#âge adulte
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Âge tendre, Clémentine Beauvais
La Présidente de la République l’a décrété : avant d’entrer au lycée, tous les élèves doivent effectuer un service civique de 10 mois, hors leur région natale. Pour Valentin, c’est le coup dur ; encore plus quand il apprend qu’il part à Boulogne-sur-Mer dans le Pas-de-Calais, dans une unité de soins pour les personnes âgées atteintes de démence qui reconstitue un village des sixties. Sa première mission : annoncer à une résidente que Françoise Hardy ne pourra pas venir chanter. Sauf que Valentin déteste contrarier les gens… alors il promet le contraire. Françoise Hardy viendra ! Il fera tout pour, quitte à trouver un sosie de la star. Sous l’œil attentif et amusé de Sola, sa tutrice, Valentin va découvrir un tout nouvel univers…
Clémentine Beauvais nous offre « une petite poésie et une petite tristesse ». Ce sont les mots de Valentin, et j’ai trouvé qu’ils résonnaient vraiment très bien avec ce roman. Il y a beaucoup de poésie et de mélancolie, beaucoup de tendresse aussi. Au début j’étais un peu étonnée de la façon dont c’est écrit (un rapport de stage de 400 pages), mais j’ai trouvé ça tellement ingénieux ! Un vrai tour de force stylistique. Mes impressions ont été : très bonnes, et j’ai ressenti un bien-être de 8/10 à ma lecture et elle a fait baisser mes angoisses à 2/10 (exemple : j’ai beaucoup ri et j’étais très touchée par plusieurs scènes, et surtout je ne pouvais plus le lâcher, je l’ai dévoré en deux jours à peine). D’autant plus que c’est crédible que ce soit un ado de 14 ans qui écrive ; je n’ai jamais eu l’impression de lire un adulte qui essaye de se faire passer pour un ado avec un parler djeun’s exagéré. C’était hyper appréciable.
J’ai adoré le personnage de Valentin, et sa relation avec Sola. On passe du rire aux (presque) larmes, et ce sont deux personnages qui m’ont beaucoup parlé, surtout Valentin. À travers lui, l’autrice en profite pour parler de plein de choses : l’anxiété, la confiance en soi et son manque, le deuil, le fait de se chercher, de se découvrir, d’être perdu… je suspecte Valentin d’être atteint d’un trouble du spectre autistique, ou d’être simplement très renfermé et très mal à l’aise. Mais c’est encore une fois un tour de force de Clémentine Beauvais : son personnage est tellement humain, il résonne tellement qu’on peut y voir tout ce qu’on veut y voir.
En plus, il y a une Présidente de la République de gauche avec un gouvernement de gauche. Et de l’écriture inclusive.
18/07/2024 - 19/07/2024
#livres#books#livre#book#littérature#littérature young adult#littérature francophone#clémentine beauvais#âge tendre#éditions sarbacane#éditions j’ai lu
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!?!?!?
#HOW OLD IS FRED!?#QUEL ÂGE A FRED!?#qsmp#qsmp liveblog#qsmp fred#qsmp tubbo#Traduction : Je sais maintenant ce que signifie LMAO ! Je me sens plus jeune en utilisant ce que les jeunes adultes appellent l'argot
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L'autre jour je parlais de D. le petit chou qui a maintenant 10 ans et demi et avec lequel je travaillais quand il avait 2,3 et 4 ans. L'émergence de son langage avait été coupée nette par le décès du grand-père avec lequel il était très fusionnel. Il avait développé un mutisme sélectif. La rééducation du langage avait super bien fonctionn��, il l'a terminée en parlant normalement, il a entièrement récupéré son retard.
Aujourd'hui ses parents sont séparés, son père est avec une psy qui soutient que D est autiste. Dans son jeune âge, on n'a jamais vu de ritualisation, d'intérêts particuliers pour des petits machins que nous, simples mortels, on ne remarquerait même pas, et toutes les étapes du jeu sont apparues aux moments attendus. Le langage s'est débloqué et la courbe est montée à pic, les interactions avec ses pairs avec les adultes sont normales. Le diagnostic d'autisme n'a donc même pas effleuré mon esprit. Il a juste développé son langage avec une bonne acuité non-verbale, une observation des choses, une compréhension des choses et des personnes, un caractère plutôt introverti et il refuse de parler à sa belle-mère. Ce qui, avec son regard de psy et de belle-mère toxique est signe d'autisme 🤡
Le hic est qu'elle essaie de mettre ses copines sur le coup pour valider ce diagnostic.
Du coup maintenant son problème c'est moi.
Je vois D. tout à l'heure je suis émue d'avance.
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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Petit rappel de la population vampirique actuelle d'Hylewood. Officiellement, ils sont tous connus sous le nom de la famille Rumédier (une de ses innombrables branches) :
Adèle et Frédéric
Véritables noms : Adèle Le Bris (née Schneider) et Frédéric Rumédier.
Âges : 127 et 100 ans [1803 et 100].
Adèle a été transformée par Frédéric à sa mort en couches, à l'âge de 40 ans. Elle a été contrainte de quitter l'île quelques années, coincée dans l'état de semi-conscience propre aux nouveaux nés vampiriques. Pendant cette période, poussée par la faim, elle a commis de nombreux meurtres, jusqu'à sa stabilisation progressive. Frédéric, homme gay de plus en plus acculé par les rumeurs, lui a proposé un mariage blanc pour solidifier sa réputation aux yeux du monde. Pour Adèle, c'était une occasion inespérée de pouvoir se rapprocher de sa famille, qu'elle n'avait pas vu depuis des années et qu'elle n'osait pas approcher.
Frédéric est un vampire-né. Après une croissance particulièrement lente, il a cessé de vieillir une fois l'âge adulte atteint. Il a transformé Adèle alors qu'il n'était qu'un enfant. Il n'a pas vraiment fait exprès : il était poussé par une faim naturelle et il s'était toujours refusé à boire le sang d'un humain vivant - principe auquel il se tient encore aujourd'hui. Un corps frais ne lui posait pas de problème éthique... Cependant, son sentiment de solitude était tellement grand qu'en la mordant, il ne s'est pas contenté de boire son sang. L'impossible s'est produit et Adèle est revenue à la vie, transformée en vampire. Il n'avait pas prévu que sa transformation la rende si instable...
Depuis, Frédéric et Adèle ont ouvert un sanatorium. En apparence une résidence pour tuberculeux - le parfait alibi pour repousser les curieux, il s'agit en fait d'un établissement destiné à recueillir les créatures surnaturelles isolées.
Clémence et Lucrèce
Véritables noms : Clémence Le Bris (née Brion) et Lucrèce Le Bris.
Âges : 79 et 76 ans [1851 et 1854].
Veuve désargentée, Clémence s'est faite piéger dans un mariage sans amour avec l'homme qui avait assassinée son défunt époux dans le but de récupérer la fortune de son frère... et sa femme. Face à un mari psychopathique et obsessif, ses seuls réconforts étaient ses enfants... ainsi la sœur jumelle de son mari, Lucrèce, dont elle tombe éperdument amoureuse. Malheureusement, Clémence tombe malade et s'affaiblit de plus en plus. Craignant de la voir mourir, Lucrèce prend la décision de la transformer. Au moment de sa transformation, Clémence a 39 ans.
Lucrèce est une vampire née. Elle passe toute sa jeunesse persuadée d'avoir une santé fragile et protégée par toute sa famille, comme si elle était faite de procelaine. Comme Frédéric, elle a cessé de vieillir en arrivant à l'âge adulte. C'est à vingt-et-un ans qu'elle découvre que sa faiblesse apparente n'est pas due à quelques langueurs, mais au fait qu'elle ne recevait pas la nutrition nécessaire à un vampire... Grâce au sang que Clémence lui offre, elle découvre que lorsqu'elle est proprement nourrie, elle est en fait bien plus forte que n'importe qui et dotée de nombreux pouvoirs. Lorsque Clémence tombe malade, Lucrèce refuse de la voir mourir et la transforme en vampire.
Comme Adèle, en tant que vampire nouveau-né, Clémence est particulièrement instable suite à sa transformation, au point où elle manque de tuer ses propres enfants. Pour leur sécurité, Lucrèce prend la décision de l'enfermer à la cave, en prétextant l'avoir envoyée dans un sanatorium pour soigner les conséquences de sa longue maladie... Mais les années passant, Maximilien - son frère jumeau et l'époux de Clémence - commence à se douter de quelque chose, et il finit non seulement par découvrir que sa femme est tenue recluse dans leur cave, mais en plus qu'elle a une liaison avec sa sœur. Accusant sa femme d'avoir corrompu sa fragile sœur jumelle, il s'apprête à la tuer de sang froid. Elles réagissent en massacrant Maximilien et en buvant son sang... Après ce meurtre, elles ne peuvent pas rester. Elles s'enfuient au Canada avec l'aide d'Auguste, le grand-père de Lucien, et elles sont reccueillies par Adèle et Frédéric au sanatorium d'Hylewood. Officiellement, Clémence est la belle-fille d'Adèle et Frédéric et Lucrèce est une cousine éloignée. Depuis, elles ont refait leur vie et elles sont engagées dans le sauvetage des enfants surnaturels abandonnés à la naissance ou chassés de chez eux. Elles ont adopté trois enfants : Alfred, leur aîné triton ; Georges, leur cadet vampire ; Stépanie, leur benjamine loup-garou.
Georges
Véritable nom : Georges Leloup
Âge : 21 ans [1909].
Georges est un vampire-né. Son père a épousé sa nièce de 40 ans sa cadette qu'il a commencé à battre comme plâtre dès sa grossesse. Georges étant gris et de constitution fragile à la naissance, sa mère était terrifiée de la réaction qu'aurait son mari en le voyant et craignait qu'il le tue de ses mains par frustration qu'elle ait accouché d'un fils d'apparence souffreteuse. Elle a donc pris la lourde décision d'abandonner son bébé et de prétendre qu'il était mort né. C'est ainsi que Georges a été récupéré par Clémence et Lucrèce, qui l'ont élevé comme leur fils.
@selidren m'a envoyé une précision :
"Lucrèce ne décide pas de transformer Clémence, elle le fait sans faire exprès, on manque le drame de peu quand elle ne réalise pas à quel point un jeune vampire est dangereux pour ses proches"
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 2 : A la croisé des chemins
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Lucillia est une jeune femme qui incarne la détermination et le sérieux. En tant qu'étudiante en criminologie, elle montre un grand engagement envers ses études, ce qui suggère qu'elle est passionnée par son domaine et désireuse d'apprendre tout ce qu'elle peut sur la criminalité et la justice.
Son comportement, qui consiste à ne jamais sortir les soirs de semaine, renforce l'image d'une personne disciplinée et concentrée sur ses objectifs académiques. Cela pourrait aussi indiquer qu'elle privilégie ses responsabilités sur les loisirs, ce qui peut être interprété comme une volonté de réussir dans un domaine exigeant.
Lucillia pourrait également avoir des traits de personnalité tels que la rigueur, la responsabilité et peut-être une certaine introversion, car elle semble préférer le temps passé à étudier plutôt que de socialiser. Cela pourrait aussi suggérer qu'elle a des ambitions élevées et qu'elle est prête à faire des sacrifices pour atteindre ses objectifs professionnels.
Aujourd'hui, c'était vendredi, et l'excitation flottait dans l'air. Lucillia se tenait devant son miroir, un sourire sur le visage alors qu'elle se coiffait pour l'anniversaire de sa meilleure amie, Maria. Elle avait choisi une robe élégante, avec des couleurs vives qui faisaient ressortir ses yeux. Les lumières de sa chambre brillaient doucement, créant une ambiance chaleureuse.
Soudain, la porte s'ouvrit et son père adoptif entra, un regard curieux sur le visage.
"Alors, où comptes-tu aller habillée comme ça ?" demanda-t-il, avec une pointe de préoccupation dans la voix.
Lucillia se retourna, les mains dans les cheveux, et répondit avec assurance : "Je vais à la fête d'anniversaire de Maria. C'est important pour moi."
Son père fronça légèrement les sourcils, visiblement inquiet. "Tu sais que je préfère quand tu restes à la maison le vendredi soir."
Lucillia, sentant une vague de frustration monter en elle, répliqua fermement : "Je suis adulte maintenant. Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi. Je peux prendre mes propres décisions."
Un silence s'installa dans la pièce, et son père, réalisant qu'elle avait raison, soupira. "Je sais, Lucillia. Je veux juste que tu sois en sécurité. Mais amuse-toi bien, d'accord ?"
Lucillia acquiesça, un sourire apaisé sur le visage. "Merci. Je ferai attention."
Elle se retourna vers le miroir, terminant sa coiffure, tandis que son père quittait la chambre, laissant derrière lui une atmosphère de compréhension et de respect mutuel.
☆○o。 。o○☆
Le soir était tombé rapidement, enveloppant la salle des fêtes d'une douce obscurité parsemée de lumières étincelantes. Les guirlandes lumineuses accroché aux murs projetaient des ombres dansantes, créant une atmosphère festive et chaleureuse. Lucillia, en entrant, fut immédiatement frappée par l'énergie qui régnait dans la pièce. Les rires et les voix s'entremêlaient, formant une mélodie joyeuse qui résonnait dans l'air.
La salle, décorée avec soin, était remplie de ballons aux couleurs vives flottant au plafond, tandis que des tables garnies de gâteaux, de bonbons et de boissons pétillantes attiraient les convives. Des amis de tous âges se mêlaient, certains dansaient déjà sur le rythme entraînant de la musique, d'autres discutaient avec animation, leurs visages illuminés par la joie de célébrer.
Lucillia, bien que ravie de voir tant de monde, se sentait étrangement à l'écart. Elle observait la scène, ses yeux parcourant les visages familiers et inconnus, se demandant ce qui avait bien pu inciter Maria à organiser une fête si grandiose pour un simple anniversaire. La foule semblait écrasante, chaque éclat de rire lui paraissant à la fois accueillant et intimidant.
Alors qu'elle commençait à se sentir submergée par le tumulte, une main douce et familière se posa sur son épaule. Elle se retourna brusquement et rencontra le regard pétillant de Maria. Sa présence était comme une bouffée d'air frais dans cette mer de visages.
"Lucillia ! Je suis si contente que tu sois là !" s'écria-t-elle, sa voix chaleureuse se détachant du brouhaha ambiant.
Le sourire de Maria était contagieux, et Lucillia sentit une vague de soulagement l'envahir. La tension qui l'étreignait se dissipa lentement, remplacée par une chaleur réconfortante. Elle savait que, tant que Maria était à ses côtés, elle pouvait affronter cette soirée animée. Les deux amies se mirent à rire, partageant des anecdotes et des souvenirs, tandis que la fête continuait de vibrer autour d'elles, transformant peu à peu l'appréhension de Lucillia en une anticipation joyeuse.
La soirée battait son plein, et Lucillia se laissait emporter par les rythmes entraînants de la musique. Les lumières clignotaient au rythme des basses, créant une ambiance électrisante. Elle dansait avec entrain, ses mouvements fluides et joyeux, riant avec ses amis autour d'elle.Après quelques heures de fête, Maria, les yeux pétillants d'excitation, s'approcha de Lucillia.
"Hé, tu veux qu'on s'échappe un moment ? J'aimerais passer un peu de temps rien que toutes les deux," proposa-t-elle, un sourire complice aux lèvres.
Lucillia, surprise mais ravie, hocha la tête. "Oui, bien sûr ! J'adore cette idée. Ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un moment juste pour nous," répondit-elle, sa voix pleine d'enthousiasme.
Les deux amies se dirigèrent vers la sortie, laissant derrière elles le tumulte de la fête. Une fois à l'extérieur, l'air frais de la nuit les enveloppa, apportant un contraste agréable après la chaleur de la salle. Elles se trouvèrent dans la rue avec les lumière de la ville.
"Regarde comme c'est beau ! Ça me rappelle nos soirées d'été," dit Maria, les yeux rivés sur le paysage illuminé.
Lucillia sourit en se remémorant ces moments. "Oui, et toutes nos discussions jusqu'à l'aube. On devrait vraiment en faire plus souvent," ajouta-t-elle, un brin nostalgique.
Maria tourna son regard vers Lucillia, son expression devenant plus sérieuse. "Tu sais, je suis vraiment contente que tu sois là ce soir. Parfois, j'ai l'impression que tout va si vite avec les cours , et j'ai besoin de ces moments avec toi pour me recentrer," confia-t-elle.
Lucillia, touchée par ses mots, lui prit la main. "Moi aussi, Maria. On doit toujours trouver du temps l'une pour l'autre, peu importe à quel point nos vies sont chargées," répondit-elle avec sincérité.
Les deux amies restèrent là, à discuter et à rire, profitant de cette parenthèse enchantée dans la soirée, renforçant leur lien précieux.
Les deux amies marchaient tranquillement, profitant de la fraîcheur de la nuit. Alors qu'elles passaient devant un magasin encore illuminé, une enseigne colorée attira leur attention. C'était là que se trouvait Lilia Calderu, la fameuse femme qui lisait les lignes de la main. Les lumières scintillantes du magasin créaient une atmosphère intrigante, presque mystique.
Maria, les yeux brillants d'excitation, s'arrêta brusquement.
"Regarde, Lucillia ! C'est là ! On devrait vraiment y aller. Ça serait super intéressant de voir ce que Lilia a à dire," proposa-t-elle, le ton enjoué.
Lucillia, cependant, ne partageait pas l'enthousiasme de son amie. Elle haussait les épaules, l'air perplexe. "Je ne sais pas, Maria. Je pense que c'est juste du commerce. Ces choses-là, ça ne me parle pas vraiment," répondit-elle, un soupçon de scepticisme dans sa voix.
Maria insista, un sourire charmeur aux lèvres. "Mais non ! Lilia est une vraie devineresse. Tout le monde dit qu'elle a des dons incroyables. Tu pourrais découvrir des choses sur toi-même que tu ne soupçonnes même pas," argumenta-t-elle, tentant de convaincre Lucillia.
Lucillia plissa les lèvres, hésitant. "Tu sais que je ne crois pas trop à ces trucs. Ça me semble un peu... farfelu," dit-elle, en regardant le magasin avec une certaine méfiance.
Maria, ne se laissant pas décourager, s'approcha d'elle et lui prit le bras. "Allez, fais-le pour moi ! Juste un petit tour, et si tu n'aimes pas, on s'en va. Promis, ça ne prendra pas longtemps," proposa-t-elle, avec un regard suppliant.
Lucillia soupira, mais un sourire commençait à se dessiner sur son visage. "D'accord, d'accord. Mais si je me sens ridicule, c'est sur ta conscience !" finit-elle par céder, amusée par l'insistance de sa meilleure amie.
Maria éclata de rire, ravie. "Merci, Lucillia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !" s'exclama-t-elle, entraînant son amie vers la porte du magasin, impatiente de découvrir ce que Lilia avait à leur révéler.
En entrant dans le magasin de Lilia , Maria et Lucillia furent enveloppées par une douce odeur d'encens et un éclairage tamisé qui donnait à l'endroit une atmosphère presque magique.
Soudain, une porte s'ouvrit à l'arrière-boutique, et Lilia apparut. Ses cheveux longs et bouclés tombaient en cascade sur ses épaules, et son sourire chaleureux illuminait la pièce. Elle fixa les deux jeunes femmes avec des yeux pétillants de curiosité.
"Bienvenue, mes chères," dit-elle d'une voix douce et accueillante. "Que puis-je faire pour vous aujourd'hui ?"
Maria, pleine d'enthousiasme, se tourna vers Lucillia, un léger sourire sur le visage. Elle poussa doucement son amie, lui murmurant : "Allez, Lucillia, c'est à toi. Je vais te laisser."
"Alors, qu'est-ce qui t'amène ici ?" demanda Lilia, s'approchant de Lucillia avec une bienveillance palpable.
Lucillia se tenait dans le magasin de Lilia, entourée de l'odeur apaisante des bougies parfumées et des fleurs fraîches. Pourtant, malgré cette atmosphère réconfortante, elle se sentait piégée, comme si une partie d'elle voulait fuir cette situation, tandis qu'une autre partie désirait ardemment rester et profiter de ce moment.
Elle plongea son regard dans celui de Lilia, cherchant du soutien dans ses yeux pétillants. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, et elle murmura,
"C'est surtout ma meilleure amie qui m'a convaincue de venir ici." Sa voix tremblait légèrement, trahissant son hésitation.
Lilia, avec son sourire délicat et réconfortant, répondit, "Je suis ravie que tu sois là. C'est toujours bien d'avoir quelqu'un pour nous encourager à sortir de notre zone de confort." Elle désigna une petite table en bois, ornée de bougies allumées qui dansaient doucement dans la lumière tamisée. "Viens, installe-toi à cette table," invita-t-elle avec une gestuelle accueillante.
Lucillia, se sentant un peu plus à l'aise, acquiesça et se dirigea vers la table. Elle s'assit, ses doigts caressant la nappe en lin, un peu froissée mais propre, tandis que Lilia s'asseyait en face d'elle, créant une ambiance intime entre elles.
Dans le petit magasin de Lilia, l'air était chargé d'une douce chaleur, et le parfum des herbes séchées flottait autour d'elles. Les rayons de lumière filtraient doucement à travers les fenêtres, illuminant les coins sombres du magasin.
Lilia, avec une grâce presque féerique, s'approcha de Lucillia. Ses doigts, délicats et agiles, se déplacèrent lentement vers la main de Lucillia. Lorsqu'elle prit délicatement sa main, un frisson parcourut la colonne vertébrale de Lucillia, une sensation douce et réconfortante qui la fit sourire.
"Personne n'a jamais vraiment su lire mes lignes de mains," murmura Lucillia, sa voix teintée d'une légère hésitation mais aussi d'un amusement palpable.
Ses yeux brillaient d'une curiosité nouvelle, tandis qu'elle regardait Lilia avec une tendresse palpable.Lilia, intriguée et amusée, leva les yeux vers Lucillia, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres.
"Est-ce que tu me mets à l'épreuve ?" demanda-t-elle, son ton à la fois sérieux et taquin, comme si elle était prête à plonger dans l'inconnu des mystères que recelaient les lignes de la main de son amie.
Lucillia, surprise par cette réponse, sentit son cœur battre plus vite. Elle hocha la tête, un sourire timide illuminant son visage.
"Non je ne me permettrai pas.Peut-être que vous serez la première à pouvoir le faire," répondit-elle, sa voix douce et pleine d'espoir.
Les deux amies restèrent là, leurs mains entrelacées, créant un moment suspendu dans le temps, où le monde extérieur semblait disparaître, laissant place à leur connexion profonde et authentique.
L'atmosphère dans le magasin était devenue tendue, presque électrique. Lilia, avec une grande délicatesse, commença à passer ses doigts sur les lignes de la main de Lucillia, espérant déchiffrer les secrets inscrits dans sa paume. Mais à sa grande surprise, quelque chose d'étrange se produisit. Les lignes semblaient floues, comme si elles se dérobaient à son toucher.
Lilia fronça les sourcils, perplexe. "C'est bizarre," murmura-t-elle, ses doigts s'arrêtant brusquement. Elle tenta de se concentrer, mais plus elle forçait ses pouvoirs à fonctionner, plus le magasin semblait réagir. Les lumières vacillaient, et un léger bourdonnement se faisait entendre, comme si l'électricité elle-même était perturbée.
Lucillia, observant le visage de Lilia, sentit une vague d'inquiétude l'envahir. "Est-ce que ça va ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une légère anxiété. Elle pouvait voir que Lilia était troublée, comme si elle luttait contre une force invisible.
Lilia, toujours plongée dans ses pensées, finit par poser son regard dans celui de Lucillia. Il y avait une intensité dans ses yeux, un mélange de confusion et de curiosité.
"C'est vraiment étrange," dit-elle enfin, sa voix presque un murmure. "Je n'ai jamais rencontré une main qui refuse de se laisser lire.Peut-être devrions-nous essayer de comprendre ce qui se passe avant de continuer," proposa-t-elle, une lueur de détermination dans ses yeux.
Lucillia regarda alors Lilia dans les yeux, une lueur d'interrogation dans son regard. Leurs mains étaient toujours liées, comme si un fil invisible les reliait, et pour une raison étrange, cela ne dérangeait pas les deux femmes. Au contraire, un sentiment de sécurité émanait de ce contact. Leurs mains se serrèrent un peu plus, comme si elles cherchaient à capter une énergie. Puis, après un moment de silence, Lilia relâcha doucement la prise.
« Tu devrais y aller. Fais attention à toi, d'accord ? »
Lucillia acquiesça, un mélange de gratitude et d'appréhension sur le visage. «Oui.. »
Lilia la regarda partir, son cœur battant un peu plus vite. Lucillia se dirigea vers sa meilleure amie, le cœur encore palpitant de cette rencontre inattendue.
« Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer, » commença-t-elle, les yeux brillants d'excitation.
Sa meilleure amie, intriguée, l'écouta attentivement. « Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? Raconte-moi tout ! »
Lucillia prit une profonde inspiration, prête à partager chaque détail de cette expérience qui pourrait changer leur vie.
☆○o。 。o○☆
Le lendemain matin, Lucillia était debout dès l'aube, le ciel encore teinté de nuances orangées. En réalité, elle n'avait pas dormi du tout, son esprit tourbillonnant de questions. Pourquoi personne ne voulait lire les lignes de ses mains ? Pourquoi tout ce mystère autour de son destin ?
Elle se leva lentement, ses pensées encore embrumées par la nuit blanche. Dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir. Son reflet lui renvoyait une image fatiguée, mais déterminée. Elle prit une grande inspiration, essayant de rassembler ses pensées.
Ses yeux se posèrent sur son collier, une simple pierre noire suspendue à une chaîne. Elle l'avait toujours porté, ne l'ayant jamais enlevé depuis son enfance. Sa surface lisse et froide semblait lui murmurer des secrets oubliés.
« Qu'est-ce que tu es censée représenter ? » se demanda-t-elle.
Lucillia sentit une vague de curiosité l'envahir. Elle avait besoin de comprendre ce lien, ce symbole qui l'accompagnait depuis si longtemps. Elle se promit de chercher des réponses, de percer ce mystère qui l'entourait.
Avec une nouvelle détermination, elle se prépara pour la journée, prête à affronter ce qui l'attendait.
Lucillia avait donc décidé d'aller voir la seule personne qui pourrait l'aider : Lilia. Avec une détermination nouvelle, elle se dirigea vers la boutique de cette dernière, un petit endroit chaleureux rempli de senteurs envoûtantes et de couleurs vives. L'air était frais, et chaque pas la rapprochait de la réponse qu'elle cherchait.
Une fois arrivée, elle poussa la porte en bois, et un petit carillon retentit, annonçant son arrivée. Lucillia jeta un coup d'œil autour d'elle, ses yeux se posant sur Lilia, qui était en train de préparer du thé. La lumière douce du matin filtrait à travers les fenêtres, illuminant le visage de Lilia, qui semblait radieuse.
« Bonjour, Lucillia ! » s'exclama Lilia en levant les yeux, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle la trouva très belle, avec une aura de mystère. « Que puis-je faire pour toi aujourd'hui ? »
Lucillia, un peu nerveuse, s'approcha de la table où Lilia avait disposé des tasses délicates. « Bonjour, Lilia. Je… j'ai besoin de ton aide. »
Lilia, toujours en train de verser le thé dans une tasse, l'invita à s'asseoir. « Prends une tasse de thé d'abord. Ça te fera du bien. »
« Merci, » répondit Lucillia, s'installant sur une chaise en bois.
Elle observa Lilia, qui lui tendit une tasse fumante. L'odeur du thé était apaisante, mais son esprit était encore agité.
« Alors, qu'est-ce qui te tracasse ? » demanda Lilia, s'asseyant en face d'elle, ses yeux pleins d'attention.
Lucillia hésita un instant, puis expliqua : « J'ai ce collier avec une pierre noire, et je sens qu'il cache quelque chose d'important. Personne ne veut lire les lignes de ma main, et je me demande pourquoi. »
Lilia l'écouta avec soin, son regard sérieux. « Les lignes de la main peuvent révéler beaucoup de choses, mais parfois, il faut aussi écouter les objets qui nous entourent. Dis-moi en plus sur ce collier. »
Lucillia prit une gorgée de thé, se sentant un peu plus à l'aise, prête à partager le mystère qui l'intriguait tant.
Lucillia, les mains tremblantes, tourna son regard vers Lilia, le cœur battant. « Je… je ne sais rien de ce collier, » avoua-t-elle, sa voix à peine un murmure. « Je l'ai depuis que je suis bébé. Mes parents adoptifs m'ont dit qu'il était déjà là dans mon berceau. »
Elle leva doucement la main, montrant le collier à Lilia sans l'enlever de son cou. La pierre noire brillait d'un éclat mystérieux, comme si elle contenait des secrets inavoués.
Lilia, fascinée, s'approcha lentement, son regard fixé sur la pierre. « Puis-je ? » demanda-t-elle, tendant la main avec précaution.
Lucillia hocha la tête, son souffle se faisant plus court alors que Lilia touchait la pierre.Lorsque Lilia prit la pierre entre ses doigts, une chaleur douce se répandit dans l'air. Les deux femmes se retrouvèrent extrêmement proches, leurs souffles s’entremêlant. Lilia pouvait sentir l'énergie émanant du collier, et elle murmura, presque à elle-même :
« C'est un collier de protection. »
Lucillia, surprise, écarquilla les yeux. « Protection ? Qu'est-ce que cela veut dire ? »
Mais en réalisant à quel point elles étaient proches, Lilia se sentit soudainement étrange. Elle recula légèrement, ses joues teintées d'une légère rougeur. « Avec ce collier personne ne peux t'atteindre. La personne qui te la donné tenez beaucoup à toi.»
Lucillia se mit alors à sourire, une lueur de bonheur illuminant son visage. Elle leva délicatement sa tasse de thé, la chaleur de la boisson réconfortante se diffusant dans ses mains. En prenant une gorgée, elle savoura le goût épicé qui dansait sur sa langue, puis se lécha les lèvres avec satisfaction, un geste à la fois innocent et séduisant.
Soudain, un bruit de cloche retentit, signalant l’ouverture de la porte du magasin. Lucillia tourna la tête vers l'entrée, son sourire s'élargissant à la vue de Lilia, Agatha et Ivana qui firent leur apparition.
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Bonjour ! 😊
Un petit partage de l'association d'écriture de ma meilleure amie qui a ouvert il y a 2 mois ! Si vous cherchez une petite communauté de passionné.es d'écritures que vous soyez de Lille ou pas, c'est l'assos parfaite. ☺️ Iels ont aussi un discord actif pour partager vos créations ou bien juste échanger entre passionnés.
Qui peut rejoindre Lille aux écrits ? C'est bien simple : TOUT LE MONDE ! La seule condition est d'avoir envie d'écrire. Et ce même si : 🫰 tu n'écris "qu'un petit peu" 🫵 tu écris "juste pour toi" 🥹 tu n'as pas encore osé te lancer Nous acceptons tous les auteurs et autrices quel que soit leur âge (une autorisation parentale sera demandée pour les mineurs lors des write-in en présentiel). Chacun écrivant ce qu’il ou elle veut, sache cependant que des thèmes plus adultes peuvent être abordés lorsque nous discutons de nos écrits Est-ce que nous nous limitons à un genre littéraire alors ? Eh non ! Pas de limite à notre pouvoir chez Lille aux écrits ! SF, fantasy, jeunesse, contemporain, fanfiction, roman, nouvelle, autobiographie, e-mail à ta grand-mère ou thèse… On écrit de tout et on aime discuter de tous les genres littéraires. Certain·e·s sont publié·e·s ou le souhaitent, d’autres écrivent simplement pour plaisir. Ça te dit ? Rejoins le serveur Discord de l'association ou vient écrire avec nous le lundi à partir de 17 h 30 à la boulangerie Maison Papillon de Lille.
Vous pouvez trouver plus d'informations sur l'association sur leur instagram. 🩷 (et plusieurs ont déjà fait du rp donc aucun jugement à ce niveau 😌) Les liens: [ INSTAGRAM ] [ DISCORD ]
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41 ans de mystère et d'aventure avec Les Mystérieuses Cités d'Or
Le 28 septembre 1983, une série animée culte voyait le jour, marquant des générations de téléspectateurs. Les Mystérieuses Cités d’Or nous transportait aux côtés d'Esteban, Zia et Tao dans une quête fascinante à travers les civilisations perdues des Amériques, à la recherche des légendaires cités d'or.
Ce chef-d'œuvre intemporel mêlait aventure, histoire, et mystère, éveillant la curiosité et l'imagination de milliers d'enfants tout en captivant les adultes. Plus qu’une simple série, elle a marqué un tournant en associant pédagogie et divertissement. Son ambiance unique et ses personnages inoubliables en font une œuvre qui traverse les âges, continuant d’enchanter les nouvelles générations.
Aujourd'hui, 41 ans après sa première diffusion, Les Mystérieuses Cités d’Or reste une référence, et son univers fascine toujours autant. Qu'il s'agisse de rediffusions ou d’adaptations, la magie opère encore, unissant petits et grands dans un même élan d’aventure.
En cette journée spéciale, nous célébrons l'héritage d'une série légendaire qui continue d'inspirer des milliers de rêveurs. Merci à tous ceux qui ont contribué à faire briller ce joyau de l'animation !
Joyeux 41e anniversaire aux Mystérieuses Cités d’Or !
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
7/10
Je lui ai demandé de ne pas le faire. Vous savez, il a commencé à dix-sept ans sans vraiment avoir le choix. Mon grand-père avait disparu, mon père était un adolescent de treize ans et ma grand-mère était déjà une vieille dame. Je me dis que ça n'a pas du être facile. Il veut sans doute que je reprenne le flambeau aussi tôt par tradition et il pense que j'ai au mauvaise opinion de mes capacités. Je crois que lui aussi, malgré les années, ne se pense pas toujours digne. Il se serait sans doute déchargé d'un poids je suppose.
Mais moi je ne suis pas prête. Pensez-vous ! Mes parents me traitent comme une adulte, mais il n'y a guère que ma soeur Cléo pour se voir comme une adulte par ici. Peut-être Antoine aussi, mais lui a toujours plus ou moins été un adulte, même quand nous étions petits ! Je me demande même ce que ça veut dire "être adulte", si ce n'est passer un âge symbolique qui signifierai qu'on sait enfin ce qu'on est en train de faire et que les échecs vont couter cher. Je refuse de prendre de telles responsabilités tout de suite, surtout si j'ai la chance d'attendre un peu.
Transcription :
Adelphe « Je n’en ai assez de rien. Je ne sais pas quelle image tu as de toi-même Noé, mais tu n’as jamais été un fardeau pour moi. Si je t’ai enseigné le métier, ce n’est pas par amour ou sens du devoir envers ton père. Ce n’est pas non plus parce que Eugénie Le Bris l’a diligemment commandé. C’était tout simplement parce que tu me l’as demandé et que cela te tenais à coeur. Je mentirais en disant que je n’apprécierai pas du temps à passer avec mes enfants et mon petit-enfant qui va naître, mais je peux tout aussi bien être ici et auprès d’eux. »
Arsinoé « Pardon, je… »
Adelphe « Assez avec les excuses jeune fille ! Il va falloir te montrer un peu plus assertive. Si c’est ton souhait d’attendre, alors nous attendrons. »
Arsinoé « J’aime bien l’idée d’avoir du temps pour me préparer. »
Adelphe « Alors ce temps, nous le prendrons. »
Arsinoé « Merci mon oncle. Mais même après, j’aimerai que vous ne vous effaciez pas trop. Que nous soyons davantage partenaires. Comme des associés en quelques sortes. Même si c’est mon nom sur les papiers et la devanture. »
Adelphe « Je suis plus âgé, plus expérimenté, un homme de surcroît. Sans compter que les clients sont habitués à traiter avec moi depuis des décennies. J’ai peur de te supplanter si je ne m’efface pas derrière toi, ou pire, que nos clients te contournent pour traiter directement avec moi. »
Arsinoé « Moi, ça ne me fait pas peur. »
Adelphe « Vraiment ? »
Arsinoé « Je vous connais trop bien mon oncle. Si jamais cela devait arriver, vous seriez tellement mortifié que vous feriez en sorte que cela ne se reproduise pas. Et tout ça sans même que je m’en rende compte. »
Adelphe « Ah ah ! Ce n’est pas faux ! Et puis j’admets que, dans mes jeunes années, j’aurai apprécié que ton grand-père ait été derrière moi, ne serait-ce que pour me rassurer. »
Arsinoé « Alors vous voyez ? Papa m’a toujours dit que je pourrai compter sur vous, quoi qu’il arrive. »
Adelphe « Je ne sais pas ce que j’ai pu faire pour mériter une telle confiance, mais je suis vraiment touché. »
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Ce pyjama-là, avec lequel Léa accueille les Lefebvre, fait vraiment très pyjama : à vingt-deux ans, c'est tout de même un peu la honte, même si tout le monde, les Mercier et leurs invités, ont l'air de trouver ça normal (et Madame Mercier qui l'enverra se laver les mains avant de passer à table, comme si elle n'était pas capable, à son âge, d'y penser toute seule, c'est aussi un peu la honte, comme prendre son dessert dans la cuisine avant d'aller se coucher, pas question que Léa termine la soirée avec les adultes, et puis la petite phrase humiliante qui la fait rire à chaque fois, pour donner le change : Léa, chérie, fais un bisou à tout le monde, va te brosser les dents, pipi et au lit !) ...
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LES FAY —
Espèce la plus ancienne du Monde Connu, les Fay sont considéré·es comme les habitant·es originel·les de ce dernier. Iels auraient été créés par la Déesse Isthari, considérée comme l'Evanuri de la Lune et de la Magie. Créatures faites de magie pure, iels sont capables de manipuler la magie et de définir les lois du monde qui les entourent.
— GENERALITES
caractéristiques physiques — Les Fay se différencient des humains par leurs oreilles pointues, mais également par la présence d’ailes qu’iels sont capables de rétracter. Les Fay naissent avec leurs ailes présentes et apprennent en grandissant à les rétracter. Les ailes grandissent en même temps qu’iels vieillissent et sont un signe de l’âge de ces dernier·es.
longévité — De nombreux textes relatent la beauté figée dans le temps des êtres féériques et de l’immortalité dont iels étaient doté·es. Cette immortalité cependant, s’est éteinte il y a plusieurs siècles. Les Fay de la Cour Seelie possèdent une longévité similaire à celle des humains, pouvant vivre jusqu’à cent ans. Les Fay de la Cour Unseelie, elleux, sont le symbole même de cette légende d’antan. S’iels ne sont à proprement parlé pas immortels, iels peuvent vivre jusqu’à l’âge vénérable de 420 ans.
faceclaim & âges unseelie : De leur 0 à leurs 25 ans, les Unseelies vieillissent normalement et gardent l’apparence d’un·e adulte de 25 ans, jusqu’à leurs 80 ans. 80 ans à 120 ans : faceclaim entre 25 ans et 35 ans. 120 ans à 180 ans : faceclaim entre 35 ans et 45 ans. 180 ans à 240 ans : faceclaim entre 45 ans et 55 ans. 240 ans à 300 ans : faceclaim entre 55 ans et 65 ans. 300 ans à 360 ans : faceclaim entre 65 ans et 75 ans. 360 ans à 420 ans : faceclaim entre 75 ans et 85 ans.
reproduction — Les Fay ne sont fertiles que durant quatre semaines de l’année, généralement autour des équinoxes et solstices, lorsqu’iels atteignent leur maturité sexuelle. Si les Fay de chaque cour peuvent se reproduire avec des humains, les Seelies et les Unseelies semblent incapables de se reproduire entre elleux.
les cours — Les Fay sont séparé·es en deux cours, la Cour Seelie et la Cour Unseelie. Ces deux Cours dirigent chacune un territoire établi il y a plusieurs siècles. Les Seelies régissent le Royaume de Mythralis, tandis que les Unseelies régissent l’Empire de Vesperia. Il est à noter que les Seelies et les Unseelies ne formaient autrefois qu’une seule et même Cour, jusqu’à ce que les Fay se séparent des suites de la Guerre du Sang, il y a plus de huit siècles.
la magie — Les Fay sont capable de maîtriser la magie. Iels ne sont cependant capable que de contrôler un type de magie, nommé domaine qui se déclare durant leur enfance.
les faiblesses — S’iels sont fait de magie pure, les Fay ne sont pour autant pas indestructibles. Iels sont sujets à des maladies diverses et variées, généralement d’origines magiques ou surnaturelles. Selon qu’il s’agisse de Fay Seelie ou Unseelie, certaines de leurs faiblesses sont différentes. Les deux types de Fay ont cependant en commun le fait que la pratique de la magie est une chose épuisante, qui use leur énergie vitale. Cette énergie vitale s’amenuise selon la puissance des sortilèges et rituels qu’iels utilisent. De ce fait, les Fay doivent apprendre à maîtriser et contrôler la magie, et doivent constamment contrôler leur énergie.
langues — Les Fay parlent l’Ancien langage (la langue originelle du monde connu), mais également la langue commune.
patronymes — Les Fay possèdent des noms de familles qui finissent généralement par ar, nor, os, ys.
— LA COUR SEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Seelie se distinguent des Fay de la Cour Unseelie, par leurs ailes d’insectes, de couleurs différentes selon leur région d’origine. Les Fay de cette cour sont également affaiblis par la morelle noire, une plante qui inhibe la magie des Fay Seelies. Il s’agit d’un poison, qui a trop forte dose peut faire perdre définitivement la magie d’un·e Fay et mettre fin à ses jours. Leur corps est aussi fragile que celui d’un mortel.
territoire — Les Fay de la Cour Seelie vivent principalement au sein du royaume de Mythralis. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, chacune sous la direction d’une Reine. Les couleur des ailes des Fay de la Cour Seelie est un signe indicateur de leur région d’origine : Bois d’Argent (D’un marron argenté), Désert des Etoiles (D’un blanc satiné), Montagnes de Givres (D’un blanc tacheté de noir), Archipel Astral (De verts et de turquoise), Îles Célestes (De bleus limpides ou abyssal), Marais de l’Eclipse (Translucides, reflétant myriades de couleurs), Plaines du Destin (Dans les tons lavandes et violets).
la magie de la cour seelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Seelie. Le Domaine de la Vie (guérison, nature, familiers), le Domaine Elémentaire (création et contrôle de certains éléments), le Domaine Mystique (télékinésie, divination), le Domaine d’Altération (modification magique des objets, des corps), le Domaine d’Abjuration (anti-magie, lumière)
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Seelie ont généralement de bonnes relations avec les humains. Iels ont rapidement acceptés ces derniers lors de leur arrivée dans le Monde Connu, leur ouvrant les portes du Royaume de Mythralis pour y habiter. Iels ont tentés de leur apprendre l’art de la magie, en vain. Pour autant, chaque être humain avait sa place parmi elleux, afin de faire grandir les deux espèces. Il y a peu cependant, des suites de la destruction du Conclave, les Fay de la Cour Seelie ont fermés leurs portes aux mortels et les ont chassés de leurs terres. Les relations entre les deux espèces commencent donc à s’effriter, de nombreux humains ayant été arrachés à leurs proches, leur foyer. Si certain·es Fay cautionnent les choix de leurs Reines d’avoir expulsé les humains, certain·es d’entre elleux étaient contre ce choix. Il est à noter que pour la grande majorité des humains vivant au sein de Vesperia, les Seelies sont considérés comme celleux à l’origine des horreurs du Monde Connu.
La Cour Seelie a toujours été dans l’acceptance des hybrides, qui ont existés chez elleux depuis le début de l’arrivée des humains. Iels ont eu le choix, de rester à Mythralis ou de quitter leurs terres.
Les relations entre les Seelies et Unseelies a cependant toujours été belliqueuse et les deux espèces pourtant parentes, se détestent plus que de mesure ce depuis la création de la Cour des Unseelies. Pour les Seelies, les Unseelies sont des êtres malveillants, des voleurs, des hérésies. Aucun Unseelie n’est accepté au sein de Mythralis.
— LA COUR UNSEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Unseelie possèdent des ailes à l’instar de leurs comparses Seelies. Ces dernières et ce indépendamment de leurs régions, ont la forme d’ailes de chauve-souris. Les Fay Unseelies possèdent également des canines tranchantes et acérées, qui leur permettent d’hameçonner leurs proies. En effet, les Fay de la Cour Unseelie, si iels peuvent se nourrir de denrées communes, doivent boire du sang pour regénérer leur magie et leur énergie. Sans apport de sang, les Unseelies semblent perdre toute nature féérique jusqu’à devenir des cadavres, ce qui leur a valut le surnom de “vampire”, dans la bouche des humains. Leurs sens, leurs réflexes mais également leur force sont surhumaines. Ce sont des prédateurs. Le bois de sorbier venant des bosquets sacrés, les empêchent d’utiliser leurs pouvoirs, mais plus encore peut leur être fatal. Pour cette raison, il n’existe plus aucun bosquet sacré au sein de Vesperia et des Terres Libres. Il est à noter que leur type de magie est héréditaire, au contraire des Seelies.
l’enansal din’ashiral — tw ; sacrifice humain Cérémonie propre aux Unseelies, l’Enansal Din’Ashiral, qui signifie Bénédiction du voyage vers la mort, est une cérémonie que tout Fay Unseelie pratique lorsqu’iel atteint l’âge de vingt-cinq ans. Elle représente le moment où l’Unseelie entre dans l’âge adulte et où son vieillissement ralentit. Il s’agit d’une cérémonie importante, plus encore que la naissance d’un nouveau né, ou la mort d’un individu. Cette cérémonie est pratiquée au sein d’un Temple de la Chantrie, entouré généralement de la famille et des proches de l’individu. L’Unseelie célébré se voit offrir un sacrifice humain, dont iel devra boire le sang jusqu’à la dernière goutte. De grandes festivités accompagnent également la cérémonie jusqu’à l’aube.
territoire — Les Fay de la Cour Unseelie vivent principalement au sein de l’Empire de Vesperia. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, sous l’autorité de familles seigneuriales unseelies. Ces régions sont les suivantes : Narakashad, Hanazora, Nyumbani, Silva, Okeanos et Basarova. La capitale de l’Empire se trouve dans la région de Narakashad, à Kalipur.
la magie de la cour unseelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Unseelie. Le Domaine des Ombres (création et contrôle des ombres), le Domaine des Tempêtes (intangibilité, contrôle des intempéries), le Domaine de l’Âme (télépathie, contrôle mental), le Domaine des Horreurs (illusions, contrôle de la peur), le Domaine de la Mort (nécromancie, magie du sang).
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Unseelie et les humains tendent à avoir une relation paradoxale. Celleux qui placent leur foi dans la Chantrie considèrent les êtres féériques comme les enfants des Evanuris (les dieux), et placent en elleux leur foi, leur confiance et suivent aveuglement leurs préceptes et leur propagande. En vérité, nombre d’entre elleux, voient cependant clair dans le jeu des Fay et savent qu’ils se sont fait asservir par ces êtres à la magie infernale. Les Fay Unseelies, voient en elleux, du bétail. Une denrée qui se reproduit à la vitesse de l’éclair et qui permet des les sustenter elleux et leur magie. Rares sont les humains qui arrivent à faire fortune sur leurs terres, ou qui arrivent à gravir les échelons de la société. Leurs conditions de vie sont telles, qu’aujourd’hui plus que jamais, les Fay de la Cour Unseelie et les humains sont en parfaite opposition.
La Cour Unseelie n’a jamais été dans l’acceptance des hybrides, les Fay de cette Cour considérant que leur sang est bien trop précieux pour être dilué avec celui des humains. Pourtant, les hybrides d’Unseelie et de mortels existent. Considérés uniquement comme des bâtards par les Fay, iels se sont vus octroyer le titre de Champion·nes des Evanuris par les Humains et la Chantrie. La seule raison de leur existence est donc de protéger l'humanité et les Unseelies des créatures obscures en rejoignant la Garde de l'Aube. Pour autant, nombreux sont les Unseelies qui défient ces préceptes et pourchassent leurs bâtards pour mettre fin à leur existence avant qu'iels n'atteignent la Garde.
Les relations entre les Unseelies et les Seelies sont belliqueuses, et les deux cours se détestent ouvertement. Si les Seelies voient en elleux des monstres, les Unseelies voient en leur cousin·es des êtres faibles et indignes de leur ascendance, qui serviraient bien plus à rejoindre les rangs de leur bétail. Si leur présence n’est pas interdite au sein de l’Empire de Vesperia, il est malgré tout interdit aux Fay Seelies de pratiquer la magie sur les terres Unseelies.
crédits des icons : lunarghost.
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Mark est un adulte responsable et de bonne culture . Il est tout à fait agréable de discuter ou même de partager du temps avec lui . Il peut être très émotif à certains moments du par une hypersensibilité. Quelque fois il est dans un état régressif en âge, il peut devenir capricieux ,et insolent et pouvant aller jusqu'à de la procrastination. Pour le remotiver , le discipliner et le responsabiliser . Et il a besoin d'encouragement pour ce qu'il fait de bien .
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"Salut, est-ce que tu vas republier des dessins bientôt? Tu vas bien?!!"
Il ya 3 raisons concernant ça; 1. J'en avais marre depuis quelque temps déjà de publier sur internet. Quand j'ai commencé ce blog, c'était avant tout pour moi et me prouver qu'après tout ce que j'avais vécu j'étais toujours vivante. Je me disais qu'il fallait que je le remplisse pour pouvoir avoir quelque chose qui me rappelle que j'en ai été capable quand je serais en train de clamser.
2. J'ai 40 ans maintenant, et je me sens parfois vraiment en décallage avec mon public. Je suis toujours super touchée quand je reçois un gentil message, mais j'ai parfois l'impression que la personne qui me l'envoie est très jeune et croit que j'ai son âge. Et si tu rajoutes ceux qui me parlent des mangas qu'ils aiment alors que ça doît bien faire 15 ans que je n'en achète plus…
3. L'usurpatrice. Je me suis retenue pendant longtemps mais attention je balance. Beaucoup de personnes m'ont dit de l'ignorer vu que les modos de chez insta sont des grosses buses en droits d'auteur et usurpation d'identité. Mais au bout d'un moment ça devenait vraiment n'importe quoi. Je ne sais pas si elle et sa soeur voulaient faire croire qu'elles me connaissaient ou que j'étais la trisomique, mais dès que je publiais quelque chose hop, elle brossait dessus pendant 2 semaines, citait les mêmes prénoms et décalquait mes dessins en story, en utilisant l'IA ou des applis pour cartooniser des photos, en public elle décalquait via tablette surtout des trucs piochés sur Pinterest qu'elle faisait passer pour les siens. Elles faisaient semblant de ne pas me connaître alors qu'elles ont reçu plusieurs avertissements, d'ailleurs l'usurpatrice a commencé à imiter ma signature après le premier et à fini par éditer ses vieux torchons pour appliquer l'imitation dessus, probablement pour faire croire qu'elle l'a toujours fait comme ça. Si je disais que je faisais un truc, hop, pendant 2 semaines elle disait qu'elle allait le faire aussi et ses commentaires bizarres disant tous mots pour mots pratiquement la même chose en lui demandant "mais pourquoi tu ne fais pas ça (comme moi)?", la 4° dimension. Ce n'est quand même pas compliqué de rajouter un mot ou un nom pour bien montrer que tu n'as rien à voir avec une artiste établie depuis 20 ans ayant déposé son nom d'artiste comme une marque. Et quel intêret sinon d'escroquer les gens que d'essayer de se faire connaître alors qu'il existe déjà quelqu'un d'assez connu qui utilise les codes que tu usurpes depuis très longtemps? Ou alors c'était pour faire "comme moi", non mais j'ai pas 8 ans moi… Et encore à 8 ans la surdouée que j'étais parlait presque comme une adulte. Je suis mondialement connue, en Corée aussi visiblement au cas où ça n'est pas rentré dans leurs cervelles déficientes.
Et le blog de la soeur, sérieusement… Il est aussi probable qu'elle ai pensé qu'utiliser mon nom pour appâter les pigeons pour les escroquer serait une bonne idée. Elle citait souvent des gens ayant travaillé -pour elle- qui comme par hasard, étaient des homonymes de gens connus qui avaient stoppé leur carrière, mais on ne les voyait jamais. Passé un moment, elle faisait à l'usurpatrice par Photoshop la même tête qu'une jolie chanteuse coréenne chrétienne qui se fait appeler Yeniel aussi, et j'ai des doutes quant au fait qu'elle ait stalké une danseuse de ce nom, on a vu des rèfs bizarres. On m'avait dit il y a longtemps que l'usurpatrice avait le syndrôme de Down, mais je me disais que cette personne devait être un peu en colère malgré certaines photos qui sont très explicites. Au fil du temps on me l'a répété et j'ai vu des photos d'elle non retouchées. Je ne crois pas que ce soit très sain pour l'équilibre psychologique d'une trisomique de lui laisser croire qu'elle est quelqu'un d'autre comme ça et de l'encourager à faire quelque chose d'illègal pour être à l'abri des sanctions soi-même. Sa soeur fait partie d'une secte ou on glorifie le mensonge au nom de Dieu. Ces gens se disent chrétiens mais n'ont rien à voir avec les 3 branches du christianisme, sinon ils ne pisseraient pas sur les Commandements tous les jours et n'utiliseraient pas les faibles et la manipulation. Je ne connais pas bien toutes les branches du Protestantisme, mais je crois qu'on s'accorde tous sur le respect de ces valeurs. C'est probablement elle qui tient le compte de l'usurpatrice car il semble qu'elle en ai beaucoup d'autres. On m'a dit qu'elle allait avoir des problèmes avec la justice, je ne sais pas où ça en est et je m'en fous.
J'ignore d'où vient cette fixation malsaine sur moi, c'est pas comme si j'étais Stan Lee ou Don Rosa, je suis juste une passionnée qui partageait son art avec le monde et qui a toujours refusé de monnayer mes services. De plus, comparer une tumeur à la tête avec un simple rhume pour attirer la sympathie, faut vraiment être une sacrée pourriture (à moins que ces foldinguos ne croient qu'on le soigne à coup de radiothérapie peut-être, parce que oui oui, deux jours après avoir posté mon strip sur la radio elle se plaignait d'être gravement malade d'un rhume qu'elle a soigné avec des médicaments tout choupis en se plaignant que ses cheveux étaient trop épais (?)). Les produits, je voulais juste voir ce que ça donnait, et si ça plait c'est cool. Mes dessins, je les ai toujours fait gratos. Une seule fois quelqu'un m'a payé pour une peinture, mais il a tellement insisté que je n'avais pas d'autres choix que d'accepter. La célébrité, le succès, je m'en bats les steaks, les surdoués sont au-dessus de ça.
Voilà. Oui je vais bien aujourd'hui et je vis tranquillement. Pour être tout à fait honnête, je ne pensais pas aller jusqu'à cet âge vu dans quel état j'ai été. Je ne sais pas de quoi demain sera fait mais en tout cas je vous remercie tous d'avoir suivi ce blog (et pour mes plus vieux suiveurs DA et ON!!), pour vos mots gentils, et d'avoir acheté mes bouquins et tout le patatra. Un salut au forum de KH Island s'il existe toujours, vous ne savez pas ce que vous m'avez apporté les gars. J'en profite aussi pour répondre à une question qu'on m'avait posé concernant les conventions, alors non je n'y participe plus depuis un moment. Si vous voulez me parler c'est uniquement via mon mail (sur mon site Wix). Je suis peut-être une vieille peau mais je suis toujours polie :). Le problème avec mes autres plateformes, c'est qu'au mieux je m'y connecte une fois par mois, donc avec le mail, vous êtes à peu près sûr que ce sera lu. Sinon je le rajoute quand même, mais tapez vos messages en français ou en anglais s'il vous plait. Ciao à +!
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Fablehaven de Brandon Mull
[résumé du livre]
Ce livre n'était pas pour moi mais je le trouve très satisfaisant pour des enfants - le public cible quand même ! Ce n'est pas que les enfants méritent moins de qualité mais simplement qu'en tant qu'adulte et lecteur.ice aguerri.e j'ai des attentes plus strictes pour mes lectures.
Ce qui m'a gêné est l'écriture, la plume n'est pas très intéressante, un peu plate. L'histoire est simple et sympathique. Le vrai plus est l'univers original, peuplé de créatures terribles (dans les deux sens du terme) venues de différentes mythologies décrites en détail. Il y a quand même une scène terrifiante qui m'a bien marqué (celle qui décrit la sorcière omg quelle horreur !) et l'univers est resté un peu avec moi comme un souvenir plaisant. Mais voilà, le livre fait son job sans en faire plus, sans véhiculer de message bien ficelé comme certains romans jeunesse merveilleux. En toute honnêteté si, il y a un message, le voici : il faut écouter les règles des adultes même si tu ne vas sans doute les comprendre qu'en apprenant de tes erreurs.
Je recommande si tu aimes les livres simples et les mondes remplis de fées et de créatures magiques.
informations sur le livre : - âge conseillé : 11 ans - date de parution : 2013 - thèmes : fées, sorcières, relation frère-soeur, secret
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╔.★. .═════════════════╗
Iɴғᴏʀᴍᴀᴛɪᴏɴs ʙᴀsɪǫᴜᴇs
╚═════════════════. .★.╝
💫 Name : Poe
✨ Age : 19 ans
💫 Genre : Non binaire, Transgenre
✨ Pronoms et accords : ol•il•syn•syx, accord masculin ou neutre
💫 Orientation : Asexuel, Panromantique, polyA
✨ Région : Nord
╔.★. .═════════════════╗
Système
╚═════════════════. .★.╝
☄️ Type de système : traumagénique, programmé, polyfragmenté
🪐 Nombre d’alters : + de 1 000
☄️ Tag: 🪶
🪐 Simply plural : systeme_poe
╔.★. .═════════════════╗
Nos troubles
╚═════════════════. .★.╝
₊ ☼ ⁺﹒ TIC
₊ ☽ ⁺﹒ TAG
₊ ☼ ⁺﹒ TOC
₊ ☽ ⁺﹒ TDI
₊ ☼ ⁺﹒ TCA
₊ ☽ ⁺﹒ TSPT-C
₊ ☼ ⁺﹒ Asthme
₊ ☽ ⁺﹒ Autisme
₊ ☼ ⁺﹒ Malvoyant
₊ ☽ ⁺﹒ Dépression
₊ ☼ ⁺﹒ Hallucinations
₊ ☽ ⁺﹒ Malentandant
₊ ☼ ⁺﹒ Âge régression
₊ ☽ ⁺﹒ Trouble du sommeil
₊ ☼ ⁺﹒ Douleurs chroniques
₊ ☽ ⁺﹒ Dépendance affective
₊ ☼ ⁺﹒ Syndrome de l'abandon
₊ ☽ ⁺﹒ Syndrome du sauveur
₊ ☼ ⁺﹒ Phobie scolaire & sociale
…
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Sources
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✨ On a de trop nombreuses sources pour pouvoir toutes les mettre ici, si besoin hésitez pas à passer en mp pour qu’on vous donne la liste de nos sources et si besoin la liste des alters de chaque source
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Boundaries
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🌕 Mentions : ok
🌖 MP : ok
🌗 Demande amis : ok
🌘 Messages vocaux : ask
🌑 Surnom : ask
🌒 Toucher : ask
🌓 Flirt : non
🌔 Compliments : ask
🌕 Sous entendu adultes : non
🌖Second degrés : uniquement si les tones tags sont utilisés
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Nos serveurs
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Servur dédié à la régression :
Serveur pour nos messages privés et notre système :
Serveur dédié aux handicaps, à l'entraide et à la communauté LGBT :
Serveur dédié aux systèmes, avec des salons templates, d'entraide etc :
Nos autres réseaux sociaux :
Nos handicaps nous causent de grosse difficultés de communication ce qui fait que, entre autres, on ne réagi pas de manière « normale »
Merci de ne pas copier nos modèles de présentations sans notre accord!
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Été 1925, Hylewood, Canada (4/4)
Je relis ce que tu m’écris sur ta reprise de l’entreprise familiale. Tu me dis que tu n’es pas prête. Ton oncle ne s’est-il pas assuré que tu connaisses toutes les ficelles du métier ? Il travaille pour vos vignobles depuis son enfance. Avec une telle carrière, c’est attendu qu’il souhaite se mettre en retrait. Tu parles de ton oncle avec beaucoup d’admiration, tu sais que tu peux te fier à ses jugements. Et s’il juge que tu es prête, étant donné sa connaissance aiguë du métier, c’est que tu l’es sûrement. La question de ta capacité étant écartée, demande-toi : est-ce réellement ce que tu veux faire ? Maman me dit que vous êtes riches. Avec votre fortune, tu serais sûrement en mesure de payer quelqu’un pour gérer vos affaires à ta place. Le vrai bénéfice de la fortune, c’est qu’elle donne le choix. En fin de compte, ta grand-mère, ton oncle, tout le monde te donne l’impression que ce choix, tu ne l’as pas. Mais tu l’as. Ton père a fait le choix de refuser cette vie pour suivre ses passions. Tu m’écris l’envie que tu ressens quand tu vois toute ta famille, tes frères et tes sœurs, suivre leur voies et leurs désirs. Mais, si je peux me permettre… Et toi, Noé ? Que souhaites-tu ?
Tu écris que tu ne sais pas ce que cela veut dire que d’être adulte. En vérité, cela ne veut rien dire du tout. Être adulte, c’est la plus subtile des hypocrisies. On nous le présente comme le triomphe de la maturité, du contrôle, comme l’abdication de tout ce qui rend la vie délectable, comme la complaisance dans la morne discipline du quotidien et de la respectabilité. Ça serait plier son esprit aux conventions, brider ses désirs, étouffer ses rêves sous les impératifs du devoir, les sacrifier sur l’autel de la sagesse factice. On nous parle de responsabilité, mais quel mot effroyablement ennuyeux ! Mon père n’a jamais tenu une responsabilité de sa vie ; il s’enthousiasme à l’idée de l’Égypte comme ma petite sœur s’enthousiasme des cônes de neige de la foire ; doit-on dire qu’il n’est pas adulte ?
Je crois, Noé, que tu te poses tellement de question sur ce qui pourrait être, que tu en oublies de vivre. En cela, je suis plus enfant que toi. Quand je pêche le doré jaune, les deux pieds dans la rivière, je ne pense plus aux cargos, et aux contrats et aux chèques à encaisser. Je pense à ma ligne et je pense au soleil sur ma peau. C’est probablement ce que tu ressens quand tu es avec ton Jean. Puis je retourne à mes cargos de charbon, mais je ne suis pas angoissé. Je sais que je ne ferai pas cela toute ma vie, et je me sens tranquille. Toi, Noé, tu es tellement accaparée par tout cela que tu en oublies de vivre. Ça t’obsède, ça te poursuit partout, et dès que tu trouves un échappatoire, tu te précipites dedans pour ne pas te confronter à cette question que tout le monde semble - avec la plus grande bienveillance - t’empêcher de te poser : que souhaites-tu faire de ta vie ? Je te la pose, mais je n’attends aucune réponse. D’ailleurs, tu n’en auras peut-être aucune avant des années. On est jeunes, on a le temps de se tromper et de changer d’avis. Regarde, cette année, notre ancienne bonne, Mlle Carreau, a démissionné parce qu’elle a été recrutée pour le tournage d’un film. Elle a notre âge. Elle s’est rendue compte que cette vie ne lui plaisait pas, et elle en a changé.
Réponds-moi vite. Je t’embrasse affectueusement. Ton cousin,
Lucien LeBris
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