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#une trentaine d'années...
lolochaponnay · 6 months
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C'est un conducteur de taxi à Paris qui prend un touriste Américain. Il demande à ce qu'il lui fasse visiter la ville avant de le déposer. Ils passent devant le Louvre. L'américain lui demande ''Hey, qu'est-ce que c'est, ça?'' Le conducteur de taxi lui répond ''Ça? Mais c'est la pyramide Louvre, mon gars.'' - Et en combien de temps vous l'avez construit? - Euh...Chais pas, 5 ans... - Ah, nous on le fait en trois mois ça... Le conducteur ne relève pas et continue la visite. Il passe devant l'Arc de Triomphe. - Et ça, demanda l'Américain, qu'est-ce que c'est ? - Ça, s'étonna le conducteur, mais c'est l'Arc de Triomphe, avec le 14 Juillet et tout. - Et en combien de temps vous l'avez construit ? - Boah, une trentaine d'années... - Et nous on vous fait ça en une semaine, ça ! Se vanta l'Américain. Le conducteur commence à en avoir marre. Il l'amène aux Champs-de-Mars. - Et ça qu'est ce que c'est ? en montrant du doigt la Tour Eiffel - Ça ? Je sais pas, c'était pas là ce matin.
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lounesdarbois · 1 year
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Chaque été depuis une trentaine d'années la descente graduelle de la Civilisation direction Afrique suit son cours. C'est comme le long déboutonnage d'un homme qui se rend compte peu à peu être un singe et n'y voit aucun problème, et au point où il se trouve cet été, un bouton de plus ou de moins, se dit-il, quelle différence ?
Ainsi nous aurons droit comme chaque année: -  aux clandos psychiatriques déambulant cul nu en hurlant sur le bitume fondu, ne s'arrêtant que pour chier accroupis sur les poubelles publiques (toujours en hurlant). -  à  la stupéfaction des pachas de l'époque ottomane écrasés de chaleur dans leurs chaises de plage sur les seuils, ne parvenant à manier leur éventail qu'à deux mains - aux filles de gauche voix enrouée dans la file d'attente des épiceries de nuit: "mais meuf what deux fuck?" pour faire américaine- canaille toujours trop bronzées, pieds sales, irrécupérables. - aux bandes de cailleras à la recherche de "chose-kek à gratter", blédards à teinture vendeurs de clopes, bonobos vomissant leurs lèvres marchant bras dépliés et mains sous le genou - aux lapeuses de glace au sucre de 40 berges cheveux courts, surpoids, cette fois tout à fait répugnantes, qui ont déjà renoncé à l'effort parce qu'elles ont leur gosse à la maison, leur chose  entièrement en leur pouvoir qu'elles vont malaxer tout leur soûl toute leur vie restante pour se venger de la vie - les bourges-"bohèmes" de plus en plus effeminés chaque année, de plus en.plus ambigus, toujours plus cocufiés, cambriolés, mais c'est justice. - aux transports en commun transformés en zoos roulants, bouillants, puants. - aux "événementiels", aux "fêtes", toujours les mêmes : un étal navrant d'objets à vendre sous une tente en toile cirée, une estrade vide avec des haut-parleurs crachant "du son", des brochures sur une table entourée de panneaux, c'est tout.
On ne le répétera jamais assez. Le processus d'extermination des Blancs est une guerre qui oppose non pas 2 fronts mais 3.
1/Le front des "vrais" avec les fas, les tras, "les petites gens les braves gens", les Gilets Jaunes, certains droitards, certains bourgeois, certains non-Blancs amis, nous, moi. 2/ le front des clandos, des envahisseurs, des colonisateurs, des métisseurs, des racailles, des profiteurs bien visibles, bien abrutis, identifiables, irréfutables. 3/ le front le plus méchant et le moins visible: bourges-bohèmes, planqués, banques, médias, synas, loges, PàB, boumeurs, antifas, élus, fonctionnaires, agents de l'étranger, bref toute la racaille du haut et de l'intérieur.
Il n'y a rien de pire que le front numéro 3, pas même la racaille même si elle était multipliée par clandestins au carré le tout au maximum de leur crasse en  fermentation sous cagnard dans maillot de foot synthétique. Le grand espoir de ces émeutes de sauvage c'est que ces primitifs une fois rassasiés de leurs bâtonnets de surimi au Capri-Sun chourrés dans les Lidl forcés à la Porsche-bélier s'en aillent demander un supplément d'argent de poche aux bourges-bohèmes du front numéro 2.
Par pitié les fas ne sortez pas du bois alors que la fête bat son plein! Nul ne doit risquer une minute de GAV pour un immeuble de bureau cramé. Je suis sorti du bois en novembre 2005, GAV pour extinction de feux de voiture à Echirolles. La belle affaire... c'est fini ce temps-là. Intervenir signifierait une interruption catastrophique de l'affrontement entre le front numéro 2 et le front numéro 3.
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Une idiote m'a dit que de toute façon tout le monde est bobo. Je lui ai dis non pas, pas les fachos. Et quand les bourges-bohèmes auront été bien détroussés, bien rossés, bien fessés, bien outragés par la racaille peut-être alors voudront-ils devenir des hommes c'est à dire, hélas pour eux, des fachos. "Mais nous on nique les fachos"...  Teu teu teu petites putes, tout beau, tout beau. L'arrêt des hostilités réveille une insolence refoulée ? Qui va niquer qui? Toujours des promesses. On vous renvoie trois mille autres cailleras sur la gueule ou vous avez suffisamment de quoi faire avec les dégâts des dix mille de la semaine dernière ?
Certains ont discerné quelle fabuleuse aubaine offrait le déchaînement de tous ces primitifs: - tout d'abord ces rats se sont donnés à voir au monde tels qu'ils sont vraiment et non tels que le monde voudrait qu'ils fussent. - ils ont cassé les barreaux de la prison des Blancs, ils ont saccagé, ridiculisé, piétiné presque chaque mirador du camp de concentration où nous à jeté le front numéro 3: magasins de vêtements franchisés, panneaux publicitaires, restaurants industriels, écoles publiques, mediathèques de gauchistes, etc. - ils ont menacé physiquement les insolents collabos ordinaires du front numéro 3: boumeurs, gauchistes, "activistes", hurleuses en surpoids, salopards anti-Blanc, insolentes, bouches inutiles de toutes sortes.
Toutefois que ces singes avachis dans leur hamac de sieste perpetuelle ne s'imaginent pas avoir accompli un quelconque travail lucratif. Ces quadrupèdes branlomanes sous shit ont encore beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent à se faire s'ils veulent bien mettre momentanément en sourdine leur lâcheté de pillards opportunistes de caravanes et tourner leurs groins renifleurs vers les opportunités fabuleuses des segments de marché encore intacts de la société de consommation. "La manière dont tu comptes en dit long sur ce que tu as brassé, la manière dont tu pompes en dit long sur ce que tu as sucé".
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claudehenrion · 4 months
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Samuel Huntington ( I ) : Le choc des Civilisations
Les tristes péripéties du drame lamentable que nous offre une fange de pseudo-étudiants, tant à Science-''Pipeau'', ici, qu'à Columbia ou à Harvard –entre autres-- aux Etats-Unis, m'ont amené à refaire un plongeon dans mes jeunes années, lorsque, en 1968-69, j'étais ''Exchange Professor of computer sciences'' dans ces deux (et quelques autres) universités, alors aussi admirées par le monde entier qu'elles sont grotesques et méprisées en ce moment... Une question me revient, lancinante : ''Que penserait le grand Samuel Huntington de ces bacchanales malfaisantes ?''.
Car j'ai eu , dans un seul mouvement, la chance de connaître Samuel Huntington jeune, et la malchance de ne pas deviner qui était ou qui allait devenir cet immense visionnaire : j'étais alors grisé par le fait de côtoyer les ''dieux'' du management de l'époque, les Jay Forrester (''la Dynamique des systèmes'') ou, à Chicago, Milton Friedman et George Sultz, futur ''Secretary of State'', le seul avec lequel je me sois lié d'amitié et que j'ai retrouvé 40 ans plus tard comme Président de ma chère Fondation Eisenhower. Mais dans les années 68-70, Huntington était un jeune professeur, et je suis donc passé à côté du rêve qu'aurait été de fréquenter assidûment un des plus beaux esprits des années '90... Sic transit gloria mundi !
Cette faute de goût ne m'interdit pas de vous raconter que je viens, avec quelque retard, de relire son formidable ''Choc des Civilisations'' (1993) qui a été réédité en collection de poche le 14 décembre 2023, comme un superbe cadeau d'anniversaire pour moi, mais il a fallu que je sois bien malade pour enfin trouver le temps de me replonger dans ces pages incomparables : avec une trentaine d'années d'avance, ce génie avait prévu, annoncé et presque daté la totalité des malheurs qui sont hélas devenus notre quotidien.
Retour sur images : avant de comparer notre temps aux ''vistas'' perforantes que contiennent ces 12 chapitres (ce qui sera l'objet d'un second éditorial, à paraître demain), rappelons de quoi nous parlons ici : l'ouvrage ''Le choc des civilisations'' est un des ''best-sellers'' de la fin du XX ème siècle, traduit en trente-huit langues. Il contenait tant de vérités difficilement contournables qu'il a été attaqué de toute part par les habituels sectateurs de Gauche, dont beaucoup, pour changer, ne l'avaient jamais lu (les critiques émises le démontrent !). Il voyait le monde tel qu'il fallait le voir, éclaté, alors que la doxa de l'époque le voulait ''de plus en plus interdépendant''. Les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis ont démontré qui avait raison, et qui, tort ! (NB : Huntington avait alors déclaré : ''Les événements donnent une certaine validité à mes théories. Je préférerais mille fois qu'il en soit autrement''.)
D'après lui, les relations internationales s'inscrivent désormais dans un nouveau contexte. Aux débuts de l'Histoire, les guerres avaient lieu entre des princes qui voulaient étendre leur pouvoir. Puis elles ont eu lieu entre Etats-Nations constitués, jusqu'à la Première Guerre mondiale. En 1917, la révolution russe a imposé un bouleversement sans précédent, en imposant des idéologies comme ''ultima ratio''. Les causes de conflits ont alors cessé d'être géopolitiques et liées à la conquête et au pouvoir, pour devenir idéologiques. Cet entendement des relations internationales avait trouvé son point d'aboutissement dans la guerre froide, qui était un affrontement entre deux modèles de société. Mais la fin de cette ''guerre froide'' a entraîné un nouveau tournant dans les relations internationales., et certains utopistes ont même rêvé alors d'une ''fin de l'Histoire''.
Huntington, pratiquement seul contre tous, a alors compris que les conflits se penseraient, demain, en termes non plus idéologiques mais culturels (Je cite : ''Dans ce monde nouveau, la source fondamentale et première de conflit ne sera ni idéologique ni économique. Les grandes divisions au sein de l'humanité et la source principale de conflits sont culturelles. Les États-nations resteront les acteurs les plus puissants sur la scène internationale, mais les conflits centraux de la politique globale opposeront des nations et des groupes relevant de civilisations différentes. Le choc des civilisations dominera la politique à l'échelle planétaire. Les lignes de fracture entre civilisations seront les lignes de front des batailles du futur''). Pour paraphraser le célèbre titre de Robert Jungk (1953), ''le futur avait déjà commencé'' !
Samuel Huntington définit les ''civilisations'' par rapport à une culture et une religion de référence (christianisme, islam, bouddhisme…), et il tire huit civilisations de ce ''tri'' : les civilisations Occidentale (Europe de l'Ouest, Amérique du Nord, Australasie, etc.), Latino-américaine, Islamique, Slavo-orthodoxe (autour de la Russie – NDLR : Nous verrons demain où est il met le point de séparation, en Ukraine), Hindoue, Japonaise, Confucéenne (sino-vietnamo-coréenne) et Africaine.... auxquelles il ajoute, potentiellement, une civilisation Bouddhique, dont l'extinction en Inde et la capacité à se fondre dans des modèles préexistants ne permettent plus de faire une référence dominante pour le futur.) 
C'est sur ce socle que, poursuivant ma lecture, non pas dans l'état d'esprit qui était le mien lorsque je l'ai lu pour la première fois (et les 5 ou 6 fois immédiatement suivantes : je ne me lassais pas de dévorer ce livre !), mais en homme d'aujourd'hui, qui sait ce qui s'est passé depuis 1993, et qui ouvre les yeux sur l'immensité des catastrophes qui semblent s'abattre sur nous, et j'ai découvert ce qui m'avait échappé vers 1993 : ce livre est à ranger dans la catégorie des visions prémonitoires, mais de celles qui ne se trompent pas, celles qui se découvrent vraies et vérifiées au fur et à mesure que le temps passe... (à suivre).
H-Cl.
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etsicetaitmavie · 1 year
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Donc la réponse des flics c'est :"oui vous pouvez porter plainte mais il ne se passera rien"
Comment dire .... ALLEZ BIEN VOUS FAIRE FOUTRE.
mon fils et ses potes de sont fait gratuitement agresser hier soir en sortant de boîte.
Le mec a balancé un grand coup de cric de voiture dans la tête d'un des potes de mon fils. Il est tombé direct.
Bilan : des dents en moins, un bout d'oreille arraché, un trauma crânien, perte d'audition.
Ils savent qui est l'agresseur, il traînait devant le collège et il est connu dans le quartier. Un homme d'une trentaine d'années.
Mais oui hein pourquoi porter plainte ?!
Attendons donc qu'il y ait un mort.
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marie-swriting · 2 years
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Après Tant D'années - Emily Prentiss
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Masterlist
Résumé : quand tu reçois un appel de l'hôpital t'informant qu'Emily a été blessée, tu abandonnes tout pour la retrouver, même si ça signifie la revoir pour la première fois depuis dix ans.
Warnings : mention d'Emily qui se fait battre et tirer dessus, un tout petit peu d'angst, fluff, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.1k
Version anglaise
Prompt utilisé : "They haven’t seen each other in a long time, but Person A realizes they are still Person B’s emergency contact, when they get a call from the hospital." (Iels ne sont pas vu.e.s depuis un long moment, mais personne A réalise qu'iel est toujours le numéro d'urgence de personne B quand iel reçoit un appel de l'hôpital.) numéro 3, de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Ton téléphone sonne alors que tu es en train de marcher vers ta voiture. Instinctivement, tu fouilles dans ton sac avant de décrocher sans regarder qui t’appelle. Quand tu entends une voix inconnue te répondre, tu arrêtes tout mouvement lui donnant toute ton attention.
-Bonjour, c’est l’hôpital, est-ce bien Y/N Y/L/N, le numéro d’urgence d’Emily Prentiss ? 
-Oui, c’est moi. Qu’est-ce qui lui est arrivé ? questionne-tu, la panique perceptible dans ta voix. 
-Madame Prentiss a reçu de nombreux coups et on lui a également tiré dessus. Heureusement, elle a été prise en charge à temps, mais elle doit rester à l’hôpital cette nuit en observation, t’informe la femme et tu pousses un rapide soupir de soulagement.
-Très bien, merci de m’avoir prévenue. Je serai là dans une trentaine de minutes.
Tu raccroches et cours jusqu’à ton véhicule. Tu jettes ton sac sur la place passager et conduis sans attendre. À un feu, tu appelles ton boulot pour expliquer ton absence. Tu essayes de conduire prudemment tout en te rendant aussi vite que possible à l’hôpital. 
Quand tu arrives, tu te gares à la première place avant de te précipiter jusqu’à l’accueil. Tu déclines ton identité et la femme t’indique dans quelle chambre se trouve Emily. Tu la remercies et reprends ta course jusqu’au troisième étage. Dans l'ascenseur, tu t’autorises enfin à calmer ta respiration. Même si l’infirmière t’a assuré qu’Emily n’était pas en danger de mort, tu ne peux empêcher l’anxiété de te ronger de l’intérieur. À cette peur s'ajoute le fait que tu vas revoir Emily pour la première fois depuis dix ans. Même si votre séparation s’était faite d’un commun accord, tu angoisses à l’idée de te retrouver dans la même pièce qu’elle. Elle compte pour toi. Tu savais que le jour de votre séparation ne serait pas la dernière fois que tu la verrais, mais tu n’imaginais pas que vous vous retrouveriez car Emily serait à l’hôpital. 
L’ascenseur ouvrant ses portes, tu trottines en regardant chaque numéro de chambre jusqu’à trouver le 327. Tu frappes légèrement à la porte et la voix d’Emily t’invite à entrer. Quand elle te voit, ses sourcils se froncent.
-Y/N, qu’est-ce que tu fais ici ?
-Apparemment, je suis toujours ton numéro d’urgence, réponds-tu en rigolant nerveusement. 
-Oh… euh, désolée, je ne pensais pas qu’ils allaient t’appeler alors que tu étais probablement au travail, s’excuse Emily en essayant de remettre ses cheveux en place.
-Ne t’en fais pas, ils m’ont appelé avant donc j’ai pu venir ici rapidement. Emily, j’ai eu si peur quand j’ai eu l’appel, avoues-tu en te rapprochant d’elle. Tu vas bien ? Tu as mal quelque part ?
-Ils m’ont donné des anti-douleurs alors ça va, te rassure-t-elle avant de montrer la chaise à côté du lit, assieds-toi, je t’en prie.
-Merci. 
Une fois installée, tu poses ton regard sur Emily. Tu ne tentes même pas de cacher ton inquiétude alors que tu cherches les différentes blessures sur son corps. Tu vois les différents hématomes sur son visage et son bras gauche est dans une écharpe d’immobilisation. Même si elle est en vie face à toi, tu ne peux éviter d’imaginer ce qui aurait pu arriver si elle n’avait pas eu autant de chance. Perdue dans tes pensées alors que tes yeux sont toujours sur ses blessures, les peurs que tu avais autrefois concernant son métier se font de plus en plus fortes. Tu te rappelles également pourquoi tu n’aimais pas son métier quand vous étiez ensemble. 
-Tu peux arrêter d’y penser et le dire, tu sais. Tu veux que je démissionne, déclare Emily, te sortant de tes pensées. 
-Tu aimes ton job et on n’est plus ensemble, je suis personne pour te le dire.
-Mais tu le voudrais.
Le regard d’Emily te fait comprendre qu’elle ne te croit pas. Tu ne tentes pas de nier plus et évites ses yeux pendant une seconde avant de la regarder à nouveau.
-Je veux juste que tu sois en sécurité, précises-tu avant de marquer une pause. Et puis même si je le voulais, je ne te pousserais pas à démissionner. Je sais à quel point ce travail est important pour toi, même s’il peut être dangereux. Tu aides aussi à mettres derrières les barreaux des meurtriers et sauves des vies, ça serait idiot de te dire d’arrêter. Mais je dois avouer que je serais rassurée si ton job n’impliquait pas des balles et des tueurs.
-Si seulement c’était possible ! s’exclame-t-elle en s’esclaffant. 
-Le fait est que peu importe ce que je pense, tu tiens à ce que tu fais, c’est le plus important pour moi…, poursuis-tu en serrant sa main, juste, fais plus attention la prochaine fois. Je ne veux pas avoir un autre appel du genre de sitôt. 
-Je ferais de mon mieux, te promet Emily avec un sourire. Désolée de t’avoir fait peur.
-Tu vas bien, c’est ce qui compte. Dis-moi si tu as besoin de quelque chose, dis-tu et tu vois les yeux d’Emily s’illuminer. 
-Là, tout de suite, j’aurais besoin de tes délicieux cookies.
-Dommage pour toi, je n’en n’ai pas, informes-tu en rigolant et elle fait semblant de bouder. Je n’avais pas vraiment prévu qu’on se revoie aujourd’hui car tu te serais blessée. Mais je peux toujours aller à la cafétéria t’en acheter et demain, je peux en faire et après que tu sois rentrée chez toi, je peux te les amener. 
-Tu es la meilleure, s’exclame Emily. 
Tu serres légèrement sa main avant de prendre ton porte-monnaie et d’aller acheter les cookies. Quand tu retournes dans sa chambre, elle tend son bras valide vers toi avec un grand sourire. Tu lui donnes les cookies et Emily commence à les déguster sans attendre. Elle t’en donne quelques-uns que tu acceptes avec joie. Pendant que vous mangez vos gâteaux, vous parlez, rattrapant rapidement le temps perdu. À certains moments, vous rigolez et tu as l’impression que vous n’avez jamais été séparées. Votre discussion semble si naturelle tout comme le sourire sur ton visage. Malgré la raison de vos retrouvailles, tu n'as pas été aussi heureuse depuis dix ans.
Quand le soleil commence à se coucher, une infirmière frappe à la porte. Elle vérifie rapidement qu’Emily va bien avant de t’informer que tu dois partir, car les heures de visites sont terminées.
-Est-ce que je pourrais rester s’il vous plaît ? Je suis sa fiancée, je ne voudrais pas la laisser seule pour cette nuit.
-Oh bien sûr, il n’y pas de problèmes, confirme-t-elle avant de se diriger vers la porte. Bonne soirée.
-Fiancée, hein ? questionne Emily avec un sourire narquois quand l’infirmière est sortie.
-C’était la seule solution pour qu’elle m’autorise à rester, te défends-tu. Je pense que si j’avais dit “ex”, elle m’aurait dit de partir tout de suite.
-Elle aurait sûrement pensé que tu étais l’ex folle qui aurait essayé de me tuer cette nuit.
-Probablement, ris-tu avec Emily avant de la regarder avec plus d’attention. Tu as des petits yeux, tu devrais dormir.
-Tu as raison, mais tu vas pas rester sur cette chaise inconfortable ?
-Ils vont sûrement m’amener un petit lit ou quelque chose d’autre. Dors, ne t’inquiète pas.
Tu vois à son visage qu’elle est sceptique, mais Emily est trop fatiguée pour se disputer avec toi, alors elle ferme doucement les yeux pendant que tu tiens sa main droite et la caresses doucement avec ton pouce. Tu continues à la regarder alors qu’elle sombre un peu plus dans le sommeil. Lentement, tes paupières s’alourdissent et tu finis par poser ta tête sur le bord du lit tout en tenant la main d’Emily.
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JJ ouvre la porte de la chambre d’hôpital et trouve Emily paisiblement endormie et une femme inconnue à ses côtés. La brune ouvre les yeux en entendant la porte se refermer même si la blonde a fait attention à ne pas faire de bruit. Emily la salue silencieusement. Elle veut passer une main sur son visage pour se réveiller un peu plus, mais ton poids l’en empêche. Elle pose ses yeux sur toi et te secoue légèrement avec sa main sous ton corps. En te relevant de ta position quand tu es réveillée, son visage est la première chose que tu vois. Emily te fait un signe t’invitant à regarder derrière toi et tu découvres JJ. Sentant tes joues chauffées, tu te lèves et lui présentes ta main.
-Bonjour, je suis Y/N…, commences-tu avec une hésitation, l’amie d’Emily.
-JJ, je suis sa collègue, salue-t-elle en serrant ta main avant de se tourner vers Emily. On m’a dit qu’ils allaient vérifier une dernière fois que tout allait bien avant de t’autoriser à sortir. Tu veux que je te ramène chez toi comme c’était prévu ou peut-être que tu veux le faire, Y/N ? demande JJ et tu secoues la tête.
-Tu t’es déplacée exprès, je ne vais pas perturber toute votre organisation. Et puis, j’ai des cookies à faire de toute façon.
-Ses cookies sont les meilleurs, commente Emily.
-Je vais y aller, du coup, mais on se revoit tout à l’heure, informes-tu en prenant ton sac au pied de la chaise.
-Avec plaisir.
Automatiquement, tu embrasses la joue d’Emily et pars de la chambre. En refermant la porte, tes yeux s’ouvrent en grand, réalisant ce que tu viens de faire. De son côté, Emily a presque oublié de respirer, car elle ne s’attendait pas à ce touché plus qu’agréable.
-Oh, tu vas tellement tout me raconter dans la voiture, s’exclame JJ avec des yeux pétillants. 
Quand Emily peut rentrer chez elle, les deux femmes montent dans la voiture de JJ. Sur la route jusqu’à chez Emily, JJ attend avant de bombarder son amie de questions. Emily espère au fond d’elle qu’elle n’aura pas à parler de votre relation, ne sachant pas vraiment quoi dire. Après dix minutes à conduire, JJ finit par craquer.
-Bon, tu vas me dire ce qui s’est passé entre toi et ton “amie” Y/N ou pas ?
-Rien de spécial, ment Emily d’un air nonchalant.
-Tu dormais paisiblement à ses côtés et t’as arrêté de bouger la seconde où t’as senti ses lèvres sur ta joue. Quelque chose s’est passé entre vous deux.
-On est sorties ensemble il y a dix ans, c’est tout, explique Emily comme si c’était normal. 
-Ça a duré longtemps ?
-Cinq ans.
-Pourquoi vous vous êtes séparées ? questionne JJ, perdue. Parce que clairement vous avez toujours de l’affection l’une pour l’autre.
-A cause de mon job, dit-elle en se repositionnant sur son siège. J’étais toujours dans un autre pays ou sous couverture donc on ne pouvait pas se parler pendant des mois et les rares fois où je rentrais, son job lui prenait tout son temps. Ce n’était clairement pas idéal, comme situation. On s’aimait, mais ça ne fonctionnait pas alors on a préféré en rester là avant que notre relation se détériore. Je ne l’avais pas revue depuis notre séparation.
-Comment ça se fait qu’elle est venue te voir alors ?
-Je n’ai toujours pas changé mon numéro d’urgence. Au début, je n’osais pas le faire puis, j’ai fini par oublier et puis, avant hier, elle n’avait jamais été prévenue des autres fois où j’avais été blessée. Autant dire que je ne m’attendais pas à la voir hier, même si j’en suis plus contente, admet Emily en regardant par la fenêtre. 
-C’est ce que j’ai cru comprendre, même quand tu dormais, t’avais un sourire idiot sur le visage.
-C’est faux, s’offusque-t-elle en se tournant vers son amie.
-Je dis juste ce que j’ai vu.
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En fin d’après-midi, tu te rends chez Emily avec tes cookies dans tes mains. JJ t’ouvre la porte avec un grand sourire. Tu lui donnes un des deux tupperwares avec quelques-uns de tes gâteaux que tu as fait exprès pour elle. 
-Tu n’aurais pas dû, te remercie JJ, touchée par ton geste.
-Je suis sûre que depuis que tu travailles avec elle, tu la protèges un maximum quand vous travaillez, je me devais de t’offrir quelque chose en remerciement, explicites-tu avec un air sincère. 
-C’est un travail d’équipe. Dis-moi, tu pourrais rester avec Emily cette nuit ? Je dois rentrer m'occuper de mon fils. 
-Si ça ne dérange pas Emily, il n’y a pas de soucis.
-Je suis sûre que ça ne va pas la déranger, affirme-t-elle, confiante avant de récupérer ses affaires. Je te laisse la prévenir, je dois filer. Passez une bonne soirée.
JJ file en coup de vent alors que tu tentes de comprendre ce qu’il vient de se passer. Quand tu te remets de tes émotions, tu enlèves tes chaussures et tu retrouves Emily allongée dans son lit. Quand elle vous voit, toi et tes cookies, elle se relève légèrement et t’invite à t'asseoir à côté d’elle. Elle n’attend pas avant de manger tes cookies, fermant les yeux pour apprécier le goût.
-Mon dieu, ils sont encore meilleurs que dans mes souvenirs.
-Je t’avoue que j’ai eu le temps d’améliorer la recette depuis la dernière fois.
-Comment tu as pu le faire ? Elle était déjà parfaite à l’époque, interroge Emily, incrédule.
-J’ai juste ajouté un ingrédient secret.
-Peu importe ce que c’est, je valide. Où est JJ ?
-Elle a dû partir, car elle m’a dit qu’elle devait s’occuper de son fils, donc ça sera que toi et moi.
En entendant ta réponse, Emily fronce les sourcils. Elle sait que Will est à la maison et qu’il est plus que capable de s’occuper d’Henry. En réfléchissant un peu plus, Emily comprend que JJ a menti pour qu’elle puisse passer du temps avec toi. Elle se retient de lever les yeux au ciel et tente de la jouer cool.
-Oh, très bien, alors. Ça sera comme au bon vieux temps.
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Depuis ce soir-là avec Emily, tu l’évites. Tu sais que ce n’est peut-être pas la réaction la plus mature, mais tu ignores comment réagir. La soirée que vous avez passée ensemble était à la fois spéciale et ordinaire. Elle était spéciale, car c’était la première que tu étais seule chez depuis votre séparation. Mais elle était ordinaire, car vous aviez agi comme si vous n’aviez pas arrêté de vous parler ces dix dernières années. Contrairement à ce que vous pensiez, vos sentiments sont toujours présents et aussi forts. Tu as toujours su que tu aurais de l’affection pour Emily jusqu’à ton dernier souffle, mais tu peux dire sans te tromper que tu l’aimes encore. Tu as essayé de rien laisser paraître, mais Emily te connait par coeur. Tu espères juste qu’avec le temps, elle a oublié comment tu caches ce que tu penses, même si son métier de profiler l’avantage. Tu ne sais pas si elle a remarqué quelque chose, elle n’a rien dit. Si c’est le cas, elle n’a rien dit parce que, peut-être, malgré ce qu’elle peut ressentir pour toi, elle ne souhaite toujours pas être avec toi à nouveau. Tu ignores quelle est la réelle raison et tu ne veux pas la savoir, surtout si elle peut te briser le cœur. 
Par conséquent, tu as repris ta vie normale. Tu travailles, retournes dans ton appartement et regardes tes séries habituelles. Toutefois, quand tu es devant ton écran, ton esprit dérive trop souvent vers Emily, sans que tu le réalises. Tu luttes mentalement pour regagner le pouvoir sur tes sentiments. Tu ne peux pas te permettre de retomber dans ses bras, car elle ne te rattrapera pas. Tu dois faire ce que tu aurais dû faire depuis de nombreuses années : l’oublier. 
Tu rentres du boulot, fatiguée de ta journée. Tu n’as qu’une hâte, te mettre en pyjama et t’allonger sur ton canapé. Tu planifies mentalement ce que tu vas faire ce soir pour économiser un maximum de force. Cependant ta planification est arrêtée quand tu retrouves Emily frappant à ta porte. Tu marques un temps d’arrêt comme pour être sûre que tes yeux ne te jouent pas un tour. En t’entendant arriver derrière elle, Emily se tourne vers toi. Elle te fait un signe de sa main valide avant de sourire, gênée.
-Em, qu’est-ce que tu fais là ? Et comment t’as eu mon adresse ? J’ai emménagé ici il y a seulement six ans, questionnes-tu.
-Je travaille au FBI et avec une experte en informatique, c’était facile.
-Si je ne te connaissais pas, j’aurais peur d’être le sujet d’une de tes futures enquêtes avec ce que tu viens de me dire.
-Désolée, je voulais pas que ça paraisse bizarre, ajoute-t-elle, embarrassée. 
Tu balayes l’air de la main pour signifier que ce n’est pas grave.
-Du coup, qu’est-ce que tu fais ici ? Et tu vas mieux ? Tu ne devrais pas te reposer plutôt que rester debout ici, à m’attendre ?
-Je vais mieux, ne t’inquiète pas. Je ne peux pas encore travailler, soupire-t-elle en montrant son écharpe, mais au moins, je peux bouger. Je voulais qu’on parle. Depuis la dernière fois, on ne s’est pas reparlées et tu n’as pas répondu à mes appels.
-J’étais occupée avec le travail, je m’excuse.
-Je ne peux pas te blâmer pour ça, t’assure Emily avant de plonger son regard dans le tien. Ecoute, je… Je sais que si on s’est séparées c’est pour une raison, mais tu ne peux pas nier que lorsqu’on s’est vues, il y a eu quelque chose. Pendant un moment, j’ai presque oublié qu’on n’avait pas été ensemble pendant dix ans. Y/N, je sais que mon métier me fait encore aller à droite, à gauche, mais au moins je reviendrai toujours ici et je n’ai plus à faire de missions sous couverture. Je pourrai vraiment revenir à la maison, à toi. Je ne demande pas qu’on se remette ensemble tout de suite, on pourrait y aller doucement, réapprendre à se connaître, voir comment notre relation évolue, mais je ne veux pas te voir partir à nouveau, avoue-t-elle en prenant ta main avec son bras droit. Le jour de notre séparation a été le pire. Même si c’était ce qu’il y avait de mieux à faire à l’époque, j’ai détesté chaque seconde. Je ne pensais pas que j’aurais l’occasion de te revoir un jour et quand tu as passé la porte de la chambre d’hôpital, j’ai cru rêver. Je ne sais pas si tu tiens à moi autant que je tiens à toi, mais si c’est le cas, j’aimerais qu’on se laisse une nouvelle chance. Je t’aime toujours Y/N.
Emily lâche ta main pour caresser ta joue. Ton cœur loupe un battement pendant que tu te remets de tes émotions. Quand tu réalises que ce qu’elle a dit est réel, un sourire attendri prend place sur ton visage.
-Je t’aime toujours aussi, Emily.
Sans réfléchir, Emily se jette dans tes bras et t’embrasse avec fougue. Tes mains se perdent dans ses cheveux, voulant la rapprocher le plus de toi. Ses lèvres t’avaient tant manqué ! Tu te demandes comment tu as bien pu faire ces dernières années sans les sentir contre les tiennes. Emily approfondit un peu plus le baiser jusqu’à ce que vous manquiez d’air. Vous vous séparez à peine, vos fronts continuant à se toucher. Vous vous regardez avec amour, contentes de pouvoir enfin être dans les bras de l’une de l'autre, après tant d’années.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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derotterdieb · 1 year
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JDR et le bordel dans ma tête
Bon eh bien si on inaugurait ce compte ?
J'imagine que je peux commencer par une p'tite présentation, il paraît que c'est plus poli.
Se cache derrière le pseudo de DerOtterDieb une personne d'une trentaine d'années, vivant en France, et appréciant parler de JDR. Bon ok, plus en détails, je suis un grand fan de fantasy, et j'en écris moi-même un peu. La SF aussi j'aime ça, mais je suis moins à l'aise pour y jouer et en écrire ! Si je vais surtout parler de JDR, vous me verrez peut être râler sur des sujets d'actualité et politique (en tout cas si vous passez sur Twitter c'est surtout ça que je fais au final là bas), et soyons honnête je me range à gauche, très à gauche. Si les discours pro lgbt+, anti-capitalistes, etc., vous dérangent clairement passez votre chemin, ça risque plus de vous frustrez qu'autre chose ce que je raconte.
En dehors de ça, je joue à pas mal de jeux vidéos, mais on me trouve régulièrement sur FFXIV depuis des années maintenant, si jamais ça vous intéresse je pourrais vous raconter des histoires sur les différents personnages RP que j'y ai incarné ! Sinon j'ai la chance d'avoir un mini jardin avec un petit potager dont je suis très fier, sur d'autres RS je poste régulièrement des photos, allez savoir si je vais pas imaginer un truc ici aussi lié à tout ça ... Actuellement je dirige deux tables de JDR sur un univers et des campagnes maison. Le JDR s'appelle Kaamdlon et vous pouvez trouver la première campagne écrite ici ! C'est un premier jet, une tentative de présenter un peu l'univers, loin d'être parfaite. Je travaille actuellement sur plusieurs projets :
un one shot dans l'univers de Kaamdlon
un petit JDR très politisé et orienté bien à gauche
d'autres grosses campagnes dans l'univers de Kaamdlon (en béta test actuellement pour 2, le reste c'est encore du brouillon)
Tout ça en parallèle de mon travail qui rapporte des sous (faut bien nourrir le chat), et d'autres passe-temps, autant vous dire que ça n'avance pas vite.
Je découvre Tumblr (je suis pas un grand utilisateur de RS en général), et j'ai envie de raconter un peu des trucs sur mes projets, et peut être écrire des petits bouts de résumés de séance de JDR que je trouve sympa. Voire, qui sait, quelques petites histoires si j'en ai le temps. Mais bon, ça c'est ce que je prévois ... sauf que je fais rarement ce que je prévois de faire. Donc on verra bien !
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Après une nuit dans le bus, nous arrivons sur les berges du lac Titicaca, qui, du haut de ses 3810m, est le plus haut lac navigable du monde.
Au loin sur cette photo, on peut apercevoir les montagnes de la Bolivie.
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Nous commençons notre visite du lac par un tour des îles flottantes d'Uros. Manifestement, il y a 600 ans, ce peuple Bolivien fuit les Incas à bord de jonques de roseaux, paraît il semblables à celles-ci.
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Afin de rester loin des turpitudes de la vie terrestre, il décidèrent de se construire leur propres îles privées, en arrachant des blocs de terres des côtes, en les nouant entre eux, et en empilant 3m de roseau sur cette île de fortune. Une fois bien ancrées, 3 ou 4 familles constituants une vingtaine de personnes vivent sur ce bout de terre pendant une trentaine d'année, avant que le sol se délite et qu'il faille recommencer la construction d'une nouvelle île. De plus, comme toute bonne île, il faut l'entretenir soigneusement en remettant des joncs toutes les deux semaines.
Ci-dessous, une maquette explicative. Vous noterez que les poupées ne sont pas à l'échelle, normalement l'habitant est suffisamment petit pour passer par la porte de l'habitation.
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Manifestement, personne n'a prévenu ces pauvres gens que les Incas avaient disparu, puisqu'ils sont encore 2000 à avoir ce mode de vie aujourd'hui.
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Nous poursuivons ensuite notre visite en nous rendant sur l'île de Taquille, petite île, naturelle celle fois-ci, de 7 km de long. Ici, traditionnellement, les hommes tricotent et les femmes tissent. Et si un homme ne sait pas tricoter, interdiction de se marier. La couleur du bonnet pour les hommes, et des ponpons des vêtements pour les femmes, permet de savoir si l'on s'adresse à quelqu'un de marié ou de célibataire. Et un homme marié ajoute à sa belle ceinture tissé une partie plus robuste tricotée en entremelant laine et cheveux de son épouse. Il a également le droit de porter une extension de cheveux fait à partir des cheveux (prolifiques) de l'épouse.
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La fleur national du Pérou (à droite)
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Atelier carteS postaleS
Le soir, nous partons assister à un coucher de soleil frisquet au sommet de l'île, proche d'un site religieux pré-Inca, transformé en site religieux post-Inca
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trythegame · 1 year
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Singer - Gutarist - Composer
Music, music and music
Hybride 
Half Human / Half Vampire
Alone
Better like this
43 y.o 
Appearance 29 y.o
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Né d'une union d'un vampire et d'une humaine, Andrew Biersack ou plutôt Andy, est un hybride (mi-humain mi-vampire) qui vu le jour le 26 décembre 1980. Il aura pourtant une apparence éternelle d'une trentaine d'années, 29 ans pour être exact. Tourmenté par un un passé semé d'embûches, Andy est et restera un garçon brisé. Une mère humaine qui mourra en donnant naissance à deux petits garçons, un père déchiré qui se rendit aux Volturis pour se donner la mort, son jumeau Jay qui se livra plus tard également aux Volturis après avoir perdu son être aimé (qui était l'ancien petit ami d'Andy). Andy fût dévasté, son jumeau Jay était sa moitié.
Côté cœur, il tomba éperdument amoureux d'une humaine nommée Gaenor, malheureusement la relation connue des obstacles insurmontables. Il n'empêche que Gaenor restera une personne chère à son cœur. Il est actuellement seul et c'est mieux ainsi.
Andy étant un hybride il est doté de pouvoirs ; celui de télépathie il peut ainsi entendre et prendre le contrôle des pensées d'autrui, la vitesse vampirique ainsi qu'une force hors-pair. Les hybrides sont incontestablement les vampires les plus puissants de leurs semblables, en revanche, tout est nouveau les concernant il n'y a aucune science exacte. Il était végétarien jusqu'il y a peu de temps, donc vous comprenez bien ce que cela implique. Il tente tout de même de conserver son job malgré la complexité de la situation par amour de la musique certainement.
Pour finir, l'entourage d'Andy s'est réduit... Tellement réduit que tout est à refaire. Il est ouvert à de nouvelles aventures plus farfelues les unes que les autres, alors allons-y.
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Nombre d'entre vous qui n'avait pas seuleme un an ou deux à ce moment là, mais certainement il s'est produit pas mal de choses - c'es que, probablement en raison de cette structure profonde, les progres de la civilisation universelle voni se traduire, non seulement par un certain malaise comme déjà Monsieur Freud s'en était apercu mais par une pratique dont vous verrez qu'elle va devenir de plus en plus étendue, qui ne fera pas tout de suite voir son vrai visage, mais qui a un nom qui, qu'on le transforme ou pas voudra toujours dire la même chose et qui va se passer : la ségrégation.
Messieurs les nazis, vous pourriez leur en avoir une reconnaissance considérable, ont été des précurseurs et ont d'ailleurs eu tout de suite, un peu plus à l'Est, des imitateurs, pour ce qui est de concentrer les gens - c'est la rançon de cette universalisation pour autant qu'elle ne résulte que du progrès du sujet de la science. C'est précisément en tant que vous êtes psychiatres que vous pourriez avoir quelque chose à dire sur les effets de la ségrégation, sur le sens véritable que ça a. Parce que de savoir comment les choses se produisent ça permet très certainement de leur donner une forme différente, d'une lancée moins brutale et si vous le voulez plus consciente, que si on ne sait pas à quoi l'on cède, vôtre... ce que vous représentez si je puis dire dans l'histoire, et comme les choses vont vite, ce qu'on verra très vite, je sais pas, peut-être dans une petite trentaine ou cinquantaine d'années, c'est qu'il y avait déjà, autrefois, quelque chose qui s'appelait le corps des psychiatres et qui se trouvait dans une position analogue à ce qu'il faudra bien alors inventer pour comprendre ce dont il s'agira dans les remuements qui vont se produire et à des niveaux sur lesquels vous pouvez compter, qui seront planétaires, dans ce qui se produira au niveau de ces initiatives constituant une nouvelle répartition [interhumaine] et qui s'appellera : l'effet de ségrégation. À ce moment là l'historien dira : mon Dieu, les chers psychiatres, en effet, nous donnent un petit modèle de ce qui aurait pu être fait à ce moment là comme cogitation qui aurait pu nous servir, mais à la vérité il ne nous l'ont pas donné, parce qu'à ce moment là ils dormaient, ils dormaient pourquoi?
Jacques Lacan, «Télévision», Édition du Seuil, 1974
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ayanna-tired · 2 years
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Sortir du silence
TW : Viol conjugal/Relation toxique/Sexisme
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J'ose enfin me lancer… attention c'est un témoignage délicat, et c'est la deuxième fois que j'en parle seulement en dehors de ma thérapeute...
Quand j'étais au lycée, je suis sortie avec un homme de presque 10 ans mon ainé. Par le passé, quand ils étaient très jeunes, sa petite sœur l'avait accusée de viol incestueux et personne ne l'avait prise au sérieux, ou du moins, dans le doute, on a rien fait d'autre contre cet homme que de lui demander de se prendre son propre appartement pour ne plus être sous le même toit que sa sœur. C'est lui qui m'a raconté ça, les larmes aux yeux, victimes de l'instabilité de sa sœur qu'il était. Et c'est vrai qu'elle était un peu dépressive, un peu à la dérive… alors je l'ai cru lui. Je croyais l'aimer après tout, comment aurait-il pu faire ça ?
Mais voilà… un soir il a eu envie de faire l'amour… et moi pas. Je lui ai dit non, mais il a insisté encore et encore, me faisant culpabiliser… j'ai cédé, et il a commencé à me violer… Il ne s'est arrêté que quand il s'est rendu compte que j'étais en train de pleurer en silence… sa réaction ? La colère. J'étais fautive et capricieuse.
Je n'ai compris que c'était un viol conjugal que des années plus tard en thérapie.
J'étais trop jeune, mais ça m'aura apprit à voir les "red flag", sa sœur que je n'ai pas prise au sérieux… son ex à qui il a fait du revange porn (d'ailleurs le juge lui a juste dit que c'était pas très bien et il s'en ai tiré sans rien)… moi qui n'étais qu'une gamine… ses colères, sa maniaquerie, sa manière de m'isoler et de faire en sorte que je ne vive qu'à travers lui, ses ami-e-s, sa passion…
Mais voilà, j'étais une fille, sa sœur aussi. On ne nous a pas protégées, on ne nous a pas prise au sérieux…
Aujourd'hui c'est un secret, ce viol conjugal, que je garde farouchement, surtout auprès de ma famille… ils ne comprendraient pas et ne prendraient pas ma défense. Après tout ils ont laissé la gamine que j'étais sortir avec un beauf d'une trentaine d'années !
C'est ça aussi le sexisme ordinaire… ne pas croire les femmes qui sont victimes, ne pas prendre au sérieux les choses graves… trouver normal qu'un homme viol sa petite amie parce qu'après tout, il y a le devoir conjugal…
Voilà… c'est un bout de mon histoire…
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J'ai proposé ce témoignage au comte Instagram "Sexisme Ordinaire STOP" anonymement... pour moi c'est une grande étape. Je guette la publication mais ça ne se fera pas tout de suite...
Ayanna, septembre 2022
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emmamllrt · 2 years
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Compte rendu du texte plaire et toucher. Essai sur la société de séduction, de G. Lipovetsky.
Paragraphe 1: 
Gilles Lipovetsky s'intéresse depuis une trentaine d'années à l'évolution des mentalités, des pratiques et des mœurs, et à restituer la signification de ces phénomènes sociaux. Ces travaux portent sur l'hyper individualisme ( sorte d'individualisme « nouvelle formule »). Dans l'ouvrage plaire et toucher, cette postmodernité qui est tendue vers la consommation et le « toujours plus » est considérée avec un regard bienveillant. Gilles Lipovetsky n´optent pas pour les postures catastrophiques qui voient dans le consumérisme débridé un abrutissement culturel.
Paragraphe 2 : 
La postmodernité se caractérise par le souci de séduire. Si les rituels de séduction ont toujours existé mais sont toujours restreint par des obligations collectives - dans la postmodernité tout le monde est libre de les interpréter à sa manière. Le « plaire et toucher » cher à sa Racine qui se développe avec l'individualisme n'est plus seulement une règle de représentation, mais une exigence permanente de fabrication de désir(s) qui s'infiltre partout tout en remplaçant tous cadres et règles traditionnelles. 
Paragraphe 3 : 
L'approche de Lipovetsky qui n'est pas uniquement descriptive. Elle n'opte pas non plus pour une vision apocalyptique de la séduction ( que certains considèrent comme synonyme d'uniformisation, d'infantilisation, de souffrance, d'addiction, d'aliénation…). Au contraire, elle permet une personnalisation. Les consommateurs - qui savent rationaliser leur choix, faire la part des choses, etc. - gardent leur esprit critique. 
Paragraphe 4 : 
L'hyperindividualisme, s'il amène une part de malaise, ne débouche cependant pas forcément sur une sociabilité superficielle. Par ailleurs, si la société de séduction amène son lot de désarroi, Lipovetsky ne bascule pas dans le moralisme qui consiste à dire que la séduction et l'individualisme : c'est mal. L'individualisme n'empêche pas la profondeur des liens.
Paragraphe 5 : 
Ceux qui aspirent à résister à ce règne de la séduction ont le droit. Ils doivent néanmoins garder en tête que la séduction règne en maître. Même ceux qui veulent construire une société plus humaine n'échappent pas à cette logique de la séduction.
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louisonthibault · 2 years
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Compte-rendu, Plaire et Toucher de G. Lipovetsky.
Paragraphe 1 :
Gilles Lipovetsky étudie depuis une trentaine d'année l'évolution des mentalités, des pratiques et des mœurs. Il est attaché à restituer la signification de ces phénomènes sociaux. Ces travaux portent sur l'hyper-individualisme. Dans l'ouvrage Plaire et Toucher,il pose un regard bienveillant sur la postmodernité tendue vers la consommation et le "toujours plus". Il ne choisit pas de parler de postures catastrophistes qui considèrent le consumérisme débridé comme un abrutissement culturel.
Paragraphe 2 :
La postmodernité est caractérisée par un soucis de séduire. Les rituels de séduction ont toujours existé mais sont limités par des obligations collectives - ce qui permet une interprétation libre. Racine est à l'origine du "Plaire et Toucher" qui se développe avec l'individualisme. Mais aujourd'hui, il n'est plus seulement une règle de représentation, il constitue une exigence permanente de fabrication de désir (s) qui remplace cadres et règles traditionnels.
Paragraphe 3 :
Son approche n'est pas seulement descriptive. Elle n'est pas non plus pour la vision apocalyptique de la séduction. Elle est personnelle puisque les consommateurs garde un esprit critique.
Paragraphe 4 :
Un malaise se créer face à l'hyperindividualisme mais cela ne signifie pas forcément qu'il s'agit d'une sociabilité superficielle. Lipovetsky n'est pas moraliste en dépit du désarroi que cause la société de séduction. La profondeur des liens peut exister avec l'individualisme.
Paragraphe 5 :
Ceux qui luttent contre cette logique afin de créer une société plus humaine échouent car la séduction règne en maître.
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aspellnameddesire · 2 years
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Premier tableau : A Troubled Love Story.
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LILY
Sorcière d'une vingtaine d'année, Lily est amnésique à la suite d'un accident. N'ayant pas tout oublié pour autant, elle tente de se remémorer ce qu'aurait pu être ses dernières années auprès de son compagnon.
Ayant des émotions exacerbées, elle ne peut se cacher derrière une carapace froide, ayant l'impression de vivre les évènements avec intensité et vivacité.  
BRYAN
Humain d'une trentaine d'année, Bryan est tombé sous le charme de Lily malgré leur différence d'âge certaine. Ayant vécu des moments difficile à cause de sa famille et de son milieu, il s'est renfermé sur lui même. Dans un long passage obscur, il a vu la lumière que représentait la sorcière dans sa vie.
Même s'ils ne se connaissaient pas, il a eu l'impression qu'une connexion certaine s'était crée entre eux. Mais à chaque jour passé, il avait l'impression qu'elle lui cachait des choses : qui était-elle vraiment ? qu'avait-elle de si spécial ? Et pour lui, les secrets finissent toujours pas être découverts.
LEUR RELATION : Ensembles depuis un an, Bryan se veut être le petit ami tendre et à l'écoute. Et pourtant, toutes les nuits, elle rêve de lui, violent, lui criant dessus, la frappant, lui faisant du mal. Elle ne sait pas si c’est du passé ou du futur mais elle sait que cet évènement est inscrit dans une réalité. Et pourtant, elle n’arrive pas à déceler une once de méchanceté en lui.
VARIATION POSSIBLE : Un duo si vous aimez traiter des relations amoureuses, qui peut aussi marcher avec Lily ayant opéré un sort d'oubli sur Bryan, par exemple.
Alors qui veut les jouer ? Qui voudra suivre leur histoire sur A SPELL NAMED DESIRE dès vendredi prochain ?
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plaques-memoire · 14 days
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Plaque en hommage à : Louis Pasteur
Type : Lieu d'étude
Adresse : 8 rue des Feuillantines, 75005 Paris, France
Date de pose : 1923
Texte : Pasteur fut en 1838 -- 1842-1843 élève de l'institution Barbet qui occupait cet emplacement
Quelques précisions : Louis Pasteur (1822-1895) est un scientifique français, et à ce titre une figure majeure de l'histoire des sciences en France et dans le monde. Il est principalement connu pour les travaux essentiels qu'il a accomplis dans l'élaboration d'un vaccin contre la rage. Ses contributions dépassent toutefois largement ce simple cadre et ont profondément influencé la microbiologie, naissante à l'époque de Pasteur. Il a par exemple mené des études sur la fermentation. Il réfute également le principe de la génération spontanée au profit de l'origine microbienne des maladies, étudie de nombreuses maladies liées aux produits alimentaires (ce qui donnera naissance au procédé de pasteurisation), et mène d'innombrables recherches sur les virus et les vaccins. Reconnu comme l'un des plus éminents scientifiques de son temps, voire de l'histoire récente, il reçoit de très nombreuses distinctions de son vivant et fait partie d'un très grand nombre de sociétés savantes. Sa mort donne lieu à une quantité d'hommages : son nom est ainsi donné à des rues et des établissements, dont des musées, et il est très présent dans l'iconographie scientifique moderne. Son héritage se perpétue encore aujourd'hui via l'Institut Pasteur, fondé en 1888 et présent dans plusieurs pays, qui mène des recherches avancées contre différentes maladies. Cette plaque commémorative est apposée non loin d'une autre située à l'emplacement d'un ancien laboratoire de Pasteur. Elle est également située à côté d'une autre en souvenir de Victor Hugo, qui vécut dans le même bâtiment une trentaine d'années avant que Pasteur n'y étudie.
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podcast-full-random · 2 months
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Un MJ pour les contenter tous !
Bon, et bien, il fallait bien que ça finisse par arriver, voici les présentations et on commence bien évidemment par le MJ : C'est à dire Moi.
Mon prénom est Corentin, j'ai une trentaine d'années et je fais du jeu de rôle sérieusement depuis à peu près 3 ans. J'ai un jeune fils d'un an et demi et une femme incroyable. J'habite dans le sud, con ! Depuis 3 ans aussi ! Je suis Animateur à mes heures perdues, c'est mon métier depuis 10 ans.
Je suis (du verbe suivre) des actual plays depuis maintenant 6 ans environ et j'ai la sérieuse envie de faire un podcast autour du jeu de rôle depuis à peu près aussi longtemps. Pour la petite histoire, j'ai longtemps hésité a créer une radio associative pour permettre de valoriser le local sur les ondes. Un futur projet peut-être?
J'ai toujours été Maître de Jeu pour la plupart de mes sessions de Jeu de Rôle, il n'y a que depuis peu que je découvre le plaisir de réellement jouer un personnage dans une histoire contée par un autre MJ. D'un naturel curieux, je peux lire un maximum d'articles sur les petites questions que je me pose, sur le JDR, mais pas que !
Comme vous vous en doutez, j'adore écrire, je pense que ça se voit sur les billets (j'espère en tout cas!)
Au plaisir de vous croiser prochainement !
Corentin, Le MJ
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entomoblog · 3 months
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[Vidéo] Maria Sibylla Merian, mère de l'écologie en replay - Tout feu, tout femme
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Peintre, exploratrice et naturaliste, Maria Sibylla Merian a bouleversé l’histoire des sciences avec ses travaux sur la transformation des insectes. Lumière sur cette pionnière.
  france·tv
diffusé le jeu. 1 sept. | 7 min
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via france•tv arts sur X, 22.06.2024
  "Peintre, exploratrice et naturaliste, Maria Sibylla Merian a bouleversé l’histoire des sciences avec ses travaux sur la transformation des insectes. Lumière sur cette pionnière. #CulturePrime https://t.co/psIbfp7YSt"
https://x.com/francetvarts/status/1804404200157425756
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NDÉ
Wikipédia (extrait)
  "... Elle se demande comment des chenilles peuvent naître les papillons alors que les premiers travaux modernes sur la génération spontanée, ceux de Francesco Redi (1626-1697) par exemple, dataient seulement d'une trentaine d'années. Ces observations avaient suscité dans l'Europe savante un immense intérêt et étaient connues par Merian qui avait aussi lu les ouvrages de Thomas Moufet (1553-1604), de Jan Goedart (1620-1668), de Jan Swammerdam (1637-1680).
  Merian observe le phénomène de métamorphose, illustre la chrysalide et s'intéresse aux plantes dont les chenilles se nourrissent. Elle illustre tous les stades de leur développement dans son livre de croquis. Elle s'intéresse également aux parasites qu'elle trouve dans les cocons au point de les faire figurer dans ses illustrations, près de dix ans avant les travaux de Marcello Malpighi (1628-1694) et de Francesco Redi (1626-1697)."
(...)
  Bernadette Cassel's insight:
  'Maria Sibylla Merian' in Variétés entomologiques https://www.scoop.it/topic/le-monde-des-insectes?tag=Maria%20Sibylla%20Merian
  'Maria Sibylla Merian' in EntomoScience https://www.scoop.it/topic/membracides?tag=Maria%20Sibylla%20Merian
  'Anna Maria Sibylla Merian' in Insect Archive https://www.scoop.it/topic/les-insectes-ne-parlent-pas-francais?tag=Anna%20Maria%20Sibylla%20Merian
  'Maria Sibylla Merian' in EntomoNews https://www.scoop.it/topic/entomonews?tag=Maria%20Sibylla%20Merian
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