#Ministre de la défense
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Tchad : Le tout-puissant ministre de la Défense démissionne à son tour pour une affaire de sexe.
Tchad: le tout-puissant ministre des armées démissionne à son tour.
Le gouvernement de M. Saleh Kebzabo est-il au bord de gouffre? On ne le sait pas pour l’instant. Cependant, après la démission soudaine du secrétaire général du gouvernement, M Haliki Choua Mahamat, le ministre de la Défense nationale, vient de rendre le tablier. M. Daoud Yaya Brahim, ministre des Armées, des anciens combattants et des victimes de guerre a démissionné de ses fonctions en moins…
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Affrontements FARDC-M23/RDF près de Goma : Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu pour palper de très près la situation
Jean-Pierre Bemba est finalement descendu sur le terrain des affrontements au Nord-Kivu où la partie congolaise fait face au groupe armé M23 depuis de nombreux mois. Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février puis a été accueilli par les autorités locales dont les généraux Peter Cirimwami, gouverneur militaire, et Sikabwe Fall, commandant des opérations militaires…
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#Affrontements FARDC-M23/RDF#Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu#Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#palestine#free palestine#zionism#colonialism#racism#israel#genocide#cultural heritage#french#upthebaguette#french side of tumblr#bee tries to talk
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«L’Ukraine est une machine à blanchir l’argent» du complexe militaro-industriel et de l’élite de Washington: le ministre de la Justice de Trump s’attaquera-t-il au clan Biden?
«Ce que veulent obtenir ces entrepreneurs de la défense, c'est vers une guerre à faible rendement, mais à long terme, d’avoir une guerre de 20 ou 30 ans», explique Matt Gaetz.
Et que si nous avions encore l'Afghanistan pour blanchir de l'argent, il ne serait probablement pas nécessaire de s'impliquer autant en Ukraine.
Selon un rapport du FBI (https://www.dailymail.co.uk/news/article-12320527/RELEASED-FBI-document-detailing-alleged-10M-Biden-bribery-scheme-publicized-Republicans-Burisma-CEO-Zlochevsky-called-Hunter-stupid-necessary-board-dad-Vice-President-Joe-Biden-protect-problems.html), la société pétrolière et gazière ukrainienne Burisma a versé à Hunter et Joe Biden chacun 5 millions de dollars en pots-de-vin.
Ces pots-de-vin s'ajoutaient aux plus de 4 millions de dollars au total versés à Hunter Biden et à son partenaire commercial Devon Archer, condamné (https://lanouvelletribune.info/2022/03/usa-un-proche-du-fils-de-biden-condamne-pour-fraude/) à de la prison en mars 2022.
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Le nouveau ministre de la Santé devrait logiquement faire lever le secret-défense sur la "crise covid"…
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Le premier uniforme militaire Français n'apparaître que lors de la moitié du XVIIe siècle et il faudra ainsi attendre la personne de François Michel Le Tellier de Louvois pour que l’apparition de l’uniforme militaire obligatoire arrive en France.
Uniforme des Zouaves. Infanterie Légère de l'Armée Français active de 1830 à 1962. Le nom de l'unité provient de la confédération tribale Kabyle du nom de Zouaoua, qui en août 1830 seront recruté par Louis Auguste Victor de Ghaisne, chef de l'Expédition d'Alger, comte de Bourmont suivant les conseils de Louis-Philibert d'Aubignosc. Ainsi, une première unité de 500 Zouaves sera recrutée parmi ceux ayant servi l'Empire Ottoman. Officieusement, cette unité est donc créer en Août 1830, mais ça ne sera que quelque mois plus tard sous la demande du successeur du Comte de Bourmont, le Général Clauzel que le Général Gérard, alors Ministre de la Guerre sera par arrêté, prescrit officiellement la création d'un "Corps d'Arabes Zouaves" répartie en deux bataillons et qui seront placé sous les ordres du Capitaines Duvivier et Maumet. Un des critères est que le soldat doit être tous indigène. En Mars 1831, l'ordonnance royale confirmera bel et bien la création de cette formation, mais aussi de deux escadrons de zouaves à cheval qui seront connus comme les "Chasseurs Algérien", mais elle sera éphémère car intégré dés 1832 aux "Chasseurs d'Afrique". Ils seront finalement dissous en 1962 après le départ de la France d'Algérie.
Uniforme de la Garde de Paris, composante de Garde Nationale Française de 1789 à 1868. La Garde Nationale Française est historiquement l'ensemble des milices de citoyens formées dans chaque commune au moment de la Révolution française, à l’instar de celle de Paris et placés sous le commandement de La Fayette. Cette garde sera créée en même temps que soixante District divisant Paris par l'Ordonnance de Jacques Necker en 1789, résultat d'une convocation des états généraux. Cette unité sera ainsi divisée en soixante bataillons qui porteront le nom de leur district d'origine. Elles ont existé (Garde de Paris et Garde Nationale Française) sous tous les régimes politiques de la France jusqu'à sa dissolution en juillet 1871 (La Garde de Paris ayant été entièrement intégré à la Garde National Français en 1868), aux lendemains des insurrections communalistes qu'elle a soutenues et de la répression de la Commune de Paris. Elle sera une milice citoyenne chargée du maintien de l'ordre et de la défense militaire de Paris, elle sera active dans de nombreuses batailles et sera finalement dissoute après l'épisode de la Commune.
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22 décembre 2023 | Par David Perrotin
La présidente du tribunal a déclaré que s’il n’y a pas « la preuve d’un projet abouti », les membres avaient « l’intention de troubler gravement l’ordre public » . La défense dénonce une décision « dangereuse », « morale » et « politique ».
Allaient-ils retourner en prison ? Dans son délibéré rendu ce vendredi 22 décembre lors d’une audience extrêmement tendue, la 16e chambre correctionnelle du tribunal de Paris a décidé que les sept militants de « l’ultragauche » jugés pendant quatre semaines en octobre dernier pour « association de malfaiteurs terroriste » ne seront pas incarcérés. Les juges ont toutefois estimé qu’ils étaient tous coupables et les condamnent à de la prison ferme assortie à du sursis.
Florian D., présenté comme le leader du groupe, qui avait combattu en 2017 au Rojava (nord-est de la Syrie) contre le groupe djihadiste État islamique a été condamné à cinq ans de prison, dont trente mois avec sursis. Il pourra toutefois bénéficier d’un aménagement de peine pour le temps de prison ferme qu’il lui reste à effectuer alors que le parquet avait requis six ans de prison avec mandat de dépôt différé.
Pour les six autres, les peines vont de deux à quatre ans de prison mais aucun ne sera incarcéré, la plupart ayant aussi déjà passé du temps en détention provisoire. Aussi, ils ont tous l’interdiction d’entrer en contact entre eux, alors que certains sont amis depuis l’enfance, et ils ne peuvent plus porter une arme pendant dix ans.
« Le but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation et la terreur » est « caractérisé par la volonté exprimée à plusieurs reprises […] de porter atteinte à l’intégrité de policiers, de s’emparer d’armes », ou encore d’« organiser une milice armée », a déclaré la présidente au début de la lecture de la décision selon l’AFP. S’il n’y a pas « la preuve d’un projet abouti », les membres de ce groupe en avaient « l’intention ».
Alors comment interpréter cette décision ? « La motivation succincte lue à l’audience par la présidente du tribunal signe une extension grave et politique de la notion de terrorisme », dénonce Raphaël Kempf, le conseil de Florian D., auprès de Mediapart. « Le tribunal considère comme terroristes des intentions de s’en prendre à des policiers ou à des véhicules de police notamment dans un contexte de manifestation. Il accorde aux forces de l’ordre une protection spécifique de lois antiterroristes, alors qu’il existe dans le Code pénal une aggravation des peines encourues contre ceux qui s’en prennent aux policiers. »
Dès leur interpellation en décembre 2020, Gérald Darmanin félicitait les policiers de la DGSI qui « protègent la République contre ceux qui veulent la détruire ». « Merci une nouvelle fois pour leur action contre ces activistes violents de l’ultragauche », ajoutait le ministre de l’intérieur, laissant penser qu’un projet précis avait été déjoué.
Les trois semaines d’audience suivies par Mediapart ont toutefois montré combien le travail des services de renseignement pouvait être controversé. Selon la défense, certaines retranscriptions auraient été manipulées et une expertise, centrale dans ce dossier, était totalement exagérée. Documents à l’appui, les douze conseils avaient sérieusement remis en cause le travail de la DGSI et mis en lumière des « biais », des « manipulations » et « les erreurs » des services de renseignement.
Les avocats n’avaient aussi cessé de demander que le tribunal fasse témoigner les agents anonymes de la DGSI en question accusés d’avoir établi des procès-verbaux mensongers ou tronqués. Ils souhaitaient aussi que certains scellés soient brisés pour vérifier notamment si certaines graves accusations étaient avérées. L’un des prévenus était ainsi suspecté d’avoir un plan du dispositif de sécurité du défilé du 14 Juillet laissant penser qu’il projetait une attaque par drone. Il s’agissait selon lui d’un simple mème très partagé sur les réseaux sociaux montrant un plan des Champs-Élysées en forme de pénis.
Mais dans sa décision rendue ce vendredi, la présidente a rejeté toutes ces demandes introduites par la défense pendant les quatre semaines de procès.
Même le parquet, dans ses réquisitions, n’avait pas osé une définition si extensible de cette infraction qui permettra demain d’incriminer de nombreux opposants.
Au tribunal, les sept individus, paraissant pourtant plus proches d’une bande liée par l’alcool et l’ennui du confinement, étaient décrits par l’accusation comme des terroristes prêts à tuer. Ils n’avaient cependant, de l’aveu même du parquet, aucun projet imminent.
Les éléments matériels étaient toutefois reconnus. Ils avaient bien joué à fabriquer des explosifs pour tuer le temps du confinement, détenaient pour certains des armes et avaient joué des parties d’Airsoft. Des jeux de pistolet à billes pour la défense, des entraînements paramilitaires pour l’accusation. De la littérature d’extrême gauche et de nombreux propos tronqués et privés ont fait le reste pour asseoir la conviction qu’ils avaient une intention terroriste.
« Il s’agit ici d’une décision dangereuse, plus morale que juridique, estime Lucie Simon, l’avocate de Camille, condamnée à trois ans de prison, dont deux avec sursis. Une décision qui donne le sentiment amer d’une juridiction qui n’a que faire de tous les débats exposés pendant près d’un mois d’audience. »
Pour l’avocate, les peines « peuvent paraître absurdes ». « L’interdiction d’entrer en contact qu’on pouvait comprendre pendant la phase d’instruction, sonne comme une punition presque perverse notamment pour certains qui sont amis de longue date », commente-t-elle.
Lucie Simon, qui annonce que sa cliente fera appel, estime aussi que cette décision marque un tournant. « Il n’est plus nécessaire pour caractériser l’association de malfaiteurs terroristes de relier ses membres ni à une organisation terroriste, ni à une idéologie violente ou terroriste, ni à un projet terroriste. Même le parquet, dans ses réquisitions, n’avait pas osé une définition si extensible de cette infraction qui permettra demain d’incriminer de nombreux opposants. »
Et Raphaël Kempf de conclure : « C’est encore le signe de l’extension presque infinie des lois antiterroristes. »
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Président Trump
Vice-président James David Vance
Santé Rfkjr
- Cheffe de cabinet Suzie Wils
- Renseignements Tulsi Gabbard
- Ministre de la défense Pete Hegseth
- Ministre de la Justice Pam Bondi
Ministre à la Sécurité intérieure Kristi Noem
- Au Pentagone Pete Hegseth
Secrétaire d'État Marco Rubio
- Conseiller à la sécurité nationale Mike Walz
Ambassadrice des Usa à l'ONU Elise Stefanik
- Directeur de l’agence de police douanière et de contrôle des frontières Tom Homan
- Kristi Noem, ministre de la sécurité intérieure
- Lee Zeldin, directeur de l’agence de protection de l’environnement
- Elon Musk et Vivek Ramaswamy, ministres de l'efficacité gouvernementale
- John Ratcliffe, directeur de la CIA
- Kash Patel directeur du FBI
- Mike Huckabee, ambassadeur des États-Unis en Israël
- Todd Blanche procureur général adjoint
- Karoline Leavitt attachée de presse de la Maison Blanche
- Howard Lutnick secrétaire au commerce
- 22 novembre 2024 -
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La ministre néerlandaise de la Santé : la pandémie de Covid était une opération militaire de l’OTAN
Iustina Filimon
📍Un membre du gouvernement néerlandais a admis que la pandémie de Covid était une « opération militaire », révélant que pendant la pandémie, son pays recevait les ordres de l'Alliance de l'Atlantique Nord.
La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a révélé que « l'opération militaire » était dirigée par l'OTAN et le coordinateur néerlandais pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV).
📍 english.nctv.nl
NCTV est l'agence de sécurité nationale des Pays-Bas.
Dans un discours prononcé au parlement néerlandais et cité par SlayNews, Agema a admis que la politique pandémique des Pays-Bas est menée "sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense" . Elle a souligné que le gouvernement néerlandais a répondu à la pandémie conformément aux « obligations de l'OTAN ».
📍 slaynews.com/news/dutch-gov…
Ainsi, l'Agema a confirmé que la politique de lutte contre la pandémie était un « coup d'État » exécuté par NCTV.
La célèbre médecin néerlandaise Els van Veen a déclaré qu'elle comprenait enfin ce qui lui était arrivé - ainsi qu'à d'autres médecins éminents - pendant la crise de Covid. Dans un article sur X , van Veen dit : « C'était une opération militaire. Le ministère de la Santé obéit à l'OTAN et à NCTV" .
L'intervention de la ministre Fleur Agema, jeudi 24 octobre, était une première : elle est la première ministre de la Santé de toute l'histoire du Parlement à expliquer son action en mettant en cause "les obligations de l'OTAN". Et il ne l'a pas fait une seule fois, mais six fois, comme l'a souligné le député Pepijn van Houwelingen (FVD).
Une vidéo de trois minutes dans laquelle l'Agema déclare devant le Parlement que la préparation à une pandémie est liée aux obligations du traité (OTAN) et que l'agence de sécurité NCTV est à la tête de l'ensemble de l'action est devenue virale sur la plateforme X. Van Houwelingen a promis de réagir immédiatement aux questions posées par les parlementaires.
L'Agema a fait ces révélations lors d'un débat sur la "résilience". Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie » . Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire , a-t-elle déclaré, ajoutant :
"Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous présenterons au printemps un plan d'action."
Agema a expliqué que peu de temps après avoir pris ses fonctions de ministre, elle a été informée de la résilience et des obligations envers l'OTAN :
"Depuis ce briefing, nous travaillons avec des collègues du ministère pour déterminer ce dont nous avons besoin pour remplir nos obligations envers l'OTAN. Nous faisons tout cela sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères y participent. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience et on m’a répondu que oui. »
Elle a ajouté :
"Nous voulons disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions du avoir pendant la crise du Corona."
La vidéo entière peut être vue ici :
x.com/veen_els/statu…
Dans un article sur X, le chercheur Cees van den Bos, qui utilise des ressources obtenues dans le cadre de la loi néerlandaise sur la liberté d'information (Woo), a répondu à ces révélations, affirmant que la pandémie était un "coup d'État" .
Il a qualifié NCTV de marionnette de l’OTAN.
« Ce pays ne sera pas libre à moins que NCTV ne soit complètement aboli et que ce genre de gouvernement fantôme ne soit plus jamais autorisé à exister.
"C'est le plus grand obstacle à la démocratie."
Van den Bos a ajouté qu'il n'y a aucun contrôle sur NCTV :
"NCTV a carte blanche comme on l'a également vu pendant la crise corona". 🔽
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Au Niger, une centaine d’hommes armés tués par des soldats nigériens à Tillabéry.
L'armée nigérienne attaquée mais elle est debout contre vents et marrées...
Au Niger, des hommes armés terroristes ont attaqué le jeudi 28 septembre, des positions de l’armée nigérienne à Tillabéry, l’objectif était de tuer de soldats nigériens et de récupérer des armes ainsi que des munitions. Mais c’est savoir la force de la riposte des soldats nigériens. Le Général Abdourhamane Tiani garde son sans froid devant toutes les situations auxquelles son pays est confronté,…
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Affrontements FARDC-M23/RDF près de Goma : Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu pour palper de très près la situation
Jean-Pierre Bemba est finalement descendu sur le terrain des affrontements au Nord-Kivu où la partie congolaise fait face au groupe armé M23 depuis de nombreux mois. Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février puis a été accueilli par les autorités locales dont les généraux Peter Cirimwami, gouverneur militaire, et Sikabwe Fall, commandant des opérations militaires…
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#Affrontements FARDC-M23/RDF#Jean-Pierre Bemba est arrivé au Nord-Kivu#Le ministre congolais de la Défense est arrivé à Goma ce vendredi 9 février
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A noter qu'une question sur la vente d'armes par la France à la colonie sioniste a été posée en février 2024 dans le Journal Officiel des Questions du Sénat, et que personne au sein du Ministère de l'Europe et des affaires étrangères n'a pris le temps de répondre depuis... Voici le contenu de la question :
Question de M. GAY Fabien (Seine-Saint-Denis - CRCE-K) publiée le 15/02/2024
M. Fabien Gay interroge M. le ministre de l'Europe et des affaires étrangères sur les ventes d'armes opérées par la France à Israël en 2023 et 2024. Le rapport annuel sur les exportations d'armes, présenté par le ministère des armées en juillet 2023, établit que depuis 10 ans, la France a vendu pour 208 millions d'euros de matériel militaire à Israël, dont 25,6 millions en 2022, auxquels s'ajoutent près de 9 millions d'euros d'autorisations d'exports d'armes de catégorie militaire ML4. Ces ventes intervenaient dans un contexte où l'organisation des Nations unies (ONU) formulait des alertes répétées sur les atteintes aux droits perpétrées par les colons et l'armée israélienne à l'encontre des Palestiniens dans la bande de Gaza et en Cisjordanie. Pourtant, la France est signataire depuis 2013 du traité des Nations unies sur le commerce des armes (TCA), qui interdit aux États la vente d'armes s'ils ont « connaissance [...] que ces armes ou ces biens pourraient servir à commettre un génocide, des crimes contre l'humanité, des violations graves des conventions de Genève de 1949, des attaques dirigées contre des civils ou des biens de caractère civil et protégés comme tels, ou d'autres crimes de guerre ». La situation géopolitique s'est encore dégradée par suite de l'attaque du Hamas perpétrée à l'encontre de civils israéliens le 7/10/2023. Depuis, l'offensive militaire menée par le Gouvernement israélien dans la bande de Gaza a engendré la mort de plus de 27 000 Palestiniens et provoqué au moins 66 000 blessés ; 10 000 personnes sont toujours portées disparues sous les décombres liés aux bombardements incessants, au moins 1,8 million de Gazaouis ont été déplacés. Concernant la Cisjordanie occupée, les exactions commises par les colons et l'armée israélienne se multiplient. Le 26/01/2024, la Cour internationale de justice a ordonné à l'État israélien de s'abstenir de commettre des actes entrant dans le champ d'application de la convention sur le génocide et de « prévenir et punir » toute incitation au génocide des populations palestiniennes. Le Premier ministre israélien a qualifié cette décision de « fausse » et « scandaleuse » et a ajouté que son pays continuera à se « défendre ». De plus, douze de ses ministres, dont celui en charge de la sécurité nationale, ont participé le 28/01/2024 à un grand rassemblement appelant à l'installation de colonies à Gaza et au transfert de la population palestinienne hors de ce territoire. L'existence d'un risque génocidaire plausible à Gaza, reconnu par une haute instance internationale, oblige désormais expressément l'ensemble des États, qui sont notamment tenus de cesser tout export d'armes, de matériels ou de technologies militaires vers Israël. Le ministère des affaires étrangères français a été interrogé sur l'existence d'exports d'armes vers Israël au cours de l'année 2023, et spécifiquement suite au 7 octobre. En l'absence de chiffres officiels, le ministère a annoncé le 24/01/2024 que : « La France respecte strictement ses engagements internationaux dans ses exportations d'armes vers Israël [...]. À ce titre, elle n'exporte pas et n'exportait pas avant les événements dramatiques du 7 octobre de matériels létaux susceptibles d'être employés contre des populations civiles dans la bande de Gaza », tout en précisant que la France « exporte des équipements militaires à Israël afin de lui permettre d'assurer sa défense, comme l'article 51 de la Charte des Nations unies lui en donne le droit ». Aussi, il souhaiterait obtenir des chiffres précis sur les exports et autorisations d'exports d'armes décidés par la France vers Israël en 2023, et le détail des équipements qui ont été livrés dans cette période. Il souhaiterait aussi savoir si le Gouvernement entend prononcer en 2024 un embargo sur la vente d'armes à Israël, conformément aux engagements internationaux de la France.
Publiée dans le JO Sénat du 15/02/2024 - page 506
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Von der Leyen a «égaré» 16 milliards d’euros: «L’Europe c’est une mafia avec que des gens corrompus»–Olivier Delamarche
Qui est-ce qui peut s'en mettre dans les poches mieux que la Commission européenne et mieux qu'une femme qui, je vous rappelle, a été virée du ministère de la défense allemand pour ça?
Quelques éléments de preuves pour Delamarche:
Ursula, comme ministre allemande de la Défense de 2013 à 2019, a été épinglée par les parlementaires allemands (https://www.consultor.fr/articles/ursula-von-der-leyen) pour son recours abusif aux cabinets de conseil McKinsey et Accenture… avant de se livrer aux mêmes excès (https://www.consultor.fr/articles/39-millions-d-euros-en-dix-ans-la-commission-europeenne-ne-megote-pas-sur-les-consultants-en-strategie)une fois à la tête de la Commission européenne.
Heiko Von Der Leyen, époux d’Ursula, directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer (Vanguard Group)
Son fils David Von Der Leyen (https://fr.scribd.com/document/389326718/David-Von-Der-Leyen-Associate-Summer-Associate-McKinsey-Company-LinkedIn), associé chez McKinsey & Company jusqu'en 2019, le même cabinet qui a conseillé Macron pour sa stratégie de vaccination forcée.
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1er mars 1815 : Napoléon débarque à Golfe-Juan, c'est le début des Cent-Jours
Le 1er mars 1815, un événement historique majeur se produit lorsque Napoléon Bonaparte débarque à Golfe-Juan, marquant ainsi le début d’une période connue sous le nom des Cent-Jours. Ce jour-là, une petite flottille apparait au large des côtes françaises, mettant fin à la période d’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe. Parti de l’île d’Elbe le 26 février, Napoléon est à bord de l’Inconstant, accompagné de six autres navires. Avec lui se trouvent ses proches et environ mille soldats de sa garde.
Aux côtés de l’Empereur se trouvaient les hommes qui formaient en quelque sorte son gouvernement sur l’île d’Elbe : le général Bertrand, chargé des affaires intérieures et l’un de ses plus proches conseillers, le général Drouot, assumant le rôle de ministre de la Guerre, et Peyrusse, trésorier de la Couronne. Se trouvaient également le général Cambronne, le Dr Fourreau de Beauregard mais aussi Pons de l’Hérault, ainsi que son personnel, incluant Marchand, son premier valet de chambre, et Saint-Denis, surnommé “le mamelouk Ali”.
Pendant la traversée, Napoléon s’était retiré dans sa cabine, plongeant dans l’élaboration des proclamations qui marqueraient son retour. Ces missives, soigneusement préparées à l’avance, étaient destinées à être distribuées dès son arrivée, toutes deux datées du 1er mars, jour symbolique de son débarquement et du renouveau.
Dans son discours adressé au peuple français, il justifiait son retour en expliquant les circonstances de son départ en 1814, attribuant son échec à la trahison des maréchaux Augereau et Marmont.
Aux soldats, il dévoile les voies de la gloire et prononce les paroles qui deviendront emblématiques :
“La victoire avancera au pas de charge. L’Aigle, arborant fièrement les couleurs nationales, planera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame.”
Après trois jours de navigation, la flottille arrive enfin au mouillage dans l’anse du golfe Juan. Napoléon, arborant fièrement le drapeau tricolore français, décide de procéder au débarquement. Une escouade de grenadiers est envoyée en reconnaissance pour s’assurer que les côtes sont sûres. La côte est en effet sans défense, aucune batterie côtière n’étant présente à cet endroit, démontrant ainsi que les autorités n’ont à aucun moment envisagé que Napoléon tenterait un débarquement dans le sud de la France.
Le lendemain matin, Napoléon consulte une carte pour planifier la suite de son itinéraire vers Grenoble. Il décide de suivre la route des Alpes plutôt que de traverser la vallée du Rhône, où il a été conspué l’année précédente en se rendant à l’île d’Elbe. La troupe se remet en marche, avec Napoléon montant à cheval et ses hommes à pied.
Au cours de la journée, des contacts sont établis avec les autorités locales et la population. Certains habitants manifestent leur soutien à Napoléon en illuminant leurs maisons et en criant “Vive l’Empereur”, tandis que d’autres observent son passage avec une certaine indifférence.
Après avoir stationné quelques heures à Cannes, Napoléon repart à l’aube en direction de Grasse. Ainsi se clôt, sur le littoral français, la première étape de ce que l’on appellera plus tard le “vol de l’Aigle”, un périple qui devait mener l’Empereur jusqu’à Paris en vingt jours.
***
On March 1st, 1815, a major historical event occurred when Napoleon Bonaparte landed at Golfe-Juan, marking the beginning of a period known as the Hundred Days. That day, a small flotilla appeared off the French coast, ending Napoleon's exile on the island of Elba. Departing from Elba on February 26th, Napoleon was aboard the Inconstant, accompanied by six other ships, along with his close associates and about a thousand soldiers from his guard.
Alongside the Emperor were the men who formed his government on the island of Elba: General Bertrand, in charge of internal affairs and one of his closest advisors; General Drouot, serving as Minister of War; and Peyrusse, the Crown Treasurer. Also present were General Cambronne, Dr. Fourreau de Beauregard, as well as Pons de l'Hérault, along with his staff, including Marchand, his head valet, and Saint-Denis, nicknamed "the Mameluke Ali."
During the crossing, Napoleon retreated to his cabin, immersed in drafting proclamations that would mark his return. These carefully prepared messages were intended to be distributed upon his arrival, both dated March 1st, the symbolic day of his landing and renewal.
In his address to the French people, he justified his return by explaining the circumstances of his departure in 1814, attributing his failure to the betrayal of marshals Augereau and Marmont. To the soldiers, he unveiled the paths to glory and uttered words that would become iconic: "Victory will advance at a quick pace. The Eagle, proudly displaying the national colors, will soar from steeple to steeple to the towers of Notre-Dame."
After three days of sailing, the flotilla finally anchored in the bay of Golfe-Juan. Napoleon, proudly displaying the French tricolor flag, decided to proceed with the landing. A squad of grenadiers was sent out for reconnaissance to ensure the coast was secure. Indeed, the coast was undefended, with no coastal battery present, demonstrating that the authorities had never considered Napoleon attempting a landing in southern France.
The next morning, Napoleon consulted a map to plan the rest of his route to Grenoble. He chose to follow the Alpine route rather than crossing the Rhône Valley, where he had been reviled the previous year on his way to Elba. The troop resumed their march, with Napoleon riding on horseback and his men on foot.
Throughout the day, contacts were made with local authorities and the population. Some residents showed their support for Napoleon by lighting up their homes and shouting "Long live the Emperor," while others watched his passage with indifference.
After spending a few hours in Cannes, Napoleon set off again at dawn towards Grasse. Thus ended, on the French coast, the first stage of what would later be called the "Flight of the Eagle," a journey that would lead the Emperor to Paris in twenty days.
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Comprendre la contre-insurrection des démocraties juives en vue de la guerre contre la Russie
La présence des forces de l’#OTAN en Ukraine n’est pas impensable. J’apprécie l’initiative du président Emmanuel Macron, car il s’agit que Poutine ait peur, et non que nous ayons peur de Poutine.
La nouvelle majorité homo-féministe au pouvoir en Pologne à trois priorités : intensifier l’immigration non-blanche, imposer l’anal à l’école et déclarer la guerre à la Russie. Bref, faire ce que font les démocraties juives occidentales en général.
Ce Sikorski est le nouveau ministre des Affaires étrangères polonais et, comme vous le voyez, il se consume d’impatience à l��idée de voir la Pologne débitée en morceaux par la Russie.
C’est certainement un penchant BDSM qu’ont les Polonais.
Sikorski avait déjà été ministre des Affaires étrangères entre 2007 et 2014. À ce poste, il avait participé au putsch de 2014 à Kiev aux côtés de la CIA.
La seule chose qu’il y a à savoir sur Sikorski, c’est l’identité de sa femme : la juive Ann Applebaum. Elle est notamment membre de l’Atlantic Council, la vitrine politique de l’OTAN chargée de coordonner les gouvernements fantoches des démocraties.
L’Atlantic Council est dirigé par 7 ex-directeurs de la CIA.
Anne Applebaum
On l’a retrouvée dans diverses initiatives secrètes de la CIA et de son bras militaire qu’est l’OTAN via le MI6 britannique. Notamment une, depuis Londres, qui consistait à déployer la censure militaire sous un vernis civil pour contenir toute opposition, l’Integrity Initiative.
En 2018, les agents des cellules de ce réseau britannique chargée de la guerre psychologique ont été identifiés.
Voici les agents de la zone France :
Francoise Thom
Jusin Vaisse (ministère des Affaires étrangères)
Thomas Bertin (Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale)
Caroline Gondaud (ministère des Affaires étrangères)
Guillaume Schlumberger (ministère de la Défense)
Raphael de Lagarde (ministère des Affaires étrangères)
Roland Galharague (ministère des Affaires étrangères)
Martin Briens (ministère des Affaires étrangères)
Jean-Christophe Noel (ministère des Affaires étrangères)
Laurent Rucker (ministère des Affaires étrangères)
Alexandre Escorcia (ministère des Affaires étrangères)
Nikola Guljevatej (ministère des Affaires étrangères)
David Behar (ministère des Affaires étrangères)
Claire le Flecher (ministère des Affaires étrangères)
Remy Bouallegue (ministère des Affaires étrangères)
Paul Zajac (ministère des Affaires étrangères)
Nicolas Roche [email protected] (commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives)
Manuel Lafont Rapnouil (European Council on Foreign Relations)
Laurent Rucker (ministère de la Défense)
Patrick Hardouin
Etienne de Durand (ministère de la Défense)
Janaina Herrera (ministère des Affaires étrangères)
Ces cellules étaient activées pour déclencher des campagnes médiatiques contre des cibles politiques réputées « pro-russes », catégorie très flexible où tout opposant aux menées des juifs était classé.
Si un membre d’une cellule apprenait qu’une cible devait mener une action, il alertait les autres membres de la cellule. Ceux-ci informaient les médias, tous sous contrôle gouvernemental, puis lançaient une campagne sur Twitter, à l’époque sous le contrôle de la CIA.
Un exemple en Espagne :
C’est comme ça que l’information – la désinformation donc – fonctionne vraiment dans les démocraties. Récemment, c’est Dominique de Villepin qui en a été la victime.
Cette opération particulière s’inscrivait dans le déploiement dans l’ensemble des pays de l’OTAN d’un système militaire clandestin de contrôle politique des masses par l’usage combiné des réseaux sociaux, des médias conventionnels, de divers agents d’influence, d’organisations, de structures gouvernementales.
Avec la victoire de Trump en 2016, le gouvernement américain, et les juifs qui le contrôlent, ne s’attendait pas à affronter une réelle révolution non-violente, par la voie électorale. Le principal problème que pose Trump à l’oligarchie en place est son opposition, sinon active au moins passive aux guerres que veut ce système.
Toute victoire populaire selon les règles du jeu en vigueur est désormais qualifiée de « populiste », c’est-à-dire d’illégitime. La CIA a donc mis au point la technique de la contre-révolution de couleur. Elle consiste à accuser le vainqueur légitime d’une élection d’avoir perdu l’élection tout en truquant le suffrage. Il faut préventivement censurer la contestation avant la tenue des élections et mobiliser l’appareil médiatique pour l’écraser.
En 2019, en préparation des élections américaines de 2020, la CIA et l’armée américaine ont mis en place la censure verticale de toutes les plateformes occidentales. C’est pourquoi à l’époque, subitement et de manière coordonnée, des tas de personnes ont été censurées sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, etc., y compris en France.
Même Trump en a été la cible. LCI, la chaîne de l’OTAN, comme tous les médias sous contrôle, justifiait cette opération de contre-insurrection clandestine.
Après la victoire de Trump en 2016, le gouvernement américain, largement dominé par les juifs, a en fait déployé sur le territoire des USA le système des « révolutions de couleur » que la CIA n’employait alors qu’à l’étranger, comme à Kiev en 2014.
Ils ont perfectionné le système en créant des techniques de « contre-révolution de couleur ».
Une révolution de couleur est une fausse révolution populaire organisée par la CIA via l’internet, des ONGs, les médias occidentaux, des agents infiltrés, etc., pour renverser un gouvernement jugé hostile par le gouvernement US.
La CIA accuse un gouvernement ennemi de truquer l’élection du moment, d’organiser parallèlement des rassemblements de masse, souvent au prétexte de concerts, de générer des violences de rue et de faire tomber le gouvernement avec l’aide des partis et figures présélectionnées.
Le dernier exemple a eu lieu en Biélorussie. Parmi les techniques employées, l’usage extensif des femmes et des réseaux sociaux, le tout amplement relayé par la machine de guerre médiatique occidentale.
Une contre-révolution de couleur utilise les mêmes méthodes, mais pour défendre un gouvernement au lieu de le détruire.
Cette technique a été employée par la CIA, le Pentagone, la NSA, le FBI, les ministères de la Justice, de la Sécurité Intérieure, des Affaires étrangères en 2020 pour empêcher Trump d’être reconduit à la Maison Blanche.
Il ne suffisait pas de truquer les élections, il fallait empêcher que l’opposition puisse s’organiser. Pour cela, il fallait étroitement contrôler les réseaux sociaux où ils s’organisent.
C’est pourquoi Obama, lors de son dernier déplacement en Grèce en novembre 2016, alors qu’il était encore président, avait déclaré que la raison de l’élection de Donald Trump était à rechercher dans les « fake news ».
Ce terme, jamais entendu auparavant, était une fabrication de la CIA pour délégitimer l’élection de Trump, l’accuser d’être un agent russe et paralyser son action politique, ainsi que toute opposition.
Dans le cadre de cette opération de contre-insurrection globale, des « fact checkers » astrosurfés par les GAFAM ont été sélectionnés par la CIA et ses différents états vassaux pour mener le travail de désinformation et de censure sur les réseaux sociaux.
Soudainement, tous les médias français se sont alors dotés de « fact checkers ». Ce n’est pas une « incroyable convergence des esprits », mais le résultat d’une opération de guerre psychologique dirigée depuis Washington.
Qui se souvient des « décodeurs du Monde » et de tous leurs équivalents déployés dans chaque média ?
Nous retrouvons les juifs Mendès et Reichstadt dans ce travail de censure sous couvert de lutte contre la « désinformation ». Peu importe l’agenda du système – élections US, Covid, guerre en Ukraine – ils sont déployés pour organiser la censure des réseaux sociaux. Avec l’arrivée de Musk, l’accès de la CIA à Twitter a cependant été largement réduit et leur capacité de nuisance largement diminuée.
Là où en 2022, Mendès pouvait désigner un compte à supprimer, il ne peut plus que s’en lamenter au pied de son mur aujourd’hui.
Le Covid et les mensonges d’état qui l’ont accompagnés ont largement discrédité ces « fact checkers » sous-traitant pour l’OTAN.
À l’époque, nous avons également vu surgir à l’extrême-droite des gens se revendiquant de « l’anti-conspirationnisme » et adopter automatiquement des positions pro Pfizer, pro Ukraine. Ne cherchez pas trop loin qui les prend en mains.
Le parlement américain a publié un rapport sénatorial sur ce dispositif contre-insurrectionnel mis en place par la CIA pour truquer les résultats d’une élection nationale américaine.
Cette méthode sera à nouveau utilisée en 2024 par le gouvernement américain pour tenter d’empêcher Trump d’être élu, mais sans le contrôle de la CIA sur Twitter, l’opposition pourra s’organiser. La riposte de la CIA devra être beaucoup plus directe, donc beaucoup plus brutale et surtout, visible.
Le putsch est déjà en cours.
John Brennan, ex-directeur de la CIA, ancien membre du Parti Communiste des USA, explique que les services de renseignements américains (CIA, NSA, FBI, etc..) ne coopéreront pas avec Trump, que ce soit légal ou non.
Irréel ! L’ancien directeur de la CIA, John Brennan, déclare à MSNBC que la communauté du renseignement cachera des informations clés à Trump après qu’il aura accepté l’investiture républicaine cet été. Nous devons mettre la communauté du renseignement au pas. Il s’agit d’un canular russe 2.0, écrit en toutes lettres.
La guerre civile est ouverte aux USA et elle deviendra inévitablement violente à la faveur des élections de novembre 2024 quand le gouvernement fédéral interviendra pour empêcher la réélection de Donald Trump.
Anne Applebaum et Radek Sikorski sont au coeur de cette machine qui fait la guerre, tant intérieurement qu’extérieurement, à toutes les forces qui constituent un obstacle, que ce soit volontairement ou non. Face au blocage du soutien à l’Ukraine au Congrès par les Républicains, Macron, comme fantoche de cette machine juive globale, est mandaté pour prendre le relais jusqu’en novembre 2024, le temps que Trump soit écarté de la Maison Blanche et que le Congrès soit neutralisé.
Cela implique une mobilisation autoritaire et verticale de l’opinion française contre la Russie par les agents d’influence usuels et la délégitimation de l’opposition à la guerre comme une « cinquième colonne » aux ordres de Moscou. Typiquement, l’accusation de « trahison » avec l’habituel usage du patriotisme de comptoir pour clore la discussion.
Le système dispose à cet effet d’agents bellicistes, tant à droite qu’à gauche, pour attaquer l’opposition (non-juive) à la guerre.
La situation est effectivement révolutionnaire, avec une jonction de plus en plus forte entre l’effort de guerre des démocraties juives contre les adversaires systémiques extérieurs et celui qu’elles poursuivent contre ceux de l’intérieur. Du point de vue du système, il n’y a pas de différence qualitative. Si le système perd la guerre en Ukraine, il anticipe un affaiblissement systémique qui renforcera les forces d’opposition intérieure qu’il qualifie de « populiste ». Pour cette raison structurelle, plus le temps passe, plus il devient impossible, de son point de vue, de distinguer entre la Russie, l’Iran et, par exemple, un électeur RN ou LFI.
Il faut se préparer à une possible, sinon probable, censure de guerre des moyens de communication à partir de 2024.
Nous appelons nos lecteurs à participer à l’agitation révolutionnaire en désignant l’ennemi aux masses par voie de tractage.
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Napoléon V: I would have liked to have met the Attorney General earlier Charlemagne: I understand, Sire. Mr. de Tour will soon present himself to you Napoléon V: Do not seek to protect me from delicate matters, I'm the Emperor
Charlemagne: It was a complicated period. I thought I was doing the right thing. Napoléon V: You are forgiven, Monsieur. Charlemagne: We have several subjects to discuss: your coronation, your protection, the continuation of your studies, your next steps for the country… Napoléon V: Leave the coronation to my Council of State and the officers of the Imperial Household. We will communicate the details of the organisation to you later. Charlemagne: As you wish, Sire.
Charlemagne: Concerning your protection, we think it wiser for you to live outside Paris for the time being Napoléon V: "We think"? Charlemagne: Yes, the Minister of Defence, the Grand Marshal and myself
Napoléon V: Why leave Paris? What would I look like if I left the capital? Charlemagne: Like a young man in his right mind? You have lived through terrible events. While you prepare for your coronation, it would be easier for you to live outside Paris for a while. Besides, you could concentrate on your studies
Napoléon V: I don't want to give the impression that I am shirking my responsibilities as Emperor. Charlemagne: I assure you that isn't the case.
Napoléon V: As you assured that the demonstrations would not degenerate? Charlemagne: ….
Napoléon V: I have every reason to make you resign before our Parliament. Don't take me for a child.
Charlemagne: I'm offering you an opportunity to rest, to think calmly about the future, Your Imperial Majesty. I regret my previous actions. I'm the leader of your political party, I dare to hope that you don't see me as a piece on the chessboard.
Napoléon V: No, of course not. I simply want the best for Francesim.
Charlemagne: Trust me, one last time. If this does not satisfy you, I will present my resignation solemnly. Napoléon V: … Very well.
⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 3 Floréal An 230
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⚜ Traduction française
Napoléon V : J'aurais aimé rencontrer plus tôt le Procureur Général de l'enquête. Charlemagne : Je comprends, Sire. Le Procureur M. de Tour se présentera bientôt à vous. Napoléon V : Ne cherchez pas à me protéger des sujets délicats, je suis l'Empereur.
Charlemagne : C'était une période compliquée. Je pensais bien agir. Napoléon V : Vous êtes pardonné, Monsieur. Charlemagne : Nous avons plusieurs sujets à aborder : votre couronnement et son déroulé, votre protection, la poursuite de vos études, vos prochaines mesures pour le pays... Napoléon V : Laissez donc le couronnement à mon Conseil d'Etat et les officiers de la Maison Impériale. Nous vous communiquerons ultérieurement les détails de l'organisation Charlemagne : Comme vous le souhaitez, Sire.
Charlemagne : Concernant votre protection, nous pensons qu'il est plus sage que vous viviez momentanément en dehors de Paris. Napoléon V : "Nous pensons" ? Charlemagne : Oui, le ministre de la Défense, le Grand Maréchal et moi-même.
Napoléon V : Pourquoi quitter Paris ? De quoi aurais je l'air si je quitte la capitale ? Charlemagne : D'un jeune homme sain d'esprit ? Vous avez vécu des événements terribles. Le temps de mener l'enquête et pour le bien des préparations en-vue de votre couronnement, ce serait plus facile que vous viviez en dehors de Paris quelques temps. De plus, vous pourriez vous concentrer sur vos études.
Napoléon V : Je ne veux pas donner l'impression de fuir mes responsabilités d'Empereur. Charlemagne : Je vous assure que ce n'est pas le cas. Napoléon V : Comme vous avez assuré que les manifestations ne dégénèreraient pas ? Charlemagne : ....
Napoléon V : J'ai toutes les raisons de vous faire démissionner devant notre Parlement. Ne me prenez pas pour un enfant.
Charlemagne : Je vous offre une occasion de vous reposer, pour réfléchir sereinement à l'avenir, Votre Majesté. Je regrette mes précédents agissements. Je suis le chef de votre parti politique, j'ose espérer que vous ne me voyez pas comme une pièce sur l'échiquier.
Napoléon V : Non, bien sûr que non. Je veux simplement le meilleur pour la Francesim.
Charlemagne : Faites-moi confiance, une dernière fois. Si cela ne vous satisfait pas, je présenterai ma démission solennellement. Napoléon V : ... Très bien.
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