#Œuvres colorées
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🌟 Collection exclusive "CŒURS FLEURIS ET ART DE LA MÉDITATION" Découvrez une collection exclusive où chaque œuvre est une célébration de l'amour et de la sérénité. Les designs colorés et vibrants mettent en scène des cœurs entourés de fleurs éclatantes, des cœurs ailés, et des rayons lumineux, créant une atmosphère joyeuse et paisible.
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👩🏫 Partage en groupe Vous pouvez également les utiliser dans un cadre éducatif, pour un partage en groupe comme une classe, en encourageant la créativité et l'inspiration à travers différents supports.
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(via Coussin avec l'œuvre « "Craquelures Chromatiques : Le Sol Réinventé" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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Peinture contemporaine | Fondu couleur cuivre magenta violet clair
Peinture réalisée au couteau à la peinture acrylique sur châssis en bois recouvert d'une toile tendue en coton 100%
Couleurs iridescentes
Continuité de la peinture sur les rebords du tableau.
Finition / Protection : œuvre vernie à la bombe aérosol brillante
Vidéo sur youtube : https://youtu.be/3GjykPfVouE
Format : 80 cm x 60 cm x 3,5 cm
Diagonale : 100 cm
Poids approximatif : 1 kg
Date de création : 06/2024
Artiste : Jonathan Pradillon Pièce unique Œuvre signée Certificat d’authenticité fourni Emballage soigné
Prix : 260 Euros.
Artinsolite : https://www.artinsolite.com/product-page/fondu-couleur-cuivre-magenta-violet-clair
Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B0D6GSJV81?ref=myi_title_dp
Artsper : https://www.artsper.com/fr/oeuvres-d-art-contemporain/peinture/2213624/fondu-couleur-cuivre-magenta-violet-clair
Artmajeur : https://www.artmajeur.com/jonathan-pradillon/fr/oeuvres-d-art/17936476/fondu-couleur-cuivre-magenta-violet-clair
Singulart : https://www.singulart.com/fr/oeuvres-d-art/jonathan-pradillon-fondu-couleur-cuivre-magenta-violet-clair-2039579
Etsy : https://jonathanpradillon.etsy.com/fr/listing/1743793301/peinture-contemporaine-iridescente-o
Saatchiart : https://www.saatchiart.com/art/Painting-Copper-magenta-purple-color-light-fade/968246/11807969/view
Artfinder : https://www.artfinder.com/manage/jonathan-pradillon/product/copmagpurlighcol-fade/?utm_campaign=shareaholic&utm_medium=copy_link&utm_source=bookmark
#art#peinture#tableau#œuvre#toile#acrylique#décoration#art contemporain#art abstrait#peinture abstraite#peinture sur commande#commande#tableau abstrait#toile abstraite#tableau contemporain#peinture contemporaine#peinture colorée
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Nous présenterons ce livre vendredi à la Bibliothèque de Saint-Brieuc (détails plus bas : [FR]).
[ENG] Here is the Arts & Crafts version, entirely handcrafted, of my art book Forgotten Gods. We printed it with Psyché, using our own presses on Vélin d'Arches paper. Each design in the book was then screen-printed by hand with gold and colored inks, with up to five different screen-printing passes depending on the complexity of the pages.
Once the sheets were folded and gathered into signatures, Sophie Charlot, a Meilleur Ouvrier de France, meticulously bound them by hand. Belfea Archerie created all the leather parts and applied the dyes. Together, we assembled the covers on the book bodies bound by Sophie, and I gilded the cover with gold leaf (using three different shades of 22-23k gold).
Finally, I made the wooden cases and covered them with fabric. We then attached the clasp and the repoussé leather medallion, dyed by Belfea and gilded by me.
All the illustrations were printed using our presses; they are fine art prints on velvet-finish paper. With Psyché, we enhanced about thirty of them with gold (using several shades of 22-23k gold) to match the appearance of the original artworks. These illustrations were then hand-glued and protected with tracing paper, also hand-glued by Psyché and me.
King of Gods has represented a significant part of my work in recent years. It has been a passionate and enriching adventure, in the true spirit of the Arts & Crafts movement and in the footsteps of the Kelmscott Press. Thank you to everyone who worked on this book.
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[FR] Ce vendredi, à 18h30, à la Bibliothèque de Saint-Brieuc, nous animerons une table ronde avec Psyché Ophiuchus, Belfea Archerie et Sophie Charlot. Nous y parlerons de notre travail et présenterons cet exemplaire exceptionnel de Forgotten Gods, que nous avons réalisé ensemble, de manière artisanale.
Voici la version Arts & Crafts, entièrement réalisée à la main, de mon livre d'art Forgotten Gods. Nous l'avons imprimé avec Psyché, avec nos propres presses, sur du papier Vélin d'Arches. Chaque motif du livre a ensuite été sérigraphié par nos soins avec des encres dorées et colorées, jusqu'à cinq passages de sérigraphie différents selon la complexité des pages.
Une fois les feuilles pliées et rassemblées en cahiers, Sophie Charlot, Meilleur Ouvrier de France, s'est chargée de les relier méticuleusement à la main. Belfea Archerie a réalisé toutes les parties en cuir, ainsi que leurs teintures. Nous avons monté ensemble les couvertures sur les corps de livres reliés par Sophie, et j'ai doré la couverture à la feuille d'or (avec trois nuances différentes d'or 22-23 carats).
Enfin, j'ai fabriqué les coffrets en bois et les ai recouverts de toile. Nous avons pu fixer le fermoir et le médaillon en cuir repoussé et teint par Belfea, que j'avais également doré à l'or.
Toutes les illustrations ont été imprimées avec nos presses ; ce sont des tirages d'art fin sur du papier au fini velours. Avec Psyché, nous en avons rehaussé une trentaine à l'or (plusieurs nuances d'or 22-23 carats différentes) pour restituer le rendu des œuvres originales. Ces illustrations ont finalement été collées à la main, et protégées par un calque, également collé à la main par Psyché et moi-même.
Le King of Gods a représenté une partie importante de mon travail ces dernières années. Cela a été une aventure passionnante et très enrichissante, dans la pure tradition des Arts & Crafts et dans l'esprit de la Kelmscott Press. Merci à toutes les personnes qui ont travaillé sur ce livre.
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C’était son anniversaire. Il avait 25 ans.
25 ans.
25 ans.
Harry capta ses propres prunelles vertes dans la vitre et s’en détourna vivement. Il le vivait mal. Pourtant, sa vie allait de mieux en mieux. Après avoir été viré de chez les Dursley à ses 18 ans, il avait logé de canapé en canapé jusqu’à trouver un vieux studio miteux à louer. Il avait accumulé les jobs pour pouvoir payer son loyer sans foutre en l’air toutes les économies de ses précédents jobs d’été.
Il y a trois ans, il avait été embauché à temps complet chez Flowersgood grâce à la bonté de Luna, la fille de la fleuriste qu’il avait plusieurs fois aidé à retrouver son chemin quand elle se retrouvait invariablement dans la station-essence où il travaillait.
Il avait toujours son studio miteux, mais il allait mieux. Il arrivait même à épargner un peu plus grâce à son salaire d’employé à temps complet. Il avait des horaires fixes. Il ne bossait plus la nuit.
Alors…alors pourquoi se sentait-il si pathétique ?
Parce que tu n’as rien fait de ta vie et que tu mourras sans jamais avoir rien fait de ta vie, seul, dans ce stupide studio.
Harry serra les dents et déplaça la table mouvante pour finir de nettoyer le sol. Peu importe le nombre de fois qu’il passait le balai, l’endroit serait toujours sale à cause des allées et venues des clients, du terreau, de l’eau qui gouttait par terre quand il composait un bouquet et d’une cinquante d’autres facteurs. Tante Pétunia s’en arrachait les cheveux. Ou lui arracherait les cheveux.
Pourquoi tu penses toujours à elle ? T’es incapable de passer à autre chose alors que t’as tout pour faire. Pitoyable.
Harry essaya de remplacer ses pensées vicieuses par la voix de Luna. « C’est normal d’être toujours infesté par les Nargoles. C’est comme les pucerons. C’est difficile à faire partir. »
Elle avait évidemment oublié son anniversaire. Elle lui souhaitait tous les ans à des dates aléatoires et Harry ne la corrigeait jamais. Il ne savait pas si elle le savait ou non. Il ne savait pas non plus s’il lui avait déjà dit. Peu lui importait. Il n’avait jamais souhaité son anniversaire. Jamais avec les Dursley, jamais avec ses amis une fois ses 18 ans révolus. Déjà, car il avait peu d’amis. Ensuite, car il n’avait pas les moyens. Et que ce serait gênant, de toute façon. Il n’avait jamais été invité à des anniversaires, sauf ceux de Hermione et Ron, mais c’était au lycée et il n’avait jamais pu accepter car il n’avait rien à offrir et que les Dursley avaient toujours refusé qu’il y aille. Son seul point de référence était ceux de Dudley, mais il n’était pas vraiment sûr que ce soit fiable. Tout est toujours démesuré avec eux. En bref, il ne savait même pas comment se fêtait un anniversaire. Il a toujours été seul, à se le souhaiter à lui-même.
Il ne savait même pas pourquoi il maintenait cette tradition. Avant, il luttait pour ne pas s’endormir avant minuit et se le souhaiter. Ensuite, c’était simple, puisqu’il n’avait jamais sommeil avant minuit…et qu’une partie de lui adore fixer l’aiguille se déplacer de minute en minute jusqu’à l’heure fatidique. Il se disait qu’il avait vécu une année de plus. Pourquoi ? Il ne savait pas. Il aimait vivre, malgré tout. Il aimait vivre pour l’adrénaline d’une figure réussie au skateboard, pour la couleur et l’odeur des fleurs, pour les sourires qu’il recevait quand il aidait les gens, pour les heures passées à fixer les étoiles, pour les dessins qu’il esquissait sur son unique carnet. Des dessins au crayon de papier, qu’il gommait ensuite pour pouvoir continuer à dessiner. Il ne pouvait pas racheter un autre carnet. Il aimait vivre pour l’étrange sensation de devoir gommer quelque chose dont il était fier. Des dessins que personne ne voyait jamais, sauf lui. Et Luna, parfois. Elle lui avait offert un vrai carnet à dessin, qu’il avait véhément refusé avant qu’elle ne lui ordonne de le lui rendre plus tard pour qu’elle puisse coloré ses œuvres. Luna aimait peindre. Du coup, le carnet était principalement recouvert de fleurs. Harry aimait les dessiner, de toute façon.
En fait, il adorait son travail. Fleuriste. Il était fleuriste depuis trois ans. Harry remit correctement la table, vérifia les boutures et parti du côté des compositions pour compléter celles du jour. Il aimait les fleurs d’été. Tout était coloré, vivant. Il avait passé son enfance à entretenir le prix du jardin le plus joli du quartier et il avait aimé ça. Il aimait avoir les mains dans la terre. Même assoiffé, à deux doigts de la déshydratation sous le soleil de plomb inévitable du 31 juillet, il aimait entretenir les plantes de Pétunia.
Et aujourd’hui, il était toujours en train de s’occuper de plantes, même s’il n’y avait plus Pétunia pour le lui ordonner. La boutique était fraîche, elle sentait l’humidité, le terreau, la rose et le jasmin. Ces deux dernières odeurs variaient en fonction d’où il se tenait dans la boutique, mais jamais les deux premières. C’étaient ses préférées. Il aimait l’odeur de la terre humide.
Le carillon retentit dans la boutique et Harry releva les yeux, un léger sourire aux lèvres, essayant d’apercevoir le ou la cliente.
—Bonjour ! lança-t-il à la cantonade.
Il aperçut un éclat d’or entre les étagères de dahlias et la voix familière se fit entendre en réponse :
—Bonjour.
L’héritier Malfoy. Harry sourit franchement tout en se reconcentrant sur son bouquet.
—Draco, quelle bonne surprise. Comment vas-tu ?
—Bien. Et toi ?
Harry essaya vaillamment de cacher l’éclat d’angoisse que lui causait cette question. Allait-il bien ? Non. Pourquoi ? Parce que tu ne te contentes pas de ce que tu as. Tu veux toujours plus alors que tu devrais être reconnaissant de ne pas être à la rue.
—Ça va, merci. Alors, quelle sorte de bouquet voudrais-tu aujourd’hui ?
Draco Malfoy était un client régulier. Il était presque hebdomadairement invité à un repas d’affaire ou à des dîners mondains pour lesquels il apportait systématiquement des fleurs. Harry appréciait le blond, même si au premier abord, il l’avait immédiatement détesté. Mais, bien que riche et détestable, Draco était surtout perpétuellement élégant, possédait une capacité d’observation qui le laissait parfois coi, ne redemandait jamais à refaire le bouquet et avait un esprit vif et taquin qui stimulait beaucoup Harry. Leur échange sarcastique faisait sourire plus d’un client à portée d’oreilles.
—Repas de famille. Quelque chose d’exubérant, coloré, bien garni. T’as pas l’air d’aller bien.
Pris au dépourvu, Harry se figea et jeta un coup d’œil à l’héritier. Draco Malfoy le fixait. Ses yeux ressemblaient à de l’argent en fusion et sa pâle figure ne trahissait rien.
—Si, si. Bien garni. Exubérant. Ta mère ?
Harry se dépêcha de tirer un noeud dont la boîte était dissimulée derrière un ficus et le disposa dans un vase. Des bouquets déjà prêts pour les plus pressés. Draco Malfoy ne l’était jamais. Enfin, apparemment, il avait cessé de l’être. Parfois, Luna souriait et disait que grâce à Harry, beaucoup de clients avait cessé d’être pressé. La mère de Luna avait une fois plaisanté en disant que Harry était la plus belle fleur de la boutique. Harry en rougissait encore.
—Oui, ma mère. Tu sais bien qu’elle aime les énormes bouquets car…
—Elle peut les mettre dans son énorme vase et le bouquet devient la pièce maîtresse de sa table, termina Harry avec Malfoy.
Celui-ci, un éclair de surprise au fond des yeux, eu un sourire discret. Harry aimait le voir sourire. C’était rare. Ses yeux pouvaient parfois revêtir l’éclat d’un certain amusement, mais ses lèvres suivaient rarement. Son visage semblait figé dans du marbre.
—Je vois que je me répète souvent. Ma conversation ne doit pas être très agréable.
—Non, en effet. Tu es l’un de mes clients les plus ennuyants.
—Je ne suis pas sûr que ce soit une chose qui se dise à un client aussi fidèle que moi. J’aimerais parler à votre patron.
—La patronne est absente. Je peux transmettre le message, si vous voulez.
—Oui. Dites-lui que vous êtes le vendeur le plus impoli que je n’ai jamais rencontré et que je souhaite votre renvoi dans les plus brefs délais.
—Et si elle ne me renvoie pas ?
—Je rachète la boutique pour pouvoir te virer.
—Tant d’honneurs me ferait presque rougir, Monsieur Malfoy.
—Rien de moins que ce que vous méritez, Monsieur Potter.
Harry avait toujours l’impression que cela finissait comme ça : par un flirt. Il aimait se faire des films et Draco Malfoy était un excellent sujet pour cela. Harry se permit de le détailler du coin de l’œil pendant qu’il arrangeait les différentes tiges qu’il avait sélectionné durant leur chamaillerie. Élégamment vêtu d’un pantalon en lin gris qui soulignait ses longues jambes et d’une chemise blanche rehaussée d’un gilet de la même couleur que le pantalon, sa silhouette élancée se découpait nettement dans l’ombre du soleil. Il avait l’air d’un diamant scrupuleusement ciselé pour trancher.
—C’est très joli. Pourrais-tu partir vers des couleurs comme le bleu ou le violet ?
Harry lui montra les différentes fleurs pouvant faire l’affaire et réajusta sa composition pour faire un centre de couleurs plus vives afin de trancher avec le reste des fleurs choisies par Malfoy.
—On dirait un tournesol. Un drôle de tournesol, mais un tournesol. C’est vraiment beau.
Et Harry vit dans ses yeux qu’il le pensait réellement. Ses joues se réchauffèrent et il sourit.
—Je commence à bien connaitre les préférences de mon client le plus fidèle…
Draco planta ses yeux d’argent dans les siens.
—Et moi de même. Puis-je me permettre d’insister pour connaître ce qui ne va pas ?
—T’es vraiment une tête de mule. Bien. J’ai 25 ans aujourd’hui et je faisais ma crise du quart de siècle.
L’autodérision de Harry n’amusa pas beaucoup Malfoy.
—Oh, je ne savais pas. Je suis navré de venir les mains vides. Joyeux anniversaire, Harry.
Draco s’inclina et tendit sa main droite, l’autre trouvant naturellement sa place derrière son dos légèrement courbé. Surpris, Harry tendit sa main gauche, celle qui ne tenait pas le bouquet de Madame Malfoy. Draco s’inclina un peu plus en guise de remerciement et embrassa ses jointures avec une aisance indéniable. Voir Draco Malfoy embrasser ses jointures probablement rugueuses et sales était vraiment étrange. Ses lèvres avaient été si douces, le baiser si délicat qu’Harry eut l’impression qu’une pétale de cerisier venait de lui effleurer le dos de la main.
—Je….Merci.
Les femmes riches qu’il rencontre tous les jours doivent avoir des mains bien plus agréables à embrasser que les tiennes. N’as-tu pas honte ?
—J’aimerais un deuxième bouquet, s’il te plaît.
Totalement décontenancé, Harry reprit possession de son corps et posa le premier bouquet sur le comptoir.
Concentre-toi, bordel.
—Oui, bien sûr. C’est pour quoi ?
Cette fois-ci, non seulement les lacs d’argent brillaient d’amusement, mais en plus un véritable sourire amusé ornait les lèvres roses.
—Un anniversaire. Quels sont tes fleurs préférés ?
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Encore une belle œuvre colorée pour finir l'année en beauté.
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David Hockney est l'un des artistes contemporains les plus célèbres et influents. Né le 9 juillet 1937 à Bradford, en Angleterre, il a étudié à la Bradford School of Art avant de poursuivre ses études à la Royal College of Art de Londres dans les années 1950.
Connu pour son style éclectique et expérimental, Hockney explore divers médiums artistiques, y compris la peinture, le dessin, la photographie et la vidéo. Il est souvent associé au mouvement du Pop Art et est célèbre pour ses œuvres audacieuses et colorées.
Parmi ses thèmes récurrents, on trouve les paysages californiens, les piscines, les portraits et les natures mortes. Il est également connu pour sa représentation novatrice de la perspective et de l'espace dans ses peintures.
Hockney a expérimenté avec des techniques artistiques innovantes, notamment la peinture acrylique, le collage et l'utilisation d'applications numériques pour créer des œuvres d'art sur iPad.
Au cours de sa longue carrière, il a reçu de nombreuses récompenses et distinctions, dont le prestigieux prix Praemium Imperiale en 1989 et la Légion d'honneur en 2019. Ses œuvres sont exposées dans des musées du monde entier et font partie de collections privées importantes.
En ce qui concerne sa relation avec le musée de Rouen, il est important de noter que l'exposition de David Hockney au musée d'art de Rouen est une opportunité exceptionnelle de découvrir son travail de près. Cette exposition offre aux visiteurs une plongée fascinante dans l'univers artistique de Hockney, mettant en valeur ses œuvres emblématiques et son impact sur le monde de l'art contemporain.
Cette intégration du musée de Rouen dans le contexte de l'exposition de David Hockney souligne l'importance de cet événement pour la scène artistique locale et régionale, offrant aux habitants et aux visiteurs une occasion unique de découvrir le travail d'un artiste de renommée internationale dans un cadre inspirant et enrichissant.
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la magie de la science et de la nature
Ces derniers temps, l’environnement est mis en avant à cause du réchauffement climatique. C’est pour cela que des artistes comme Marylou ou encore Karine Bonneval, on voulut mélanger cette nature avec leurs arts et ainsi impacter les gens. Toutefois cet art technologique mêlé à la nature à ses avantages tout comme ses inconvénients.
Tout d’abord, nous pouvons aborder l’exposition à Corbeil-Essonnes « les bestioles électroniques » de Marylou qui consiste à faire écouter des chants d’oiseaux synthétisés. Ces chants s’activent si on s’approche devant des capteurs de présence, des tensiomètres ou encore d’autres capteurs. Dans cette « boite noire, » il y a des fils qui parcourent tout cet espace, dont certains colorés. Cependant à cause de tous ces technologies étant donné qu’elle est très fragile, il est possible de tout détruire. On peut donc faire une analogie entre son innovation et la réalité, c’est-à-dire qu’il est facile de détruire un écosystème rien que par notre présence. Pour autant, la technologie est un des nombreux facteurs de ce réchauffement climatique notamment avec les Datacenter implanté dans les pays nordistes.
photo personnelle
Selon moi, c’est une très belle exposition avec des chants d’oiseaux très variés, mais malheureusement, ces oiseaux vont un jour disparaître et peut-être, on sera obligé d’écouté des chants synthétisé et non ces vrais chants qui peuvent nous égailler une journée très fatigante.
On peut utiliser la technologie pour défendre l’environnement, mais pourquoi ne pas utiliser directement la nature pour montrer ses vertus ?
C’est ce qu’a fait Karine Bonneval dans son exposition à Chamarande « se planter » qui consiste à faire des œuvres d’art grâce aux plantes. Elle réalise des œuvres avec des plantes comme le bouleau, les graines de tournesol ou encore des plantes carnivores. Elle a collaboré avec des scientifiques (bioacoustiques par exemple) pour montrer la puissance de la nature ainsi que l’importance de veiller aux bien-être des plantes. Par exemple, elle a réalisé un tapis, avec l’aide d’un scientifique, relier à une plante. Dans ce tapis, il y a des trous qui ressemblent à des troncs d’arbre et lorsqu’on y met les pieds, on peut ressentir les vibrations de la plante, si l’on touche des feuilles, ces vibrations deviennent plus fortes.
photo personelle
Il y a aussi une autre œuvre qui représente des plantes carnivore fait en sucre enfermé dans un bocal. On peut faire l’analogie entre le bocal et un cabinet des curiosités, mais aussi une plante carnivore faite en sucre qui signifie un peu la nouveauté à l’époque de la canne à sucre qui a rendu des pays pauvres en pays riche, mais aussi la plante carnivore enfermé dans une boite de transport pour pouvoir l’exposé partout.
photo personnelle
J’ai beaucoup aimé cette exposition, car cela nous fait voir d’une autre manière la beauté des plantes et aussi qu’elle a besoin d’être présente pour nous.
En conclusion avec ces expositions qui sont un mélange entre l’art et la nature par le biais de la technologie, car grâce à cela, elle nous permet de montrer un nouveau visage de cette nature qui est peu connu, mais aussi sur le point de disparaître à cause du réchauffement climatique.
Rose-Marie
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Jamie Aubin
Jamie Aubin est un artiste qui s’intéresse à la production de film, de photo et aussi à l’animation et de l’illustration. Il a réalisé de nombreuses illustrations à partir d’un casque de réalité virtuelle. Le casque de réalité virtuelle est souvent utilisé pour jouer à des jeux vidéo immersifs mais il est aussi utilisé de plus en plus souvent par les artistes cherchant à faire de l’animation ou de l’illustration 3D. Grâce à un environnement dans lequel l’artiste peut être plonger pour pouvoir modéliser et créer son illustration ou animation, il peut voir l’œuvre dans tous ces détails et peut aussi mieux estimer certains reliefs.
Ce qui m’a beaucoup intéressé dans ces œuvres est la technique utilisée. La réalité virtuelle permet de se plonger dans un univers permettant de pouvoir dessiner et créer tout en étant immergé dans l’œuvre. Cela donne une approche complétement différente de la création 3D sur ordinateur. Le côté très coloré et le fait que ces visages soient perturbants m’ont aussi beaucoup intrigué à propos de l’environnement de l’artiste.
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ROTHKO - A la Fondation Vuitton
Première rétrospective en France consacrée au peintre américain Mark Rothko (1903-1970) depuis celle du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris en 1999, l’exposition présentée à la Fondation réunit quelque 115 œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles, notamment de la National Gallery of Art de Washington, de la Tate de Londres et de la Phillips Collection de Washington, et de collections privées internationales dont celle de la famille de l’artiste.
Se déployant dans la totalité des espaces de la Fondation, selon un parcours chronologique, elle retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste depuis ses premières peintures figuratives jusqu’à l’abstraction qui définit aujourd’hui son œuvre.
Le parcours débute par des scènes figuratives, souvent des vues du métro new-yorkais, qui peuvent désarçonner le visiteur. En effet, le jeune Marcus Rotkovitch (né en 1903 à Dvirsk dans l’actuelle Lettonie et émigré à Portland en 1913) a été formé à l’Art Students League de New York dans les années 1930. C’est en 1938 qu’il prend le pseudonyme de Mark Rothko.
Il peint des personnages sur les quais du métro et souligne la perspective des rails. On peut deviner, dans certaines parties de ces toiles, un goût pour l’abstraction et les aplats de couleurs sourdes (Entrance to Subway, 1938).
Inspirées des textes d’Eschyle et de Nietzsche, les toiles de Rothko des années 1940 se peuplent d’éléments organiques où l’on reconnaît ici un bras, là des yeux sur des fonds de couleurs. Des scènes historiques, proches de combats, rappellent le surréalisme européen fraîchement débarqué à New York. Rothko expose en 1944 à la galerie de Peggy Guggenheim, Art of this Century. Dans ses toiles surgit la même violence que dans celles de ses contemporains britanniques Graham Sutherland ou Francis Bacon.
Dès 1946, l’abstraction succède aux compositions surréalistes chez Rothko. Il ne donne plus de titres mais des numéros à ses toiles. Celles-ci deviennent verticales et se composent de rectangles superposés de couleurs chaudes. Elles sont traversées de lumière. A partir de la décennie suivante, il se limite à deux ou trois formes rectangulaires dont les bords vibrent et touchent les limites de la toile. Malgré leur apparente sérénité, Rothko assure : « J’ai emprisonné la violence absolue dans chaque centimètre carré de leur surface ».
Rothko n’est plus une révélation. Le public s’est familiarisé avec son œuvre à coup de records de prix dans les ventes publiques, d’affiches diffusant ses toiles abstraites et colorées. Aujourd’hui, il ne s’agit plus d’une révélation mais d’un constat.
Constat de l’immensité de son œuvre, du lent passage de la figuration vers l’abstraction, de son combat acharné pour la peinture, de ses subtiles variations autour de la couleur, de son engagement et de sa ténacité. Grâce à un parcours intelligent et subtil et malgré des espaces parfois trop vastes pour des toiles nécessitant du recueillement, cette rétrospective Rothko réussit son pari et laisse les visiteurs pantois et ravis.
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Don't bullshit a bullshiter
Dans All That Jazz, Bob Fosse fait dire à son alter-ego Joe Gideon (joué par Roy Scheider) Don't bullshit a bullshitter. Cette phrase m'a beaucoup marquée quand j'ai vu le film il y a quelques années, tant elle semblait définir les contours de ce que j'aimais dans la fiction. Car oui, une partie de moi a toujours aimé être menée en bateau par les bullshitters, les illusionnistes, ceux qui font de la fiction en emboîtant des matriochkas. D'où — j'imagine — mon amour pour la comédie musicale, pour Bob Fosse, ou pour Fellini.
La semaine dernière j'ai lu Monica de Daniel Clowes et vu Asteroid City de Wes Anderson. Dans les deux œuvres il est question (de près ou de loin) de la peur de l'apocalypse, d'un deuil si douloureux qu'il tord la vision de la réalité (jusqu'à s'inventer un monde de fiction ?), de croyance(s), de cette vie qu'il faut traverser en évitant les cratères et de parents tellement débordés par les événements qu'ils abandonnent leurs enfants ou songent à les abandonner. Les deux œuvres enchaînent aussi des œuvres dans les œuvres, nous forcent à ouvrir sans cesse boîte après boîte après boîte.
Daniel Clowes joue avec les formes et les temporalités du récit, qui s'imbriquent de manière complexe et ne font parfois sens qu'une dizaine de pages plus tard. Monica est découpé en neuf histoires qui racontent une conversation entre deux jeunes hommes pendant la guerre du Vietnam, la vie de Penny dans les années 60 puis de sa fille Monica. Il entrecoupe tout cela d'un conte gothique plus qu'étrange (qui revient me hanter), d'une histoire de détective — autant de fictions qui se font étrangement écho, qui semblent raconter les variations complètement déformées d'une même histoire. Wes Anderson imbrique, lui, une pièce de théâtre et ses coulisses, incluant les névroses de l'auteur et des acteurices.
Les deux œuvres sont sans cesse conscientes de leur fabrication et d'être, en quelque sorte, en train de nous bullshitter. Elles savent qu'elles sont des fictions, qu'elles jouent avec nous, qu'elles nous perdent pour mieux nous rattraper. Elles sont fabriquées à l'extrême. La photographie d'Asteroid City retranscrit à l'image cette sensation désagréable que l'on a quand on regarde le soleil en face trop longtemps et que toute la réalité s'en trouve comme bizarrement affadie. L'auteur de la pièce note que "la lumière du soleil dans le désert n'est ni chaude ni froide, mais toujours propre". Anderson pousse l'esthétisation de son cinéma à outrance, tellement exagérée qu'elle en devient volontairement terne (et "propre" ne peut d'ailleurs qu'être qu'un commentaire méta sur la direction qu'a pris son cinéma). Chez Clowes, les couleurs sont plus vives que jamais, les visages précis, l'auteur a longuement parlé en interview de sa tendance à retravailler chaque page encore, et encore, et encore. Il est capable, en une case, d'invoquer un imaginaire tout entier, de créer un monde, de s'auto-référencer. Dans Asteroid City, le personnage de Jason Schwartzman répète plusieurs fois que ses photos rendent "toujours bien". Il ne s'en réjouit pas mais le dit d'un ton neutre, presque agacé.
Tout est tellement parfait qu'on les voit désormais fabriquer de la fiction. Mais ce que j'ai aimé dans Asteroid City, comme dans Monica, c'est tous ces endroits où la fiction craque. Chez Anderson, quand le personnage de Scarlett Johansson mime un suicide dans une baignoire, entourée de médicaments colorés qui ressemblent à des bonbons et qu'il y a dans toute la fausseté du moment une émotion qui déborde. C'est la mort qu'elle s'imagine pour elle-même, une mort tragique, elle qui est, sans que personne ne le sache, si douée pour la comédie. Ou quand le personnage à qui l'on demande pourquoi il veut toujours qu'on le défie répond "Maybe it's because I'm afraid otherwise, nobody will notice my existence in the universe". Et on a cette impression dans Asteroid City que l'artiste se parle à lui-même. Chez Clowes il y a cette séquence, sans nulle doute la plus belle de la bande dessinée, où Monica trouve une fréquence de radio qui lui permet de parler avec son grand-père disparu. Clowes la dessine, avec ses cheveux verts vifs et sa chemise jaune, le visage tordu par l'angoisse et la tristesse. Derrière ces couleurs qui entament la rétine, la peur du chaos transperce la page. C'est un instant où la réalité n'a aucune importance, où on ne s'intéresse plus à tâtonner pour trouver les limites de la fiction — puisque l'émotion a tout fissuré.
Quelque chose se brise dans les deux œuvres, quelque chose qui est venu parler aux peurs profondes qui m'agitent ces temps-ci. J'ai été émue par la manière dont Asteroid City raconte, en creux, l'impossibilité des personnages de raconter vraiment ce que nous ressentons. Comme si le monde de fiction était un peu mort, lui aussi. Que la transmission était brouillée. Il y a Johansson, qui se dessine un coquard pour essayer de comprendre la violence humaine et de la jouer avec justesse. Ces personnages se regardent créer ce monde de fiction parfait, sans plus savoir l'habiter. Ils en ont ras le bol de devoir dire pour nous. L'actrice, jouée par Scarlett Johansson, admet elle-même que sa connexion avec Augie (Schwartzman) vient du fait qu'il sont deux personnes brisées qui n'arrivent pas à exprimer la profondeur de leur douleur, parce qu'ils ne le veulent tout simplement pas. Dans cet aveu d'échec, il me semble qu'Anderson ne baisse pas les bras mais qu'il baisse un peu les armes.
Le chaos finit par gagner pleinement Monica, il éclate dans une dernière partie qui ne se cache plus derrière tel ou tel genre, derrière le pastiche ou la référence. Monica déterre la radio — la fiction qu'elle a essayé d'oublier — et elle la mène jusqu'à son terme. Elle-même écrit ses propres histoires, et les fait lire dans le dernier chapitre à un personnage qui ressemble étrangement à Clowes lui-même. Et après avoir fait de la fiction dans la fiction, la voilà qui brise quelque chose au sol, comme les parois de sa réalité, and all hell breaks lose.
Fini de bullshiter, donc ?
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L'homme au gant - Titien
Ce portrait, une œuvre de jeunesse annonce ce qui fera la renommée des portraits « informels» de Titien. Le peintre peint le modèle à mi-corps et de biais, le bras posé librement sur un support de marbre. D'allure souple mais noble, il occupe amplement l’espace de la toile, proche du spectateur mais cependant discret. Le fond, plongé dans l'obscurité et le vêtement noir permettent au peintre de mettre en évidence, par contraste, les particularités physiques du jeune homme : la transparence de la peau du visage, la moustache et la barbe naissantes, les mains veiné de lignes bleues.
L'éclat de la collerette irradie le visage de lumière, comme celui des manchettes les mains : procédé mis au point par l’artiste pour mettre en évidence la psychologie et l’attitude des personnages. Quelques éléments colorés comme le médaillon de saphir et de perle, la bague d’or armoriée et les gants retroussés en fine peau (signes d’une élégance toute humaniste) atténuent l’austérité ostentatoire de ce jeune aristocrate. Si le visage paraît encore rêveur, à la manière de Giorgione, les mains, placées au premier plan, à la manière florentine de Léonard de Vinci, sont expressives: l’une pointe sans doute le tableau qui serait son pendant, celui d’une promise ou d’une épouse, cependant que l’autre est nonchalamment abandonnée.
Les portraits préromantiques de la fin du XVIIIe siècle s’en inspireront.
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Grand tableau abstrait : Vaste texture couteau or orange rose iridescente 2.
(Œuvre réalisée sur commande)
Œuvre réalisée au couteau à la peinture acrylique sur châssis en bois entoilé en coton (100% coton, toile cloutée). Couleurs iridescentes. Rebords du châssis peints à la peinture acrylique noire. Protection : œuvre vernie à la bombe aérosol brillante.
Pour voir un aperçu vidéo de cette peinture, rendez-vous sur : https://youtu.be/Kn1jt8u7kgU
Format : 116 cm x 89 cm x 2,5 cm.
Diagonale : 146,2 cm.
Poids approximatif : 3 kg.
Date de réalisation : 03/2023.
Artiste : Jonathan Pradillon
Pièce unique.
œuvre signée. Certificat d’authenticité fourni. Emballage soigné.
Prix : 600 €.
(Œuvre vendue)
Plus d’information sur www.artinsolite.com ou www.jonathan-pradillon.com
youtube
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Suzanne Valadon, Après le bain. 1908, Pastel sur papier. Suisse, Genève, Association des Amis du musée du Petit Palais
La spontanéité du trait dans les dessins de Suzanne Valadon n'est en rien incompatible avec une lente maturation de ses compositions, comme en témoigne son emploi du papier-calque. Ainsi, elle peut reporter un même sujet sur plusieurs supports, afin de pousser l'expérimentation. Ces deux dessins au pastel confirment l'intérêt de l'artiste pour les nus et les scènes de la vie quotidienne, notamment la toilette. Ils montrent l'évolution du sujet : le corps de la jeune fille se faisant plus souple dans la version moins colorée, épousant les lignes du fauteuil, ou la construction de l'espace par la couleur dans le second. Ces deux études rappellent les jeunes filles à la toilette d'Edgar Degas, elles-mêmes inspirées des œuvres japonaises. Valadon les a particulièrement regardées dans l'atelier du peintre.
The spontaneity of line in the drawings of Suzanne Valadon is in no way incompatible with the slow maturation of her compositions, as evidenced by her use of tracing paper. Thus she could carry forth the same subject across several mediums in order to push her experimentation. These two pastel drawings confirm the artist's interest in nudes and scenes of everyday life, notably the bathroom. They show evolution of the subject: the body of the young girl appearing more flexible in the less colorful version, following the lines of the armchair, or the construction of space through color in the second. These two studies are reminiscent of the young girls in the bathroom by Edgar Degas, themselves inspired by Japanese works. Valadon had particularly looked at them in the painter's studio.
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via www.milkdecoration.com/chez-paolo-gonzato.
L'artiste milanais nous ouvre ses portes
Installé depuis des années dans un appartement du centre-ville de Milan, Paolo Gonzato cultive un esprit amusé et un intérieur coloré. Chez lui, les œuvres d’art s’accumulent et se mêlent sans sourciller à des pièces de design italien.
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10 idées de projets créatifs a réalisé chez soi
Vous cherchez des idées pour occuper vos journées à la maison ? Pourquoi ne pas vous lancer dans un projet créatif ? Non seulement cela vous permettra de développer votre créativité, mais cela peut également être une activité très relaxante et méditative. Voici 10 idées de projets créatifs à réaliser chez soi, qui conviennent à tous les niveaux de compétence.
Fabriquez des bougies parfumées : Achetez de la cire à bougie, des mèches, des huiles essentielles et des récipients en verre pour créer des bougies uniques et parfumées.
Créez des bijoux en perles : Achetez des perles colorées et des fournitures pour bijoux pour créer des bracelets, des colliers ou des boucles d'oreilles uniques.
Customisez vos vêtements : Utilisez des peintures pour tissus, des pochoirs et des patchs pour donner une seconde vie à vos vieux vêtements.
Réalisez un scrapbook : Rassemblez des photos, des tickets, des cartes postales et d'autres souvenirs pour créer un album de scrapbooking qui raconte votre histoire.
Peignez une toile : Achetez une toile, des pinceaux et de la peinture acrylique pour créer votre propre œuvre d'art.
Fabriquez des pots de fleurs : Utilisez de l'argile, de la peinture et des paillettes pour créer des pots de fleurs uniques pour votre maison.
Créez des cartes de vœux : Utilisez du papier cartonné, des tampons et des encres pour créer des cartes de vœux personnalisées pour vos amis et votre famille.
Fabriquez des décorations murales : Utilisez des branches, des feuilles séchées et des éléments naturels pour créer des décorations murales inspirantes.
Créez des sculptures en argile : Utilisez de l'argile pour créer des sculptures uniques, comme des pots, des bols ou des figurines.
Fabriquez des guirlandes lumineuses : Utilisez des guirlandes lumineuses et des objets décoratifs, comme des photos ou des fleurs en papier, pour créer des décorations lumineuses pour votre maison.
Conclusion : Avec ces idées de projets créatifs à réaliser chez soi, vous êtes sûr de passer des heures amusantes à développer votre créativité. Laissez votre imagination vous guider et amusez-vous bien !
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