#se sentir en sécurité
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Apprenez à vous défendre et à vous protéger
Vous vous sentez en insécurité ? Vous avez peur d'être agressée ? Vous voulez apprendre à vous défendre et à vous protéger ? Si oui, alors ce programme de self défense féminine est fait pour vous ! Dans ce programme, vous apprendrez les techniques essentielles pour vous protéger en cas d'agression. Vous apprendrez à : . Éviter les situations à risque . Se défendre contre une agression physique . Se défendre contre une agression sexuelle Alors, ne laissez pas la peur vous empêcher de vivre votre vie pleinement. Apprenez à vous défendre et à vous protéger avec ce programme de self défense féminine. Inscrivez-vous dès aujourd'hui et apprenez à vous défendre !
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" elle n'a pas besoin de beaucoup. Elle veut très peu. Des mots gentils. De l'air frais. De l'eau propre. Un jardin. Des Bisous 💋Livres à lire. S'abriter dans ces bras. Le faire rire. Le faire se sentir en sécurité, se sentir protégé.
Starra Neely blade
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La confiance ne consiste pas seulement à croire qu’une personne ne ment pas. Il ne s’agit pas de partager des secrets. Il englobe bien plus encore. Cela signifie savoir qu’une personne vous rattrapera si vous tombez. Je veux dire savoir quand quelqu’un est toujours là pour vous. C’est se sentir en sécurité lorsque vous permettez à quelqu’un de tenir la partie la plus fragile de votre être : votre cœur.
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L'orgasme d'une femme
on n'obtient pas quand on enlève ses vêtements,
ou quand tu touches son corps.
L'orgasme d'une femme commence
quand tu lui envoies un message,
disant que tu as pensé à elle
pour commencer la journée.
Ça commence quand tu la vois,
et au lieu de parler de toi et de ta journée,
Tu l'écoutes, tu la fais sourire,
tu lui tiens la main,
tu la regardes dans les yeux au lieu de rester sur ton portable.
L'orgasme d'une femme ne commence pas sans vêtements,
ni dans une chambre d'hôtel,
commence dans les petites choses,
quand tu l'étiquettes dans une phrase de Ron,
dans cette blague que tu as faite quand la seule chose
qu'elle voulait, c'était pleurer.
Orgasme n'est pas une capacité physique,
c'est une sensibilité émotionnelle !
Ce n'est pas tenir les cheveux,
et la faire se sentir en sécurité,
c'est prendre son âme
et l'inviter à danser.
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Puis avec le temps j'ai compris que je devais arrêter de courir après des relations. Arrêter de vouloir que certaines reviennent comme avant alors que les personnes concernées ne veulent juste pas. Arrêter d'espérer une amitié comme je le voudrais, parce que je n'ai plus la même place. J'ai compris que des connaissances deviennent des Amies, et puis des Amies deviennent des connaissances. Même la personne que tu considérais comme ta meilleure amie est devenue une connaissance. Je n'ai plus peur de ça. Parce que je sais ce que je mérite, et ce dont j'ai besoin dans ma vie.
J'ai besoin de personnes prêtes émotionnellement parlant. J'ai besoin de sentir que je suis à ma place, et que je ne suis pas juste "là pour être là." J'ai besoin de déclarations d'amitiés toutes niaises. J'ai besoin de me sentir en sécurité pour me confier, et que l'on décide de se confier à moi.
Il y a énormément de personnes que je considère aujourd'hui comme des connaissances alors que c'est des gens que j'ai vraiment aimé du plus profond de mon coeur, mais je sais que ce n'est pas la même réciprocité, alors j'ai accepté de ne plus être pour la personne ce qu'elle était pour moi. (Bien que pour certaines je n'ai jamais eu la même réciprocité mdr). Bref, je ne suis plus la personne à qui on se confie. Avec qui on souhaite partir en voyage. Qu'on souhaite voir pour des week-end. Des concerts. D'être la personne à qui on s'intéresse. J'ai accepté de ne plus occuper la place que j'avais avant, et j'ai regardé d'autres personnes devenir plus importantes pendant que moi je devenais quelqu'un avec des souvenirs en communs. Et ça va, parce que je sais que j'ai un coeur pur.
Je repense à ce que ma psy m'a souvent dit : 'Au final, c'est vous qui gagnerez toujours. Parce que vous êtes une bonne femme, une bonne amie et une bonne personne."
#je sais que je suis pas facile non plus#que je ressens trop#mais quand j’aime#j’aime pour de vrai#et je comprends pas comment les gens#peuvent ne pas traiter les relations comme#unique#et cherchent juste des gens comme ça#où sont les personnes qui#cherchent de vraies connexions avec les autres svp
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 2 : A la croisé des chemins
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Lucillia est une jeune femme qui incarne la détermination et le sérieux. En tant qu'étudiante en criminologie, elle montre un grand engagement envers ses études, ce qui suggère qu'elle est passionnée par son domaine et désireuse d'apprendre tout ce qu'elle peut sur la criminalité et la justice.
Son comportement, qui consiste à ne jamais sortir les soirs de semaine, renforce l'image d'une personne disciplinée et concentrée sur ses objectifs académiques. Cela pourrait aussi indiquer qu'elle privilégie ses responsabilités sur les loisirs, ce qui peut être interprété comme une volonté de réussir dans un domaine exigeant.
Lucillia pourrait également avoir des traits de personnalité tels que la rigueur, la responsabilité et peut-être une certaine introversion, car elle semble préférer le temps passé à étudier plutôt que de socialiser. Cela pourrait aussi suggérer qu'elle a des ambitions élevées et qu'elle est prête à faire des sacrifices pour atteindre ses objectifs professionnels.
Aujourd'hui, c'était vendredi, et l'excitation flottait dans l'air. Lucillia se tenait devant son miroir, un sourire sur le visage alors qu'elle se coiffait pour l'anniversaire de sa meilleure amie, Maria. Elle avait choisi une robe élégante, avec des couleurs vives qui faisaient ressortir ses yeux. Les lumières de sa chambre brillaient doucement, créant une ambiance chaleureuse.
Soudain, la porte s'ouvrit et son père adoptif entra, un regard curieux sur le visage.
"Alors, où comptes-tu aller habillée comme ça ?" demanda-t-il, avec une pointe de préoccupation dans la voix.
Lucillia se retourna, les mains dans les cheveux, et répondit avec assurance : "Je vais à la fête d'anniversaire de Maria. C'est important pour moi."
Son père fronça légèrement les sourcils, visiblement inquiet. "Tu sais que je préfère quand tu restes à la maison le vendredi soir."
Lucillia, sentant une vague de frustration monter en elle, répliqua fermement : "Je suis adulte maintenant. Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi. Je peux prendre mes propres décisions."
Un silence s'installa dans la pièce, et son père, réalisant qu'elle avait raison, soupira. "Je sais, Lucillia. Je veux juste que tu sois en sécurité. Mais amuse-toi bien, d'accord ?"
Lucillia acquiesça, un sourire apaisé sur le visage. "Merci. Je ferai attention."
Elle se retourna vers le miroir, terminant sa coiffure, tandis que son père quittait la chambre, laissant derrière lui une atmosphère de compréhension et de respect mutuel.
☆○o。 。o○☆
Le soir était tombé rapidement, enveloppant la salle des fêtes d'une douce obscurité parsemée de lumières étincelantes. Les guirlandes lumineuses accroché aux murs projetaient des ombres dansantes, créant une atmosphère festive et chaleureuse. Lucillia, en entrant, fut immédiatement frappée par l'énergie qui régnait dans la pièce. Les rires et les voix s'entremêlaient, formant une mélodie joyeuse qui résonnait dans l'air.
La salle, décorée avec soin, était remplie de ballons aux couleurs vives flottant au plafond, tandis que des tables garnies de gâteaux, de bonbons et de boissons pétillantes attiraient les convives. Des amis de tous âges se mêlaient, certains dansaient déjà sur le rythme entraînant de la musique, d'autres discutaient avec animation, leurs visages illuminés par la joie de célébrer.
Lucillia, bien que ravie de voir tant de monde, se sentait étrangement à l'écart. Elle observait la scène, ses yeux parcourant les visages familiers et inconnus, se demandant ce qui avait bien pu inciter Maria à organiser une fête si grandiose pour un simple anniversaire. La foule semblait écrasante, chaque éclat de rire lui paraissant à la fois accueillant et intimidant.
Alors qu'elle commençait à se sentir submergée par le tumulte, une main douce et familière se posa sur son épaule. Elle se retourna brusquement et rencontra le regard pétillant de Maria. Sa présence était comme une bouffée d'air frais dans cette mer de visages.
"Lucillia ! Je suis si contente que tu sois là !" s'écria-t-elle, sa voix chaleureuse se détachant du brouhaha ambiant.
Le sourire de Maria était contagieux, et Lucillia sentit une vague de soulagement l'envahir. La tension qui l'étreignait se dissipa lentement, remplacée par une chaleur réconfortante. Elle savait que, tant que Maria était à ses côtés, elle pouvait affronter cette soirée animée. Les deux amies se mirent à rire, partageant des anecdotes et des souvenirs, tandis que la fête continuait de vibrer autour d'elles, transformant peu à peu l'appréhension de Lucillia en une anticipation joyeuse.
La soirée battait son plein, et Lucillia se laissait emporter par les rythmes entraînants de la musique. Les lumières clignotaient au rythme des basses, créant une ambiance électrisante. Elle dansait avec entrain, ses mouvements fluides et joyeux, riant avec ses amis autour d'elle.Après quelques heures de fête, Maria, les yeux pétillants d'excitation, s'approcha de Lucillia.
"Hé, tu veux qu'on s'échappe un moment ? J'aimerais passer un peu de temps rien que toutes les deux," proposa-t-elle, un sourire complice aux lèvres.
Lucillia, surprise mais ravie, hocha la tête. "Oui, bien sûr ! J'adore cette idée. Ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un moment juste pour nous," répondit-elle, sa voix pleine d'enthousiasme.
Les deux amies se dirigèrent vers la sortie, laissant derrière elles le tumulte de la fête. Une fois à l'extérieur, l'air frais de la nuit les enveloppa, apportant un contraste agréable après la chaleur de la salle. Elles se trouvèrent dans la rue avec les lumière de la ville.
"Regarde comme c'est beau ! Ça me rappelle nos soirées d'été," dit Maria, les yeux rivés sur le paysage illuminé.
Lucillia sourit en se remémorant ces moments. "Oui, et toutes nos discussions jusqu'à l'aube. On devrait vraiment en faire plus souvent," ajouta-t-elle, un brin nostalgique.
Maria tourna son regard vers Lucillia, son expression devenant plus sérieuse. "Tu sais, je suis vraiment contente que tu sois là ce soir. Parfois, j'ai l'impression que tout va si vite avec les cours , et j'ai besoin de ces moments avec toi pour me recentrer," confia-t-elle.
Lucillia, touchée par ses mots, lui prit la main. "Moi aussi, Maria. On doit toujours trouver du temps l'une pour l'autre, peu importe à quel point nos vies sont chargées," répondit-elle avec sincérité.
Les deux amies restèrent là, à discuter et à rire, profitant de cette parenthèse enchantée dans la soirée, renforçant leur lien précieux.
Les deux amies marchaient tranquillement, profitant de la fraîcheur de la nuit. Alors qu'elles passaient devant un magasin encore illuminé, une enseigne colorée attira leur attention. C'était là que se trouvait Lilia Calderu, la fameuse femme qui lisait les lignes de la main. Les lumières scintillantes du magasin créaient une atmosphère intrigante, presque mystique.
Maria, les yeux brillants d'excitation, s'arrêta brusquement.
"Regarde, Lucillia ! C'est là ! On devrait vraiment y aller. Ça serait super intéressant de voir ce que Lilia a à dire," proposa-t-elle, le ton enjoué.
Lucillia, cependant, ne partageait pas l'enthousiasme de son amie. Elle haussait les épaules, l'air perplexe. "Je ne sais pas, Maria. Je pense que c'est juste du commerce. Ces choses-là, ça ne me parle pas vraiment," répondit-elle, un soupçon de scepticisme dans sa voix.
Maria insista, un sourire charmeur aux lèvres. "Mais non ! Lilia est une vraie devineresse. Tout le monde dit qu'elle a des dons incroyables. Tu pourrais découvrir des choses sur toi-même que tu ne soupçonnes même pas," argumenta-t-elle, tentant de convaincre Lucillia.
Lucillia plissa les lèvres, hésitant. "Tu sais que je ne crois pas trop à ces trucs. Ça me semble un peu... farfelu," dit-elle, en regardant le magasin avec une certaine méfiance.
Maria, ne se laissant pas décourager, s'approcha d'elle et lui prit le bras. "Allez, fais-le pour moi ! Juste un petit tour, et si tu n'aimes pas, on s'en va. Promis, ça ne prendra pas longtemps," proposa-t-elle, avec un regard suppliant.
Lucillia soupira, mais un sourire commençait à se dessiner sur son visage. "D'accord, d'accord. Mais si je me sens ridicule, c'est sur ta conscience !" finit-elle par céder, amusée par l'insistance de sa meilleure amie.
Maria éclata de rire, ravie. "Merci, Lucillia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !" s'exclama-t-elle, entraînant son amie vers la porte du magasin, impatiente de découvrir ce que Lilia avait à leur révéler.
En entrant dans le magasin de Lilia , Maria et Lucillia furent enveloppées par une douce odeur d'encens et un éclairage tamisé qui donnait à l'endroit une atmosphère presque magique.
Soudain, une porte s'ouvrit à l'arrière-boutique, et Lilia apparut. Ses cheveux longs et bouclés tombaient en cascade sur ses épaules, et son sourire chaleureux illuminait la pièce. Elle fixa les deux jeunes femmes avec des yeux pétillants de curiosité.
"Bienvenue, mes chères," dit-elle d'une voix douce et accueillante. "Que puis-je faire pour vous aujourd'hui ?"
Maria, pleine d'enthousiasme, se tourna vers Lucillia, un léger sourire sur le visage. Elle poussa doucement son amie, lui murmurant : "Allez, Lucillia, c'est à toi. Je vais te laisser."
"Alors, qu'est-ce qui t'amène ici ?" demanda Lilia, s'approchant de Lucillia avec une bienveillance palpable.
Lucillia se tenait dans le magasin de Lilia, entourée de l'odeur apaisante des bougies parfumées et des fleurs fraîches. Pourtant, malgré cette atmosphère réconfortante, elle se sentait piégée, comme si une partie d'elle voulait fuir cette situation, tandis qu'une autre partie désirait ardemment rester et profiter de ce moment.
Elle plongea son regard dans celui de Lilia, cherchant du soutien dans ses yeux pétillants. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, et elle murmura,
"C'est surtout ma meilleure amie qui m'a convaincue de venir ici." Sa voix tremblait légèrement, trahissant son hésitation.
Lilia, avec son sourire délicat et réconfortant, répondit, "Je suis ravie que tu sois là. C'est toujours bien d'avoir quelqu'un pour nous encourager à sortir de notre zone de confort." Elle désigna une petite table en bois, ornée de bougies allumées qui dansaient doucement dans la lumière tamisée. "Viens, installe-toi à cette table," invita-t-elle avec une gestuelle accueillante.
Lucillia, se sentant un peu plus à l'aise, acquiesça et se dirigea vers la table. Elle s'assit, ses doigts caressant la nappe en lin, un peu froissée mais propre, tandis que Lilia s'asseyait en face d'elle, créant une ambiance intime entre elles.
Dans le petit magasin de Lilia, l'air était chargé d'une douce chaleur, et le parfum des herbes séchées flottait autour d'elles. Les rayons de lumière filtraient doucement à travers les fenêtres, illuminant les coins sombres du magasin.
Lilia, avec une grâce presque féerique, s'approcha de Lucillia. Ses doigts, délicats et agiles, se déplacèrent lentement vers la main de Lucillia. Lorsqu'elle prit délicatement sa main, un frisson parcourut la colonne vertébrale de Lucillia, une sensation douce et réconfortante qui la fit sourire.
"Personne n'a jamais vraiment su lire mes lignes de mains," murmura Lucillia, sa voix teintée d'une légère hésitation mais aussi d'un amusement palpable.
Ses yeux brillaient d'une curiosité nouvelle, tandis qu'elle regardait Lilia avec une tendresse palpable.Lilia, intriguée et amusée, leva les yeux vers Lucillia, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres.
"Est-ce que tu me mets à l'épreuve ?" demanda-t-elle, son ton à la fois sérieux et taquin, comme si elle était prête à plonger dans l'inconnu des mystères que recelaient les lignes de la main de son amie.
Lucillia, surprise par cette réponse, sentit son cœur battre plus vite. Elle hocha la tête, un sourire timide illuminant son visage.
"Non je ne me permettrai pas.Peut-être que vous serez la première à pouvoir le faire," répondit-elle, sa voix douce et pleine d'espoir.
Les deux amies restèrent là, leurs mains entrelacées, créant un moment suspendu dans le temps, où le monde extérieur semblait disparaître, laissant place à leur connexion profonde et authentique.
L'atmosphère dans le magasin était devenue tendue, presque électrique. Lilia, avec une grande délicatesse, commença à passer ses doigts sur les lignes de la main de Lucillia, espérant déchiffrer les secrets inscrits dans sa paume. Mais à sa grande surprise, quelque chose d'étrange se produisit. Les lignes semblaient floues, comme si elles se dérobaient à son toucher.
Lilia fronça les sourcils, perplexe. "C'est bizarre," murmura-t-elle, ses doigts s'arrêtant brusquement. Elle tenta de se concentrer, mais plus elle forçait ses pouvoirs à fonctionner, plus le magasin semblait réagir. Les lumières vacillaient, et un léger bourdonnement se faisait entendre, comme si l'électricité elle-même était perturbée.
Lucillia, observant le visage de Lilia, sentit une vague d'inquiétude l'envahir. "Est-ce que ça va ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une légère anxiété. Elle pouvait voir que Lilia était troublée, comme si elle luttait contre une force invisible.
Lilia, toujours plongée dans ses pensées, finit par poser son regard dans celui de Lucillia. Il y avait une intensité dans ses yeux, un mélange de confusion et de curiosité.
"C'est vraiment étrange," dit-elle enfin, sa voix presque un murmure. "Je n'ai jamais rencontré une main qui refuse de se laisser lire.Peut-être devrions-nous essayer de comprendre ce qui se passe avant de continuer," proposa-t-elle, une lueur de détermination dans ses yeux.
Lucillia regarda alors Lilia dans les yeux, une lueur d'interrogation dans son regard. Leurs mains étaient toujours liées, comme si un fil invisible les reliait, et pour une raison étrange, cela ne dérangeait pas les deux femmes. Au contraire, un sentiment de sécurité émanait de ce contact. Leurs mains se serrèrent un peu plus, comme si elles cherchaient à capter une énergie. Puis, après un moment de silence, Lilia relâcha doucement la prise.
« Tu devrais y aller. Fais attention à toi, d'accord ? »
Lucillia acquiesça, un mélange de gratitude et d'appréhension sur le visage. «Oui.. »
Lilia la regarda partir, son cœur battant un peu plus vite. Lucillia se dirigea vers sa meilleure amie, le cœur encore palpitant de cette rencontre inattendue.
« Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer, » commença-t-elle, les yeux brillants d'excitation.
Sa meilleure amie, intriguée, l'écouta attentivement. « Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? Raconte-moi tout ! »
Lucillia prit une profonde inspiration, prête à partager chaque détail de cette expérience qui pourrait changer leur vie.
☆○o。 。o○☆
Le lendemain matin, Lucillia était debout dès l'aube, le ciel encore teinté de nuances orangées. En réalité, elle n'avait pas dormi du tout, son esprit tourbillonnant de questions. Pourquoi personne ne voulait lire les lignes de ses mains ? Pourquoi tout ce mystère autour de son destin ?
Elle se leva lentement, ses pensées encore embrumées par la nuit blanche. Dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir. Son reflet lui renvoyait une image fatiguée, mais déterminée. Elle prit une grande inspiration, essayant de rassembler ses pensées.
Ses yeux se posèrent sur son collier, une simple pierre noire suspendue à une chaîne. Elle l'avait toujours porté, ne l'ayant jamais enlevé depuis son enfance. Sa surface lisse et froide semblait lui murmurer des secrets oubli��s.
« Qu'est-ce que tu es censée représenter ? » se demanda-t-elle.
Lucillia sentit une vague de curiosité l'envahir. Elle avait besoin de comprendre ce lien, ce symbole qui l'accompagnait depuis si longtemps. Elle se promit de chercher des réponses, de percer ce mystère qui l'entourait.
Avec une nouvelle détermination, elle se prépara pour la journée, prête à affronter ce qui l'attendait.
Lucillia avait donc décidé d'aller voir la seule personne qui pourrait l'aider : Lilia. Avec une détermination nouvelle, elle se dirigea vers la boutique de cette dernière, un petit endroit chaleureux rempli de senteurs envoûtantes et de couleurs vives. L'air était frais, et chaque pas la rapprochait de la réponse qu'elle cherchait.
Une fois arrivée, elle poussa la porte en bois, et un petit carillon retentit, annonçant son arrivée. Lucillia jeta un coup d'œil autour d'elle, ses yeux se posant sur Lilia, qui était en train de préparer du thé. La lumière douce du matin filtrait à travers les fenêtres, illuminant le visage de Lilia, qui semblait radieuse.
« Bonjour, Lucillia ! » s'exclama Lilia en levant les yeux, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle la trouva très belle, avec une aura de mystère. « Que puis-je faire pour toi aujourd'hui ? »
Lucillia, un peu nerveuse, s'approcha de la table où Lilia avait disposé des tasses délicates. « Bonjour, Lilia. Je… j'ai besoin de ton aide. »
Lilia, toujours en train de verser le thé dans une tasse, l'invita à s'asseoir. « Prends une tasse de thé d'abord. Ça te fera du bien. »
« Merci, » répondit Lucillia, s'installant sur une chaise en bois.
Elle observa Lilia, qui lui tendit une tasse fumante. L'odeur du thé était apaisante, mais son esprit était encore agité.
« Alors, qu'est-ce qui te tracasse ? » demanda Lilia, s'asseyant en face d'elle, ses yeux pleins d'attention.
Lucillia hésita un instant, puis expliqua : « J'ai ce collier avec une pierre noire, et je sens qu'il cache quelque chose d'important. Personne ne veut lire les lignes de ma main, et je me demande pourquoi. »
Lilia l'écouta avec soin, son regard sérieux. « Les lignes de la main peuvent révéler beaucoup de choses, mais parfois, il faut aussi écouter les objets qui nous entourent. Dis-moi en plus sur ce collier. »
Lucillia prit une gorgée de thé, se sentant un peu plus à l'aise, prête à partager le mystère qui l'intriguait tant.
Lucillia, les mains tremblantes, tourna son regard vers Lilia, le cœur battant. « Je… je ne sais rien de ce collier, » avoua-t-elle, sa voix à peine un murmure. « Je l'ai depuis que je suis bébé. Mes parents adoptifs m'ont dit qu'il était déjà là dans mon berceau. »
Elle leva doucement la main, montrant le collier à Lilia sans l'enlever de son cou. La pierre noire brillait d'un éclat mystérieux, comme si elle contenait des secrets inavoués.
Lilia, fascinée, s'approcha lentement, son regard fixé sur la pierre. « Puis-je ? » demanda-t-elle, tendant la main avec précaution.
Lucillia hocha la tête, son souffle se faisant plus court alors que Lilia touchait la pierre.Lorsque Lilia prit la pierre entre ses doigts, une chaleur douce se répandit dans l'air. Les deux femmes se retrouvèrent extrêmement proches, leurs souffles s’entremêlant. Lilia pouvait sentir l'énergie émanant du collier, et elle murmura, presque à elle-même :
« C'est un collier de protection. »
Lucillia, surprise, écarquilla les yeux. « Protection ? Qu'est-ce que cela veut dire ? »
Mais en réalisant à quel point elles étaient proches, Lilia se sentit soudainement étrange. Elle recula légèrement, ses joues teintées d'une légère rougeur. « Avec ce collier personne ne peux t'atteindre. La personne qui te la donné tenez beaucoup à toi.»
Lucillia se mit alors à sourire, une lueur de bonheur illuminant son visage. Elle leva délicatement sa tasse de thé, la chaleur de la boisson réconfortante se diffusant dans ses mains. En prenant une gorgée, elle savoura le goût épicé qui dansait sur sa langue, puis se lécha les lèvres avec satisfaction, un geste à la fois innocent et séduisant.
Soudain, un bruit de cloche retentit, signalant l’ouverture de la porte du magasin. Lucillia tourna la tête vers l'entrée, son sourire s'élargissant à la vue de Lilia, Agatha et Ivana qui firent leur apparition.
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Le cheval
Le soleil brillait haut dans le ciel de Jérusalem, illuminant les murs de la cité sainte et les dômes des églises. Baudouin se tenait sur les remparts du palais, regardant le paysage avec un mélange de fierté et de tristesse. Officiellement, il était guéri depuis plus d'un an, mais la lèpre avait ravagé son corps et son visage. Si Alix ne l'avait pas voulu, qu'elle femme décente l'aurait épousé ?
En parlant du loup, il aperçut sa femme, la belle et courageuse Alix de Tripoli, dans la cour du palais. Elle était enceinte de leur premier enfant, et malgré les risques et les dangers, elle semblait déterminée à monter à cheval pour une promenade dans la campagne. Le cœur de Baudouin se serra d'inquiétude. Il savait que les chevaux pouvaient être imprévisibles, surtout pour une femme enceinte.
Sans réfléchir, le roi descendit les escaliers en trombe et se précipita vers sa femme. "Alix, que fais-tu ?", appela-t-il, sa voix tremblante d'émotion. "Il est dangereux pour toi et pour le bébé de monter à cheval dans ton état."
Alix se tourna vers son mari, ses yeux brillants d'une détermination résolue. "Mon seigneur, je comprends tes inquiétudes, mais j'ai besoin de me sentir libre, de respirer l'air pur de la campagne. Je sais que je dois être prudente, mais je ne peux rester enfermée dans les murs du palais."
Baudouin prit la main de sa femme dans la sienne, ressentant la chaleur de sa peau sous ses doigts déformés par la maladie. "Je te comprends, ma chère Alix, mais je t'en prie, sois prudente. Je ne pourrais supporter de te perdre, toi ou notre enfant."
Alix sourit doucement à son mari. "Ne t'en fais pas, mon roi. Je resterai en sécurité, je te le promets." Elle posa sa main sur son ventre rond, ressentant les premiers mouvements de leur bébé. "Nous serons tous les deux bien, je te le jure."
Baudouin regarda sa femme avec amour et admiration, sachant qu'elle était aussi courageuse et déterminée que lui-même et il appela son écuyer pour qu'on lui prépare son cheval. Après tout, la journée s'annonçait magnifique et autant bien la commencer avec l'autre partie de son âme.
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Repartir à zéro
Jeanne regardait la jambe artificielle posée sur la table. Assise dans un fauteuil roulant, elle attendait que l’infirmière explique comment la porter. Pendant ce temps, Antony préparait les barres parallèles.
Cela t’aidera à avancer, dit-il tout en serrant une vis.
Le bord de la prothèse recouvrit le moignon. Aussitôt, l’infirmière se redressa avant de pousser le fauteuil. Et, une fois devant les barres, elle aida Jeanne à se relever. La jeune amputée avait une appréhension de sentir cette chose cogner contre sa cicatrice. Elle n’osait jamais toucher le bout de ce qui lui restait. La peur de réaliser qu’elle ne pourra plus jamais marcher ni courir comme avant. Toutefois, cette crispation ne dura pas longtemps.
Elle attrapa une des barres et s’installa au milieu du chemin préparé. Puis, encouragée par Antony et l’infirmière, elle s’élança. L’effort parut surhumain. Elle trainait cette jambe en carbone. Elle n’arrivait pas à la lever. Son visage devint rouge de colère mais aussi de honte.
Ne t’énerve pas. Prends ton temps et ça viendra par la suite, réagit calmement Antony.
Jeanne regarda cet homme qu’elle côtoyait depuis presqu’un an. Il était présent pour la rééducation de ses bras et son autre jambe. Il était aussi présent, même si ce n’était pas son rôle, quand elle réapprenait à parler convenablement. C’était devenu un peu son mentor, le seul homme qui montrait ouvertement de la confiance pour elle.
Dès lors, elle inspira un grand coup pour calmer son empressement. L’infirmière était partie s’occuper d’un autre patient. Plus loin, un second kiné aidait un amputé à s’assoir dans son fauteuil. Jeanne s’agrippa fortement aux barres. Puis, elle réussit à faire un pas. Toutefois, la prothèse rappa le tapis. Antony sourit et approuva cet effort d’un signe de tête.
Je sais que tu dois tout reprendre depuis le début, mais dis-toi que Rome ne s’est pas construite en un jour. Dit-il.
La séance dura une heure avant que Jeanne ne retourne dans sa chambre. Elle se sentait exténuée et resta dans le fauteuil plutôt que de retourner sur son lit. La fatigue commençait à envahir son esprit. Seulement, elle avait peur de dormir. Elle avait peur des cauchemars qui lui faisaient revivre son accident.
Elle lui avait dit de ralentir, mais il n’entendait rien. Son compagnon avait trop bu et voulait rentrer vite. L’Opel fracassa un muret de sécurité avant de s’écraser dans un fossé. Il est mort de ses blessures. Quant à Jeanne, la tôle écrasa sa jambe. Sa tête entra dans le parebrise obligeant une chirurgie reconstructive d’urgence. Elle ne voulait pas dormir. Elle ne voulait pas revivre ça.
Durant toutes les semaines suivantes, Jeanne fit des progrès et put enfin marcher en utilisant la jambe artificielle. Antony était fier d’elle. Jamais, il n’avait rencontré quelqu’un avec autant de volonté. Dès qu’elle levait cette jambe, elle riait comme un enfant qui réussissait un test. Néanmoins, cette volonté nécessitait d’énormes efforts. Aussi, elle ne marchait correctement que pendant quelques minutes. Ensuite, elle s’asseyait ou tenait fermement une des barres parallèles afin de reposer sa vraie jambe.
Je trouve aussi que tu t’exprimes bien mieux. Tu parles toujours lentement mais ta voix, les mots que tu prononces sont nettement plus clairs.
Ça va m’aider pour trouver du travail, dit-elle.
Elle était professeure de sport. Dans son état, il était compliqué de continuer. Elle envisageait de reprendre des études. Une assistante sociale l’avait orientée sur un centre pour réadaptation professionnelle. Par contre, elle n’avait pas encore trouvé son prochain métier ou sa future spécialité. Antony encouragea sa patiente à refaire au moins un aller-retour entre les barres, puis d’essayer de traverser la salle. Elle mit une vingtaine de minutes pour faire les exercices demandés. Vingt minutes pénibles mais encourageantes.
Le lendemain, Jeanne ne se présenta pas à sa rééducation. Dès lors, Antony monta dans sa chambre pour la gronder. Il détestait qu’on ne respecte pas le programme. Il frappa à la porte. Personne ne répondit. En reconnaissant le kiné, une infirmière intervint immédiatement pour ouvrir. Jeanne ne s’intéressa pas à eux. Elle était dans la salle de bain. Le jeune homme fut gêné de la découvrir entièrement nue. Elle était debout, à côté de son fauteuil. Elle se regardait à travers une glace. Elle était horrifiée par cette jambe de bois. Elle regarda Antony et l’infirmière. Ses yeux étaient rouges et humides.
Même pour ça, je dois m’habituer, affirma-t-elle.
Les deux agents hospitaliers demeurèrent silencieux. Jeanne s’appuya contre la barre de la douche et se retourna sans quitter des yeux le grand miroir. Elle caressa les cicatrices de sa mâchoire. Bien qu’ils ne fussent pratiquement pas visibles, elle les voyait toujours en premier. Ensuite, ses doigts frôlèrent le carbone froid de la prothèse.
Je ne sais pas si je me sentirais capable d’être aimée, ajouta-t-elle. Je suis devenue…
Une belle femme !
Elle dévisagea Antony pendant que l’infirmière posait un peignoir sur ses épaules. Elle proposa à Jeanne de s’assoir sur son fauteuil. Cette dernière refusa préférant le faire seule.
Tu es toujours une belle femme, confirma Antony. Seulement, tu dois apprendre à l’accepter. Tu dois tout reprendre depuis le début. Il existe de nombreuses personnes qui vivent avec des bras ou des jambes en moins, et qui sont mariés. Tu as besoin d’aide pour tout réapprendre, on est là pour ça.
Jeanne l’écoutait. En même temps, elle regardait par la fenêtre les gens se promener dans le parc de l’hôpital. Il lui était difficile d’accepter que sa vie ne sera plus jamais comme avant. Et qu’elle devait repartir à zéro. Mais ce jour-là, elle comprit aussi qu’Antoine fera tout pour qu’elle y arrive.
Alex@r60 –août 2023
Photo de Riana Lisbeth
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tw/ blood, death
Arrêtez de dire que Perceval va mourir dans Kaamelott, je refuse d'imaginer une scène finale où Perceval serait allongé au sol, blanc comme un linge, sa barbe et ses cheveux couverts de sang séché, tétanisé par la peur de mourir sans jamais avoir rendu son roi fier
Pourtant il viendrait de lui sauver la vie à son roi, il aurait pris son courage à deux mains et aurait sauté sans réfléchir sur l'ennemi pour le protéger, armé d'une épée ou de n'importe quel autre moyen pour asséner des coups et garder Arthur en sécurité. Il n'a jamais tué personne mais aurait tout fait pour vaincre son adversaire, parce qu'aucune vie ne vaut plus que celle de son roi, pas même la sienne. Un coup de lame mal esquivé lui aurait malgré tout scié la gorge, et il tomberait de sa hauteur sur la terre froide et humide. Il resterait prostré là, incapable de bouger, témoin malgré lui du flot incessant de sang qui s'écoulerait de sa blessure. Jamais il n'aurait vu autant de sang autour de lui, pas même quand son vieux père tuait le cochon à la ferme de son enfance, au Pays de Galles. Lentement, il commencerait à sentir ses jambes s'engourdir, jusqu'à ne plus les sentir du tout. Ses yeux bleus perçants regarderaient tout autour de lui d'un air paniqué, cherchant du regard un visage familier capable de le rassurer. Un long sifflement retentirait dans ses oreilles, sa vision se brouillerait progressivement, puis des voix étouffées lui feraient reprendre brièvement ses esprits. La main d'Arthur viendrait lourdement se poser sur son torse alors que lui même ne sentirait déjà plus ses doigts, et il tournerait la tête dans la douleur, pour regarder une dernière fois le visage de celui qu'il a toujours admiré.
"PERCEVAL ! PERCEVAL, REGARDEZ-MOI ! MAIS QU'EST-CE QUI VOUS A PRIS, ESPÈCE DE CINGLÉ ?!"
Arthur utiliserait la paume de sa main comme une compresse pour stopper l'hémorragie, sa peau caleuse plaquée contre les pulsations de son cou, d'où coulerait le sang encore tiède de son chevalier. Ce serait alors au tour d'Arthur de paniquer, en voyant Perceval perdre peu à peu l'étincelle innocente qui caractérise son regard, en voyant son visage devenir de plus en plus pâle. Lui qui a toujours réponse à tout, soudain ne répondrait plus de rien. Sa respiration se ferait haletante, la peur et le désarroi lui faisant perdre tous ses moyens.
"J'ai voulu- je voulais vous sauver, Sire..." chuchoterait difficilement Perceval. "...pour pas que vous soyez déçu de moi."
Arthur lâcherait alors un grognement inattendu, une douloureuse expiration mélangeant épuisement et sanglots retenus. Il se mordrait les lèvres comme pour s'empêcher de hurler.
"Vous m'avez jamais déçu, arrêtez vos conneries-" lui confierait-il d'une voix douce, enrouée par ses propres larmes. "Qu'est-ce qu'on s'était dit, Perceval ? Vous vous souvenez...?"
La gorge d'Arthur se serrerait, tandis que les doigts de Perceval chercheraient à s'accrocher à lui. Ses yeux cristallins s'écarquilleraient encore un peu plus et une mine apaisée viendrait soudainement effacer l'effroi sur son visage. Jusqu'à son dernier souffle Arthur aurait été à ses côtés. Il lui adresserait un sourire sans prononcer le moindre mot, repensant à toutes ces fois où son roi lui aurait accordé son temps et sa confiance, toutes les conversations qu'ils auraient partagé, toutes les phrases rassurantes qu'il lui aurait adressé.
"Écoutez-moi, on s'était mis d'accord, si j'étais en danger, vous deviez vous barrer ! Votre vie vaut pas moins que la mienne, Perceval !"
Chevauchant le corps quasi inerte de Perceval, Arthur comprendrait alors qu'il serait en train de le perdre. La mâchoire serrée, il lancerait un bref regard à sa main devenue entièrement rouge, presque brune tant le sang qu'il tenterait désespérément de retenir serait épais et abondant. Ses doigts crispés contre la jugulaire de son ami, il ne se retiendrait même plus de pleurer. Ses larmes viendraient s'écraser contre le métal froid de l'armure de Perceval, le suppliant de rester éveillé, de rester avec lui. Et tandis que l'adrénaline se propagerait dans chaque recoin de son corps, que son cœur serait sur le point de sortir de sa poitrine, les mains d'Arthur se mettraient soudainement à trembler. Sous sa paume, il ne sentirait presque plus de pouls.
"Ma vie, Sire-" murmurerait alors Perceval dans un dernier souffle, " ...Ma vie ne vaut rien si vous n'y êtes plus."
enfin bref voilà quoi vraiment j'ai pas du tout envie d'imaginer ça quoi
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La confiance, c'est se sentir en sécurité, c'est lâcher prise,sachant qu'il est entre ses mainsrien ni personne ne peut te faire du mal.....💞✨🥀
La confiance est une feuille de papier vierge où écrire notre vie à quatre mains.....💞✨✨✨
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Apprenez à vous défendre et à vous protéger
Apprenez à vous défendre et à vous protéger Vous vous sentez en insécurité ? Vous avez peur d'être agressée ? Vous voulez apprendre à vous défendre et à vous protéger ? Si oui, alors ce programme de self défense féminine est fait pour vous !
Vous vous sentez en insécurité ? Vous avez peur d’être agressée ? Vous voulez apprendre à vous défendre et à vous protéger ?Si oui, alors ce programme de self défense féminine est fait pour vous !Dans ce programme, vous apprendrez les techniques essentielles pour vous protéger en cas d’agression. Vous apprendrez à :. Éviter les situations à risque. Se défendre contre une agression physique. Se…
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#agression physique#agression sexuelle#être capable de se défendre#gagner en confiance#s&039;autodéfendre#se défendre#se protéger#se sentir en sécurité#self défense#self défense féminine#techniques de self défense
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" elle n'a pas besoin de beaucoup. Elle veut très peu. Des mots gentils. De l'air frais. De l'eau propre. Un jardin. Des Bisous 💋Livres à lire. S'abriter dans ces bras. Le faire rire. Le faire se sentir en sécurité, se sentir protégé.
Starra Neely blade
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Il ne s'agit pas des débuts. Tous les gens sont beaux au début. Il s'agit de savoir qui vous fait vous sentir en sécurité quand vous vous battez tous les deux. Ceux qui s'assurent que vous allez bien même si vous ne parlez pas. Ceux qui ne vous donneront pas des signaux contradictoires et vous font sentir que vous n'êtes pas assez. Ceux qui font de leur mieux pour que ça dure. Et même si ça se termine. Ils vous donnent une bonne fermeture honnête.
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Petite réflexion
Gratitude…
D'avoir en quelque sorte gagné à la loterie de la vie qui m'a fait naître d'abord dans un pays où je suis libre et en sécurité, d'avoir eu une famille aimante et aussi l'époque, celle sans internet.
La vie pas plus facile mais plus simple qu’aujourd’hui.
Nous n'étions pas vraiment pauvres mais vraiment pas riches. Il n'y avait pas d’influenceurs pour nous faire sentir misérables si nous n'avions pas tel truc ou tel vêtement. Vêtements qui souvent se passaient de l'ainé aux plus jeunes jusqu’à usure totale.
À l’adolescence, heureusement pour moi, j'avais des tantes à peine plus vieilles que moi qui travaillent et j’héritais des vêtements dont elles ne voulaient plus. Jamais je n'ai eu honte de cette situation. On avait un vélo pour trois et ça allait.
Quand je compare aujourd’hui à hier je comprends qu'il y ait de + en + de jeunes anxieux. Trop d’informations, de sollicitations tout le temps. Ils sont hyper connectés pour le meilleur et pour le pire, biberonnés aux likes, exposés au harcèlement virtuel. Je les plains.
Voilà… j'ai vidé mon sac. Mes réflexions sur ce monde de fous dans lequel nous évoluons tant bien que mal.
Ceci dit je peux encore m’émerveiller d'un rien et rire aux éclats, rêver que tout peut changer si nous sommes assez nombreux à le vouloir.
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Come back
Ce matin, l’ennui. Et les jours qui s’allongent dans une nouvelle sérénité. Je me suis tue longtemps. J’ai cru devoir dissocier des parts de moi-même, les comparer, les soupeser, les caresser aussi, lesquelles avaient les couleurs de la peur, les autres du chagrin. Prendre une à une ces douces bandes et les lisser le long de ma paume. Les voir, et simplement se taire. Taire le balancement exiguë de la pensée, pour ne sentir que la piqûre, ou le frottement des épines le long de l’échine. Parler me semble encore un peu dérisoire, ou bien intrusif. La mue s’opère encore en fond, qui sait s’il ne faut pas quand même respirer à travers ? Que dire d’une transformation dont on doute à chaque instant des bienfaits ? Que dire des mouvements de reculs et projections, des obsessions manifestes et nombreuses ; que faire des angoisses infinies de ne pas savoir qui l’on est, ce qu’on devrait être ou faire, du temps qu’on a perdu à pleurer dans sa chambre, à maudire le monde entier, du temps perdu à s’en vouloir soi-même de n’avoir pas été assez, d’avoir eu trop peur.
Ce matin, la peur, donc. Mais la peur de l’ennui qui nous fait croire qu’on a creusé dans sa vie un sillon trop profond qu’on ne pourra jamais combler. Croire fort qu’encore une fois les choix qui ont été faits étaient vains, qu’on se retrouve à nouveau, sans retour possible, dans les bras de la solitude promise, en ��chec, à l’abandon, au bout d’un chemin douloureux qui n’a pas vraiment de borne. La peur s’apitoye sur ton corps fatigué, jamais satisfait, jamais vraiment heureux, parfois en paix. Autrefois tu écrivais pour freiner la course de ces grandes douleurs. Autrefois tu écrivais, et on te demandait quand est-ce que tu trouvais le temps. Autrefois tu écrivais, et puis tu t’es tue.
Respirer. Refuser l’abîme. Refuser la souffrance fabriquée par les croyances maternelles. L’ennui que tu ressens est aujourd’hui comme fenêtre, une ouverture : oui, ça y est, c’en est la preuve, tu es enfin en sécurité. Tu sens en toi suffisamment d’espace pour revenir quand tu sens l’effroi t’embraser. Tu as le luxe de t’ennuyer. Ouvre les yeux sur l’espace qui t’entoure, sans les oeillères de la survie pour étouffer les petits chemins et les détours futiles. C’est l’heure du come back. Tu peux aller jouer maintenant. Tu peux risquer, gambader, te faire une frayeur, revenir. Le temps n’est plus un problème. Prend les poignées des portes qu’on te pointe du doigt, et prononce une formule tout droit sortie du fond de la sagesse humaine. Elle tient en trois lettres.
Ose.
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Quelques trucs bien. Novembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Apprécier de dormir du sommeil du juste
Dire au revoir à ma sœur en pleurant et en se serrant dans les bras. En tout, 10 jours de séparation comme une éternité de solitude pour moi et un séjour de vacances pour elle
Apercevoir un renard détaler et se planquer dans la nuit des fourrés
Participer avec les jeunes à l’atelier de peinture. Laisser libre cours à la couleur
Ramener maman à la maison après quelques jours d’hospitalisation. Savoir qu’elle sera bientôt soignée
Fêter l’anniversaire de ma sœur dans une soirée folle avec des plumes, des paillettes et du champagne ! Retrouver les amis qui ont joué le jeu déguisé et s’amuser !
Voir un faisan dans le jardin, près de l’olivier. Penser que l’oiseau a trouvé là un espace de sécurité pendant la chasse qui est de saison
Valider l’inscription à une formation professionnelle. Sentir s’ouvrir une fenêtre dans la routine
Craquer pour deux décos de Bambi pour mon petit M. : « mon premier Noël »
Prêter une robe toute neuve à ma sœur afin qu’elle soit à son aise et à son avantage lors d’une fête familiale par alliance, et qu’elle se sente « magnifaïque », moi qui ne suis pas la reine du shopping
Aller dans les bimbeloteries avec ma meilleure amie pour acheter des décos de Noël pour elle, des décos d’anniversaire pour ma sœur : il y a de la paillette, de l’or et de l’argent. Tout ce qui fait chaud au cœur
Savourer la douceur de l’automne porté par le vent chaud du Sirocco. Enlever des couches de vêtements au fil de la journée
Entendre chanter le rouge-gorge dans le froid du matin
Constater que les jours raccourcissent à vue d’œil et avoir quand même du plaisir à allumer la lampe de chevet pour bouquiner
Recevoir un message élogieux sur ma poésie. Ressentir de la reconnaissance et le regret du silence actuel
Aller à l’atelier de peinture. Retrouver le plaisir du geste au pinceau et la joie de la couleur pure. Partager ces ressentis avec les jeunes
Entendre hurler la chouette dans la nuit puisque je me lève de très bonne heure chaque matin
Discuter avec ma cousine au téléphone en buvant du vin blanc. La sentir plus forte et indépendante. Lui confier quelques conseils de ma grand-mère pour continuer à avancer
Passer du temps avec maman. Préparer de la soupe et des tenues vestimentaires pour la semaine. Être là, juste là
Accueillir une amie qui se sépare. Écouter et accompagner la prise de conscience. Faire confiance avec de la tisane
Échanger des ouvrages avec un auteur. S’essayer à la critique littéraire. Attendre aussi son retour sur mes poèmes
Envoyer un message amical à un collègue en arrêt de travail. Lui dire qu’il manque
Savoir que maman m’attend pour aller se coucher. Prendre le temps pour elle aussi
Voir et câliner mon petit M. quasi quotidiennement. Bonheur
Constater les énormes progrès de deux de mes jeunes patients. Me sentir si fière pour eux désormais apaisés pour pouvoir scolarité presque normalisée
Accompagner maman pour la visite de l’appartement de ma fille. La sentir heureuse de cette sortie exceptionnelle
Apprécier comme une grâce les étoiles scintillantes du petit matin dans le ciel lavé par la pluie et nettoyé par le vent. Trouver de bons côtés à l’insomnie
Aller au cinéma avec mon fils pour voir le dernier Miyazaki en VOSTFR
Manger des gaufres ensemble. Monter et/ou descendre d’un ou deux étages dans la maison pour partager avec la famille et les amis présents. Se régaler ensemble
Bricoler avec mon fils. Améliorer la possibilité d’aérer sa chambre pendant l’hiver puisqu’il aime le froid
Envoyer à une amie virtuelle une enveloppe avec un de mes bouquins dedans. Donner de la matière et du concret par les mots
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