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#Bernard Tapie
zonetrente-trois · 9 months
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“Je trouve d’abord qu’il ressemble physiquement à Molière. Sur des tableaux de Nicolas Mignard c’est troublant. Le seul défaut de Laurent –et je le lui avais dit – c’est qu’il est un peu trop sexy pour le rôle ! En revanche, sur ces mêmes portraits, on décèle ce que l’on pourrait appeler une humanité chez Molière. Et Laurent a cela. Même quand le personnage est odieux. Il en fait un être humain qui aime, qui souffre, qui pense avoir échoué…”.
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stephanedugast · 3 months
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📌[FEUILLETON] Suivez moi tout cet été sur les réseaux sociaux 🌻 avec la série « La Pédale Joyeuse ». Je vais en effet vous raconter autrement le vélo🚲 . RDV ici tous les jours à 15 heures.
ÉTAPE 1 💛 Le Tour de France 🇫🇷 À tout seigneur, tout honneur avec Bernard Hinault qui a signé la préface de mon ouvrage paru aux Éditions Glénat Livres. 👉 https://urlr.me/c5VZY
🔎 UN ENTRETIEN Foi de Blaireau - Légende du cyclisme français avec plus de 200 victoires à son actif, dont cinq Tours de France pendant sa carrière qui s’est étirée de 1975 à 1986, Bernard Hinault continue de pédaler pour garder la forme mais surtout pour éprouver du plaisir. Parlez-lui vélo et le « Blaireau » (comme on le surnomme toujours) ne gardera pas longtemps sa langue dans sa poche.
- Tour de France ou Giro ? Pour un Français, la Tour, c’est le plus grand événement qu’il puisse y avoir, et c’est un bonheur d’y participer.
- Maillot de champion du Monde ou de champion de France ? Les deux ! C’est le titre d’une année, et on est super content de l’avoir sur le dos.
- Maillot à pois ou maillot jaune ? (Rires) À choisir, j’aime mieux le jaune forcément ! Le jaune, c’est l’histoire du Tour. La couleur des pages du journal organisateur. Il fallait distinguer celui qui avait le meilleur temps dans le Tour de France, et on a choisi cette couleur, point !
- Lemond ou Fignon ? Je n’ai eu de problème ni avec l’un, ni avec l’autre. J’ai apprécié ces deux coureurs cyclistes.
- La personne avec qui vous détestez rouler ? Personne !
- Votre meilleur souvenir à vélo ? Il n’y en a pas, ou plutôt il y en a trop ! Celui qui a gagné une seule course, c’est forcément son meilleur souvenir. Moi j’en ai gagné plus de 200. Et ça a été 200 fois du bonheur !
- Votre pire souvenir ? C’est lorsque l’on doit abandonner. Peut-être le Tour de France 1980, ou quand j’ai dû abandonner à Pau. J’avais la condition pour gagner le Tour mais avec ma blessure au niveau du genou, tout s’est arrêté…
- Maillot Mondrian La Vie Claire ou maillot jaune et noir Renault-Gitane ? Ce sont deux époques différentes avec des maillots qui ont marqué ! Le design, les couleurs et leur beauté les rendaient visibles sur le bord de la route. Ces maillots ont marqué !
- Vélo cadre acier, alu ou carbone ? Il n’y a pas débat : vélo carbone ! Vous savez, j’ai commencé à courir avec des cadres en carbone dès la saison 1985-86.
- Pédales automatiques ou cale-pieds à courroie ? Pédales automatiques, tout simplement parce que j’ai rencontré un personnage qui s’appelle Bernard Tapie. Il m’a dit : « je te signe le contrat pour toi et toute ton équipe si tu me conçois une pédale automatique ». J’ai dit : « Ok ! On va le faire ». Et on l’a fait ! La pédale automatique a offert performance et sécurité. C’est ce qui se fait de mieux.
- Votre col mythique ? Il n’y en a pas. Tous les cols sont beaux ! Quand vous êtes en forme, vous dominez les autres, et tout vous parait (...)
Propos recueilli par Stéphane Dugast.
💬 Extrait du livre « VÉLO ! sport, ville, nature, culture & aventure » paru aux Éditions Glénat Livres.
🛒 À COMMANDER ⬇️ https://urlr.me/dqmFc
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alioversus · 6 months
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Vieux Piano endormi
Attention Fête | 2021
1. Grimper l’escalier, en s’agrippant tant bien que mal à la rampe. Est-ce la lumière du matin déjà ? Qui filtre derrière les persiennes… Il y a du tangage, inutile de le préciser. Et des pensées complètement décousues qui me traversent. Question de magie, d’énergie cosmique… Même pas vraiment dans ma langue maternelle. J’aurai vite fait de manquer une marche, si je ne me concentre pas. La connasse… Et l’autre connard dans le bar. Qu’est-ce qu’il m’a dit, déjà ? J'aurais mieux fait de lui casser la gueule ! Voilà la veilleuse ; et mes paupières lourdes, ma vision trouble. Bien sûr que non, il ne fait pas déjà jour. Voilà la porte. Le front en appui contre le judas, je cherche le trou de la serrure. D’habitude, je fais ça à l’horizontale. Connasse toutes portes ouvertes, mon œil ! Je vois double, c'est le troisième œil. Ça y est, ça rentre… Je peux me prendre les pieds dans le tapis, me taper les épaules dans le couloir et me jeter sur le lit, tout habillé. Oh là… Tu le sens, le passage dans un trou noir ? Effet spaghetti… J’aurais dû prendre une bouteille d’eau. J’aurais dû prendre la peine de pisser avant… C'est bien au-dessus de mes forces désormais. Je suis juste bon à ravaler cette colère — et cette nausée. Pour me sentir minable, j’aurai bien assez de demain, toute la journée. 
2. Non, je ne deviens pas religieux. Je suis beaucoup trop pessimiste pour ça. Il n’empêche que je peux mieux faire le break ici, dans ce monastère, que dans l’une de ces cliniques de merde, en cure de désintox avec d’autres gros cons matérialistes. Je vois bien tout l’intérêt qu’ils y trouvent, les frères : une vie reculée, rituelle, avec un peu de vin, un peu de bière, beaucoup de prière, aucune gonzesse. En camarades. Ils s’opposent à la magie, ils se fichent de l’énergie cosmique, ils se fichent des connasses et des connards. Ils s’en tiennent à leur horloge… Ils s’occupent bien de moi. J’épluche les patates, je fais la vaisselle, j’assiste aux offices, je dors seul comme eux tous, dans un petit lit. Le reste du monde n’existe pas, c’est beaucoup plus paisible comme ça. La journée passe sans qu’on y pense. C’est finalement festif, justement grâce au renoncement. Je me surprends à aimer contempler une assiette, un prie-Dieu, à apprécier l’odeur de la naphtaline, le gris bouloché de leurs chaussettes, le brillant des flageolets. 
3. Travail au potager. Frère Bernard me montre comment se débarrasser des pucerons, comment faire obstacle aux limaces avec des coquilles d’œuf. Il fait chaud. Je le vois suer dans sa bure distendue. Il a vraiment des mains de jardinier, frère Bernard, des mains brunes et cornues, avec le tour des ongles bien noir, comme un carrossier. Je vais chercher l’arrosoir. Frère Matthieu est en joie, planté sans rien faire devant le rosier. Il chantonne, du bout des lèvres, d’une voix haut perchée, androgyne, blanche comme un angelot peint par un pompier. Il est tout extatique, comme comblé par sa propre virginité. Je continue d’avancer, j’ouvre le robinet. Derrière le mur du cloître, il y a une chatte qui n’arrête pas de miauler. De détresse, il me semble. Ça se répète. Ce n’est pas mon problème. Frère Matthieu sait s’en soucier. Il revient un peu plus tard avec la chatte amaigrie et sa portée de chatons à moitié morts, dans un panier en osier. J’aurais laissé tout ça crever, jusqu’au dernier. Je suis une mauvaise personne. Je suis loin d’avoir guéri. Je ferais bien de prolonger cette retraite d’une semaine ou deux, voire même de toute une vie.
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LA PASSION DU VÉLO…
Il fut une époque où j’adorais les balades en vélo, mais depuis la Covid de 2020, j’ai totalement abandonné la monture sous une toile dans le fond du garage pour adopter le tapis roulant du gymnase…
D’autres ont cependant conservé la passion du vélo dont les participants au Tour de l’Île.
Les lumières attachés aux vélos du Tour de nuit 2024 étaient pour le moins, éclatantes…
VOIR REPORTAGE LA PRESSE
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vaevictis2 · 2 years
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Dans les années 1950, juste avant les indépendances, le monde en perdition n’était pas l’Afrique, mais l’Asie qui paraissait alors condamnée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise,  guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l'Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues  sans risquer de se faire attaquer et rançonner.  Ce temps lointain était celui des colonies, époque dont il est impossible de parler d’une manière objective et au sujet de laquelle il est obligatoire de dire que ce fut l’enfer sur terre…   Or, soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant avec des dizaines de milliers de migrants qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont  permanentes, les infrastructures de santé ont disparu, l'insécurité est généralisée et la pauvreté atteint des niveaux sidérants. Quotidiennement, les journaux et les divers organes d'information font état de famines, d'épidémies, de massacres qui montrent que le continent africain s’enfonce chaque jour un peu plus dans un néant dans lequel surnagent quelques îlots pétroliers. 
Que s’est-il donc passé pour que, malgré ses immenses richesses naturelles et en dépit des océans d'aides aveuglément déversées par les pays dits riches, l'Afrique connaisse un tel naufrage, ne parvenant même plus à nourrir sa population ?  Et que l’on ne vienne pas nous parler des aléas climatiques car le continent possède certaines des terres les plus fertiles de la planète sur lesquelles jusqu'à trois récoltes annuelles sont possibles. De plus, l'agriculture africaine n'est pas paralysée par un long hiver, par un tapis neigeux ou par les glaces. Avec ses de 9.000.000 km2, le Sahara représente certes environ 25% de la superficie du continent, mais proportionnellement moins que la toundra eurasienne ou nord-américaine où l'on ne parle pourtant pas de malédiction. 
Le problème est que le continent africain s’auto-suicide avec sa démographie, car, chaque année, l’écart se creuse entre le nombre de bouches à nourrir et les productions alimentaires. La catastrophe est donc programmée. Un exemple : au Sahel, les 10 à 20 millions d'habitants d'avant la colonisation sont aujourd'hui 180 millions. Voilà qui explique pourquoi la subtile alchimie de ce fragile milieu de 3 millions de km2 a été détruite. Au même moment, les 40 millions de Sibériens sont à l'aise sur plus de 13 millions de km2  d’une nature hostile. 
La réalité est que les Africains n'étant pas des Européens pauvres à la peau noire,  parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou celui de l’Asie, nos modèles politiques n'y ont pas réussi.  Or, si la greffe européenne n'a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais : « Ce n’est pas parce qu’il pousse au bord du marigot que le manguier devient crocodile. »
© Bernard Lugan - L’Afrique réelle n°157 - Janvier 2023
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altoviz · 1 year
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Adoré par les uns, détesté par les autres, Bernard Tapie aura marqué l'histoire de l'entrepreneuriat à la Française au point que Netflix lui dédie une série. Retrouvez notre billet sur l'avant première à Canneseries https://altoviz.com/fr/canneseries-deroule-le-tapie-rose-aux-entrepreneurs/?utm_source=Tumblr&utm_medium=social
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jojobegood1 · 1 year
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Bernard Tapie - L'aventure c'est l'aventure - Un jour, un destin - Docum...
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💐💔
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swedesinstockholm · 1 year
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1er juin
sur la plage mon amour, meilleure nouvelle de la journée: mon journal rentre dans ma nouvelle banane eastpack jaune fluo, meilleur achat de ma vie. j’ai un peu repris mon scénario et j’ose toujours pas le relire du début à la fin mais ça va, je l’aime bien, j’aime bien les personnages, surtout le couple de baleines lesbiennes avec la baleine butch qui s’appelle musculus. ce matin je suis enfin retournée sur les rochers et j’ai vu plein de bernard-l’ermite et un énorme crabe qui était camouflé sur le rocher et qui m’a fait peur quand il s’est mis à bouger et je me disais que c’était dommage de pas avoir mis de scène dans les rochers de zone intertidale, où elle pourrait prendre la perspective d’un crabe glissé entre deux rochers, accroché à l’envers à la paroi, caressé par la respiration de l’eau. j’ai cherché partout si y avait pas de poulpe mais zéro trace. pendant que j’étais assise sur un rocher et que je pensais au poulpe j’ai repensé à mon fantasme de poulpe de l’autre jour et j’ai commencé à m’imaginer qu’un poulpe soit tapi entre les rochers et sorte un tentacule pour me toucher. dans la vraie vie je mourrais de peur sur le coup mais dans une fiction j’imagine une scène incroyablement érotique, là sur les rochers, entre une fille nue et un poulpe qui veut lui donner du plaisir. est-ce que je devrais me lancer dans la littérature érotique? alors que j’en ai jamais lue de ma vie et qu’en plus je connais pas le sexe? j’ai envie d’écrire la scène et de la lire à la kulturfabrik mardi prochain, rien que pour voir la tête des gens.
3 juin
ce matin j’ai demandé des recs à r. d. pour ma playlist intitulée shampoo et il m’a envoyé une avalanche de liens youtube avec beaucoup, beaucoup d’enthousiasme et d’abord je me suis dit oh non et j’ai commencé à voir plein de drapeaux rouges partout, mais après je me suis dit: on s’en fout, je cherche pas un mari, je cherche même pas un copain, enfin si, mais je préfèrerais une copine de toute façon, et donc, on s’en fout, le plus important c’est qu’il me fasse du bien, j’aime lui écrire, j’aime qu’il m’aime bien et pense à moi tous les jours, et j’ai très envie de le voir. voilà. peut être que ça va m’apprendre à moins prendre les choses au sérieux, à être plus flexible, plus go with the flow, plus spur of the moment. plus fun plus cool plus chill. avoir plus confiance en moi aussi. j’ai l’impression que j’aurais très confiance en moi si je le rencontrais. ça peut que me faire du bien.
cet après-midi j’ai travaillé sur un texte pour mardi, j’ai fabriqué un espèce de collage de bribes sur la dépression mélangées à des morceaux de poèmes et des citations de philosophes et de sociologues sur la dépression et j’ai enfin l’impression de pouvoir écrire dessus avec du recul. d’écrire sur quelque chose qui ne fait plus partie de ma vie. d’une période révolue. même si je sais que la dépression sera toujours tapie quelque part dans l’ombre enroulée en boule sous un grand chêne à l’intérieur de mon corps et qu’elle peut se réveiller à n’importe quel moment. mais là, elle dort. c’est peut être pour ça aussi que j’ai envie de lire ce texte-là. parce que ça fait plus fiction maintenant. enfin autofiction.
5 juin
j’ai rêvé d’une araignée grosse comme un crabe qui tissait sa toile avec la laine de mon pull irlandais et je disais eh mon pull! et puis c’était plus une araignée mais un poulpe qui défaisait mon pull pour se constituer, il était entièrement constitué de la laine de mon pull, avec les motifs et tout.
8 juin
dans le train pour BRUXELLES et ce matin dans la salle de bain je rigolais toute seule en pensant à demain soir et à mes problèmes ridicules exemple: et si r. d. pense que je me suis foutue de lui parce que mon texte est archi lesbien? je sais même pas s’il sera là, il a dit qu’il essaierait de venir avec sa fille, sa fille, je sais pas pourquoi mais ça m’angoisse encore plus. c’est vraiment nul d’être bisexuelle, j’arrive pas à concilier les deux. il garde sa fille tout le weekend, évidemment ça devait tomber sur celui-là. je sais pas comment je vais faire pour survivre à la journée de demain. d’un côté j’espère qu’il viendra pas, comme ça ça fera un stress en moins.
il faut que je m’entraine à mieux poser ma voix pour demain soir aussi, mardi soir à esch une dramaturge m’a dit que je devrais m’entraîner avec une comédienne pour parler plus du ventre et non de la tête parce que d’après elle ma voix était trop aiguë et trop timide et elle devrait être plus basse parce que c’est important pour une auteure de bien savoir lire, comme ça on est invitée plus souvent, et ça m’a un peu vexée parce je pensais que j’excellais dans la lecture à voix haute mais apparemment non?? on m’aurait donc menti? je reste malgré tout persuadée que je lis très bien mes textes, j’ai quand même réussi à séduire r. d. avec, c’est juste une question de timidité, satanée timidité dont j’arrive pas à me débarrasser, elle est incrustée dans mes cellules, elle et l’anxiété, j’étais morte de peur mardi soir, juste avant que ça commence, quand je me suis rappelé que je devrais répondre à des questions et donc réfléchir vite et avoir quelque chose à dire. je suis arrivée en retard et on m’a présentée au bourreau d’auteurs qui devait me poser des questions, il m’a demandé ce qu’il pouvait dire pour me présenter. il m’a demandé si j’étais intermittente du spectacle et si je gagnais ma vie avec. georges mon fan numéro deux est musicien (lui aussi, décidément) il joue dans plusieurs groupes mais il a aussi un vrai travail à la kulturfabrik, il est raisonnable, il sait se débrouiller, et il doit être moins embarrassé que moi quand on lui demande ce qu’il fait.
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kangdur · 1 year
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Buku dan Kesepianku
Cukup sering aku merasa sepi. Biasalah, kan w suka mengaku sebagai introvert hwhwhw.
Dalam banyak lika-liku kesepian itu, aku juga sering merasa heboh sendiri dalam sepi. Maksudku, aku heboh sendiri saat sendiri. Malah kadang-kadang aku bicara sendiri dan asik sendiri kayak orang indihom, yg bisa lihat hal-hal tak kasat mata. Padahal aku sangat jereh, penakut dgn hal-hal sprti itu.
Oke, skip, kembali ke topik.
Jadi, kemarin, aku beli buku. Ada bazar di gedung Kampung Budaya.
Kukira bakal ada 5-10rb an ky bazaar biasanya yg kutahu. Ternyata ttp mahal-mahal. Misal, harganya 70rb, setelah didiskon jadi? Yap, 69rb!!!! -___-
Meski begitu, aku menekadkan diri untuk setidaknya dpt satu buku. Rasanya sudah lama aku tidak beli buku. Ada perasaan kangen yg aneh yg menjalar di seluruh tubuhku.
Dan, jeng jeng, ... aku dapat bukunya Bernard Batubara "Surat Untuk Ruth". Yeay yeay.
Padahal aku sudah pernah baca bukunya, dulu, saat KKN, pinjem temen satu kelompok.
Tapi ini bukan tentang bukunya, bukan tentang isinya gimana. Ini cuma tentang kerinduan anehku saat membeli/dapat buku baru.
Sesampai di kos, langsung saja kulakukan ritual suci tiap dapat buku baru: Nulis titimangsa, lalu tandanganku, dan namaku. Wkwkwk. Ini sebenernya sanadnya (atau sejarahnya) cukup unik, yaitu aku dan temen sekosku dulu berlomba-lomba siapa yg lebih banyak bukunya. Dan tandatangan itu ada sebab beberapa buku kami judulnya sama, meski beda waktu pembelian.
Sekarang ritual itu punya tambahan makna bagiku, yaitu setiap lihat titimangsa (tgl saat buku itu dibeli/didapat), seketika aku bisa bernostalgia bagaimana peristiwanya, nuansa di sekelilingnya, dll dll. Misal, aku lihat buku yg tulisan titimangsanya tahun 2016. Oh, itu dulu aku beli di gramed, dimana saat itu aku merasa kaya karena uang beasiswa cair, dan masuk ke gramed menjadi semacam prestis tersendiri bagiku (yg biasanya cuma berburu di bazaar satu ke bazaar buku lainnya).
Kurang lebih begitu. Dan buku "Surat Untuk Ruth" ini, mungkin di masa depan nanti, aku akan mengingat bahwa buku ini kubeli ditengah kejenuhanku disengeni, ke stres anku yg tidak kunjung mendapat pencerahan, juga keadaan mental breakdance ku yg sudah kurencanakan kuperbaiki setelah resign kerja dan sampai saat ini msh dibujuk untuk diperpanjang lg seminggu demi seminggu.
Buku ini akan kuingat sebagai kesenangan kecil yg sdh berjasa untuk sedikit meringankan semua beban itu.
Hehehe
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sebastienmauclair · 2 years
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Bernard Tapie condamné à rembourser 400 millions d’euros
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memitodu29 · 8 days
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BERNARD TAPIE ⚽️⚽️#bernardtapie #legend #adidas #adidasfootball #nike #n...
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SAMEDI 14 SEPTEMBRE 2024 (Billet 3/3)
« UNE SOIRÉE RATÉE »
Elle avait pourtant virtuellement bien commencé lorsque JM, pour « fêter » leur 40e Anniversaire de Mariage avec Marina, avait réservé le 6 mai dernier, pour le jeudi 12 septembre, 2 places de théâtre pour aller voir la pièce dont à l’époque tout le monde disait le plus grand bien, tirée d’un film qui a obtenu dans le monde entier un nombre incroyable de récompenses en 1990 : « Le cercle des poètes disparus » avec, dans le rôle principal, Stéphane Freiss.
Nous nous en faisions une joie car nous n’allons pas souvent au théâtre (faut réserver longtemps à l’avance et ce sont des sorties qui coûtent relativement cher…).
Evidemment nous prévoyons toujours un dîner soit avant soit après la représentation. Cette fois-ci, après quelques recherches sur Internet, nous avions choisi de dîner au « Bouillon Julien », 16 rue du Faubourg St Denis, très proche du « Théâtre Libre » où se donnait la pièce.
La séance étant à 21h, nous avions prévu large (en se disant que nous prendrions éventuellement un petit apéro pour rallonger le temps du dîner) et étions devant « Julien » à 19h. Grand bien nous en a pris car nous avons fait un peu plus d’1 heure de queue avant qu’on nous place enfin à table. L’heure tournait, nous avons même failli partir. Du coup, le temps qu’on vienne nous prendre la commande, nous avons mis plus de temps à attendre qu’à dîner. Nous le saurons pour la prochaine fois, ne jamais aller dans ce style de restaurant (« Chartier », « Julien »…), certes typiques, historiques même ! et au rapport qualité/prix imbattable, quand on a prévu quelque chose après.
Pour info (et les amoureux de Paris), nous vous recopions ci-dessous le texte imprimé sur les sets en papier disposés sur les tables.
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BOUILLON JULIEN
« Ici, tout est beau, bon, pas cher »
Au milieu du 19e, un boucher, Pierre-Louis Duval, crée pour les travailleurs des Halles le premier « Bouillon », établissement où l’on sert un repas fort simple mais consistant. Plus tard, Camille et Édouard Chartier reprennent l’idée à leur compte mais installe leurs « Bouillons » dans des décors somptueux. Sur ce modèle, en 1906, Édouard Fournier inaugure à son tour le « Bouillon Julien », véritable perle de l’Art Nouveau : les miroirs, les lumières, les couleurs, les panneaux, en pâte de verre, les extravagantes moulures de staff sculpté de motifs végétaux, féminins ou animaliers, le sol recouvert de carrelages symbolisant des tapis de fleurs sont un ravissement pour les yeux.
Ce somptueux établissement semble n’avoir été créé que pour le plaisir de clients fortuné et pourtant Julien est fier de n’être qu’un authentique « Bouillon ».
N’oubliez pas d’admirer :
Le magnifique bar en acajou de Cuba, arrondi et décoré de volutes et d’arabesques, recouvert d’un tablier d’étain ouvragé. Il a été dessiné et réalisé par Louis Majorelle, décorateur-ébéniste et membre de l’École de Nancy.
La grande verrière du plafond aux motifs végétaux, signée du père du peintre Bernard Buffet, diffuse une lumière douce et gaie.
Les appliques en bronze doré, évoquant des bouquets de tulipes, éclairent les quatre saisons symbolisées par des femmes-fleurs dont les robes sont incrustées de cabochons et de perles de verre coloré. Ces panneaux sont dus à Louis Trezel qui s’est inspiré de l’œuvre du peintre tchèque, Alfons Mucha.
Sur le mur du fond, Armand Segaud signe de splendides panneaux, encadrant un miroir, où des paons sur fond de lune, d’étoiles et de fleurs blanches, symbolisent l’éternité et le paradis.
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LE CERCLE DES POÈTES DISPARUS
Nous sommes rentrés dans le théâtre à 20h45, une très belle salle (archi-peine !) que nous ne connaissions pas. Bien placés au deuxième rang à la corbeille, nous nous attendions à retrouver le charme et l’émotion du film avec Robin Williams qui nous avait tant plu.
Mais, inutile de tourner autour du pot plus longtemps, la pièce ne nous a pas du tout plu. D’abord parce qu’on entendait très, très mal. Les acteurs surjouent un peu le côté « ado » de leurs rôles, font beaucoup de gestes, crient plus qu’ils ne parlent fort. A leur décharge, l’acoustique du théâtre (un ancien music-hall, transformé pendant des années en salle de cinéma) est loin d’être performante. Et, pour finir, Stéphane Freiss en professeur de poésie ne nous a pas du tout convaincus. Pas de charisme, un jeu toujours égal, un peu « fadasse »… Bref, nous avons regardé souvent notre montre, heureusement la pièce ne dure qu’1h30 et nous nous sommes beaucoup ennuyés.
A noter que nos avis ne correspondent pas du tout à ceux des grands critiques de théâtre (du Monde, de Télérama, du Figaro…), peut-être étaient-ils beaucoup mieux placés que nous. De plus, la pièce s’est d’abord jouée au théâtre Antoine, l’acoustique ne doit pas être la même. Il n’y a pas eu de rappels à la fin ni d’enthousiasme débordant dans les applaudissements. Par contre un public très jeune et ça, c’est très sympathique.
De cette soirée (« ratée »), nous ne retiendrons que le très beau décor du « Bouillon Julien »… Quant aux plats, nous les avons choisis parce qu’on nous a dit qu’ils nous seraient servis rapidement. C’était simple et bon, rien à redire.
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deadlinecom · 20 days
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j-avedikian · 1 month
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TOURNAGES LONGS METRAGES / SERIES
2024 :
Fils de, lm de Carlos Abascal Peiro (Fair Play Productions) : perche (chef : Laura Chelfi)
Les rêveurs, lm d'Isabelle Carré (Pan Cinema) : renforts (chef : Antoine Mercier)
Hippocrate S3, série de Thomas Lilti (31 Juin Films) : 2nde perche, renforts, perche de post synchro (chef : François Guillaume)
2023 :
Selon Joy, lm de Camille Lugan (Barney Productions) : perche (chef Gaël Eleon)
Les pistolets en plastique, lm de Jean-Christophe Meurisse (Mamma Roman) : renforts (chef : Lucas Héberlé)
L'esprit Coubertin, lm de Jérémie Sein (Avenue B Productions) : renforts (chef : Gaël Eleon)
2022 :
Madame de Sévigné, lm d'Isabelle Brocard (The Film) : perche (chef : Philippe Deschamps)
Tissu, mini-série de Bonnie El-Bokeili, Charly Akakpo et Robin Deriaud : ingé son
Sous le tapis, lm de Camille Japy (Mandarin et Compagnie) : renforts (chef : François Guillaume)
2021 :
Fifi, lm de Jeanne Aslan et Paul Saintillan (Haïku Films) : perche (chef : Philippe Deschamps)
Maigret, lm de Patrice Leconte (Cine@) : 2nde perche (chef : Paul Lainé)
Détox S1, série de Marie Jardillier (Chapka TV) : renforts (chef : Guillaume Valeix)
Le nouveau jouet, lm de James Hut (Eskwad) : renforts (chef : Pierre André)
2020 :
Hippocrate S2, série de Thomas Lilti (31 Juin Films) : 2nde perche (chef : François Guillaume)
The Ambush, lm de Pierre Morel (Old School Productions) : renforts (chef : Amaury de Nexon)
2018 :
Hippocrate S1, série de Thomas Lilti (31 Juin Films) : 2nde perche (chef : François Guillaume)
2017 :
Au bout des doigts, lm de Ludovic Bernard (Récifilms) : 2nde perche (chef : Amaury de Nexon)
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thomasovigneur · 2 months
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Un autocollant a été apposé sur le monument représentant le logo paralympique, situé place de la Bastille. Cet acte de malveillance a-t-il été commis en toute connaissance de cause, ou par ignorance de ce symbole ? Toute infraction est à condamner. Quand elle concerne le handicap, la circonstance est en outre aggravante. Le sujet du handicap devrait être l’objet d’un consensus universel. Or, des enfants en situation de handicap subissent du harcèlement scolaire de la part d’autres élèves. Des femmes en fauteuil roulant, muettes, ou avec une déficience cognitive sont victimes d’agressions sexuelles. Des commerçants feignent de se tromper en rendant la monnaie, à des personnes non-voyantes. Des cambrioleurs ont attendu que le cancer de Bernard Tapie soit en phase terminale, pour voler et tabasser ce dernier dans son domicile. Les places de stationnement, ou celles dans les transports en commun, réservées aux personnes à mobilité réduite ne sont pas systématiquement respectées par les usagers. Des cyberattaques ciblent des instituts de recherche médicale. L’énumération pourrait continuer longuement. Utilisons la vitrine médiatique des jeux paralympiques dans notre capitale, pour défendre cette cause internationale essentielle. Ma promenade dominicale d’hier était destinée à la détente. Avoir croisé cet emblème dégradé a finalement conforté mes convictions dans la mission dont je suis chargée. « Mission » est le titre d’un film, que j’ai admiré lors de sa sortie au cinéma en 1986.#handicap #jeuxparalympiques
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lire1x · 2 months
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La cuisinière des Kennedy de Valérie Paturaud
As-tu également été bercé.e au rêve américain, aux histoires de succès éclatants à la Bernard Tapie, aux paillettes et à la jet-set ? Pour ma part, un peu, surtout à travers le magazine Paris Match que mon père rapportait à la maison chaque semaine. Les Kennedy sont indéniablement l’une des familles les plus exposées médiatiquement depuis les années 50. Même si leur présence est moins marquée de…
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