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La licorne a vraiment existé... enfin presque.
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La licorne a vraiment existé... enfin presque.
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#âge de glace#archeologie#Elasmotherium sibiricum#froid#glace#licorne#prehistoire#rhinoceros#siberie#animaux#imxok
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Dans l'« héroïsme tragique », dans ce sentiment de la vie tout à la fois sombre, déchaîné et sauvage, qui serait donc, selon certains, inhérent à l'âme nordique, il faut voir en fait des traces de tout ce qui a trait à l'écroulement d'une très ancienne civilisation. On sait combien certains, à partir de Wagner, ont divagué sur le « crépuscule des dieux ». Or, le vieux terme nordique ragna-rökkr doit en réalité être traduit – de façon moins romantique mais plus juste – par « obscurcissement du divin » (les « dieux » et le « crépuscule » ne sont que de simples images mythologisées). Il ne s'agit donc pas ici de se référer à la vision du monde spécifique d'une race ou d'une civilisation données, mais bien à des événements, à des faits qui rentrent dans le cadre historique et, en partie, dans le cadre cosmique, cadre envisagé par les anciens enseignements, que connut aussi l'Antiquité classique, relatifs aux quatre âges du monde (par exemple, l'âge du bronze et du fer chez Hésiode correspond à l'âge du « Loup » de la tradition nordique des Eddas). Mais il faut mettre en évidence ceci : au-delà de ces souvenirs, du caractère tragique et sauvage de ces faits, l'âme nordique, elle aussi, a connu une vérité plus haute.
Celui qui possède la préparation nécessaire reconnaît facilement que, dans la mythologie même des Eddas, l'essentiel ne correspond pas au pathos de l'apparition des forces élémentaires déchaînées et au combat contre elles, ni à certains détails des sagas qui se ressentent d'ailleurs de superstitions populaires et d'influences étrangères. L'essentiel, dans la tradition en question, se rapporte en revanche à des contenus fondamentalement « olympiens ». On rappellera, pour la démonstration, l'idée du Midgard, qui reflète la conception d'un centre suprême et d'un ordre profond du monde, et qu'on peut déjà considérer, d'une certaine manière, comme la base métaphysique de l'idée d'empire ; puis le symbolisme du Walhalla comme mont dont la cime glacée et brillante resplendit d'une éternelle clarté plus forte que toutes les nuées, sans oublier le thème de la Lumière du Nord sous ses nombreuses variantes.
On trouve en premier lieu le symbole du siège d'or de Gladsheim, « plus brillant que le soleil » ; le château royal d'Oegier, qui accueille les Ases et dans lequel l'or – symbole traditionnel de tout ce qui est incorruptible, royal et solaire – exprime la puissance d'une lumière ardente ; l'image de la demeure céleste de Gimlé, « plus belle que toute autre et plus resplendissante que le soleil », qui « subsistera même quand ciel et terre déclineront » – et ainsi de suite. Dans ces thèmes, et dans beaucoup d'autres, malgré leur caractère fragmentaire, un regard entraîné découvre obligatoirement le témoignage d'une dimension supérieure de la vieille mythologie nordique.
Et la conclusion suivante s'impose : tout comme l'homme de l'Antiquité classique, l'homme nordique et germanique a connu un ordre supérieur au monde du devenir et à une réalité tragique et élémentaire. Selon la Völuspá et le Gylfaginning, après le ragna-rökkr apparaissent un « nouveau soleil » et « une autre race » ; les « héros divins », les Ases, reviennent sur l'Idafels et retrouvent l'or qui symbolise la tradition primordiale de l'Asgard lumineux et l'état originel. Au-delà des brouillards de la « Forêt », règne donc une lumière plus pure. Il y a quelque chose de plus fort que le devenir et la destruction, que la tragédie et le feu, que le gel et la mort. Rappelons-nous les mots de Nietzsche : « Au-delà de la glace, du nord, de la mort – notre vie, notre joie ». Ceci est vraiment l'extrême profession de foi de l'homme nordique, une profession de foi qu'on peut qualifier, en dernière analyse, d'olympienne et de classique.
Julius Evola, L'Arc et la Massue
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10 septembre
je viens de voir un garçon torse nu maigre et bouclé qui tenait la main d'une femme en combi noire et chignon gris, très rock, je me demandais si elle les avait teints en gris ou si elle sortait avec un mec de trente ans de moins qu'elle, mais quand ils sont arrivés à la hauteur du poste de secours j'ai vu que le garçon était en réalité un vieil homme avec des rides.
hier à minerve il faisait froid et gris et pendant que maman cécile et christine essayaient mille vêtements je suis allée acheter un livre de cesare pavese dans la petite librairie d'occasion à côté. je crois que le libraire avait oublié qu'il était libraire et que ses livres étaient à vendre. on aurait dit qu'il avait pas du tout envie de me le vendre. y a un personnage lesbien dangereux qui a la syphilis dedans et j'ai peur de pas aimer mais ça valait la peine de l'acheter rien que pour mon interaction avec le libraire. quand je suis repassée dans la rue en mangeant ma crêpe à la crème de marron il m'a vue et il m'a souri et je me suis sentie flattée. maman et cécile ont mangé une glace et je les ai attendues sous un mûrier à l'abri de la pluie fine qui tombait à l'horizontale sous le ciel doré clair. quand je me suis retournée y avait un type qui fumait une cigarette qui m'a regardée en souriant, pas trop moche, je crois qu'il portait des habits de motard. je lui ai rendu son sourire et je suis partie, gambadant derrière maman cécile et christine qui retournaient au magasin d'habits parce que christine avait oublié ses lunettes dans la cabine d'essayage. je lui ai souri comme une petite fille de six ans qui sourit à un inconnu, naïve et sans arrière pensée, avant de courir rejoindre ses parents. je me suis même pas retournée. j'avais le même âge que sur la photo de moi devant la pierre avec le trou en forme de colombe à côté de l'église où j'ai été baptisée. je me suis assise devant la pierre pour refaire la même photo mais j'ai clairement perdu tout mon cool de l'enfance.
le couple de vieux adolescents est de retour. je crois que les seuls gens vraiment cool ne peuvent être que des vieux ou des enfants. je suis obsédée par les vieux. un type aux longs cheveux grisonnants et frisottants vient de remettre sa chemise appuyé contre le poste de secours. il est grand et élancé mais pas maigre comme l'autre dorian gray rock'n'roll. j'ai envie de le suivre jusqu'à chez lui, dans sa petite maison de bord de mer, son cabanon meublé spartiatement mais avec goût, rempli de livres et de savoir. un vieux cultivé et riche en sagesse grâce à son expérience de la vie mais pas vieux con moralisateur. dorian gray est en train de passer de la crème solaire à la femme au chignon gris. vieux con moralisateur comme le vendeur de glace de minerve qui admonestait maman et cécile parce qu'elles voulaient manger une glace à l'italienne chimique et sans goût alors qu'il avait des bonnes glaces artisanales naturelles, les glaces à l'italienne c'est bon que pour les gens du bord de mer. il avait visiblement pas vu mes jambes bronzées et mon bracelet de cheville en coquillages.
je suis partie me baigner à trois heures parce que maman regardait barnaby, j'ai fait mes longueurs entre les digues malgré le vent jusqu'à ce que je commence à avoir mal aux oreilles. je me suis enroulée dans ma serviette en regardant l'eau pailletter au soleil avec les pyrénées derrière et j'avais envie de mourir. j'avais envie de mourir avant de me baigner, dans l'eau non, et puis en sortant de l'eau oui. dans l'eau y a un glitch dans la matrice. je pensais à ce qui m'était hypothétiquement arrivé pendant mon enfance et je me disais que quand je m'en rappellerais et que tout le monde saura, plus personne m'en voudra d'être un zombie-boulet. on me trouvera incroyablement courageuse. elle a perdu son père et en plus...? et en plus quoi? je serai une héroïne pour être restée en vie tout ce temps.
je suis tombée sur des extraits du journal d'alejandra pizarnik en triant mes photos et ça m'a donné envie de le relire. alejandra pizarnik me réconforte. lola la lisait cet été alors ça m'a aussi donné envie de revoir lola. maintenant que je vis à berlin j'ai envie de vivre à paris. je veux fréquenter les littéraires. je sais pas ce que je veux. une fois à paris je voudrais probablement aller vivre encore ailleurs. ma vie fait des x et elle s'annule.
hier dans la voiture en revenant de minerve j'étais légèrement euphorique à cause de, je sais pas, de minerve, de mes petites rencontres, de ma crêpe à la crème de marron, des gorges et des grottes et des falaises environnantes, de la pluie dorée, de la musique qui passait dans la voiture, et je me disais que j'allais profiter le plus possible de berlin et de tout ce qu'elle a à offrir en tant que métropole avec en tête l'idée d'aller à la campagne juste après, pour le contrepoint, le contrepoids, la balance, pour me faire mieux apprécier tous les trésors qu'une métropole a à m'offrir. me gaver de trucs culturels dans la limite disponible de mon budget pour avoir fait l'expérience complète de la capitale culturelle et voir si j'ai vraiment besoin d'avoir ça dans ma vie. et arrêter de penser à la campagne tout le temps. la campagne n'ira nulle part. elle m'attendra. il sera jamais trop tard pour devenir bergère. ou peut être que si, je sais pas.
à la soirée de courts-métrages au kindl ils ont passé un film sur des bergers du tyrol qui poussaient leurs cris des montagnes qui résonnaient à travers les vallées, ils se répondaient les uns les autres avec des cris différents, on comprenait pas ce qu'ils disaient, c'était la langue de la montagne. c'était des cris très expressifs et comme la projection était en plein air leurs cris résonnaient aussi à travers le quartier et parfois on entendait des gens qui répondaient avec des cris de la ville et tout le monde rigolait.
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5 juillet 2024
J’ai passé trois jours dans la maison de famille d’un copain pas loin de Montpellier. Il m’avait proposé de venir pour voir la mer, sachant que je bassine tout le monde avec ça. Le premier jour, il est venu me chercher à mon appartement en voiture. J’avais le cafard, mais en même temps tellement hâte de voir le bleu à perte de vue que c’est passé inaperçu je pense. Sur la route, j’ai bu une bière et on a écouté de la musique. Je me suis sentie vraiment en vacances quand je regardais par la fenêtre le paysage défiler pendant qu’il me rappelait le programme. En arrivant, on a pris des pizzas qu’on a mangées au bord de la piscine puis après, on s’est baignés avant qu’il fasse totalement nuit. J’ai joué avec ma machine à bulles puis j’ai laissé les fourmis me grimper dessus. On s’est baladés et il m’a fait visiter son village - en même temps, on jouait à Pokémon Go, c’était sympa - en me racontant des trucs. Les étoiles se voyaient beaucoup car là-bas, ce n’est pas très pollué et avec le bruit des cigales c’était très beau.
Le lendemain, on est allés à la mer ! On a retrouvé un copain à lui et son amie puis on a mangé au restaurant en bord de plage. Ça me fait bizarre car le type travaille et gagne pas mal d’argent alors qu’il a notre âge, sa pote aussi. Elle nous a même proposé de passer quelques jours dans une « villa » mais perso, je ne pouvais pas, je devais aller garder ma grand-mère à Paris. Bref, ils sont partis et on s’est baignés. Allongée sur le sable, j’ai réalisé qu’avec lui à ce moment-là, face à la mer, il y avait une douceur qui m’enveloppait et c’était beau. Aussi, il a le don de me faire sentir jolie alors que je ne m’aime pas, c’est apaisant.
J’avais pris mon journal alors je l’ai dessiné puis j’ai cherché avec lui des coquillages et des plumes après avoir mangé une glace. C’était marrant, c’était un peu comme une chasse au trésor. Il m’a même ramené une plume de mouette ! Ça m’a fait très plaisir car les mouettes, c’est mes oiseaux préférés : elles me rendent nostalgique de mes vacances en Normandie tous les étés quand j’étais petite, le seul moment de l’année où je voyais la mer. À un moment, il m’a fait la remarque qu’on dirait une enfant quand je suis à la plage et c’est vrai. Je me sens toute petite et émerveillée pour un rien là-bas, j’ai l’impression de rattraper une jeunesse qui m’a été arrachée. Mais je crois que me voir contente comme ça, ça l’a rendu heureux de m’avoir invitée.
Le soir, on a fait une petite soirée en jouant à des jeux d’alcool, c’était sympa mais j’étais crevée. Le lendemain, avant de prendre la route, j’ai cueilli une fleur dans son jardin pour mettre dans mon journal.
C’était un petit voyage qui m’a guérie un peu du mal-être qui, jusque-là, grandissait en moi.
Dans pas longtemps, il m’a invité avec un groupe de copains à aller dans une maison dans les Cévennes quelques jours : j’ai dit oui évidemment.
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Ps: Le dernier jour on s’est baladés. Je me suis allongé sur un banc au point de vue où il m’a emmené. J’ai mis de la musique et on a regardé le ciel. Il m’a dit qu’il voyait un truc — je ne sais plus trop quoi — dans les nuages et, sur le coup, je ne voyais rien. Plus tard, en rentrant, j’ai regardé la photo que j’avais prise de la vue et j’ai dessiné un monstre mi-autruche, mi-je-ne-sais-quoi qui m’apparaissait dans le ciel.
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«Il est manifeste qu'il se produit actuellement un repeuplement du Groenland, qui durant le moyen-âge présentait bon nombre de paroisses florissantes, puis devint désert par suite d'un changement de climat. [ ...] Si la fonte des glaces devait continuer, nous devrions nous attendre à des inondations, ou aux frais de constructions d'immenses digues. Les terres gagnées et perdues se feraient peut être équilibre. Ce serait prendre une vue étroite des choses, que de considérer comme une masse inerte la glace de nos glaciers et des calottes polaires. Elle constitue un trésor accumulé de l'économie cosmique.»
(Ernst Jünger, Le Mur du temps)
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Je lui dis : La rose du jardin, comme tu sais, dure peu ; et la saison des roses est bien vite écoulée. Quand l’Automne, abrégeant les jours qu’elle dévore, Éteint leurs soirs de flamme et glace leur aurore, Quand Novembre de brume inonde le ciel bleu, Que le bois tourbillonne et qu’il neige des feuilles, Ô ma muse ! en mon âme alors tu te recueilles, Comme un enfant transi qui s’approche du feu. Devant le sombre hiver de Paris qui bourdonne, Ton soleil d’orient s’éclipse, et t’abandonne, Ton beau rêve d’Asie avorte, et tu ne vois Sous tes yeux que la rue au bruit accoutumée, Brouillard à ta fenêtre, et longs flots de fumée Qui baignent en fuyant l’angle noirci des toits. Alors s’en vont en foule et sultans et sultanes, Pyramides, palmiers, galères capitanes, Et le tigre vorace et le chameau frugal, Djinns au vol furieux, danses des bayadères, L’Arabe qui se penche au cou des dromadaires, Et la fauve girafe au galop inégal ! Alors, éléphants blancs chargés de femmes brunes, Cités aux dômes d’or où les mois sont des lunes, Imans de Mahomet, mages, prêtres de Bel, Tout fuit, tout disparaît : – plus de minaret maure, Plus de sérail fleuri, plus d’ardente Gomorrhe Qui jette un reflet rouge au front noir de Babel ! C’est Paris, c’est l’hiver. – A ta chanson confuse Odalisques, émirs, pachas, tout se refuse. Dans ce vaste Paris le klephte est à l’étroit ; Le Nil déborderait ; les roses du Bengale Frissonnent dans ces champs où se tait la cigale ; A ce soleil brumeux les Péris auraient froid. Pleurant ton Orient, alors, muse ingénue, Tu viens à moi, honteuse, et seule, et presque nue. – N’as-tu pas, me dis-tu, dans ton coeur jeune encor Quelque chose à chanter, ami ? car je m’ennuie A voir ta blanche vitre où ruisselle la pluie, Moi qui dans mes vitraux avais un soleil d’or !
Puis, tu prends mes deux mains dans tes mains diaphanes ; Et nous nous asseyons, et, loin des yeux profanes, Entre mes souvenirs je t’offre les plus doux, Mon jeune âge, et ses jeux, et l’école mutine, Et les serments sans fin de la vierge enfantine, Aujourd’hui mère heureuse aux bras d’un autre époux.
Je te raconte aussi comment, aux Feuillantines, Jadis tintaient pour moi les cloches argentines ; Comment, jeune et sauvage, errait ma liberté, Et qu’à dix ans, parfois, resté seul à la brune, Rêveur, mes yeux cherchaient les deux yeux de la lune, Comme la fleur qui s’ouvre aux tièdes nuits d’été.
Puis tu me vois du pied pressant l’escarpolette Qui d’un vieux marronnier fait crier le squelette, Et vole, de ma mère éternelle terreur ! Puis je te dis les noms de mes amis d’Espagne, Madrid, et son collège où l’ennui t’accompagne, Et nos combats d’enfants pour le grand Empereur !
Puis encor mon bon père, ou quelque jeune fille Morte à quinze ans, à l’âge où l’oeil s’allume et brille. Mais surtout tu te plais aux premières amours, Frais papillons dont l’aile, en fuyant rajeunie, Sous le doigt qui la fixe est si vite ternie, Essaim doré qui n’a qu’un jour dans tous nos jours.
-poésie: "Novembre", Victor Hugo -image: "The Meeting with Autumn", Vladimir Volegov
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Voici l'hôtel Emeraude qui est un petit riad de 9 chambres réparties sur 3 étages, avec une terrasse en roof top pour prendre le petit déjeuner, se reposer et avoir une belle vue sur les toits d'Essaouira. Pour y entrer, nous utilisons un heurtoir avec une petite lucarne, comme au moyen âge !
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Nous découvrons la ville en nous promenant sur les remparts "la Sqala de la Kasbah". C'est la seule ville du Maroc, anciennement nommée Mogador, qui a été construite sur plan (plans réalisés par un architecte français, élève de Vauban), au XVIIIème siècle.
C'est une ville portuaire avec son marché aux poissons et ses célèbres barques bleues de pêcheurs.
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La direction de l'hygiène et de la santé ne nous a pas autorisés à prendre des photos du marché aux poissons !! A même le sol...sans glace mais avec les odeurs!!!
La médina, qui n'est pas ouverte aux voitures, est très animée surtout le soir quand les habitants "de la ville" viennent se promener, faire leur marché de rue ou déguster debout des escargots, des poissons frits ou des figues de barbaries.
Nous terminons cette journée en prenant un verre au bar restaurant Ksou, à l'ambiance très orientale, installés sous une tente berbère.
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Les financiers
Recette de Sébastien Rubio
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Il s’est dit que ces petits gâteaux ont été inventés près de la Bourse, à Paris, au XIXème siècle, pour plaire aux hommes de finance qui ne voulaient pas se salir les mains… Une même légende précisa que l’idée de la forme rectangulaire, imitant un lingot d’or, était un même clin d’œil à ces clients en cols blancs. Le financier qui, d’ailleurs, a pu être aussi, en Bretagne, une financière, s’avérait longtemps avant, au Moyen-âge, une visitandine, tombée en disgrâce car l’odeur de l’amande rappelait trop celle du cyanure… poison fatal !
Non mais quel chemin tortueux pour une si petite douceur dorée, pas vrai ?!
Finalement, peu importe que ces origines soient avérées ou non. Ce qui est sûr, indéniablement, c’est que le financier est plus généreux, plus tendre et plus fondant quand il se présente comme une œuvre pâtissière.
Merci à Sébastien Rubio, de la Maison D’S-R à Trept, pour sa recette. Il n’a pas le temps d’en préparer pour ses clients, ses autres confections grand luxe l’occupent bien assez. Alors il nous offre un peu de ses secrets. Un précieux cadeau gourmand !
Ingrédients pour 5-6 gâteaux
125g de blancs d’œufs (environ 3-4 œufs)
150 g de sucre glace (parfumé à la vanille par des gousses broyées ou simplement par un peu d’arôme de vanille)
50 g d’amandes en poudre
50 g de farine
85 g de beurre fondu
Et pour une éventuelle garniture :
Un peu de confiture de framboise ou des framboises fraîches…
Des amandes effilées ou des noisettes broyées…
Préparation
Au bain-marie, mélanger délicatement les blancs d’œufs avec le sucre parfumé à la vanille en veillant à ce que la température reste bien tiède.
Tamiser ensuite les amandes avec la farine et faire fondre le beurre.
Incorporer le mélanger amandes-farine au mélange œufs-sucre, puis ajouter le beurre fondu.
Remplir les moules dédiés (rectangulaires) et enfourner environ 10-12 minutes dans un four préchauffé à 170°c, en surveillant la coloration.
Pour une variante plus gourmande : avant d’enfourner, en utilisant une poche à douille, mettre dans chaque portion une petite dose de confiture de framboise ou une framboise fraîche (voire d’autres fruits frais ou au sirop), et quelques amandes effilées (ou noisettes broyées).
Et voilà !
Avec une boule de glace à la vanille et une pointe de chantilly, mouah…un délice !
Recette de Sébastien Rubio, de la boulangerie-pâtisserie Maison D’S-R, 204 Grande Rue 38460 Trept- 04-74-92-83-46
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Alexis Ren, la bombe californienne dans tous ses états
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Alexis Ren est une jeune surfeuse et mannequin d'origine américaine. Elle est née en Californie en 1996 et a grandi a Santa Monica. Pratiquant le surf depuis son plus jeune âge, sport pour lequel elle a un certain talent, elle s'est rapidement dessinée une silhouette avantageuse. Son physique attire plusieurs agences de mannequinat, et ce dès l'âge de 13 ans. Sa carrière de mannequin lui permet de devenir l'une des égéries de Calvin Klein pour la ligne de lingerie du créateur, « My Calvin's ». Alexis Ren est une adepte des réseaux sociaux, et adore poster des photos d'elle dans le plus simple appareil, simplement vêtue de bijoux ou d'accessoires. Elle a été Maxim's cover girl pour le mois d'août 2017 et Maxim's cover girl pour le mois de mars 2018. Elle possède 15,6 millions de followers sur Instagram et 1,5 million de followers sur Twitter. Son histoire avec Jay Alvarrez Ils ont rompu définitivement après 6 mois de rumeurs. Tout a commencé après qu'Alexis ait dit à un fan qu'elle avait rompu avec Jay parce que la relation n'était plus bonne pour son entreprise. Dans une conversation animée sur Twitter, elle a dit que Jay n'était qu'un passe temps et qu'il avait un petit engin. Elle a supprimé les messages mais Internet n'oublie jamais. Jay a répondu en disant que faire en sorte que quelqu'un se sente mal à propos de ce qu'il est ne fait que montrer votre faiblesse. A lire également : Anais Pouliot; le top canadien à suivre Régime alimentaire d'Alexis Ren PAS de pain. Duh, elle est sans gluten. PAS de restauration rapide. Tant mieux pour elle ! Plus de place pour les bols d'açaï. Pas d'alcool. Je ne sais pas quoi dire à propos de celle-ci à part qu'elle boit 2 litres d'eau chaque jour. PAS de viande rouge. Détendez-vous, elle mange encore d'autres viandes, juste une petite quantité. PAS de repas après 19h. Je suppose qu'elle n'est pas une couche-tard. PAS beaucoup de sucre. C'est une donnée. AUCUN fruit après le déjeuner. Étrange, je devrais lui poser des questions sur celui-ci. Fruit. Beaucoup d'ananas, de fraises, de pastèque, de papaye et de mangue pour des smoothies et des bols d'açaï à n'en plus finir. Kale Chips. "Oh, chou frisé ouais!" Poudre de protéine végétalienne. Pshh, comme son programme d'entraînement, ça ne suffit pas ? ! Mélange montagnard (sans M&M's). Allez, c'est comme la seule partie que je mange. Glace à la banane. Elle l'appelle de la crème glacée, tandis que je l'appelle comme je le vois - des bananes mélangées à du lait d'amande. Salade (avec citron et poivre). À ce stade, il n'y a pas assez de salades dans le monde pour ce genre de corps. Burgers végétariens (enveloppés de laitue avec avocat). Read the full article
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Ton Plan Fonctionne ? - Steve Harrington
Drabble Masterlist
Résumé : Steve pense qu'il peut toujours obtenir facilement le numéro d'une fille, tu penses que ce n'est pas le cas.
Warnings : sister!reader, la reader a 14 ans, situé avant la saison 3.
Nombre de mots : 775
Version anglaise
Version Wattpad
Prompt : "Was I supposed to be impressed ?" (J'étais censée être impressionnée ?) 4ème prompt de cette liste faite par @exhuastedpigeon
- Hey abruti ! t'écris-tu, faisant se retourner Steve.
- Qu'est-ce que tu veux, Y/N ?
- Tu me fais une glace ?
- Tu m'insultes à mon travail et tu veux que je te donne une glace ? questionne-t-il, outré.
Tu roules des yeux avant de sortir ton visage innocent et de déclarer d'une petite voix :
- Je m'excuse, mon frère adoré. Est-ce que je pourrais avoir une glace, s'il te plait ?
- Je te la fais, ta glace, mais seulement parce que je veux plus voir ta tête, abandonne Steve, agacé.
- Je t'aime aussi.
Pendant que Steve s'occupe de ta commande, tu l'observes, voulant le déstabiliser. Il a commencé à travailler chez Scoops Ahoy il y a seulement trois semaines donc il n'est pas encore tout à fait à l'aise. Pour toi, c'est l'occasion parfaite pour avoir des glaces gratuites et te moquer de ton frère. Mais à ta plus grande tristesse, Steve arrive enfin à faire son travail sans faire une erreur.
Quand il a fini, tu prends ton pot et t'installes à une table proche du comptoir. Steve lève les yeux au ciel en ne te voyant pas partir. Tu prends ton temps pour manger, souhaitant l'énerver un peu plus. Alors que tu replonges ta cuillère dans ta glace, tu te tournes vers lui en prenant un faux air angélique :
- Dis-moi, Steve, ton plan fonctionne ? T'arrives à avoir des numéros ?
- Oui. Totalement. Quelle question ! s'exclame-t-il en tentant de la jouer cool.
- Euh, techniquement, tu en as eu zéro, le corrige Robin en arrivant au comptoir.
- C'est faux, j'en ai eu un !
- Ouais, zéro et demi. Elle n'a pas donné le bon.
Suite à l'information de sa collègue, tu ne peux t'empêcher d'exploser de rire en imaginant la scène.
- J'aurai aimé voir ça. Je n'arrive pas à croire qu'après toutes ces années à être surnommé « Roi Steve », tu galères autant. J'adore, déclares-tu en reprenant un bout de glace.
- C'est toujours agréable de se sentir soutenu, ironise ton frère. Mais on va voir qui rigolera quand j'aurais une petite amie avant la fin des vacances alors que tu traineras toujours avec ton petit groupe d'amis.
- Au moins, ils ont mon âge. On t'apprécie beaucoup Steve, mais tu nous fais de la peine à trainer avec nous.
- Attends, les gamins qui viennent presque tous les jours, ce sont tes amis ? demande Robin et tu hoches la tête. Je reviens, informe-t-elle avant de partir chercher un tableau blanc.
Tout en finissant ta glace, tu regardes Robin prendre un marqueur et dessiner deux colonnes avec pour titre "YOU RULE" et "YOU SUCK". Dans cette dernière, elle fait un trait avant d'annoncer :
- Je sens que cette partie va vite être remplie.
- Ouais, c'est ça. Continuez à vous moquer, mais je vais vous prouver que j'ai toujours du charme. Je vais même le faire maintenant, affirme Steve en montrant la nouvelle cliente. Prépare-toi à mettre un trait dans la colonne « YOU RULE », dit-il à Robin avant de sourire à la jeune femme. Bonjour bienvenue chez Scoops Ahoy, je peux vous offrir une glace ?
- Bonjour, est-ce que je peux avoir une glace au citron, s'il vous plait.
- Tout de suite.
Steve est totalement concentré dans la préparation de glace, faisant attention à ce que rien ne déborde. Une fois terminé, il tend le pot à la cliente. Elle s'apprête à le payer quand il la stoppe avant de lui faire un sourire charmeur et déclarer :
- C'est cadeau.
- Vraiment ?
- Oui, ça me fait plaisir.
- Merci, mon copain va être content, sourit-elle alors que le visage de Steve se décompose. Bonne journée.
Tu attends que la jeune femme soit partie avant de t'esclaffer avec Robin. Tu te tiens le ventre pendant que Robin trace un nouveau trait dans le tableau. Steve essaye de ne rien laisser paraitre, même si on peut voir son embarras dans son regard.
- J'étais censée être impressionnée ? demandes-tu en calmant ton rire. Ta tête était magnifique, j'aurais aimé pouvoir te prendre en photo. Bon, j'aimerais continuer à me moquer de ton manque de charme, mais je dois trainer avec mes amis, déclares-tu en jetant ton pot. A plus, Robin, dis-tu en sortant et en ignorant ton frère.
- Rentre à la maison pour 18h ! t'ordonne Steve.
- Si tu arrives à avoir un numéro, peut-être.
- J'adore ta sœur, sourit Robin, faisant rouler des yeux Steve.
Drabble Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
#marie swriting in french#tumblr français#stranger things x y/n#stranger things x reader#stranger things imagine#stranger things#stranger things drabble#steve harrington x sister reader#steve harrington x reader#steve harrington#steve harrington x sister!reader#steve harrington drabble
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Seiyuu Debitto : Mitsuki Saiga / Yūki Yonai ( Anime 2016 )
Seiyuu Jasdero : Shoutarou Morikubo / ??? ( anime 2016 )
Nom avec Debitto ( David ) : Jasdebi .
Origine : américaine
Taille : 163 cm
Poids : 47 kg
Âge : autour de 17 ans
Anniversaire : 21 décembre
Groupe sanguin : B
omposés de Jasdero ( ci-dessus ) et Debitto(David les Jasdebi incarnent le Lien.
Debitto et Jasdero sont deux adolescents plein de fougue, très impulsifs et grossiers. Ils détestent Cross, car ce dernier a constamment réussi à les semer en leur laissant ses dettes à payer. Ces deux jeunes garçons se maquillent et ont un look plutôt spécial, habillés avec des pantalons noirs moulants pleins de trous, des t-shirts trop grands, des bottes et un long manteau avec de la fourrure et ce qui leur donne un physique androgyne.
Comparé à son frère, Jasdero semble être un peu plus bête que celui-ci. Il possède une antenne perchée au dessus du crâne, ainsi qu'une bouche cousue (mais qui ne l'empêche pas de parler). Sa chevelure est longue, blonde et bouclée, qu'il clame « somptueuse chevelure d'or ». Il est souvent utilisé comme cheval pour tirer une calèche (ce qui laisse supposer qu'il possède une certaine endurance ainsi qu'une certaine force). Jasdero prononce très souvent « Hi » ou « Hi hi » en fin de phrase.
Debitto, quant à lui, est brun avec une mèche de cheveux barrant son œil droit. Il parait un peu plus mal élevé et plus intelligent que Jasdero.
Ils ont le pouvoir de matérialiser ce qu'ils désirent, à condition qu'ils pensent à la même chose en même temps. Ils possèdent chacun un revolver non chargé qu'ils ont acheté sur un marché noir. Les projectiles qu'ils tirent avec leurs armes varient en fonction de la couleur prononcée par les Jasdebi : ils peuvent être de glace (« boum : bleu »), de feu (« boum : rouge ») ou peuvent créer des « lunettes trompeuses » (« boum : pourpre ») qui plongent leurs adversaires dans une illusion. Ils peuvent fusionner pour ne devenir qu'une personne : Jasdebi.
Pour cela ils doivent chanter une chanson puis se tirer dessus avec leurs revolvers. Possédant une longue chevelure blonde (rappelant Jasdero) à la base brune (rappelant Dabitto), il utilise ses cheveux comme armes et comme autres membres. Son maquillage rappelle aussi celui des deux adolescents. Son physique, toujours androgyne, porte à confusion, mais Jasdebi est un homme. Doté toujours du caractère impulsif presque immature et du pouvoir de matérialisation, Jasdebi devient donc un puissant ennemi qui donnera beaucoup de fil à retordre à Arystar Krory.
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Que t’inspire la marche du monde moderne ?
Ce dans quoi nous vivons ne peut plus en aucun cas, je pense, être appelé un monde. Philippe Muray a quelque part raison lorsque reprenant le concept de fin de l’Histoire, il affirme qu’elle est déjà finie sans que nous le sachions… Ce qu’il appelle l’ Après-Histoire n’est pas très loin de ce que je nomme un âge de glace et dont le caractère premier (et du coup dernier) serait l’indifférenciation, c’est-à-dire la mort. Au fil des siècles, l’homme s’est peu à peu trouvé engouffré dans un vortex, celui de la peur du Vide. Les pires maux on le sait, sont ceux dont on n’est pas absolument certain, craintes hypocondriaques ou premiers symptômes d’on ne sait quoi ; l’esprit humain, qui ne supporte pas l’inconnu, trouve alors généralement au problème cette unique et tragique solution qui consiste à venir au-devant du mal : c’est le sage se suicidant par peur de la mort. De la même façon, l’humanité ne sachant trop ce qu’était l’abîme ni s’il existait vraiment, a fini par le creuser de ses propres mains et par s’y jeter. Sans doute même y a-t-il eu, dans ce grand moment de psychologie collective (ou plutôt, ici, totale), quelque chose comme un profond sentiment de volupté.
Entretien avec Flav pour Rébellion. Réalisé en 2003.
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17/12/18 : Normal
Encore ces signaux. Encore ces appels. Encore ce regard. Il hausse un sourcil, feignant de ne pas comprendre. Elle soupire, son visage devient sombre. Il sent son cœur battre bizarrement, c'est très étrange. Elle flirte avec cette fille, ce garçon, ces gens. Elle cherche à attirer son attention, à le rendre jaloux. Et il l'est, il est tellement jaloux, c'est vrai ! Mais... il ne ressent pas ce qu'elle attend de lui. Il sent la colère monter en lui, quand il voit qu'elle laisse ses lèvres traîner sur les leurs. Sa possessivité vient, et prend contrôle de son être. Il est jaloux, intensément jaloux ! Les piques qu'elle lui envoie sont nombreuses. Elle a l'impression qu'il ne veut pas d'elle. Qu'il ne l'aime pas. Mais c'est faux, absurdement faux ! Bien entendu qu'il l'aime, évidemment qu'il l'aime. Il l'aime à en mourir, il l'aime comme un idiot, un obsédé, un fou ! Il l'aime de tout son cœur, mais... quand elle se déshabille et que son regard de glace s'embrase, quand elle mord sa lèvre inférieure et que sa voix suave s'adresse à lui, il... il n'a pas ce besoin, cette envie de ne faire qu'un avec elle. Il n'est pas normal. Tous les autres garçons de son âge ont déjà eu envie de ça. On n'arrête pas de lui dire combien certains paieraient, afin que leur petite-amie soit comme la sienne. Ça lui donne le vertige, ça lui fait peur. Ça le blesse, quand elle ne lui adresse pas la parole parce qu'il n'a pas répondu à ses signaux. Ses piques lui font mal, son air froid lui donne l'impression d'avoir été électrocuté. Et il a peur qu'elle se lasse, qu'elle aille voir ailleurs, parce qu'il n'arrive pas répondre à ses insinuations, parce qu'elle est insatisfaite, parce qu'elle se trouve délaissée. Daniel Dawn, le faux lion. Daniel Dawn, adolescent pas normal. Daniel Dawn, amoureux incompétent ! Daniel Dawn, le jeune qui a peur de perdre par manque d'envie. Il n'a pas le choix, s'il veut qu'ils restent ensemble. Il attrape ses craintes, ses appréhensions, son dégoût de lui-même. Il les attache en formant une boule, les enferme au plus profond de son être, là où se trouvent sa peur et son ego blessé. Son regard rieur, son sourire amusé, son air jovial. Il remet tout en place, comme si de rien n'était. Il a pris l'habitude, depuis le temps. Et quand un autre jour, elle lui renvoie ce signal, il répond, pour la première fois depuis leur première fois, ce jour dans ce compartiment, dans ce PoudlardExpress. Elle est surprise, suspicieuse, mais finalement, elle sourit. Les vêtements volent bientôt, leur corps chaud sont au contact de l'air tiède de la salle de classe. Il sent la boule qui menace de céder, d'exploser. Mais il lutte, fort, et il parvient à passer outre d'elle. Alors, il le fait. Pour elle, par peur, par jalousie, par possessivité, par amour. Ils ne font qu'un, et il est normal. Pour le moment.
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"Quel beau temps."
"C'est vrai."
Après avoir désespérément réfléchi à quelque chose, une phrase aussi banale est sortie de ma bouche. Comme d'habitude, j'ai reçu une réponse désinvolte avant que le silence ne s'installe à nouveau.
Avec un petit soupir, je détournai mon regard de la vue à l'extérieur de la fenêtre de la résidence ducale vers le bel homme assis en face de moi.
—Philip Laurenson. Il était le fils du duc, et en même temps, mon fiancé.
Des cheveux bleu marine de la même couleur que le ciel nocturne et des yeux dorés qui ressemblent à des étoiles scintillantes. Ses traits étaient si beaux que tout le monde aurait été ébloui. Il était toujours calme et inexpressif, et on le surnommait le 'noble de la glace'. Grâce à cette beauté, il était extrêmement populaire dans les cercles sociaux.
Il ne semblait pas se préoccuper de l'atmosphère gênante qui régnait. D'un geste gracieux, il sirota froidement son thé.
...J'avais beau y penser, moi, la fille du vicomte Viola Wesley, j'étais totalement en dessous de son niveau. J'étais un peu plus jolie que la plupart des gens—mais même cela, je n'étais pas à la hauteur de sa beauté.
S'il s'est engagé avec moi, c'est parce que dans le passé, lorsque le duc de Laurenson était en grand danger, c'est le vicomte Wesley— un diseur de bonne aventure, qui l'a sauvé. Lorsque le duc faisait ce que lui disait le vicomte, tout se passait bien.
Il semble que lorsque le duc voulut lui rendre la pareille, le vicomte lui demanda : "Si un jour, nos enfants ont le même âge, je veux qu'ils se marient."
Après plus de 100 ans, c'est Philip et moi qui avons finalement rempli cette condition.
Le duc de Laurenson, qui se sentait toujours redevable envers ma famille, demanda immédiatement des fiançailles. Je suis née un mois après Philippe. Ma famille n'avait aucune raison de refuser et les fiançailles furent décidées en un rien de temps.
"Euh, Lord Philip..."
"Quoi ?"
"Nous devrions recommencer à nous réunir une fois par mois. Lord Philip pourrait-il transmettre cela au duc ?"
Depuis notre plus jeune âge, nous nous rencontrions toujours une fois par mois. Nous étions censés passer du temps ensemble, mais en réalité, nous ne faisions que nous regarder en face, boire du thé et échanger quelques mots.
Chaque fois que j'essayais de converser avec lui, il répondait toujours par "Oh".ou "Oui".
Ensuite, la conversation s'arrêtait. Ce n'était que de la souffrance.
Depuis le début, il n'était pas très bavard. Il ne m'a donc jamais beaucoup parlé. C'était comme ça depuis que nous étions enfants.
À chaque fois, je priais pour que le temps passe pour que ça se finisse.
Mais soudainement, depuis quelques mois, nos réunions sont devenues bimensuelles. Je ne savais pas à quoi pensait le duc. Devrions-nous vraiment perdre notre temps l'un et l'autre comme cela ? D'autant plus que Philip était quelqu'un d'occupé. L'autre jour, j'ai dit au duc d'annuler les réunions, mais il m'a seulement souri.
"Pourquoi cela ?"
Je pensais qu'il partageait le même sentiment. Malgré cela, lorsque j'ai reçu une sorte de réponse, une voix stupide s'est échappée de ma bouche.
"Pourquoi, vous dites... mais, n'êtes-vous pas occupé, Lord Philip ?"
"Je ne suis certainement pas libre, mais mon affaire ne prendra que quelques heures. Il n'y a pas de problème."
Quand il m'a dit cela, je n'ai pas eu d'autre choix que de répondre : "Je comprends."
Après un moment de silence, c'est Philip qui ouvre la bouche.
"J'ai été invité à la soirée d'une connaissance la semaine prochaine. Voulez-vous vous joindre à moi ?"
"Je comprends."
En tant que fiancée, j'avais rarement l'occasion de sortir et de socialiser avec lui. Il ne m'invitait que lorsque ma présence était requise.
Mais chaque fois que nous participions à un événement social, il se dépêchait toujours de rentrer chez lui après avoir présenté le minimum de salutations. J'avais entendu dire par mon entourage que ce n'était pas le cas lorsqu'il était seul...
Serait-ce qu'il était gêné d'être vu avec moi en public ?
Je n'aimais pas être attaquée par les fangirls de Philip, et comme j'allais rarement seule aux événements sociaux, je commençais à me sentir retirée socialement. J'avais reçu une éducation rigoureuse dès mon plus jeune âge pour aider Philip, mais le fardeau d'être une duchesse était trop lourd pour moi.
J'avais du mal à goûter mon propre thé. En raison du silence qui durait depuis un moment, j'ai commencé à compter le nombre d'anneaux sur la table en bois.
◇◇◇
"Merci pour le temps que vous m'avez consacré aujourd'hui. Alors, je vous donne rendez-vous la semaine prochaine au bal du soir."
"Oui."
Philip semblait avoir quelque chose à faire et mit fin à la réunion trente minutes plus tard. Pourtant, même s'il était très occupé, il me raccompagnait toujours à ma calèche.
Lorsque je suis entrée dans la calèche et que je ne l'ai plus vu par la fenêtre, j'ai poussé un profond soupir.
"...Haa."
Notre mariage aurait lieu l'année prochaine, une fois que nous aurions tous les deux atteint l'âge de 18 ans.
Mais si nous nous marions de cette manière, serons-nous jamais heureux ? Philip devrait envisager une meilleure partenaire.
Même si ma famille avait le rang d'un vicomte, notre situation financière était stable. Cela ne me dérangerait pas de perdre mon mariage avec lui.
"Je vous déteste, Lord Philip !"
"...Je vous déteste aussi."
Soudain, je me suis souvenu de cet échange passé. Certes, cet échange avait eu lieu lorsque nous avions tous les deux 14 ans. Même à cette époque, Philip n'était pas bavard. Malgré tout, ce n'était pas aussi gênant que maintenant.
Cela s'est produit alors que la calèche se balançait et que je me demandais s'il était possible de rompre mes fiançailles.
Soudain, la calèche s'est mise à trembler, produisant un bruit épouvantable. L'instant d'après, elle s'est renversé. Au même moment, j'ai ressenti une vive douleur à la tête, puis j'ai perdu connaissance.
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J’ai vu, ce matin, une bête brune, Marmotte de ma mémoire. Avec l’incolore croissant de lune Se mêlaient ses dents d’ivoire. Prenait-elle une chance ou mon destin, En grignotant les trèfles du jardin?
De ses griffes aussi longues et dures Qu’une nuit sans sommeiller, Maître sans études d’architecture, Elle creusait son terrier. Du sous-sol, a-t-elle cassé fenêtres Pour que rayons, vents ou voleurs pénètrent?
Comme des marées, son ombre la suit, Accompagnée par l’hiver. Remontant à la surface aujourd’hui, Que verra-t-elle derrière? Regardant son côté obscur en face, Son temps de jeunesse est mis sur la glace.
Frappe-moi, blizzard! Berce-moi, printemps Dont reviennent les couleurs. Le soleil? Un déjà-vu. C’est le temps Du renouveau et des fleurs. Le matin, l’astre au même point du ciel, Serait-il une boucle temporelle?
Les jours se succèdent, sans héritage Autre que mes connaissances. Ils se répètent comme, d’âge en âge, La monotone existence. Sans mon accord, au son toujours pareil, La musique de mon cœur me réveille.
Ça me tue tant de revivre ce jour Que je ne sais si je suis. Changerai-je avec les temps, par amour? Le temps est beau comme lui. Mais j’arrive au mauvais temps. Suis-je dieu? Météorologue sans croire aux cieux?
Marmotte, qu’es-tu? Démon conjuré Ou une divinité? Moments magiques, je vous revivrais! Ma joie veut l’éternité. Marmotte, je crie « Encore! » aux instants. Retourne-toi! Retournons dans le temps.
-Poésie: "Le jour de la marmotte", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme -Photo prise dans mon jardin au milieu de l'été, ayant inspiré ce poème. Je pense à la partager sur les réseaux sociaux depuis l'année dernière mais j'ai oublié que le jour de la marmotte c'était le 2 février lol
#marmotte#groundhog#groundhog day#groundhog 2025#did the groundhog see his shadow today#did groundhog see his shadow 2025#memory#garden#dark shadows#youth#blizzard#time travel#time passing#meteorology#cult movies#nietzche#friedrich nietzsche
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Bruno et Cédric étaient, dans leur jeune âge, deux camarades inséparables. Ils habitaient la même rue, fréquentaient la même école, étaient dans la même classe. Ils s’entendaient très bien et pourtant, ils étaient si différents ! Quand Cédric avait une difficulté dans une matière scolaire, il savait qu’il pouvait compter sur Bruno qui n’hésitait pas à l’aider. Et quand Bruno avait un problème mécanique sur sa bicyclette, il pouvait compter sur Cédric pour la lui réparer.
Ils ne pouvaient pas s’imaginer pouvoir vivre un jour l’un sans l’autre.
Pourtant, la vie les sépara…
Cela a pesé lourd sur le cœur de chacun lorsqu’un gros camion de déménagement fut devant la porte du logement de Bruno et que sa famille partit bien loin…
Quelques années plus tard, Cédric est électricien dans une grande entreprise. Le soir, il est seul dans une chambre qu’il loue, et il s’ennuie… Il pense de temps en temps à son vieux copain Bruno, se rappelant les bons souvenirs d’enfance, mais il ne le voit plus du tout et ignore même ce qu’il fait.
Pour rompre la solitude qui lui pèse de plus en plus, Cédric commence à fréquenter le café d’en face, puis il se fait quelques amis – malheureusement peu recommandables – qui lui expliquent comment gagner de l’argent bien plus facilement qu’avec un tournevis d’électricien. Cédric se laisse convaincre et entraîner, et c’est ainsi qu’un jour, il se retrouve menottes aux poignets, ayant été pris en flagrant délit de vol.
Le jour du jugement est arrivé. Encadré par deux policiers, Cédric est introduit dans le tribunal, une salle froide dans laquelle sont assises plusieurs personnes. Il n’y fait tout d’abord pas très attention car, plongé dans ses réflexions, il sait qu’il va être condamné à une lourde peine, peut-être à une amende qu’il sera incapable de payer.
Tout à coup, son sang se glace dans les veines. Il voit… il voit là-bas, assis derrière une longue table, trois hommes en robe noire, celui du milieu… c’est Bruno ! Oui, c’est bien lui, c’est Bruno !
Cédric voudrait l’interpeller : « Bruno, c’est moi, ton copain, tu ne me reconnais pas ? »
Mais non, il ne peut pas faire cela. Et puis, après ce qu’il a fait, il préférerait ne pas être reconnu !
Lentement on énumère son nom, âge, profession, adresse et les charges retenues contre lui. On écoute les témoins, les avocats, puis le verdict est rendu selon les rigueurs de la loi. Cédric doit entendre la sentence prononcée par son ancien camarade : de la prison avec sursis et une amende plus lourde que ce qu’il avait imaginé. Cédric est anéanti, se disant qu’il ne pourra jamais s’en sortir.
Quelques heures ont passé. Cédric est remis en liberté et le voici dans sa chambre, perdu dans ses sombres pensées, quand soudain, il entend frapper à sa porte. C’est Bruno ! Pas le Bruno en robe de juge, les yeux sévères et dont la voix résonne sinistrement dans la salle du tribunal, mais le Bruno à la voix douce et aux yeux reflétant l’amitié, la même amitié que celle d’autrefois. Quelques échanges de mots, puis Bruno demande, d’un ton grave : «Que penses-tu faire maintenant ?»
L’espace d’un instant, Cédric est tenté de lui lancer à la tête : « Je vais essayé de payer l’amende que tu m’a collée ! ». Mais il réalise qu’il mérite cette sentence, de plus il n’a pas le temps d’être désagréable car déjà Bruno enchaîne :
« Écoute, j’ai acheté une maison entourée d’un immense jardin. Tu me connais, je ne suis pas fort en jardinage. Ce serait vraiment super si tu voulais venir t’en occuper. Tu habiterais là car, dans cette même propriété, il y a une maisonnette qu’on pourrait aménager, et ce serait alors un peu comme autrefois. »
Cédric qui a toujours aimé s’occuper du jardinage, lève la tête et rencontre les yeux de Bruno qui le regarde interrogateur, comme autrefois lorsqu’il lui demandait de réparer sa bicyclette.
« Mais… et l’amende ? » balbutie-t-il.
« L’amende ? elle est payée ! Je viens de signer un chèque correspondant au montant que tu dois ! »
* * *
Je ne peux pas affirmer l’authenticité de cette histoire ancienne mais, qu’elle soit réelle ou romancée, elle illustre bien celle de chacun de ceux qui ont mis leur confiance en Jésus Christ.
Dieu déclare que nous sommes tous condamnables parce que « tous ont péché » (Romains 3 v.23)
« Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas péché » (Ecclésiaste 7 v.20)
« Mais, direz-vous peut-être, je n’ai jamais fait de mal à personne et je peux passer la tête haute devant les juges ». Oui, sans doute, devant la justice des hommes à qui nous pouvons cacher ce qui n’est ni vu ni connu, mais pas devant la justice de Dieu qui connaît tout, y compris nos pensées les plus secrètes. « Il n’y aucune créature qui soit cachée devant lui mais tout est nu et découvert aux yeux de celui à qui nous avons affaire » (Hébreux 4 v.13)
Quelqu’un oserait-il déclarer qu’il n’a jamais enfreint un seul des commandements de la loi divine tels que « tu ne convoiteras pas… », « tu ne diras pas de faux-témoignage… » ou ceux que Jésus rappela quand un docteur de la loi l’interrogeait pour l’éprouver : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est là le grand et premier commandement. Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent la loi entière et les prophètes. » (Matthieu 22 v.37 à 40). Chaque jour et même plusieurs fois par jour, nous transgressons les droits de Dieu par une mauvaise pensée, une hypocrisie, un regard de convoitise, un mensonge, une pensée d’orgueil etc. Par tout cela, Dieu est offensé et, à cause de sa sainteté et de sa justice, il se doit à lui-même de nous condamner. Ce Dieu qui a les yeux trop purs pour voir le mal (Habakuk 1 v.13) ne peut pas se renier lui-même en passant sur un seul péché.
Cette condamnation est sans appel. Les œuvres, l'argent, les sacrifices, ne feront pas fléchir le juge. Malgré toute sa bonne volonté, l'homme ruiné ne peut absolument pas échapper à sa condamnation qui est la mort éternelle, « car le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6 v.23)
N'y a-t-il donc pas d'espoir d'échapper au jugement mérité ? Du côté de l'homme, non. C’est alors que Dieu se révèle comme le Dieu sauveur. Il est venu jusqu’à nous dans la personne de son Fils unique, Jésus Christ qui paya à notre place le prix immense du péché en souffrant et mourant sur la croix.
Si Bruno a payé l’amende de son ami Cédric en signant un chèque, Christ a payé notre dette, non avec de l’argent ou de l’or, mais par son sang précieux (1 Pierre 1 v.19). Il a donné sa vie pour nous, et il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis (Jean 15 v.13).
C'est ainsi que Celui qui condamne parce qu'il est saint et juste, nous délivre et nous sauve parce qu'il nous aime. Mais à la condition que nous acceptions à la fois son verdict et son salut.
Non seulement Bruno a payé l’amende de Cédric, mais il l’invite à venir vivre chez lui, dans sa propriété.
Non seulement Jésus a payé notre dette à la croix, mais bientôt, il reviendra et prendra tous ses rachetés pour les introduire dans son ciel et être toujours avec lui.
Ami lecteur, Jésus est-il votre Sauveur ? L’avez-vous reçu comme tel, par la foi ?
Sinon, il reste votre Juge.
http://www.la-verite-sure.fr/page152.html
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