#Arturo Labriola
Explore tagged Tumblr posts
giuseppearagno · 3 years ago
Text
Napoli è un incanto, ma c'è chi non la merita
Napoli è un incanto, ma c’è chi non la merita
Gli anni sconsigliano che mi riprometta futuri paragoni tra ultimo e penultimo sindaco di Napoli, ma mi stupisce che Manfredi scopra d’un tratto che De Magistris aveva ragione – non ci sono soldi – e mi  disgusta la rappresentazione consapevolmente falsa, che utilizza di fatto un principio nazista: una menzogna ostinata e spudoratamente ripetuta diventa verità.Ce l’ho, se non si è capito, con i…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
de-gueules-au-lion-d-or · 3 years ago
Text
Société et traditions européennes sont aujourd'hui en dissolution. Le monde social n'a pas pu résister au libertinage et à la vie des grandes villes. La vie de la société européenne est devenue laide et triste à force d'immoralisme. Les coutumes sont en décomposition. La morale est une convention. Le problème pour la société moderne consiste à sembler morale tout en étant immorale. Qui a volé est devenu riche, qui a menti est devenu célèbre, et qui a tué est devenu puissant. Il est évident que dans une société qui a perdu à ce point tout idéal, l'argent représente l'idéal suprême. Plus la société est matérialiste, plus la ploutocratie est puissante ; et eux, les ploutocrates, incarnent l'immoralisme européen dans son expression la plus intégrale. L'État moderne est un être inférieur, avec un corps énorme et une tête minuscule, une soif insatiable de puissance et d'argent ; peu de raison, peu de caractère. L'appauvrissement spirituel commence. Il se traduit dans l'apparence même des cités et, riches ou pauvres, de leurs habitants. Ils traînent une fatigue générale ; pourquoi vivre si derrière la chose ordinaire et quotidienne il n'y a plus de romantisme, de beauté, de poésie, de foi en un monde plus parfait ?
Arturo Labriola, in “Decadenza della civiltà, capitolo II “Il Legalismo contro la moralità”, p.49, éd. Faro Roma.
4 notes · View notes
mayolfederico · 5 years ago
Text
ventuno gennaio
Franz Borghese, Passeggiata con cane meccanico
  Vòltati, senza dar peso, come si fa quando i pensieri nell’aria scivolano via, voltati per abitudine, lenta, senza senso come quelle donne che per strada girano la testa per un uomo, in casa, o sulla porta, voltati per simpatia d’un rumore lontano, o d’una rondine su nel cielo stravolta, voltati senza sapere, per volontà d’un qualche pensiero…
View On WordPress
0 notes
josemanuellopezsanmartin · 2 years ago
Photo
Tumblr media
 Maria Rygier (Vida y obra)
Tal día como el 5 de diciembre de hace136 años nació Maria Rygier.  Nació el  5-12-1885 en Cracovia, Pequeña Polonia, (Polonia) y murió el 10-2-1953 en Roma, Lacio, (Italia). Fue una política italiana. Cercana durante muchos años al grupo de Arturo Labriola y a la «Avanguardia Socialista», fue editora desde 1907 de la revista de inspiración sindicalista revolucionaria «Lotta di Classe» y junto con Filippo Corridoni fundó la hoja antimilitarista «Break the Files».
0 notes
Text
 Maria Rygier (Vida y obra)
 Maria Rygier (Vida y obra)
Maria Rygier. (1885-1953), Nació el  5 de diciembre de 1885 en Cracovia, Pequeña Polonia, (Polonia) y murió el 10 de febrero de 1953 en Roma, Lacio, (Italia) Fue una política italiana. Cercana durante muchos años al grupo de Arturo Labriola ya la “Avanguardia Socialista”, fue editora desde 1907 de la revista de inspiración sindicalista revolucionaria “Lotta di Classe” y junto con Filippo…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
ftbugatti · 7 years ago
Quote
Le socialisme traverse un moment critique. Il lui semble que son sort est lié à celui de la démocratie, et qu'il ne peut vivre qu'au sein des institution démocratiques. Suffrage universel, parlementarisme, pression sur les pouvoirs publics, agitation de l'opinion publique, considérée comme exprimant les sentiments de tous les citoyens, enfin conquête de l'État, semblent la manifestation légitime de l'action socialiste. Mais en réalité le socialisme n'est pas un dérivé de la démocratie. Tout au plus peut-on dire qu'ils tirent l'un et l'autre leur origine d'une même situation historique et qu'elle les a engendré simultanément. La démocratie avait pour objet l'action en commun et solidariste de tous les citoyens à l'intérieur de l'État ; le socialisme à pour but l'action distincte et séparée d'un groupe de producteurs à l'intérieur de l'atelier et sur le terrain des antagonisme économiques, pour rayonner de là au dehors et investir l'État. Le socialiste, naturellement, n'exclut pas le citoyen ; et qu'on considérât, historiquement, l'État comme un organe destiné à représenter les intérêts économiquement prépondérants, cela n'empêchait nullement qu'on ne tentât d'en rendre l'action moins pesante et moins hostile. Le socialisme se fit donc par surcroît démocratique, en ce sens qu'à certains moments il délaissait la sphère de la production pour s'intéresser à des questions qui ne regardaient plus les ouvriers en tant que producteurs, mais en tant que citoyens. Seulement, il arriva que l'action démocratique parut bien vite aux représentants du socialisme plus douce et plus souriante que l'action de classe proprement dite, dont le terrain spécifique est l'atelier, et l'organe, le syndicat, succédané de l'atelier. Et le parti socialiste devint un parti démocratique comme les autres, uniquement préoccupé  de luttes parlementaires et de cuisine électorale, et ne menant la lutte économique que dans la mesure où elle pouvait servir à fortifier sa situation électorale. La coopération elle-même, si prosaïque et si froidement économique qu'elle apparaisse, fut considérée comme une simple roue du char électoral du parti. Le socialisme devint une démocratie sociale, c'est-à-dire un phénomène qui n'a pas laisser que d'exciter bien souvent la douce hilarité de ce prosaïque économiste qui s'appelait Karl Marx. De même dans la théorie. Le socialisme ne chercha plus à approfondir les causes qui rendent plus aigu l'antagonisme entre la classe ouvrière contre la classe capitaliste. La doctrine socialiste devint ou une nouvelle variation romantique sur les destins futurs de l'humanité "dans la fraternité du travail" (Renard, Jaurès, Atlanticus, Merlino, etc.), ou une recherche des causes qui font croître la solidarité sociale et préparent ainsi un régime où cessera la concurrence meurtrière entre les hommes (ici il faudrait citer tous les intellectuels socialistes des diverses parties du monde). La doctrine de l'opposition et de l'antagonisme des classes fut ou complétée ou niée par la doctrine de collaboration des classes. Inutile d'ajouter que cela ne pouvait pas ne pas frapper de stérilité la doctrine socialiste : on voit par là combien une série ordonnée et rationnelle d'idées peut être bouleversée par une autre série qui vient se mettre au travers. Et c'est ainsi qu'il est arrivé à la littérature socialiste de devenir une chose aussi peu intéressante. Le socialisme, comme mouvement, est devenu, par suite de ces faits, une simple machinerie parlementaire au service de quelques politiciens. Comme doctrine, une variante du solidarisme de Spencer et d'Auguste Comte, un appendice bouffon au positivisme déjà assez bouffon des scientistes officiels, ou un commentaire insipide (spécialité allemande) des moindres bouts de phrases à double sens que même un géant de la pensée, comme Marx, peut laisser échapper.
Arturo Labriola, “Le syndicalisme et le socialisme en Italie”, in “Syndicalisme et socialisme, pp.9-11”
1 note · View note
lespresseslitteraires · 4 years ago
Photo
Tumblr media
L’Afrique berceau de l’humanité - Farid Zafrane « L’Afrique n’a pas à entrer dans l’histoire car l’Afrique c’est l’histoire du monde ». Longtemps, mythes et préjugés de toutes sortes ont caché au monde l’histoire réelle de l’Afrique. Les sociétés africaines passaient pour des sociétés qui ne pouvaient avoir d’histoire. Malgr�� d’importants travaux effectués dès les premières décennies du XXe siècle, par des pionniers comme Léo Frobenius, Maurice Delafosse, Arturo Labriola entre-autre. L’Afrique, continent d’origine de l’espèce humaine, a toujours été connectée au reste du monde, et ce, de tout temps. Elle lui a fourni pléthores de choses comme l’or, la main-d’œuvre, le savoir, l’écriture et les matières premières nécessaires aux échanges successifs de la globalisation. Prenant ainsi, le contre-pied de stéréotypes ou a priori que l’on peut encore entendre ou lire, il faut rappeler que parmi celle de tous les continents, l’histoire de l’Afrique, « berceau de l’humanité », est la plus ancienne et certainement l’une des plus riches. Les Africains peuvent se revendiquer, de l’héritage de l’Égypte Antique et pharaonique, apparue vers 5000 avant notre ère. Précisons également que l’Afrique subsaharienne a eu des contacts avec le reste du monde dès cette époque, sauf avec les Européens. Ceux-ci n’ont découvert le continent africain qu’au XVe siècle, alors que l’or africain nourrissait déjà le commerce mondial. ISBN : 979-10-310-1004-5, 16 X 24, 224 pages, 20 €
0 notes
jgmail · 5 years ago
Text
SOREL Y EL SINDICALISMO NACIONAL
Tumblr media
Por Gustavo Morales
Si alguien se atreve a levantar su voz contra las ilusiones del racionalismo en el acto es considerado como un enemigo de la democraciaGeorges Sorel (1847-1922) era un ingeniero francés, padre del revisionismo revolucionario que supera el carácter materialista del marxismo y llegará a ser básico para la génesis del fascismo. El ambiente intelectual de Sorel se enmarca en el Barrio Latino de París, muy lejos de las frías escuelas teoréticas de Viena.
Marxista confeso, Sorel pretende, originalmente, completar el pensamiento de su maestro. A principios del siglo XX el pensamiento socialista debe enfrentarse a una serie de problemas nuevos, difícilmente explicables mediante el análisis marxista ortodoxo. Sorel se desmarca de las estructuras racionalistas y destaca que el marxismo es la construcción de un mito revolucionario para ilusionar a las masas, negando su valor como explicación racional de la realidad. Sorel niega el valor del racionalismo, al que acusa de corruptor. Antepone a Pascal y a Bergson frente a Descartes y a Sócrates. Sorel sustituye los fundamentos racionalistas y hegelianos del marxismo por: 1.- La nueva visión de la naturaleza humana que predica Le Bon, quien aconseja que “para vencer a las masas hay que tener previamente en cuenta los sentimientos que las animan, simular que se participa de ellos e intentar luego modificarlos provocando, mediante asociaciones rudimentarias, ciertas imágenes sugestivas; saber rectificar si es necesario y, sobre todo, adivinar en cada instante los sentimientos que se hacen brotar”. Resume Le Bon que “la razón crea la ciencia, los sentimientos dirigen la historia”. 2.- Por el anticartesianismo de Bergson. Las enseñanzas de Bergson permiten sustituir el contenido racionalista, es decir, utópico, del marxismo por los mitos revolucionarios. Sorel afirma que todo gran movimiento viene motivado por mitos. El método psicológico toma el relevo al enfoque mecanicista tradicional (1899), frente al método científico, el recurso a una teoría de los mitos sociales. Sorel no repudia el marxismo, incluso llega a defenderlo contra algunos socialistas democráticos. Se debe a que considera que no existe ninguna relación entre la verdad de una doctrina y su valor operativo en tanto que instrumento de combate. Sorel desplaza el mito de la esfera del intelecto y lo instala en la de la afectividad y la actividad. Una mentalidad religiosa contra la mentalidad racionalista. Sorel recuerda que Bergson nos ha enseñado que la religión no ocupa en exclusiva la región de la conciencia profunda, la ocupan también, por las mismas razones, los mitos revolucionarios. Con ello, Sorel rechaza el presunto carácter científico del marxismo y niega la posibilidad de la explicación social en términos cuasi matemáticos. 3.- Por la rebelión de Nietzsche.. La única actitud coherente del revolucionario es la negación de los valores imperantes y la afirmación de otros nuevos y rebeldes. En Reflexiones sobre la violencia, Sorel afirma: Los mitos no son descripciones de cosas, sino expresiones de voluntad… conjuntos de imágenes capaces de evocar en bloque y exclusivamente a través de la intuición, previamente a cualquier tipo de análisis reflexivo, la masa de los sentimientos que corresponden a las diversas manifestaciones de la guerra librada por el socialismo en contra de la sociedad moderna. Sorel identifica mito y convicciones, entendiendo éstas en términos de las ideas y creencias de Ortega. Sorel distingue entre la ética del guerrero, que apoya, y la del intelectual, que condena: Ya no hubo soldados ni marinos, sólo hubo tenderos escépticos. Fases del pensamiento soreliano Socialismo marxista En una primera fase, los sorelianos metamorfosean el marxismo, construyen una nueva ideología revolucionaria, desechando las teorías marxistas de plusvalor y de clase. Sorel vacía el marxismo de hedonismo y de materialismo, haciéndolo pasar de ser una máquina intelectual esclerotizada a una fuerza movilizadora en pos de la destrucción de lo que existe, el mundo materialista burgués. La teoría de los mitos se vuelve el motor de la revolución y la violencia su instrumento: La violencia proletaria, no sólo puede garantizar la revolución futura, sino que, además, parece ser el único medio de que disponen las naciones europeas, embrutecidas por el humanismo, para recobrar su antigua energía. Para Sorel, sólo los hombres que viven en estado de tensión permanente pueden alcanzar lo sublime. En esa vía, Sorel reivindica el cristianismo primitivo y el sindicalismo de combate de su tiempo. No nos molestaremos en demostrar que la idea de violencia revolucionaria no se ciñe al derramamiento de sangre ni a la brutalidad, que son inherentes a la explotación del trabajador, camuflada bajo la cortina de humo del sufragio partitocrático. Por esa vía, también la crítica del sociólogo Pareto al marxismo, base de su teoría de las élites, se acerca a la de Sorel. Sindicalismo nacional En una segunda fase, a partir de que Sorel abandona el socialismo (1909), el mito nacional sustituye al mito exclusivamente proletario, ya desalentado en la lucha contra la decadencia democrática y racionalista. La enseñanza obligatoria, la alfabetización en las zonas rurales, el acceso lento pero continuo de la clase obrera a la cultura, no favorecen la conciencia de clase del proletariado, sino más bien una nueva toma de conciencia de la identidad nacional. Los sorelianos ven la organización de la sociedad en términos sindicalistas. Sorel cree que el sindicalismo, en su lucha contra la dictadura de la burguesía y la dictadura del proletariado, ambas materialistas, posee un alto valor civilizatorio. La influencia de Sorel se refleja en el parlamento de productores defendido por José Antonio, así como en la afirmación: Concebimos a España como un gigantesco sindicato de productores. Ledesma asumirá, además, el término de sindicalismo nacional que se extiende entre los sorelianos franceses e italianos. A la postre, lo nacional vira hacia formas de sindicalismo al igual que los sindicalistas varían hacia diferentes escuelas de nacionalismo. Asumen, también, de Sorel que la disciplina, la autoridad, la solidaridad social, el sentido del deber y del sacrificio, los valores heroicos, son otras tantas condiciones necesarias para la supervivencia de la nación. El mito nacional releva al mito meramente social como motor revolucionario. Para ello, es preciso que la convicción se apodere absolutamente de la conciencia y actúe antes que los cálculos de la reflexión hayan tenido tiempo de aparecer en el espíritu. Es decir, opta por la opción de la nueva civilización que nace de la acción directa antes de la reflexión teórica. Aquí Ledesma recibe una mayor influencia soreliana que José Antonio, que a pesar de su renuncia a la torre de marfil de los intelectuales siente una cierta nostalgia por ella, visible en su Elogio y reproche a Ortega y Gasset. La vanguardia cultural de la primera década del siglo XX, los futuristas, reciben con entusiasmo las ideas sorelianas prefascistas: Los elementos esenciales de nuestra poesía serán el coraje, la audacia y la rebelión.. Queremos derribar los museos, las bibliotecas, atacar el moralismo (…) Ensalzamos las resacas multicolores y polifónicas de las revoluciones. En pie en la cumbre del mundo, lanzamos una vez más el desafío a las estrellas. (Marinetti, 1909). Un hecho crucial en la opinión pública occidental está en 1920. Cuando, respaldados por numerosas huelgas parciales y ocupaciones de fábricas en el norte de Italia, los nacionalsindicalistas italianos presenten su propuesta de autogestión de la industria al ministro de Trabajo, Arturo Labriola. El primer ministro Giolitti reconoce el derecho de participación de los trabajadores en las empresas. El nacionalsindicalismo italiano obtiene así una victoria épica. Con todo ello, los sorelianos abren la tercera vía entre las dos concepciones totales del hombre y la sociedad que son el liberalismo y el marxismo, ideologías presas del racionalismo donde se prescinde de la intuición y del sentimiento en favor de un imposible concepción matemática de las ciencias sociales. El discurso de Sorel se hace transversal, basado fundamentalmente en el poder de los sindicatos pero repudiando el carácter meramente reivindicativo de éstos, es decir, su domesticación en brazos del socialismo parlamentario. Sorel repudia los pactos y acuerdos con la burguesía, así como el sistema de dominio del liberalismo democratizado: el parlamentarismo. Sorel odió tanto a la burguesía y la democracia liberal que recibió con expresiones de júbilo la revolución rusa, a pesar de haber criticado enérgicamente el leninismo de los revolucionarios profesionales. Sorel ve en Lenin la revancha del genio creador del jefe contra la vulgaridad democrática. Aconsejaba a los sindicatos alejarse del mundo corrupto de los políticos y de los intelectuales burgueses, distinguiendo entre conspiración y revolución. Sólo la segunda da vida a una nueva moral. Sólo los trabajadores más militantes -dice Sorel- son sindicalistas: El obrero de la gran industria sustituirá al guerrero de la ciudad heroica. Por tanto, los valores de ambos son comunes y el ascetismo y la eliminación del individualismo suponen características compartidas por el soldado-monje y por el obrero-combatiente. Podemos encontrar coincidencias entre el desarrollo de Sorel y el de Spengler. Fascismo Sorel no desacreditó el uso que los fascistas hacían de su nombre. De hecho, el fascismo nace de la crítica sindicalista, con un fuerte componente soreliano, al marxismo racionalista ortodoxo. El fascismo se revela contra la deshumanización introducida por la modernización en las relaciones humanas, pero, al contrario que el tradicionalismo, desea conservar celosamente los logros del progreso. La revolución fascista busca transformar la naturaleza de las relaciones entre el individuo y la comunidad sin que por ello sea necesario desbaratar el motor de la actividad económica moderna. Los sorelianos son los primeros revolucionarios surgidos de la izquierda que se niegan a cuestionar la propiedad privada. Consideran que atacarla supone confundir al enemigo real: la concepción burguesa y materialista de la existencia, que también encarnan el jacobino y el socialdemócrata. Los sorelianos se mantienen fieles a la idea de que todo progreso depende, y dependerá, de una economía de mercado, al igual que hoy defiende el economista joseantoniano Velarde Fuertes, distintas de los planteamientos estatistas de Dionisio Ridruejo. En este punto del debate, los nacionalsindicalistas se escinden, la mayoría pasa a apoyar directamente al fascismo, incluso cuando éste modera su aspecto de transformación económica de la sociedad. Otro pequeño sector, el ala izquierda, rompe con el fascismo y recupera el viejo axioma del sindicalismo revolucionario: la sociedad de trabajadores libres. El paso de uno a otro es visible en José Antonio en la comparativa del Discurso de la Comedia de 1933 al Discurso de la revolución Española de 1935, en el que enumera cuatro tipos de propiedad: la personal, la familiar, la comunal y la sindical. Están ausentes la estatal y la correspondiente a sociedades anónimas. En cualquier caso, con la síntesis fascista, la estética revolucionaria y heroica se convierte en parte integrante de la política y de la economía. Conclusión Sorel, en los artículos reunidos en las Ilusiones del Progreso, denuncia a Descartes, dado que sus ideas lo son de la clase dominante. Desecha el racionalismo que deviene en optimismo al entender el mundo como un inmenso almacén donde todos pueden satisfacer sus necesidades materiales. Sorel pide que el socialismo se transforme en una filosofía de comportamiento moral, donde las relaciones de los trabajadores generen una nueva ética, absolutamente distinta de la moral burguesa, el enemigo real de Sorel. Sorel abandona el proletarismo cuando comprueba que la violencia obrera, sustentada en las reivindicaciones materiales, no eleva al proletariado al nivel de una fuerza histórica susceptible de engendrar una nueva civilización. Sorel anuncia que el sindicalismo se separa del socialismo racionalista y repudia, finalmente, a Marx y a Hegel. Sorel asume la frase de Croce y afirma: El socialismo ha muerto, cuando descubre, con amargura, que las ideas, preocupaciones, fines y comportamientos del trabajador no difieren de aquellas de los burgueses. El carácter pactista del parlamentarismo liberal ha seducido a los partidos socialistas europeos occidentales y los sindicatos, animados por la acción directa y el mito de la huelga revolucionaria, o se amoldan o se separan radicalmente del socialismo parlamentario. Sorel se desentiende de las construcciones teóricas que anteceden a la acción. Él es un enamorado del hecho revolucionario, lo que ayuda a comprender su paso del marxismo de combate, que abandona cuando la socialdemocracia se domestica en los parlamentos, y da su posterior adhesión a los procesos de revolución nacional que sacuden Europa. Cuando el 23 de marzo de 1919, en la plaza San Sepolcro de Milán, Mussolini funda el fascismo italiano, entre los presentes se encuentran muchos sindicalistas sorelianos, hastiados de la connivencia de la burguesía con el Partido Socialista Italiano del que también procede el futuro Duce. En resumen, el fascismo no nace de la burguesía sino que es una escisión de la izquierda socialista, la fracción de aquellos que abominan del liberalismo parlamentario y consideran que la misión histórica del proletariado no es imponer una dictadura sino crear una civilización. A la postre el fascismo pierde su empuje revolucionario, es decir, cuando inicia su política de pactos con la burguesía industrial, los partidos nacionales del resto de Europa rompen con él y buscan un nuevo engarce de la revolución nacional con el brío puro y antipolítico de las masas anarcosindicalistas. El mejor ejemplo lo tenemos en Ramiro Ledesma y La Conquista del Estado. Ledesma no opta por el fascismo, a pesar de su viva la Italia de Mussolini o viva la Germania de Hitler, ni por el bolchevismo, también a pesar de su viva la Rusia de Stalin, sino por algo consustancial a todos ellos, el fin de la democracia liberal, ese régimen basado en palabras del soreliano Berth, en el voto secreto…el símbolo perfecto de la democracia. Ved a ese ciudadano, ese miembro de lo soberano, que temblorosamente va a ejercer su soberanía, se esconde, elude las miradas, ninguna papeleta será lo suficientemente opaca para ocultar a las miradas indiscretas su pensamiento…. Ledesma, como Sorel y José Antonio, entienden que el trabajador está llamado a recuperar el sentimiento heroico de la existencia, antaño en manos del guerrero. Sorel es la superación del mecanicismo marxista.. José Antonio da un paso más, superando el fascismo corporativista y enlazando la cuestión social y la nacional con el compromiso humano y utópico. En resumen, el fascismo es un revisión del socialismo. El nacionalsindicalismo, al final, supone una superación del carácter material y pactista de ambos, entroncando con el sindicalismo revolucionario y la nacionalización del proletariado, construyendo una sociedad vertebrada sin estatismo.
0 notes
osobypostacieludzie · 7 years ago
Photo
Tumblr media
Michele Bianchi - był włoskim rewolucyjnym przywódcą syndykalistycznym, który zajął pozycję w Unione Italiana del Lavoro (UIL). Był jednym z założycieli ruchu faszystowskiego. Był powszechnie postrzegany jako dominujący przywódca lewicowego, syndykalistycznego skrzydła Narodowej Partii Faszystowskiej. Brał czynny udział w "lewicy interwencjonistycznej", gdzie "popierał sojusz między nacjonalizmem a syndykalizmem". Był jednym z najbardziej wpływowych polityków reżimu, zanim poddał się gruźlicy w 1930 r. On także był jednym z wielkich architektów stojących za "Wielką listą" (il listone), która zabezpieczyła parlamentarną większość na korzyść faszystów. Bianchi urodził się w Belmonte Calabro (Kalabria) na południu Włoch. Studiował prawo na Uniwersytecie w Rzymie i od samego początku poświęcił się dziennikarstwu. Został członkiem Włoskiej Partii Socjalistycznej (PSI) i redaktorem gazety partyjnej Avanti !, przewodniczącej oddziałowi socjalistycznemu w Rzymie. Jako delegat na kongres w Bolonii w 1904 r. poparł linię syndykalistyczną narzuconą przez Arturo Labriola. W 1905 Bianchi zrzekł się swojej pozycji w Avanti! i przejął kierownictwo Gioventù socialista (praca Federisione dei Giovani - skrzydło młodzieżowe PSI). Prowadzona przez niego kampania antymilitarystyczna zamknęła go w więzieniu, a następnie przymusowo osiedliła się w Genui. Bianchi przystosował się do swojej nowej rezydencji i został szefem Liguryjskiej Izby Pracy, a także redaktorem rewolucyjnej gazety Lotta socialista. W 1906 r., po poparciu kilku robotniczych buntów, Bianchi wyraził swój pacyfizm przed przywódcami PSI i nie był powszechnie przyjmowany z zadowoleniem. Przeniesiony do Savona, odegrał kluczową rolę w wydarzeniach, które doprowadziły syndykalistów do PSI - pomiędzy kongresem bolońskim PSI z 1907 r. a pierwszym Kongresem syndykalistów w lipcu 1908 r. (W Ferrarze). Po kilkakrotnym aresztowaniu i podróżowaniu po Włoszech Bianchi został redaktorem "La Scintilla" w 1910 roku; zapoczątkował ideę, że PSI i syndykaliści powinni ponownie zjednoczyć się na listach wyborczych w oczekiwanych wyborach administracyjnych. Został przegłosowany i uciekał się do wyrażania swoich poglądów wyłącznie za pośrednictwem papieru - który zamienił w dziennik, zwolennika kilku lokalnych rewolt proletariackich w 1911 roku. Jednak Bianchi został zmuszony przez napięty budżet, by zamknąć La Scintillę, zanim jeszcze został ponownie aresztowany w Trieście za atakowanie Giovanniego Giolittiego jako inicjatora wojny włosko-tureckiej. Korzystał z amnestii i wrócił do Ferrary, gdzie stworzył i przewodził gazecie La Battaglia (nieudana próba zdobycia mandatu w wyborach w 1913 r.). Bianchi przeprowadził się do Mediolanu, stając się główną postacią Milanese Syndical Union i Unione Sindacale Italiana (USI). Postawa Michele Bianchi podczas I wojny światowej odzwierciedlała postawę Benito Mussoliniego: stał się aktywnym zwolennikiem wejścia Włoch w konflikt i zwolennikiem irredentyzmu. W 1915 r., kiedy Włochy przystąpiły do ​​Ententy Powers, Bianchi zgłosił się na ochotnika do służby i został młodszym oficerem - najpierw w Piechocie, potem w Artylerii. Wraz z końcem wojny Bianchi dołączył do Fasci Italiani di Combattimento Mussoliniego, a następnie do Narodowej Partii Faszystowskiej (Partito Nazionale Fascista, lub PNF). W 1921 r. został sekretarzem PNF i próbował dołączyć do faszystów z innymi ruchami prawicowymi (zezwalając jednocześnie na liczne gwałtowne naloty przeprowadzane przez Blackshirts). Po zdławieniu akcji strajkowej przeciwko faszystowskim manewrom, Bianchi był jednym z Quattuorvirate, który poprowadził Marsz na Rzym, pseudo-zamachu stanu, który przyniósł Mussoliniego na premiera (październik 1922 r.). W nowo powstałym rządzie był sekretarzem generalnym narodowej partii faszystowskiej i uważany za "najbliższego współpracownika Mussoliniego". W niedługim czasie Bianchi został zwolniony jako przywódca PNF w 1923 roku, dołączając do Wielkiej Rady Faszyzmu; w 1924 r. został wybrany do Izby Deputowanych, ale 14 marca zrezygnował ze stanowiska rządowego. W 1925 r. otrzymał stanowisko podsekretarza stanu w Ministerstwie Robót Publicznych, w 1928 r. na tym samym stanowisku w Ministerstwie Spraw Wewnętrznych, a 12 września 1929 r. został ministrem robót publicznych. Ponownie wybrany do Izby, jego stan zdrowia poważnie się pogorszył i wkrótce zmarł w Rzymie.
0 notes
senzalinea-blog · 6 years ago
Text
Mercoledi 1° Maggio allo Zoo di Napoli: Spettacoli e Natura!
Mercoledi 1° Maggio allo Zoo di Napoli: Spettacoli e Natura!
Mercoledi 1 maggio 2019 dalle ore 09:30 alle ore 18:00
Zoo di Napoli Ingressi: Via Arturo Labriola, 74 Napoli (adiacente Piscina Scandone, solo nel week end e festivi); Via John Fitzgerald Kennedy 76, Napoli, (tutti i giorni)
Per mercoledi Primo Maggioc’è una nuova sorpresa allo Zoo di Napoli, si è pensato di festeggiare tutti insieme con un’altra giornata all’insegna del divertimento, questa…
View On WordPress
0 notes
giuseppearagno · 4 years ago
Text
Ancora per Eddi
Uno Stato socialmente pericoloso
19/03/2020 di giuseppearagno | Modifica
Tumblr media
Oggi si discute a Torino il ricorso in appello presentato da Maria Edgarda Marcucci contro il provvedimento soffocante e fascista della Sorveglianza Speciale, che subisce dal 17 aprile scorso. Eddi – così la chiama che la conosce – non ha commesso reati. Ha combattuto per l’Isis e ha difeso la libertà e la giustizia.…
View On WordPress
0 notes
jamariyanews · 6 years ago
Text
Rileggere Lenin per contrastare l'enfasi celebrativa, nazionalista e bellicista dei fascisti verso la Prima Guerra Mondiale
Contro l'enfasi celebrativa, nazionalista e bellicista, di cui si vuol circondare il “centenario della vittoria”, che i fascisti vorrebbero addirittura elevare a “principale festa nazionale”; contro l'esaltazione “guerriera” diffusa da un Ministero della difesa sempre all'attacco, qualunque sia lo schieramento politico impegnato a reclamizzare le armi italiane su tutti i fronti in cui USA e NATO portino la “democrazia” a suon di bombe; contro la retorica patriottarda, che equipara le odierne esaltazioni dei professionisti della guerra al sacrificio dei “nostri nonni”, obbligati ad andare al macello in un conflitto che essi non volevano; contro questo, proponiamo, per chi avrà la pazienza di leggerla, questa nota di Lenin, a proposito delle smanie interventiste italiane di cento anni fa e del ruolo dei riformisti nel voler trasformare le masse popolari in “lacchè della propria borghesia nazionale”, osservando come, sul fronte dell' “imperialismo della povera gente”, le condizioni dei migranti italiani di un secolo fa non differissero da quelle inflitte oggi agli attuali migranti proprio da coloro che più esaltano la “vittoria indimenticabile”.
IMPERIALISMO E SOCIALISMO IN ITALIA
(Nota)
Per l'interpretazione di quelle questioni che l'attuale guerra imperialista ha posto di fronte al socialismo, non è superfluo gettare uno sguardo sui diversi paesi europei, per imparare a isolare le modificazioni nazionali e i dettagli del quadro complessivo, da ciò che è basilare e sostanziale. Dal di fuori, dicono, le cose sono più evidenti. Perciò, quante meno analogie tra Italia e Russia, tanto più interessante, sotto certi aspetti, è paragonare imperialismo e socialismo in entrambi i paesi. Nella presente nota abbiamo intenzione soltanto di evidenziare il materiale che offrono su questa questione le opere, uscite dopo l'inizio della guerra, del professore borghese Roberto Michels: “L'imperialismo italiano” e del socialista T. Barboni: “Internazionalismo o nazionalismo di classe?” (Il proletariato d'Italia e la guerra europea ). Il ciarliero Michels, rimasto superficiale come nelle altre sue opere, sfiora appena il lato economico dell'imperialismo, ma nel suo libro è raccolto un materiale di valore sulle origini dell'imperialismo italiano e su quel passaggio che costituisce la sostanza dell'epoca contempo­ranea e che, in Italia, ha un particolare risalto e precisamente: il passaggio dall'epoca delle guerre di liberazione nazionale all'epoca delle guerre imperialiste di rapina e reazionarie. L'Italia democratico-rivoluzionaria, vale a dire rivoluzionaria-borghese che abbatteva il giogo dell'Austria, l'Italia dell'epoca di Garibaldi, si trasforma definitivamente sotto i nostri occhi nell'Italia che opprime altri popoli, che saccheggia Turchia e Austria, nell'Italia di una borghesia rozza, reazionaria in misura rivoltante, sporca, che sbava per la soddisfazione di esser stata ammessa alla spartizione del bot­tino. Michels, come ogni altro decoroso pro­fessore, reputa, s'intende, "obiettività scientifica", il suo servilismo di fronte alla borghesia e definisce questa divisione del bottino una "spartizione di quella parte del mondo rimasta ancora nelle mani dei popoli deboli" ( p. 179). Respingendo in modo sprezzante, come "utopistico" il punto di vista di quei socialisti ostili a ogni politica coloniale, Michels ripete i ragionamenti di quanti ritengono che l'Italia "dovrebbe essere la seconda potenza coloniale", cedendo il primato alla sola Inghilterra, per densità di popolazione e vigore del movimento migratorio. Per quanto riguarda il fatto che in Italia il 40% della popo­lazione sia analfabeta, che ancor oggi vi scoppino rivolte per il colera, ecc. ecc., questi argomenti vengono contestati basandosi sull'esempio dell'Inghilterra: non era forse essa il paese della incredibile desolazione, dell'abiezione, della morte per fame delle masse operaie, dell'alcolismo, della miseria e della sozzura mostruose nei quartieri poveri delle città, nella prima metà del XIX secolo, quando la borghesia inglese gettava con così grande successo le basi della propria attuale potenza coloniale? E bisogna dire che, dal punto di vista borghese, questo ragionamento è inoppugnabile. Politica coloniale e imperialismo non sono affatto deviazioni morbose e curabili del capitalismo (come pen­sano i filistei, e Kautsky tra loro), ma una conseguenza inevitabile dei fondamenti stessi del capitalismo: la concorrenza tra singole imprese pone la questione solo in questo modo – andare in rovina o mandare in rovina gli altri; la concorrenza tra i diversi paesi pone la questione solo così - rimanere al nono posto e rischiare in eterno il destino del Belgio, oppure mandare in rovina e conquistare altri paesi, e farsi largo per un posticino tra le "grandi" potenze. Hanno definito l'imperialismo italiano "l'imperialismo dei poveri" (l'imperialismo della po­vera gente -in italiano nel testo - ndt), avendo in mente la povertà dell'Italia e la desolante miseria delle masse degli emigranti italiani. Lo sciovinista italiano Arturo Labriola, che si distingue dal suo ex avversario G. Plekhanov solo per il fatto di aver reso patente un po' prima il proprio social-sciovinismo e per esser giunto a questo social-sciovinismo attraverso il semianarchismo piccolo-borghese e non attraverso l'opportunismo pic­colo-borghese, questo Arturo Labriola ha scritto nel suo libello sulla guerra in Tripolitania (nel 1912): " ... È chiaro che noi combattiamo non soltanto contro i turchi... ma anche contro gli intrighi, le minacce, i soldi e gli eserciti dell'Europa plutocratica, che non può sopportare che le piccole nazioni ardiscano compiere foss'anche un solo gesto, pronunciare anche una sola parola, che comprometta la sua ferrea egemonia" (p. 92). E il capo dei nazionalisti italiani, Corradini, ha di­chiarato: "Come il socialismo fu il metodo di liberazione del proletariato dalla borghesia, così il nazionalismo sarà per noi, italiani, il metodo di liberazione da francesi, tedeschi, inglesi, ame­ricani del nord e sud, i quali, nei nostri confronti, rappresentano la borghesia". Ogni paese che ha più colonie, più capitali, più soldati del "nostro", toglie a "noi" certi privilegi, un certo profitto o sopraprofitto. Come tra singoli capitalisti, ottiene un sopraprofitto quello che dispone di macchine migliori della media, o detiene certi monopoli, così anche tra i paesi ottiene un sopraprofitto quello che è in una condizione economicamente migliore degli altri. È affare della borghesia lottare per privilegi e superiorità del proprio capitale nazionale e imbrogliare il popolo o il popolino (con l'aiuto di Labriola e Plekhanov) presentando la lotta imperialista per il "diritto" a saccheggiare gli altri, come una guerra di liberazione nazionale. Fino alla guerra di Tripolitania, l'Italia non aveva saccheggiato altri po­poli – quantomeno, non in grande misura. Non è forse questa un'offesa insopportabile all'orgoglio nazionale? Gli italiani sono oppressi e umiliati di fronte alle altre nazioni. L'emigrazione italiana contava circa 100.000 persone l'anno, negli anni '70 del secolo scorso, mentre raggiunge ora una cifra da ½ milione a 1 milione, e sono tutti miserabili che la fame, nel significato letterale della parola, caccia dal loro paese, sono tutti fornitori di forza-lavoro per i settori peggio pagati dell'industria, è tutta una massa che popola i quartieri più densi, poveri e luridi delle città americane e europee. Il numero degli italiani che vivono all'estero, da 1 milione nel 1881 è cresciuto a 5,5 milioni nel 1910, e per di più l'enorme maggioranza si trova in ricchi e "grandi" paesi, in rapporto ai quali gli italiani costi­tuiscono la più rozza, più "materiale", più misera e priva di diritti massa operaia. Ecco i principali paesi che utilizzano il lavoro italiano a buon mercato: Francia, 400.000 italiani nel 1910 (240.000 nel 1881); Svizzera, 135.000 (41) – (tra parentesi, il numero in migliaia, nel 1881) -; Austria, 80.000 (40); Ger­mania, 180.000 (7); Stati Uniti, 1.779.000 (170); Brasile, 1.500.000 (82); Argentina, 1.000.000 (254). La "brillante" Francia, che 125 anni fa lottava per la libertà e per questo definisce "di liberazione" la sua attuale guerra per il proprio, e dell'Inghilterra, schiavistico "diritto alle colonie", questa Francia tiene centinaia di migliaia di operai italiani addirittura in speciali ghetti, dai quali la canaglia piccolo­ borghese della "grande" nazione cerca di separarsi quanto più possibile e che cerca di umiliare e offendere in ogni modo. Gli italiani vengono chiamati col nomignolo dispregiativo di "macaroni" (è bene che il lettore grande-russo ricordi quanti nomignoli spregiativi circolino nel nostro paese per gli "stranieri" che non hanno avuto la fortuna di nascere con il diritto a nobili privilegi imperiali, i quali servono ai Purishkevic quale strumento di oppressione sia del grande-russo, sia di tutti gli altri popoli della Russia). La grande Francia ha stipulato nel 1896 un accordo con l'Italia, in forza del quale quest'ultima si impegna a non aumentare il numero delle scuole italiane a Tunisi! Ma la popolazione italiana a Tunisi è cresciuta da allora di sei volte. Gli italiani a Tunisi sono 105.000, contro 35.000 francesi; ma tra i primi solo 1.167 sono proprietari fondiari, che possiedono 83.000 ettari, mentre tra i secondi ce ne sono 2.395, che hanno saccheggiato, nella "propria" colonia, 700.000 ettari. Dunque, come non esser d'accordo con Labriola e gli altri "plekhanovisti" ita­liani, sul fatto che l'Italia ha "diritto" a una propria colonia a Tripoli, all'oppressione degli slavi in Dalmazia, alla spartizione dell'Asia Mi­nore, ecc.!* ---------- NOTA * E' in sommo grado istruttivo sottolineare il legame tra il passaggio dell'Italia al­l'imperialismo e l'assenso del governo alla riforma elettorale. Questa riforma ha elevato il numero di elettori da 3.219.000 a 8.562.000, vale a dire ha "quasi" concesso il suffragio universale. Fino alla guerra di Tripolitania, Io stesso Giolitti, che ha ora attuato la riforma, era decisamente contrario a essa. "La motivazione per il mutamento di linea da parte del governo" e dei partiti moderati - scrive Michels – è stata, per la sua essenza, patriottica. "Nonostante l'antico disgusto teorico verso la politica coloniale, gli operai industriali, e ancor più gli operai non qualificati, hanno combattuto contro i turchi in modo eccezionalmente disciplinato e ubbidiente, malgrado ogni previsione. Questo comportamento servile in rapporto alla politica governativa, meritava un riconoscimento, per spronare il proletariato a proseguire su questa nuova strada. In parlamento, il presidente del consiglio dei ministri ha dunque dichiarato che la classe operaia italiana, con il suo comportamento patriottico sui campi di battaglia in Libia, ha dimostrato di fronte alla patria di aver raggiunto d'ora innanzi il più alto grado di maturità politica. Chi è in grado di sacrificare la vita per un nobile scopo, è anche in grado di difendere gl'interessi della patria in qualità di elettore e ha perciò diritto a che lo Stato lo consideri degno della pienezza dei diritti politici". (p. 177). Parlano bene i ministri italiani! Ma, ancora meglio i "radicali" tedeschi social-democratici, che ripetono ora questo ragionamento servile: "noi" abbiamo adempiuto il nostro dovere, abbiamo aiutato "voi" a saccheggiare paesi stranieri, ma "voi" non volete dare "a noi" il suffragio universale in Prussia … ---------- Come Plekhanov sostiene la guerra "di liberazione" della Russia contro la brama della Germania di trasformarla in una propria colonia, così il capo del partito dei riformisti, Leonida Bissolati, grida contro "l'inva­sione del capitale straniero in Italia" (p. 97): il capitale tedesco in Lom­bardia, quello inglese in Sicilia, il francese nel Piacentino, il belga nelle aziende tranviarie, ecc. ecc. senza fine. La questione è posta senza mezzi termini e non è possibile non riconoscere che la guerra europea ha recato all'umanità un enorme beneficio, avendo posto, effettivamente, in maniera risoluta, di fronte a centinaia di milioni di individui di nazioni diverse, la questione: o difendere, col fucile o con la penna, direttamente o indirettamente, in una qualsiasi forma, i pri­vilegi di grande potenza o nazionali in genere, o i vantaggi o le pretese della "propria" borghesia, e allora questo significa essere suoi seguaci o lacchè, oppure utilizzare ogni lotta, e soprattutto quella armata per i privi­legi di grande potenza, al fine di smascherare e rovesciare ogni governo, ma prima di tutti il proprio governo, servendosi delle azioni rivoluzionarie del prole­tariato solidale internazionalmente. Non c'è via di mezzo, o in altre pa­role: il tentativo di tenere una posizione mediana, significa di fatto il passaggio coperto dalla parte della borghesia imperialista. Tutto il libello di Barboni è appunto dedicato, di fatto, proprio a questo, cioè a coprire questo passaggio. Barboni si presenta come internazionalista, perfettamente allo stesso modo del no­stro sig. Potresov; argomentando che, dal punto di vista internazionale, bisogna stabilire il successo di quale parte sia più vantaggioso, o non nocivo, per il proletariato, definisce tale questione, s'intende, contro... Austria e Germania. Barboni, pienamente nello spirito di Kautsky, propone al Partito socia­lista italiano di proclamare solennemente la solidarietà degli operai di tutti i paesi, - in primo luogo, naturalmente, di quelli belligeranti, - le convinzioni internazionaliste, un programma di pace sulla base del disarmo e dell'indipendenza nazionale di tutte le nazioni, con la costituzione di "una lega di tutte le nazioni per una reciproca garanzia di inviolabilità e indipendenza" (p. 126). E appunto nel nome di questi principi, Barboni dichiara che il militarismo è un fenomeno "parassitario" nel capitalismo e "niente affatto necessario"; che l'Austria e la Ger­mania sono impregnate di "imperialismo militaristico", che la loro politica aggressiva è una "minaccia permanente alla pace europea", che la Germania "ha respinto in permanenza le proposte di riduzione degli armamenti avanzate dalla Russia (sic!!) e dall'Inghilterra" ecc. ecc., e che il Partito socialista italiano, al momento opportuno, deve dichia­rarsi per l'intervento dell'Italia dalla parte della Triplice Intesa! Resta ignoto, in forza di quali principi possa preferirsi, all'imperialismo borghese della Germania, che economicamente si è sviluppata nel secolo XX più velocemente degli altri paesi europei e che è rimasta particolarmente "offesa" nella spartizione delle colonie, l'impe­rialismo borghese dell'Inghilterra, che si è sviluppata molto più lenta­mente, ha saccheggiato una quantità di colonie, ricorrendo spesso là (lontano dall'Euro­pa) a metodi di repressione non meno bestiali dei tedeschi, e arruolando, con i propri miliardi, milioni di soldati di diverse potenze continentali, per il saccheggio di Austria e Turchia, ecc. L'internazionalismo di Barboni si esaurisce, in sostanza, come in Kautsky, nella difesa a parole dei principi socialisti, ma sotto la copertura di tale ipocrisia, viene di fatto condotta la difesa della propria borghesia, quella italiana. Non è possibile non sottolineare che Barboni, avendo pubblicato il suo libro nella libera Svizzera (la cui censura ha cancellato solo metà di una riga, a p. 75, dedicata evidentemente a una critica all'Austria), per tutte le 143 pagine non ha sentito il desiderio di riportare le tesi fondamentali del manifesto di Basilea e analizzarle coscienziosamente. In compenso, il nostro Barboni cita con grande simpatia (p.103) due ex rivoluzionari russi, reclamizzati ora da tutta la borghesia francofila, il piccolo-borghese anarchico Kropotkin e il filisteo social-democratico Plekhanov. Per forza! I sofismi di Plekhanov, nella sostanza, non si distinguono in niente dai sofismi di Barboni. Solo la libertà politica in Italia strappa meglio i veli da questi sofismi e smaschera più chiaramente l'autentica posizione di Barboni, quale agente della borghesia nel campo operaio. Barboni si duole per "l'assenza di un vero e autentico spirito rivoluzionario" nella social-democrazia tedesca (del tutto come Plekhanov); saluta caldamente Karl Liebknecht (come Io salutano i social-sciovi­nisti francesi, che non vedono la trave nei loro occhi); ma egli dichiara deci­samente che "non si può affatto parlare di bancarotta dell'Interna­zionale" (p. 92), che i tedeschi "non hanno tradito lo spi­rito dell'Internazionale" (p. 111), in quanto hanno agito convinti "in buona fede" di difendere la patria. E Barboni, nello stesso untuoso spirito di Kautsky, ma con una certa oratoria da epoca romana, dichiara che l'In­ternazionale è pronta (dopo la vittoria sulla Germania) "a perdonare ai tedeschi, come Cristo perdonò a Pietro, l'attimo di sfiducia, guarire, dimenticando, le profonde ferite inferte dall'imperialismo militarista e tenderà la mano per una pace dignitosa e fraterna" (p. 113). Un quadro toccante: Barboni e Kautsky - non senza la partecipazione, verosimilmente, dei nostri Kosovskij e Akselrod – si perdonano l'un l'altro!! Pienamente soddisfatto di Kautsky e Guesde, di Plekhanov e Kropotkin, Barboni non è soddisfatto del suo partito socialista ope­raio, in Italia. In questo partito, che ha avuto la ventura, ancor prima della guerra, di liberarsi dei riformisti Bissolati e C°, si è creata, vedete, una tale "atmosfera, che è impossibile respirare" (p.7) per chi (come Barboni) non condivide lo slogan della "assoluta neutralità" (cioè della lotta decisa contro la difesa dell'en­trata in guerra dell'Italia). Il povero Barboni si lamenta amaramente che individui come lui vengano definiti, nel Partito socialista operaio ita­liano, "intellettuali", "persone che hanno perso il contatto con le masse, fuorusciti dalla borghesia", "individui che hanno deviato dalla strada diretta del socialismo e dell'internazionalismo" (p. 7). Il nostro partito – si indigna Barboni - "fanatizza le masse, più che educarle" (p. 4 ). Vecchio motivo! Una variante italiana del noto ritornello dei liqui­datori russi e degli opportunisti contro la "demagogia" dei malvagi bolscevichi, che "aizzano" le masse contro gli ottimi socialisti della "Nasha Zarja", del Comitato di Organizzazione e della frazione di Chkheidze! Ma quale preziosa ammissione del social-sciovinista italiano, che nell'unico paese in cui, per parecchi mesi, è stato possibile discutere liberamente sui programmi dei social-sciovinisti e degli internazionalisti rivoluzionari, proprio le masse operaie, proprio il proletariato cosciente si sono messi dalla parte di questi ultimi, mentre gli intellettuali piccolo-borghesi e gli opportunisti dalla parte dei primi! La neutralità è gretto egoismo, incomprensione della situazione internazionale, infamia verso il Belgio, è "assenza" - e "gli assenti hanno sempre torto", ragiona Barboni, del tutto nello spirito di Plekhanov e Akselrod. Ma, dato che in Italia ci sono due partiti legali, riformista e social-democratico operaio, dato che in questo paese non è possibile raggirare il pubblico, coprendo la nudità dei sigg. Potresov, Cerevanin, Levitskij e C°, con la foglia di fico della frazione di Chkheidze o del Comitato di Organizzazione, allora Barboni riconosce aper­tamente: "Da questo punto di vista, vedo più rivoluzionarismo nelle azioni dei socialisti riformisti, che hanno compreso alla svelta quale immenso significato avrebbe per la futura lotta anticapitalista questo rin­novamento della situazione politica" (in conseguenza della vittoria sul militarismo tedesco) "e in piena coerenza, si sono messi dalla parte della Triplice Intesa, che non nella tattica dei socialisti rivoluzionari ufficiali che, precisamente come le tartarughe, si sono nascosti dietro lo scudo dell'assoluta neutralità" (p. 81). A proposito di tale preziosa ammissione, a noi non rimane che esprimere l'augurio che qualcuno dei compagni che conoscono il movimento italiano, raccolga e elabori sistematicamente l'enorme e interessantissimo materiale fornito dai due partiti italiani, sulla questione di quali strati sociali, quali elementi, con l'appoggio di chi, con quali argomenti, abbiano difeso, da una parte, la politica rivoluzionaria del proletariato italiano, oppure, dall'altra, il servilismo nei confronti della borghesia imperialista italiana. Quanto più materiale verrà raccolto nei diversi paesi, tanto più chiara risulterà, per gli operai coscienti, la verità sulle cause e il significato della bancarotta della II Internazionale. Osserviamo in conclusione, che Barboni, di fronte al partito operaio, fa di tutto, a forza di sofismi, per cercare di entrare nelle grazie degli istinti rivolu­zionari degli operai. Egli raffigura i socialisti-internazionalisti in Italia, avversi a una guerra che è di fatto condotta per gli interessi impe­rialisti della borghesia italiana, come sostenitori di una vile astensione, desiderosi egoisticamente di imboscarsi di fronte agli orrori della guerra. "Un popolo educato alla paura di fronte agli orrori della guerra, si spaventerà verosimilmente anche per gli orrori della rivoluzione" (p. 83). E a fianco di tale disgustoso tentativo di acconciarsi a rivoluzionario, il riferimento grezzo-mercantesco alle "chiare" parole del ministro Salandra: "l'or­dine sarà mantenuto costi quel che costi", il tentativo di sciopero generale contro la mobilitazione condurrà solo a un "inutile macello"; "noi non fummo in grado di impedire la guerra libica (in Tripolitania), ancor meno potremmo impedire la guerra con l'Austria" ( p. 82). Barboni, similmente a Kautsky, Cunow e a tutti gli opportunisti, consapevolmente, con il più infame calcolo di gabbare singoli elementi tra le masse, ascrive ai rivoluzionari lo stoltissimo piano di "far cessare" la guerra "d'un tratto" e di farsi prendere a fucilate dalla borghesia nel momento per essa più comodo – desiderando trovare una scappatoia dai compiti chiaramente posti a Stoccarda e a Basilea: servirsi della crisi rivoluzionaria per una sistematica propaganda rivoluzionaria e per la preparazione delle azioni rivoluzionarie delle masse. E che l'Europa stia ora vivendo un momento rivoluzionario, Barboni lo vede in modo perfettamente chiaro: "... C'è un punto su cui ritengo necessario insistere, persino rischiando di annoiare il lettore, giacché non si può valutare correttamente l'attuale situazione politica, senza chiarire questo punto: il periodo che stiamo vivendo è un periodo catastrofico, un periodo d'azione, allorché la questione verte non sulla spiegazione delle idee, non sulla stesura di programmi, non sulla determinazione delle linee di condotta politica per il futuro, bensì sull'impiego delle forze vive e attive, per il raggiungimento del risultato nel corso di mesi, e forse addirittura solo di settimane. In tali condizioni non si tratta di filosofeggiare sul futuro del movimento proletario, ma di consolidare il punto di vista del prole­tariato di fronte al momento corrente" (pp. 87-88). Ancora un sofisma spacciato per rivolu­zionario! 44 anni dopo la Comune, avendo attraversato quasi mezzo se­colo di raccolta e preparazione delle forze delle masse, nel momento in cui attraversa un periodo catastrofico, la classe rivoluzionaria d'Europa deve pensare a come diventare il più in fretta possibile lacchè della propria borghesia nazionale, a come aiutarla a saccheggiare, violentare, mandare in rovina, assoggettare popoli stranieri, invece che a dispiegare tra le masse una propaganda direttamente rivoluzionaria e la preparazione di azioni rivoluzionarie. Pubblicato sul "Kommunist" N° 1-2, 1915 Preso da: https://www.lantidiplomatico.it/dettnews-rileggere_lenin_per_contrastare_lenfasi_celebrativa_nazionalista_e_bellicista_dei_fascisti_verso_la_prima_guerra_mondiale/82_25938/ [LENIN, Polnoe sobranie socinenij, 5°ed., Moskva 1962; vol. 27, pagg.14-23 - traduzione di fp]
Notizia del: 02/11/2018
  https://ift.tt/2RGLLiU
0 notes
nikosdejavu · 7 years ago
Text
Nikos Deja Vu - Αφιέρωμα στο Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας (PSI - Ιδρυση 14 Αυγούστου 1892)
Το Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας (PSI) 14 Αυγούστου 1892
(To ιστορικό σύμβολο του Σοσιαλιστικού Κόμματος Ιταλίας)
«Η θύμηση του παρελθόντος μπορεί να είναι η απαρχ�� επικίνδυνων διαισθητικών γνώσεων και η παγιωμένη κοινωνία δείχνει να φοβάται τ’ ανατρεπτικά περιεχόμενα της μνήμης» ~ Herbert Marcuse (1898 – 1979)
Μια αναφορά στην ίδρυση του Σοσιαλιστικού Κόμματος Ιταλίας
Η αναφορά είναι επίκαιρη και σαφής τη σημερινή εποχή της “κρίσης”, του ρόλου της Ευρωπαϊκής Ένωσης, της εξαφάνισης δημοκρατικών θεσμών και κατακτήσεων, της εξαθλίωσης των λαών και τον κυρίαρχο ρόλο σε παγκόσμιο επίπεδο των “τραπεζών”, που υποκατέστησαν τις πολιτικές ηγεσίες και κυβερνήσεις... η “νέα τάξη πραγμάτων”! Απαντάμε πως το περίσσευμα της μνήμης είναι κάτι που ανήκει στο Λαϊκό Κίνημα, στους αγώνες και τις παραδόσεις κοινωνικών αγώνων για μια κοινωνία ανθρώπινη. Το περίσσευμα της μνήμης μνήμης μπορεί να συνθλίψει το εξαθλιωμένο παρόν και ν' αποτελέσει οδηγό μελέτης των λαών που αγωνίζονται για Εθνική Ανεξαρτησία, Λαϊκή Κυριαρχία, για τον Άνθρωπο! Έτσι θα 'ρθει η μέρα που εμείς θα θυμούμαστε τόσα πολλά, που θα μπορούμε να θάψουμε σ' ένα μεγάλο τάφο τους απατεώνες και παραχαράκτες της ιστορίας. Εμείς θυμούμαστε!
Λοιπόν, γιατί το Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας;
Γιατί οι πρώτες εργατικές οργανώσεις στην Ευρώπη κι ειδικότερα στην Ιταλία, εμφανίζονται στα τέλη του 1800, ως οργανώσεις με χαρακτήρα αλληλοβοήθειας και συνεργατισμού. Η παρουσία του Michail Bakunin στην Ιταλία, από το 1864 έως το 1867, υπήρξε παρότρυνση για τη δημιουργία της πρώτης σοσιαλιστικής-αναρχικής οργάνωσης, με μαζικό χαρακτήρα και ανοικτή στα γενικότερα δημοκρατικά ρεύματα, της Διεθνούς Λίγκας Εργαζομένων (Lega Internazionale dei Lavoratori). Η Διεθνής Λίγκα διαλύεται το 1874 και η μετριοπαθής τάση της, υπό την ηγεσία του Andrea Costa, υποστηρίζει την αναγκαιότητα να διοχετευτούν οι επαναστατικές κινήσεις στη συγκρότηση μιας επαναστατικής οργάνωσης με κομματικό χαρακτήρα. Σ’ αυτή την κατεύθυνση βρίσκουμε το περιοδικό “La Plebe” και την απόπειρα ίδρυσης του Επαναστατικού Σοσιαλιστικού Κόμματος της Ρωμανίας (Partito Socialista Rivoluzionario di Romagna), το 1881 από τον Andrea Costa. Το κόμμα του Α. Costa εμφανίζεται στις εκλογές του 1882 με την ονομασία Εργατικό Κόμμα Ιταλίας (Partito Operaio Italiano), αλλά χωρίς επιτυχία. Στο μεταξύ το εργατικό κίνημα οργανώνεται με σύνθετες μορφές, όπως: Επαγγελματικές Ενώσεις και Γραφεία Εργατικών Σωματείων. Σύντομα τα Γραφεία Εργατικών Σωματείων μεταμορφώνονται σε αυτόνομες συνδικαλιστικές οργανώσεις και αποτελούν το σημείο αναφοράς και συσπείρωσης όλων των εργαζομένων. Σ' αυτές τις συνθήκες εμφανίζεται το πρώτο πολιτικό κίνημα-κόμμα της Ιταλίας, είναι το Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας (Partito Socialista Italiano - PSI). Ιδρύθηκε σαν σήμερα, το 1892 στη Γένοβα, με την αρχική ονομασία Κόμμα Ιταλών Εργαζομένων (Partito dei Lavoratori Italiani) και ηγετική προσωπικότητα τον Filippo Turati. Μαζί με τον F. Turati συσπειρώνονται οι Claudio Treves, Leonida Bissolati και η επαναστάτρια Anna Kuliscioff, επηρεασμένη από τη γερμανική σοσιαλδημοκρατία εκείνης της εποχής (καμία σχέση με το σήμερα) και γνώστης των έργων του Καρλ Χάινριχ Μαρξ και Φρίντριχ Ένγκελς. Στην Ιταλία μπορούμε να αναφερθούμε σε πολιτικά και κινήματα από το 1892, είναι η πολιτική “αφετηρία” της ίδρυσης του Σοσιαλιστικού Κόμματος Ιταλίας. Ως εκείνη την εποχή οι κύριοι πολιτικοί σχηματισμοί της χώρας, η ιστορική δεξιά ως «επιγραφή» επιφανών φεουδαρχών που εκφραζόταν σε εκλογικές διαδικασίες και η ιστορική αριστερά, Ρεπουμπλικάνοι και Σοσιαλιστές, που επίσης δεν έκφραζαν οργανωμένο σχηματισμό, δεν καταγράφονται ως πολιτικά κόμματα ή κινήματα. Η προέλευσή τους έχει ως σημείο αναφοράς: οι φιλελεύθεροι τον Camillo Paolo Filippo Giulio Benso, κόμη του Καβούρ, οι ρεπουμπλικάνοι τον Giuseppe Mazzini και οι σοσιαλιστές τον Giuseppe Garibaldi. Είναι το Συνέδριο της Ρέτζιο Εμίλια (1893), που προσδίδει την πολιτική αυτονομία και την επίσημη ονομασία του κόμματος σε Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλών Εργαζομένων, αλλά τον Οκτώβρη του 1894 το κόμμα τίθεται εκτός νόμου με Διάταγμα της κυβέρνησης του Francesco Crispi. Απέναντι στην κατασταλτική πολιτική της κυβέρνησης του F. Crispi, το 1895 ο χώρος της αριστεράς οργανώνει το Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας.
Τάσεις και διαφοροποιήσεις στο σοσιαλιστικό κίνημα
Μετά την κατάπνιξη των λαϊκών κινητοποιήσεων του 1898, το σοσιαλιστικό κόμμα προωθεί τη συμμαχία όλων των πολιτικών κομμάτων της αριστεράς (σοσιαλιστικό, ρεπουμπλικανικό και ριζοσπαστικό). Τ�� 1901, η ηγεσία του κόμματος υπό τον Filippo Turati, θεωρεί θετική την προσέγγιση με τους φιλελεύθερους του Giovanni Giolitti. Το 1902 έχουμε την εμφάνιση μιας επαναστατικής τάσης στο σοσιαλιστικό κόμμα, με ηγέτη τον Arturo Labriola. Στην καθοδήγηση του Σοσιαλιστικού Κόμματος Ιταλίας συνυπάρχουν δύο βασικές τάσεις: των μεταρρυθμιστών και των επαναστατών. Τάσεις που προσλαμβάνουν μορφή πολιτικής σύγκρουσης, μετά τη μεγάλη και πρώτη πανιταλική Γενική Απεργία (Σεπτέμβρης 1904). Έτσι, στο συνέδριο της Φεράρα (1907), οδηγούμαστε στην αποχώρηση της επαναστατικής τάσης από το κόμμα. Αυτή η τάση προωθεί την αυτόνομη επαναστατική συνδικαλιστική δράση. Στο συνέδριο του Μιλάνο (1910), στο Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας λαμβάνουν πολιτικά χαρακτηριστικά νέες διαφοροποιήσεις από την ηγεσία του Filippo Turati. Η τάση υπό την ηγεσία των Leonida Bissolati και Ivanoe Bonomi, ασκεί κριτική από δεξιά.  Η τάση υπό την ηγεσία των Giuseppe Emanuele Modigliani και Gaetano Salvemini, ασκεί κριτική από αριστερά. Το έκτακτο συνέδριο του Σοσιαλιστικού Κόμματος Ιταλίας, στην Ρέτζιο Εμίλια (1912), εντείνει τις συγκρούσεις στο εσωτερικό του κόμματος με αφορμή τις στρατιωτικές επιχειρήσεις της Ιταλίας στην Λιβύη. Με την έναρξη του Μεγάλου πολέμου (1914), το Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας αναπτύσσει μια δυναμική πολιτική υπέρ της ουδετερότητας της Ιταλίας, αλλά αυτή η πολιτική έχει ως συνέπειες μεγάλες εσωτερικές αντιθέσεις και ανακατατάξεις, που θα «συμβιβαστούν» ώστε να αποφευχθούν πολυδιασπάσεις, με το σύνθημα που διατυπώνει ο Costantino Lazzari: «Ούτε συμμετοχή, ούτε υπονόμευση». Στις αρχές της δεκαετίας του ’20 αναδύεται το Partito Nazionale Fascista (Εθνικό Φασιστικό Κόμμα) και το σοσιαλιστικό κίνημα διασπάται σε τρία διαφορετικά κόμματα. Το ενωμένο αριστερό, εργατικό κίνημα, βρίσκεται πλέον αντιμέτωπο με το φασισμό και την παρανομία, με τρεις οργανώσεις. Το 1921 πραγματοποιείται στο Λιβόρνο το 17ο Συνέδριο του Σοσιαλιστικού Κόμματος Ιταλίας. Μετά από έντονες ζυμώσεις και πολιτικές αντιπαραθέσεις κατατίθενται 3 προτάσεις και το εκλογικό αποτέλεσμα των ψηφισμάτων επιβεβαιώνει τη διάσπαση του ενωμένου σοσιαλιστικού κινήματος: * οι ενωμένοι μαξιμαλιστές του Giacinto Menotti Serrati, συγκεντρώνουν 89.028 ψήφους * οι κομμουνιστές του Amadeo Bordiga, συγκεντρώνουν 58.783 ψήφους. Αποχωρούν από το συνέδριο και ιδρύουν το Partito Comunista d’Italia (Κομμουνιστικό Κόμμα Ιταλίας) * οι μεταρρυθμιστές του Filippo Turati, συγκεντρώνουν 14.695 ψήφους, δεν αποδέχονται τις αποφάσεις του συνεδρίου και προστρέχουν στον βασιλιά Vittorio Emanuele IIΙ ώστε να συμμετάσχουν στην κυβέρνησή του. Παρότι δεν εισήλθαν στην κυβέρνηση, διαγράφηκαν το κόμμα για συνεργασία με αστικά κόμματα και το 1922 θα ιδρύσουν το Partito Socialista Unitario (Ενωτικό Σοσιαλιστικό Κόμμα). Το Σοσιαλιστικό Κόμμα, μαζί με το Κομμουνιστικό Κόμμα, αποτελούν τη ραχοκοκαλιά της Εθνικής Αντίστασης εναντίον του φασισμού, στη διάρκεια της φασιστικής και ναζιστικής κατοχής. Μετά την απελευθέρωση, το 1946, είχε 860.000 εγγεγραμμένα μέλη και στις εκλογές της ίδιας χρονιάς για τη Συντακτική Εθνοσυνέλευση, με το ποσοστό 20,7%, είναι το πρώτο κόμμα της ιταλικής αριστεράς. Στο Συνέδριο της Ρώμης (Γενάρης 1947) μια νέα διάσπαση από τους σοσιαλδημοκράτες του Saragat, οι οποίοι ήταν αντίθετοι στις συνεργασίες με το Κομμουνιστικό Κόμμα. Στις εκλογές του 1948, σε συνεργασία με το ΚΚΙ, μόλις και παίρνουν το 31% των ψήφων του εκλογικού σώματος. Μετά την πτώση του τείχους του Βερολίνου, των σοσιαλιστικών χωρών, κυρίαρχο παιχνίδι πολιτικής και ιδεολογικής στην ευρωπαϊκή αριστερά διαδραματίζει η γερμανική σοσιαλδημοκρατία κι η “σοσιαλιστική διεθνής”. Το ΚΚΙ εντάσσεται στην ευρωπαϊκή σοσιαλδημοκρατική οικογένεια και τη σοσιαλιστική διεθνή κι αρχίζει ο “εκσυγχρονισμός” του ιστορικού σοσιαλιστικού κόμματος: αλλαγή συμβόλων, κομματικών διαδικασιών, αποστάσεων από τα εθνικοαπελευθερωτικά κινήματα. Ο δρόμος της ρεαλιστικής “σοσιαλιστικής” πολιτικής. Το 1994 το Σοσιαλιστικό Κόμμα διαλύεται κάτω από τις δικαστικές έρευνες για διαφθορά και χρηματισμούς... Το 47ο Συνέδριο (Νοέμβρης 1994) αποφασίζει τη διάλυση του κόμματος και τελειώνει η ζωή, η έκδοση της ιστορικής εφημερίδας της αριστεράς "Avanti". Δημιουργούνται δύο πολιτικά σχήματα σοσιαλιστικής προέλευσης (Ιταλοί Σοσιαλιστέςκαι Σοσιαλιστικό Ρεφορμιστικό Κόμμα): το ένα συνασπίστηκε με τη δεξιά του Μπερλουσκόνι και το άλλο ενσωματώθηκε ως συνιστώσα στο ΚΚΙ, το οποίο είχε κι αυτό εκσυγχρονιστεί με τη σειρά του. Δηλαδή τη σημερινό “Δημοκρατικό Κόμμα”, του ιταλού πρωθυπουργού Ματέο Ρέντζι. Όλα τα παραπάνω -στο συνοπτικό σημείωμα- είχαν προβλεφθεί από τον Ανδρέα Παπανδρέου: «Η ομοιότητα της σοσιαλδημοκρατίας με το σοσιαλισμό είναι όση και η ομοιότητα του φάντη με το ρετσινόλαδο. Η σοσιαλδημοκρατία είναι μια προσπάθεια διαιώνισης του καπιταλιστικού συστήματος…».
Το Σοσιαλιστικό Κόμμα Ιταλίας στάθηκε στο πλευρό του ελληνικού λαού στον αγώνα εναντίον της φασιστικής δικτατορίας των απριλιανών συνταγματαρχών, όσο κανένα κίνημα στο κόσμο. Όμως ήταν το κόμμα του Περτίνι, του Λομπάρντι, του Μαντσίνι, του Ντε Μαρτίνο, του Νέννι, του Λέλιο Μπάσο και τόσων άλλων ηγετών του παγκόσμιου κινήματος της αριστεράς και προσωπικών φίλων και συντρόφων του Ανδρέα Παπανδρέου.
(Ο εκσυγχρονισμός του Σοσιαλιστικού Κόμματος Ιταλίας ξεκινάει τη δεκαετία του 1980 από τα σύμβολα του κόμματος)
(Προσθήκη του γαρύφαλλου στο ιστορικό σύμβολο του ΣΚΙ Αφαίρεση του βιβλίου και του σφυροδρέπανου..)
(H Kατάληξη πριν το τέλος...)
(Ο εκσυγχρονισμός του άλλου αριστερού ιταλικού κόμματος, του PCI, Κομμουνιστικού Κόμματος Ιταλίας μέσα από σύμβολα του κόμματος)
"Οι αναμνήσεις μας είναι η δύναμή μας. Ας μην αφήσουμε ποτέ να σβηστούν από τη μνήμη οι ηρωικοί σταθμοί της Ιστορίας μας κι όταν η νύχτα επιχειρεί να ξανάρθει, εμείς ας βάλουμε φωτιά στις μεγάλες επετείους, όπως θα ανάβαμε πυρσούς" ~ Βίκτωρ Ουγκώ, από γράμμα στον Λουί Μπλανκ, στα 1877
Nikos Deja Vu n1999k.blogspot.com
0 notes
umbriasud · 8 years ago
Text
Socialisti divisi alle elezioni e vince Centurini
Socialisti divisi alle elezioni e vince Centurini
Terni, 15 gennaio 1905
Labriola e Faustini
I Socialisti rivoluzionari si presentarono divisi ed in lite tra di loro alle elezioni del 1905 a Terni, uno dei collegi in cui svolsero, quell’anno, le politiche parziali, dopo che quelle generali avevano avuto luogo il 6 e 13 novembre 1904.
Divisi, e quindi con due candidati: Arturo Labriola, il candidato ufficiale della direzione del partito, e Luigi…
View On WordPress
0 notes
giuseppearagno · 5 years ago
Text
Uno Stato socialmente pericoloso
Maria Edgarda Martucci, Eddi per i compagni, tornata tra noi dopo aver combattuto per la libertà dei curdi, è stata sottoposta per due anni ai vincoli della sorveglianza speciale. Come tutti i sorvegliati speciali Eddi non ha commesso reati ma le autorità di pubblica sicurezza pensano che potrebbe commetterne. Il provvedimento che la colpisce, quindi, si fonda sull’opinione di un funzionario e di…
View On WordPress
0 notes
ftbugatti · 7 years ago
Quote
Société et traditions européennes sont aujourd'hui en dissolution. Le monde social n'a pas pu résister au libertinage et à la vie des grandes villes. La vie de la société européenne est devenue laide et triste à force d'immoralisme. Les coutumes sont en décomposition. La morale est une convention. Le problème pour la société moderne consiste à sembler morale tout en étant immorale. Qui a volé est devenu riche, qui a menti est devenu célèbre, et qui a tué est devenu puissant. Il est évident que dans une société qui a perdu à ce point tout idéal, l'argent représente l'idéal suprême. Plus la société est matérialiste, plus la ploutocratie est puissante ; et eux, les ploutocrates, incarnent l'immoralisme européen dans son expression la plus intégrale. L'État moderne est un être inférieur, avec un corps énorme et une tête minuscule, une soif insatiable de puissance et d'argent ; peu de raison, peu de caractère. L'appauvrissement spirituel commence. Il se traduit dans l'apparence même des cités et, riches ou pauvres, de leurs habitants. Ils traînent une fatigue générale ; pourquoi vivre si derrière la chose ordinaire et quotidienne il n'y a plus de romantisme, de beauté, de poésie, de foi en un monde plus parfait ?
Arturo Labriola, in “Decadenza della civiltà, capitolo II “Il Legalismo contro la moralità”, p.49, éd. Faro Roma
1 note · View note