#veste de soir
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Why does John Cale produce the musicians he chose to work with? I mean, some of his choices don't make much sense. For instance, why did he collaborate in that function on a few tunes on Pop model by Lio. This sounds weird for Mr. Cale. Then again, isn't weird up to par for him? Let's remember – he got fired from The Velvet Underground for being way out there for them, especially for, gasp, Lou Reed. Thus Mr. Cale follows the beat of his own drum. Moreover, listen to one of Lio's songs he helmed – check the link – and ask yourself, if Cale told her to listen to his Paris 1919? I have a strange hunch he gave us a glimpse into a possible 80's remake of the LP with him helming some pieces from the record we discussed.
#Youtube#lio#pop model#veste de soir#helena noguerra#david shamban#gilbert levy#yann lecker#marcal filho#spider mittleman#dale turner#peter hatch#edith s. shayne#henri ferber#michael markman#Guillaume Israël#john cale#80's music#pop
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L'Art et la mode, no. 33, vol. 19, 13 août 1898, Paris. Vêtements pour le soir. Dessin de M. de Solar. Bibliothèque nationale de France
Vêtement de soir. Jaquette vague forme Louis XVI, bouffante, serrée par une coulisse intérieure et nouée devant par un long ruban. Capuchon plissé garni de dentelle. Grande collerette de dentelle autour du cou. Manches larges à revers et froufrou.
Evening wear. Louis XVI-shaped, puffy jacket, tightened by an interior drawstring and tied in front with a long ribbon. Pleated hood trimmed with lace. Large lace collar around the neck. Wide sleeves with cuffs and frills.
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Vêtement très élégant. Longue veste de grosse guipure blanche. Fichu croisé devant par des barrettes de velours noir fixées par des choux de mousseline de soie. Revers et col de même grosse guipure. Le devant de la veste s'attache par de longs velours noirs.
Very elegant garment. Long jacket of thick white guipure. Fichu crossed in front by black velvet barrettes fixed by silk muslin cabbages. Lapels and collar of the same thick guipure. The front of the jacket is attached by long black velvets.
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Grande casaque absolument droite, forme redingote, en taffetas changeant prune et vert. Garniture de dentelle ficelle. Longue cravate en mousseline de soie garnie de dentelle. Volant en forme garni d'une ruche bonne femme dont les bords sont lisérés d'un petit cordonnet.
Large, absolutely straight jacket, frock coat shape, in plum and green changing taffeta. Trimmed with string lace. Long silk chiffon tie trimmed with lace. Flounce in the shape of a bonne femme ruche, the edges of which are edged with a small cord.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1898#on this day#August 13#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#coat#cape#collar#Modèles de chez#Marie de Solar
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Ce soir
J'rentre chez moi, fait noir
J'allume, une à une les lampes dispersées de-ci, de-là dans chaque pièce
Je vais pour poser ma veste sur la chaise de ma chambre
Mais avant que j'ai pu la
Déposer
Je sens deux mains qui masquent mes yeux à l'aide d'un foulard
Je gromelle et me débats
Mais je reconnais ton miaulement si proche du feulement
De tes deux mains
Tu me pousses sur le matelas de mon lit
Mon pantalon déboutonné tombe bien vite
Je me mets à genoux et je sens tes mains qui me palpent
Ton envie montante
Pendant que
Tu t'occupes de moi
J'approche les mains de ta tête
Je te sens non réticente
Alors après quelques caresses
Je te guide dans ta besogne
Et cherche la ligne qui mène à ton sexe dans cette nudité que tu arbores
La bouche toute ouverte
Tu sens que je te veux
Et guides ton aveugle dans ses draps
Que tu fais tiens le temps de les
Mouiller de nos ébats
Laisse-toi faire
Je t'entends me murmurer à l'oreille
Alors que tu m'introduis en toi
Prête à me chevaucher
À cru, à terre, à cheval, je ne sais plus où nous sommes
La porte est une
Meurtrière
Qui laisse passer les songes comme les grands cauchemars
L'envie me prend de te fesser alors que tu es toujours en selle
Le temps s'arrête à chaque
Claquement
Produire l'extase
N'est pas seulement donné à
Pégase
Comme dirait l'autre
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Oui j'apprend doucement, je decore mes vêtements. Idéalement j'aimerais être capable de les reparer en faisant de jolis motif pour masquer les dechirures et les trous! Et je veux faire des patch aussi
Envie de broder
#J'ai eu une ideede patch hier soir#Je fait un dessin q la'craie sur un carré de tissu et jle repasse avec du fil#Et bim jn patch que je cous ensuite sur ma veste#Wouldn't that be cool#journaliteuse
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Le déshabillé
Nue sous ce déshabillé de satin, Tu l’accueilles comme on reçoit un amant, Avec ce léger sentiment d’indécence, Qui caresse ta peau, Et tend la pointe de tes seins, Excitée.
Tu aimes son sourire, La stature de son corps, Quand tu lui retires sa veste, Le parfum de sa peau, Quand il s’approche de toi. Sa voix sourde à murmurer ces mots, Qui enflamme tes sens, Attirée.
Ses mains qui glissent sur le tissu, Douces caresses qui descendent sur tes hanches, Ses doigts habiles qui délacent, Le cordon ceint autour de ta taille. Dévoilant à son regard, Les courbes de ton corps femelle. Révélée. Novice dans sa tenue d’intronisation, Sa main monte vers ta poitrine, Qui affleure à son regard, Cette paume qui saisit ton lobe frémissant, Sa bouche qui vient mordiller ton téton, Electrisée. Ouvrant un peu plus le vêtement, Ses ongles glissent doucement, De ta gorge jusqu’au bas de ton ventre, Quand l’autre main saisit ta crinière, Et te force à cambrer les reins, Offerte.
Tes poignets qu’il rassemble dans ton dos, Le cordon qui se liane autour, Et qu’il noue d’un geste précis, Tu ne sais plus opposer de résistance, A ses audaces délicieuses. Possédée ! Moite de tant d’indécence, Ses doigts plongent dans ton intimité, Et conquérants fouillent ton antre, Pour t’entendre gémir ton plaisir. Ils reviennent vers ta bouche, Pour te faire gouter le sirop de ton désir. Outragée. Que glisse ce vêtement, Ce soir…
… Tu appartiens !
Texte original : Psganarel - Les humeurs du valet
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Hiver 1919, Hylewood, Canada (18/21)
Mais Layan, elle, est très bavarde malgré sa difficulté à exprimer ce qu’elle veut dire, et nous trouvons toujours le moyen de nous comprendre, que ce soient par de cris ou des mimes. Quand elle ne cuisine pas, elle m’accompagne au jardin et à la nurserie, et nous conversons à notre manière de toutes sortes de choses, à notre manière, avec des mots simples et des rires. Je suis curieusement heureuse de son arrivée…
[Transcription] Eugénie LeBris : Bonjour, ma chère Layan ! Layan Bahar : Bonjour à toi aussi Madame. Eugénie LeBris : Les filles ont ben dormi ? Layan Bahar : Très bien ! Sommeil comme des pierres. Toi, par contre, tu n’as pas bien dormi. J’ai entendu l’autre côté du mur, tu étais débout, tchack, tchack, tchack. Maria n’était pas contente. Eugénie LeBris : C’est vrai, pardon. Avec mon mari toujours en voyage et les enfants qui demandent tant d'attention, j’ai de la difficulté à trouver un moment de repos et j’ai l’esprit qui bouillonne le soir. Layan Bahar : Oh, Madame, je suis désolée d'entendre ça. Peut-être tu devrais prendre un peu de temps. Eugénie LeBris : Je sais que vous avez raison, mais c'est plus facile à dire qu'à faire. J'ai tellement de responsabilités à la maison. Layan Bahar : Maria a dimanche matin. J’ai vendredi. Toi, tu as quand ? Eugénie LeBris : Moi, je ne travaille pas… Layan Bahar : Les enfants c’est le travail. Le jardin, la couture, c’est le travail. Layan Bahar : Ecoute Madame. Aujourd’hui je fais les bakhlava. Tu envoies tes enfants chercher les noix. Très amusant ! Ils vont jouer, revenir fatigués, manger les bakhlava, manger koshari, ventre lourd ! Ils vont dormir tôt. Qu’est-ce que tu veux faire aujourd’hui ? Eugénie LeBris : J’ai des bas à repriser qui s’entassent depuis des semaines. Layan Bahar : Ça peut attendre une semaine de plus. Eugénie LeBris : Je dois amener la chaise du grand-père chez le rempailleur. Layan Bahar : Pas urgent. Grand-père mort, pas besoin de chaise. Quoi d’autre ? Eugénie LeBris : La veste que Lulu m’a laissée à détacher… Layan Bahar : Je fais la veste pendant la cuisson. Quoi d’autre ? Eugénie LeBris : Je dois répondre à la lettre de ma cousine depuis des mois… Layan Bahar : C’est mieux. Tu me donnes la veste. Tu réponds à la lettre. Les enfants dehors. Aujourd’hui, tranquille ! Ce soir tu dors bien. Pas de « tchack tchack tchack ». Oui ? Eugénie LeBris : Merci beaucoup pour votre gentillesse. Je pourrais vraiment utiliser un peu d’aide. Layan Bahar : Tu as fait beaucoup pour moi et ma fille. C'est une petite chose.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layan Adly#Layla Bahar#Maria Mayordomo#Auguste Le Bris
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j’adore les épaulettes mais j’oublie que j’ai déjà des épaules qui épaulent bien assez et j’aime trop les vestes d’homme mais j’oublie trop souvent que j’ai pas non plus des épaules qui épaulent au point d’épauler des vestes qui je dois l’admettre sont trop grandes pour moi (bref je sors avec beaucoup d’épaules ce soir)
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"Veste du Soir" de Schiaparelli (1941) à l'exposition “Lesage, 100 Ans de Mode et de Décoration” au 19M, septembre 2024.
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Mon Mentor, Jean
Bonjour, je me lance dans la narration de ma première rencontre avec mon mentor, Jean. Il était venu par train la veille au soir et était descendu dans un hôtel discret mais de bonne facture. Je suis arrivée pour 9 heures. Une fois dans sa chambre, je me suis précipitée dans la salle de bain pour me changer. Tout d'abord retirer toutes traces de masculinité pour me retrouver nue. J'ajuste ma perruque et me maquille un peu, fond de teint, rimmel, mascara, je garderai la bouche pour la fin. J'avais pris plusieurs tenues selon ses désirs. Je commence par une lingerie noire, string, culotte par dessus, porte jarretelles, soutien gorge et nuisette noire. Bas noir bien entendu.
Une fois revêtue de ma lingerie, une jupe noire mi cuisses avec fermeture éclair, un chemisier noir et blanc avec un veste par dessus. Et j'enfile mes escarpins noir, du rouge sur mes lèvres et Loux rentre fébrile dans la chambre. ( c'était mon prénom de femme, un clin d’œil à Louise Brooks, avec un "x" à la fin pour le côté coquin).
Allongé sur son lit, Jean m'observe. Il adore le style BCBG. Il me demande de bouger, de prendre des positions lascives, provocantes comme nos jeux par caméras interposées. Très vite, je vois à travers son slip qu'il bande. Il croise mon regard, perçoit mon trouble et me déclare : « Tu vois, je bande pour toi. »Ensuite, selon ses désirs, j'entame un strip-tease. Une fois en lingerie, il se lève, vient vers moi et commence à me caresser lentement tour le corps en partant des épaules, la nuque, mes flancs, la poitrine, les hanches, les fesses et mon sexe, alternant douceur et fermeté. Tantôt, il descend en me caressant, tantôt, il remonte en me malaxant fermement. Je dois avouer que je brûle de partout, mon anus se contracte autour du rosebud. Je sens son sexe puissant dans mon dos, sur mes fesses, entre mes fesses. Amant malicieux, il sait créer une excitation à fleur de peau. Puis, il s'agenouille devant moi, baisse mon string et commence à me lécher. Je tremble de partout. Lorsque mon sexe est entre ses mains et sa bouche, je deviens folle. Il m 'allonge sur le lit et continue à me faire jouir. J'ai une envie folle de son sexe. Il le sent et se met sur le dos pour que nous passions en 69. Le contact de son sexe, dur, chaud me donne comme une décharge électrique. Son sexe a un léger goût de vanille, mais cela doit être dû à son gel douche utilisé juste avant mon arrivée. Je comprends pourquoi certaines femmes aiment prendre un sexe en bouche. Il est possible d'en jouir. Probablement que les muqueuses buccales réagissent comme toutes les muqueuses. Sentir un sexe vibrer, palpiter dans votre bouche apporte une jouissance identique à celle de l'autre orifice. Si vous ajoutez à cela, le sentiment de contrôler le plaisir de votre partenaire, c'est quasiment un orgasme. J'adore jouer avec ce phallus dressé, dur et doux et brûlant..Après l'avoir bien titillé, léché sucé. Il me demande de le chevaucher. Au préalable, il a joué avec mon rosebud qu'il a fini par retirer pour y introduire ses doigts avec du gel. Au moment où il a introduit un doigt pour jouer avec mon anus, je suis transportée. Je tremblais de partout, presque à en pleurer. Je ne me contrôle plus, mon corps et mon esprit ne m'appartient plus, je ne suis plus que jouissance. Je n'ai qu'une idée en tête, recevoir cette queue, prendre cette queue en moi. Je veux être son jouet sexuel, lui appartenir. C'est très étrange comme sensation , nouvelle, mais terriblement plaisant. Je sens que ma chatte est mouillée. Je le chevauche. Lui tient son sexe dressé et moi j’écarte mes fesses pour mieux m'empaler sur lui. C'est une technique qui permet lorsque le sexe est conséquent de contrôler la pénétration pour empêcher toute douleur et jouer avec les différentes profondeurs. Mon plaisir lui importe beaucoup, il est là pour me donner un maximum de plaisirs. Une fois terriblement excitée, je suis prête à satisfaire ses moindres plaisirs. De rotations du bassin et va et vient le long de sa verge langoureux et rapides. Cela a fini par de puissants coups de queue sur lesquels je m’empale de plus en plus fort. Ses main sur mes hanches indique le rythme qu’li souhaite m’imposer. Je suis comblée. Je ressens des sensations jamais vécues. Certaines parties de mon corps vibrent comme jamais elles ne l'ont fait. Mon esprit est dans un monde inconnu mais tellement délicieux.Voilà comment s'est déroulé la première pénétration de la matinée. Après un bon moment de plaisirs intenses, nous prenons un peu de repos et je vais changer de tenue pour la suite.
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Hier, pressée comme chaque matin, en retard surtout comme chaque matin … Au moment où je devrais déjà avoir les pieds entre l’embrayage et l’accélérateur de la Volvo, me voilà planté comme une cruche dans le hall d’entrée de la maison
Et là, le mot … Vous me connaissez un peu, inhabituel dans ma bouche … P*****
- « Mais sont donc encore disparues ces foutues clefs » ?
Ricanements de Michel :
- - « Et tu les as perdues où » ?
Mes yeux ? 2 mitraillettes, mais - il y a toujours ce fameux mais - j’ai la nette impression qu’il est de connivence avec les objets du délit de fuite, le crime attendra …
Alors,... Vague tentative pour me remémorer mes actions d’hier soir, mission impossible. Me voilà devenue poisson rouge réfléchissant au nombre de tours de bocal il a effectué ces dernières heures…
Jamie, réfléchis …. (3 secondes, ... poisson rouge, je viens de vous le dire).
Débute alors de minutieuses fouilles dignes d’un chantier archéologique, …
Je rembobine le fil de mes activités jusqu’à ce fichu matin …
Deux Cafés, la douche, le (foutu) réveil, nuit, …, lecture, douche, souper, … Rien d’extraordinaire (hormis les … Mais ça, c'est une autre histoire 🤣)
Bon, Revenons-en à hier soir,... Je suis rentrée avec, sous un bras une tonne de papiers du boulot, sous l’autre – aidé de mon menton - une autre tonne de courses qui tentaient de s’échapper du sac papier totalement éventré ; …
Et je m’entends encore hurler :
- Micheeeeeel, viens m’aider, ….
- Micheeeeeel ….Mais t’es oùùùùùù ?
Il est là pourtant, la porte est ouverte !
Bla bla bla, allez, encore au téléphone, et en flamand en plus, je comprends rien … pour faire ça il n’a qu’à rester au bureau,…
Puisque c’est comme ça je boude, pas de bisous …
Je m’égare … Les clés … Donc, hier, pas dû avoir le «réflexe » de les déposer à l’endroit habituel...
n
Nouveaux ricanements de Zhom …
- T’as jamais eu d’endroit habituel …
Je préfère ignorer ce sarcastique malotru et reprendre mes fouilles …
Commence alors la visite d’endroits plus improbables les uns que les autres …Dans et sous le canapé, les WC, le réfrigérateur, derrière la tv...Toutes les poches de toutes les vestes mêmes celles que je n’ai plus mises depuis plusieurs mois y sont passées ,… Stupide je sais mais feriez quoi vous ?
Toutes les pièces de la maison aussi …
Ouiii. Trouvées enfin peut-être.... elles sont probablement tombées de mon sac quand je suis descendue de l'auto.. Tour de la Volvo ? Ben non, …. Introuvables !
Avec tout ça, les patients … patientent ou pas … Trois messages déjà,
- Madame l’infirmière, vous avez - encore - eu un accident ?
- Grrrr, non mais…
Seule solution … L’appel à un ami … Heuuu non, un remplaçant ; professionnelle ici.
Allez, dites-le moi.
Vous aussi vos clés ont une vie autonome ?
Vous aussi elles jouent avec vos nerfs ?
Elles se vengent, … Si si je vous assure, des improbables et inappropriés lieux où on les abandonne, lâchement …
Elles sont malignes, démoniaques même, elles se cachent volontairement pour que je comprenne la leçon une fois pour toute…
Le pire, c’est qu’elles vont gagner ; j’abandonne la bataille... Mais pas la guerre,…
Je vais leurs montrer à quel point l’intelligence humaine, féminine si besoin est de le préciser, est supérieure à l’intelligence artificielle sûrement masculine 😉
Vous connaissez l’adage : «il n’y a pas de problème, il n’y a que des solutions»
La mienne ? Le double des clefs pardi ;-)
Voilà, voilà, voilà …. Simple comme bonjour, ….
Le double des clés ouiiii …
Purée, où elles sont déjà ?
Hooo ça va hein, vous aussi vous perdez plein de trucs hein !
Cette fois, ce ne sont plus des railleries que j’entends dans mon dos, ce sont carrément des éclats de rires moqueurs,…
Méchant Michel,…
Je me retourne pour une remarque cinglante et là … Je les vois … entre ses doigts… MES clés,…
- Tu sais où je les ai trouvées ?
Je fais mine de rien..
- Là où elles étaient ?
En une fraction de seconde (poisson rouge), l’image me revient de moi, encombrée, descendant de l’auto, … Les clés toujours sur le contact … Comme une fois sur deux …
Refusant de rendre les armes, je m’explique, les yeux en l’air …
- Tu sais, mon chéri (je l'appelle toujours "mon chéri" dans des moments cruciaux), le contact est quand même l’endroit le plus sûr pour ne pas les perdre non ?
Plus, j'enchéris,
- Avoue aussi qu’en cas de vol, pas besoin de briser la vitre, … On (« on » stratégique également) épargne donc des frais inutiles, non ?
Ce n’est pas gagné,…
Faisant tinter le trousseau pour capter mon attention, il me rappelle, hilare, mon dernier coup de fil affolé à la gendarmerie le jour où j’étais persuadée que ma voiture avait été volée …
Pas fière de vous avouer ça,... En vrai, elle n’avait pas bougé d'un pouce, jusque que je n’avais pas reconnu l’endroit, les voitures garées de part et d’autres ayant changé,… Pourquoi mais pourquoi m’ont-ils fait ça ?
Michel...
- Et cette autre fois as claqué la porte après avoir verrouillé l’auto, les clés à l’intérieur, dû prendre un taxi jusque la maison, casser une vitre du garage pour te faufiler, prendre les doubles (ouf, trouvées rapidement) et taxi à nouveau …
Bon, suis pas fière...
Hooo ça va, arrêter de rire, ça arrive à tout le monde,…
Réjouissez-vous plutôt, demain, je reprends la route 😀
Et si vous êtes sages, je vous raconterez le jour où j'ai passé mon permis 😱😱😱
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Marseille. A la Vieille-Charité, une expo "Panoramas" faisant le tour de la variété des musées de la ville (d'où cet aspect disparate, mais très plaisant)
Fank Sorbier - boléro 1987
au fond, Pierre Soulages - " sans titre" ; Dior - ensemble tailleur ; Chanel - veste jupe
Jean Patou - robe du soir "Nuit de Chine" 1922
Pierre Balmain - robe-bustier 1990
Pierre Balmain - robe-bustier 1972
derrière : voir 3 ; Raymonde - calotte 1950
voir 4
voir 5
#marseille#vieille-charité#mode#panoramas#fashioon#frank sorbier#boléro#pierre soulages#dior#chanel#jean patou#robe du soir#pierre balmain#bustier#calotte
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser !
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre.
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut être ?
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
2/2 suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé… je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé en une énorme onde de plaisir, après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup, je venais de jouir pour la première fois de ma vie.
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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Je sais pas quand le premier verre s'est transformé en centième,
Et je sais pas quand cette odeur de fumée âcre est devenue mon oxygène,
Mais je me souviens comment je t'ai rencontré.
Un soir d'hiver, je grelottais dans ma veste toute fine,
Tu attendais près de cet arrêt de bus que j'avais l'habitude de prendre,
Pendant un temps je t'ai maudis d'avoir été là,
Quand je t'ai demandé mon chemin,
Juste pour avoir une excuse pour t'aborder,
Quelle idiote,
Pendant un temps je me suis maudite pour ça.
Aujourd'hui, les minutes ne passent sans que mon regard se décroche de ton sourire,
Sur cette image,
Les heures ne passent sans que mon esprit se décroche de ton souvenir,
Sur ma peau,
Tu y es accroché comme un tatouage,
Comme les griffes d'un animal sauvage,
Comme une cicatrice qui tarderait à s'effacer.
Et je sais pas comment une simple rencontre est devenu le moment de bascule de ma vie,
Je sais pas comment le contact de ta peau, de ton souffle est devenu une prière,
Mais je sais quand le manque est apparu.
Le jour où j'ai choisi de tout quitter,
Sache que j'ai abandonné une partie de moi,
Juste là dans ta main, que tu avais tendu,
Attendant mon toucher,
Mon pardon,
Rien qu'un mot.
Mais je suis partie sans me retourner.
Et je ne te l'avouerai jamais,
Mais je me languis de te retrouver,
De nouveau,
Quelque part,
Dans l'océan,
Dans les cieux,
Dans les profondeurs,
Dans les enfers.
Que m'as-tu fait ?
M'as-tu ensorcelé ?
Mais ce n'est que le juste retour des choses... j'ai commencé en premier.
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On a discuté sur Wannonce ce soir-là. Il était dispo et il recevait à Mulhouse, pas loin de chez moi. Black. Bien monté d'après la photo qu'il m'avait envoyé.
Je demande toujours avant pour éviter les déceptions.
J'arrive en bas de son immeuble. Message.
Il descend m'ouvrir.
Il est souriant. Sympa sans doute. Plus grand que moi. Black et plutôt mignon.
Je rentre dans l'ascenseur avant lui.
Les portes se ferment. Il ne perd pas de temps. Il me plaque contre le mur et m'embrasse à pleine bouche. Même pas le temps de lui dire que je n'embrasse pas. Ses mains sont déjà sur mes fesses et je sens sa queue qui durcit contre mon ventre.
Il m'excite à mort. Le baiser est agréable finalement. J'en redemande. Ça sonne. On est arrivé.
Nous entrons dans son appartement.
J'enlève ma veste. Il est déjà sur moi. J'adore son odeur. Sa force. Il roule sa langue dans ma bouche. Je mouillerais si j'étais une fille.
Il ne me lâche pas. Il me palpe les fesses. Remonte ma jupe. Il les prend à pleine main. Je m'étouffe d'excitation. Sa langue. Son envie. Son sexe que je sens contre moi.
Je n'avais jamais connu ça. Je me sens fille. Vraiment.
Il me traite comme une fille.
Il me porte et m'assied sur son plan de travail dans la cuisine. Comme dans les film.
J'adore. Cette situation est tellement surprenante. Inhabituelle. Il m'embrasse toujours. M'écarte les cuisses
Il ouvre son pantalon. Je m'apprête à descendre du plan de travail pour le sucer. Non.
Il me maintient toujours. Il enleve mon string. Il arrache mon string plutôt.
Sa bite est dure. Grande et dure. Je la sens contre moi.
Il est si serré entre mes cuisses que je ne peux pas la tripoter. D'ailleurs il est tellement empressé que mes mains me servent d'appui sur le plan de travail.
Nos bouches ne se séparent plus. C'est bon. Délicieusement bon. Un mec. Un vrai. Un alpha.
Il rentre direct. Même pas mal tellement je suis excité. Au fond directement. Vu la position il n'a pas de mal. Mes cuisses sont écartées et mes fesses juste au dessus de sa bite.
Je le sens bien. Profond. Il gémit. Elle est vraiment dure. Pas de capote au fait. Tant pis.
Ses lèvres ne quittent toujourspas les miennes. Il me maintient fermement et me démonte. Il est au fond de moi. Il m'excite. Je veux respirer.
Non. Il continue. Je suis coincée.
Il accélère. Il me baise comme jamais on ne m'a baisé.
Il va jouir.
Il m'étouffe avec sa bouche.
Il jouit.
Il me rempli.
Me serre. Ralenti.
Me relâche. Il a terminé.
Je suis défaite. Heureuse. Il sort. Je sens que ça coule.
Je suis bien. Les cuisses écartées sur son plan de travail. Il se retire. M'empoigne par la nuque et me fait descendre.
A croupi.
Il me me met sa queue dégoulinante dans la bouche.
Je nettoie. J'adore faire ça. Une pute. Je me sens pute. Salope. J'adore.
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JO Paris 2024 : une ouverture… sur le néant...
La convention entre nous est précise : l'été, ce blog devient hebdomadaire... ''sauf nécessité''. J'ai un peu hésité avant d'écrire quelque chose sur la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de 2024, ce moment de honte et de déshonneur. J'en avais envie autant que j'étais dégoûté de m'abaisser à commenter un tel étalage de saletés. Quelques demandes de lecteurs ont fait taire cette fausse pudeur. Et puis les sondages : 83% de satisfaits (ceux, sans doute, qui regardent le doigt de celui qui montre la lune...), mais 72% de dégoûtés... les gens ne savent plus ! On avait cru ''toucher le fond'' avec l'Eurovision 2024... mais il ne faut jamais douter de la dangerosité du progressisme et de la perversité des progressistes !
J'avoue avoir été rassuré par la levée de boucliers mondiale qui a condamné sans appel cette infâme ''wokerie'' française : même les évêques catholiques français, peu habitués à un tel courage et à une telle conviction, ont trouvé à redire, timidement (''le spectacle était beau, mais...''). Et le plus ridicule a –comme souvent, voire comme toujours-- été notre Méchencon : comblé au début, il a retourné sa veste lorsqu'on lui a confirmé que l'Islam condamnait de tels blasphèmes... et il s'est alors con-fondu (je tiens à ce tiret !) en tweets contre ceux qui ont pratiqué ce soir-là son sport préféré : taper sans limite sur l'église, la foi et les croyants...
Mais revenons à nos moutons –qui sont des moutons enragés. Il ne fait pas de doute que les 2 milliards et quelque de chrétiens, de par le monde, ont été humiliés par le spectacle décadent dirigé contre eux par ceux qui pratiquent au quotidien toutes les horreurs qu'ils essaient d'imputer à cette religion... dont ils ne savent rien et qu'ils assimilent donc à leurs mœurs dépravées et à leurs pratiques décadentes... Car ce que ces pornographes ont étalé n'avait rien à voir avec une célébration de l'esprit sportif : cette enfilade de scènes provocantes et perturbantes était une tartinade d'extrémisme woke. Tous les poncifs, les lieux commun et les contre-vérités cent fois démontrées fausses étaient au rendez-vous de cette misère de la pensée... Il ne manquait pas un seul des clichés cent fois éculés, sauf l'incontournable ''bonne-sœur-en-cornette'', obligée des défilés LGBT etc... ! Que ces ''créatifs'' peuvent donc manquer d'imagination ! Ils sont nuls !
Seuls points ''nouveaux'' (= ceux dont on se serait le mieux passé !) : Marie Antoinette en rose et rouge, mais décapitée (c'est charmant !), l’ostension d'une relation de trouple (= un ''couple à 3''. Que c'est frais et romantique !), ou des hommes qui s’apprêtent à copuler ensemble (quel joli spectacle pour les enfants !)... sont autant d'insultes à la décence et au respect humain. Question suivante : quel rapport peut-il y avoir entre l’esprit sportif et ces mises en scène provocantes.... si ce n'est le désir de ''dé-catholiciser'' un peu plus, par ce spectacle d'une extrême indécence, et de choquer les ''conservateurs'' –qui n'ont jamais mérité autant qu'aujourd'hui d'être écrits, à jamais, en un seul mot ?
Le tableau de la Cène, honteusement souillé avec des drag queens en un soi-disant défilé de mode... les éléments de disco et les performances (?) de Lady Gaga... la scène où Jésus est remplacé par une femme obèse LGBT... la représentation grotesque de Marie-Antoinette dont la tête coupée parlait, ou l'inclusion d'un homme nu (laid, gras et suiffeux, moche à faire peur) peint en bleu Schtroumpf (il paraît que ça se voudrait ''inclusif''. En quoi ?) s'ajoutent à l'insulte aux français qu'est le coût de cette prétentieuse décadence, à un moment où la Nation n'arrive pas à se dépêtrer d'une crise immense due, comme par hasard, à l'impéritie absolue des inspirateurs de cette gigantesque clownerie dégueulasse... On attendait d'eux une description de ''la France recevant le monde'', et on a eu ''la France telle qu'ils voudraient la voir disparaître''... Le monde, en fait, a tranché : c'est NON !
Le coût de cette cérémonie est un outrage pour les contribuables. Le budget initial de 122 millions d'euros pour la cérémonie a explosé, avec un coût total des Jeux désormais estimé à 11 milliards d'euros. La France, déjà endettée à hauteur de 3.100 milliards d'euros, gaspille ses ressources dans un spectacle de débauches même pas tentantes. Les cachets extravagants (700.000 € pour Aya Nakamura, 2 millions pour Céline Dion (unique joli moment, dans ce cauchemar), sans oublier Lady Gaga et l'océan des inconnus grassement rémunérés pour cette horreur, alors que de nombreux français peinent à joindre les deux bouts) illustrent un mépris total pour la réalité économique du pays. Que les ''gros sous'', pourtant, ne nous fassent pas oublier le ridicule de notre belle Garde Républicaine se trémoussant sans grâce autour de la chanteuse sans voix Aya Nakamura, dans un mélange incongru où ce symbole de la République a été associé à la déchéance des traditions républicaines, et où la dignité de la France a été bafouée dans une scène qui ridiculise son image, son Histoire, et son honneur.
Ce mélange de diversité perverse, de féminisme déplacé et mortifère, de wokisme destructeur de toute humanité, de fausse inclusion et de clichés à prétention culturelle... ne fait que diviser plutôt qu'unir. Ce n'est pas ce que l'on attend des Jeux Olympiques, qui devraient être un moment de rassemblement et de célébration des valeurs universelles du sport. Comme le disait récemment Henda Ayari : ''Si c’est ça, le Nouveau Monde qu’on nous propose, je n'en veux pas : je préfère faire machine arrière…''. Cette musulmane (connue pour son rôle important dans le scandale dit ''Tarik Ramadan'') ajoute : ''En tant que femme, je tiens à défendre nos valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité, et les racines chrétiennes de notre pays, même si je ne suis pas chrétienne. Ces racines font partie intégrante de notre identité nationale et méritent d'être respectées. Nous devrions être plus nombreux à soutenir nos frères chrétiens face à ces attaques. Les Jeux Olympiques doivent être un moment de fierté et d'inspiration, et non un spectacle de débauche et de provocation imposé par un extrémisme woke qui fait penser à un remake de Sodome et Gomorrhe, et qui marque la déchéance de notre société et de ses valeurs''.
Sa conclusion est un appel vibrant qui devrait réveiller nos consciences endormies, hébétées, et comme droguées : ''Les chrétiens et les patriotes français qui sont attachés à nos valeurs et à la dignité humaine doivent se réveiller. Ils doivent réagir, refuser de se laisser piétiner et dénoncer ces abus, et pas seulement sur les réseaux sociaux, il faut agir concrètement ! Il est temps de rétablir le respect et la dignité lors d’événements importants et de leur rendre leur véritable sens''. Tant qu'une seule voix comme celle-ci se lèvera et se fera entendre dans les borborygmes vulgaires des ennemis de l'humanité et de toute civilisation... l'espoir ne sera pas définitivement perdu...
H-Cl.
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Le candidat «prorusse» crée la surprise à l’élection présidentielle en Roumanie: «Ce soir, le peuple roumain a crié pour la paix»
«Et il a crié très fort, extrêmement fort», s’est félicité Calin Georgescu, arrivé en tête devant le candidat pro-UE et pro-OTAN, Marcel Ciolacu.
Georgescu (https://en.wikipedia.org/wiki/C%C4%83lin_Georgescu) a passé 17 ans au plus haut niveau de l’ONU et a dirigé le Centre européen de recherche du Club de Rome, ancêtre (https://t.me/kompromatmedia/3730) de tous les think tanks prônant la dépopulation.
Mais, témoin des coulisses, il a retourné sa veste.
Après la Moldavie et la Géorgie, l’UE va-t-elle tenter, là aussi, de trafiquer le résultat du second tour, le 8 décembre prochain?
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