, elle lui demande si ce n’est pas trop compliqué pour lui. Puis, elle se raccroche à son visage, à son œil-caméra, et sourit à nouveau.
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Ils se revoient, plusieurs fois, et l’œil-caméra qui serrait d’abord le visage de la femme filme maintenant tout son corps, détaille ses cheveux, son buste, ses mains, ses jambes, ses pieds, dans le même brouillard sonore et musical où ne surnagent, rarement, que quelques paroles. De rencontre en rencontre, le désir de part et d’autre s’amplifie, jusqu’à ce plan, paroxystique, où le visage de la femme n’est plus qu’un appel, irrévocable, à passer à l’acte.
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C’est là, dans cette scène, que la caméra se retourne et que le corps du filmeur entre dans le cadre – pour la première fois dans le cinéma de Dwoskin –, le beau visage cerné de longs cheveux noirs et les jambes invalides, déformées, harnachées de cuir et de métal, d’un homme que la poliomyélite, contractée enfant, a laissé handicapé. Il se déshabille et détache les boucles de son harnais. À nouveau, le désarroi envahit le visage de la femme, qui regarde sans trop oser. Puis elle se déshabille et se couche à ses côtés, malheureuse. Allongée, la tête sur l’oreiller, elle retrouve l’œil-caméra, le désir renaît. Posée sur le lit, à hauteur du visage de la femme, la caméra la filme jouissant sous les caresses et l’étreinte de Dwoskin. Posée sur le lit ou entre les mains et l’œil d’un autre ? Ce troisième oeil indéterminé, le plus troublant qui soit à l’intérieur d’un film entièrement subjectif et organiquement attaché à un corps dont il est le prolongement, revient à plusieurs reprises, jusqu’à les filmer ensemble descendant un escalier. L’intrusion d’un autre regard donc, qui n’est pourtant pas, dieu merci, celui de la société absente, qui n’interroge ni ne réprouve cette union entre la belle et la bête, qui s’en fait simplement le témoin lorsque le filmeur n’a plus la possibilité physique d’en rendre compte.
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Ils vivent maintenant ensemble. Les images de leur quotidien se succèdent, chronique d’une relation amoureuse, restitution des gestes, des objets, des instants de grâce partagés – Stephen Dwoskin et Carola Regnier rejouent ici leur propre rencontre, leur propre histoire. Avec le temps, le malaise de la femme, d’abord battu en brèche par son désir, gagne du terrain. Il envahit peu à peu son regard et son visage, toujours plus tourmentés et éteints après avoir été solaires, lumineux. Il y a un second plan paroxystique dans le film, un point de bascule, celui où son visage, après avoir dit le désir impérieux, dit le rejet indépassable, tout aussi définitif. L’œil-caméra filme toujours avec la même sérénité ce visage et ce regard profondément blessés et malheureux, tout à tour colériques, défaits, hagards, vaincus, honteux, empêchés, incapables de surmonter le handicap plus longtemps, de passer encore au-delà. Après avoir longuement filmé les jambes valides de la femme, Dwoskin a beau se montrer traînant les siennes derrière lui, rampant au sol, la pitié et l’empathie que l’on ressent sont toutes pour elle. Son œil-caméra à lui rayonne d’une telle assurance, d’une telle force de désir, il jouit tant de l’existence qu’à aucun moment, on ne peut se laisser aller, s’abaisser à le plaindre.
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Behindert, de Stephen Dwoskin, 1974, Allemagne, 96’, coul. En collaboration et avec Carola Regnier. Musique de Gavin Bryars. Behindert a été édité par Renard Films dans un coffret de 5 DVD, avec 13 autres films de Dwoskin, disponible ici 
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dare-g · 2 years ago
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The Holy Bunch (1991)
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rwpohl · 6 months ago
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maries lied: ich war, ich weiß nicht wo, niko von glasow 1994
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lifejustgotawkward · 7 years ago
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365 Day Movie Challenge (2017) - #361: Seduction: The Cruel Woman (1985) - dirs. Elfi Mikesch and Monika Treut (52 Films by Women 2017: #23)
Like a confusing yet compelling fever dream, Seduction: The Cruel Woman draws you in with its often surreal imagery and the philosophical underpinnings that were inspired by Leopold von Sacher-Masoch’s classic nineteeth-century novella Venus in Furs. Leading lady Mechthild Großmann, who looks like a bit like Kristin Scott Thomas and whose husky voice is almost identical to that of Shohreh Aghdashloo, is a beguiling and enigmatic presence as Wanda. She is both a protagonist and an antagonist, taking her profession as a dominatrix to extremes by torturing people both for money and, in her personal life, for her own fulfillment. Wanda simultaneously carries on relationships with several members of her S&M club - ex-husband Gregor (Udo Kier), live-in girlfriend Caren (Carola Regnier), American old flame Justine (Sheila McLaughlin), secretary by day/sex worker by night Friederike (transgender actress Georgette Dee) - and she mistreats all of them, owing her cruelty to the supposedly inflexible rules of the sadomasochistic lifestyle.
Early on Wanda is interviewed by a journalist, Herr Maehrsch (Peter Weibel, a famous Austrian artist, filmmaker and teacher), for an article about her “art gallery,” which is a socially acceptable front for her underground society. Wanda explains her predilections by stating that “perversions are only misunderstandings” and “to do something really surprising is art.” Before long, the journalist admits he is intrigued by S&M; he paraphrases Thoreau’s theory that “most people live in silent despair,” furthering declaring that “I believe that many people would like to do something completely different. They lack the courage, though. Not that they want to do anything evil... it’s just part of human nature.” Wanda builds on these statements: “Some people just dream about it.” It’s not a shock that shortly afterward we see Maehrsch begging Wanda to treat him as a toilet. Abuse is his greatest desire and Wanda allows him to explore that impulse, all while recording their sessions for a series of instructive videotapes that she watches back at her apartment. (Perhaps she sells them too, although we never see any such transaction.)
Writer/director/producers Monika Treut made her filmmaking debut here; the directing definitely benefits from co-director Mikesch’s talent as a cinematographer (the two photographed the film with Ulrike Zimmermann), thanks to shots that create a hallucinatory, almost unreal atmosphere. The woman-centric production was further aided by the assistance of executive producer Renée Gundelach, film editor Renate Merck, costume designer Anne Jud, set designer Xenia Katzenstein, assistant director Margit Czenki and dialogue coach Sandra Nettelbeck (she later became the award-winning director of Mostly Martha, Sergeant Pepper, Helen and Last Love). The film has mixed reviews on the IMDb - two positive, two negative, one in between - but if you are interested in the subject matter, German cinema, LGBTQ+ representation in media, the history of women in film or you’re a really big fan of Udo Kier, Seduction: The Cruel Woman is a must-see. It discusses questions and conflict about pleasure and pain that, while not necessarily resolved, are nonetheless captivating.
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lifejustgotawkward · 7 years ago
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365 Day Movie Challenge (2017) - #372: The Counterfeit Traitor (1962) - dir. George Seaton
The Counterfeit Traitor belongs to a class of World War II films that are by definition both well-made and so depressing that I would never want to see them again. Some honorees in this club are obvious, like Schindler’s List, but on the more obscure side of the marquee is this drama about the real-life exploits of Swedish-American oil magnate Eric Erickson, who became a secret agent for the Allies.
In the title role, William Holden does typically fine work. I know I’m biased; Holden is one of my top five favorite actors - I love even the most terrible corners of his filmography - so even in a production as relentlessly serious as The Counterfeit Traitor, I appreciate Holden’s gravitas and his effortless charm as Erickson. We follow the businessman as he takes his plans for a new oil factory to Nazi Germany, gathering intel on Party operations while schmoozing with bigwigs. At the same time, he works alongside another undercover agent, Munich socialite Marianne Möllendorf (Lilli Palmer, who gives the film’s most impressive performance). Eric and Marianne fall in love, but as the war rages on, the couple’s joint duty to the Allied forces threatens to end their romance permanently.
Many notable European actors appear in supporting roles in The Counterfeit Traitor, including Hugh Griffith, Ulf Palme, Carl Raddatz, Ernst Schröder, Charles Regnier (random fact: he was the son-in-law of Spring Awakening playwright Frank Wedekind and the father of actress Carola Regnier, whom I recently saw in the fascinating S&M drama Seduction: The Cruel Woman), Wolfgang Preiss and, in one of his earliest Hollywood roles, Klaus Kinski as a character who is quite important in the film’s final ten or so minutes. I was disappointed, however, that Eva Dahlbeck - who played Desirée Armfeldt in Ingmar Bergman’s Smiles of a Summer Night (1955) - has only a couple of lines of dialogue as Eric Erickson’s wife, Ingrid, before disappearing from the film completely. Paramount took a chance on hiring one of Bergman’s favorite leading ladies, only to reduce her part to that of a bit player.
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