#grande œuvre
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Grand tableau abstrait : Vaste texture couteau or orange rose iridescente 2.
(Œuvre réalisée sur commande)
Œuvre réalisée au couteau à la peinture acrylique sur châssis en bois entoilé en coton (100% coton, toile cloutée). Couleurs iridescentes. Rebords du châssis peints à la peinture acrylique noire. Protection : œuvre vernie à la bombe aérosol brillante.
Pour voir un aperçu vidéo de cette peinture, rendez-vous sur : https://youtu.be/Kn1jt8u7kgU
Format : 116 cm x 89 cm x 2,5 cm.
Diagonale : 146,2 cm.
Poids approximatif : 3 kg.
Date de réalisation : 03/2023.
Artiste : Jonathan Pradillon
Pièce unique.
œuvre signée. Certificat d’authenticité fourni. Emballage soigné.
Prix : 600 €.
(Œuvre vendue)
Plus d’information sur www.artinsolite.com ou www.jonathan-pradillon.com
youtube
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@buddyblanc
AA Bronson, Elijah Burgher and Uriel Brewer, Who’s Afraid of Red, White and Black?, 2012
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TURCAT-MERY MJ de 1913
4 cylindres de 6,1 litres muni de 8 bougies est une œuvre d’art!
C’est la plus grande marque du monde avant la Première Guerre mondiale
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Comment a-t-on pu en arriver là ? À mesure que l’on feuillette la bande dessinée, la question se répète, s’amplifie, jusqu’à former une tornade d’incompréhension. Dans Spirou et la Gorgone bleue, paru en septembre 2023 aux éditions Dupuis, certains personnages noirs ressemblent à des singes. D’autres cochent toutes les cases des caricatures racistes : une peau noir foncé, des lèvres surdimensionnées d’une couleur rosée et, parfois, des grandes mains et une mâchoire prognathe.
Les représentations s’étalent sur des dizaines de pages et pourtant, l’œuvre a été relue, éditée et diffusée massivement en France et en Belgique depuis un an. Le synopsis de l’album tient en quelques mots : Spirou et Fantasio traquent une bande d’écoterroristes en lutte contre la malbouffe. Leur enquête les mène sur un porte-avions de l’armée américaine, subtilement baptisé USS Obama, dont les militaires poursuivent aussi les militantes écolos. À bord de l’USS Obama, tout le personnel est noir. Ou plutôt, « furtif », comme l’affirme en riant l’amirale Denzelle Jackson à bord, une grosse femme noire aux immenses lèvres roses et au cou poilu.
Au téléphone, le dessinateur de l’album, Dany, tente de nous expliquer la « blague » : « On a repeint le porte-avions avec une couleur noire, qui lui permet de ne pas être décelé par les radars. C’est un navire “furtif”. La dimension furtive est amusante. D’ailleurs, la pacha [commandante du navire – ndlr] dit en rigolant que tout le personnel est furtif. Ils sont tous blacks ! [sic] C’est ça qui amusait beaucoup le scénariste et qui m’a fait rire aussi. C’était une bonne trouvaille, un équipage complètement noir... »
Mais depuis quelques jours, une foule de nouveaux lecteurs et lectrices est loin de partager ce point de vue. « Quand j’ai découvert les dessins, j’ai eu l’impression que c’étaient des animaux qui étaient dessinés, et non des humains », s’étonne le blogueur Seumboy.
« Retrait de l’ouvrage »
Le militant antiraciste a, comme beaucoup d’internautes, découvert l’existence de Spirou et la Gorgone bleue après qu’une Française a diffusé une courte vidéo sur TikTok, le 29 octobre. « Je tiens entre mes mains une des BD les plus racistes de 2024 », présente-t-elle en feuilletant les pages de l’album, paru en réalité un an plus tôt. Sa vidéo est reprise sur d’autres réseaux sociaux, cumule rapidement des centaines de milliers de vues et génère des trombes de commentaires indignés.
Contactées par Mediapart, les éditions Dupuis ont répondu ce jeudi par voie de communiqué, actant que « les prises de parole se multiplient pour exprimer la colère ressentie devant la représentation des personnes noires et des femmes » dans l’œuvre mise en cause.
« Nous sommes profondément désolés si cet album a pu choquer et blesser. Cet album s’inscrit dans un style de représentation caricatural hérité d’une autre époque. Plus que jamais conscients de notre devoir moral et de l’importance que représente la bande dessinée en tant qu’éditeur et plus largement le livre dans l’évolution des sociétés, nous prenons en ce jour la pleine responsabilité de cette erreur d’appréciation. C’est pourquoi nous tenons à présenter nos plus sincères excuses. »
La maison explique avoir « mis en œuvre le retrait de l’ouvrage de l’ensemble des points de vente ». L’album se serait toutefois très bien vendu ces 13 derniers mois, selon le dessinateur Dany, qui nous informe qu’elle aurait même été réimprimée. Elle avait été tirée en septembre 2023 à 22 000 exemplaires, apprend-on sur le site BDZoom.
L’univers de Spirou, popularisé par Franquin, est dense. D’un côté s’égraine, depuis les années 1950, la saga officielle des Aventures de Spirou et Fantasio,dont le 57e numéro est paru cet automne. De l’autre, une série dérivée« Le Spirou de... »permet à la maison d’édition de décliner la franchise en demandant à des dessinateurs de réinterpréter le célèbre héros à leur sauce.
C’est là que Yann et Dany entrent en scène. Le premier est scénariste de BD, l’autre auteur et dessinateur. À 81 ans, Dany est un incontournable du neuvième art belge, qui fait vivre depuis cinquante ans les aventuresd’Olivier Rameau, un héros rêveur et son acolyte féminine hypersexualisée en robe courte, Colombe Tiredaile. Il y a huit ans, les éditions Dupuis sont venues le chercher pour développer ce nouveau Spirou, raconte-t-il dans une interview accordée aux Amis de la BD en 2023.
Le processus de création a visiblement pris du temps. L’éditeur qui avait démarché Dany est remplacé en 2020 par un autre, plus jeune, qui se serait alarmé en voyant la tête de certains personnages. « Le nouvel éditeur m’a dit : “Tu sais, on ne peut plus dessiner les Noirs comme ça.” Alors j’ai changé, on a refait pas mal de visages… Mais apparemment pas suffisamment », explique Dany à Mediapart.
La bande dessinée que l’on connaît aujourd’hui aurait donc déjà fait l’objet de modifications. C’est ce qu’a confirmé Julie Durot, la directrice générale de Dupuis depuis 2021, au Parisien ce jeudi : « Le contrat a été signé il y a plus de dix ans, par des gens qui ne sont plus aux commandes. Depuis mon arrivée, nous avons à plusieurs reprises demandé des modifications à son dessinateur, Dany. C’est un homme de plus de 80 ans : il ne voyait pas en quoi ces dessins, qui sont des caricatures, étaient choquants. Nous avons sans doute commis une erreur en acceptant de la publier. »
« On peut se demander pourquoi l’éditeur a quand même publié l’album alors qu’il ne semblait pas satisfait. Refuser d’éditer ce Spirou aurait été à perte, mais cela aurait évité une grosse polémique »,souligne Lloyd Chéry, rédacteur en chef adjoint de Métal hurlant, un magazine de référence sur l’univers de la BD.
Peu de remise en question
Auprès de Mediapart, le dessinateur alterne aujourd’hui entre excuses et justifications. « S’il faut retenir quelque chose, c’est que je suis désolé si j’ai pu blesser certaines personnes, africaines ou pas [sic]», insiste celui qui se dit « interloqué » par les réactions. « J’ai peut-être un peu forcé la main, peut-être que j’ai fait une erreur… Cela dit, l’album est sorti en septembre 2023, jusqu’ici, je n’ai eu aucune critique. »
Dany d��fend la « caricature » qui, « par définition, consiste à forcer le trait ». Et d’expliquer un raisonnement à faire s’évanouir des militants antiracistes : « Il est évident que la plupart des Africains, enfin presque tous d’ailleurs, ont des lèvres plus épaisses, plus grosses que les Blancs, c’est un fait. Ça fait partie de la caricature. »
Il mentionne ensuite les protagonistes blancs, qu’il considère également avoir « caricaturé » : « Il y en a un qui ressemble à Trump, ce n’est pas particulièrement gentil non plus… Et puis à ce moment-là, j’aurais aussi dû refaire le nez de Fantasio aussi ? », ajoute-t-il à propos de l’acolyte de Spirou.
Il admet toutefois : « J’aurais dû faire gaffe à ne pas dessiner les Noirs comme dans les années 1960 ou 1980, c’est sans doute vrai [...], mais je voulais me rapprocher de l’univers de Spirou. Mon modèle absolu, c’est Franquin, c’est le genre de dessins qu’il faisait. J’en suis vraiment désolé et je voudrais présenter toutes mes excuses à ceux que j’aurais pu blesser, car c’est totalement involontaire. J’ai peut-être beaucoup de défauts, mais je ne suis pas raciste, ça, c’est certain. »
Un blog qui en dit long
Sur le blog professionnel de Dany, on retrouve pourtant une autre publication, preuve d’une inclination à déshumaniser les personnes noires, qui n’est pas propre à la BD de Spirou. Le dessin montre, d’un côté, les deux personnages blancs créés par Dany, le fameux Olivier Rameau et son amie, s’opposer à un groupe de cinq personnes racisées. « Ça ne va pas être facile de les intégrer, ces deux-là », soupire un protagoniste noir aux airs de singe, avec de grandes oreilles, une grande bouche, un « museau » brun, entouré d’autres personnages racisés. Comme si les personnes blanches, devenues minoritaires, étaient victimes de discriminations, dans une sorte de mise en abyme de la théorie raciste du « grand remplacement ».
Le blog regorge également de dessins de femmes nues ou hypersexualisées, comme c’est le cas dans Spirou et la Gorgone bleue. Une autre planche, signée Dany et Tibet, montre un homme qui tabasse une travailleuse du sexe.
« Quand on fait un tour sur le blog de Dany, on se rend bien compte qu’il ne s’agit pas d’une erreur de jeunesse, mais d’une prise de position politique dont il est coutumier, remarque Seumboy, créateur et animateur du site de vulgarisation de l’histoire coloniale Histoires Crépues. Le message qu’il essaye de délivrer, c’est que les personnes noires prennent trop de pouvoir aux États-Unis et que si l’on n’y prend pas garde, la société multiculturaliste américaine va arriver chez nous en Europe. »
Aux origines de l’esthétique coloniale de la BD franco-belge
Celui que Dany présente comme son modèle, l’iconique dessinateur franco-belge André Franquin, créateur du Marsupilami et illustrateur régulier des aventures de Spirou et Fantasio, avait lui-même une façon bien particulière de crayonner les personnages noirs.
Dans Spirou chez les Pygmées, paru pour la première fois en 1949, l’auteur de BD met en scène des personnages noirs… dont on découvre qu’ils sont en réalité « des bruns qui ne se sont jamais lavés », dixit Spirou, en nettoyant au savon un enfant noir. Une illustration qui préfigurait les spots télés pour détergents qui « lavaient plus blanc que blanc » et qu’on illustrait d’un Africain dont les membres ressortaient du bain dépigmentés. Dans un livre d’entretien, exhumé par le journaliste spécialiste Jérôme Lachasse, Franquin se défendait de tout racisme et expliquait caricaturer les Blancs comme les Noirs.
Pourtant, dans les dessins de Dany, comme dans ceux de son illustre inspirateur Franquin, les personnages blancs ne sont pas ou peu caricaturés, et souvent dépeints sous les traits d’aventuriers en quête de frissons et d’exotisme, ont des physiques avantageux et diversifiés, quand les personnages noirs sont souvent primitifs et présentent des physiques très homogènes.
« Convoquer cet imaginaire colonial, c’est aussi faire preuve de paresse artistique, déplore Laura Nsafou, écrivaine et bédéiste afroféministe. Là où on va se poser la question de varier les physiques pour les personnages blancs, on va uniformiser le corps noir, sans jamais essayer de rendre compte des différentes carnations ou textures de cheveux. Plutôt que de faire ça, on va reprendre des attributs racistes, rappelant les singes. »
L’histoire de la bande dessinée franco-belge recèle en réalité beaucoup de ces représentations stéréotypées, reprenant l’esthétique coloniale des pubs Banania, donnant aux personnages noirs des traits indiscernables de ceux des primates et les campant dans des rôles secondaires de faire-valoir humoristiques, imbéciles et dociles. Les protagonistes noirs évoluent fréquemment dans des contextes de guerre, d’esclavage ou de ségrégation raciale, et n’occupent que très rarement les rôles principaux.
L’exemple le plus mémorable reste le numéro de Tintin au Congo, où l’on suit le reporter à houppette déjouant les pièges d’une bande de gangsters qui cherchent à mettre la main sur la production de diamants au Congo. Cette bande dessinée était le reflet de l’esprit paternaliste de la Belgique colonialiste du début des années 1930. Et presque cent ans plus tard, les planches de Hergé continuent de nourrir l’inspiration et les préjugés racistes de bédéistes contemporains.
Plusieurs spécialistes et acteurs de la bande dessinée relèvent la responsabilité de l’éditeur d’avoir validé, après réunion du comité éditorial, une telle publication. Mais ils saluent la décision rare de retirer des ventes le numéro et invitent à saisir cette occasion pour amorcer une réflexion plus large. « Il est nécessaire que les maisons d’édition de bande dessinée soutiennent d’autres narrations et proposent des récits actuels et respectueux des personnes noires, avec des protagonistes de différentes carnations, qui vivent à Paris, et qui ressemblent aux gens qu’on voit dans la rue et dans le métro », milite Laura Nsafou, elle-même autrice de plusieurs BD qui mettent en scène des personnages racisés.
Marie Turcan et Yunnes Abzouz
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#très intéressant. ce vieux raciste de merde devrait prendre sa retraite il n'a plus sa place dans ce monde#french#upthebaguette#BD#bande dessinée#BD franco-belge#spirou#spirou et fantasio#bee tries to talk#racism#antiblack racism#misogyny
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Hi, I’m very bad with English so I will write this in French because I’m a French so that can make a fact that you have a fan from France
Je voudrais vous dire que moi aussi j’ai perdue quelqu’un de proche.J’ai perdue ma grand-mère il y a presque 1 an et mon père me disait que l’âme du défunt ne va pas directement à l’au-delà mais il passe habituellement 1 mois sur terre cela veut dire que Faith ou Maldreathezora était avec vous et que ce n’est qu’aujourd’hui qu’elle repose en paix même si parfois lorsque la nourriture tombe cela veut dire que le défunt a faim.Ce que je veux dire est que je comprends cette douleur,c’est une terrible déchirure dont certains se font croire qu’elle encore en vie ou tombe dans une tristesse mais on la fait vivre lorsqu’on se rappelle d’elle,ses sages paroles,ses moments avec,ses souvenirs enfin bref tout ce qui a un lien avec elle et même si ça peut faire mal en se rappelant qu’elle n’est plus parmi nous on a toujours l’impression qu’elle est là.Personnellement j’adore son art comme le vôtre et celui de figmentforms et s-kinally.Vous m’avez inspiré à faire mon propre comic et son œuvre <<A new calamity>> va inspirer d’autres et elle a marqué toute la communauté zelda parce que oui il y en a même en France ce que je veux dire qu’au final et que cette douleur est terrible mais après la pluie le beau temps et un avenir radieux arrivera.
Bob Cookies
This is really sweet. <3 My French is limited, but Google Translate was a big help with this. Thank you so much for your thoughtful message. <3
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« Imaginez les remarques que pourrait faire un observateur. . . de notre espèce, . . . comment elle se transforme, comment elle se consume depuis un siècle environ. Il aurait grand sujet de se divertir à nos dépens en constatant le curieux retournement de nos efforts inventifs contre nous-mêmes. Tandis que nous croyons nous soumettre les forces et les choses, il n'est pas un seul de ces attentats savants contre la nature qui, par voie directe ou indirecte, ne nous soumette, au contraire, un peu plus à elle et ne fasse de nous des esclaves de notre puissance, des êtres d'autant plus incomplets qu'ils sont mieux équipés.
. . . Et ne parlons pas des odeurs, des bruits que vous endurez, des trépidations, des courants de toute fréquence, des nourritures synthétiques, que sais-je ! Et quant à l'intellect, mes amis, quant à la sensibilité. . . on vous soumet l'esprit à une merveilleuse quantité de nouvelles incohérentes par vingt-quatre heures ; vos sens doivent absorber, sans un jour de repos, autant de musique, de peinture, de drogues, de boissons bizarres, de spectacles, de déplacements, de brusques changements d'altitude, de température, d'anxiété politique et économique. . . que toute l'humanité ensemble, au cours de trois siècles, en pouvait absorber jadis !. . . Cependant que la politique aligne nos multitudes, leur fait donner la main ou dresser le poing, les fait marcher au pas, voter, haïr ou aimer ou mourir en cadence, indistinctement, statistiquement.
La machine économique est, au fond, une exagération, une amplification colossale de l'organisme. . . et nous pouvons suspecter. . . qu'il se produira, dans l'âge qui vient, une dépression des valeurs intellectuelles, un abaissement, une décadence comparables à ceux qui se sont produits à la fin de l'antiquité ; la culture à peu près abandonnée, les œuvres devenues incompréhensibles ou détruites. . . toutes choses malheureusement très possibles [si] les moyens de possession et de jouissance, l'incohérence imposée par la fréquence et la facilité des impressions, la vulgarisation immédiate et l'application aux productions, aux évaluations et à la consommation, des fruits de l'esprit, de méthodes industrielles, finissent par altérer les vertus intellectuelles les plus élevées et les plus importantes : l'attention, la puissance méditative et critique, et ce qu'on peut nommer la pensée de grand style. . .
Nous vivons sous le régime perpétuel de la perturbation de nos intelligences. L'intensité, la nouveauté, dans notre époque, sont devenues des qualités, ce qui est un symptôme assez remarquable. Je ne puis croire que ce système soit excellent pour la culture. Sa première conséquence sera de rendre ou inintelligibles ou insupportables toutes les oeuvres du passé qui ont été composées dans les conditions toutes contraires et qui exigent des esprits tout différemment formés. »
— Paul Valéry, "Notre destin et les lettres", conférence donnée le 17 février 1937
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Laisser la 3D être
Hier, j'ai lu "Le Pouvoir de la Conscience" de Neville Goddard et j'ai pris conscience de ceci :Ramana Maharshi et d'autres occultistes/sages disent exactement la même chose que Neville ! J'ai été soulagée même.Vous êtes la conscience ! Et l'imagination est l'expression de la conscience ! La conscience EST l'imagination ! Toutes choses sont le Soi (Dieu) !
Lorsque j'étais dans mon désir, les doutes ressurgissaient et je me demandais "Quand cela va-t-il arriver ?" etc. Même si je savais, je ne pouvais m'empêcher de douter de mon hypothèse. Je voyais alors la 3D comme quelque chose à combattre.
Alors je me suis posé et j'ai dit : "Biloute, pourquoi te tortures-tu l'esprit ? Sois doux avec toi-même. Ton désir est accompli et laisse la 3D tranquille. Tu sais bien qu'en bloquant le Soi avec l'ego, tu bloques le canal et donc la manifestation.
À chaque fois que le mental revenait perturber ma plénitude, je me posais cette question : "Qui doute ? Qui a peur ?" et je revenais dans le Soi avec le doute parti. C'est une méthode que j'ai trouvée pour cesser les doutes et renforcer ma foi.
Puis, j'ai pris conscience qu'en étant dans le Soi, je laissais la 3D être. Je laissais cela à Dieu car Maya s'occupait bien d'elle-même. De plus, Maître Philippe de Lyon dit en quelque sorte : "Je suis le plus petit des petits et c'est pour cela que Dieu m'exauce tout. Vous, vous êtes trop grands, c'est pour cela que vous n'avez rien."
Ce que je veux dire : ne portez pas le fardeau de la 3D ! Et ayez confiance en le Père qui est en vous ! Laissez couler "la magie" qui est en vous ! Un manque de confiance en vous sur vos désirs les bloque ! La 4D et la 3D sont la même chose ! Vous devez juste faire une chose : Rester fidèle à votre hypothèse et avoir foi en l'invisible et surtout, laisser la 3D tranquille ! Soyez indifférent aux résultats car vous savez que vous l'avez !
À chaque fois que je manifestais involontairement, j'étais indifférente aux résultats, je m'en fichais royalement ! Le lâcher-prise et la foi sont pour moi importants.
Trouvez une affirmation qui résonne en vous et utilisez-la !J'avais lu sur Reddit qu'une personne disait : "Je peux, avec l'intention, faire des voyages astraux et des rêves lucides. Alors pourquoi ne pourrais-je pas voyager avec ma conscience ?" et depuis, elle shift sur commande ! (Car elle avait un esprit très logique).
Moi, je me dis : "Tout est accompli et c'est obligatoire. Par l'intention, je manifeste ma réalité. Et le Père qui est en moi le réalise car il est plus grand que moi et que moi, je ne suis rien." ou de temps en temps : "Tout est possible au Père."
En priant, je manifestais instantanément ma demande. Alors, s'Il l'a fait, pourquoi ne pourrais-je pas shifter en priant ? Vous voyez où je veux en venir ? Vous êtes digne de shifter ! Soyez le Pharaon !
Une autre analogie qui m'a plu : les tableaux.
Vous (la conscience) êtes dans une galerie d'art. Vous savez qu'en regardant une œuvre, vous la manifestez. Cependant, vous SAVEZ que les autres sont là même si vous ne les voyez pas ! Le shift est pareil, les réalitées sont de simples tableaux. Ne donnez pas de pouvoir à la 3D car elle n'a aucune emprise.
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Ci-dessus, des images extraites de sept œuvres appartenant au patrimoine cinématographique français et qui mettent en scène des personnages ficelés et/ou bâillonnés. Références : "Fantomas se déchaîne" (1965), "La Grande Vadrouille" (1966), "Fantomas contre Scotland Yard" (1967), "L'Armée des Ombres" (1969), "Le Cercle rouge" (1970), "La Folie des grandeurs" (1972) et "Les Aventures de Rabbi Jacob" (1973).
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"Tout ce qui est grand, noble et fécond dans les œuvres de l'homme provient de deux sources : l'intellect et la volonté, et ces deux qualités ne sont pas réparties de manière équitable entre les races humaines."
Joseph Arthur de Gobineau
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Visite au Musée.....à la découverte du grand peintre Edward Hopper
Edward Hopper est l'une des figures majeures du mouvement réaliste américain, avec des tableaux tels que House by the Railroad (1925) et Nighthawks (1942).
Né en 1882 dans l'État de New York, Edward Hopper intègre la prestigieuse New York School of Art après ses études secondaires. Il s'installe à New York en 1908 où il est engagé comme illustrateur pour des campagnes publicitaires.
Il se lasse rapidement de ce travail et expose des peintures pendant son temps libre. Vers 1915, il peint des scènes de la vie américaine et en 1920, il présente sa première exposition au Whitney Studio Club, qui remporte un grand succès. En 1924, il épouse Josephine Verstille Nivison.
Son style particulier, fait de formes simples et de couleurs plutôt sombres, joue sur les contrastes entre ombre et lumière. Hopper parvient à diversifier son approche réaliste, avec des paysages mis en scène, tantôt urbains, tantôt ruraux. Les personnages qu'il peint inspirent souvent une impression de solitude et d'exclusion. La plupart de ses peintures à l'huile reflètent un pays en pleine mutation économique et sociale. En 1945, Edward Hopper a été admis à l'Académie américaine des arts et des lettres. Il a reçu de nombreux prix et distinctions, dont le titre de docteur en beaux-arts de l'Art Institute of Chicago en 1955.
Hotel Room (Chambre d'hôtel) de Edward Hopper
"Hotel Room" est une peinture de l'artiste américain Edward Hopper, réalisée en 1931. Cette œuvre représente une chambre d'hôtel vide, avec une fenêtre ouverte laissant entrer la lumière du jour. On peut voir un lit de défait, une chaise et une table de nuit, ainsi qu'un miroir sur le mur. Le sol est recouvert de carreaux blancs et noirs et l'atmosphère générale est celle d'une chambre d'hôtel banale et anonyme.
Hopper a souvent peint des scènes urbaines et des bâtiments commerciaux, et "Hotel Room" est un exemple de son intérêt pour les espaces vides et solitaires. Il a été inspiré par les voyages qu'il a faits dans les années 1920 et 1930, où il a été frappé par l'anonymat et la solitude des hôtels. Il a également été influencé par les écrits de William Dean Howells, qui a décrit les hôtels comme des lieux de solitude et d'isolement.
La lumière joue également un rôle important dans cette peinture. La lumière du jour qui entre par la fenêtre donne à la chambre une atmosphère de transparence et de clarté, mais en même temps elle accentue la solitude de l'espace vide. Hopper a souvent utilisé la lumière pour créer une atmosphère particulière dans ses œuvres, et dans "Hotel Room", elle renforce l'idée de solitude et d'isolement. Cette peinture est considérée comme l'une des œuvres les plus importantes de Hopper en raison de son thème universel de solitude et d'isolement dans un espace public. Il a réussi à capturer l'essence de la vie moderne de manière poignante et à susciter des réflexions sur la nature humaine et sur les relations entre les individus et l'espace qui les entoure.
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"Si la bêtise est l’incapacité de comprendre les choses les plus simples, elle est, au XXe siècle, une catégorie historique. Et le support privilégié de cette bêtise transcendantale est, selon Orwell, la classe intellectuelle. Je ne crois pas qu’il y ait, dans son œuvre des années 1940, un thème plus omniprésent que celui-là. L’intellectuel (et "il faut noter qu’il n’y a désormais plus d’intelligentsia qui ne soit en un sens "de gauche""), c’est - nous répète-t-il – ce manipulateur de signes qui peut à tout moment, par la logique de son activité, déconnecter inconsciemment de l’objectivité sensible […] Seul, par conséquent, un solide sens des limites pourrait garantir que le détour nécessaire par l’abstraction ne fonde pas un envol définitif hors de la réalité matérielle. Or ce sens des limites, garde-fou du penseur, ne peut trouver ses conditions d’existence, c’est la grande idée d’Orwell, que dans la sensibilité morale, dans ce qu’il désigne partout comme la common decency, c’est-à-dire ce sens commun qui nous avertit qu’il y a des choses qui ne se font pas. Si par conséquent l’intelligentsia moderne a, dans son ensemble, rompu avec le réalisme spontané de l’homme ordinaire, c’est fondamentalement parce qu’elle a cessé d’être morale."
Jean-Claude Michéa, Orwell anarchiste tory, 2008.
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Le journal est une forme d’écriture désœuvrée. On n’y cherche pas la représentation. C’est la vie même qui s’y déverse. Encore plus que dans les lettres, parce que les lettres qu’on écrit peuvent subir l’influence de leurs destinataires. Le journal a une pureté qui procède de son impureté. Il n’y a pas de sujet noble ni dérisoire dans un journal intime, n’importe quoi peut être livré aux pages du cahier. Il le faut. Tenir une main courante prend du temps mais cela permet aussi d’en conserver l’esprit ; l’esprit du temps. C’est important de déposer les réflexions et les faits, parce que sinon tout s’évapore. Il ne reste rien d’il y a trois jours. Si j’écris chaque jour ce que j’ai vu, en regardant simplement autour de moi, en saisissant ce qui se passe, c’est parce que je sais que tout s’évapore. Si j’écris ce qui se passe en moi quand je regarde une image fixe, un tableau, un film, c’est parce que je sais que mes impressions vont se désintégrer. Mon esprit est plein de déchets. Ce sont les résidus de pensées nées dans la solitude ou dans une conversation. Un peu comme dans notre galaxie où gravitent des millions de déchets. Dans l’infiniment grand, cela représente un problème de sécurité. Tandis qu’à mon échelle, c’est bénin. Inoffensif, mon journal est dur, pourtant. Dur et pas beau. Mais nous n’avons pas à nous demander si c’est laid ou si c’est beau, à vrai dire. Le sentiment d’avoir créé quelque chose qui a de la vie est supérieur à ces deux notions de laid et de beau. Pour moi, c’est le seul critère en matière d’art. Et ce qui a de la vie ne cherche pas à devenir une œuvre d’art, cela advient. Ou pas. Gaëlle Obiégly, Sans valeur, Bayard Éditions, 2023
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Voici une statue bouddhique représentant Maitreya ou aussi connu suite à son rôle de "Maître" et de "Protecteur" du bouddhisme comme Maitreyanatha. Fait de Bronze Dorée et fabriqué en Chine, cette statue date de l'an 536, durant la période chinoise des Dynastie des Jin orientaux (317 à 420). Nous allons donc parler tant de la culture et de la religion de cette période de la Chine que de la représentation de cette statue.
La personne représentait sur la statue est donc Maitreya qui est un "Mahāsattva" ou "Grand Être" en Sanskrit. Le Mahāsattva est un "Bodhisattva" (un Bouddha avant d'atteindre l'éveil) et pratiquant depuis très longtemps le bouddhisme tout en atteignant un niveau très élevé sur le chemin de l'éveil. Maitreya est censée devenir le Bouddha lorsque l'enseignement du bouddha Shakyamuni (Le Dharma), aura disparu lors de ce qui est décrit comme la Fin du bouddhisme de Shakyamuni (Mappō). Cette personne aurait vu le jour entre 270 et 350, sans aucune certitude néanmoins. Il est généralement représenté comme un Saint Homme ou un Prince. Lors de ses représentations assises, ses deux pieds reposent sur le sol, ayant deux interprétations possibles : il n'est pas encore "assis" comme le bouddha ou au contraire, il se prépare à se lever et à descendre sur Terre pour faire ce qu'il doit faire. Il peut d'ailleurs sur ses représentations avoir la tête légèrement baissée pour signifier qu'il regarde le monde. Un petit stupa peut être dans sa coiffure tandis que sa main droite apparaît généralement avec une roue posée sur un lotus tandis que la gauche sera avec une fiole contenant le nectar du Dharma.
Parlons du Bouddhisme durant la période des Jin Occidentaux maintenant. Durant cette période, le Bouddhisme continuera son implantation dans la Chine. Il apportera une contribution au "Xuanxue", un courant philosophique et culturel apparenté au Néotaoïsme chinois. Dans cette dynastie, un moine d'origine nordique, du nom de Huiyan établira sur le Mont Lu situé dans la Chine du Sud un temple qui deviendra un centre de royannement bouddhiste et qui verra naître le mouvement de la Terre Pure (Le bouddhisme de la Terre pure est essentiellement basé sur la foi, la dévotion et la pratique de la récitation du nom du bouddha Amitābha (nianfo), avec pour objectif d’accéder après cette vie à la terre du bouddha d’Amitabha, où la lumière, la longévité et le bonheur sont tous infinis.). Le Nord lui, sous l'égide des Seize royaumes, verra des travaux importants dans la traduction de nombreuses œuvres sous la direction de Dao'an des Qin Antérieurs et de Kumarajiva des Qin Postérieurs et l'égide des souverains. Le moine Faxian qui quittera le domaine des Qin postérieurs pour entreprendre un très long périple qui dura de 399 à 414 vers les sources du bouddhisme sera relaté dans le Foguoji (Relation des royaumes bouddhiques), dont il rapportera des textes.
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[The sea shall be like magic between us.]
IX - Nuit sans fin
La dernière conversation avec Christina, où je lui avais dit que j'avais utilisé les toilettes du Café d'Auteur, un café fermé depuis cinq ans, avait été un avertissement. Sans parler des huit heures que j'avais complètement bloquées, pendant lesquelles je lui avais apparemment demandé de rechercher d'éventuels liens entre Leonora Carrington et Italo Calvino. Des cartes de tarot, des chansons codées, des cartes du monde étranges trouvées sur des sites web encore plus étranges ? Euphémie ? Je perdais la tête.
Les mois passèrent et la vie reprit son cours normal. Trop de travail, trop de télévision, trop de consommation de nouvelles (qui devenaient de plus en plus déprimantes chaque jour). Le monde fascinant de Leonora et ce jeu (ou quoi que ce soit) était une tentation constante. Une évasion de la monotonie. Mais ça avait aussi un air de danger et j'ai donc réussi à résister à l'envie.
En février, j'ai pris l'Eurostar pour voir un ami à Londres. Et chaque fois que je suis à Londres, on va à Tate Modern, cet incroyable musée de la couverture de l'album Pink Floyd. L'expo cette fois ? "Le surréalisme au-delà des frontières", mettant en évidence l’ œuvre de Carrington. Bien sûr. Mon ami avait déjà acheté des billets et j'étais sûr que le jeu ne me suivrait pas à Londres. Donc, hop, on est parti.
L'expo était incroyable et consistait en des peintures d'artistes avant-garde un peu moins connus, comme Erna Rosenstein, Dédé Sunbeam, Ikeda Tatsuo, Hector Hyppolite, Eugenio Granell, Giorgio de Chirico et Remedios Varo. C'était comme passer d'un rêve étrange à un autre.
En particulier, les peintures de Leonora étaient fascinantes. L'expo présentait plusieurs de ses tableaux, dont sa toute première, intitulée Autoportrait (L'auberge du cheval de l'aube).
Cette peinture est normalement dans le Metropolitan Museum of Art de New York et c'était cool de pouvoir la voir. C'est une scène (en fait, deux scènes si tu comptes ce qui se passe dehors) à la fois très simple et vachement dramatique, à la fois stéréotypé féminin et masculin. Leonora et la Hyène regardent directement le spectateur, reflétant le comportement de l'autre. En fait, Leonora était souvent liée aux Hyènes, disant "je suis comme une hyène, je rentre dans les poubelles, j'ai une curiosité insatiable". La Hyène réunit ici le mâle et la femelle en un tout, métaphorique du monde de la nuit et du rêve. Pour moi, ce tableau est une exploration de soi, le côté sauvage, le côté curieux, le côté qui cherche la liberté.
J'étais là depuis longtemps à regarder le tableau quand une jeune femme est apparue à côté de moi. Au début, on a regardé le tableau en silence, mais après un certain temps, elle m'a posé une question. "Qu'est-ce que vous pensez que c'est, cette tache à côté de la Hyène ?" Franchement, je l'avais à peine remarqué, mais j'ai répondu, "C'est une bonne question, j'ai supposé que c'était juste une erreur qu'elle essayait de cacher ?" "Une hypothèse sûre", a-t- elle répondu. "Bien que… Carrington était apparemment depuis sa plus tendre enfance très fasciné par les aes sídhe, un peuple féerique surnaturel lié à la mythologie celtique des Gaëls à partir des histoires que sa mère, sa grand-mère et sa nounou lui avaient racontées. Peut-être que ce sont eux qui font une apparition."
C'était la première fois que j'entendais ça et j'étais vraiment intéressé à en savoir plus. Elle s'est présentée comme Ester et on a longuement parlé de Carrington, les Tuatha Dé Danann (la mythologie celtique irlandaise) et du surréalisme. Elle possédait une librairie pas trop loin de chez moi et avait clairement plongé dans sa propre marchandise. Quand mon ami réapparu (il avait disparu dans les œuvres d'André Breton), elle m'a donné la carte de visite de sa librairie et m'a dit qu'elle avait un livre qui pourrait m'intéresser. Si je voulais, je pouvais venir à tout moment pendant ma visite à Londres. Je l'ai remercié pour la conversation et lui ai dit au revoir.
J'ai passé un bon moment à Londres, avec beaucoup de cocktails, pâtisseries scandinaves et cuisine indienne. Le dernier jour, j'ai retrouvé la carte de visite pour The Library of Babel que Ester m'a donnée. C'était à proximité. La commodité et ma curiosité m'ont rendu impossible de résister.
Après avoir parcouru les petites rues pendant trente minutes, j'ai finalement trouvé la librairie. Avec un nom si spectaculaire, je ne m'attendais pas à un endroit aussi discret; un petit panneau étant la seule indication de ce qui nous attendait à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu immédiatement livre après livre. Le magasin se composait d'un bureau en bois et d'un nombre apparemment infini de livres empilés au hasard derrière. Je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un pouvait trouver quelque chose là.
Je n'avais même pas remarqué la personne qui était assise au bureau avant qu’il me demande si j'avais besoin d'aide. Je lui ai dit que j'avais reçu une invitation de Ester. Sans même demander mon nom, il dit "Ah oui, Ester a dit qu'elle est désolée de ne pas pouvoir être ici aujourd'hui, mais elle vous a laissé ce livre." Je l'ai remercié et j'ai attrapé mon portefeuille, mais il a immédiatement dit "non, non, pas de soucis".
Une fois à l'extérieur de la librairie, j'ai vu la note attachée au livre, "J'espère que ce livre vous trouvera bien et éclairera le chemin. Que les aes sídhe soient à vos côtés, toujours."
Le livre était intitulé Nuit sans fin et était une sorte de recueil de poésie. Je l'ai feuilleté lentement jusqu'à ce que j'arrive aux deux pages du milieu. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Là, au milieu du livre, il y avait la même carte que j'ai trouvée sur le site web crypté.
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Festival de glace de Harbin - Guide Chine - Terres de Chine
Œuvre réalisée par un norvégien.
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Cet homme n'est pas un mendiant ou un vagabond sans abri
Il s'agit de Léon Tolstoï, romancier et philosophe russe, surtout connu pour ses romans « Guerre et Paix » et « Anna Karénine ». Il est considéré comme l'un des plus grands auteurs de tous les temps et une figure clé du mouvement réaliste en littérature.
Il a vendu tout ce qu'il possédait pour que les sans-abri aient un toit et que les mendiants aient de la nourriture. Tolstoï est né le 9 septembre 1828 en Russie et est décédé le 20 novembre 1910. Ses écrits exploraient souvent les thèmes de la moralité, de l'éthique et de la condition humaine, et ses œuvres sont encore largement lues et étudiées aujourd'hui. Certaines de ses citations notables incluent : « Ne me parlez pas de votre religion, laissez-moi voir votre religion dans vos actions ». Si vous ressentez de la douleur, vous êtes vivant. Mais si vous ressentez la douleur des autres, vous êtes humain. L'héritage de Tolstoï s'étend également au-delà de la littérature. Il était également philosophe et réformateur social, et ses idées sur la résistance non violente et la vie simple ont inspiré des dirigeants comme Mahatma Gandhi et Martin Luther King Jr.
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