#Épargne parents

[origami-mama]

Comment économiser en famille sans sacrifier son confort ?

🌟 Vous voulez économiser sans faire de sacrifices ? Découvrez mes astuces simples et efficaces pour alléger votre budget familial tout en préservant votre confort. 💡👨‍👩‍👧‍👦 Dites adieu au stress financier et bonjour à la sérénité ! 🛒💰 #Budget

On commence souvent seul, avec un seul revenu et des dépenses limitées. Puis vient le couple : deux revenus et des charges souvent partagées, comme le loyer ou l’électricité. On se sent alors plus à l’aise financièrement. Mais l’arrivée des enfants peut bouleverser cet équilibre. Les enfants, ces adorables aspirateurs à épargne, transforment rapidement vos finances. Alors, comment économiser…

[leleaulait]

Ça y est, mon papy est rentré il y a 2 jours à la maison, après plus d'une semaine hospitalisée, son opération était plus grosse que prévu, je vous épargne les détails mais il avait des chances de finir paralysé des 4 membres. Il a un corset et une minerve, il peut se lever, marcher et faire tout comme avant mais doit évidemment se ménager, ils lui on fait une trachéo parce qu'il sont passés par devant pour lui souder les vertèbres donc faut qu'il fasse gaffe. Ma grand mère peut enfin souffler et ma mère aussi, elle a passé ses vacances à l'hôpital du coup (c'est bien tombé on va dire), il est encore très fatigué mais en même temps avoir une tel opération à 80ans ça laisse des séquelles.

La première chose qu'il a dit à ma mère en rentrant c'est que Biscotte (son chat) était direct venu se coucher sur lui dès qu'il est entré, c'est pas pour rien qu'on le surnomme le roi des chats, j'ai jamais vu quelqu'un attiré les chats comme lui, pour dire je crois que tout les chats qu'ils ont eu son venu d'eux-mêmes chez mes grand parents !

Bref j'avais envie d'écrire un p'tit truc sur lui en attendant de pouvoir le voir. 🩷

[aforcedelire]

Oh, boy !, Marie-Aude Murail

Dans le genre « On va chouiner », ce roman il se place là. Oh, boy ! nous raconte l’histoire de la famille Morlevent et de ses enfants particuliers. Siméon, 14 ans et surdoué ; Morgane, 8 ans, la sœur effacée et oubliée ; Venise, 5 ans, celle que tout le monde s’arrache. Siméon, Morgane et Venise, livrés à eux-mêmes après que leur père ait disparu et que leur mère se soit suicidée. Atterris en foyer, ils se sont jurés que rien ne les séparerait. Mais voilà que deux personnes, très différentes en tous points, se battent pour les recueillir. Deux personnes qui se détestent…

Entre parents morts, enfants placés en foyer, secrets et révélations de famille et maladie, ce roman ne nous épargne rien. Et après ça, la littérature de jeunesse c’est tout beau tout rose, tout de papillons et de paillettes ! J’ai bien chouiné, moi. Et j’ai beaucoup aimé cette histoire ! Dès les premiers chapitres, j’étais dedans. J’ai adoré Siméon, son courage, sa résilience à toute épreuve et sa luminosité. J’ai aussi beaucoup aimé Barthélémy, ce demi-frère disparu qui refait surface et qui est complètement à la ramasse.

Par contre, même si j’ai globalement beaucoup aimé cette histoire, ça se sent que c’est plus tout jeune. De ce que j’ai compris ça a été publié en 1997, et ça nous permet de nous rendre compte que la société a bien évolué depuis ! Barthélémy est gay, et visiblement ça pose beaucoup de soucis à plusieurs autres personnages, et moi j’ai pas trop aimé la façon dont il était décrit et perçu. Il est fantasque, mais de là à balancer des vacheries qui flirtent avec l’homophobie, c’était pas trop la peine (après, encore une fois, 1997). Pareil pour Aimée, la voisine qui se fait battre par son mari. On en revient à Bart et son inadaptation sociale, mais niveau empathie et soutien on a fait carrément mieux ! Autant j’ai beaucoup aimé l’histoire de cette famille qui affronte vents et marées et qui reste malgré toute cette merde soudée et aimante, autant certains discours de certains personnages m’effarent et j’espère que les plus jeunes qui liront ça prendront ça avec beaucoup de pincettes.

Malgré tout, beaucoup de bons sentiments, un peu de pathos, et une très belle histoire d’amour entre frères et sœurs. (Et un peu de pleurs aussi)

29/11/2024 - 30/11/2024

[savoir-entreprendre]

Le travail en freelance est devenu une option populaire pour de nombreux entrepreneurs en quête de flexibilité et d'indépendance. Cependant, ce mode de travail présente à la fois des avantages et des inconvénients. Dans cet article, nous allons explorer les points forts et les défis du travail en freelance pour vous aider à décider si c’est le bon choix pour vous. 1. Avantages du Travail en Freelance 1.1. Flexibilité Horaire Description : En tant que freelance, vous avez la liberté de choisir vos horaires de travail. Explication : Vous n'êtes pas lié à un horaire de bureau traditionnel, ce qui vous permet d'organiser votre journée selon vos préférences. Que vous soyez plus productif tôt le matin ou tard le soir, vous pouvez adapter votre emploi du temps à votre rythme personnel. Cette flexibilité est idéale pour ceux qui recherchent un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, notamment pour les parents ou les personnes ayant des responsabilités personnelles. 1.2. Autonomie et Indépendance Description : Le travail en freelance vous donne une grande autonomie dans la gestion de votre activité. Explication : Vous êtes votre propre patron, ce qui signifie que vous prenez toutes les décisions concernant votre travail. Vous choisissez vos projets, négociez vos tarifs, et déterminez comment vous allez accomplir vos tâches. Cette indépendance est valorisante pour ceux qui apprécient la liberté de travailler selon leurs propres termes, sans avoir à répondre à une hiérarchie. 1.3. Diversité des Projets Description : En tant que freelance, vous pouvez travailler sur une variété de projets dans différents secteurs. Explication : Contrairement à un emploi traditionnel où vous pouvez être limité à un seul type de travail, le freelancing vous offre la possibilité d'explorer différentes industries et de diversifier vos compétences. Cette variété peut être stimulante et vous permet de développer un portfolio riche et diversifié, ce qui peut renforcer votre attractivité sur le marché du travail. 1.4. Potentiel de Gains Description : Le travail en freelance peut offrir un potentiel de gains supérieur à celui d’un emploi salarié. Explication : En fonction de votre expertise, de votre réseau, et de votre capacité à négocier, vous pouvez gagner plus en tant que freelance qu’en tant qu’employé. Vous avez également la possibilité d’augmenter vos tarifs à mesure que vous acquérez de l’expérience et que vous construisez une réputation solide. De plus, vous pouvez multiplier les sources de revenus en travaillant sur plusieurs projets simultanément. 2. Inconvénients du Travail en Freelance 2.1. Instabilité Financière Description : L'un des plus grands défis du freelancing est l'irrégularité des revenus. Explication : Contrairement à un emploi salarié avec un revenu fixe, le revenu d'un freelance peut varier d'un mois à l'autre. Vous pourriez connaître des périodes de forte activité suivies de périodes de calme où les projets se font rares. Cette instabilité financière peut être stressante, surtout si vous avez des obligations financières fixes. Il est donc important d’avoir une bonne gestion financière et de prévoir une épargne pour les mois plus difficiles. 2.2. Isolement Professionnel Description : Travailler en freelance peut être une expérience isolante. Explication : En l'absence de collègues ou d'une équipe avec qui interagir au quotidien, le travail en freelance peut parfois être solitaire. Cet isolement peut affecter votre moral et réduire votre motivation. Pour contrer cela, il est essentiel de maintenir des liens professionnels par le biais de réseaux, de participer à des événements, ou de travailler dans des espaces de coworking pour rester socialement actif. 2.3. Gestion des Charges Administratives Description : En tant que freelance, vous êtes responsable de toutes les tâches administratives liées à votre activité. Explication : Vous devez gérer la facturation, la comptabilité, les impôts, et éventuellement l’assurance, en plus de votre travail principal.

Ces tâches peuvent être chronophages et complexes, surtout si vous n’avez pas d’expérience dans ces domaines. Elles peuvent aussi réduire le temps que vous pouvez consacrer à vos projets clients. L’utilisation de logiciels de gestion ou le recours à des services de comptabilité peuvent vous aider à alléger cette charge. 2.4. Manque de Sécurité Sociale Description : Le travail en freelance offre moins de sécurité sociale comparé à un emploi salarié. Explication : En tant que freelance, vous n'avez pas accès aux mêmes avantages sociaux qu'un employé, tels que l'assurance maladie, les congés payés, ou les cotisations pour la retraite. Vous devez souscrire à votre propre couverture sociale, ce qui peut représenter un coût important. De plus, en cas de maladie ou d’incapacité de travail, vos revenus peuvent en pâtir. Il est donc crucial de prévoir des assurances et des plans d’épargne pour couvrir ces risques. Le travail en freelance offre de nombreux avantages, tels que la flexibilité, l’autonomie, et le potentiel de gains élevés. Cependant, il présente aussi des défis importants, comme l’instabilité financière, l’isolement, et la gestion des tâches administratives. Avant de vous lancer en tant que freelance, il est essentiel de peser ces avantages et inconvénients pour déterminer si ce mode de travail est adapté à votre situation et à vos objectifs professionnels. En étant bien préparé et en adoptant des stratégies pour gérer les défis du freelancing, vous pouvez maximiser vos chances de succès dans cette voie entrepreneuriale. https://savoirentreprendre.net/?p=15758&feed_id=12738

[zehub]

Un nouveau livret d’épargne pour les jeunes et le « climat »

À compter du 1er juillet prochain, les parents pourront ouvrir un nouveau livret d’épargne pour leur progéniture : le plan épargne avenir climat (Peac). Les textes officialisant la création de ce nouveau produit d’épargne ont été publiés au Journal officiel du 16 juin. Ce Peac, réservé aux moins de 21 ans, fait partie des diverses mesures adoptées dans le cadre de la loi Industrie verte et destinées à inciter les particuliers à financer la transition écologique grâce à leur épargne. Le gouvernement espère, (...)

[muhammadankhadim]

Bismileh Rahman Rahim

*LA PLUIE EST UNE MISÉRICORDE

Moulana Sheikh Mehmet

04/05/2024

Dergah Akbaba

Notre Prophète ﷺ dit qu'à la fin des temps, soit il pleuvra trop, provoquant des catastrophes, soit il ne pleuvra pas du tout, provoquant la sécheresse. C'est l'un des miracles de notre Prophète ﷺ. Il ﷺ dit également qu'à la fin des temps, les enfants ne seront pas une bonne progéniture. Beaucoup d'enfants de l'humanité se rebelleront contre leurs parents. Leur rébellion résulte du fait que les gens s'éloignent du chemin à la fin des temps, et Allah, l'Exalté et le Majestueux, envoie cela comme une punition.

Qu'Allah nous épargne. S'il n'y a pas de pluie, nous devons demander la miséricorde d'Allah ﷻ pour qu'il fasse descendre la pluie comme une bénédiction. Nous prions pour qu'il ne l'envoie pas comme une punition ou un tourment. La pluie est une bénédiction, une miséricorde.

Les gens d'autrefois avaient des manières, ils parlaient bien de tout. Ils avaient l'habitude de dire : "Il pleut de la miséricorde". Qui, parmi les gens d'aujourd'hui, comprend quoi que ce soit à la pluie, à la bénédiction. Ils ne disent pas bénédiction, mais pluie. Les anciens disaient : "Il pleut avec miséricorde". La pluie n'est pas un désastre ou une punition", disaient-ils en guise de remerciement.

Aujourd'hui, les gens ne veulent pas de bénédictions, mais seulement de la pluie : "Prenez, voici votre pluie", dit Allah, l'Exalté et le Majestueux. Les inondations détruisent les maisons et arrachent les jardins. La pluie est toujours une bénédiction, mais quand les gens ne veulent pas de la miséricorde, elle devient un désastre. La pluie est une bénédiction.

Mais à cause du comportement en spirale des gens, pour démontrer leur impuissance, Allah, le Glorieux et le Puissant, d'une manière qu'aucun homme n'aurait pu prévoir, inflige des dommages imprévisibles avec cette eau.

Appelez donc la pluie une bénédiction ! Dites : Il pleut des bénédictions. Ô Allah ﷻ, fais que la pluie soit une bénédiction pour nous tous. Que la pluie soit une bénédiction. L'eau est la vie. Allah, le glorieux et le puissant, dit : "Nous avons tout créé à partir de l'eau".

Ô Allah ﷻ, fais que la pluie soit une miséricorde pour nous. Qu'Allah ﷻ nous protège. Ô Allah ﷻ, empêche-nous d'éveiller ta colère. Ô Allah ﷻ, guide les gens !

Wa min Allah at-Tawfiq. Al-Fatiha.

*MOULANA SHEIKH MEHMET Hz*

Qaddas Allahu Sirrahu 🌹

[yes-bernie-stuff]

◀ 26 MARS ▶ Tout Pour Qu'Il Règne

Heureux ceux qui ont le coeur pur : ils verront Dieu. Matthieu 5:8

L'intuition de Dieu

La pureté est bien plus que l'innocence. C'est le résultat d'une communion spirituelle soutenue avec Dieu. Nous avons à conquérir peu à peu la pureté. Notre vie intérieure peut rester ce qu'elle doit être, mais néanmoins, dans ses manifestations extérieures, notre pureté de temps en temps peut se ternir. Dieu ne nous épargne pas ces humiliations, car elles nous avertissent de la nécessité où nous sommes de maintenir par une pureté constante notre communion avec Lui. Si cette présence de Dieu en nous est ternie si peu que ce soit, si elle a perdu pour nous quelque chose de sa fleur, ne perdons pas un instant pour y porter remède. Pour voir Dieu comme Il est, notre coeur doit être pur. Sans doute, c'est Dieu lui-même qui nous rend purs par Sa grâce. Ce qui nous incombe, c'est de veiller sur notre vie humaine, par laquelle nous sommes en contact perpétuel avec d'autres gens, avec d'autres conceptions que les nôtres, et qui déteignent sur nous. Non seulement le sanctuaire intime de notre âme doit rester pur, mais aussi les portiques extérieurs, car il peut y avoir contagion du dehors au dedans. Pour rester en contact intime et permanent avec Jésus-Christ, il y a certaines choses que nous devons rejeter loin de nous, d'autres, innocentes en elles-mêmes, que nous devons écarter quand même. Le coeur pur ne soupçonne pas le mal. Il est bon de nous dire à nous-mêmes, en pensant aux autres : "Celui-là, celle-là, cet ami, ce parent, je le présente à Dieu comme parfait en Christ." - Lire plus ici :

[canonming]

DEATHLY_HALLOWS,les reliques de la mort ,un film de la saga Harry Pother.Sortie au cinéma le 12_06_2010Il est également sortie sur le petit écran le Jeudi 22 Decembre 2022 La célébre phrase de voltemor_j,ai tué tes parents tu n,as plus de famille_KINESIE à CHASSENEUIL DU POITOU par l'intermédiaire de la mise sous tension du magnétoscope et la TV à l,instant précis ou l,on entend dans l,un des films de Harry Pother_J,ai tué tes parents,tu n,as plus de famille.Un déréglemment de la programmation du magnétoscope pour mettre en évidence une suggestion particulière qui se rapport à un événement réel accomplit le 12_11_1996.Un acte de torturede nature psychologique ou une vantardise des pouvoir de (voltemort) notamment dans l'usage de la kinésie.Cette phrase tristement célèbre est donc audible dans un film de Harry Pother sur les petits écrans,en provenance de voltemort,un acteur du film avant 2010,date de déménagement ,de chasseneuil du poitou 86360.Par la suite il fut possible d'identifier d,autres phénomènes similaires notamment à Lacanau Ocean,fin juillet ou début Aout 2018,avec la grosse branche d,un (pins )qui s'écrase au sol avec fracas, à quelques mètres de Dominique ,qui pratique des étirements après son jogging.Quelques poignées de secondes auparavant,il entendait deux ou trois sifflements à proximité de ses oreilles des tirs.L,importance de la discrétion,fut indispensable pour développer le sentiment du doute. Cette spécificité dans l'application des pressions de nature psychologiques contribue à l'usage de la kinésie en toute quiétude. chasseneuil du poitou 86130 kinésie avec la mise sous tension du magnétoscope et la TV durant le film Harry Pother,_Jai tué tes parents tu n,a plus de famille_ Entre 1996 et 2O10.Lacanau Ocean fin Juillet ou début Aout 2018,Une grosse branche d,un(pins) s,écrase avec fracas,par absence de vent,à quelques mètres de Dominique .Pas de signe particulier pour cette branche. La question qui se pose aujourd'hui est la suivante_ Quel choix adopter entre le déni et une réalité qui ne peux que suscité l'effraye ?Evidemment la réponse est évidente un choix de confort et de raison et pourtant, il existe parfois des réalités qui dépassent la raison. Marquage avec un individu la trentaine,plutôt étranger, de type flûte environs 1,70 M (marocain). C,est à jaunay_marigny le Mercredi 02_08_2023 vers 8.50 H à la caisse d,épargne,durant une opération au guichet.Signe particulier fixation du regard avec une main dans la poche du blouson......

[les-chroniques-de-l-art]

“La véritable signification de l'argent”

Le fric…le pognon…la thune… l'oseille…le bes…le flows…les biftons…le blé…la maille…la caillasse…voilà ce qui différencie ceux qui ont de ceux qui n'ont pas…mais qu'es ce que l'argent…c'est une finalité si vous n'en n'avez pas…la moitié des humains ont plus de dettes que d'épargne disponible…25%ne disposent d'aucune épargne et seulement 15% de la population est à peine à mesure de financer une année de retraite…cela sous entend quoi?…que la classe moyenne s'évapore ou que le rêve est devenu mort?…vous ne seriez pas là à lire si la réponse était oui…vous voyez je penses que la plupart des gens ont simplement une vision vicié de l'argent…es ce seulement une unité d'échange convenu pour les biens et services…720f pour un litre de carburant…1500f pour un litre d'huile…ou es ce un bien immatériel ?…une sécurité ou un bonheur…une tranquillité d'esprit…permettez moi de vous proposer une troisième solution…l'argent comme instrument de mesure…la triste réalité est que l'argent accumulé au cours d'une vie ne dépend pas d'un président…ni de la conjoncture économique ou encore des périodes de malchance…ni des patrons…cela dépend du dévouement au travail…ce dévouement qui nous fait aller à l'encontre des médias sur le fait d'être un beau parents parceque vous vous êtes promis de travailler et d'investir dans l'avenir de votre famille et d'assumer les conséquences de ces actions…la patience la sobriété le sacrifice…quand on résume qu'es ce que ces 3 choses ont en commun?ce sont les choix…l'argent ne fait pas la tranquillité d'esprit… l'argent ne fait pas le bonheur…l'argent est dans son essence même ce qui permet de mesurer les choix d'une personne…

[thecommunityrust]

Route 66, 67 souvenirs.

Latitude : 35.225011, Longitude : -112.484067

Ces dernières semaines furent rythmées par des imprévus de toutes sortes. Ce fut à croire qu'Ash Fork m'en voulait d'avoir réveillé ses mauvais souvenirs. Mon très cher compagnon de route, qui n'est autre que mon camping-car, m'a lâchée en plein milieu de mon chemin entre Williams et Flagstaff, juste à l'entrée de Bellemont.

Je vous épargne les détails de l'incendie qui a animé mon après-midi du lundi 6 mars, mais disons que cela rendra mon départ de Williams encore plus mémorable. Bien qu'il s'agisse d'une ville très animée par le tourisme, chacune de ses rues est imprégnée d'authenticité et d'histoire. Le décor et l'ambiance dans lesquels j'ai été plongée m'ont fait l'effet d'un voyage dans le temps. En dehors de sa rue principale qui aligne motels, vieilles stations-services, restaurants, diners, et myriades de boutiques, ce qui a tout particulièrement retenu mon attention a été le train du Grand Canyon Railway. Ce train reliait la ville au parc national du même nom avant de cesser son activité de 1974 à 1989 où il a été racheté par la famille Biegert, puis par la compagnie Xanterra au début des années 2000. Les résidents de Williams racontent que le trajet est animé par des interventions réalisées par des comédiens en costumes jouant des scènes de duel, ou de fausses attaques de train.

Joel Andrews, un conducteur du train, m'a invitée à bord de celui-ci pour me raconter les rumeurs créées par les habitants de Williams à l'époque de la cessation d'activité du Grand Canyon Railway. Il contait d'une voix teintée de nostalgie son récit ponctué par des rires caverneux.

"On se sentait comme dans un film. L'arrêt de l'activité du train a été si soudaine, qu'il a laissé place à toutes sortes de rumeurs sur lui et le Grand Canyon. C'était une dure période pour l'économie de la ville... Le tourisme ramait et tous nos parents en subissait les conséquences. Ce genre d'histoires nous permettaient de nous rassembler et de nous divertir un peu."

On disait que lors de son dernier voyage, le train était plein à l'allée et que lorsqu'il était revenu à Williams en fin de journée, seuls une petite fille couverte de crasse et un chien blessé étaient descendus du véhicule. Le vieux Pete de la station essence les avait aperçus sortir de la gare, et selon lui, le chien n'était pas tenu en laisse mais avait l'air très agressif. Personne n'avait plus jamais entendu parler de ce qui était arrivé aux voyageurs ce jour-là, et ils n'ont plus jamais été aperçus en ville. La petite fille disparut également avant de revenir au moment de la reprise d'activité du Grand Canyon Railway. Les habitants l'avaient reconnue grâce à la cicatrice qui traversait sa joue gauche, son regard vide et la vieille valise en cuir qu'elle portait déjà avec elle à l'époque. Depuis, les années passent et depuis cette année-là, "the station lady" passe toujours ses nuits assise devant l'entrée de la gare, accompagnée d'un chien de la même race que celui qu'elle avait en 1974, en feuilletant un vieux cahier dont le contenu est inconnu de tous. Certains pensent que si personne n'a jamais entendu sa voix, cela était sûrement dû à un choc traumatique qu'elle aurait subi le jour où les voyageurs du train ont disparu.

"Bien qu'il n'y ait eu aucune enquête ouverte sur ce qu'il s'était passé ce jour-là, beaucoup de gens parlaient d'un massacre ou d'une attaque d'un groupe fasciste au parc du Grand Canyon à laquelle la station lady et son chien avaient survécu."

Evidemment, Joel a partagé avec moi un bon nombre d'anecdotes et de détails sur cette période, me faisant voyager à travers l'entièreté du spectre émotionnel. Il me fit également part de son histoire personnelle avant de me faire rencontrer sa famille qui a eu la gentillesse de m'accueillir le soir de ma dernière nuit à Williams, faisant de celui-ci probablement un des plus mémorables.

J'ai tellement de choses à partager au sujet de cette ville, mais je crains ne jamais publier cet article si je me lance dans l'écriture détaillée de cette aventure, et je vous avoue qu'après avoir découvert la mystérieuse histoire du Grand Canyon Railway et de la station lady, j'avais très envie de prolonger mon séjour pour ouvrir ma propre enquête. Malheureusement, bien que cela me déchire le cœur, je ne pouvais pas me permettre de m'installer plus longtemps, et j'ai alors repris ma route vers l'est en attendant qu'une nouvelle destination appelle mon nom.

[leblogdemarinaetjm]

MARDI 11 JANVIER 2022 (Billet 2 / 3)

Nous voulions vous présenter la toute dernière nouvelle abonnée à notre Blog, il s’agit de Janine (P.).

Janine est la maman de Florence (L.), celle qui avec Vincent (son mari), nous avait invités samedi dernier à dîner (et tirer les rois au dessert). Ils habitent une charmante maison individuelle sise dans une petite impasse du XIVe… mais ceci n’est pas le sujet de notre Billet, quoique nous ayons passé une très agréable soirée en leur compagnie et celle de leurs deux enfants, Nicolaj (prénom qui se prononce « Nicolaï ») et la plus jeune, Gabrielle (qui nous a beaucoup fait beaucoup penser à Gaëlle, une de nos nièces).

JM a dû faire connaissance de Florence et ses parents un hiver au Club Med, à Valbella (Suisse), en 1973 ou 1974. Ensuite Florence a demandé à ses parents de suivre JM, son équipe et toute la petite bande d’enfants qui avait pris l’habitude d’en faire autant.

Et puis, plus tard, à l’adolescence, tout ce petit monde ayant grandi, petit à petit s’est perdu de vue (à une ou deux exceptions près). La suite, vous la connaissez, ils se sont retrouvés grâce aux réseaux sociaux, ainsi que JM, l’année de ses 70 ans (ce qui l’a miraculeusement consolé de passer à la décennie supérieure). Cette histoire, nous l’avons déjà racontée plusieurs fois sur le Blog à l’occasion de nos retrouvailles, entre autres sur notre terrasse.

Mais samedi dernier, c’était la première fois que JM revoyait Janine depuis l’été 1978 à Smir (Maroc), c’est-à-dire il y a 44 ans !!!

Eh bien, vous n’allez peut-être pas le croire, il l’aurait reconnue, avec sans doute un petit temps de réflexion, même dans la rue ! Elle n’a pas changé !

Janine est épatante, elle voit sans lunettes et entend parfaitement bien. Elle fait ses courses, connaît tous les parcours des autobus parisiens, va dans les magasins, beaucoup au cinéma pour voir tous les films qui l’intéressent (et mêmes les autres), visite des Expos, va au théâtre, assiste à des concerts et a une mémoire incroyable. Elle se souvient de tout… de trop de choses même, ce qui lui donne parfois le blues de ne pas pouvoir revenir en arrière. Elle a perdu son mari il y a quelque temps, JM aimait beaucoup ce couple.

Pour finir et surtout pour que vous compreniez le sujet du dernier Billet : le mari de Janine, Claude, était le frère de Roland Petit qui lui-même était marié à Zizi Jeanmaire. C’était les deux fils de Madame Rose Repetto, fondatrice de la célèbre marque de chaussons de danse « Repetto ».

Florence a dû hériter, à sa façon, un peu du talent de son oncle Roland (danseur et chorégraphe). La dernière fois que JM l’a mise en scène, c’était à Smir. Parmi ses nombreuses participations dans les spectacles Mini-Club, elle a repris le rôle de Swanee chanté par Sylvie Vartan et JM a même créé spécialement pour elle le numéro « Merci Monsieur l’agent » (toujours de Sylvie Vartan). Florence n’était plus la pré-ado des saisons précédentes et commençait à devenir une petite jeune-fille. Pour qu’elle s’harmonise quand même avec tous les autres tableaux mettant en scène des enfants plus jeunes, JM l’entourait de petits boys ou de petits policiers… et là, la différence d’âge devenait attendrissante.

Dans les 2 dernières photos, vous comprendrez pourquoi Janine ne pouvait pas reconnaître JM. Eh oui, le temps a passé (on vous épargne les détails…), mais parait-il qu’il a gardé la même voix.

Une chose est sûre, si vous passez un moment avec Janine et qu’elle vous raconte tout ce qu’elle peut faire dans une journée, vous prierez le ciel (et tous les dieux de la terre) d’avoir à son âge ne serait-ce que la moitié de son énergie.

Voilà pourquoi, à la fin du dîner, nous lui avons demandé si cela l’intéressait d’être abonnée à notre Blog où nous parlons souvent de cinéma. Elle a dit oui tout de suite, son petit-fils qui était à côté d’elle ajoutant qu’Internet, Facebook et autres réseaux sociaux n’avaient plus aucun secret pour elle.

Malgré nos différences d’âge, comme au Club d’antan, nous nous sommes même tutoyés et comme elle va nous lire pour la première fois ce matin, au nom de nos très nombreux lecteurs/abonnée : NOUS LUI SOUHAITONS DONC LA BIENVENUE SUR LE « BLOG DE MARINA & JM ».

[the-noob-simblr]

Jeanie - The birth of Emily

Jeanie gave birth to another beautiful baby girl. Like her sister she inherited her mother’s traits, and like her sister she has freckles, even though none of their parents does. Her name is Emily, but i don’t plan on making her go to Paris (if you got this lame joke, sorry).

FR

Jeanie a accouchée d’une petite soeur pour Elia. C’est donc Emily qui rejoint la famille, un beau bébé qui a déjà les yeux de sa mère. Tout comme sa soeur, Emily a hérité de tâches de rousseurs... mais héritée de QUI ?! Pas de ses parents, ni de ses grands parents paternels en tous cas.  

Je vous épargne la mauvaise blague sur cette mauvaise série.

[teamfreeofficial]

BIOGRAPHIE

Isobel Stevens dit "Izzie" grandit près de Forest Park, sur la Route 6, derrière une église à Chehalis, dans l'état de Washington. Elle vivait sur un parking de caravanes avec sa mère qui la surnommait "Cricket". Adolescente, Izzie travaille en tant que serveuse et épargne pour l'université mais rapidement, elle est contrainte de payer les factures avec son propre argent sa mère dépensant le sien pour consulter des médiums. A seulement 16 ans, Izzie tombe enceinte et décide de faire adopter son bébé. Izzie imagine sa fille s'appelant Sarah mais ses parents adoptifs la nomment Hannah. En raison de sa grossesse, Izzie a mauvaise réputation et ne se fait aucun ami. A 18 ans, elle quitte la maison et va en école de médecine. Mais cette dernière étant chère, elle devient mannequin et se transforme en Bethany Whisper pour ne pas avoir à faire de prêts. Elle arrive au Seattle Grace en même temps que Meredith, George et Cristina. Ils vont devenir amis et Meredith la prend en colocation avec George. Izzie entretient une brève mais intense relation avec Alex Karev puis elle tombe amoureuse d'un de ses patients, Denny Duquette, qui après sa mort lui lègue sa fortune de 8,7 millions de dollars dont elle fait don au dispensaire du Dr Miranda Bailey. Elle tombe ensuite amoureuse de son meilleur ami George O'Malley qui est encore marié au Dr Callie Torres. Mais leur relation n'aboutira finalement qu'à une brève histoire qui ternira quelque peu leur grande amitié. Elle se met à avoir des visions de Denny tout en sortant avec Alex. En se rendant compte de l'étendue de ses diverses visions, Izzie utilise les internes pour se faire des soins et des diagnostics qui révèle la présence d'un cancer avec très peu de chances de survie. Shepherd décide de l'opérer. En période post-op, elle fait un arrêt cardiaque par suite d'un taux élevé de potassium dans le sang (hyperkaliémie). Bien qu'elle ait signé une décharge de non-réanimation, Alex, puis le Dr Webber décident d'ignorer cette directive anticipée et tentent de la réanimer. Elle est entre la vie et la mort. Finalement elle survit à son arrêt cardiaque. Elle continue un traitement contre son cancer. Peu après, elle reprend le travail. Elle est désorientée sans George, mort il y a quelques semaines. Une fusion entre l'hôpital le Seattle Grace Hospital et l'hôpital Mercy West entraîne des restrictions budgétaires. Tout le monde peut être renvoyé à la moindre erreur. Elle sera dans le champs de vision des potentiels à partir, mais fera tout pour se battre et rester. Normalement, elle se fait virer mais je peux jouer de façon à ce que ce ne soit pas le cas également. Je ne fais pas un copier/coller de la série.

[waitstay]

Lundi confinement #2

Previously dans le coronavirus vu par Juju : votre juju préférée a été confinée soudainement par son boulot ET par la fac. Des questionnements en découlaient mais en bonne flemmarde, elle a fait la sieste.

Mardi : Malheureusement mes parents sont confinés aussi. Ce qui m’a amenée à un questionnement : j’ai 25 ans bientôt et je vis encore chez eux. Je pense que toute notre entente repose sur le fait qu’entre les cours, le taf et les potes je les vois vraiment TRÈS PEU en temps normal. Le confinement s’annonce long. Surtout pcq ma mère chante le matin.

Mercredi : j’ai assez de jogging pour survivre au confinement rassurez vous, ma garde-robe est en fait composée pour moitié de vêtements de flemme. En plus de ça j’avais récupéré des poids lundi soir donc je me fais mes séances chez moi et les gars j'ai des courbatures DU DÉMON c'est trop cool. Par contre je commence à perdre vachement la notion du temps.

Jeudi : J’ai un problème : il fait beau, vu que tout mon quartier a tondu sa pelouse ça sent l’herbe coupé, j’ai ni cours ni boulot, bref j’ai l’impression d’être en été et donc fatalement j’ai envie d’aller boire une bière en terrasse. Mes voisins s’engueulent pcq y’en a un qui fait des travaux à 18h, une vieille gueule “SVP SVP ARRÊTEZ”, le tout par jardin interposés. Pour faire ma curieuse, je me met à la fenêtre (avec une bière à la main soyons honnête) et là je tombe sur d’autres voisins (jeunes) curieux à leur fenêtre aussi : fous rires par jardins interposés. 

Vendredi : en fait le confinement c’est l’occase pour moi de porter tous mes t-shirt de groupes de métal (et j’ai une petite collec’) que je peux porter qu’en été d’habitude pcq au taf et à l’université faut “s’habiller bien”. Donc là je suis super heureuse. Sachez aussi que mon mémoire avance bien et que ma fac ne nous donne toujours aucune directive c’est merveilleux.

Samedi : aucune différence entre semaine et week-end à part que ma mère se lève plus tard donc elle fait moins de bruit. Je voudrais souligner qu’on vit une époque formidable niveau musique : les artistes font PLEIN de concert sur leur live instagram (1h environ) et en particulier le live d’Hozier était trop bien, l’opéra de Paris ainsi que celui de Londres (je crois) mettent en ligne tous les jours des parties d’opéras, à titre personnel Two Feet a sorti son album pas longtemps avant le confinement, The Weeknd a sorti le sien pendant... Donc y’a de quoi faire.

Dimanche : je réalise que si je suis enfermée chez moi je suis pas dans les bars ou dans les magasins et ça c'est cool. Mais ça pose ma question préférée : qu'est-ce que je vais faire de tout cet oseille ?

Lundi : recap des pros and cons (d'un pdv perso, je vous épargne les pbs liés aux gens qui ne respectent pas les consignes ou liés à la mauvaise administration de la fac)

Pros :

J'ai plein d'oseille (quand j'aurais ma paye en tout cas) et je peux pas la dépenser dans des conneries

J'ai presque finit mon mémoire grâce à tout ce temps mis à disponibilité

Je peux porter tous mes fabuleux t-shirt de métal

Le sport à la maison s'avère efficace (et c'était ma peur #1)

Ça me force à faire des efforts sur mon alimentation et jusqu'ici je suis plutôt fière de moi

Visiblement j'ai arrêté de fumer (j'ai plus de clopes et plus de liquide pour la clope électronique, j'en ai pas recommandé et franchement ça va très bien)

Je garde un rythme de vie bien calée

Je suis absolument ÉCLATÉE AU SOL en ce moment donc je peux vivre ça tranquillou dans mon petit coin

D'ailleurs j'en profite pour tester des skincare et faire des soins

Y'a graaaave du matériel musical à disposition

J'ai l'impression que l'internet n'a jamais été aussi drôle qu'en ce moment

Cons :

Grosse perte de la notion du temps. Jeudi je croyais qu'on était lundi, tous les jours je relève la tête de mes bouquins, je découvre qu'il est 19h et dans ma tête il est 14h.

Je risque chaque jour de prendre mon meilleur rythme de gros lard.

Et justement là est le piège : c'est pas les vacances, contrairement à ce que le soleil et l'herbe coupée laissent penser.

Mes potes me manquent très fort, en particulier pcq je me rends compte que je suis H25 avec eux au lieu d'être chez moi.

Je dois réapprendre à vivre à 100% avec mes parents. Je vis chez eux mais des fois avec nos différents horaires on pouvait passer bien 4 jours sans se voir une seule fois. C'est pas facile.

Des fois j'ai mal aux jambes à force d'être allongée dans mon lit et je dois faire des squats pour aller mieux.

Mon péché mignon dans la vie c'est les frites. Donc là je crave des frites de fou malade. Et mes parents n'en ont rien à foutre de ma sèche, ils ont une RÉSERVE de gâteaux qui me met chaque jour à l'épreuve. Mais bon je tiens bon, je m'accroche à la vie quoi.

Résultat : confinement 10/10 je recommande

[andrewrossiter1]

Espérance

Espérance

Prédication par Andrew Rossiter à Luneray le 19 juillet 2020. Culte avec le baptême d’Antoine Pinsard et Castille Chabrières. Rom 8. 26-27, 31-39, Jean 15.1-11

Vous pouvez suivre le culte en directe sur FaceBook à la page de nos paroisses (https://www.facebook.com/Eglise-Protestante-Unie-Luneray-et-Dieppe-138997569633449/) ou en ré-diffusion sur notre chaîne YouTube plus tard dans la journée (https://www.youtube.com/channel/UCZ9A9Wsp-3rTkzH04c475Pg).

Le mal est. Le mal existe et personne ne peut dire le contraire.

Le mal, c’est deux pays qui font la guerre pour les intérêts des dirigeants sans prendre en compte les intérêts des civils. Le mal, c’est un tremblement de terre, par exemple le jour de la Toussaint 1755 qui a détruit Lisbonne. Pendant que les fidèles priaient pour leurs morts, la mort les a emporté. Le mal, c’est quelques molécules qui a la puissance de mettre le monde entier à genoux en confinement et dans la peur. Le mal, comme disait Victor Hugo en contemplant son exile à Guernesey, « Il pleut sur la mer alors que le Sahara a soif ».

Le mal, c’est la violence, la maladie, l’injustice, la tyrannie, la guerre, la sécheresse, le cancer, l’accident - il porte plusieurs noms, mais quoi que nous disions, le mal EST.

Nous avons prié juste avant les lectures bibliques ce matin que les paroles de Paul deviennent pour nous paroles de vie. Paroles de vie pour Castille, pour Antoine et pour nous tous. Ils sont encore bébés, trop jeunes pour entendre parler du mal. Ils ne sont pas encore préparés pour faire face à ce monde qui les attend. Corentin, François, Erika, Valentine, Guillaume, Petra, Thomas et Valériane (les parents, marraines et parrains des enfants) - ça c’est votre tâche et votre engagement et nous sommes ici pour vous aider.

Il faut entendre ce que dit Paul, il situe les violences, les maladies, les guerres et autres maux sous le registre de l’inachèvement. « La création toute entière gémit dans les douleurs de l’enfantement ». Paul sait que vivre par l’Esprit ne nous épargne pas de la confrontation avec le mal. Nous vivons un temps inachevé qui précède la délivrance et notre foi, nos croyances ne nous donnent aucune garantie contre les maladies, les tremblements de terre et ainsi de suite.

Le mal est, et nous le savons. Le mal est parce que nous ne sommes pas dans le Royaume. Nous vivons dans ce monde, qui est le monde de Dieu et de nous.

Alors, quelle différence peut faire la foi? Pourquoi baptiser nos enfants si le baptême ne les apporte rien? Pourquoi essayons-nous de croire en Dieu, si nos vies ressemblent aux vies de celles et ceux qui ne croient pas?

Pourquoi? Parce que nous sommes habités par l’espérance. Paul le dit, « l’espérance est l’assurance des choses que nous ne voyons pas ».

Jésus parle de la vigne, il dit de rester attaché afin de produire du fruit. Les branches qui ne sont pas attachées deviennent sèches et elles sont bonnes pour mettre sur le feu. 

Mais le vigneron doit savoir, au milieu de l’hiver, quelles sont les branches mortes et quelles sont les branches qui contiennent encore de la vie. Quelles sont les branches qui vont produire du fruit et lesquelles qui sont inutiles à la vie de la plante. Seulement un fou coupera toutes les branche pour se chauffer en hiver, il n’aura pas de fruit pour l’année prochaine. Même quand elles semblent mortes, au plus intime de leur être, les branches d’hiver se préparent pour le printemps. Les branches ressentent déjà la promesse de la sève. Pourquoi ne pas couper toutes les branches? Parce que nous savons que l’hiver n’est pas éternel et qu’il débouchera toujours sur la renaissance du printemps.

Nous ne coupons pas les branches parce que nous avons la ferme assurance de ce que nous ne voyons pas.

Dans notre monde une graine a été semée, c’est la résurrection du Christ. La résurrection est

Elle est d’abord un moment dans notre histoire marqué dans le passé. Jésus est ressuscité. C’est la pierre angulaire qui tient debout toute la vie de l’Église.

La résurrection est ensuite notre vie d’aujourd’hui, elle nous dit la bienveillance de Dieu. Elle nous assure que rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu. Ce matin nous avons fait des promesses à Antoine et à Castille, que leurs places sont toujours ici, quoi qu’il leur arrive.

La résurrection est aussi notre devenir. Nous sommes appelés, chacun de nous, à la résurrection.

Parfois il nous arrive à traverser les hivers, de connaître les périodes de deuil, de dépression, les moments où tout autour de nous semble mort et sans vie. La seule réponse à ces périodes est un enracinement dans l’espérance.

Parce que le Christ est ressuscité nous savons que l’hiver débouchera sur la vie nouvelle, même si au fond de nos trous profonds nous ne voyons que de noir, nous ne voyons rien de ce que nous espérons.

Saint Augustine disait que l’espérance avait deux enfants: le courage et la colère, et que les deux étaient nécessaires à la vie de notre monde. Il ne faut pas confondre la colère de violence ou de caprice avec le colère de la protestation. La protestation est la sainte colère qui donne la force pour changer les choses qui ne changeront pas toutes seules.

Un autre théologien, beaucoup moins cité dans les livres de théologie protestante (ou catholique aussi), il s’agit de San Antonio:

« Il n’y qu’une vertu en ce monde: la charité! Et la charité c’est quoi? De la colère, uniquement de la colère! La charité consiste à s’indigner. La charité, c’est pas chialer sur la misère du monde, c’est de la combattre. La charité n’est pas humble mais belliqueuse. La charité c’est l’amour. En amour, faut pas s’aplatir, c’est inopérant et négatif. La carpette? Jamais! Dieu a horreur des serpillières. »

L’espérance nous conduit à ne pas nous contenter du monde dans lequel nous vivons

de ne jamais se satisfaire de l’injustice

de l’incrédulité

de l’indifférence

du mal.

L’espérance nous donne aussi le courage d’entreprendre pour changer les choses.

Alors, Antoine, Castille - qui vous séparera de l’amour de Dieu? Rien ne peut vous séparer de son amour. Et c’est pour que vous viviez pleinement cette promesse et cette espérance que nous vous avons baptisés ce matin.

C’est pour que nous vivions pleinement cette promesse et cette espérance que nous avons renouvelé notre baptême à travers vous ce matin.

[mainarawts]

✨Qui suis-je "Vraiment" ?

Alors il y a plusieurs façons pour moi de décrire qui je suis; il y a la dimension spirituelle, et la dimension incarnée, là ici, sur cette bonne vieille Terre. Mais au final c'est la synthèse de ces deux aspects qui forme l'être que je suis. Vous comprendrez donc que je ne peux me présenter ou me décrire en faisant abstraction d’un de ces deux aspects.

Mais commençons

Je m’appelle Maïna ! Selon certaines sources, ce serait un prénom Breton et d’autres sources un prénom des îles. Mais les deux s’accordent pour dire que la signification désigne notre satellite « La Lune ». Pour la petite anecdote j’ai regardée les différents aspects de ce prénom (que j’ai choisi sans choisir...ça, c’est une autre histoire qui serait bien trop longue à raconter ici, je vous en parlerai après), et je suis vraiment restée bouche bée lorsque j’ai lue descriptif ; je vous met le lien ici pour celles ou ceux qui souhaitent le lire:

http://www.signification-prenom.com/prenom/prenom-MAINA.html

Tout collait parfaitement avec ce que je ressens en moi, c’est vraiment impressionnant.

Par contre ne comptez pas sur moi pour vous donnez mon ancien prénom de garçon. Je doute fort de toute façon que beaucoup de personne transgenre vous le donne dans la mesure ou à leur yeux, cela n’a jamais collé avec qui ils ou elles sont. Les seuls personnes à le connaître sont les personnes qui m’ont connues avant que je ne commence ma transition. Et je pense, du moins, qu’ils auront la décence de ne pas le dire, au pire je leurs redirai.

Je suis née le 13 octobre 1975 dans le Nord de la France à Lille. Je suis issue d’une famille tout à fait modeste...enfin du moins mes parents. Je n’ai pas vraiment eue une enfance et une adolescence très facile. Toute jeune, je me sentais tout à fait différente des autres sans réellement comprendre ce que je pouvais ressentir. Déjà à cette époque, je ne me sentais que très peu d’infinités avec les garçons et les filles ne voulaient pas que je sois elles (gros lapsus dans l'écriture ici c'est énorme je laisse), ou que je joue et partage leur monde, car j’étais dans un corps de garçon. Dès lors je ne savais pas vraiment ou pouvait bien être ma place. Je me suis à ce propos recemment souvenu que j'étais tromatisée d'aller à la piscine tout les vendredi, et cela du CE1 au CM2. Bien entendu moi-même, je ne comprennais pas pourquoi cela me mettais dans un tel état de panique intérieur. Mais, des souvenirs tout à fait refoulés me sont remontés. Déja, nous nous changions tous et toutes dans des vêstiaires commun. Et les sensations qui me sont recemment remontées, sont que je paniquais à l'idée de me changer avec les garçons. Et que lorsque je sortais assez rapidement des vestiaires, je voyais en face les filles qui s'attroupées et papottaient, je me souviens clairement maintenant que je me disais "Pourquoi je ne suis pas avec elle "? A dire vrai jusque l'âge de 8 ou 9 ans j'étais persuadées d'être une fille.

J’étais quelqu’un d’assez solitaire, et j’aimais m’isoler dans ma chambre, sans doute également par protection. Très jeune j’écoutais déjà beaucoup de musique.

A l’école ce n’était ni simple, ni facile, car une partie de moi s’y ennuyée profondément. Ceci dura de la petite école jusqu’au collège. Enfin je ne sais pas si je peux appelée cela le collège, puisque je me suis rapidement retrouvée en lycée technique, à aller faire l’idiote avec des câbles électriques , ou des machines usines, du moins pour moi c'était cela, puis je suis partie en école de force de ventes. Passé cette périodes, j’ai voulu essayé de rattraper un cursus supérieur par l’intermédiaire d’une Capacité de Droit à l’Université de Lille II. Mais cela a bien vite déraper lorsque je découvris dans le centre ville de Lille, Place Rihour le bar « Le Tudor Inn ». C’était un bar discothèque qui est rapidement devenu mon repère car je ne me sentais ni bien en cours ni bien chez mes parents. Il y avait dans ce bar, beaucoup de personnes atypique voir excentrique. Nous sommes en 1994 et la mode de la Deep House bâtait son plein. Tout les samedi à partir de 14h00 les festivités commençaient, pour généralement finir le soir...ou plutôt vers 1h00 du matin en discothèque, bien souvent Belgique, et souvent pour rentrer le Lundi matin… Mais bon je m’égare !

Quoi qu’il en soit j’ai fini comme Gogo Dancer au Tudor Inn. C’est là que j’ai découvert les joies d’un forme de transformisme. Mais comme j’étais assez perdue à l’époque, je ne savais plus vraiment ce qui me faisait vibrer ou non, j’étais plutôt dans une sorte de cherche d’acceptation des autres, et avec le recule je peux dire des femmes. Car en effet je n’avais que faire de la reconnaissance des hommes, je recherchais avant tout celle des femme. C’est d’ailleurs à elles que je me suis toujours comparée. J’aurai voulu à l’époque être Pat Benatar , Alannah Myles ou Johann Jett. D’ailleurs en y repensant cela n’a rien à voir mais dans les années 80 le premier groupe dont j’étais fan c’était Indochine, et je vous le donne dans le mille avec l’album 3eme Sexe, comme quoi ^^ !

Je ne vais pas parler ici des mes relations sexuelles ou sentimentales trop longement,  car cela ressemblerait vite à un roman dramatique. Néanmoins je ce que je peux en dire ici, c’est que sexuellement par exemple je ne réagissait pas comme la plupart des hommes. Je me sentais frustrée d’être dans cette situation d’homme qui doit faire l’amour et la nana, alors que je voulais que l’on me fasse l’amour. Dans cette position "L'homme propose la femme dispose". J’ai bien pensée très longtemps être gay passif, et j’ai d’ailleurs eue des aventure sexuelle avec les hommes, mais cela n’allait pas, quelque chose ne collait pas. Et non, puisque mon problème n’a jamais été de l’ordre de l’orientation sexuelle, mais d’identité de genre. Et sexuellement j’avoue être toujours attirée par les femmes. Ce qui pour l’instant fait de moi une lesbienne... hahahaha ! Je ne dis pas que cela restera comme ça toute ma vie, dans la mesure ou le changement hormonale peut provoquer des inversions. Car il ne vaut pas s’en cacher, une certaine partie de l’attirance vient des hormones, mais ce n’est qu’un aspect. Je fais une parenthèse, pour sauter directement en 2015, ou j'habitais à l'époque à Foix en Ariège. A cette époque j'ai par l'entremise d'un ami, rencontrée une jeune femme qiu m'a complètement faite perdre les pédales. Je ne comprennais pas pourquoi jétais totalement subjuguée par elle, c'était à la limite de l'envoutement. Mais encore une fois, j'ai il y a quelques temps, encore, comprise ce qui s'est passé; ce ne l'est pas tant que j'étais amoureuse, mais plutôt que je voulais être elle. Je me souviens être en pleur dans mon appartement en trin d'urler << Je veux qu'elle me rende ce qu'elle m'a volée !>>. En me remémorant ce passage, un ensemble de souvenir rejaillient, et comprennant pourquoi j'étais autant accrochée à mes copines au points de pas vivre ma vie mais la leur. Cétait une façon pour moi d'être elles, une femme. Notamment se souvenir d'avec une de mes ex, ma première vie de couple en 96-97, elle me trompait, et un jour je lui disais << t'as pas le droit, c'est à moi !!>>, en touchant son corps.

Ne trouvant que peux de repères dans mon quotidien je me suis rapidement réfugiée dans une sorte de spiritualité. En effet déjà adolescente, je voyais pas mal de choses. Je voyais des choses chez les personnes ; on pouvait me donner l’objet d’une personne pour que je vois des choses d’elle, de son vécue.

Tout cela a commencé vraiment après ma 1ère crise d’épilepsie, je me suis retrouvée au dessus de mon corps, sans comprendre ce qui se passé. Je vous épargne les détails, mais rapidement je me suis dit, c’est quoi être vivante ? C’est quoi être morte ? C’est quoi la vie? c’est quoi avoir un corps ?

J’ai été en traitement jusque l’âge de 18 ans environ. C’est une période qui m’a beaucoup affectée, car shootée par tout ces médicaments, je ressemblais plus à une ombre qu’autre chose. Au final c'est mes parents qui aurait dû aller voir un psy, plutôt que de m'y envoyer dès l'âge de 9 ans.

J’ai donc commencée à m’intéresser au Bouddhisme que j’essayais au mieux de pratiquer durant 2 ou 3 ans. Mais j’ai laissé tomber. Encore une fois je ne savais pas pourquoi mais un truc me dérangée.

Courant fin 1999 ma mère est décédée. Bien que je m’y étais préparée d’une certaine façon, car déjà à table lorsque que je la voyais tousser, je savais au fond de moi quelle n’en avait plus pour longtemps. Je voyais des imagesd'ell décédée. Après quelle soit décédée, cela allé encore pire qu’avant avec mon père et il me mise à la porte. Je me suis donc retrouvée à vivre comme je pouvais, pour me retrouver ensuite en Bretagne à Rennes. Là je me suis rapidement retrouvée dans le milieu LGBT, travaillant comme barman(aid) dans un bar gay-lesbien. J’ai eue énormément de copine lesbienne, et étrangement je me sentais avoir un lien de familiarité avec elles. Aujourd’hui bien sur je comprends pourquoi. Mais en soi, le milieu LGBT m’a toujours beaucoup fatiguée, sans doute par toutes les histoires prise de tête que j’ai pu constater. J’ai par la suite j'ai rencontré une jeune femme bien plus jeune que moi et nous avons vécu ensemble 3 années, mais là encore des choses n’allaient pas, et durant cette période j’ai rencontré une autre jeune femme dont j’étais très éprise. Mais étrangement à son contacte j’allais de plus en plus au contacte de mon féminin, et je commencais très vite à m’habiller de plus en plus femme. Cela n’a pas duré entre nous mais j’ai commencé une première transition à cette époque. J’avoue que je ne savais même pas pourquoi je faisais cela. En y repensant je n’avais pas complètement pris conscience que cela devait être mon chemin qui revient d’ailleurs aujourd’hui. Quand j’y pense j’avais même trouvé sur Nantes une endocrinologue, qui pouvait me prescrire ma prise d’hormone sans passer par deux années interminable devant un psy, (je suis en trin de faire des recherche pour la retrouver). Et là, je ne sais pas trop ce qui s’est passé, j’ai arrêté, la veille du début de mon traitement. A l’époque je travaillais dans une petite entreprise de peinture sur Rennes, j’étais apprentie. Je dois dire que cela me plaisait beaucoup, bien que cela manqué selon moi d’une certaine sensibilité dans ce cadre de travail. Je me suis par la suite mise à mon compte, et cela fonctionnait très bien. Et absorbée par mon travail je ne pensais plus du tout à moi...enfin je dirais aujourd’hui que j’étouffais bien tout ça . Mais avec le recule, je pense que je n'ai pas continuée à l'époque car c'était un trop grand saut dans l'inconnu pour moi.

Il faut ici que j’ouvre une parenthèse importante dans cette chronologie. Car durant cette période de quelques mois après ces premiers pas ratés dans cette première transition, il m’est arrivée un drôle d’évènement. Mais laissez moi vous expliquer ; Ce que je m’apprête à vous narrez ici est une expérience vécu il y a quelques années. En 2006 pour être exacte. Celle-ci en amena d’autres. Bien que moins perturbantes pour moi à l’époque, elles restent incroyables dans une certaine mesure. Mais commençons par la première.

Allongée un soir dans mon canapé, je somnolais. Un état que je défini entre deux eaux, entre le réveille et sommeil. Lors de cet entre deux, je vis un cercle constitué de douze pierres (Minéraux) plus une au centre de ce cercle, dans lequel la personne assise direction regard vers le nord se devait de tenir dans les paumes de la main la pierre en forme de pyramide. Je vis également des écritures sous chaque pierre. Ne sachant trop vraiment pourquoi, je me suis redressé brusquement, et saisis rapidement une feuilles et un crayon afin de retranscrire ce que j’avais vu.

J’ai laissé cela ensuite de coté puis suis parti me coucher. Mais je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Je me suis alors dit que j’irai voir en ville le lendemain si je peux trouver ces pierres, ou savoir tout du moins si elles existent.

Après ma journée de travail classique, je me rendis après mon travail dans un magasin de minéraux et montrais la feuille avec les noms à la personne de la boutique. A part des noms que j’avais écorchées, le vendeur rectifie les noms. Par exemple « Apolilite devint Apophylite » « Crinopras devint Chrysoprase » et ainsi de suite. Pour afin finalement par toutes me les trouver. Je dois dire que le vendeur fût bien content de ma visite, car bien que certaines soient financièrement accessibles, d’autres n’étaient pas vraiment données. Mais qu’importe je les prises, et rentrais chez moi. Je pris un café et décidais bien vite de placer les pierres comme présentés sur le schéma. Je me mise au centre du cercle, le plus au centre possible. Mon regard faisait face à mon mur de salon. A ma droite mon bureau collé au mur que je regardais, à ma gauche mon meuble avec ma chaîne Hi-fi qui passé de la musique. Encore à ma gauche sur l’autre mur l’ouverture de la porte qui donnait sur le couloir d’entrée. Et derrière moi le mur de salon avec un grand canapé, ainsi qu’un plus petit sur ma gauche. Je vous raconte ces détails sur mon salon car c’est important pour la compréhension de la suite et facilité la visualisation de mon récit.

Mais continuons! J’étais donc placée au centre du cercle, une musique douce passée. Je pris la pierre d’Apophylite qui possède une forme proche d’une pyramide. Naturellement je fermais alors les yeux. Soudain au bout de quelques minutes j’eus l’impression de voir dans la pièce. Ce qui me surpris car j’étais persuadée d’avoir les yeux fermés. Je décidais alors avec ma mains droite de regarder si j’avais bien les yeux fermés en voulant me toucher les paupières, mais je vis alors ma main s’approcher de mes yeux. J’ai même un instant cru que j’allais me mettre les doigts dans l’œil. Mais non, mes paupières étaient belles et bien fermées.

Soudain j’entendais la musique devenir de plus en plus faible, comme si elle s’éloignait. Pouvant voir autour de moi, je pouvais clairement distinguer le vu-mètre de la chaîne hi-fi monter et descendre comme si la musique continuait bien de se diffuser. Je commençais à percevoir comme des sortes de paillettes dorées dans l’aire. Je regardais autour de moi et vis que la pièce en était remplit avec également une sorte de bleu électrique très intense, comme le bleu de la foudre. Le regard... (afin je ne sais pas si je peux aujourd’hui appeler cela le regard) tourné sur ma droite vers mon autre mure, j’ai alors était prise d’une sensation étrange, j’ai rapidement tournée la tête vers l’ouverture de la porte qui mène au couloir d’entrée. C’est la que je vis une personne, d’apparence féminine l’ épaule droite appuyé au montant intérieur de la porte. Je fus surprise mais étonnamment pas dans la peur. Elle était assez grande puisque le haut de sa tête touché le haut du montant intérieur de la porte. Je dirais qu’elle devait facilement faire  deux mètre dix. Une allure qui lui donnait beaucoup de grâce. Elle portait un ensemble robe tunique d’une pièce dans une matière proche du lins mais avec des reflets bleutés couleur ciel qui descendait un peu plus haut que les chevilles. Cela m’a tout de suite fait penser ces tunique que l’on peut voir dans certains péplum. Mais ce qui m’a surtout frappée c’est son visage. Des traits assez anguleux, avec une large bouche. Mais le plus surprenant étaient ses yeux! Des yeux deux fois plus grands que la moyenne, avec des pupilles d’un bleu électrique d’une profondeur incroyable. Et chose surprenante, là ou nous, nous avons la pupille parfaitement délimité par un trait, chez elle non, le bleu continuait de se dégrader dans le blanc du reste le œil. Je n’oublierai jamais ce regard. Elle avait également une abondante chevelure brune avec des reflets blancs dedans. Je ne saurais d’ailleurs dire si c’est le brun qui possédait des reflets ou le blanc qui possédait des reflets brun.

Elle était là, sans rien dire à me regarder fixement, tout en arborant un sourire, de son visage à la couleur pâle avec dedans des aspects un peu grisé et bleuté.

Lorsque pour une raison que je suis bien incapable d’expliquer je me retournais alors vers mes canapés, et vis dans le grand canapé deux hommes, eux également vêtu d’une tuniques assez similaire, avec des cheveux brun ondulé mi-long jusqu’au épaules et une barbe. Dans le deuxième canapé plus petit, un homme plus jeune avec sur ses genoux, une très jeune femme dont le bras gauche entourait le coup par derrière de celui-ci. Mais tous me souriaient! Je pouvais sentir un amour incroyable se dégager d’eux. Je n’ai jamais ressentis cela peut-être à part lorsque l’on est amoureux transit.

Je retournais alors la tête vers la femme...enfin ce qui me semble être une femme, mais je ne la vis plus. Lorsque j’ai soudain très nettement je sentie sa main… ce que je suppose être sa main, se poser sur mon épaule droite, et au même instant j’entendis dans ma tête « Maïna », je me retournais alors brusquement mais ne vis personne. Je ne vis d’ailleurs plus personnes dans la pièce. Je restais là, avec cette incroyable sensation de chaleur, de paix.

J’ai retournée la tête vers mon mur nord, très rapidement j’ai commençais à entendre la musique de ma chaîne faire son retour, pour me retrouver tout aussi rapidement dans le noir de mes yeux fermés.

J’ai ouvert les yeux et suis restée comme ça quelques instant, à la fois surprise, et totalement interloqué.

Je me suis relevée, puis suis partie prendre un verre d’eau dans la cuisine.

En revanche, ce qui m’a vraiment fait halluciner c’est lorsque que j’ai regardée l’heure. Il était presque une heure et demi du matin, alors que je suis sur de mettre placée au centre du cercle vers dix neuf heures. Je crois que c’est ça qui m’a vraiment fait me poser des questions. Mon esprit rationnel n’y entendait rien.

Les jours qui ont suivi je n’ai pas très bien dormi, je repassais tout cela dans ma tête, en espérant trouver une explication logique et rationnel. J’avais également l’impression que l’on avait placé quelque chose en moi, depuis l’instant ou cette main s’était posée sur mon épaule. Et ce nom, car pour moi c’est un nom, me revenait régulièrement en tête

Lorsque je repense à tout cela j’avoue avoir un sentiment de nostalgie. Jamais à cet instant je n’ai ressenti un tel sentiment de paix en moi.

Un jour j’ai voulu retenter l’expérience, mais impossible de remettre la mais sur le schéma que j’avais et jamais je ne me suis complètement souvenu de l’ordre dans lequel placer les pierres.

Je ressens encore aujourd’hui un grand sentiment de frustration de ne pouvoir refaire correctement cette expérience.

Les jours ont passés je suis revenu à une vie dirons nous standard. Quoi que je me suis rapidement mis à m’intéresser de plus en plus aux pierres et aux minéraux, pour finalement prendre des formations en lithothérapie et donner moi-même par la suite. Et enfin avec les années thérapeute énergéticienne.

Ce que je viens de vous décrire, est la retranscription d’un autre blog dans lequel j’ai écrit cela. Un autre blog que je tiens, mais qui est plus orienté spiritualité, énergie…

Ce que je peux poser aujourd’hui par écrit ce sont beaucoup de grosses prises de conscience, avec un effet de synchronicité de choses du présent et de mon passé, qui me permettent de comprendre pourquoi j’en suis là aujourd’hui à repprendre cette transition, afin de devenir ou plutôt d’être ce que j’ai toujours été au fond de moi, « Une Femme »! C’est mon interprétation bien sur, mais lorsque je repense à cette évènement insolite dans mon appartement Rennais, les personnages correspondent à différentes périodes ou étapes de ma vie. Actuellement je pense que je suis à l’étape des deux personnes, le jeune homme et la jeune femme, qui symbolise la transition. Pour finir afin par être cette femme « Maïna ». Bien sur certaines personnes trouverons sans doute ça très alambiqué, mais l’important que cela raisonne en moi aujourd’hui. J’ai également placée trop d’analyse et de mentale sur ce que j’ai été et suis. Aujourd’hui il est grand temps pour moi d’aller vers ce qui résonne en moi au-delà de toutes analyse et mentalisation. Tout ce que je sais c’est que lorsque que je regarde cette photo de moi placé en haut de mon blog, j’ai les larmes qui me montent. J’ai l’impression de me voir, de me reconnaître pour la première fois. Bien sur cette photo n’est pas qui je suis physiquement encore pour l’instant, puisque c’est une photo FaceApp. Néanmoins c’est un résultat assez proche de ce que cela devrait donner, dans la mesure ou l’IA qui génère cette transformation ne se trompe que de 10%. Ici mes lèvres sont un peu plus charnues que ce que j’ai actuellement. Mais pour le reste c’est assez vrai.

J’avoue pour l’instant ne pas avoir envie de mettre une photo de moi avec mon physique actuelle. J’ai déjà tellement de plus en plus de mal à me voir devant le miroir j’ai pas très envie de l’exposé sur mon blog. En revanche des photos de moi en ayant commencée mon traitement, et afin de garder la trame évolutive oui sans doute.

En tout cas j’arrive aujourd’hui à comprendre la trame de ma vie, ce que j’ai vécue, et pourquoi je l’ai vécue. Comment j'ai pu me faire du mal. Pourquoi cette culpabilité, le fait de n'avoir jamais pu rien faire entre parenthèse de ma vie, de mettre autant négligée, de ne pas prendre soin de moi et de mon corps. Certaines personnes transgenre qui font se parcours de transition, ne se rendent peut être pas compte, c’est que cela va au-delà du simple aspect physique, il y a également une démarche consciente ou inconsciente très spirituelle, car on touche ici au fondement même de l’existence. Sur qu’est ce que la pensée binaire, ternaire. Que veut dire avoir un corps !? Les habitudes du pronom "il ou elle" sont telles des choses prédéterminées ou innées, ou juste des constructions mentale au travers de la matrice sociale ?! Si depuis la plus tendre enfance à une femme ou un homme, vous lui assénez au travers de l’éducation que seul le pronom "Il ou Elle" existe, le cerveau se construira ainsi. Mais jamais le mental n’a constitué qui nous sommes au fond. Et cela aucune norme sociale, aucune autres personnes que vous, que moi ne peut le savoir. Seul chacun(e) au fond de lui-même peut savoir qui il ou elle est.

✨𝓜𝓪𝓲̈𝓷𝓪✨