#Ministre de la défense
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Tchad : Le tout-puissant ministre de la Défense démissionne à son tour pour une affaire de sexe.
Tchad: le tout-puissant ministre des armées démissionne à son tour.
Le gouvernement de M. Saleh Kebzabo est-il au bord de gouffre? On ne le sait pas pour l’instant. Cependant, après la démission soudaine du secrétaire général du gouvernement, M Haliki Choua Mahamat, le ministre de la Défense nationale, vient de rendre le tablier. M. Daoud Yaya Brahim, ministre des Armées, des anciens combattants et des victimes de guerre a démissionné de ses fonctions en moins…
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Affrontements FARDC-M23/RDF près de Goma : Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu pour palper de très près la situation
Jean-Pierre Bemba est finalement descendu sur le terrain des affrontements au Nord-Kivu où la partie congolaise fait face au groupe armé M23 depuis de nombreux mois. Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février puis a été accueilli par les autorités locales dont les généraux Peter Cirimwami, gouverneur militaire, et Sikabwe Fall, commandant des opérations militaires…
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#Affrontements FARDC-M23/RDF#Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu#Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#palestine#free palestine#zionism#colonialism#racism#israel#genocide#cultural heritage#french#upthebaguette#french side of tumblr#bee tries to talk
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«L’Ukraine est une machine à blanchir l’argent» du complexe militaro-industriel et de l’élite de Washington: le ministre de la Justice de Trump s’attaquera-t-il au clan Biden?
«Ce que veulent obtenir ces entrepreneurs de la défense, c'est vers une guerre à faible rendement, mais à long terme, d’avoir une guerre de 20 ou 30 ans», explique Matt Gaetz.
Et que si nous avions encore l'Afghanistan pour blanchir de l'argent, il ne serait probablement pas nécessaire de s'impliquer autant en Ukraine.
Selon un rapport du FBI (https://www.dailymail.co.uk/news/article-12320527/RELEASED-FBI-document-detailing-alleged-10M-Biden-bribery-scheme-publicized-Republicans-Burisma-CEO-Zlochevsky-called-Hunter-stupid-necessary-board-dad-Vice-President-Joe-Biden-protect-problems.html), la société pétrolière et gazière ukrainienne Burisma a versé à Hunter et Joe Biden chacun 5 millions de dollars en pots-de-vin.
Ces pots-de-vin s'ajoutaient aux plus de 4 millions de dollars au total versés à Hunter Biden et à son partenaire commercial Devon Archer, condamné (https://lanouvelletribune.info/2022/03/usa-un-proche-du-fils-de-biden-condamne-pour-fraude/) à de la prison en mars 2022.
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le nouveau ministre des Affaires étrangères Jean-Noël #Barrot fait une tournée au Tchad, en Éthiopie et au Sénégal. Sa « toute première"!
Quelques heures plus tard : Grande victoire diplomatique !
- le #Sénégal annonce que les troupes françaises doivent quitter le pays
- le #Tchad annonce la rupture des accords de défense avec la France ».
A sa décharge, voyant arriver un français doté d"une pareille tête de con, Bassirou Faye et Mahamat Deby se sont dit" eh ben, elle est belle la France de 2024 ! C'est tout ce que Macreux a pû dégoter ?
Rappelons que c’est le même Barrot qui veut envoyer des soldats français en #Ukraine !
Selon RFI, la rupture de l’accord de défense entre le Tchad et la France serait lié à l’arrogance du nouveau ministre des Affaires Étrangères, Jean-Noël Barrot.
- Il aurait accusé le Tchad de soutenir les rebelles au Soudan et exigé un « report des législatives tchadiennes pour plus d’inclusivité ».
- Face à cette arrogance, Mahamat Idriss Déby Itno serait « entré dans une colère froide » et aurait suspendu l’accord de défense franco-tchadien.
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Menacé par la Gestapo, Netanyahu ne viendra pas célébrer les 80 ans des fausses chambres à gaz d’Auschwitz.
Le tribunal de Nuremberg est catégorique : la place des juifs est en prison.
Avouez que personne ne s’attendait à ce retournement.
Les juifs menacés d’être arrêtés à Auschwitz sur ordre du tribunal de Nuremberg, c’est un sacré rebondissement.
Middle East Eyes :
Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, ne participera pas à un événement marquant le 80e anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitz en Pologne, de crainte qu’il ne soit arrêté et remis à la Cour pénale internationale (CPI), ont rapporté les médias polonais. Wladyslaw Bartoszewski, vice-ministre polonais des affaires étrangères, qui organise la cérémonie, a déclaré au journal polonais Rzeczpospolita que Varsovie s’engageait à respecter les décisions de la CPI.
Le mois dernier, la Cour de La Haye a émis des mandats d’arrêt à l’encontre de M. Netanyahou et de Yoav Gallant, l’ancien ministre israélien de la défense. Les deux hommes sont accusés du « crime de guerre de famine en tant que méthode de guerre et des crimes contre l’humanité de meurtre, de persécution et d’autres actes inhumains » pendant la guerre qu’Israël mène actuellement contre Gaza, depuis les attaques menées par le Hamas le 7 octobre.
Les juifs sont effectivement des criminels
Les 124 membres du Statut de Rome, le traité qui a institué la CPI, sont désormais tenus d’arrêter les deux dirigeants israéliens et de les remettre à la Cour. La Pologne fait partie des signataires. Selon Rzeczpospolita, M. Netanyahou et le président israélien Isaac Herzog ne devraient pas assister à la cérémonie du 27 janvier à Auschwitz. Le ministre israélien de l’éducation, Yoav Kisch, devrait être présent.
Plusieurs signataires, dont les Pays-Bas, la France, le Royaume-Uni, l’Irlande et la Belgique, ont indiqué qu’ils respecteraient la décision de la CPI. Toutefois, la France a déclaré par la suite qu’elle pensait que M. Netanyahu était couvert par l’immunité en tant que chef de gouvernement en exercice parce qu’Israël n’est pas membre de la CPI, bien que des experts juridiques internationaux aient rejeté cette interprétation. La CPI ne dispose pas de pouvoirs d’exécution, mais compte sur la coopération des États membres pour arrêter et remettre les suspects.
C’est une grosse affaire, car Auschwitz est l’épicentre de la propagande juive internationale. C’est un lieu incontournable de la religion des démocraties, mais aussi le mythe fondateur de l’entité sioniste. Les juifs commettent à peu près tous les crimes qu’ils veulent grâce à ce lieu mythologique.
Voir le roi des juifs en être interdit d’accès sous menace d’arrestation est très significatif.
L’impunité des juifs s’érode à la vue des crimes à grande échelle qu’ils commettent en Palestine et ailleurs. Et notez que c’est en Europe où les juifs exercent pourtant une formidable influence.
Imaginez dans le reste du monde.
Auschwitz, ce n’est pas sérieux
La prison d’Auschwitz n’a jamais été une usine à gazer des philanthropes juifs, mais un vaste complexe industriel destiné à l’effort de guerre allemand.
Il n’y avait d’ailleurs pas un camp, mais plusieurs auxquels étaient adjoints un grand nombre d’usines. Le nec plus ultra de la technologie de l’époque.
Comme les juifs sont des terroristes et des espions nés, les Allemands avaient judicieusement décidé de les retirer de la société pour les mettre au travail dans cette prison, ainsi que dans d’autres.
Les conditions étaient spartiates, mais celles sur le Front de l’Est l’étaient infiniment plus pour le soldat allemand. C’était donc un geste d’une incroyable générosité que de leur accorder un toit sur la tête. D’ailleurs, les baraquements de cette prison d’Auschwitz étaient chauffés. Les cheminées en briques sont encore visibles.
Et bien sûr, il y avait des endroits de loisir, comme la piscine.
À Auschwitz, il y avait des prisonniers de guerre, en plus des juifs. Les Gallois avaient par exemple leur propre équipe de football.
Enfin, les juifs avaient diverses activités, y compris des orchestres de musique classique pour tuer le temps.
Ce que les juifs montrent depuis 80 ans, c’est la morgue de la prison qui était équipée d’un système de crémation pour traiter les corps des malades décédés en cas de pandémie. Autrement dit, ces fours servaient à protéger les prisonniers.
Pour cette ville qu’était la prison d’Auschwitz, il y avait un total de 25 fours individuels. En cas d’épidémie soudaine, quelques centaines de corps de malades décédés devaient pouvoir être rapidement incinérés pour contenir l’infection qui, sinon, pourrait devenir hors de contrôle et tuer les prisonniers, mais aussi le personnel de la prison.
Avec une température de 700 degrés environ pour ce type de fours au coke, il aurait fallu 15 ans pour incinérer un million de corps sans aucune interruption.
Personne doté d’un cerveau fonctionnel ne peut sérieusement croire aux affabulations de ces juifs après avoir pris une ou deux heures d’analyse critique de toute l’affaire.
C’est simplement idiot.
Les juifs le savent et font arrêter tous ceux qui disent que c’est idiot.
La série de Vincent Reynouard sur le sujet mérite d’être visionnée, ce n’est pas si long et cela permet de passer en revue dans le détail les affabulations outrancières de ces juifs à propos de ce centre de rééducation par le travail.
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Démocratie Participative
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Le nouveau ministre de la Santé devrait logiquement faire lever le secret-défense sur la "crise covid"…
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Le premier uniforme militaire Français n'apparaître que lors de la moitié du XVIIe siècle et il faudra ainsi attendre la personne de François Michel Le Tellier de Louvois pour que l’apparition de l’uniforme militaire obligatoire arrive en France.
Uniforme des Zouaves. Infanterie Légère de l'Armée Français active de 1830 à 1962. Le nom de l'unité provient de la confédération tribale Kabyle du nom de Zouaoua, qui en août 1830 seront recruté par Louis Auguste Victor de Ghaisne, chef de l'Expédition d'Alger, comte de Bourmont suivant les conseils de Louis-Philibert d'Aubignosc. Ainsi, une première unité de 500 Zouaves sera recrutée parmi ceux ayant servi l'Empire Ottoman. Officieusement, cette unité est donc créer en Août 1830, mais ça ne sera que quelque mois plus tard sous la demande du successeur du Comte de Bourmont, le Général Clauzel que le Général Gérard, alors Ministre de la Guerre sera par arrêté, prescrit officiellement la création d'un "Corps d'Arabes Zouaves" répartie en deux bataillons et qui seront placé sous les ordres du Capitaines Duvivier et Maumet. Un des critères est que le soldat doit être tous indigène. En Mars 1831, l'ordonnance royale confirmera bel et bien la création de cette formation, mais aussi de deux escadrons de zouaves à cheval qui seront connus comme les "Chasseurs Algérien", mais elle sera éphémère car intégré dés 1832 aux "Chasseurs d'Afrique". Ils seront finalement dissous en 1962 après le départ de la France d'Algérie.
Uniforme de la Garde de Paris, composante de Garde Nationale Française de 1789 à 1868. La Garde Nationale Française est historiquement l'ensemble des milices de citoyens formées dans chaque commune au moment de la Révolution française, à l’instar de celle de Paris et placés sous le commandement de La Fayette. Cette garde sera créée en même temps que soixante District divisant Paris par l'Ordonnance de Jacques Necker en 1789, résultat d'une convocation des états généraux. Cette unité sera ainsi divisée en soixante bataillons qui porteront le nom de leur district d'origine. Elles ont existé (Garde de Paris et Garde Nationale Française) sous tous les régimes politiques de la France jusqu'à sa dissolution en juillet 1871 (La Garde de Paris ayant été entièrement intégré à la Garde National Français en 1868), aux lendemains des insurrections communalistes qu'elle a soutenues et de la répression de la Commune de Paris. Elle sera une milice citoyenne chargée du maintien de l'ordre et de la défense militaire de Paris, elle sera active dans de nombreuses batailles et sera finalement dissoute après l'épisode de la Commune.
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22 décembre 2023 | Par David Perrotin
La présidente du tribunal a déclaré que s’il n’y a pas « la preuve d’un projet abouti », les membres avaient « l’intention de troubler gravement l’ordre public » . La défense dénonce une décision « dangereuse », « morale » et « politique ».
Allaient-ils retourner en prison ? Dans son délibéré rendu ce vendredi 22 décembre lors d’une audience extrêmement tendue, la 16e chambre correctionnelle du tribunal de Paris a décidé que les sept militants de « l’ultragauche » jugés pendant quatre semaines en octobre dernier pour « association de malfaiteurs terroriste » ne seront pas incarcérés. Les juges ont toutefois estimé qu’ils étaient tous coupables et les condamnent à de la prison ferme assortie à du sursis.
Florian D., présenté comme le leader du groupe, qui avait combattu en 2017 au Rojava (nord-est de la Syrie) contre le groupe djihadiste État islamique a été condamné à cinq ans de prison, dont trente mois avec sursis. Il pourra toutefois bénéficier d’un aménagement de peine pour le temps de prison ferme qu’il lui reste à effectuer alors que le parquet avait requis six ans de prison avec mandat de dépôt différé.
Pour les six autres, les peines vont de deux à quatre ans de prison mais aucun ne sera incarcéré, la plupart ayant aussi déjà passé du temps en détention provisoire. Aussi, ils ont tous l’interdiction d’entrer en contact entre eux, alors que certains sont amis depuis l’enfance, et ils ne peuvent plus porter une arme pendant dix ans.
« Le but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation et la terreur » est « caractérisé par la volonté exprimée à plusieurs reprises […] de porter atteinte à l’intégrité de policiers, de s’emparer d’armes », ou encore d’« organiser une milice armée », a déclaré la présidente au début de la lecture de la décision selon l’AFP. S’il n’y a pas « la preuve d’un projet abouti », les membres de ce groupe en avaient « l’intention ».
Alors comment interpréter cette décision ? « La motivation succincte lue à l’audience par la présidente du tribunal signe une extension grave et politique de la notion de terrorisme », dénonce Raphaël Kempf, le conseil de Florian D., auprès de Mediapart. « Le tribunal considère comme terroristes des intentions de s’en prendre à des policiers ou à des véhicules de police notamment dans un contexte de manifestation. Il accorde aux forces de l’ordre une protection spécifique de lois antiterroristes, alors qu’il existe dans le Code pénal une aggravation des peines encourues contre ceux qui s’en prennent aux policiers. »
Dès leur interpellation en décembre 2020, Gérald Darmanin félicitait les policiers de la DGSI qui « protègent la République contre ceux qui veulent la détruire ». « Merci une nouvelle fois pour leur action contre ces activistes violents de l’ultragauche », ajoutait le ministre de l’intérieur, laissant penser qu’un projet précis avait été déjoué.
Les trois semaines d’audience suivies par Mediapart ont toutefois montré combien le travail des services de renseignement pouvait être controversé. Selon la défense, certaines retranscriptions auraient été manipulées et une expertise, centrale dans ce dossier, était totalement exagérée. Documents à l’appui, les douze conseils avaient sérieusement remis en cause le travail de la DGSI et mis en lumière des « biais », des « manipulations » et « les erreurs » des services de renseignement.
Les avocats n’avaient aussi cessé de demander que le tribunal fasse témoigner les agents anonymes de la DGSI en question accusés d’avoir établi des procès-verbaux mensongers ou tronqués. Ils souhaitaient aussi que certains scellés soient brisés pour vérifier notamment si certaines graves accusations étaient avérées. L’un des prévenus était ainsi suspecté d’avoir un plan du dispositif de sécurité du défilé du 14 Juillet laissant penser qu’il projetait une attaque par drone. Il s’agissait selon lui d’un simple mème très partagé sur les réseaux sociaux montrant un plan des Champs-Élysées en forme de pénis.
Mais dans sa décision rendue ce vendredi, la présidente a rejeté toutes ces demandes introduites par la défense pendant les quatre semaines de procès.
Même le parquet, dans ses réquisitions, n’avait pas osé une définition si extensible de cette infraction qui permettra demain d’incriminer de nombreux opposants.
Au tribunal, les sept individus, paraissant pourtant plus proches d’une bande liée par l’alcool et l’ennui du confinement, étaient décrits par l’accusation comme des terroristes prêts à tuer. Ils n’avaient cependant, de l’aveu même du parquet, aucun projet imminent.
Les éléments matériels étaient toutefois reconnus. Ils avaient bien joué à fabriquer des explosifs pour tuer le temps du confinement, détenaient pour certains des armes et avaient joué des parties d’Airsoft. Des jeux de pistolet à billes pour la défense, des entraînements paramilitaires pour l’accusation. De la littérature d’extrême gauche et de nombreux propos tronqués et privés ont fait le reste pour asseoir la conviction qu’ils avaient une intention terroriste.
« Il s’agit ici d’une décision dangereuse, plus morale que juridique, estime Lucie Simon, l’avocate de Camille, condamnée à trois ans de prison, dont deux avec sursis. Une décision qui donne le sentiment amer d’une juridiction qui n’a que faire de tous les débats exposés pendant près d’un mois d’audience. »
Pour l’avocate, les peines « peuvent paraître absurdes ». « L’interdiction d’entrer en contact qu’on pouvait comprendre pendant la phase d’instruction, sonne comme une punition presque perverse notamment pour certains qui sont amis de longue date », commente-t-elle.
Lucie Simon, qui annonce que sa cliente fera appel, estime aussi que cette décision marque un tournant. « Il n’est plus nécessaire pour caractériser l’association de malfaiteurs terroristes de relier ses membres ni à une organisation terroriste, ni à une idéologie violente ou terroriste, ni à un projet terroriste. Même le parquet, dans ses réquisitions, n’avait pas osé une définition si extensible de cette infraction qui permettra demain d’incriminer de nombreux opposants. »
Et Raphaël Kempf de conclure : « C’est encore le signe de l’extension presque infinie des lois antiterroristes. »
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Président Trump
Vice-président James David Vance
Santé Rfkjr
- Cheffe de cabinet Suzie Wils
- Renseignements Tulsi Gabbard
- Ministre de la défense Pete Hegseth
- Ministre de la Justice Pam Bondi
Ministre à la Sécurité intérieure Kristi Noem
- Au Pentagone Pete Hegseth
Secrétaire d'État Marco Rubio
- Conseiller à la sécurité nationale Mike Walz
Ambassadrice des Usa à l'ONU Elise Stefanik
- Directeur de l’agence de police douanière et de contrôle des frontières Tom Homan
- Kristi Noem, ministre de la sécurité intérieure
- Lee Zeldin, directeur de l’agence de protection de l’environnement
- Elon Musk et Vivek Ramaswamy, ministres de l'efficacité gouvernementale
- John Ratcliffe, directeur de la CIA
- Kash Patel directeur du FBI
- Mike Huckabee, ambassadeur des États-Unis en Israël
- Todd Blanche procureur général adjoint
- Karoline Leavitt attachée de presse de la Maison Blanche
- Howard Lutnick secrétaire au commerce
- 12 décembre 2024 -
- Marty Makary commissaire de la FDA
Kash Patel directeur du FBI
Tulsi Gabbard Director of National Intelligence
Kristi Noem for Secretary of Homeland Security
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Au Niger, une centaine d’hommes armés tués par des soldats nigériens à Tillabéry.
L'armée nigérienne attaquée mais elle est debout contre vents et marrées...
Au Niger, des hommes armés terroristes ont attaqué le jeudi 28 septembre, des positions de l’armée nigérienne à Tillabéry, l’objectif était de tuer de soldats nigériens et de récupérer des armes ainsi que des munitions. Mais c’est savoir la force de la riposte des soldats nigériens. Le Général Abdourhamane Tiani garde son sans froid devant toutes les situations auxquelles son pays est confronté,…
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Affrontements FARDC-M23/RDF près de Goma : Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu pour palper de très près la situation
Jean-Pierre Bemba est finalement descendu sur le terrain des affrontements au Nord-Kivu où la partie congolaise fait face au groupe armé M23 depuis de nombreux mois. Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février puis a été accueilli par les autorités locales dont les généraux Peter Cirimwami, gouverneur militaire, et Sikabwe Fall, commandant des opérations militaires…
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#Affrontements FARDC-M23/RDF#Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu#Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février
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A noter qu'une question sur la vente d'armes par la France à la colonie sioniste a été posée en février 2024 dans le Journal Officiel des Questions du Sénat, et que personne au sein du Ministère de l'Europe et des affaires étrangères n'a pris le temps de répondre depuis... Voici le contenu de la question :
Question de M. GAY Fabien (Seine-Saint-Denis - CRCE-K) publiée le 15/02/2024
M. Fabien Gay interroge M. le ministre de l'Europe et des affaires étrangères sur les ventes d'armes opérées par la France à Israël en 2023 et 2024. Le rapport annuel sur les exportations d'armes, présenté par le ministère des armées en juillet 2023, établit que depuis 10 ans, la France a vendu pour 208 millions d'euros de matériel militaire à Israël, dont 25,6 millions en 2022, auxquels s'ajoutent près de 9 millions d'euros d'autorisations d'exports d'armes de catégorie militaire ML4. Ces ventes intervenaient dans un contexte où l'organisation des Nations unies (ONU) formulait des alertes répétées sur les atteintes aux droits perpétrées par les colons et l'armée israélienne à l'encontre des Palestiniens dans la bande de Gaza et en Cisjordanie. Pourtant, la France est signataire depuis 2013 du traité des Nations unies sur le commerce des armes (TCA), qui interdit aux États la vente d'armes s'ils ont « connaissance [...] que ces armes ou ces biens pourraient servir à commettre un génocide, des crimes contre l'humanité, des violations graves des conventions de Genève de 1949, des attaques dirigées contre des civils ou des biens de caractère civil et protégés comme tels, ou d'autres crimes de guerre ». La situation géopolitique s'est encore dégradée par suite de l'attaque du Hamas perpétrée à l'encontre de civils israéliens le 7/10/2023. Depuis, l'offensive militaire menée par le Gouvernement israélien dans la bande de Gaza a engendré la mort de plus de 27 000 Palestiniens et provoqué au moins 66 000 blessés ; 10 000 personnes sont toujours portées disparues sous les décombres liés aux bombardements incessants, au moins 1,8 million de Gazaouis ont été déplacés. Concernant la Cisjordanie occupée, les exactions commises par les colons et l'armée israélienne se multiplient. Le 26/01/2024, la Cour internationale de justice a ordonné à l'État israélien de s'abstenir de commettre des actes entrant dans le champ d'application de la convention sur le génocide et de « prévenir et punir » toute incitation au génocide des populations palestiniennes. Le Premier ministre israélien a qualifié cette décision de « fausse » et « scandaleuse » et a ajouté que son pays continuera à se « défendre ». De plus, douze de ses ministres, dont celui en charge de la sécurité nationale, ont participé le 28/01/2024 à un grand rassemblement appelant à l'installation de colonies à Gaza et au transfert de la population palestinienne hors de ce territoire. L'existence d'un risque génocidaire plausible à Gaza, reconnu par une haute instance internationale, oblige désormais expressément l'ensemble des États, qui sont notamment tenus de cesser tout export d'armes, de matériels ou de technologies militaires vers Israël. Le ministère des affaires étrangères français a été interrogé sur l'existence d'exports d'armes vers Israël au cours de l'année 2023, et spécifiquement suite au 7 octobre. En l'absence de chiffres officiels, le ministère a annoncé le 24/01/2024 que : « La France respecte strictement ses engagements internationaux dans ses exportations d'armes vers Israël [...]. À ce titre, elle n'exporte pas et n'exportait pas avant les événements dramatiques du 7 octobre de matériels létaux susceptibles d'être employés contre des populations civiles dans la bande de Gaza », tout en précisant que la France « exporte des équipements militaires à Israël afin de lui permettre d'assurer sa défense, comme l'article 51 de la Charte des Nations unies lui en donne le droit ». Aussi, il souhaiterait obtenir des chiffres précis sur les exports et autorisations d'exports d'armes décidés par la France vers Israël en 2023, et le détail des équipements qui ont été livrés dans cette période. Il souhaiterait aussi savoir si le Gouvernement entend prononcer en 2024 un embargo sur la vente d'armes à Israël, conformément aux engagements internationaux de la France.
Publiée dans le JO Sénat du 15/02/2024 - page 506
#quelle putain de honte... le monde occidental est pourri jusqu'à la moelle#france#french#french side of tumblr#upthebaguette#zionism#israel#colonialism#palestine#genocide#bee tries to talk
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Von der Leyen a «égaré» 16 milliards d’euros: «L’Europe c’est une mafia avec que des gens corrompus»–Olivier Delamarche
Qui est-ce qui peut s'en mettre dans les poches mieux que la Commission européenne et mieux qu'une femme qui, je vous rappelle, a été virée du ministère de la défense allemand pour ça?
Quelques éléments de preuves pour Delamarche:
Ursula, comme ministre allemande de la Défense de 2013 à 2019, a été épinglée par les parlementaires allemands (https://www.consultor.fr/articles/ursula-von-der-leyen) pour son recours abusif aux cabinets de conseil McKinsey et Accenture… avant de se livrer aux mêmes excès (https://www.consultor.fr/articles/39-millions-d-euros-en-dix-ans-la-commission-europeenne-ne-megote-pas-sur-les-consultants-en-strategie)une fois à la tête de la Commission européenne.
Heiko Von Der Leyen, époux d’Ursula, directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer (Vanguard Group)
Son fils David Von Der Leyen (https://fr.scribd.com/document/389326718/David-Von-Der-Leyen-Associate-Summer-Associate-McKinsey-Company-LinkedIn), associé chez McKinsey & Company jusqu'en 2019, le même cabinet qui a conseillé Macron pour sa stratégie de vaccination forcée.
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La ministre néerlandaise de la Santé : la pandémie de Covid était une opération militaire de l’OTAN
Iustina Filimon
📍Un membre du gouvernement néerlandais a admis que la pandémie de Covid était une « opération militaire », révélant que pendant la pandémie, son pays recevait les ordres de l'Alliance de l'Atlantique Nord.
La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a révélé que « l'opération militaire » était dirigée par l'OTAN et le coordinateur néerlandais pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV).
📍 english.nctv.nl
NCTV est l'agence de sécurité nationale des Pays-Bas.
Dans un discours prononcé au parlement néerlandais et cité par SlayNews, Agema a admis que la politique pandémique des Pays-Bas est menée "sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense" . Elle a souligné que le gouvernement néerlandais a répondu à la pandémie conformément aux « obligations de l'OTAN ».
📍 slaynews.com/news/dutch-gov…
Ainsi, l'Agema a confirmé que la politique de lutte contre la pandémie était un « coup d'État » exécuté par NCTV.
La célèbre médecin néerlandaise Els van Veen a déclaré qu'elle comprenait enfin ce qui lui était arrivé - ainsi qu'à d'autres médecins éminents - pendant la crise de Covid. Dans un article sur X , van Veen dit : « C'était une opération militaire. Le ministère de la Santé obéit à l'OTAN et à NCTV" .
L'intervention de la ministre Fleur Agema, jeudi 24 octobre, était une première : elle est la première ministre de la Santé de toute l'histoire du Parlement à expliquer son action en mettant en cause "les obligations de l'OTAN". Et il ne l'a pas fait une seule fois, mais six fois, comme l'a souligné le député Pepijn van Houwelingen (FVD).
Une vidéo de trois minutes dans laquelle l'Agema déclare devant le Parlement que la préparation à une pandémie est liée aux obligations du traité (OTAN) et que l'agence de sécurité NCTV est à la tête de l'ensemble de l'action est devenue virale sur la plateforme X. Van Houwelingen a promis de réagir immédiatement aux questions posées par les parlementaires.
L'Agema a fait ces révélations lors d'un débat sur la "résilience". Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie » . Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire , a-t-elle déclaré, ajoutant :
"Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous présenterons au printemps un plan d'action."
Agema a expliqué que peu de temps après avoir pris ses fonctions de ministre, elle a été informée de la résilience et des obligations envers l'OTAN :
"Depuis ce briefing, nous travaillons avec des collègues du ministère pour déterminer ce dont nous avons besoin pour remplir nos obligations envers l'OTAN. Nous faisons tout cela sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères y participent. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience et on m’a répondu que oui. »
Elle a ajouté :
"Nous voulons disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions du avoir pendant la crise du Corona."
La vidéo entière peut être vue ici :
x.com/veen_els/statu…
Dans un article sur X, le chercheur Cees van den Bos, qui utilise des ressources obtenues dans le cadre de la loi néerlandaise sur la liberté d'information (Woo), a répondu à ces révélations, affirmant que la pandémie était un "coup d'État" .
Il a qualifié NCTV de marionnette de l’OTAN.
« Ce pays ne sera pas libre à moins que NCTV ne soit complètement aboli et que ce genre de gouvernement fantôme ne soit plus jamais autorisé à exister.
"C'est le plus grand obstacle à la démocratie."
Van den Bos a ajouté qu'il n'y a aucun contrôle sur NCTV :
"NCTV a carte blanche comme on l'a également vu pendant la crise corona". 🔽
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Medvedev déclare légitime l’assassinat de journalistes et leur conseille d’être « prudents ».
C'est un bon conseil.
Medvedev est un gars cool
Le juif Zelensky fait assassiner l’officier russe qui a révélé l’existence des laboratoires de guerre biologique de la CIA en Ukraine
Pour une raison inconnue, cette idée n’émerge que maintenant en Russie.
Mieux vaut tard que jamais.
The Guardian :
Le chef adjoint du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a qualifié les rédacteurs du journal britannique Times de « cibles militaires légitimes » en réponse à la couverture par le journal de l’assassinat d’un général russe. Les commentaires au vitriol de M. Medvedev, mercredi, font suite à un éditorial du Times dans lequel le journal qualifie l’assassinat du général de corps d’armée Igor Kirillov d’« acte de défense légitime » de la part de l’Ukraine, qui a revendiqué l’assassinat. Kirillov, chef de l’unité des armes chimiques, biologiques et radiologiques de l’armée, a été tué avec son assistant par l’explosion d’un engin fixé à un escooter alors que les deux hommes quittaient un immeuble d’un quartier résidentiel du sud-est de Moscou, mardi matin. M. Kirillov est le plus haut responsable militaire russe à être assassiné loin des lignes de front depuis le début de l’offensive du Kremlin en Ukraine, il y a près de trois ans.
Igor Kirillov
« Ceux qui commettent des crimes contre la Russie ont toujours des complices. Eux aussi sont désormais des cibles militaires légitimes. Cette catégorie pourrait également inclure les misérables chacals du Times qui se sont lâchement cachés derrière leur éditorial. C’est-à-dire toute la direction de la publication », a écrit M. Medvedev, qui a été président de la Russie entre 2008 et 2012, sur sa chaîne Telegram. Dans une menace à peine voilée, l’ancien président a ajouté que les journalistes du Times devraient « être prudents » car « tout est permis à Londres ». En réponse au message de M. Medvedev, le ministre britannique des affaires étrangères, David Lammy, a écrit sur X que sa « menace de gangster contre les journalistes du Times sent le désespoir ». « Nos journaux représentent le meilleur des valeurs britanniques : la liberté, la démocratie et l’indépendance d’esprit », a écrit M. Lammy à côté d’une photo de lui en train de lire le Times.
lol
Interrogé sur les commentaires de M. Medvedev, le porte-parole officiel du Premier ministre britannique a déclaré qu’il s’agissait « simplement du dernier épisode d’une série de discours désespérés émanant du gouvernement de M. Poutine ». Le porte-parole a ajouté : « Contrairement à la Russie, la liberté de la presse est une pierre angulaire de notre démocratie et nous prenons très au sérieux toutes les menaces proférées par la Russie ».
La démocratie britannique met en prison les autochtones qui gesticulent devant la police en cas de manifestation après un attentat djihadiste contre des enfants.
Steven Mailen est la première personne à être condamnée à Teesside pour son implication dans les troubles violents survenus à Hartlepool le mercredi 31 juillet. Le juge Laird l’a condamné à 26 mois de prison. L’homme de 53 ans ne cessait de gesticuler et de crier en direction des policiers.
La presse anglaise qualifie ça de « foule violente ».
On pourrait considérer que ces journalistes sont des complices des djihadistes, donc des terroristes.
Dans le même message, mercredi, M. Medvedev a également menacé les responsables de l’OTAN qui assistent l’Ukraine. « Ils sont légion. Il n’y a même pas assez de place pour les énumérer, mais tous ces individus peuvent et doivent être considérés comme des cibles militaires légitimes pour l’État russe. Et pour tous les patriotes russes d’ailleurs », a-t-il écrit. Depuis le début de l’invasion russe, Moscou a interdit à des dizaines de journalistes, de représentants des médias et de hauts responsables politiques britanniques d’entrer dans le pays.
Ce serait très drôle si les Russes commençaient à assassiner des journalistes occidentaux, tous de gauche, qui poussent au crime depuis toutes ces années, non seulement contre la Russie, mais aussi contre leur propre peuple.
D’autant que les services russes disposent des moyens pour cela : poison intraçable, freins sabotés, etc..
Je ne sais pas s’ils vont le faire, mais beaucoup de gens aimeraient que ça se produise. En fait, ça ferait considérablement progresser la cote de popularité de la Russie en Occident.
Démocratie Participative
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