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#être capable de se défendre
kachmedcom · 11 months
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Apprenez à vous défendre et à vous protéger
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Vous vous sentez en insécurité ? Vous avez peur d'être agressée ? Vous voulez apprendre à vous défendre et à vous protéger ? Si oui, alors ce programme de self défense féminine est fait pour vous ! Dans ce programme, vous apprendrez les techniques essentielles pour vous protéger en cas d'agression. Vous apprendrez à : . Éviter les situations à risque . Se défendre contre une agression physique . Se défendre contre une agression sexuelle Alors, ne laissez pas la peur vous empêcher de vivre votre vie pleinement. Apprenez à vous défendre et à vous protéger avec ce programme de self défense féminine. Inscrivez-vous dès aujourd'hui et apprenez à vous défendre !
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girafeduvexin · 2 months
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@keylawd J'allais répondre sous mon post mais en fait c'est relou à écrire ahah.
Pour Houria Bouteldja qui dit que l'antisémitisme d'État n'existe plus et que c'est du philosémitisme d'État : pour moi, c'est une erreur. Quand Macron diminue le rôle de Pétain (symptôme du rapport plus que problématique de la France par rapport à Vichy et son passé), quand des h/f politiques se revendiquent ouvertement catholiques alors qu'un h/f juif.ve politique ne pourrait revendiquer sa religion sans être taxé.e de communautarisme, quand on sait que la discrimination à l'embauche touche aussi les Juif.ve.s... non, je ne peux pas dire que l'antisémitisme d'État ait disparu. Il est peut-être plus subtile, il prend d'autres formes que l'islamophobie, oui, mais il est bien présent.
Pour être plus précise, la droite catholique, càd, la droite qui s'appuie sur un électorat catho, sur une famille française depuis des générations, la droite qui se dit attachée au "terroir", elle est autant antisémite qu'islamophobe dans ses codes. Quand Valérie Boyer porte ostensiblement une grosse croix à la télé, quand Fillon, Wauquiez, Bellamy, revendiquent d'être chrétiens, il y a ce sous-texte, cette idée que le président ne peut être que catholique, que la France est avant tout un pays chrétien, avec des crèches dans les mairies (cf les propos de Wauquiez et Fillon dans ma compilation de propos antisémites). On tolère les Juifs s'ils pratiquent en privé, s'ils taisent leur religion et on ne les veut surtout pas à la tête de l'État. Et avec Wauquiez président du groupe LR à l'AN, Bellamy qui prend de plus en plus de place dans la sphère médiatique, cette droite a encore de beaux jours devant elle.
(PS : je ne dis pas qu'être catholique fait forcément de vous un antisémite. Je parle de la droite qui s'appuie sur le catholicisme pour défendre des idées réactionnaires. Ce sont les mêmes qui disent que les Juifs ont tué Jésus...)
Aussi en désaccord quand HB semble sous-entendre que l'antisémitisme n'est plus qu'à l'extrême-droite et dans les quartiers populaires : de mon expérience personnelle, les bobos de gauche parisiens sont capables comme les autres d'être antisémites.
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horyia · 6 months
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Idée forum :
Calydria, un monde en proie à un conflit séculaire entre deux continents hostiles, Erydor et Solastria. Au cœur de cette lutte incessante, le continent d'Erydor abrite trois prestigieuses académies, chacune formant une élite de combattants et de savants destinés à servir dans l'armée de défense contre les forces ennemies de Solastria.
Académie des Chevaucheurs : Cette académie forme les Chevaucheurs, des guerriers spécialement entraînés pour être les cavaliers des Éthéria (des dragons, des griffons, des wyverns, des aigles etc).
Académie des Élémentaires : Ici, les étudiants apprennent à maîtriser les éléments primordiaux : l'air, le feu, la terre, l'eau, la lumière et l'ombre. Les Élémentaires seront des guerriers capables de manipuler leur élément de prédilection pour des usages offensifs et défensifs.
Académie des Alchimistes : Les Alchimistes étudient les mystères de la science et de la magie pour créer des potions, des poisons et des artefacts magiques.
L'admission à ces académies est ouverte à tous ceux qui ont atteint la majorité et qui sont prêts à s'engager à servir dans l'armée d'Erydor. Contrairement à d'autres institutions, les candidats ne sont pas sélectionnés en fonction de leur origine sociale ou de leur statut familial, mais plutôt de leur volonté de défendre leur patrie. Ceux qui préfèrent ne pas suivre la voie des combattants peuvent opter pour des parcours administratifs, contribuant ainsi à la gestion et à l'organisation de la société et de l'armée d'Erydor.
Dans les profondeurs d'Auroria, le royaume des Éthéria, une alliance de créatures mythiques s'est effectués quelques centaines auparavant face à la menace grandissante des Dévoreurs d'Ombre, des abominations nées des expériences désastreuses des humains de Solastria, émergent des ténèbres pour semer la destruction sur leur passage. Les Éthéria ont décidés de s'allier avec les humains d'Erydor et de se liés à seulement certains d'entre eux qu'ils considèrent comme méritant.
Sur les continents en guerre d'Erydor et de Solastria, les tensions séculaires alimentent un conflit sans fin. Les deux factions se disputent le contrôle de Calydria, tandis que les champs de bataille sont le théâtre de combats acharnés pour la suprématie.
Ainsi, sur fond de conflit entre continents et de lutte pour la survie des peuples magiques, Calydria est plongée dans une bataille épique entre l'équilibre et le chaos. Le destin de chacun repose sur l'issue incertaine de cette guerre sans merci, où se joue l'avenir même de leur monde.
J'aimerais, peut-être, me lancer dans ce projet. Toutefois, je ne veux plus faire de projet seule alors si certains d'entre vous sont inspirées par ce début de contexte n'hésitez pas à me contacter par mp ! Repartage très fortement apprécié ♥
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selidren · 7 months
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Hiver 1916-1917 - Champs-les-Sims
6/7
Cela me rappelle que nous attendons un heureux événement pour le printemps. Adelphe aurait bien voulu vous en parler lui-même, mais les temps sont si rudes qu'il nous écrit à peine à nous même. Son épouse, Marie, attend leur quatrième enfant. Ma pauvre belle-soeur n'est plus toute jeune, mais elle est aussi dynamique qu'autrefois, et qu'elle a bien hâte de cette naissance. Rendez-vous compte, cela fait déjà vingt ans qu'elle a mis Alexandre au monde. Pour ma part, je ne sais si je veux encore d'autres enfants, mais il n'y a rien au monde qui me procure plus de bonheur que de les voir grandir. Antoine par exemple, grandit bien trop vite. On dirait un homme adulte dans le corps d'un jeune garçon. Eugénie dit qu'il est exactement comme Maximilien, le père de Constantin. Mon époux me parle assez rarement de son père, et Adelphe m'a avoué qu'il fallait éviter le sujet avec lui car les deux s'entendaient très mal. En revanche, Madame Eugénie ne tarit jamais d'éloges à son sujet et de son amour pour son épouse, Rose se souvient de lui avec émotion et Adelphe lui-même admet que pour lui, Maximilien a été une excellente figure paternelle. J'ai beaucoup de mal à me figurer un tel personnage : un être apparemment brillant, capable des amours les plus profonds comme du plus grand des désintérêts. Il est si dommage que Constantin prenne la même voie avec ses propres enfants mais qu'y puis-je ?
Transcription :
Marc-Antoine « Je vois, mais moi, je dois faire quoi ? Je suis le quatrième enfant de Papa. C’est Noé l’aînée. »
Eugénie « Arsinoé oui, c’est sur elle que repose le plus important des devoirs. Elle devra, comme son père, son grand-père, son grand-oncle, et tous les héritiers de la famille, se marier et avoir des enfants. La prochaine génération repose sur elle. »
Marc-Antoine « Comme vous ? C’était aussi votre devoir ? »
Eugénie « Pas exactement, mais oui, j’ai été en charge de mettre au monde les héritiers Le Bris, comme ta Maman. Puis je les ai élevés et j’ai défendu leurs intérêts. Je n’ai peut-être pas toujours eu les idées très éclairées, mais j’ai toujours défendu les intérêts de mes descendants. »
Marc-Antoine « Donc elle devra faire des enfants quand elle sera grande. Et qu’est-ce que vous voulez dire ? Défendre les intérêts ? »
Eugénie « Protéger la famille, leur assurer un revenu, comme le fait encore ton oncle Adelphe bien que ce soit le hasard qui ait posé cette responsabilité sur ses épaules. Grand-Dieu, il était si jeune... »
Marc-Antoine « Vous auriez pu le faire aussi non ? SI il était si jeune je veux dire... »
Eugénie « Oh non, lui c’est un homme, mon garçon. Ta mère te diras sans doute que je suis dépassée en disant cela, mais toutes ces choses sont le travail de l’homme de la famille. Maximilien l’a fait avant Adelphe, et c’est lui qui a réellement bâti la fortune de notre famille. Et après Adelphe, ce sera à toi de le faire. Tu seras l’homme de la famille. »
Marc-Antoine « Si j’ai bien compris, Noé devra se marier, donc ce sera à son mari de le faire. »
Eugénie « Non ! Les hommes qui arrivent dans la famille sont de potentiels vautours qui ont à coeur leur propre nom. Ce devra être toi. »
Marc-Antoine « Donc, si je dois être l’homme de la famille, je devrai observer Adelphe non ? »
Eugénie « Exactement ! Ce garçon est un excellent modèle. Mais rappelle-toi toujours que, adulte, ta priorité absolue, ce sera ta sœur. Tu m’entends ? Absolue ! Elle devra pouvoir compter sur ton soutient sans failles, peu importe les épreuves ! »
Marc-Antoine « J’ai compris. Elle aura besoin de moi. »
Eugénie « Comme ton Papa a besoin d’Adelphe. Et comme Lucrèce avait besoin de Maximilien. »
Marc-Antoine « Grand-Mère, qui est Lucrèce ? »
Eugénie « Oh... »
Marc-Antoine « Je sais que c’est une tante de Papa, mais c’est à peu près tout. Sinon, il y a des rumeurs… »
Eugénie « N’écoute jamais ces rumeurs, au grand jamais, ce ne sont que d’affreux mensonges ! Oh mon petit, j’aimerai t’en parler mais c’est encore très dur. Un jour peut-être. Sache simplement qu’ elle sera la seule de mes enfants qui ne reposera jamais ici, et que cette absence me déchire le coeur depuis plus de vingt ans. »
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Cette fois ci, ils bougent! Cela ne se passe plus comme prévu!
Editorial: Ne vous laissez pas influencer par les cris d’orfraie de la classe politicienne, un abcès est en train de crever, des hypothèques se lèvent.
Personne ne peut être satisfait lorsqu’un parti politique, lorsque qu’une ancienne boutique du style de celle de Jean Marie le Pen accède à des scores électoraux de l’ordre de 30%.
Personne sauf les fachos, les vrais! Ceux qui sont cachés dans l’ombre derrière les Macron et sa clique.
D’abord un peu de logique; si le parti fondé par Jean Marie le Pen n’a cessé de grimper aux élections et dans les sondages, à qui la faute?
Qui a paupérisé les masses, qui a tué le parti communiste, qui a avili de jaune les syndicats, qui a vidé le débat démocratique de tout contenu, qui a vendu la souveraineté de la France au capital local, européen et mondial, qui a abandonné toute volonté de défendre les Français face aux coups de boutoir de l’étranger et a fait alliance avec le monde extérieur contre les classes françaises défavorisées?
Qui a balancé des insultes, des injures , des ignominies sur le petit peuple d’en bas?
Tous les pouvoirs qui se sont succédés ont produit la paupérisation, la déchéance, le déclassement, le sentiment de perte de dignité et tous ont tué l’avenir. Ils ne savent promettre que toujours plus, plus d’effort, moins de récompense, moins de reconnaissance, plus de servitude, moins de liberté .
Les 30% qui osent voter pour le RN sont objectivement courageux, je ne sait pas si ils le sont subjectivement, mais en termes sociaux et historiques ils se lèvent pour dire «non» comme ils ont essayé de dire «non» au moment des Gilets Jaunes par exemple.
Ce sont, j’ose le dire des forces de vie qui s’élèvent face à des forces de mort car, qu’on le veuille ou non, le capital qu’il soit financier, économique, culturel, ou symbolique pour reprendre les catégories du merveilleux Bourdieu, ce capital multiforme est toujours concrétisation des forces de mort, des forces qui veulent emprisonner la vie; celle des autres au profit de la leur.
Il est évident que ni Bardella ni Marine ne sont conscient du rôle historique qu’ils jouent, ce rôle est joué a travers eux par les forces qui traversent la société française .Ils sont des instruments au même titre que Macron est l’instrument du fétiche Pognon.
Le Vote RN , le RN, les couches qui votent RN ne sont certainement pas conscientes du rôle historique qu’elles jouent, cela les dépasse, mais ce rôle consiste à bouleverser l’échiquier, à renverser la table ou les nantis et les riches et les planqués se gobergent.
Bien sur que le RN ne peut gouverner , sa fonction ancienne tribunitienne est maintenant dépassée, sa fonction est de dire/montrer: maintenant c’est fini on remet tout cela sur ses pieds, Et on on réintègre le peuple dans le jeu dont il a été exclu.
Les 30% du RN sont le premier signe que la glaciation politique scélérate mise en place par Mitterrand au début des années 80 est en train de fondre, le réaménagement, la recomposition sont enfin lancés, l’hypothèque sur la future présidentielle est en train d’être levée.
Les bobos, les gôches, les petits bourgeois qui poussent ces fameux cris d’orfraie sont des mystifiés, ils sont les boucliers qui protègent le grand capital, le grand business exploiteur. Celui qui fait donner ses troupes comme il le fait toujours, en restant planqué, mais ses médias veillent, ce sont eux qui fournissent aux mystifiés les étendards des faux combats.
Si encore ces gens avaient étudié le fascisme et étaient capables de comprendre que précisément le vote populaire et populiste est une réaction contre le fascisme soft des gouvernants, que ces gouvernant sont au service d’une élite du pognon exactement comme dans les années 20/30
Aucune culture, aucune réflexion, ils gobent, ils gobent et ils se font mystifier de bout en bout sur tous les grands thèmes imposées par le Grand Capital; -guerre contre la Russie -soutien d’Israël -immigration -woke -paupérisation- décroissance- climat etc
Les laissés pour compte qui ont rejoint/voté pour le RN doivent être réintégrés à la vie politique, personne n’a le droit de les exclure ou de décréter qu’ils puent! D’une certaine façon ils représentent les forces de vie et de résistance face à la mort qui saisit enserre notre société.
Les bourgeois qui stigmatisent le vote RN et veulent le nullifier feraient mieux de se montrer utiles et créer par exemple un Comité de Vigilance crédible dont la fonction serait d’analyser et de contrôler les initiatives et propositions du RN afin d’être sur qu’il ne dérive pas.
En attendant, le peuple, lui, doit s’approprier le RN, il doit le faire sien et cette fois ne pas accepter d’être dépossédé.
(Source : Bruno Bertez) 23/06/2024
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poeticdramagirl · 3 months
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Le soleil commençait à se coucher sur les toits de Rome, plongeant la ville dans une lueur dorée qui semblait presque irréelle. T/P, une étudiante étrangère fraîchement arrivée en Italie pour un échange universitaire, se dirigeait vers le café où elle devait retrouver ses nouveaux amis. Depuis son arrivée, elle n'avait pas encore eu l'occasion de rencontrer Brando, le fameux Brando dont tout le monde parlait avec autant de fascination que de mépris.
En entrant dans le café, elle le vit immédiatement. Brando, adossé nonchalamment au bar, un sourire arrogant aux lèvres, discutait avec une bande de garçons tout aussi charismatiques que lui. Ses yeux brillaient d'une lueur malicieuse lorsqu'il la remarqua. Il n'avait pas besoin de dire un mot pour que toute l'attention de la pièce soit dirigée vers lui, comme s'il était le centre de l'univers.
T/P s'approcha, se sentant étrangement attirée par cet aura magnétique, bien qu'elle ait entendu parler de ses manières de charo et de son attitude de connard. Elle s'assit à une table non loin du bar, essayant de ne pas trop attirer l'attention.
"Tu dois être la nouvelle," lança Brando en s'approchant, ses yeux scrutant chaque détail de son visage. "T/P, c'est ça?"
Elle hocha la tête, tentant de masquer son trouble sous un sourire poli. "C'est bien ça."
Il s'assit sans invitation, son sourire se faisant plus provocateur. "Alors, comment trouves-tu Rome? As-tu déjà succombé à son charme?"
"Rome est magnifique," répondit-elle, essayant de ne pas se laisser déstabiliser par son regard perçant. "Mais je pense qu'il y a encore beaucoup à découvrir."
"Ah, il y a tant de choses à découvrir ici, en effet," murmura-t-il en se penchant légèrement vers elle, réduisant la distance entre eux. "Et je serais ravi de te les montrer... si tu es prête à suivre le rythme."
Sa voix douce et séductrice avait un effet presque hypnotique, mais T/P savait qu'elle devait rester sur ses gardes. "Merci pour la proposition, mais je pense que je préfère explorer par moi-même," répliqua-t-elle avec un sourire défiant.
Brando éclata de rire, un rire franc et moqueur. "Tu as du cran, j'aime ça. Mais fais attention, Rome a une manière de te séduire avant de te dévorer."
"Je suis capable de me défendre," rétorqua-t-elle, refusant de se laisser intimider.
"Je n'en doute pas," dit-il en se levant. "Mais parfois, il vaut mieux savoir à qui se fier. On se reverra, T/P." Il s'éloigna, laissant derrière lui un parfum de provocation et de danger.
Les jours suivants, T/P croisa souvent Brando, toujours avec ce même sourire arrogant et cette attitude provocante. Chaque rencontre était un jeu de tensions et de défis. Brando aimait la pousser dans ses retranchements, et elle refusait obstinément de lui céder du terrain.
Un soir, alors qu'elle se promenait seule sur les bords du Tibre, Brando apparut soudain à ses côtés. "Tu es toujours aussi indépendante, hein?" dit-il en lui tendant une rose rouge, symbole à la fois de passion et de danger.
"Je n'ai pas besoin d'un guide," répliqua-t-elle en prenant la rose avec un sourire.
"Non, mais peut-être d'un compagnon de jeu," rétorqua-t-il en la fixant intensément.
Leurs regards se croisèrent, et T/P sentit une vague de chaleur envahir son corps. Peut-être qu'au fond, elle n'était pas totalement insensible à son charme toxique. Peut-être que ce jeu dangereux était exactement ce dont elle avait besoin pour se sentir vivante.
"Tu penses vraiment pouvoir me suivre?" murmura-t-elle, un sourire défiant sur les lèvres.
Brando éclata de rire. "Oh, T/P, je pense que c'est toi qui devrais te préparer à suivre le rythme."
Et c'est ainsi que leur danse de provocation et de tension continua, chaque jour un peu plus intense, un peu plus dangereuse, comme une flamme qui refuse de s'éteindre.
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calydriarpg · 6 months
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Calydria
Calydria, un monde en proie à un conflit séculaire entre deux continents hostiles, Erydor et Solastria. Au cœur de cette lutte incessante, le continent d'Erydor abrite trois prestigieuses académies, chacune formant une élite de combattants et de savants destinés à servir dans l'armée de défense contre les forces ennemies de Solastria.
Académie des Chevaucheurs : Cette académie forme les Chevaucheurs, des guerriers spécialement entraînés pour être les cavaliers des Éthéria (des dragons, des griffons, des wyverns, des aigles, etc).
Académie des Élémentaristes: Ici, les étudiants apprennent à maîtriser les éléments primordiaux : l'air, le feu, la terre, l'eau, la lumière et l'ombre. Les Élémentaristes seront des guerriers capables de manipuler leur élément de prédilection pour des usages offensifs et défensifs.
Académie des Alchimistes : Les Alchimistes étudient les mystères de la science et de la magie pour créer des potions, des poisons et des artefacts magiques.
L'admission à ces académies est ouverte à tous ceux qui ont atteint la majorité et qui sont prêts à s'engager à servir dans l'armée d'Erydor. Contrairement à d'autres institutions, les candidats ne sont pas sélectionnés en fonction de leur origine sociale ou de leur statut familial, mais plutôt de leur volonté de défendre leur patrie. Ceux qui préfèrent ne pas suivre la voie des combattants peuvent opter pour des parcours administratifs, contribuant ainsi à la gestion et à l'organisation de la société et de l'armée d'Erydor.
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Dans les profondeurs d'Auroria, le royaume des Éthéria, une alliance de créatures mythiques s'est effectué quelques centaines d'années auparavant face à la menace grandissante des Dévoreurs d'Ombre, des abominations nées des expériences désastreuses des humains de Solastria, émergent des ténèbres pour semer la destruction sur leur passage. Les Éthéria ont décidé de s'allier avec les humains d'Erydor et de se liés à seulement certains d'entre eux qu'ils considèrent comme méritant.
Sur les continents en guerre d'Erydor et de Solastria, les tensions séculaires alimentent un conflit sans fin. Les deux factions se disputent le contrôle de Calydria, tandis que les champs de bataille sont le théâtre de combats acharnés pour la suprématie.
Ainsi, sur fond de conflit entre continents et de lutte pour la survie des peuples magiques, Calydria est plongée dans une bataille épique entre l'équilibre et le chaos. Le destin de chacun repose sur l'issue incertaine de cette guerre sans merci, où se joue l'avenir même de leur monde.
Informations complémentaires
Le jeu se situera uniquement sur le continent d'Erydor (une carte sera mise à disposition néanmoins pour, vous aidez à visualiser les frontières entre les deux continents et leurs provinces). Les académies seront le point central du jeu, toutefois ceux en dehors pourront également être jouable.
Pourquoi l'âge est à partir de 18 ans ?
Dans le contexte, la rentrée dans les académies se fait après les années d'école classique et cela se passe à dix-huit ans. Ce sera donc le minimum d'âge des personnages ! Le forum traitera forcément de sujet assez violent (tw : guerre, sang, mort).
En termes de contrainte, il n'y aura aucun minimum de mot ni de rp obligatoire par mois. Du loisir avant tout.
Recherche staff
Beaucoup d'idées pour ce forum qui m'inspire avec les thèmes abordés, malheureusement une grosse charge de réflexion, écriture sera nécessaire pour construire correctement cet univers (en gardant en tête que les annexes devront être assez claires et courtes, c'est souvent compliqué d'arriver sur un fantastique avec 15 annexes très longues). Le mot d'ordre, la simplicité ! J'aurais donc besoin d'aide pour la rédaction, je ne dis pas non pour le codage pour que ça aille plus vite tout simplement et surtout, il y aura tout ce qui est tâche administrative. N'hésitez pas à me contacter par mp si vous souhaitez vous lancer dans l'aventure avec moi.
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nvminnd · 1 year
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Je me suis pas mal demandé pourquoi Loth traite si mal Galessin alors qu'il est loin d'être le plus branquignol
Du coup j'ai une théorie/analyse à vous proposer ☕️
Et si Loth était parfaitement conscient du potentiel de Galessin, et qu'il faisait exprès de lui rentrer dans le crâne qu'il est le dernier des débiles, pour briser toute confiance qu'il pourrait avoir en lui-même ?
Comme le fait remarquer le subconscient d'Arthur dans je sais plus quel épisode, à force de répéter à quelqu'un qu'il est nul/débile/incompétant/incapable, la personne finit souvent par le croire.
Loth attribue alors toutes sortes d'adjectifs rarement justifiés à Galessin, pour qu'il finisse par se persuader qu'il est effictivement cette personne qui n'a pas inventé le plat de la main morte.
Et si rabaisser Galessin était un moyen pour Loth de s'assurer qu'il reste de son côté, pour briser son vrai potentiel et en faire un simple sous-fifre qui ne se sent pas suffisement capable pour s'extirper de son train de vie de noix de saint jacques ?
Surtout que les remarques de Galessin sont souvent assez pertinentes, je pense par exemple à sa fameuse métaphore avec le fromage gratiné, elle est bien plus censée que toutes les citations approximatives de Loth. Ça ne serait alors pas surprenant que Loth cherche surtout à le rabaisser pour être certain de ne pas se faire surpasser, ou pire, renversé. (Ça me fait un peu penser à Regina et Gretchen dans Mean Girls 🤷‍♀️)
À force, Galessin devient totallement apathique, n'a plus aucune volonté de se défendre, parce qu'à quoi bon ? Tout ce qu'il veut, c'est éviter une nouvelle humiliation, et pour ce faire, il obéit sans broncher...
La relation Loth/Galessin serait l'inverse de celle d'Arthur et Perceval, dans le sens où Loth est face à quelqu'un de pas trop mauvais qu'il rabaisse pour le garder près de lui, alors qu'Arthur est face à quelqu'un de moins débrouillard, mais qu'il cherche à tirer vers le haut pour finallement s'émanciper.
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Le Langage “Poilu”.
“(…) Vous savez que la tête ou trognon se coiffe d'un képi, dit kébrock, pot de fleurs.  Le buste du poilu, la partie de son corps qui contient l'estomac et les entrailles, qui est par conséquent le réceptacle de la nourriture, se nomme pour ce motif: coffre, bide, buffet, lampe. Rien ne fait plaisir comme de s'en flanquer plein la lampe.  Le poilu met ses jambes, ses quilles, ses pattes, ses harpions, son compas, dans un objet appelé par certains pantalon, mais par lui: falzar, frandar, froc, fourreau, grimpant. On voit le geste de l'homme qui s'habille…
A ses pieds, panards, ripalons, il enfile des godillots ou, si vous préférez, des godasses, des grôles, des croquenots, des ribouis, des péniches, des chaussettes à clous, des pompes (à l'usage de l'eau des tranchées, probablement).  Tout le monde connaît Azor, le sac; Mlle Lebel, le fusil, et Rosalie, la baïonnette, trois fidèles amis du trouflon.
Le temps où le poilu se couchait dans un lit, appelé pajot ou plumard, en raison sans doute de l'absence de plumes dans la literie, est maintenant passé. Il dort (quand il dort, et alors il pionce, il roupille, il en écrase) sur la terre, heureux d'avoir de temps en temps un peu de paille en guise de drap ou de sac à viande. Au repos, en arrière, il trouve quelquefois un lit: quelle joie, quelle nouba. Quelle foire! Mais la chose est rare depuis que le poilu habite la tranchée et ses gourbis, ses cagnas, ses calebasses.  Sa grande préoccupation est alors de défendre sa peau. Car il reçoit des visites peu agréables: les gros noire, les marmites, les wagons-lits, les trains de wagons-lits, s'il y en a plusieurs, le métro.. Que sais-je encore? C'est alors que retentissent les:
« Planquez-vous! » Les poilus s'aplatissent sur le sol sans s'émouvoir: faut pas s'en faire! A quoi bon avoir les foies blancs, verts ou tricolores, en d'autres termes, avoir peur? On n'est pas une bleusaille!  Et quand résonne l'éclatement formidable du 105 ou du 120, le poilu apprécie d'un air amusé: C'est un pepère… un maous… un pépère-maous. De petits bourdonnements se font entendre: ce sont les éclats nommés mouches à miel, abeilles (ces qualilicatifs étant d'ailleurs communs aux balles) qui, heurtant un obstacle, cessent brusquement leur ronronnement.
Aussi, on est brave; on en a dans le ventre; on est blessé, attigé, amoché; on meurt, cela s'appelle être occis, clamecé, claboté,bousillé, zigouillé. II en tombe beaucoup, surtout à la charge à la a baïonnette, quand on va à la fourchette.  Notez enfin un autre petit inconvénient de la vie des tranchées. Ces cochons de Boches ont amené avec eux, laissés en liberté, une multitude d'insectes parasites, parmi lesquels on doit signaler, en raison de leur nombre et de leur universelle renommée, les poux, totos ou gos, petites bêtes blanches aux pattes agiles, appelées aussi pour ce motif mies de pain mécaniques… Et je vous assure que pour s'en débarrasser on a bien de da peine: quel boulot !
Ce sont là les ennuis d'un métier qui réserve, par contre, d'agréables moments. La soupe, par exemple… Il faut avoir vécu au front pour être capable de comprendre l'enthousiasme de l'accueil fait à l'homme sale que la guerre a révélé cuisinier, "Ah! te v'ià, l'cuistot! Eh bien! ça va, à la cuistance? Dis donc… vieux, qu'est-ce que tu nous apportes à becqueter?” Le cuisinier, louche en main, procède alors à la distribution. Chacun tend sa galetouse, lisez gamelle, et reçoit sa portion de rata: bidoche ou barbaque cuite avec patates, faillots ou riz. Avec cela, un quart de boule (pain ou bricheton) et de temps en temps, un morceau de frometon ou fromgi (fromage).
Seulement, il arrive parfois que, pour divers motifs, la soupe ne vient pas: attaques, changements imprévus de secteur, culbute du cuisinier et de sa becquetance sous la rafale des obus. Philosophiquement, en s'accompagnant d'un geste des mains qui esquissent un nœud imaginaire sur le ventre, le poilu se met la tringle ou la corde, serre un cran à la ceinture, ou, par antithèse, il se bombe. Et il le fait sans trop se plaindre - rouspéter ou rouscailler, - se réservant d'ailleurs de se tasser une boîte de singe.  Mais quelle n'est pas sa joie lorsqu'il peut se rassasier à son aise, se taper la tête ou la cloche, s'en mettre plein le col, plein le cornet!  Le comble du bien-être est atteint quand paraît le vin, le pinard tant désiré. On ne l'a plus, comme autrefois, en litre, en kil; on en touche - et encore!… - un quart. Sinon, au cas où le pinard a fait le mur, on se contente d'eau dite flotte ou lance. Puis vient le traditionnel jus, dont on ne se passerait pas pour un empire. De temps en temps, enfin, on distribue de l'eau-de-vie: la goutte, la gniole, le criq, le j'te connais bien. Mais généralement le poilu voit là un signe avant-coureur d'une attaque. Alors, malgré le plaisir de l'absorption, il trouve que ça la f…iche mal! Il eût préféré déguster en paix, que diable!
Ce plaisir de la soupe s'adresse à ce qu'Aristole appellerait l'âme inférieure. Il en est un autre d'une essence supérieure: celui de recevoir des lettres. Les babillardes sont toujours bienvenues: celles des parents, des vieux; des frères et sœurs, frangins et frangines; des amis, des copains, des connaissances restées au pays; des parrains et marraines de guerre. Souvent aussi on y trouve de quoi garnir son porte-monnaie Les yeux du poilu, ses mirettes, s'illuminent lorsqu'il voit son morling se remplir de ronds, de balles, de tunes. Bienheureux ceux qui ont du pognon, du pèse !“
Maurice Barrès
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lifextime · 1 year
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50 anecdotes sur "The Lady" (01/02)
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Un nouvel article sur un personnage entouré de mystère, j'ai nommée " The Lady" ou " La Dame". Pour faire un petit brief, The Lady est l'un des personnages clés du jeu Little Nightmares. Il existe de nombreuses interprétations de ce personnage énigmatique, nous allons décortiqués plus de 50 points mystérieux sur ce personnage. Cet article peut contenir de nombreux spoilers.
Partie 01/02 | voir la partie 02
The Lady est l'un des personnages centraux de Little Nightmares. Elle est souvent considérée comme l'antagoniste principal du jeu.
Le visage de The Lady est caché derrière son masque, ce qui crée une aura de mystère autour de son identité et de ses motivations.
The Lady est considérée comme le chef du Maw, le navire étrange dans lequel se déroule l'histoire du jeu. ( on en parlera dans un autre article)
Elle est obsédée par sa propre apparence et par l'entretien de la perfection esthétique du Maw.
The Lady est décrite comme étant très puissante et influente, ayant un contrôle absolu sur le fonctionnement du Maw et sur les autres personnages qui y vivent.
On suppose que The Lady est motivée par la peur de perdre sa beauté et sa jeunesse, ce qui la pousse à prendre des mesures extrêmes pour préserver son apparence.
Certains joueurs ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait représenter une métaphore de la vanité et de l'obsession pour l'image de soi.
Dans le DLC "The Residence" de "Secrets of the Maw", les joueurs peuvent en apprendre davantage sur le passé et l'histoire personnelle de The Lady, révélant des éléments troublants sur sa vie antérieure.
The Lady est connue pour sa cruauté envers les autres personnages du jeu, notamment envers Six, le protagoniste principal.
Elle utilise les autres habitants du Maw pour servir ses propres intérêts, les réduisant souvent à l'état de marionnettes dociles.
The Lady possède un pouvoir de contrôle mental, qui lui permet de manipuler les autres personnages et de les forcer à obéir à ses ordres.
Malgré son apparence fragile et délicate, The Lady est capable de se défendre et de se montrer dangereuse lorsqu'elle est menacée.
The Lady entretient une relation ambiguë avec Six, oscillant entre moments de gentillesse feinte et de violence sourde.
Son obsession pour l'apparence et la perfection peut être interprétée comme une critique de la société qui valorise l'image et la superficialité.
The Lady est un personnage complexe qui suscite souvent des réactions mitigées chez les joueurs, oscillant entre fascination et répulsion.
Sa présence dans le jeu ajoute une dimension psychologique et émotionnelle, explorant des thèmes tels que la manipulation, le pouvoir et la quête de l'immortalité.
The Lady représente également la quête vaine de contrôle total sur un monde qui échappe finalement à toute emprise.
Son masque pâle peut être interprété comme un symbole de l'anonymat et de l'autorité impersonnelle.
Certains fans ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait être inspirée par des figures mythologiques telles que la déesse grecque Hécate, associée à la sorcellerie et aux mystères.
Son domaine, connu sous le nom de "The Lair" (le repaire), est un endroit sombre et labyrinthique, reflétant son esprit tortueux et manipulateur.
The Lady possède une horloge mécanique qui joue un rôle important dans l'intrigue du jeu, symbolisant peut-être le temps qui lui échappe et la futilité de sa quête de jeunesse éternelle.
Son obsession pour la perfection esthétique et sa volonté de maintenir l'ordre dans le Maw peuvent être interprétées comme une métaphore de la peur du chaos et du déclin.
The Lady est l'un des personnages les plus emblématiques de la franchise Little Nightmares, avec une présence marquante malgré son silence presque total.
Sa relation complexe avec Six est l'un des éléments clés de l'histoire, suscitant de nombreuses spéculations et interprétations de la part des fans.
The Lady est également présente dans le jeu Little Nightmares II, bien que son rôle y soit différent de celui du premier jeu. (un petit easter egg bien caché)
Certains joueurs ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait représenter une métaphore du pouvoir tyrannique et de l'oppression qui règnent dans le monde réel.
Son design distinctif, avec sa silhouette élégante et son masque énigmatique, en fait l'un des personnages les plus reconnaissables de la franchise.
The Lady incarne la dualité entre beauté et monstruosité, soulignant les contradictions inhérentes à la nature humaine et les conséquences de la recherche excessive de perfection.
Certains fans ont émis des théories selon lesquelles The Lady représenterait la société ou l'élite dirigeante, exploitant les plus faibles pour maintenir leur propre statut et privilèges.
Son rôle en tant que gardienne du Maw et son obsession pour la beauté peuvent être interprétés comme une métaphore de la société consumériste qui privilégie l'apparence extérieure au détriment de la compassion et de la véritable humanité.
Malgré son apparence immaculée, The Lady est en réalité en proie à une profonde solitude et à un vide intérieur, ce qui peut susciter une certaine compassion ou compréhension chez les joueurs.
Certains joueurs ont interprété The Lady comme un symbole de la mort, du passage du temps et de la futilité de lutter contre ces inéluctables réalités de la vie.
The Lady est connue pour sa voix douce et mélodieuse, ce qui crée un contraste frappant avec ses actes cruels et son comportement manipulateur.
Certains fans ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait être une métaphore de l'archétype de la mère destructrice, représentant la figure maternelle toxique et étouffante.
Sa relation avec Six est complexe et ambiguë, avec des moments de tendresse apparente et de manipulation émotionnelle, créant un lien troublant entre les deux personnages.
The Lady est souvent considérée comme le dernier obstacle que Six doit surmonter pour trouver sa propre liberté et échapper aux horreurs du Maw.
Certains joueurs ont souligné la dualité de The Lady, oscillant entre un personnage effrayant et tyrannique et une victime de ses propres obsessions et peurs.
Les développeurs de Little Nightmares ont intentionnellement laissé certaines zones d'ombre autour de The Lady, permettant aux joueurs de spéculer sur ses motivations et son histoire personnelle.
Certains joueurs ont émis l'hypothèse que The Lady pourrait représenter l'aspect sombre de la féminité, brisant les stéréotypes traditionnels et explorant les facettes complexes et parfois terrifiantes de la féminité.
Son masque pâle et son apparence élégante pourraient être interprétés comme une représentation de la façade que les individus construisent pour cacher leur véritable nature et leurs intentions.
The Lady est souvent considérée comme un personnage emblématique de l'horreur psychologique, jouant sur les peurs profondes de l'isolement, de la manipulation et de la perte de soi.
Certains joueurs ont souligné la ressemblance entre The Lady et des figures de la noblesse ou de l'aristocratie, représentant une classe dominante qui utilise son pouvoir pour maintenir l'ordre et la hiérarchie sociale.
Son obsession pour la beauté et la jeunesse éternelle peut être interprétée comme une critique de la pression sociale exercée sur les femmes pour correspondre à des normes irréalistes de beauté.
The Lady est souvent représentée dans des poses gracieuses et théâtrales, renforçant son image de figure dominante et contrôlante.
Certains joueurs ont remarqué des parallèles entre The Lady et des figures mythiques telles que la reine des contes de fées ou la sorcière maléfique, représentant le pouvoir corrompu et la cruauté.
Son domaine, le "Lair", est un endroit oppressant et austère, rempli de symboles de son autorité et de sa domination, tels que des portraits d'elle-même et des sculptures à son effigie.
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kachmedcom · 11 months
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Apprenez à vous défendre et à vous protéger
Apprenez à vous défendre et à vous protéger Vous vous sentez en insécurité ? Vous avez peur d'être agressée ? Vous voulez apprendre à vous défendre et à vous protéger ? Si oui, alors ce programme de self défense féminine est fait pour vous !
Vous vous sentez en insécurité ? Vous avez peur d’être agressée ? Vous voulez apprendre à vous défendre et à vous protéger ?Si oui, alors ce programme de self défense féminine est fait pour vous !Dans ce programme, vous apprendrez les techniques essentielles pour vous protéger en cas d’agression. Vous apprendrez à :. Éviter les situations à risque. Se défendre contre une agression physique. Se…
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multiplesouls · 2 years
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Explication simple et "rapide" du Trouble Dissociatif de l'Identité (TDI) 💭
Pour ceux qui seraient un peu perdus dans mes futurs posts, voici une explication très brève (non).
Le Trouble Dissociatif de l'Identité, le TDI, est un trouble mental qui se forme à la suite d'un ou de plusieurs traumatismes avant la phase d'intégration (généralement avant 10 ans). Il est caractérisé par la présence d'au moins deux identités alternantes, plus communément appelées "alters", par de l'amnésie et de la dissociation.
Chaque critère peut se manifester de plusieurs façons, (liste non exhaustive)
● L'amnésie ne concerne pas que les blackouts, elle peut se présenter par un oubli d'une grande partie de l'enfance ou de l'adolescence, de certains événements marquants, des oublis quotidiens (+ grave que la moyenne) ou autobiographiques (prénom, âge...). Le souvenir d'un moment passé peut aussi être plus ou moins clair mais en ayant oublié les sentiments/émotions liés à celui-ci.
● Concernant la dissociation, nombreuses sont les formes d'expression. Ça peut passer par la dépersonnalisation (sentiment d'être détaché de soi), la déréalisation (sentiment d'être détaché du monde extérieur), ne pas être sûr de savoir qui nous sommes ou si un souvenir est réellement arrivé, ne plus rien ressentir, fixer le vide pendant un certain lapse de temps ou encore se "réveiller" dans un endroit inconnu ou sans savoir comment nous y sommes arrivés.
● Les alters sont un sujet beaucoup plus complexe. Chaque alter est là pour une raison mais n'ont pas forcément de rôle à proprement parlé. Dans tous les cas, peu importe le pourquoi du comment ils sont là, ils sont tous valides.
Je vous mets une liste des rôles les plus communs :
L'hôte, l'alter qui est le plus souvent au front (aux commandes) lorsque tout va bien et qui gère la vie quotidienne. Il peut ne pas y avoir d'hôte ou au contraire, plusieurs, qui gèrent une ou plusieurs parties du quotidien.
Le protecteur, comme son nom l'indique, il protège, ça peut être le système (l'ensemble des alters), un ou plusieurs alters spécifiques ou le corps.
Le persécuteur, lui aussi protège mais...à sa façon. Généralement, un persécuteur est un alter qui peut se montrer agressif envers le système, envers lui-même ou envers le monde extérieur. (A retenir que ce ne sont pas des tueurs pour autant, les persécuteurs sont souvent rongés par des traumatismes et agissent dans le but de (se) défendre). Au fil du temps et de l'apaisement, beaucoup deviennent des protecteurs.
L'alter social, tout est indiqué, c'est un alter qui s'occupe de la vie sociale, mais ce n'est pas pour autant l'identité la plus à l'aise du monde, beaucoup sont simplement acceptable socialement voir anxieux.
L'alter s xuel, un alter qui porte des traumatismes liés à cet aspect, il est souvent hypers xuel mais pas toujours, certains peuvent être as xuel ou non. Dans la majorité des cas, un alter s xuel est un porteur de traumatisme, un protecteur ou un persécuteur.
Le gatekeeper, un alter capable de gérer les switches (changement d'alter au front), l'entrée au monde intérieur (innerworld), l'accès à certains souvenirs ou aux sous-systèmes (le système d'un alter).
Le caretaker ou caregiver, deux rôles dans un, un caretaker peut prendre soin d'un alter spécifique ou de plusieurs ou plutôt prendre soin du corps ou des personnes extérieurs, il peut faire les deux à la fois également.
Le trauma holder, ou porteur de traumatisme, il garde les souvenirs traumatiques pour que certains alters ou l'entièreté du système reste fonctionnel. Souvent, les trauma holders revivent ces traumas et sont rongés par eux.
L'internal self helper, un alter qui aide intérieurement, il a généralement une bonne connaissance des alters dans le système.
Mais il existe aussi les uplifters, les memory holders et pleins d'autres, chaque système à son propre fonctionnement et il n'est pas nécessaire de catégoriser les alters dans leurs rôles, pouvoir mettre un nom sur le rôle d'un alter peut donner des réponses et servir à décrire mais il ne faut pas les ranger dans une case précise.
Restons dans le domaine des alters et parlons des "types",
L'alter humain, besoin de précision ? Bon, un alter peut tout à fait être humain avec ou non l'âge du corps, avec ou non le prénom du corps, avec ou non le même genre du corps, bref, un alter humain.
L'alter non-humain, un alter ayant l'apparence et/ou qui s'identifie à une créature fantastique (ange, démon, dragon, sirène, vampire...), à un animal ou encore un hybride. (A savoir qu'un alter non-humain dans un corps humain peut être compliqué à gérer pour lui)
L'introject, un alter à l'image d'une personne réelle (factif) ou à l'image d'un personnage de fiction (fictif). Il peut être exactement à l'image de la personne ou du personnage, en être totalement déconnecté, s'en éloigné avec le temps ou bien n'avoir que certaines caractéristiques
Le little, littéralement un alter enfant. Toutefois, il se peut qu'un little n'agisse pas complétement ou pas du tout comme un enfant, mais c'est pas pour autant qu'il ne faut pas assurer leur sécurité, ils restent des enfants.
L'ageslider, un alter qui change d'âge, ils ont généralement plusieurs âges (plus au moins précis) "enregistrés" et peuvent changer entre ceux-ci.
L'alter robot, un alter à l'image de la dissociation.
L'alter fantôme, un alter lié à des traumatismes qui auraient pu être mortels ou lorsque l'alter au front se voyait déjà mort.
Et le fragment, ce n'est pas un alter à proprement parlé mais un ou des morceaux d'identité. Il peut être consacré à une tâche précise, un sentiment, une émotion ou un souvenir. Ceci dit, certains fragments peuvent être plus développés et être un alter moins "formé" que les autres.
Mais retenez qu'un type n'empêche pas un rôle. Un introject peut être un hôte, un alter non-humain peut être un protecteur, un little peut être un persécuteur...etc.
Petite précision avant de conclure :
Les introjects sont souvent sujet au débat pour de mauvaises raisons. Retenez que dans le cas du TDI (et de l'ATDS (l'Autre Trouble Dissociatif Spécifié)), le cerveau fait comme il peut pour survivre et cherche quelque chose ou quelqu'un à qui s'identifier. Il est donc normal que le cerveau prenne l'image d'une personne réelle ou d'un personnage fictif pour le faire.
Ils se sentent souvent beaucoup moins légitime que les autres et recevoir des remarques sur le fait que "c'est n'importe quoi" peut empirer leur situation, ce sont des alters comme les autres, eux aussi sont des survivants et méritent d'être reconnus comme il se doit.
Ils peuvent être à l'image d'une personne de leur famille, d'un de leurs amis, d'une célébrité ou de leur abuseur ou à l'image d'un personnage d'une série, d'un film, d'un jeu vidéo, d'un livre ou d'un dessin animé,
Alors oui, même si ils sont à l'image d'un personnage d'un jeu, film, série populaire, ils sont valides.
BREF, conclusion.
Le TDI est un trouble à l'origine d'un ou de plusieurs traumas, ce ne sont pas des tueurs, ce sont des victimes.
Sachez que, généralement, les personnes atteintes d'un trouble mental (ou +) sont des survivants, ils méritent enfin le calme et une vie sécurisée, alors s'il vous plait, soyez toujours respectueux et arrêtez de chercher qui fake et qui ne fake pas, ça empire plus que ça ne guérit et ça n'apporte rien à personne.
Ne demandez pas à une personne atteinte de switch avec un autre alter parce que c'est fascinant ou parce que vous n'aimez pas l'alter au front et ne leur demandez pas de vous raconter leurs traumas ou de vous faire une liste de leurs triggers. Ne leur dîtes pas non plus que vous n'avez jamais rien vu, qu'elle n'a pas tant d'amnésie que ça ou que les alters de son système sont trop différents ou trop ressemblants pour être vrais.
Ce trouble se cache, autant à vous qu'à ceux atteints. Rajouter ces remarques c'est leur faire faire un pas en arrière dans leur prise de conscience ou leur légitimité. Dire à un alter que vous ne l'aimez pas risque de lui faire beaucoup de mal, même cas quand vous faîtes une liste de vos "alters préférés".
Si une personne vous fait son coming-out, c'est qu'elle a suffisamment confiance en vous pour se sentir en sécurité à vos côtés, ne la rejetez pas...Soyez à l'écoute et demandez lui ce qui peut la mettre à l'aise. Ça peut être une situation très stressante pour cette personne, retenez le.
Bref, surtout, croyez en vous, et si vous ne pouvez pas, alors je le ferais à votre place.
Vous êtes légitimes, vous êtes valides.
Cleo with ?, Multiple souls
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yes-bernie-stuff · 2 days
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Job
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Jeudi 19 septembre 2024 Les avocats de Dieu
« …prétendez-vous défendre la cause de Dieu ? Et sera-ce à votre avantage s’Il sonde vos pensées ? » Jb 13. 8-9
Qui peut prétendre défendre le Tout Puissant ? Qui oserait Le remplacer pour prendre Sa cause en main en toute partialité ? Les « amis » de Job se sont permis cette audace et se sont fait Ses avocats. Cependant, Job leur demanda à juste titre si cela serait à leur avantage si l’Eternel sondait leurs pensées. En effet, ces « braves » personnes se vouèrent à défendre la cause de Dieu – du moins, c’est ce qu’elles pensaient -, et pourtant les trois hommes durent au final s’incliner devant l’intervention du Créateur qui leur repprocha de ne pas avoir été justes dans leurs propos et de ne pas avoir parlé de Lui avec droiture (Jb 42. 7). Comme les « bons religieux » qui s’opposaient sans cesse à Jésus durant Son ministère pour « défendre la cause de Dieu », les « amis » de Job déshonorèrent le Seigneur en s’acharnant à « protéger Ses intérêts ». Cette histoire biblique doit nous inciter à prendre garde aux positions que nous pouvons adopter devant les autres pour « défendre la cause de l’Eternel ». En effet, comment oserions-nous nous accaparer le « grade » d’avocat de Dieu, nous qui ne sommes qu’humains, et comment parler de Lui avec sagesse en ayant des « conflits d’intérêts » avec nos propres pensées et idéologies sur Sa personne, comme si nous connaissions Son cœur et étions capables de Le sonder ? Aurions-nous la possibilité d’être partiaux en Sa faveur (Jb 42. 8) ? Sachons donc « redescendre d’un cran » et apprendre à suivre l’exemple de Jésus avant de tenter de nous présenter en avocat de Dieu. Ne prenons pas ce mauvais chemin en risquant à coup sûr de mélanger nos croyances à la pureté de Son cœur. Il ne manquerait pas de nous le reprocher (Jb 13. 10), et cela ne serait pas à notre avantage. Acquérons la sagesse pour rester humbles sans prétendre être capables de sonder Son cœur par nos propos.
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christophe76460 · 2 days
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"...prétendez-vous défendre la cause de Dieu ? Et sera-ce à votre avantage s'Il sonde vos pensées ?" Jb 13. 8-9
Qui peut prétendre défendre le Tout Puissant ? Qui oserait Le remplacer pour prendre Sa cause en main en toute partialité ? Les "amis" de Job se sont permis cette audace et se sont fait Ses avocats. Cependant, Job leur demanda à juste titre si cela serait à leur avantage si l'Eternel sondait leurs pensées. En effet, ces "braves" personnes se vouèrent à défendre la cause de Dieu - du moins, c'est ce qu'elles pensaient -, et pourtant les trois hommes durent au final s'incliner devant l'intervention du Créateur qui leur repprocha de ne pas avoir été justes dans leurs propos et de ne pas avoir parlé de Lui avec droiture (Jb 42. 7). Comme les "bons religieux" qui s'opposaient sans cesse à Jésus durant Son ministère pour "défendre la cause de Dieu", les "amis" de Job déshonorèrent le Seigneur en s'acharnant à "protéger Ses intérêts". Cette histoire biblique doit nous inciter à prendre garde aux positions que nous pouvons adopter devant les autres pour "défendre la cause de l'Eternel". En effet, comment oserions-nous nous accaparer le "grade" d'avocat de Dieu, nous qui ne sommes qu'humains, et comment parler de Lui avec sagesse en ayant des "conflits d'intérêts" avec nos propres pensées et idéologies sur Sa personne, comme si nous connaissions Son cœur et étions capables de Le sonder ? Aurions-nous la possibilité d'être partiaux en Sa faveur (Jb 42. 8) ? Sachons donc "redescendre d'un cran" et apprendre à suivre l'exemple de Jésus avant de tenter de nous présenter en avocat de Dieu. Ne prenons pas ce mauvais chemin en risquant à coup sûr de mélanger nos croyances à la pureté de Son cœur. Il ne manquerait pas de nous le reprocher (Jb 13. 10), et cela ne serait pas à notre avantage. Acquérons la sagesse pour rester humbles sans prétendre être capables de sonder Son cœur par nos propos.
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childrenofmoonlight · 2 months
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Humains
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De nombreux peuples, magiques ou non, vivent et s’épanouissent dans les terres de Mag Síorghlas. Les créatures et êtres magiques y sont foisonnants, ainsi que des animaux fabuleux et une flore remarquable. Pourtant, le peuple le plus nombreux est aussi celui qui ne possède aucune magie : les Humains. Si ce peuple est dénué de magie, ce n’est pas pour autant qu’ils sont faibles. Considérés comme des guerriers et des conquérants, il a été prouvé à maintes reprises que rien n'arrête les Humains lorsqu'ils veulent quelque chose.
Les caractéristiques principales des Humains sont avant tout une constitution remarquable, les rendant beaucoup plus résistants que les autres peuples. Leur longévité tourne autour des 100 ans, bien que pour beaucoup de roturiers, cette espérance de vie est généralement de 60 ans. Les Humains sont capables de s'adapter à tous les climats existants et de se développer partout dans le monde, contrairement aux peuples magiques moins résistants. Qui plus est, leur faculté à voyager et à couvrir de longues distances est inégalée au sein des autres peuples.
Bien entendu, si ils sont résistants, les Humains ne sont pas tout puissants. Dépourvus de magie, ils n'ont aucun moyen d'utiliser cette énergie, même si certains essaient encore et toujours. Ils sont généralement très sensibles aux énergies magiques et peuvent développer ce qu'on appelle le "mal de la magie", qui consiste en une exposition trop importante à cette énergie et fera peu à peu dépérir le corps.
Les Humains sont les plus nombreux mais surtout les détenteurs du pouvoir, que ce soit à Mag Síorghlas ou ailleurs. Les lignées dirigeantes sont puissantes et ancrées depuis longtemps dans les pays qu'elles dirigent, ne souffrant aucune contestation de la part des peuples et créatures magiques. Qui plus est, la plupart des grands pays connus possèdent une armée pour se défendre en cas de besoin.
La langue principale parlée par les humains est la langue commune, que l'on retrouve un peu partout dans le monde. Il existe cependant divers patois locaux, dérivés des langues qui se trouvaient à Mag Síorghlas avant la domination de la langue commune. Certains Humains parlent également la langue antique, le Diadha, notamment les habitants de l'île Oileáin Dragain.
Fait remarquable concernant les Humains de Mag Síorghlas, certaines lignées sont capables de s'approcher et dompter des créatures magiques autrement sauvages. On compte 5 grandes lignées dans 5 régions de Mag Síorghlas capables de dompter des bêtes sauvages et de s'en servir pour divers usages :
Les Davtyan et leurs cousins les Drakht sur l'île de Oileáin Dragain sont connus pour être capables de former un lien avec les puissants dragons et de les chevaucher.
Les Oathkeeper de Tachdadh sont les seuls à pouvoir chevaucher les cerfs géants, ou Cernunnos, de leur région.
Les Muirmara, chefs des îles Fiacla Dubha, sont très connus pour leur faculté à dompter les serpents de mer et s'en servir de gardiens.
Les Songsteel des Winterlands ont la faculté d'apprivoiser et parfois chevaucher les loups géants qui s'épanouissent dans le nord.
Les Iolarri vivant sur l'île Ísealchríocha sont capables de former un lien avec les griffons et de les chevaucher.
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didierleclair · 3 months
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UNE ODEUR COUPABLE
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Le roman de Philippe Claudel, L’archipel du chien, Stock, 2018 est d’actualité. Il est question de migrants clandestins et d’odeur coupable. L’histoire est simple et les scènes sont construites avec dextérité.
On est sur une île dont les contours géographiques donnent l’apparence d’un chien tous crocs dehors. Il y a les notables : docteur, maire, instituteur, curé et deux hommes à tout faire, des pêcheurs. L’île est dominée par un volcan, le Brau, qui est toussoteux et rappelle son existence tous les jours aux paysans et pêcheurs qui tentent de l’ignorer. Il y va de grognements, de quelques secousses mais pas d’éruption.
L’île ne produit rien de substantiel. On y cultive seulement des vignes, des oliveraies, des vergers de câpriers. Cela dit, le maire et le docteur travaillent sur un projet de complexe hôtelier. Ils comptent sur les eaux thermiques des lieux pour attirer les touristes et redonner vie à un lieu qui est à l’agonie. En effet, les jeunes de l’archipel du chien quittent dès l’âge adulte pour chercher du travail sur le continent et ne reviennent jamais.
Cet archipel qui pourrait être français, espagnol ou autre est le théâtre d’un drame contemporain. Trois corps d’Africains échouent sur la plage de ce lieu presque en dehors du temps. Que faire ? L’institutrice à la retraite qui promenait son chien sur la plage décide d’appeler le maire pour qu’il décide de la suite.
Philippe Claudel noue une intrigue ressemblant quelque peu à un roman policier sans en être un. Certes, il y a mort d’hommes mais la cause semble en tout apparence la noyade. Le maire et ses comparses se mettent d’accord d’enterrer en cachette les « nègres » pour utiliser le terme du curé afin d’éviter de nuire au projet de complexe hôtelier.
La seule voix discordante est celle de l’instituteur. Il réclame la venue de policiers et d’un juge pour mener une enquête et aller au bout de cette affaire. Contrarié, le maire déclare être l’autorité capable de décider du sort de ces Noirs. Son ami, le docteur, a conclu après un examen rapide des corps, qu’il n’y a aucun signe de mort suspecte : les Africains ont été des victimes de la mer.
On enfouit les trois corps dans un des trous brûlants proches du volcan sans autre forme de procès. L’auteur, avec patience et ténacité, nous révèle la connivence des notables à faire disparaître cet événement fâcheux de leur vie quotidienne. Il n’y a que l’instituteur mû par une conscience morale inflexible qui va exprimer sa désapprobation.
Il finit par causer des soucis au maire qui se demande comment l’empêcher de fouiner. Puis, Philippe Claudel met en scène un commissaire. Qui le fait venir ? Personne ne sait vraiment. Il est là, c’est l’essentiel.
L’homme boit beaucoup sans montrer de défaillances dans son raisonnement. Il sort des photos satellitaires révélant des images compromettantes. On y voit les notables de l’île en train de jeter, avec l’aide des pêcheurs, les trois corps des Africains dans un orifice volcanique.
Le maire se sent cerné comme un animal sur le point d’être piégé. L’instituteur, par contre, se réjouit de la venue d’un commissaire et annonce au maire qu’il compte faire un compte rendu détaillé de ce qu’il sait sur l’affaire des Africains.
Entretemps, une odeur pestilentielle envahit toute la communauté. Les corps pourrissants réclament justice et convoquent les charognards affamés autour du cratère où ils sont lâchés dans les méandres de la terre.
Pour empêcher de faire sortir la vérité au grand jour, le maire fomente une affaire de pédophilie contre l’instituteur qui cause de grands remous. Le commissaire va confronter l’instituteur à la suite de ces accusations. L’accusé, enfermé dans une pièce, perd rapidement le contrôle de la situation au point de ne plus savoir se défendre et prouver son innocence.
C’est ici que Philippe Claudel décide de détricoter son histoire. Il nous apprend que le commissaire n’en est pas un, juste un envoyé des investisseurs hôteliers inquiets de la façon dont le maire a enterré les Africains. Il n’y aura donc aucune accusation formelle contre les notables.
Ensuite, le maire et le docteur décident de libérer l’instituteur en prétextant une erreur dans les accusations de pédophilie. Mais l’instituteur est mort dans la pièce qui lui servait de cellule de détention, asphyxié au monoxyde de carbone. S’est-il tué ou a-t-il bloqué sa fenêtre pour ne plus entendre les cris de haine des paysans mobilisés contre lui ? Il n’y a aucune réponse à ce sujet.
L’auteur écrit ensuite : « Il fallut quelques jours pour qu’on parvienne à recommencer à faire semblant. À tenter de reprendre le cours ordinaire des choses. Chacun refit les gestes qu’il savait faire. On échangea des propos sans importance. On ne reparla plus de l’Instituteur, même si on y pensait sans cesse (…) »
Désormais, une malédiction s’est abattue sur l’archipel. Les marins reviennent bredouilles après dix jours de pêche, le docteur se déplace désormais avec un mouchoir sous le nez à cause de l’odeur nauséabonde des cadavres qu’il sent pour toujours et le maire a vieilli du jour au lendemain n’ayant plus que la peau sur les os.
Dans ce récit, tous les innocents meurent : les trois Africains et l’instituteur. Quant aux coupables, ils macèrent dans une eau saumâtre de culpabilité morale.
Les personnages mercantiles, racistes et pleutres sont condamnés à humer leur lâcheté comme l’odeur rance d’un péché jamais expié.
Philippe Claudel ne se fait ni juge, ni complice. Il renvoie chaque personnage à sa conscience, même ceux qui n’en ont aucune.
La disparition du faux commissaire est un tour de passe-passe qui permet d’éviter de rendre des comptes à la justice. C’est le seul incident fâcheux de l’histoire. Certains lecteurs auraient préféré qu’un vrai juge d’instruction se saisisse de l’affaire.
Philippe Claudel nous avertit dès le début du livre : « Je suis le gêneur. Je suis celui à qui rien n’échappe. Je vois tout. Je sais tout. Mais je ne suis rien et j’entends bien le rester. Ni homme ni femme. Je suis la voix, simplement. C’est de l’ombre que je vous dirai l’histoire. »
Un narrateur dans l’ombre raconte les crimes impunis des temps modernes. Il ne peut se résoudre à condamner ses concitoyens. Après tout, il vit probablement dans l’archipel. Il est possible que l’instituteur fut le sien, que le docteur l’ait vu grandir.
Ce récit est beau et réaliste, la plume est élégante, précise. Nous avons droit à un faux commissaire, un instituteur juste, un curé raciste, un docteur lâche et un maire affairiste. Philippe Claudel aurait pu inverser les rôles. Ce sont des humains, c’est tout.
Pour Philippe Claudel, la prison est l’archipel en forme de chien, tous crocs dehors.
Didier Leclair, écrivain.
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