#Attaque terroriste
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Attaque terroriste près de l'ambassade d'Israël à Belgrade
Un inconnu a commis une attaque terroriste près de l’ambassade d’Israël à Belgrade, la capitale serbe. Un inconnu a tiré avec une arbalète sur un policier serbe de la garde de l’ambassade israélienne. Le ministre de l’Intérieur, Ivica Dacic, a déclaré qu’une flèche avait touché un policier au cou, mais que celui-ci avait réussi à tirer sur l’agresseur et à le tuer. 🇷🇸 🇮🇱 BELGRADE, UN HOMME TIRE…
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Au Burkina Faso, face aux attaques terroristes, les autorités ne reculent pas.
Les attaques terroristes ne decouragent pas les autorités au Burkina Faso
Au Burkina Faso, les attaques terroristes continuent d’endeuiller les familles dans le pays. Le 04 septembre, plus de 50 combattants composés de 17 soldats et d’une trentaine de volontaires pour la défense de la patrie VDP, ont été tués dans une attaque terroriste cordonnée. Le président Ibrahim Traoré, dote l’armée d’equipements militaires Selon des experts locaux, ce qui a poussé les…
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🚨BREAKING : L'un des terroristes qui ont tué plus de 130 innocents lors de l'attentat contre la salle de concert de Moscou, Rustam Azhiyev, a été identifié comme étant un citoyen ukrainien et un "ancien" soldat. ⚠️
Poutine a également accusé l'Ukraine de préparer une "fenêtre" pour aider les suspects à s'échapper.
#crocus city hall#moscou#je suis moscou#moscow#attaque#terrorist attack#terrorisme#terrorists#terrorism#terrorist#terroristes#ukraine#je suis russie#russie#daesh
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Attaques terroristes au Mali : les FAMA ripostent et neutralisent de nombreux terroristes
Dans la matinée du 28 janvier 2024, plusieurs terroristes ont attaqué simultanément les villages de Fabacoura et de Bouyagui-were, au Mali. Ils ont fait des victimes parmi les populations, pillé leurs biens et emporté plusieurs têtes de bétails. Alerté, le vecteur aérien a repéré la base des terroristes dans une forêt située au nord du village de Bassaro-Were. Une frappe précise a détruit cette…
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Insécurité dans l'Est : Les FARDC rassurent après une attaque sanglante des terroristes ADF contre les civils à Beni
Les Forces armées de la République démocratique du Congo ont lancé un appel au calme après une attaque des rebelles ADF contre la localité de Ngite, sur la route Beni-Oicha (Nord-Kivu) dans la soirée du mardi 23 janvier dernier. Le porte-parole des opérations Sokola 1 Grand Nord-Kivu rapporte que l’ennemi a été contré et que les opérations de ratissage se poursuivent dans la contrée pour…
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#Insécurité dans l&039;Est#le capitaine Antony Mualushayi.#Les FARDC rassurent après une attaque sanglante des terroristes ADF contre les civils à Beni
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
#article copié en entier car réservé aux abonnés#rien ne me surprend dans cet article mais ça m'attriste...#racism#upthebaguette#whatthefrance#french side of tumblr#french#en français#maghreb#mena#arabe#islam#muslims
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Menacé par la Gestapo, Netanyahu ne viendra pas célébrer les 80 ans des fausses chambres à gaz d’Auschwitz.
Le tribunal de Nuremberg est catégorique : la place des juifs est en prison.
Avouez que personne ne s’attendait à ce retournement.
Les juifs menacés d’être arrêtés à Auschwitz sur ordre du tribunal de Nuremberg, c’est un sacré rebondissement.
Middle East Eyes :
Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, ne participera pas à un événement marquant le 80e anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitz en Pologne, de crainte qu’il ne soit arrêté et remis à la Cour pénale internationale (CPI), ont rapporté les médias polonais. Wladyslaw Bartoszewski, vice-ministre polonais des affaires étrangères, qui organise la cérémonie, a déclaré au journal polonais Rzeczpospolita que Varsovie s’engageait à respecter les décisions de la CPI.
Le mois dernier, la Cour de La Haye a émis des mandats d’arrêt à l’encontre de M. Netanyahou et de Yoav Gallant, l’ancien ministre israélien de la défense. Les deux hommes sont accusés du « crime de guerre de famine en tant que méthode de guerre et des crimes contre l’humanité de meurtre, de persécution et d’autres actes inhumains » pendant la guerre qu’Israël mène actuellement contre Gaza, depuis les attaques menées par le Hamas le 7 octobre.
Les juifs sont effectivement des criminels
Les 124 membres du Statut de Rome, le traité qui a institué la CPI, sont désormais tenus d’arrêter les deux dirigeants israéliens et de les remettre à la Cour. La Pologne fait partie des signataires. Selon Rzeczpospolita, M. Netanyahou et le président israélien Isaac Herzog ne devraient pas assister à la cérémonie du 27 janvier à Auschwitz. Le ministre israélien de l’éducation, Yoav Kisch, devrait être présent.
Plusieurs signataires, dont les Pays-Bas, la France, le Royaume-Uni, l’Irlande et la Belgique, ont indiqué qu’ils respecteraient la décision de la CPI. Toutefois, la France a déclaré par la suite qu’elle pensait que M. Netanyahu était couvert par l’immunité en tant que chef de gouvernement en exercice parce qu’Israël n’est pas membre de la CPI, bien que des experts juridiques internationaux aient rejeté cette interprétation. La CPI ne dispose pas de pouvoirs d’exécution, mais compte sur la coopération des États membres pour arrêter et remettre les suspects.
C’est une grosse affaire, car Auschwitz est l’épicentre de la propagande juive internationale. C’est un lieu incontournable de la religion des démocraties, mais aussi le mythe fondateur de l’entité sioniste. Les juifs commettent à peu près tous les crimes qu’ils veulent grâce à ce lieu mythologique.
Voir le roi des juifs en être interdit d’accès sous menace d’arrestation est très significatif.
L’impunité des juifs s’érode à la vue des crimes à grande échelle qu’ils commettent en Palestine et ailleurs. Et notez que c’est en Europe où les juifs exercent pourtant une formidable influence.
Imaginez dans le reste du monde.
Auschwitz, ce n’est pas sérieux
La prison d’Auschwitz n’a jamais été une usine à gazer des philanthropes juifs, mais un vaste complexe industriel destiné à l’effort de guerre allemand.
Il n’y avait d’ailleurs pas un camp, mais plusieurs auxquels étaient adjoints un grand nombre d’usines. Le nec plus ultra de la technologie de l’époque.
Comme les juifs sont des terroristes et des espions nés, les Allemands avaient judicieusement décidé de les retirer de la société pour les mettre au travail dans cette prison, ainsi que dans d’autres.
Les conditions étaient spartiates, mais celles sur le Front de l’Est l’étaient infiniment plus pour le soldat allemand. C’était donc un geste d’une incroyable générosité que de leur accorder un toit sur la tête. D’ailleurs, les baraquements de cette prison d’Auschwitz étaient chauffés. Les cheminées en briques sont encore visibles.
Et bien sûr, il y avait des endroits de loisir, comme la piscine.
À Auschwitz, il y avait des prisonniers de guerre, en plus des juifs. Les Gallois avaient par exemple leur propre équipe de football.
Enfin, les juifs avaient diverses activités, y compris des orchestres de musique classique pour tuer le temps.
Ce que les juifs montrent depuis 80 ans, c’est la morgue de la prison qui était équipée d’un système de crémation pour traiter les corps des malades décédés en cas de pandémie. Autrement dit, ces fours servaient à protéger les prisonniers.
Pour cette ville qu’était la prison d’Auschwitz, il y avait un total de 25 fours individuels. En cas d’épidémie soudaine, quelques centaines de corps de malades décédés devaient pouvoir être rapidement incinérés pour contenir l’infection qui, sinon, pourrait devenir hors de contrôle et tuer les prisonniers, mais aussi le personnel de la prison.
Avec une température de 700 degrés environ pour ce type de fours au coke, il aurait fallu 15 ans pour incinérer un million de corps sans aucune interruption.
Personne doté d’un cerveau fonctionnel ne peut sérieusement croire aux affabulations de ces juifs après avoir pris une ou deux heures d’analyse critique de toute l’affaire.
C’est simplement idiot.
Les juifs le savent et font arrêter tous ceux qui disent que c’est idiot.
La série de Vincent Reynouard sur le sujet mérite d’être visionnée, ce n’est pas si long et cela permet de passer en revue dans le détail les affabulations outrancières de ces juifs à propos de ce centre de rééducation par le travail.
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Démocratie Participative
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On tenterhooks this year to see how the PLO er, (whatever the Palestinians are calling their foreign terror operations these days) will redeux 1972 at the Paris Lutèce Summer Olympics this year, because you know they will.
...notwithstanding that with the opening day's attaque à la SNCF, a coordinated "sabotage" involving l'incendie de câbles in the same manner as the 2007 SNCF sabotage attacks, we've already seen one terrorist sequel, and summer sequels are just never as good as the originals. But the one constant of humanity is that people keep making the same mistakes over and over -- so unfortunately I can't imagine them not doing it and certainly not calling it Black September II; Grey July or Bloody August
#🇵🇸#🇫🇷#🇮🇱#🇷🇺#olympics#the plo could just do the pentathlon or biathlon or something but no they don't grasp the carefree concept of the olympic games#or you know do a jessie fucking owens and outright beat your opponents and even if they didn't they could get some good pr for playing nice#sportsmanship#imho
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Il y a 22 ans jour pour jour, le 11 Septembre 2001, 2977 personnes perdaient la vie, dont 343 pompiers et 60 policiers, dans la plus grande attaque terroriste islamiste de l'histoire des États-Unis.
Pensées pour les victimes, les survivants, les familles endeuillées 🕯️
N’oublions jamais ! 🙏🏻 🕊️
#11settembre#11septembre#11septembre2001#september 11th#attentat#attentat terroriste#terrorisme#islamisme#islamism#etats unis#united states#new york#world trade center#ne jamais oublier#never forget#gif#gifs
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Le Shin Bet et la police ont empêché une attaque terroriste planifiée par un habitant de Galilée
Le Shin Bet et la police ont déclaré dans un communiqué commun avoir empêché l’attaque terroriste du 12 août, planifiée par un habitant de 23 ans du village d’Araba en Galilée. Selon le rapport, Basel Abaara, 23 ans, prévoyait de mener une attaque terroriste combinée utilisant des engins explosifs et des armes à feu contre des pèlerins juifs visitant les tombes des justes en Galilée. Dans les…
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🤔🤔🤔. En une heure à chaque fois ils nous disent l’inverse de ce que vous devriez savoir.
- Notre Dame ce n’était pas terroriste
- Le Covid était un pangolin
- Le vaccin était la panacée
- Brigitte est une femme voir Balkany
- Le 11/09 c est Ben Laden
- On a marché sur la Lune mais on y a laissé le photographe
- Butcha c est les russes
- Nord Stream ce sont les ukrainiens
- Crocus ce sont les musulmans
Tout ce qui précède est faux avec 99,99% de certitude. Et bien ils disent que ce n’est pas un acte voulu … ils se trompent … peut être. La chasse au vampires a t’elle commencé ?
Par deux fois, les lumières s’éteignent au bon moment, comme s’il s’agissait d’une cyberattaque délibérée. Le moment était venu avant qu’il n’atteigne le pont. Cela s’est produit tard dans la nuit, alors que tout le monde dormait. Le port est l'un des plus fréquentés du pays et une plaque tournante importante pour le transport maritime sur la côte est des États-Unis, notamment pour le transport de véhicules routiers. Elle gère également des machines agricoles, des machines de construction et du charbon. Cet effondrement entraînera d'énormes perturbations dans le transport maritime dans l'un des ports les plus fréquentés de la côte est des États-Unis et sur les routes. Le pont permet aux navires commerciaux d'entrer dans le port de Baltimore, l'un des principaux ports des États-Unis en termes de volume et de valeur des cargaisons. Il s’agit du plus grand port américain de manutention de voitures et de camions légers. Le FBI a déjà déclaré qu'il ne s'agissait pas d'une attaque terroriste. Pouvons-nous vraiment faire confiance au FBI pour une enquête ? »
Merci Shadow !
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Au Niger, une centaine d’hommes armés tués par des soldats nigériens à Tillabéry.
L'armée nigérienne attaquée mais elle est debout contre vents et marrées...
Au Niger, des hommes armés terroristes ont attaqué le jeudi 28 septembre, des positions de l’armée nigérienne à Tillabéry, l’objectif était de tuer de soldats nigériens et de récupérer des armes ainsi que des munitions. Mais c’est savoir la force de la riposte des soldats nigériens. Le Général Abdourhamane Tiani garde son sans froid devant toutes les situations auxquelles son pays est confronté,…
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Mali: Deuil national de 3 jours décrété après l'attaque terroriste sanglante du bâteau Tombouctou
D’après les premières constatations, 49 civils et 15 soldats des FAMA ont été tué dans cette attaque. Les autorités maliennes décrètent un deuil national de trois (03) jours en hommage aux victimes civiles et militaires de l’attaque terroriste contre un bateau dans le nord-est du pays. Un décret présidentiel publié jeudi a déclaré un deuil national de trois jours sur l’ensemble du territoire du…
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#3 jours#Assimi Goita#attaque#Bamba#bâteau#coup d’état#décrété#Deuil#Gao#Koulikoro#Mali#national#sanglante#terroriste#Tombouctou#transition
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Insécurité dans l'Est : Les FARDC rassurent après une attaque sanglante des terroristes ADF contre les civils à Beni
Les Forces armées de la République démocratique du Congo ont lancé un appel au calme après une attaque des rebelles ADF contre la localité de Ngite, sur la route Beni-Oicha (Nord-Kivu) dans la soirée du mardi 23 janvier dernier. Le porte-parole des opérations Sokola 1 Grand Nord-Kivu rapporte que l’ennemi a été contré et que les opérations de ratissage se poursuivent dans la contrée pour…
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#Insécurité dans l&039;Est#le capitaine Antony Mualushayi.#Les FARDC rassurent après une attaque sanglante des terroristes ADF contre les civils à Beni
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Replay–Menace terroriste: «Nous avons créé Al-Qaïda»–Hillary Clinton, 2009
«Nous ne voulions pas voir les Soviétiques contrôler l'Asie centrale», expliquait-elle, auditionnée par le Congrès.
«Alors nous nous sommes mis au travail.»
La chef de la diplomatie US détaillait avec franchise la stratégie américaine d’apprentis sorciers:
C’est le président Reagan, en partenariat avec un Congrès démocrate qui a dit : "Vous savez quoi, c'est une bonne idée, c’est super."
«Recrutons ces moudjahidines,et faisons en sorte d’en faire aussi venir d'Arabie saoudite et d’ailleurs pour amener leur marque d'islam wahhabite.»
Le 15 septembre, Le Figaro et BFM, ont crié (https://www.lefigaro.fr/actualite-france/al-qaida-menace-la-france-et-la-suede-d-une-attaque-terroriste-20230915) à l’«alerte rouge», brandissant la menace d’«attentats terroristes»contre la France et la Suède.
En 2015, l’intervention de la Russie en Syrie a mis a nu l'ingénierie terroriste (https://t.me/kompromatmedia/3067) de la CIA et du Pentagone.
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« Alerte terroriste maximale » pour les JO de Paris selon les USA (et Israël)
Mes chers amis goyim, il se passe des choses mystérieuses.
Laurence Haïm – qui est juive – nous en informe.
Les « cyber attaques paralysant tout » ne figurent pas dans le registre de compétences du groupe terroriste moyen. Ni d’aucun groupe terroriste. Il s’agit donc d’un état.
Des gens avec des drapeaux à étoile de David confirment.
Qui pourrait donc vouloir cibler les Jeux Olympiques ?
Impossible de le savoir, même si d’après les juifs ce sont des bougnoules.
Des bougnoules dotés de moyens cyber offensifs.
Des super bougnoules en résumé.
Emmanuel Macron doit savoir ce que ces gens savent, mais il n’est pas inquiet.
Il remercie le forum économique mondial de Davos pour son soutien.
Cependant, il travaille dans l’ombre.
Europe 1 :
Face au blocage des institutions, Emmanuel Macron pourrait démissionner, mais le chef de l’État dispose d’une autre solution : le recours à l’article 16 de la Constitution, qui lui confère les pleins pouvoirs. Selon nos informations, Emmanuel Macron a discuté de cette hypothèse avec plusieurs proches. Ce mardi matin, le palais de l’Élysée a fait savoir qu’il démentait. Il existe deux conditions pour actionner l’article 16 de la Constitution : une menace insurrectionnelle, susceptible de remettre en cause l’intégrité du territoire ou l’interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics. Ce deuxième cas pourrait être choisi par Emmanuel Macron après ces législatives. Le chef de l’État pourrait alors s’arroger tous les pouvoirs. « S’il décide d’actionner l’article 16, le président est tout à fait libre, aucun contre-pouvoir, aucune autre formalité qui lui est demandée, mais au bout de 30 jours, les oppositions peuvent saisir le Conseil constitutionnel pour faire reconnaître ou non la validité de cet article 16″, explique Anne-Charlène Bezzina, spécialiste de la Constitution. « Bien que dans la situation actuelle l’utilisation de l’article 16 paraît totalement disproportionnée. » La Constitution ne prévoit pas de durée maximale d’exercice de ces pouvoirs exceptionnels, seul le Conseil constitutionnel peut apprécier, après 60 jours, si son usage est toujours justifié. Jusqu’ici, l’article 16 n’a été utilisé qu’une seule fois dans l’histoire de la Vème République, c’était en 1961, par le général de Gaulle, après la tentative de putsch des généraux.
Cette fausse cyber attaque russe téléguidée par les alliés de Macron promet d’être divertissante.
Démocratie Participative
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