#voyage vers la lune
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ninadove · 9 months ago
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— Cyrano de Bergerac by Edmond Rostand (Acte II, scène 8) [FR] [ENG]
Part 1 🐈‍⬛
Part 2 🐉
Part 3 ⬆️
Alt text below the cut!
FRENCH: Et que faudrait-il faire ?
ENGLISH: What would you have me do?
SCREENSHOT: Felix confronting Adrien about his inability to defy his father [S4 E23: Risk]
FRENCH: Chercher un protecteur puissant, prendre un patron, // Et comme un lierre obscur qui circonvient un tronc // Et s’en fait un tuteur en lui léchant l’écorce, // Grimper par ruse au lieu de s’élever par force ?
ENGLISH: Find a powerful protector: and choose a patron, // like the dark ivy that creeps round a tree-trunk, // and gains its support by licking at its length, // to climb by a ruse instead of rise by strength?
SCREENSHOTS: Gabriel handing Colt the Peacock Miraculous + Colt, transformed, holding Felix’s amok [S5 E24: Representation]
FRENCH: Non, merci.
ENGLISH: No, thank you.
SCREENSHOT: Felix wearing his amok for the first time [S5 E24: Representation]
FRENCH: Dédier, comme tous ils le font, // Des vers aux financiers ? Se changer en bouffon // Dans l’espoir vil de voir, aux lèvres d’un ministre, // Naître un sourire, enfin, qui ne soit pas sinistre ?
ENGLISH: Dedicate, as others do // my poetry to bankers? Become a buffoon // in the base hope of seeing a less than sinister // smile quiver on the lips of some minister?
SCREENSHOTS: Kagami abandoning her foil after her defeat against Adrien [S2 E6: Riposte] + Matagi Gozen shooting arrows at Kagami [S5 E19: Pretension]
FRENCH: Non, merci!
ENGLISH: No, thank you!
SCREENSHOT: Argos destroying his fan to protect Kagami from Tomoe [S5 E19: Pretension]
FRENCH: Calculer, avoir peur, être blême, // Préférer faire une visite qu’un poème, // Rédiger des placets, se faire présenter ?
ENGLISH: Calculate, show fear, grow pallid, // prefer to make a visit than a ballad? // Get myself presented, write petitions to the king?
SCREENSHOTS: Gabriel hugging Adrien as part of a ploy to akumatise him [S5 E10: Transmission] + Antichat and Nightormentor [S5 E24: Representation]
FRENCH: Non, merci! // Non, merci! // Non, merci!
ENGLISH: No, thank you! // No, thank you! // No, thank you!
SCREENSHOTS: Felix resisting akumatisation [S4 E9: Gabriel Agreste] + Flairmidable fetching Ladybug’s yoyo [S4 E24: Strikeback] + Felix clutching the Peacock Miraculous [S4 E24: Strikeback]
FRENCH: Mais… chanter, // Rêver, rire, passer, être seul, être libre,
ENGLISH: But...to sing, // to dream, to smile, to walk, to be alone, be free,
SCREENSHOTS: Paris empty under the light of the Red Moon [S5 E18: Emotion]
FRENCH: Avoir l’œil qui regarde bien, la voix qui vibre,
ENGLISH: With a voice that stirs, and an eye that still can see!
SCREENSHOTS: Felix confessing to Kagami in the sewers [S5 E19: Pretension] + Felix reassuring Duusu they will get their happy ending [S5 E24: Representation]
FRENCH: Mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers, // Pour un oui, pour un non, se battre, – ou faire un vers !
ENGLISH: To cock your hat on one side, when you please // at a yes, a no, to fight, or – make poetry!
SCREENSHOT: Felix (disguised as Adrien) smirking as he prepares to beat up the Punishers [S3 E23: Felix]
FRENCH: Travailler sans souci de gloire ou de fortune, // À tel voyage, auquel on pense, dans la lune !
ENGLISH: To work without a thought of fame or fortune, // on that journey, that you dream of, to the moon!
SCREENSHOTS: Argos explaining his wish + preparing to snap Red Moon [S5 E18: Emotion]
FRENCH: N’écrire jamais rien qui de soi ne sortît, // Et modeste d’ailleurs, se dire : mon petit, // Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles, // Si c’est dans ton jardin à toi que tu les cueilles !
ENGLISH: Never to write a line that’s not your own, // and, humble too, say to oneself: My son, // be satisfied with flowers, fruit, even leaves, // if they’re from your own garden, your own trees!
SCREENSHOTS: Felix playing with his plush rabbit [S5 E24: Representation] + Kagami sketching Felix by the pool [S5 E 26: Recreation], both times in a garden
FRENCH: Puis, s’il advient d’un peu triompher, par hasard, // Ne pas être obligé d’en rien rendre à César,
ENGLISH: And then should chance a little glory bring, // don’t feel you need to render Caesar a thing,
SCREENSHOTS: Adrien lying to Kagami about losing his bracelet, which she holds behind her back [S4 E2: Lies]
FRENCH: Vis-à-vis de soi-même en garder le mérite,
ENGLISH: But keep the merit to yourself, entirely
SCREENSHOTS: Argos drawing a heart on Kagami’s window, causing her to giggle + Argami kissing as the sun rises [S5 E24: Representation]
FRENCH: Bref, dédaignant d’être le lierre parasite, // Lors même qu’on n’est pas le chêne ou le tilleul,
ENGLISH: In short, don’t deign to be the parasitic ivy, // even though you’re not the oak tree or the elm,
SCREENSHOTS: Argos joining the heroes’ team [S5 E26: Recreation]
FRENCH: Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul !
ENGLISH: Rise not so high, maybe, but be there all alone!
SCREENSHOT: Felix standing to a much bigger Gabriel, surrounded by amoks and akumas [S5 E24: Representation]
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macademiastudies · 3 months ago
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Nov. 9th Journal
Day one of the 50-day challenge
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🦉 Habit 1: Studying - Data Analysis Course Assignment Unit 3 - Data Analysis Course 3.3 - Data Analysis Course 3.4 - Do one practice with Cognos - Type out the rest of my handwritten notes - Complete the Text-Based Python Slot Game - Make a wireframe for the app I've been wanting to make for years
🍂Habit 2: Physical Activity - 10 minute AB workout - 30 minutes of walking 🕯️Habit 3: Self-care - No soda today - Include one vegetable in every meal - 1/2 bottle of water today (gotta start small) - Hang my clothes - Do my hair with heatless curls - Fill up a lip care tube for myself - Set up my home office desk 📰 Habit 4: Reading - You Need a Budget, by Jesse Mecham (100 Pages) 🏛️Habit 5: Language Learning - Really sit down and think about what I want to learn, because right now I want to learn it all
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🎻 Song of The Day: Mouvement I, Voyage Vers la Lune - Franz Gordon 🤎 Quote of The Day: “There is no shame in not knowing something. The shame is not being willing to learn.” - Alison Croggon, The Naming 📜 Currently Studying: Python, Data Analysis 🪶 Recommendation of The Day: please start learning that new school you've always wanted to. It's never too late to change an old habit or to learn a new skill. There are a lot of internal and external struggles when you begin but the entire Journey and learning by itself is always worth it.
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Images are mine but please just credit if you use!
This Challenge is entirely credited to @ros3ybabe
Divider credits to @strangergraphics
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iranondeaira · 6 months ago
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« Chanter,
Rêver, rire, passer, être seul, être libre,
Avoir l'œil qui regarde bien, la voix qui vibre,
Mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers,
Pour un oui, pour un non, se battre, - ou faire un vers !
Travailler sans souci de gloire ou de fortune,
À tel voyage, auquel on pense, dans la lune !
N'écrire jamais rien qui de soi ne sortît,
Et modeste d'ailleurs, se dire : mon petit,
Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles !
Puis, s'il advient d'un peu triompher, par hasard,
Ne pas être obligé d'en rien rendre à César,
Vis-à-vis de soi-même en garder le mérite,
Bref, dédaignant d'être le lierre parasite,
Lors même qu'on n'est pas le chêne ou le tilleul,
Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul ! »
Edmond Rostand, Cyrano De Bergerac
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ditesdonc · 5 months ago
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Une lune bleue habite le Pays des couleurs
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L’air de rien – et avec presque rien – Adèle Ogier crée, avec sa compagnie L’Atelier du vent, des lieux et des moments profondément contemplatifs. Qu’on découvre le « Cocon », sorte de théâtre-musée mobile, léger et novateur, assurément atypique ; l’exposition « La Ménagerie graphique » qui accueille des œuvres choisies sur la thématique animalière ; le spectacle « Anima » qui émerge, comme un rêve d’oiseau, de ce monde de présences silencieuses ; ou encore l’exposition « L’Enfance de l’art », ouverte cet été à Brangues, on peut toucher la grande justesse, l’exigence et l’humilité de cette artiste aussi inspirée qu’ingénieuse. A la croisée de l’art et de l’artisanat, son chemin mêle sans hiérarchie ni a priori les métiers de la création. Peu importe les cases préexistantes et les étiquettes: sa case à elle est pleine de fenêtres et les murs, légers, laissent venir la lumière. Le vent passe, brouillant les cartes; et voilà un petit monde de merveilles.
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Quand nous venons voir ses créations, nous arrivons de notre quotidien souvent embarrassé, pressé; elle nous offre un sas, un seuil, où le temps ralentit. Une place pour l’étonnement. Elle nous plonge alors dans un univers récréé, rêvé si fort qu’il existe et vogue comme une arche de Noé sans déluge, sur fond de musique baroque et de ciel diamanté. Dans ce voyage vers le simple fait d’être présent au présent, où s’éprouvent la vitalité animale, la densité des éléments, la plénitude du regard, le mystère des questions majeures, on est ouvert à une expérience poétique au plus près de nous, là, simplement là, comme la voûte étoilée, qui brille pour toutes et tous, dans l’évidence de sa majesté. Akissi (le nom qu’Adèle prend pour signer ses tableaux) signifie en Côte d’Ivoire « fille née un lundi », jour de la Lune. Pourtant, au gré de ses croquis, de son spectacle, de ses scénographies, ce n’est pas dans un ailleurs mélancolique et lointain qu’elle souhaite nous emmener. Au contraire, Adèle-Akissi est comme la « lune bleue », plus proche et plus rayonnante : la poésie pure qui est son langage, son bain naturel, se veut terreau d’échange et de rencontre – avec les autres, avec soi –, renouant avec ce qui fait la part si précieuse de la vie : la beauté d’être.
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Pour découvrir son travail, n’hésitez pas à aller voir l’exposition en cours, avec Mélanie Bourlon (Espace Claudel-Stendhal, à Brangues) et, bien sûr, à consulter son site, qui répertorie tous les projets et travaux de sa compagnie, l’Atelier du vent
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cassiopeapoetry · 6 months ago
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Viser la Lune
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Sous le manteau sombre de l'incertitude,
Nos rêves s'élancent, pleins de certitude,
Comme un ballet de comètes dans la nuit,
Des étoiles lointaines, éclats infini.
À travers les sentiers incertains, je m’avance,
Porté par l’émoi, une douce cadence,
Ensemble, affrontons les tempêtes voraces,
Cœurs résonnant, en une symphonie de grâce.
Dans chaque tourment, une lueur de vérité,
Avenir éclairé, courage révélé,
Échecs devenant des étoiles filantes,
Rêves brillants, une lumière éclatante.
Même dans la chute, nous trouvons la clarté,
Pleine Lune brillante, phares dans la nuit,
Éclairant le chemin de notre destinée,
Nous trouvons la joie dans notre quête infinie.
Rêvons grand, visons la Lune avec courage,
Les désirs comme guides dans l'obscurité,
Guidant le navire vers des cieux étoilés,
L'ambition illuminant notre voyage.
#Cassiopeapoetry
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firefly-project · 1 year ago
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ANNEXE: Le 'Verse
Hello space cowpeeps! (ok je vais peut-être pas la garder celle-là) Merci encore pour votre participation au sondage de la semaine dernière, qui m'a grandement éclairée sur quelles annexes partager en premier avec vous. Puisqu'une présentation de l'univers (au sens large) dans lequel se déroule le forum s'impose, je vous propose d'explorer notre galaxie avec une première annexe, le 'Verse.
Le ‘Verse
À mesure que l’humanité épuisaient les ressources naturelles de la Terre et que les catastrophes écologiques se multipliaient, les regards se sont tournés vers les étoiles. Des milliers de vaisseaux coloniaux furent envoyés pour explorer de nouveaux systèmes solaires. En 2020, un amas d’étoiles est découvert et nommé officiellement 34Tauri.
De nombreux mondes ont depuis été terraformés pour la vie humaine. (La terraformation est un processus de transformation délibérée de l'environnement d'une planète ou d'une lune afin de la rendre habitable pour les êtres humains et la vie terrestre.) Les colonies ont donné naissance à une variété de cultures et de sociétés, formant le tissu diversifié de l’univers connu, aussi appelé ‘Verse.
Carte de l’Univers connu
Le 'Verse est constitué de cinq étoiles majeures.
White Sun/Bai Hu est l’étoile centrale. Les planètes et lunes gravitant autour d’elle sont appelées le Noyau ou le Core. C’est ici que l’Alliance a été formé et que sa présence est la plus forte. La vie dans les planètes du Noyau est caractérisée par une prospérité économique et une stabilité politique. Ces mondes centraux jouissent de niveaux de développement avancés, offrant des infrastructures modernes, une technologie de pointe et un niveau de vie élevé.
Deux étoiles majeures partagent l’orbite autour du White Sun et constituent les régions de la Frontière ou Border region : Georgia/Huang Long et Red Sun/Zhu Que. Ces mondes, situés en périphérie du système solaire, sont souvent caractérisés par une autonomie plus grande et des conditions économiques variées. Les habitants de la Frontière doivent faire preuve de débrouillardise pour survivre, exploitant les ressources locales et souvent se livrant à des activités de contrebande ou de commerce illicite pour subsister.
Passé la Frontière sont les deux dernières étoiles qui constituent la région de la Périphérie ou Rim : Kalidasa/Xuan Wu et Blue Sun/Qing Long. Ici, la présence de l’Alliance est plus rare et son contrôle fragile. Beaucoup d’Indépendants y ont d’ailleurs trouvé refuge après leur défaite dans la Guerre d’Unification. Les habitants de la Périphérie doivent souvent faire face à des défis tels que des ressources limitées, des infrastructures précaires et des opportunités économiques restreintes mais jouissent de leur indépendance loin du contrôle de l’Alliance.
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Au delà des planètes et lunes habitables, des stations spatiales sont localisées sur les principales routes de commerce et servent de lieux de rencontres et de négociations.
Votre personnage peut venir de n’importe quel système, mais il est à noter que Deadwood, là où se déroule notre histoire, se situe dans le système du Blue Sun/Qing Long. Vous pouvez vous servir de ce calculateur de temps de voyage si vous désirez connaitre l’estimation de voyage d’une planète à l’autre. Si une version plus interactif de cette carte vous intéresse, vous pouvez aussi regarder cette vidéo.
A noter
Il n’existe pas de vies extraterrestres découvertes.
Les langues parlées dans le ‘Verse sont une fusion de différentes langues terrestres (notamment l’anglais et le mandarin), résultant en une forme d'anglais appelée "le langage basique" ou "l'anglais du 'Verse". Cette lingua franca est utilisée pour la communication interstellaire et permet aux habitants de différentes planètes de se comprendre. Un lexique sera disponible et mettra en avant les expressions les plus utilisées, telle que “羔羊中的孤羊 - Gao yang jong duh goo yang” qui se traduit en “Motherless Goats of All Motherless Goats”.
Le principal moyen d'échange dans le 'Verse est le crédit de l'Alliance, souvent simplement appelé "crédit". C'est la monnaie officielle utilisée dans les mondes du Noyau et sur les planètes contrôlées par l'Alliance. Cependant, dans les régions frontalières et sur les planètes indépendantes, d'autres formes de monnaie, comme les lingots de platine ou les pièces, sont souvent préférées en raison de la méfiance envers l'autorité centrale de l'Alliance.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Je t’ai écrit cette lettre
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Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2023 pour le prompt : Je t’ai écrit ceci.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Sasuke avait loué un petit appartement à son retour à Konoha et Naruto était venu lui rendre visite dans la matinée. Ils ne s’étaient pas revus depuis le lendemain du mariage du jeune Uzumaki car lui et Hinata étaient partis en lune de miel. Ils étaient revenus la veille et Naruto avait décidé de rendre visite à son vieil ami, comme il avait déclaré à Sasuke lorsque celui-ci avait ouvert la porte de son appartement. Au bout d’un moment, Naruto remarqua une lettre posée sur la table basse du salon.
« Qu’est-ce que c’est ? Demanda-t-il en prenant la lettre. »
Sasuke écarquilla les yeux. C’était la lettre qu’il avait écrit à Sakura lors de son voyage de rédemption. Il lui avait écrit qu’il l’aimait et qu’il voulait qu’elle parte avec lui. Cela lui avait été plus facile de coucher ses sentiments sur un papier plutôt que de lui avouer en personne, même s’il n’avait jamais été le genre d’homme à écrire de grandes déclarations d’amour. Mais il n’avait jamais eu le courage de lui envoyer la lettre. Bien sûr, il avait fallu que Naruto la voit. Il n’osait déjà pas la donner à Sakura, alors ce n’était pas pour que Naruto la lise.
« Rends-la moi !
-C’est une lettre pour qui ? C’est pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit.
« C’est une lettre d’amour pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit encore plus et Naruto sourit jusqu’aux oreilles. Sasuke connaissait cette expression. C’était la même qu’il avait lorsqu’ils étaient genins et qu’il cherchait à l’ennuyer. Même s’il était marié et qu’il serait le prochain Hokage, par moment Sasuke avait l’impression qu’il était toujours l’enfant farceur de douze ans qu’il avait été. Naruto s’apprêtait à déplier la lettre. Sasuke se précipita sur lui, mais Naruto l’évita de justesse.
« Naruto, ragea Sasuke. »
Il ne rougissait plus à cause de la gêne qu’il ressentait, il était désormais en colère.
« Allez Sasuke, laisse-moi t’aider. Je peux te dire si ta lettre n’est pas trop mièvre. »
Sasuke essaya de l’attraper, mais Naruto l’esquiva à nouveau avant de s’enfuir par la fenêtre. Le jeune Uchiha le suivit. Il était hors de question qu’il le laisse s’en tirer comme cela. Ils se poursuivirent dans les rues de Konoha, devant le regard médusé de certains passants et indifférent d’autres habitués au comportement des deux amis. Cette poursuite se termina en combat sur le pont du village, Sasuke voulant récupérer sa lettre et Naruto refusant de la lui donner. Tous deux n’avaient pas remarqué que Kakashi les observait. Ils finirent par tomber à l’eau. Kakashi ramassa la lettre qui était tombée par terre et l’ouvrit. Il rit légèrement en la lisant.
« Et bien Sasuke, je ne savais pas que tu écrivais si bien. »
Sasuke rentrait chez lui. Il était trempé et énervé, mais au moins il avait récupéré sa lettre. Il la sortit de sa poche et la regarda à nouveau. Elle était chiffonnée mais au moins, Naruto n’avait pas réussi à la lire. Même si cela le contrariait que Kakashi l’ait lu.
« Sasuke-kun ! »
Il leva les yeux et vit Sakura arriver vers lui. Elle fronça les sourcils en voyant son état.
« Qu’est-ce qui t’es arrivé ?
-Naruto, répondit-il simplement. »
Sakura acquiesça, n’étant pas surprise. Sasuke jeta un coup d’œil à la lettre. C’était maintenant où jamais. Il la lui tendit timidement.
« Je t’ai écrit cette lettre. »
Sakura rougit et la prit. Elle la déplia et commença à la lire. Elle fronça les sourcils et Sasuke sentit son cœur s’accélérer. Est-ce qu’elle allait refuser ses sentiments ? Est-ce qu’elle refuserait de partir avec lui ? Il avait l’impression que tout ce passait bien entre eux. Mais peut-être aurait-il dû réfléchir plus longtemps. Il lui demandait de quitter sa famille, son travail, ses amis pour le suivre. À quoi est-ce qu’il pensait ?
« Sasuke-kun. »
Il retint son souffle quelques secondes.
« Je ne peux pas la lire. »
Elle lui rendit la lettre et il la regarda. Elle était tâchée et par endroit, l’encre avait bavé à cause de l’eau. Elle était complètement illisible. Kakashi n’avait pas pu la lire non plus. Il s’était moqué de lui, pensa Sasuke, agacé.
« Qu’est-ce que tu m’avais écris ?
-Je te le dirai plus tard. Si on allait dîner dans ce nouveau restaurant où tu voulais aller. »
Sakura sourit et acquiesça. Il lui prit la main et ils se dirigèrent vers le restaurant. Ce n’était pas grave si elle n’avait pas lu la lettre, pensa Sasuke. Il était désormais temps qu’il lui avoue ses sentiments et cette fois il les lui dirait de vive voix.
Fin
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wubblesred · 9 months ago
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Ghoulcy Week 2024 Day 4 NSFW French
Bonjour mes chers habitants d'abri, j'espère que vous allez bien. Nous revoilà parti avec la semaine ghoulcy pour ce jour 4. Cette fois ci avec le thème NSFW Tendre Touché. Donc personnes mineures ne pas interagir merci. Bonne lecture et bon voyage dans les terres désolées.
Cooper et elle étaient mariés, c'était complètement dingue. Cela l'a rendait même euphorique. Bon rien n'était vraiment légal et cela avait été une union entre eux seulement mais y a-t-il encore des unions légaux dans ce monde hors dans des abris Vault-Tec. Et honnêtement elle voyait mal Cooper accepté un mariage officié par cette maudite entreprise. Même si c'était cette dernière qui les avait réunis.
Sa petite tueuse lui appartenait enfin, elle était tout à lui. La goule ne pensait pas ressentir une telle joie à nouveau depuis l'apocalypse pourtant Lucy avait cette tendance à rendre meilleure sa vie depuis qu'ils voyageaient ensemble. Jamais il n'aurait imaginé retrouvé l'amour dans ce monde pourri cependant Lucy MacLean lui prouvait le contraire.
Les deux époux marchaient côte à côte, à la recherche d'un endroit bien précis. L'homme connaissait une ville dans les environs qui proposait des chambres assez décentes pour un nombre de capsules assez raisonnables. Une sorte de lune de miel en soi pour eux deux. Ils auraient du calme et de l'intimité sans Canigou pour une nuit. Ils aimaient beaucoup le chien mais l'avoir juste à côté d'eux pendant qu'ils couchaient ensemble c'était un peu désagréable. Et puis leurs dos les remercieront de le faire dans un lit pour une fois. Camille, une vieille connaissance de Cooper travaillait là-bas et le chien serait donc bien traité pendant qu'ils seraient occupés.
Cooper lui avait assurer que la ville allait l'accueillir malgré que seule des goules y résidaient mais une angoisse gagna tout de même la jeune femme. Cependant un regard vers son mari qui lui fit un magnifique sourire suffit à la rassurer à l'approche de leur destination. Tant que la goule était à ses côtés, l'habitante d'abri se sentait capable de tout. On les laissa entrer sans problème à son grand étonnement, les gens semblait se classer en deux catégories ceux qui respectait son homme et ceux qui fuyaient à peine approchait-il. Cooper la guidait par la main jusqu'à une énorme bâtisse sur laquelle on pouvait lire une pancarte « auberge » accrochée au dessus de la porte. Cela ne faisait pas de doute, l'homme connaissait cette ville comme sa poche. Néanmoins quelque chose avait nettement changé depuis son dernier passage, l'électricité était omniprésente dans la cité, sûrement grâce à l'invention de Moldaver. Lucy quant à elle, fut agréablement surprise de reconnaître la personne présente au comptoir.
« Alors le vieux enfin de retour en ville. Et avec ta petite peau douce. » Dit Camille en les voyant approcher. « Vous restez combien de temps ? »
« Juste une nuit. Y a moyen que tu surveilles le chien pendant qu'on est en haut ? » Rétorqua Cooper tout en pointant du doigt le dit chien.
« Pourquoi t'as un truc à fêter ? Parce que ça avait pas l'air de vous déranger qu'on vous voit la dernière fois. »
« On s'est mariés. » Sautilla Lucy en s'intégrant à la conversation. La jeune femme avait dit cela avec un tel enthousiasme que même son mari fut surpris. Il n'avait pas imaginé que son épouse soit si heureuse de proclamer leur union ainsi.
La goule aux cheveux roses se mis à éclater de rire, jamais depuis les années passées à côtoyer l'autre goule aurait-elle penser que ce dernier déciderait de se marier et encore moins à une peau douce aussi joyeuse que Lucy. Et pourtant en les voyant se regarder ainsi, leur yeux brillants et arborant un sourire aussi radieux, il n'y avait aucune doute que ces deux là s'aimaient. Elle balança un jeu de clés à l'homme tout en contournant le comptoir afin d'aller près du chien pour le caresser et l'amener à ses côtés.
La chambre était assez banale, un lit double, des draps simples, une couverture rouge légère, les murs, eux, étaient nus laissant apparaître le bois en dessous. Il y avait tout de même une salle de bain juste à côté et franchement malgré sa simplicité, c'était du grand luxe pour ce monde.
« Et bien, même pas vingt-quatre heures mariés et déjà mon époux me gâte énormément. Je suis chanceuse. » Lucy ne put s'empêcher de rigoler, un discours qu'elle voulait taquin dans l'espoir d'attirer son compagnon près d'elle.
« Faut bien sortir le grand jeu, poupée. J'ai pas envie que tu fuis avec le premier venu. »
Même si Cooper avait usé un ton semblable au sien, la brune comprit que ce dernier avait une crainte qu'elle choisisse un autre que lui. Elle s'avança vers lui et remonta sa main le long de son torse pour atterrir sur sa joue.
« Ça ne risque pas d'arriver, à moins qu'on m'arrache à toi de force et te connaissant tu ne laisseras jamais ça arriver. C'est peut-être fou à dire vu le nombre de jours qu'on se connaît mais je m'en fous, je t'aime Coop. »
« Je... Je t'aime aussi Lucy, plus que je n'aurai imaginé. »
Les deux amants se rejoignirent pour un baiser, un qu'ils savaient allait lancer le début de leur étreinte passionné. Cooper la porta jusqu'au lit avant de la déposer délicatement dessus, ce soir il allait savourer chaque instant, il ferait en sorte que sa femme ne ressente que du plaisir et de la douceur. Leurs vêtements chutèrent l'un après l'autre sur le sol afin que les deux amants puissent se découvrir sans entraves à nouveau comme si c'était la première fois. Cette fois-ci pas de pillards, pas de précipitation ou de distraction. Seulement eux deux dans cette pièce, rien d'autre n'avait d'importance en ce moment, pas de Vault-Tec ni même Henry, juste eux, leurs corps et leurs amours.
La peau de Lucy était vraiment une des choses les plus douces que la goule avait touché de toute sa vie. Il n'osait que l'effleurer du bout des doigts, la peur de la ruiner d'une manière ou d'une autre était omniprésente. Poupée était vraiment le surnom parfait pour elle, ce fut ses grands yeux qui lui avait donné l'idée du surnom, ils lui rappelait une des poupées dont sa fille faisait la collection. Il savait que ses longs mouvements de ses doigts rendait la jeune femme dingue mais il désirait savourer chaque seconde de leur échange cette nuit. Enfin il pouvait voir clairement chacune de ses réactions, quelles caresses lui procuraient le plus de sensations, ce qui lui plaisait ou non, tout ça lui était complètement visible et c'était grisant.
Lucy n'avait jamais été aussi mouillée et pourtant Cooper ne lui avait fait que de minimes caresses tandis qu'elle se préparait à le recevoir. Mais son regard était tellement intense tandis que son touché, lui, était d'une douceur que son corps ne pu qu'être émoustillé. Néanmoins son désir était trop grand et malgré qu'elle comprenait l'envie de la goule de faire durer le plaisir, la jeune femme désirait avoir son mari en elle, sentir sa virilité emplir son être tandis que leurs âmes se touchent et s'unissent dans une explosion intense de plaisir et d'amour. L'homme semblait être le seul à lui procurer une jouissance aussi immense et profonde. Et en cet instant ce n'était plus un désir mais un besoin de ressentir cela qui la poussa à attirer l'attention de son amant à elle pour lui susurrer à l'oreille « Fais moi tienne pour l'éternité. Je t'en prie Coop, prends moi. » Cette phrase eut le mérite d'enflammer son mari qui n'attendit plus et retirer ses doigts avant d'entrer en elle d'un coup.
Cooper ne se lassera jamais de l'expression que Lucy avait quand il entrait en elle, sa bouche qui s'ouvrait pour laisser échapper un hoquet de plaisir tandis que son regard se brouillait et ses joues qui prenait cette jolie couleur rosée. Tandis que la goule commençait des mouvements de hanches lents mais précis, ses mains continuèrent de se promener doucement sur le corps de sa femme ne sachant pas que cet acte tendre procuraient tout autant de plaisir que ces vas-et-viens les plus brusques. Peu importe ce que l'homme faisait, Lucy y trouvait de la satisfaction. Justement parce que c'était son homme qui l'a touchait et lui faisait l'amour. La tendresse dont il faisait preuve aujourd'hui était tout aussi intense que si il l'avait prise sauvagement, Cooper savait parfaitement quoi faire pour l'amener au septième ciel et Lucy espérait lui donné autant de plaisir. Au dire de l'homme et à sa façon de réagir face à elle, c'était le cas.
Les amants n'allaient pas tarder à atteindre l'orgasme ensemble, leur première fois en tant que mariés allait finir mais la nuit, elle, ne faisait que commencer. La sauvagerie ou bien la rapidité prendrait la relève sur la douceur dont les amants avaient fait preuve. Ils avaient ce qu'ils leur semblaient l'éternité face à eux et ils en profiteraient un maximum ensemble. Les deux amants improbables. Les tourtereaux invraisemblables qui s'aimaient et se vouaient l'un à l'autre malgré tout. Cooper et Lucy Howard, liés ce soir et à jamais.
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hana-ko56 · 1 year ago
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Les Étoiles de l’Amour
Dans un petit village pittoresque, entouré de collines verdoyantes et de champs dorés, vivait une jeune femme du nom d'Elara. Sa beauté était telle qu'elle illuminait les journées les plus sombres, mais derrière ses yeux envoûtants, se cachait une âme avide d'aventures.
Chaque soir, Elara se promenait sur les chemins de campagne, rêvant de voyages extraordinaires et de mondes inconnus. Elle écoutait les histoires des marchands ambulants et des voyageurs de passage, qui lui décrivaient des terres lointaines, remplies de magie et de mystères.
Un soir, alors que la lune se levait, elle entendit des murmures étranges provenant de la forêt qui bordait le village. Intriguée, elle décida de suivre ces sons mystérieux, portée par l'appel de l'inconnu.
Les arbres s'épaississaient à mesure qu'elle pénétrait dans la forêt, laissant place à un enchevêtrement de sentiers cachés. À chaque pas, la magie de l'obscurité grandissait, mais Elara ne ressentait aucune peur. Au contraire, une excitation nouvelle remplissait son cœur.
Au détour d'un chemin, elle aperçut une lueur émeraude, vacillant comme une étoile solitaire. Elle s'approcha avec prudence, mais aussi avec une étrange certitude que cette rencontre était le début d'une aventure extraordinaire.
Au milieu des feuillages, apparut un homme vêtu d'une cape sombre qui semblait se fondre avec la nuit. Ses yeux brillaient d'une lueur magique, et un sourire énigmatique étira ses lèvres. Il se présenta comme Aiden, un voyageur venu d'un royaume lointain.
Aiden avait parcouru des terres enchantées et des contrées mystiques, et il avait une aura d'aventure qui captiva Elara. Il lui raconta des histoires incroyables, des créatures fantastiques et des paysages à couper le souffle. Elle était suspendue à ses paroles, plongée dans un univers où les rêves devenaient réalité.
Au fil des heures qui s'écoulèrent comme des étoiles filantes, Elara et Aiden parlèrent de tout et de rien, comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Une complicité singulière se tissa entre eux, et l'étrange sensation de se sentir à la maison en présence d'un inconnu les envahit.
La nuit s'achevait doucement, mais le soleil ne se leva jamais aussi magnifiquement qu'il le fit ce matin-là, illuminant leur nouvelle amitié. Alors que le jour se levait, ils se séparèrent, mais Elara savait que ce n'était qu'un au revoir.
Les jours qui suivirent, Elara ne pouvait s'empêcher de penser à Aiden et aux merveilles qu'il lui avait décrites. Une impulsion irrépressible la poussa à le retrouver, à vivre des aventures en sa compagnie, et peut-être, juste peut-être, à découvrir un amour qui dépasserait les frontières du réel.
Elara prit une décision audacieuse : elle partirait à l'aventure avec lui pour découvrir le royaume légendaire des étoiles. C'était un voyage risqué et incertain, mais elle sentait que son cœur l'appelait vers cette destinée magique.
Sans dire un mot à sa famille et à ses amis, Elara se prépara en secret pour ce périple. Elle remplit un sac avec des provisions, prit quelques vêtements chauds et attacha son carnet de voyage autour de son cou. C'était un cadeau de sa grand-mère, qui croyait aux pouvoirs mystiques des étoiles.
Une nuit, alors que la lune était pleine, Elara retrouva Aiden à l'orée de la forêt. Il lui sourit chaleureusement, resplendissant comme un astre dans l'obscurité. Ensemble, ils se lancèrent dans l'inconnu, suivant les étoiles scintillantes qui semblaient les guider vers leur destinée.
Leur voyage les mena à travers des paysages éblouissants, des montagnes majestueuses aux sommets enneigés, des forêts mystiques où des créatures fantastiques dansaient à la lueur de la lune, et des rivières scintillantes qui chantaient une mélodie enchanteresse.
Au fil du voyage, l'amitié entre Elara et Aiden s'épanouit en un amour profond et sincère. Chaque moment passé ensemble renforçait leur lien, et ils partageaient leurs rêves, leurs espoirs et leurs peurs, créant ainsi des souvenirs inoubliables qui seraient gravés dans leur cœur pour l'éternité.
Un soir, alors qu'ils campaient près d'un lac aux eaux miroitantes, Aiden prit la main d'Elara et la regarda dans les yeux avec tendresse. "Je t'aime, Elara, plus que tout au monde," murmura-t-il. "Depuis le moment où nos chemins se sont croisés, j'ai su que tu étais celle qui illuminerait ma vie."
Les yeux d'Elara s'emplirent d'étoiles, et elle répondit doucement : "Et moi, je t'aime, Aiden. Tu as fait naître en moi un amour pour l'aventure et la magie, et je ne pourrais plus me passer de toi."
Les mots d'amour semblaient se fondre dans le paysage céleste qui les entourait. À ce moment précis, une étoile filante traversa le ciel, éclairant leur amour d'une lueur étincelante. Ils savaient que leur amour était béni par les étoiles elles-mêmes.
Enfin, après de longues péripéties, ils atteignirent le sommet d'une montagne élevée, où ils découvrirent une étrange étoile filante, plus grande et plus brillante que les autres. Sans hésiter, ils la touchèrent ensemble, et une magie incroyable se déchaîna.
Un tourbillon de lumière les enveloppa, et ils se retrouvèrent soudainement dans un royaume inconnu, où les étoiles semblaient danser autour d'eux. C'était le légendaire Royaume des Étoiles, où le temps semblait s'arrêter et où l'amour régnait en maître.
Elara et Aiden savaient qu'ils avaient trouvé leur vrai foyer. Ils vécurent heureux pour toujours dans ce royaume féérique, explorant ses merveilles et partageant leur amour éternel. Ils savaient qu'ils étaient liés par les étoiles, et rien ne pouvait briser leur connexion magique.
Et ainsi, dans le Royaume des Étoiles, Elara et Aiden vécurent leur conte romantique fantastique, une histoire unique qui illuminerait le ciel de mille éclats et serait racontée aux générations futures, inspirant l'amour, la magie et l'aventure.
Fin.
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capitaine-du-terror · 1 year ago
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Masque de l'esprit de la lune (Musée du Quai Branly, Paris)
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Les masques (kegginaqut)sont porteurs d’une vision ou d’un rêve d’un chamane. Ils étaient fabriqués, souvent par paire, en vue d’être associés à un récit accompagné par des chants et des danses aux tambours lors de cérémonies saisonnières. Ils rendaient visibles, le temps d’une cérémonie, les voyages intérieurs de l’angalkuq (chamane), intercesseur entre le monde des esprits, des animaux et des défunts. Les cérémonies avaient lieu principalement durant l’hiver dans le qasgiq, une vaste maison collective semi-souterraine réservée aux hommes, dans laquelle les femmes n’étaient admises qu’à titre exceptionnel.
Le masque dit « de l’esprit de la Lune » couvrait complètement le visage de celui qui le portait. Il fut très certainement utilisé par un angalkuq durant une cérémonie collective destinée à favoriser de futures chasses. On reconnaît en son centre la face d’un tuunraq, entité que les Yupiit associaient à l’astre lunaire, surmontant un carnivore, certainement un chien. Cet esprit de la Lune est probablement une version locale de l’homme de la Lune, bien connu des Inuit, que le chamane avait l’habitude de solliciter en vue d’obtenir de lui que le gibier s’offre aux chasseurs (Nelson 1899 : 515). Les nombreuses mains aux pouces coupés attestent la grande puissance de cet esprit. L’appendice inférieur représentant des bulles d’air indique la présence du phoque avant qu’il n’émerge de l’eau et, symboliquement, le passage d’un monde à l’autre des animaux et des êtres humains (Fienup-Riordan 1994).
Notice du musée: Le masque est à fond plat avec trois éléments de bois assemblés. Les couleurs du masque sont symboliques : le jour est représenté par le blanc, la nuit par le noir et la terre par l’ocre. Au centre émerge un visage mi-homme, mi-phoque surmontant la gueule d’un chien. Les mains qui l’encadre n’ont que quatre doigts, les pouces ont été enlevés afin que les esprits ne puissent attraper les hommes avec leur pouce. Les rondelles de bois sur la tige recourbée à l’avant du masque figurent les bulles d’air signalant la présence du phoque sous la glace, et symbolisent également aussi les strates du cosmos qui sépare le monde des esprits de celui des hommes. L’arc au-dessus de la tête est pour le chamane le point de passage vers le monde des esprits et les plumes figurent des étoiles.
Sources:
GUIGON Gwénaële et MAUEZ Marie, L'art yup'ik au musée du quai Branly, Trois masques de la collection Robert Lebel. https://journals.openedition.org/gradhiva/1125
Collection du musée: https://www.quaibranly.fr/fr/explorer-les-collections/base/Work/action/show/notice/371715-masque-ceremoniel-kegginaquq-dit-lesprit-de-la-lune
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de-gueules-au-lion-d-or · 9 months ago
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1912. Mauritanie. Le lieutenant méhariste Psichari écrit :
“A Matalla, je passai quelques jours dans un extrême dénuement. Je n’avais plus rien à manger, et la provision de riz de mes hommes commençait elle-même à s’épuiser. Comme abri, je n’avais que l’arbre unique, qui dresse près du puits sa modeste frondaison. Nos seuls compagnons étaient des compagnie de corbeaux qui venaient se poser en cercle sur le rebord du puits. Assis gravement comme un conseil d’anciens, ils ne s’effrayaient même pas de notre approche… Parfois aussi, nous voyions un chacal fuir sournoisement de son trot effilé, les oreilles droites.
Malgré cette grande pauvreté, je n’ai pas conservé un mauvais souvenir des heures que je passais à Matalla, en attendant l’arrivée de mes bagages laissés en arrière. Ce furent des heures de douces rêverie, de vie ralentie, où défilaient avec paresse les milles beautés que j’avais entrevues dans mes voyages. Je ressentais bien qu’il m’en restait une sorte de malaise, et je souffrais de ne pouvoir mettre un peu d’unité dans cette dispersion. Mais je me disais :
« Il sera temps de me désoler, lorsque j’aurai retrouvé la froide Europe. Maintenant, laissons agir le silence. C’est un grand maître de vérité »
Ces grands espaces de silence qui traversent ma vie, je leur doit bien tout ce que je puis avoir de bon en moi. Malheur à ceux qui n’ont point connu le silence ! Le silence qui fait du mal et qui fait du bien, qui fait du bien avec le même mal ! Le silence qui coule comme un grand fleuve sans écueils, comme une belle rivière, pleine jusqu’au bord, égale !… Bien souvent, il est venu vers moi, comme un maître bien-aimé, et il semblait un peu de ciel qui descendait vers l’homme pour le rendre meilleur. Par nappes immenses, il venait du Ciel, des grands espaces interstellaires, des parages sans remous de la lune froide. Il venait de derrière les espaces, par delà les temps – d’avant que furent les mondes et de là où les mondes ne sont plus… Alors, je m’arrêtais, plein d’amour et de respect. Car le silence est aussi maître de l’amour.
L’absence de bruits est un grand repos. Mais le silence est plus. C’est une grande plaine d’Afrique où l’aigre vent tournoie, c’est l’Océan Indien, la nuit, sous les étoiles… C’était le silence qu’écoutait Pascal dans les nuits de Port-Royal, et c’est lui que parfois nous avons retrouvé dans les solitudes de l’Afrique. Nous connaissions à ces moments là, que c’était, hélas !, la seule chose qui nous vint de Dieu.”
Ernest PSICHARI
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une-touille-en-vadrouille · 2 years ago
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Ce matin, alors que j'étais plongée dans de doux rêves, une aneth sur-excitée s'est mis à bondir de joie sur mon matelas, m'annonçant qu'il était l'heure de me lever. Sortant avec précaution un bout d'œil et de nez de mon sac de couchage, je note avec consternation, d'une part qu'il fait un froid glacial, d'autre part qu'il est écrit 4h30 sur mon téléphone. Pour ceux qui n'ont pas lu le post de la veille, je rappelle que le but d'Aneth est d'assister au lever de soleil, qui a lieu à 6h30, depuis un point de vue à 30 minutes de marche. Je vous laisse faire les calculs... Malgré l'heure matinale, je parviens à la conclusion que je ferais mieux de dormir, et laisse Aneth rejoindre le point de rendez d'où partira la balade vers le point de vue. 30 minutes plus tard, trahie par mon enveloppe corporelle qui ressent le besoin d'aller aux toilettes et refuse de se rendormir, je me résoud à la rejoindre en traînant des pieds. J'arrive donc au point de rendez vous, où Aneth, dont l'excitation n'était pas retombée, attendait toujours avec un énorme sourire aux lèvres. Deux dizaines d'autres personnes s'y trouvait également, dans l'état typique de la victime sortie trop tôt de son lit par son compagnon de voyage hystérique. Le groupe se mit lentement en marche, le visage blafard, l'air hagard, sous une pleine lune éclatante. Je compris soudainement d'où venait le mythe de la marche des morts vivants. Arrivés à 5h30 sur la falaise, nous avons sans surprise attendu pendant 1 heure en claquant des dents que le soleil daigne se lever. Saviez vous que la Terre tourne de moins en moins vite sur elle même, et que si j'avais été un dinosaures j'aurais eu le plaisir de me peler 30 minutes de moins dans le froid...?
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Après ce lever de soleil noté 5/10, nous sommes parties à la recherche des cascades secrètes dans la superbe forêt de ce plateau. Très chouette balade !
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Nous nous sommes ensuite rendues sur un point de vue éloigné pour assister au coucher de soleil. Prévoyantes, nous avions emprunté une longue boucle le long de la falaise pour nous y rendre, et comptions couper à travers la forêt pour rentrer. Évidement, au moment de nous engager sur le chemin du retour, on nous a gentiment informé que le chemin était dangereux à partir de 15h, puisque fréquenté par ces voyous d'éléphants (forcément, ils vivent le soir puisque le matin ils dorment, EUX). C'est donc reparti pour 10km de marche dans le noir, à lutter contre la faune Thaïlandaise ! Aneth et moi même nous sommes d'ailleurs faites attaquer par un animal sauvage aux longues ailes velus. Finalement, après nos 23km de balade, nous avons enfin retrouvé le confort de notre tente ! Au dodo !
Ci-dessous, quelques exemples de la faune hostile qui nous entourait.
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lysakarell · 2 years ago
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Outlander, L'Écosse, contrée lointaine de l’amour a la guerre
Diana Gabaldon détrône les plus grandes histoires d'amour en créant Sassenach et son Highlander avec Le chardon et le tartan!
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Fascinant, une promesse de palpitations intemporelles! Un récit qui donne l'envie d'aimer pour le meilleur et pour le pire!
Et si, avec des si beaucoup de choses seraient différentes. Mais osons-le…
Si le temps ne fonctionnait pas comme on le perçois d’après nos horloges.
Si le passé serait notre futur et que le futur pourrait être notre passé.
Peut-être que la perception de la réalité que nous créons dans le confort de notre foyer saurait être très différente.
Si fuir et se battre était devenue ma réalité pour sauver ma vie ?
Si à cause de mes connaissances je serais accusée de sorcellerie ?
Si j’aurais vécu les guerres qui ont forgé nos nations ?
Si celui qui m’est destiné m’attendait 200 ans plus tôt ?
Serais-je encore celle que je suis à notre époque ?
Certainement que vous vous poseriez ses questions, si tout comme Claire Randall (née Beauchamp) vous auriez traversé les pierres de Craigh Na Dun. Vous savez, ces étranges regroupements rocheux érigés et dressés que l’on retrouve aux quatre coins de la planète, ceux que l’on surnomme des ménhirs. De somptueux monuments mégalithiques qui selon d'anciennes légendes Écossaises; serait en fait un passage, qui pour certaines personnes, les ferait voyager vers d’autres siècles. En quelque sorte vers leur destin...
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C'est à travers la spectaculaire rudesse de la splendeur des Highlands que Diana Gabaldon brode ce premier tome de la série de romans Outlander. Une justesse qui crève le coeur se ressent comme si nous, le lecteur ne devenions qu'un avec le personnage principal. Claire, la Sassenach (qui signifie étrangère ou Anglais en gaélique) est une infirmière de la Seconde Guerre mondiale, féministe avant l'heure, elle voyage en Écosse pour sa deuxième lune de miel avec son époux Frank Randall, un historien passionné par la généalogie. Suite à une visite solitaire à Craig Na Dun elle se voit propulsée à travers le temps en 1743 ... À cette époque, elle y rencontre Jamie Fraser, ce Highlander à la chevelure de feu.
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Les conditions de vie sur les terres Écossaises durant le soulèvement des rébellions jacobites étaient une lutte intolérable entre les Écossais et les Anglais.
L'auteure calque intelligemment certains faits historiques à une profonde romance qui relie l'aventure et le fantastique.
Une concoction qui croise les univers les plus improbables en une épique saga à en devenir. Évidemment qu'il ne serait pas possible de se contenter que d'un roman pour vivre à souhait la passionnante et oh trop brulante liaison entre l'étrangère et le guerrier. Ce livre se lit à une vitesse incroyable, de la page 11 à la page 530 le temps file dans l'espace-temps, ne reste plus que l'envoutement, ensuite le désir de lire le suivant, parce que jamais cette intensité ne devrait s'arrêter. Bien heureuse que selon les rumeurs l'écrivaine serait présentement à l'écriture du tome 10 !
Avec toute l'admiration que j'ai pour l'écriture de ce trésor des régions sauvages, je ne le conseille en aucun cas à un lecteur sensible ou de moins de 18 ans. Le language utilisé est parfois grossier quant à certaines situations osées et d'autres extrêmement choquant. Il est important de se rappeler que ceci est une fiction espérant démontrer, les temps de guerre, les sévices, les convictions, les meurs, les espoirs et les coutumes d'antan, certaines ne sont en aucun cas excusable et demeure intolérable.
Nous avons ici un portait d'autrefois le plus difficile fut-il à vivre pour nos ancêtres, ceux qui ont fondé nos pays et nos héritages en donnant leurs vies, leurs sangs, leurs âmes.
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La série Outlander dédie une saison par roman, il est extrêmement rare d'être emportée par une émission autant que le livre original. Quoi qu'il en soit Ronald D. Moore assure adéquatement une fidélité à la hauteur des attentes en développant des personnages autant réels à l'écran, donnant ainsi vie à notre héroïne Claire personifiée par l'étonnante Caitríona Balfe donnant admirablement la réplique à Sam Heughan son Jamie enfin en chair et en os.
Un aller simple vers le désir de défendre ce qui nous appartient et de préserver ce que l'on aime, à n'importe quel prix!
Texte : Lysa Karell
Pour les chroniques littéraires : De Shakespeare à Senécal
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bruxellescity · 2 months ago
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Vers la Lune et Au-delà, la conquête spatiale en briques #LEGO® à la gare des #Guillemins
Prêts pour un voyage interplanétaire unique ? Cet hiver, Europa Expo vous embarque avec sa toute nouvelle exposition : « Vers la Lune et au-delà : la conquête spatiale en briques LEGO® ». Du 21 décembre au 9 mars, plongez dans l’univers fascinant de l’espace en parcourant le monde l’aéronautique et de la conquête lunaire de manière ludique.   Une expérience pour toute la famille Découvrez plus de…
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el-mira-d-or · 2 months ago
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Où étais-tu ?
J'étais absent. On dit que j'étais dans la Lune, mais, j'étais plutôt dans ma tête, au cœur d'un domaine que l'on appelle l'imagination...
Mes émotions y modelaient une ambiance tandis que mon penseur y dessinait un scénario...
En clair, j'étais dans le monde parallèle, celui où les peurs, les fantasmes et les rêves prennent vie. Je voyais, je ressentais, j'entendais, je pouvais même goûter et sentir...
Il me suffisait de penser à un endroit pour m'y retrouver instantanément mais je pouvais également décider de m'envoler vers le ciel et même de voyager plus vite que la lumière en direction de l'espace intersidéral, puis de m'arrêter sur une planète géante et y rencontrer les habitants...
Je pouvais me réfugier dans un lieu en dehors de l'Univers connu, un espace qui semble entièrement fait de nuages blancs dans lequel je peux modeler le paysage et l'environnement par le biais de ma pensée.
L'imagination est un domaine peuplé par les muses, par les esprits et par les démons, c'est pourquoi, il vaut mieux être bien inspiré lorsque l'on s'y aventure.
Le langage de l'imagination, c'est le symbolisme.
L'imagination n'est pas un objet subtil qui se trouve dans la tête, car l'imagination se produit au sein même du plan subtil.
Et l'imagination est également mon pouvoir créateur. Ce que j'imagine se produit dans le plan subtil et ce qui se produit dans les autres plans a une influence sur l'ensemble des plans d'existence, et cela influence donc mon existence.
Enfin, la croyance, c'est le Sel, celui qui consolide le tout, par l'effet de la densification, du subtil à la densité matérielle.
Et si nous imaginions le bonheur collectivement ? Parce que chacun mérite de ressentir la joie de vivre.
Phylax999
De l'imagination.
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cle-news · 2 months ago
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La Lune : Quelques détails clefs, En Résumé ...
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Je ne redétaillerai pas ici les diverses méthodes de réductions du cout des voyages et autres détails déjà mentionnés. (hydrogène renouvelable)
La Lune étant avant tout un espace de travail, mise à part les touristes de passage ou en transite vers Mars ou autre, l'habitat sous-terrains peut être toléré et présenter certaines facilités. La Lune constituant un point stratégique pour plusieurs raisons déjà citées également. Dont le stockage de matériaux, le transite de passager et de marchandises et le tourisme notamment.
Au regard de sa surface ~ 0.07 fois la Terre. La Lune pourrait donc accueillir jusqu'à un demi milliard de touristes et employés en effectif tournant (mission de 1, 5 ou 10 ans systématiquement remplacés par nécessité)
Des commerçants, des fermiers, des coiffeurs, des concierges, des agents de productions, des assembleurs de navettes, des employés du ou des spatioports, des employés d'hôtellerie et de restauration, des mineurs, des mineurs de débris spatiaux, des agent logistiques, des agents de sécurité, des médecins et j'en passe ...
Par exemple, importer de l'électroménager sur la Lune ayant un certain cout. Un petit malin à réussit à prendre le marché en se procurant des métaux et du plastique directement sur la Lune... L'usine de production étant autonome en ressources et en énergie grâce à divers procédés relativement long à expliquer.
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