#une partie de campagne
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cheminer-poesie-cressant · 2 months ago
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(Une partie de campagne, 1936, Jean Renoir)
petite histoire poétique du cinéma, les réminiscences des images
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Courir sous les bras des arbres,
s'Ă©chapper de l'ombre,
vision fugace de printemps,
un rouge serré à la taille
la liberté bourdonnante plein les yeux.
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(jeudi 6 octobre 2005)
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ulrichgebert · 2 months ago
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Bei ihrer jĂ€hrlichen Landpartie treffen die junge Schönheit aus der Stadt und ihre Mutter auf den lokalen WĂŒstling und dessen romantischer veranlagten Kumpel. Dieser wĂ€hlt gegen die Absprache die Tochter statt der Mutter, Vater und Verlobten schicken sie zum Angeln. Dann beginnt es zu regnen, doch noch Jahre spĂ€ter denken der Romantiker und die lĂ€ngst verheiratete Schönheit an diesen Nachmittag. Ein unvollendet gebliebener Jean-Renoir-Film, den fremde HĂ€nde fertigstellten, mit zehnjĂ€hriger VerpĂ€tung, und den wir noch nie gesehen haben. Er ist nicht besonders lang ("moyen mĂ©trage"), aber besonders schön. Wie ein GemĂ€lde seines Vaters, sagen manche (die Jean wohl immer verkaufte, um seine Filme zu finanzieren), dabei ist es schwarzweiß.
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microcosme11 · 5 months ago
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Napoleon acts like a brat on St. Helena; his valet ignores stupid accusations
Un certain jour, l'Empereur, pour ĂȘtre couchĂ© plus au large, eut l'idĂ©e de se faire un grand lit de ses deux petits lits de campagne en les faisant accoupler ensemble. Sa volontĂ© fut aussitĂŽt exĂ©cutĂ©e. Mais les couvertures, assez grandes pour les petits lits sĂ©parĂ©s, ne le furent plus assez pour garnir la longueur et la largeur des deux lits rĂ©unis. Un soir, Ă©tant un peu de mauvaise humeur, et ne sachant Ă  qui ou Ă  quoi s'en prendre, il trouva que ses Ă©paules n'Ă©taient pas assez garnies ; il prĂ©tendit que nous avions coupĂ© les couvertures. C'Ă©tait une idĂ©e comme une autre, mais Ă  laquelle il n'y avait rien Ă  rĂ©pliquer; une justification Ă©tait inutile. Ce que l'on avait de mieux Ă  faire, quand il Ă©tait mal montĂ©, c'Ă©tait de garder le silence, eĂ»t-on raison ou tort ; et le parti que nous prenions, c'Ă©tait de redoubler de zĂšle pour son service et de ne rien nĂ©gliger de ce qui pouvait lui ĂȘtre utile ou agrĂ©able. Si parfois il lui arrivait de chagriner ceux qui Ă©taient constamment autour de lui, il savait toujours revenir Ă  eux et leur prodiguer ses caresses. Les deux lits restĂšrent accouplĂ©s pendant une quinzaine environ, et ensuite ils furent sĂ©parĂ©s et remis Ă  leurs places primitives.
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One day, the Emperor, in order to lie more spaciously, had the idea of ​​making a large bed from his two small campaign beds by having them brought together. His wish was immediately carried out. But the blankets, large enough for the separate small beds, were no longer large enough to cover the length and width of the two beds joined together. One evening, being a little bad-tempered, and not knowing who or what to blame, he found that his shoulders were not sufficiently covered; he claimed that we had cut the blankets. It was an idea like any other, to which there was no reply; an excuse was useless. The best thing to do, when he was bad tempered, was to keep silent, whether one was right or wrong; and the course we took was to redouble our zeal for his service and to neglect nothing that could be useful or agreeable to him. If sometimes he happened to upset those who were constantly around him, he always knew how to return to them and lavish them with his caresses. The two beds remained coupled for about fifteen days, and then they were separated and put back in their original places.
Souvenirs du mameluck Ali (google books)
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camisoledadparis · 18 days ago
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saga: Soumission & Domination 354
WE Ă  la campagne-2, Nathan
Dimanche :
Messe pour ceux qui veulent c'est-à-dire les parents et CÎme.  Nous profitons qu'ils soient partis pour une bonne heure et demie pour nous payer un réveil sexe. La veille nous nous étions couchés avec juste un cùlin soft et la chambre d'à cÎté aussi vu l'avertissement de la veille.
DÚs que le bruit du moteur de la voiture s'éteint, nous parviennent des gémissements de la chambre des jeunes.
Ils sont trois, nous aussi et l'épisode de la veille dans la paille m'a rappelé ce qui m'excite chez les jeunes. Le temps de décider mes acolytes de faire les quelques mÚtres qui nous séparent et nous arrivons alors qu'ils se sucent en triangle.
Les trois corps lisses mais musclés nous font saliver (et pas que) grave. Sachant la maison vide, nous sommes nous aussi à poil. Je regarde mes comparses, ils bandent tout comme moi.
Ils sont tellement pris par le corps de leurs amis qu'aucun ne s'est aperçu de notre prĂ©sence. Ce n'est que quand ils sentent des mains en trop sur leurs corps qu'ils prennent conscience que nous sommes lĂ . La partouze de la veille fait qu'ils ne sont pas surpris ou mĂȘme gĂȘnĂ©s.
Je leur dis de continuer. Je m'accapare la rondelle de Nathan, PH cette d'Enguerrand et Max se retrouve avec la langue de Ludovic à lubrifier sa rondelle.         
Ils s'ouvrent comme des fleurs et ils arrivent mĂȘme Ă  laisser Ă©chapper des gĂ©missements de plaisir sur le cotĂ© des bites qui pourtant agissent en sourdine vu comme ils s'enfoncent le bĂąton de plaisir de leur pote bien profondĂ©ment dans leurs gorges.
Je suis le premier Ă  enfoncer ma bite lĂ  oĂč j'avais la langue. EnkpotĂ© contrairement Ă  mes deux amours qui eux peuvent y aller direct. On a beau les secouer hard, ils ne se dĂ©saccouplent pas et continuent leurs pompages façon " morts de faim ".
Je caresse le flanc et le dos de Nathan. Il reste doux et de temps en temps je l'agrippe par ses hanches pour appuyer un peu plus mes pénétrations. C'est moi qui pousse à la rotation des sodomites. Un tiers de tour, je me dékpote et encule Enguerrand, cédant ma place à Ludovic et PH entreprend Max.
Mon petit beau-frĂšre est attendrissant et je me penche pour l'embrasser sur la joue. Il sent mes lĂšvres et se tourne pour me rouler une pelle qui sent un peu la bite. C'est celle de Max et elle s'agite, impatiente d'ĂȘtre Ă  nouveau couverte. Je me penche un peu plus et ce sont deux bouches qui s'occupent d'elle. Et/ou d'elle et des boules associĂ©es. J'adore limer sa rondelle, peut ĂȘtre que l'effet " famille " amĂšne une dimension excitante supplĂ©mentaire.
Nouveau décalage. Petite hésitation de la part de Ludovic qui se trouve à devoir enculer son frÚre. S'il a déjà fait l'amour à son grand frÚre (relire les récits du nouvel an), ce n'est qu'à cÎté du petit qu'il l'a déjà fait. Cela ne trouble pas Enguerrand qui lui dit d'y aller que ça lui fait plaisir. Sans forcer personne, je reste à ses cÎtés pour le démarrage.
Ça beau ĂȘtre son petit frĂšre, il n'a pas dĂ©bandĂ© pour autant. Je lui dis qu'ils se ressemblent tellement que ça tient plus d'une masturbation qu'Ă  une vraie relation sexuelle. Approbation de cette assertion par les 4 autres participants. Je pousse mĂȘme la dĂ©licatesse Ă  positionner le gland de Ludovic juste sur la rondelle d'Enguerrand. LĂ , c'est ce dernier qui d'un recul franc et dĂ©cidĂ©, s'empale sur les 19 cm fraternels.
AprÚs ça je peux moi aussi profiter du moment et enculer Max qui commençait déjà à se refermer. En fait c'est meilleur. Son anneau s'est resserré et mon gland doit déplisser la rondelle avant de pouvoir s'enfoncer dedans. Mes mains trouvent ses tétons et sous mes doigts, ils gonflent et son cul se détend. Je peux alors m'enfoncer sans douleur pour personne. Il ne faut pas 5 minutes pour que le duo de frÚres s'écarte du reste du groupe.
Reconfiguration : Max et Nathan en 69. Les enculeurs restent les mĂȘme. Le duo ne va pas loin. Il reste sur le matelas juste Ă  nos cĂŽtĂ©s. Le cul de Max est dĂ©licieux mais je suis distrait par le " couple ". La simple sodo se change en sodo plus pelle. La retenue de Ludovic a disparue. Sans mettre autant de passion que dans nos rapports, je le sens bien excitĂ©. Enguerrand serre ses bras autour du cou de son frĂšre. C'est plutĂŽt lui qui kiffe le plus cette sodomie ! Quand arrivent les moments de juter, nous 4 nous dĂ©collons de notre partenaire et laissons nos spermes les couvrir. Par contre, Ă  cĂŽtĂ©, ils restent collĂ©s jusqu'au bout. Enguerrand Ă©ponge la production de Ludovic et jute entre leurs abdos collĂ©s. Comble du vice, Enguerrand ramasse sons sperme, le porte Ă  sa bouche et roule un patin Ă  son frĂšre qui n'est toujours pas sorti de son cul.      
Mais le temps passe et une messe, c'est finalement court ! On accĂ©lĂšre le tempo. Passage sous les douches, groupĂ©s, mĂȘme si elles ne sont pas si grandes qu'au blockhaus, nous arrivons Ă  ĂȘtre habillĂ©s et le coeur Ă  60/65 pulsations/minutes quand ils reviennent de leur obligations dominicales.    
Malgré ses protestations, nous aidons tous madame à finir la préparation du déjeuner.
J'observe tout le monde pendant le repas. Pour madame, c'est comme si nous Ă©tions tous ses fils. Elle n'hĂ©site pas Ă  reprendre Nathan quand il met ses coudes sur la table au mĂȘme titre qu'Enguerrand. Elle oblige PH Ă  se resservir le trouvant un peu maigre !
Je le vois se retenir de soulever le bas de son polo et lui montrer ses abdos.
Monsieur est plus rĂ©servĂ© et comme moi, analyse plus qu'il ne parle. Je le surprends mĂȘme Ă  regarder souvent son ainĂ©. Quand son regard glisse sur ses autres fils, il n'est pas aussi pensif. Quand il se pose sur Enguerrand, j'y vois mĂȘme une tendresse particuliĂšre.
C'est vrai que c'est chez lui que le changement a Ă©tĂ© le plus radical. D'Ă©corchĂ© vif Ă  ne pas prendre avec des pincettes, il est redevenu le gamin espiĂšgle, content de vivre qu'il devait ĂȘtre auparavant.
Par rapport aux premiers repas chez eux, il ne rĂšgne plus ces tensions qui perturbaient. L'ambiance est gaie et gay aussi. Si des remarques typĂ©es " homo " nous Ă©chappent, vĂȘtements, mode, bijoux..., les parents s'y font, aprĂšs la surprise des premiĂšres sorties. D'autant plus que mes cadeaux de NoĂ«l et du nouvel an ne sont pas forcĂ©ment du style maison. Courant janvier j'ai fait faire un anneau supplĂ©mentaire pour Enguerrand non prĂ©vu Ă  l'origine, puisqu'il nous avait rejoint le premier janvier. Il a Ă©tĂ© trop content que je ne fasse pas de diffĂ©rence avec tous les autres.
Les habitudes de la maison seraient plutĂŽt, au maximum, une chevaliĂšre armoriĂ©e ! C'est sĂ»r que ma boucle d'oreille, mĂȘme si les pierres que j'y accroche sont de grandes valeurs, dĂ©tonne, mais je suis acceptĂ© et c'est le principal.
Il fait beau et nous prenons le cafĂ© dehors. Quand les parents nous laissent, les polos volent et on s'Ă©tale sur la pelouse. Il faut profiter de ce temps pour mĂ©taboliser la vitamine D et prendre quelques couleurs par la mĂȘme occasion. Enguerrand cours vite Ă  la maison chercher de quoi protĂ©ger nos peaux et aprĂšs une sĂ©ance de tartinage qui en a fait bander plus d'un, nous siestons.
Nous sommes rĂ©veillĂ©s par madame venu voir si nous avions besoin de quelque chose. Elle est surprise que nous soyons tous imberbes, mĂȘme son ainĂ© qu'elle croyait assez poilu. Innocemment elle nous dit nous trouver trĂšs beaux. On abonde tous dans son sens et ça part en sucette. Petits bisous, chatouilles, poursuites et bagarres. Nos cris et chahuts font venir le mari et pĂšre. On se calme, nous renfilons nos polos et acceptons un thĂ© avant de partir.
Au retour, je reconduis Nathan chez Julien. Max et Enguerrand restent et partirons directement au lycée demain.
Julien nous attendait avec Second. Nathan monte Ă  sa chambre et je reste discuter quelques instants avec son employeur. Je leur rĂ©sume le WE et leur dit que le rapprochement avec Max et Enguerrand Ă  l'air de se confirmer. Ces trois-lĂ  sont restĂ© collĂ©s pendant les 2 jours. Julien est content car le gamin mĂ©rite d'ĂȘtre heureux aprĂšs son annĂ©e pourrie chez son confrĂšre. Non seulement c'est un gentil jeune homme mais aussi un bon apprenti, travailleur et inventif.
Comme j'entends ça, je me dis qu'il pourrait faire des extra auprÚs de Pablo. Quand Emma donne de grands diners, il a toujours besoin de petites mains efficaces et professionnelles. Julien connait bien Pablo et me dit que ce serait une bonne idée.
Quand Nathan redescend pour me dire au revoir, je lui soumets ma proposition. Il hésite et nous dit craindre de ne pas savoir assurer, aprÚs tout il n'est qu'apprenti charcutier/traiteur. Julien balaye ses arguments et lui dit que lui, à son ùge, n'était pas aussi bon.
Quand je passe voir ma mÚre, je fais ma proposition à Pablo. Il n'est pas contre car souvent il ne trouve que des extra de service mais pas en cuisine. Le fait que ce soit l'apprenti de Julien le rassure sur ses compétences. Il me dit qu'il passera les voir à la boutique et qu'il me tiendra au courant.
Coup de fil quelques jours plus tard. Je me fais presque engueuler d'avoir omis de lui dire qu'en plus le petit mec Ă©tait canon. Je lui demande s'il croit pouvoir l'embaucher de temps en temps. Il me dit qu'il a beaucoup Ă©changĂ© avec Julien, qu'il a vu le travail de son apprenti et que oui, le gamin est bon en plus d'ĂȘtre volontaire.
Il m'annonce que nous le verrons vite puisqu'il a décidé de le tester le WE qui vient, Emma l'ayant prévenu qu'elle avait invité une 20aine de personnes dont nous sommes. Il pourrait s'en débrouiller seul mais ça va lui permettre de voir ce que notre dernier protégé valait.
Curieux de voir Nathan travailler, j'arrive en dĂ©but d'aprĂšs-midi chez Emma. Cette derniĂšre ne se fait pas d'illusion sur la raison de ma prĂ©sence. On travaille quand mĂȘme deux heures ensemble et elle me laisse aller en cuisine chercher le thĂ© ! Nathan ne fait pas attention Ă  moi, accaparĂ© par le travail que Pablo lui a donnĂ© Ă  faire. Je dois aller le voir et quand je lui fais un bisou sur la joue, il manque de se couper. J'ai droit non pas Ă  un " bonjour Sasha " mais plutĂŽt Ă  " merde tu fais chier".
Je pars avec le plateau de thĂ©. Avant de passer la porte, je me retourne et lui dis " ça intĂ©rĂȘt d'ĂȘtre bon sinon c'est ton petit cul qui sera de la fĂȘte ".
La rĂ©ponse de cet impertinent : " arrĂȘte, ça me donnerait peut ĂȘtre envie de rater ! ".
Je me fais mettre dehors par Pablo qui me dit qu'ils ont autre chose Ă  faire qu'Ă  bavarder.
PH arrive avec Ludovic Ă  ce moment-lĂ . ThĂ© puis une petite tĂȘte dans la piscine avant d'aller se doucher et de passer nos costumes.
Je change mon pendentif d'oreille pour le diamant que m'a offert Emma. Avec un costume noir, c'est ce qui fait le moins excentrique. Cravates bleues, quand on sort de " notre " chambre, Emma éclate de rire. On se regarde pour voir ce qui cloche chez l'un ou chez l'autre. Les costumes sont noirs, pas de tùches, les chemises blanches sont bien repassées, les cravates sont droites, je ne vois pas ce qui cloche.
Emma nous entraine dans sa chambre et en rang d'oignon, nous voyons ce qui l'a fait rire. Trois clones ! Tant pis nous restons comme ça. Les invitĂ©s devront se dĂ©brouiller avec nos tĂȘtes diffĂ©rentes.
Les invités arrivent. Avec Emma je les reçois. PH et Ludovic s'assurent de leur cÎté que personne ne se retrouve seul. Nous sommes heureux quand Henri arrive avec Kev. Cela nous promet une nuit sympathique.
Le diner est excellent et Emma ne reçoit que des compliments. L'entrĂ©e est un plat que nous avait encore jamais fait Pablo. Une espĂšce de pĂątĂ© en croute Ă  base de foie gras servi avec un jus de truffe, un vrai rĂ©gal. La surface est croustillante alors que le foie est encore rosĂ© Ă  coeur. Le reste du repas est du mĂȘme niveau. Les discutions portent sur l'actualitĂ© et l'Ă©conomie.
Ma voisine de gauche me demande oĂč j'ai achetĂ© une pierre aussi pure, en parlant de mon pendentif. Quand je cite la place VendĂŽme elle comprend mais elle ne peut s'empĂȘcher de me demander ce qu'en a pensĂ© ma mĂšre. Avec un grand sourire, je lui dis que c'est elle qui me l'a offert. Ça lui clou le bec !
Son mari ré accapare la conversation sur un sujet moins...frivole.
Au café, nous nous écartons un peu avec Kev. On a toujours beaucoup de chose à nous raconter ! Je lui explique pour Nathan qui aide Pablo. Dans ses yeux je vois briller comme de la concupiscence. Il me dit que ce sera sympa de " travailler " une nouvelle recrue.
Je n'avais pas pensé que cela pouvait tourner comme cela mais pourquoi pas. Ce n'est pas Pablo qui sera contre. J'avise discrÚtement Emma que nous comptions finir la nuit chez Pablo. Elle est adorable. Elle me dit que cela tombe bien ils avaient plein de choses à se dire avec Henri. Du coup je suis pressé de voir partir les invités ! Le dernier embarque sa femme vers les 1h du matin. Avec PH, Ludovic et Kev, nous entrons dans la cuisine. Pablo et Nathan sont en train de ranger.
Je m'empare d'une pile d'assiettes et vais pour la ranger. Pablo m'arrĂȘte et me dit qu'il fera ça demain. Kev le fĂ©licite pour son entrĂ©e. Comme ils disent dans les Ă©missions culinaires, il y avait du croquant, du doux avec une pointe d'acide...
Pablo fait la révérence devant Nathan et nous dit que c'est une création de monsieur. Lui qui rougit facilement devient pivoine. Ph lui demande s'il l'a proposé à Julien. Réponse de l'intéressé, il n'avait pas osé et en plus cela demande des ingrédients trÚs chers. Pablo me dit que ça ne l'étonne pas il avait dû le forcer pour qu'il fasse son jus de truffe plutÎt qu'un simple rùpé.
On laisse donc la cuisine rangĂ©e et prenant tout le monde Ă  tĂ©moin je propose un petit bain de minuit passĂ©. Nathan n'ose pas dire oui mais non plus non. Je le pousse devant nous. Aux abords de la piscine les vĂȘtements volent et alors que nos deux hommes de l'art prennent une douche nous autres plongeons dans l'eau chaude du bassin. Nous ne retournerons mĂȘme pas chez Pablo (son appartement au-dessus des garages) pour baiser. La partouze s'initie sur les bords de l'eau. Nathan est subjuguĂ© par les 24cm de Pablo. Je lui dis de bien le sucer car quand il va se le prendre dans le cul, faudra qu'il soit bien lubrifiĂ©. Il me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes, apeurĂ© par l'idĂ©e.
Pour le moment il commence avec Kev et ses " petits " 21cm. Pour éviter des dégùts, je prépare et assoupli sa rondelle. Quand le " travail " est bien avancé, je le laisse et avec Ludovic et PH, nous nous occupons de Pablo. Nous ne sommes pas de trop pour nous occuper de Pablo. 2 sont scotchées sur ses attributs, en pipe à deux ou un sur le gland l'autre aux boules. Le troisiÚme oscille entre sa bouche et ses tétons.         
On alterne, car chacun veut profiter des dimensions hors normes du mec. Avec un gland aussi gros que sa hampe, on a vite la bouche pleine. Heureusement il adore quand on le travaille Ă  la langue. J'aime aussi ajouter mes dents. Puis brusquement, enfoncer le tout au fond de ma gorge. Je m'Ă©touffe avec un effet d'excitation intense.
Alors que je m'Ă©trangle, je sens ma rondelle lubrifiĂ©e par la langue de PH. Je me dĂ©tends avant de m'assoir sur Pablo, enfin sur sa bite. J'ai prĂ©fĂ©rĂ© cette position oĂč c'est moi qui maitrise la pĂ©nĂ©tration. Les petits cris de Nathan en train de se faire ramoner le conduit, m'excitent un peu plus et je touche brutalement les cuisses de Pablo de mes fesses.  Ludovic me roule un patin et PH fait de mĂȘme avec mon enculeur. Cela faisait un moment que je ne m'Ă©tais pris aussi gros dans le cul. J'ai senti passer chacun des 240 mm qui ont Ă©cartĂ© ma rondelle. Je chevauche quelques instants mon " Ă©talon " avant de le passer Ă  PH. A ce moment-lĂ  je rejoins l'autre baise en cours. Nathan est chavirĂ© par les coups de queue de Kev. Je lui roule un gros patin et je sens Ă  la force de son roulage de pelle la plaisir qu'il y prend. Je dĂ©colle mes lĂšvres des siennes pour lui demander s'il Ă©tait prĂȘt pour Pablo. Dans l'ambiance, il accepte et me dit que c'est bon.
Je prĂ©viens Pablo et nous procĂ©dons Ă  la reconfiguration des emmanchements. Nathan s'installe en levrette et Pablo arrive aprĂšs avoir changĂ© de kpote. J'attrape un flacon de poppers et lui fourre sous le nez au moment oĂč Pablo entame la pĂ©nĂ©tration de sa rondelle. Ce n'est pas de trop et malgrĂ© cela l'enculage lui provoque quelques grimaces jusqu'Ă  ce que Pablo soit totalement entrĂ©. AprĂšs il apprĂ©cie. Je reste Ă  sa tĂȘte pour vĂ©rifier qu'il prend bien du plaisir et non de la douleur. Nathan me pousse jusqu'Ă  ce que je sois assis devant lui. LĂ , il attrape ma queue et me pompe. Il laisse les coups de rein de Pablo rythmer sa fellation. Il est bon ce jeune, je l'avais dĂ©jĂ  testĂ© mais ça me confirme ses capacitĂ©s et son intĂ©rĂȘt pour le sexe. Je comprends pourquoi Max et Enguerrand lui ont mis le grappin dessus !
Nous terminons notre mini touze par des expulsions de spermes en direction de Nathan dont nous en couvrons les abdos. Il est 4h du matin quand nous regagnons nos chambres respectives.
PH, Ludovic et moi, nous nous glissons aux cÎtés d'Emma alors que Kev rejoint son Henri et que Nathan suit Pablo.
Jardinier
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it's all about sharing Christmas
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alain-keler · 16 days ago
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Chiquimula, Guatemala. Dimanche 28 février 1982.
 Je suis arrivé au Guatemala en provenance du Salvador le mardi 16 février pour suivre la campagne électorale. J'allais parcourir le pays en proie à une guerre civile, dont on parlait trÚs peu en Europe, le Salvador faisant les "unes" des quotidiens et magazines américains, et dans une moindre mesure des médias européens.
 Le pays est somptueux, mais cassé par cette guerre civile qui dura trente six ans, de 1960 à 1996. Les principales victimes furent les différentes ethnies des indiens maya.
 Il y aura plus de 200.000 morts, des dizaines de milliers de disparus et plus d'un million de déplacés. (Voir le journal du lundi 16 à aujourd'hui).
 Campagne électorale de Mario Sandoval Alarcon et de Lionel Sisniega Otero, candidats respectivement à la présidence et à la vice-présidence pour le parti MLN (Movimiento de Liberacion nacional), parti nationaliste et anti-communiste.
Alarcon se trouve ici dans la ville de Chiquimula, prĂšs de la frontiĂšre avec le Honduras. Cette ville est le fief du candidat conservateur.
 J'ai ressenti dÚs le début de ce meeting qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. La foule composée majoritairement d'indiens semblait enthousiaste, mais beaucoup plus par obligation que par support pour le candidat, comme si elle était surveillée.
 Alarcon a joué un rÎle important dans les assassinats commis par les escadrons de la mort de la "mano blanca", la main blanche. Sandoval était aussi un responsable de la ligue anti-communiste.
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dooareyastudy · 6 months ago
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Impression de gueule de bois post Ă©lectorale non ?
On pourra dire qu'il y a 12 millions de racistes en France, c'est peut-ĂȘtre vrai mais n'oublions pas aussi que nos dirigeants portent une immense responsabilitĂ© dans le rĂ©sultat de ce premier tour.
Voilà le résultat de la politique de casse sociale menée par Macron depuis son premier mandat (et les autres, depuis longtemps). Voilà le résultat d'une politique qui prétend s'adresser aux citoyens et qui ne sert qu'à tenter de relancer la machine de la croissance en France. Voilà le résultat d'une politique qui s'adresse d'abord aux agences de notation et aux créanciers de la France. Voilà le résultat d'une politique qui sacrifie progressivement de plus en plus de gens au sacro-saint marché.
VoilĂ  aussi le rĂ©sultat du discours d'incrimination de la gauche que Macron et ses sbires cherchent Ă  nous faire avaler depuis des mois (s'il faut reconnaĂźtre et lutter contre les problĂšmes de la gauche, c'est bien Ă  *nous* Ă©lecteurs et militants de gauche de le faire, pas Ă  cette bande d'hypocrites de droite). VoilĂ  le rĂ©sultat des ambiguĂŻtĂ©s de Macron, qui se pose en rempart contre l'extrĂȘme-droite mais fait le pique-assiette quand il s'agit d'appeler Ă  voter contre le RN.
Il n'y a rien d'anodin Ă  dire que LFI est un parti antirĂ©publicain aujourd'hui, alors mĂȘme que le RN a clairement affichĂ© et dĂ©fendu des propositions discriminatoires toute cette campagne. RIP notre devise, j'imagine.
Ce n'est pas Ă  Macron et ses pauvres 20 % de faire la police entre qui est un bon alliĂ© et qui ne l'est pas. Les macronistes ont prouvĂ© qu'ils ne l'Ă©taient pas en continuant Ă  soutenir le PrĂ©sident qui nous a foutu dans cette situation dĂ©gueulasse, indirectement par sa politique et directement par cette dissolution dont on ne sait plus si elle relĂšve du calcul politique ou de la pure bĂȘtise.
Bon allez, j'arrĂȘte, j'ai une thĂšse Ă  Ă©crire...
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equipe · 23 days ago
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Les communautés Tumblr sont là !
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La fonction Communautés vous offre une toute nouvelle maniÚre de vous rapprocher aisément des utilisateurs qui partagent vos hobbies. Vous pouvez inviter vos mutus pour échanger avec eux autour de vos obsessions secrÚtes au sein d'une communauté privée, ou bien créer une communauté publique dédiée à un sujet que vous aimez et ensuite contempler avec délectation l'arrivée progressive de nouveaux membres. Et d'ailleurs, à la maniÚre d'un sac sans fond de magicien, les communautés peuvent contenir autant de personnes que vous le désirez (enfin presque
).
Aujourd'hui, la fonction Communautés sort enfin de sa phase de test et s'offre à vous en tant qu'expérience à part entiÚre (tout en continuant à évoluer sous l'impulsion de nos équipes). Toutes nos plateformes sont concernées : que ce soit sur le Web, dans nos applis iOS et Android, et jusqu'aux confins de l'univers.
Vous pouvez crĂ©er une communautĂ© autour de n'importe quel sujet qui vous plaĂźt : l'Art (avec un grand A), Souvenirs de Gravity Falls, le tricot, vos campagnes de D&D, la photographie, de nĂ©buleuses relations, les commu' LGBTQIA, la musique, la science, la mode, le design ou encore Baldur’s Gate 3. En clair : vous ĂȘtes aux commandes de votre destinĂ©e et grĂące Ă  nos prĂ©cieux testeurs en accĂšs anticipĂ©, d'innombrables communautĂ©s vous tendent d'ores et dĂ©jĂ  les bras. Hazbin Hotel ? C'est lĂ . Arcane ? Bien sĂ»r ! The Phandom ? Évidemment !
Comment faire pour se lancer ? 
Pour explorer les communautés existantes : c'est par ici.
Pour rechercher une communauté en particulier, appuyez/cliquez sur l'onglet "Communautés" présent dans la partie haute des résultats d'une recherche.
Vous avez envie de votre propre communauté ? Voilà pour vous !
Enfin, cette page du Centre d'aide devrait pouvoir répondre à toutes les questions que vous pourriez (encore) vous poser.
Nous avons hùte de découvrir de quelle maniÚre vous ferez usage de ce nouveau joujou. Alors, n'hésitez plus et surtout : éclatez-vous !
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sabinerondissime · 2 months ago
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Les chĂątaignes, appelĂ©es Ă  tort "marrons", sont pour moi une vĂ©ritable gourmandise, quelle que soit leur prĂ©paration. Aller les ramasser sur les sentiers de campagne fait partie de ces plaisirs simples et prĂ©cieux de l'automne. Mais le meilleur reste de les griller au coin du feu, en savourant leur chaleur et leur goĂ»t unique, mĂȘme si cela implique de se brĂ»ler un peu les doigts. Impossible de rĂ©sister Ă  ce petit plaisir sans consĂ©quence !
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thebusylilbee · 3 months ago
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Durant l’étĂ© 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scĂšne la dĂ©molition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans prĂ©cĂ©dent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice gĂ©nĂ©rale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dĂ©nonce alors « un crime intolĂ©rable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communautĂ© internationale n’avait pourtant pas exprimĂ©, durant les quatre annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, une indignation comparable face aux ravages infligĂ©s par le rĂ©gime de Bachar Al-Assad Ă  l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait Ă©tĂ© dĂ©figurĂ©e, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’ApamĂ©e Ă©tait livrĂ© aux pillards et mĂȘme Palmyre avait dĂ©jĂ  souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spĂ©cifique, mais plutĂŽt comme une consĂ©quence de la brutale rĂ©pression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion Ă©tait entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, Ă  la diffĂ©rence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dĂ©gĂąts collatĂ©raux d’une campagne qualifiĂ©e d’« antiterroriste ».
C’est le mĂȘme registre qui permet Ă  l’armĂ©e israĂ©lienne d’attĂ©nuer l’impact des coups portĂ©s au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censĂ©e, depuis un an, conduire Ă  la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se dĂ©roule loin du regard de la presse Ă©trangĂšre, interdite d’accĂšs Ă  Gaza, et qu’elle a dĂ©jĂ  causĂ© la mort de prĂšs de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignĂ©e n’a pu ĂȘtre opĂ©rĂ©e qu’en rĂ©duisant l’enclave palestinienne Ă  n’ĂȘtre qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par lĂ  mĂȘme son histoire plurimillĂ©naire. L’oasis de Gaza a nĂ©anmoins Ă©tĂ© depuis la plus haute AntiquitĂ© un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoitĂ© par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. DĂšs la fin du IIe millĂ©naire avant notre Ăšre, Gaza constitue, avec quatre autres citĂ©s, aujourd’hui situĂ©es en territoire israĂ©lien, une fĂ©dĂ©ration dĂ©nommĂ©e Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en Ă©cho de cette Philistie que, des siĂšcles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armĂ©e israĂ©lienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 Ă  2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la dĂ©fense de 1967 Ă  1974, organise mĂȘme des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siĂšcles avant notre Ăšre, est acquis par Moshe Dayan, avant d’ĂȘtre cĂ©dĂ© par ses hĂ©ritiers. Il est dĂ©sormais exposĂ© Ă  JĂ©rusalem, dans la section archĂ©ologique du MusĂ©e d’IsraĂ«l, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prĂ©dation prĂ©servait malgrĂ© tout les Ɠuvres concernĂ©es, alors que les ravages infligĂ©s par IsraĂ«l Ă  l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une annĂ©e de bombardements, sont d’une ampleur inĂ©dite : non seulement les douze universitĂ©s de l’enclave palestinienne ont toutes Ă©tĂ© dĂ©truites, totalement ou partiellement, mais la majoritĂ© des mosquĂ©es et des Ă©glises du territoire ont aussi subi le mĂȘme sort, alors que certaines Ă©taient porteuses d’une histoire plurisĂ©culaire. La masse des dĂ©bris accumulĂ©s atteint d’ores et dĂ©jĂ  la proportion affolante de 300 kilogrammes par mĂštre carrĂ©.
L’inventaire d’un patrimoine bombardĂ©
Le monde acadĂ©mique, entre autres en France, a multipliĂ© les initiatives face Ă  un tel dĂ©sastre. C’est ainsi que l’archĂ©ologue RenĂ© Elter a prĂ©sentĂ© au Louvre, en avril, devant un amphithĂ©Ăątre comble, les actions de prĂ©servation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a Ă©tĂ© consacrĂ©, en septembre, Ă  Paris, au dĂ©fi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spĂ©cialistes de l’Ecole biblique et archĂ©ologique française de JĂ©rusalem, engagĂ©s depuis des dĂ©cennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, aprĂšs des mois de travaux prĂ©paratoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir Ă  la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrĂ©s et une fiche explicative dĂ©taillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accĂšs aux bases de donnĂ©es pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchĂ©e par un bombardement israĂ©lien, le 19 octobre 2023, avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© endommagĂ©e lors de l’offensive israĂ©lienne de l’étĂ© 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siĂšcle, est censĂ© abriter la tombe de l’ancien Ă©vĂȘque de Gaza, Porphyre, canonisĂ© pour avoir christianisĂ© la citĂ© au dĂ©but du Ve siĂšcle.
D’autres fiches sont consacrĂ©es Ă  des sites plus contemporains : les cimetiĂšres militaires regroupant, Ă  Gaza comme Ă  Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombĂ©s, en 1917-1918, durant la conquĂȘte britannique de la Palestine ; le siĂšge de la municipalitĂ© de Gaza, installĂ© en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinĂ©mas Samir et Nasr, qui ont marquĂ© la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siĂšcle. Un tel inventaire est, Ă  bien des Ă©gards, prĂ©cieux pour apprĂ©cier la diversitĂ© de l’immense patrimoine de Gaza, au moment mĂȘme oĂč il est en train de disparaĂźtre sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
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asofterepilogue · 7 months ago
Note
Et le député lfi qui fait compagne sur tinder

Maudet ? Franchement c'est con mais c'est tellement loin d'ĂȘtre le pire. C'est sĂ»r que ça dit quelque chose de l'Ă©tat de la France, mais perso ce qui m'inquiĂšte le plus c'est plutĂŽt la vĂ©hĂ©mence de la haine des idĂ©es de gauche dans leur ensemble. On en est quand mĂȘme Ă  entendre tous les abrutis du monde dire que LFI c'est l'extrĂȘme-gauche (donc le diable), critiquer IsraĂ«l c'est antisĂ©mite, faudrait dissoudre le NPA et mĂȘme LFI !
Je rappelle que le programme actuel du NFP fait d'Ă©normes concessions Ă  l'aile droite du PS (dĂ©jĂ  pas super super Ă  gauche), et est mĂȘme pas aussi "radical" que ce que le PS lui-mĂȘme a pu dĂ©fendre au siĂšcle dernier. Mais toute la fenĂȘtre d'acceptabilitĂ© a tellement glissĂ© Ă  droite qu'on peut entendre sans sourciller qu'il n'y a pas de honte Ă  avoir Ă©tĂ© dans la Waffen-SS, l'homophobie c'est surtout Ă  gauche, faudrait faire barrage aux "extrĂȘmes", si t'es juif tu seras plus en sĂ©curitĂ© avec le parti des nazis qu'avec la gauche, etc. Par contre dire que tu veux taxer les plus riches c'est limite staliniste.
La campagne sur Tinder, pour moi c'est juste un autre symptĂŽme de l'anti-intellectualisme gĂ©nĂ©ral, mais ça a rien de nouveau, et c'est malheureusement pas un problĂšme spĂ©cifique Ă  LFI. Évidemment que je prĂ©fĂ©rerais qu'ils s'y adonnent moins, mais je comprends que quand tes concitoyens sont cons au point de gober tout ce que BFM raconte et de voter Bardella parce qu'il est sexy (đŸ€ź) sur Tiktok (comme certains ont votĂ© Macron pour les mĂȘmes raisons en 2017 hein), Ă  un moment tu te dis "si ça marche, pourquoi pas moi". Je pense que c'est une erreur Ă  long-terme et qu'elle risque de leur coĂ»ter cher comme leurs compromis pour l'alliance leur ont coĂ»tĂ© et vont continuer de leur coĂ»ter cher, mais en vrai peu importe comment ils font campagne, Ă  moins d'arriver Ă  racheter 15 chaĂźnes avec des frĂ©quences publiques, ils vont toujours se faire cracher dessus au nom du maintien du statu quo. Quand t'es le seul parti (hors extrĂȘme-gauche) Ă  proposer quelque chose qui s'apparente Ă  un changement, et que ta feuille de route est sourcĂ©e et crĂ©dible en plus, Ă©videmment que tous les petits bourgeois et autres delulu en attente d'un hĂ©ritage imaginaire d'un oncle en AmĂ©rique vont te tomber dessus, quitte Ă  se vautrer dans le bon vieux "plutĂŽt Hitler que le Front Populaire", quitte Ă  renier tous les idĂ©aux de gauche, quitte Ă  inventer les pires idioties sans aucune preuve. Et comme en plus beaucoup de Français sont rĂ©acs de base, et qu'il est toujours plus facile de se recroqueviller sur son petit moi en trouvant des boucs-Ă©missaires que d'imaginer un autre monde, c'est avec dĂ©lectation qu'ils lĂšchent les bottes de l'extrĂȘme-droite et de ses alliĂ©s (Macron compris).
Je préfÚre pas relever les petites idioties de LFI actuellement parce que 1) les autres partis font pareil quand ils ne font pas pire, 2) y a bien plus grave, et 3) dans le climat actuel, je pense pas particuliÚrement utile d'en rajouter sur le dernier parti de gauche qu'il reste.
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alihosty · 6 months ago
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peut-ĂȘtre on est chez les fous je sais pas, depuis quand c’est devenu normal de soutenir un parti nazi, courage Ă  nous les camarades, encore 5 jours de campagne, il faut tout donner, on ira se battre dans la rue pour notre pays s’il le faut
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cheminer-poesie-cressant · 10 months ago
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(petite histoire poétique du cinéma, Une partie de campagne, Jean Renoir)
les visages questionnaient les lumiĂšres ; la lumiĂšre Ă©pousait le vertige des sentiments ; et le divin se taisait dans cet Ă©change de silence, de peur de briser l’image, ses mots superflus
© Pierre Cressant
(dimanche 20 novembre 2022)
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ekman · 2 months ago
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‱ C‘est quand mĂȘme fantastique qu’une vieille dĂ©mocrature comme les États-Unis accepte encore de promouvoir des maniĂšres de votation que seul un dictateur africain soucieux de son image pourrait encourager. Totalement ouvert Ă  toutes les gruges, qu’elles soient technologiques ou archaĂŻques, ce systĂšme fait penser au rĂ©seau Ă©lectrique aĂ©rien des villes amĂ©ricaines : incomprĂ©hensible, piratable et finalement trĂšs moche.
‱ Oui, bien sĂ»r, nous avons tous goĂ»tĂ© avec plaisir au cocktail de larmes des totalitaro-minoritaires qui composent principalement les rangs de la gaucherie amĂ©ricaine, idiots trĂšs utiles de Wall Street et de l’État profond. Baptisons-le “Kamala Dry” ! Cette merveilleuse amertume, cette haine transparente, cette pensĂ©e toute en glace, pilĂ©e et repilĂ©e... Et cette olive au milieu, plantĂ©e lĂ  comme une couillette de vegan dĂ©construit. Quel pied.
‱ Que ceux qui se rĂ©jouissent de la consĂ©cration du homard blond se calment. Son arrivĂ©e aux manettes, doublĂ©e de sa capacitĂ© camĂ©rale Ă  gouverner, va vite se solder par pas grand-chose. L’AmĂ©rique reste l’AmĂ©rique, Ă  savoir un bateau ivre n’admettant sur la passerelle que les sĂ©pulcraux dĂ©tenteurs des fortunes construites sur les guerres incessantes et la ruine voulue des modestes et des naĂŻfs. Il y aura bien quelques plombs qui vont sauter, histoire de faire fonctionner les soupapes. Un peu de mĂ©dia par ici, un peu d’Epstein par lĂ . Une pointe de woko-trostskystes. Et tout rentrera dans l’ordre.
‱ Les seuls qui ont dormi sur leurs deux oreilles le 5 novembre, ce sont les IsraĂ©liens. Un peu Ă  gauche, un peu Ă  droite : ce sera toujours bon pour eux.
‱ Kamala devait gagner parce qu’elle Ă©tait vaguement noire, sĂ»rement mĂ©tisse, vraiment femme et super, super cool. Elle a perdu pour toutes ces raisons, parce qu’aux États-Unis, les Blancs, les Noirs, les Latinos – et encore quelques autres – refusent que le pays sur lequel sont posĂ©s leur vie et leurs espoirs devienne un club de tarĂ©s transgenres et d’homos colĂ©riques se faisant livrer des pizzas vĂ©ganes par des esclaves guatĂ©maltĂšques sans papiers. Ils voulaient de l’autoritĂ©, de l’ordre, du sens. Ils ont donc virĂ© Kamala et son rire hystĂ©rique.
‱ Poutine commence son Ă©chauffement et Zelensky ses valises. EspĂ©rons que Vlad-l’Empaleur tiendra ses engagements et qu’ils poussera son avantage jusqu’à rejoindre tous ses objectifs de campagne.
‱ Wonder-LahyĂšne rĂ©flĂ©chit au moulage d’un nouveau brushing et Ă  une aspersion massive d’auto-bronzant. Ça pourrait marcher ? Was ?
‱ La rĂ©action de MLP est explicite. Feindre l’indiffĂ©rence face au succĂšs Ă©clatant de Donald, c’est vouloir faire oublier que la normalisation mĂ©diatique de son parti (appelĂ©e “dĂ©diabolisation” par les marketeurs) est un non-sens politique doublĂ© d’une impasse fatale.
‱ Les cultivateurs et paysans français continuent de disparaitre par ruine ou pendaison, souvent les deux. D’ailleurs, Kamala ou Donald, ça ne change rien pour eux puisqu’on a toujours Macron et ses donneurs d’ordre europĂ©istes.
‱ Je serais Robert Kennedy Junior, je m’habituerais Ă  porter une belle ramure afin de prĂ©server mes cervicales.
‱ Volkswagen et Michelin (comme beaucoup d’autres) ferment des usines et licencient. Pour sauver l’industrie qu’elle est entrain de dĂ©truire, la Commission bruxelloise va lourdement taxer les piles Ă  roues chinoises. Mais quasiment pas les Tesla. “Great Again” on vous a dit.
‱ CNN rĂ©alise un acte de contrition presque jamais vu Ă  la tĂ©lĂ©vision amĂ©ricaine. “On a vraiment merdĂ© en racontant des fictions et en dĂ©fĂ©quant massivement sur la tĂȘte des sans-dents. Pardon, les gars”. Une façon plutĂŽt de grossiĂšre de tenter de sauver ses meubles face Ă  la trĂšs prochaine administration.
J.-M. M.
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swedesinstockholm · 1 month ago
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21 août
j'ai rĂȘvĂ© que je nageais avec une baleine dans une piscine trĂšs profonde. le plafond Ă©tait trĂšs haut parce qu'elle a sautĂ© hors de l'eau et ça m'a entrainĂ©e vers le fond mais ça allait parce que je m'Ă©tais prĂ©parĂ©e, j'avais pris une grande inspiration juste avant. j'Ă©tais complĂštement impuissante contre le courant, j'Ă©tais projetĂ©e dans tous les sens mais j'avais pas peur. puis j'ai jailli hors de l'eau jusqu'au plafond et je me disais c'est dommage qu'y ait ce plafond quand mĂȘme.
l'autre jour j'ai rĂȘvĂ© du libraire d'exc ou l'ex-libraire d'exc puisqu'il a Ă©tĂ© licenciĂ©, quand il l'a annoncĂ© sur ig je lui ai envoyĂ© un extrait de mon journal oĂč je parle de lui ultra cringe x1000 mais j'ai pas pu m'en empĂȘcher. parfois je peux pas stopper le cringe. dans le rĂȘve on parlait d'argent, il me demandait si j'en avais assez pour finir le mois et pour manger Ă  ma faim, je disais oui oui ça va mais je me sentais un peu coupable de lui avoir fait croire que j'Ă©tais dans le besoin alors que je suis pas pauvre, j'arrive juste pas Ă  travailler.
hier dans le tram 68 pour alt-schmöckwitz, la plus belle ligne de la ville d'aprĂšs reddit, j'ai de nouveau Ă©tĂ© aspirĂ©e par le gros trou du nihilisme. Ă  quoi bon? Ă  quoi ça sert d'ĂȘtre Ă  berlin si j'arrive pas Ă  vivre? j'avais mon sentiment d'irrĂ©parabilitĂ©, rien Ă  faire, ça fonctionnera jamais. je sentais l'usure. je me sens usĂ©e jusqu'Ă  la moelle par ma stagnation (je fais trainer mes os marrons, ça fait un bruit de rouille). j'ai croisĂ© n. dans la cuisine ce matin et elle m'a dit que ça l'avait dĂ©primĂ©e de revenir Ă  berlin hier soir. elle a dit que ça lui faisait ça Ă  chaque fois qu'elle rentrait Ă  berlin. elle a passĂ© les deux derniĂšres semaines chez sa mĂšre Ă  la campagne, lĂ  elle vient de repartir pour la pologne. je pensais qu'elle aimait berlin moi. peut ĂȘtre que ça sert Ă  rien de me laisser du temps et de laisser du temps Ă  la ville pour me sĂ©duire. peut ĂȘtre que berlin ne veut pas me sĂ©duire. peut ĂȘtre que je sous-estime mon intuition et ma capacitĂ© Ă  savoir ce que je veux et ce qui me convient et que ça sert Ă  rien de se forcer. comment savoir? dans tous les cas, avant de partir d'ici je dois savoir exactement ce que je vais faire aprĂšs. avoir un plan avant de me retrouver Ă©chouĂ©e Ă  la maison comme une baleine en fin de vie. continuer Ă  essayer. ne pas cĂ©der au trou. mĂȘme si ça glisse.
hier pour rentrer j'ai longĂ© les rails du tram jusqu'Ă  grĂŒnau, ils longeaient la forĂȘt d'un cĂŽtĂ© et la riviĂšre de l'autre, cachĂ©e par la vĂ©gĂ©tation et puis des bĂątiments. sur la derniĂšre partie ils passaient au milieu de la forĂȘt de pins et je les longeais sur un petit sentier en marchant sur les pommes de pin qui craquaient sous mes baskets. j'Ă©tais soulagĂ©e de pas avoir peur. je me sentais bien en compagnie des grands pins au dessus de moi et j'ai commencĂ© Ă  chantonner une chanson inventĂ©e. j'ai pris la s bahn pour rentrer avec un sentiment de satisfaction et je suis restĂ©e dedans sans bouger jusqu'au terminus parce que j'avais pas envie de rentrer. je voulais aller voir love lies bleeding au cinĂ©ma et boire un coca, comme petit cadeau Ă  moi-mĂȘme, mais le film passait trop tard et puis mon short Ă©tait sale parce que je m'Ă©tais assise sur des racines au bord de l'eau et je me sentais pas prĂ©sentable. alors j'ai pris la ringbahn dans l'autre sens et j'ai fait le tour complet de la ville avec. dans stranger on a train jenny diski fait le tour des Ă©tats-unis en train dans une tentative de n'ĂȘtre personne, Ă  part une Ă©trangĂšre dans un train. quand elle Ă©tait petite elle passait ses journĂ©es Ă  faire le tour de londres dans la circle line parce qu'elle voulait pas rentrer Ă  la maison.
23 août
de retour au treptower park. je me suis forcĂ©e Ă  sortir alors que j'Ă©tais en train d'Ă©crire de la POÉSIE ça y est je suis sortie du creux de la vague ça revient et ça m'enthousiasme, mais j'ai besoin de l'ordi pour ça, ce qui veut dire rester enfermĂ©e dans ma petite chambre sur mon canapĂ© moyennement confortable. mais je suis contente que ce soit revenu. je viens de lire un petit zine que n. m'a passĂ© avant de partir en disant tiens ça devrait t'intĂ©resser. j'y ai appris que berlin  dormait dans le lit d'une ancienne riviĂšre glaciaire et qu'elle avait Ă©tĂ© construite sur un marais. son nom veut littĂ©ralement dire "l'endroit dans le marais" (berl veut dire marais dans une langue slave). est-ce que c'Ă©tait une bonne idĂ©e d'aller vivre sur un marais alors que j'essayais d'Ă©chapper Ă  mon marais figurĂ©? est-ce que j'ai quittĂ© un marais pour un autre?
hier j'ai fait du shopping. c'Ă©tait bien. le shopping est une valeur refuge. j'ai fait que trois ou quatre magasins et j'ai achetĂ© deux robes. la premiĂšre Ă  quatre euros, dans une des seules friperies encore abordable de la ville et la deuxiĂšme Ă  quinze euros dans une friperie au kilo. je la trouvais trop chĂšre parce qu'elle est un peu usĂ©e et on dirait qu'elle a Ă©tĂ© cousue et recousue Ă  la main Ă  l'arrache, les ourlets Ă  l'intĂ©rieur sont tout effilochĂ©s. je l'ai essayĂ©e deux fois en me prenant en photo sous toutes les coutures dans le miroir lĂ©gĂšrement amincissant de la cabine, bien jouĂ© le magasin parce que j'Ă©tais trop belle sur les photos et ça m'a incitĂ©e Ă  la prendre. elle a une coupe de robe tennis courte sans manches avec une encolure en v et surtout elle est en velours orange. je l'ai lavĂ©e Ă  la main dans une bassine en rentrant. je dĂ©teste laver Ă  la main mais c'Ă©tait agrĂ©able de faire un truc aussi domestique, chez moi. j'avais l'impression de m'approprier l'appartement en faisant ça. plus qu'en faisant une machine par exemple. peut ĂȘtre que c'est une histoire de geste ancestral. la deuxiĂšme est une robe longue noire Ă  pois blancs et je m'adore dedans. je crois que la derniĂšre fois que j'ai achetĂ© une robe c'Ă©tait en 2016, Ă  berlin aussi, quand j'avais les cheveux trĂšs courts et que j'Ă©tais en crise de genre. j'arrivais pas Ă  concilier mes cheveux courts avec des habits fĂ©minins ni avec mes formes fĂ©minines, j'aimais pas le mĂ©lange des deux, et en mĂȘme temps j'essayais quand mĂȘme de me fĂ©miniser parce que j'assumais pas de ressembler Ă  une lesbienne. alors que c'Ă©tait prĂ©cisĂ©ment ce que je voulais. Ă©videmment c'Ă©tait vouĂ© au dĂ©sastre.
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camisoledadparis · 13 days ago
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saga: Soumission & Domination 358
Les petits frĂšres
Enguerrand, Max, Nathan - JoĂŁo, Romain
La fin d'année approche en ce qui concerne ma " troupe " et mes amours, tous passent en année supérieure.
En ce qui concerne " les petits ", leur année s'est mieux terminée qu'elle n'avait commencée. Surtout pour Enguerrand.
EntrainĂ© par Max, il finit dans les 5 premiers de son cours et peut intĂ©grer finalement la terminale S rejoint par Max qui quitte son lycĂ©e public. Il n'a pas fallu discuter beaucoup avec ses parents pour les convaincre que ce serait plus simple qu'ils soient tous les 2 dans le mĂȘme bahut.
Nathan lui aussi termine en beautĂ©. Pour la pratique il n'y avait pas de problĂšme mais pour la partie acadĂ©mique, le renfort/bachotage exercĂ© par ma paire de " petits frĂšres " l'a propulsĂ© lui aussi en tĂȘte de son annĂ©e. Julien en est aussi fier que si c'Ă©tait son propre fils.
Ils sont tous les trois tout bronzés déjà. Malgré mon scepticisme, leurs révisions en maillot de bain autour de la piscine parentale (Max) ou bien sur notre terrasse rendent autant en bonnes notes qu'en prises de hùle. Et bien que quand ils sont chez moi ils bronzent à poil, leurs petites fesses restent un ton en dessous du reste de leur corps. Ludovic, PH et moi les suivons de prÚs sauf coté fesses que nous gardons les plus blanches possibles. J'aime le contraste, je trouve cela plus sexy encore.
Nathan n'a droit qu'Ă  3 semaines de congĂ©s cet Ă©tĂ© mais au vu de ses bons rĂ©sultats, Julien est tout prĂȘt Ă  faire un effort. Pour Ă©viter que ça pĂšse sur les finances de sa boutique, je lui propose de prendre en charge les semaines supplĂ©mentaires. Car si je compte bien les petits comptent nous accompagner en Espagne pour les 3 semaines Ă  SitgĂšs et ils ont prĂ©vu de continuer chez les parents d'Enguerrand. Ils espĂšrent bien aussi venir passer un sĂ©jour Ă  notre campagne Ă  nous. Je ne sais pas comment ils se sont dĂ©brouillĂ©s mais finalement ils arrivent Ă  arracher Ă  Julien 3 semaines supplĂ©mentaires dĂ©but aoĂ»t pour Nathan.
Donc si je rĂ©flĂ©chis, du 13 juillet au 1er aoĂ»t en Espagne, du 3 au 23 aoĂ»t en majoritĂ© chez les parents d'Enguerrand et le reste avec nous. Ils vont ĂȘtre bien malheureux cet Ă©tĂ© !!
Pour JoĂŁo et Romain, mĂȘme rĂ©gime exception faite du sĂ©jour Ă  la " ferme ". Je ne vais quand mĂȘme pas les laisser tout l'Ă©tĂ© en ville ! MĂȘme si jusque-lĂ  c'Ă©tait leur rĂ©gime de vacances, sauf pour Romain qui passait quelques semaines Ă  encadrer des ados. Pour ces derniers, ils ont en plus les " vacances clients ". Pour eux, les demandes se bousculent mais cette annĂ©e, je vais pouvoir fournir tous les clients demandeurs ce qui n'Ă©tait pas le cas les Ă©tĂ©s prĂ©cĂ©dents.
Ils sont réservés tous les deux pour la premiÚre quinzaine d'août. João partira sur le Portugal, alors que Romain, lui, participera à une croisiÚre sur la méditerranée en 1ere classe bien sûr !
Ils sont un peu déçus d'avoir Ă  se sĂ©parer mais quand je leur ai donnĂ© le montant de leurs salaires, ils se sont rapidement fait Ă  l'idĂ©e ! 15 jours, 24h/24, full service, Ă  30 " kilo ", ça console d'ĂȘtre Ă©loignĂ© de son chĂ©ri !
La triplette (Max + Enguerrand + Nathan) est excitée de nous accompagner à SitgÚs. Ils connaissent Ernesto et pour certains Pablo et du coup ils se font des plans sur la comÚte.
Max a été trainer sur internet et, avec Enguerrand, ils ont achetés pour eux trois une 15aine de maillots de bain tous plus sexy les uns que les autres. ES, Addicted, Funky Trunks, Rufkskin et autres Mundo-UNICO sont parmi les marques qu'ils ont sélectionnées.
Ils nous font un vĂ©ritable dĂ©filĂ© pour nous les montrer. Nathan, aprĂšs quelques semaines de retenue, s'est finalement lĂąchĂ© avec ses deux amoureux. Il ne lui a pas fallu longtemps pour me demander de le loger les semaines oĂč il est au lycĂ©e professionnel. Enfin une semaine ! Car aprĂšs, il a pris ses quartiers chez les parents de Max lui aussi. La mĂšre est enfin au courant de la sexualitĂ© de son fils.
Elle m'a convoqué dÚs le lendemain de l'annonce de son fils. Persuadé qu'avec l'influence que j'ai sur son rejeton, j'allais pouvoir le raisonner.
AprÚs avoir fait le point avec son mari et son fils sur ce qu'ils m'autorisaient à dire/dévoiler/avouer, j'ai accepté de la rencontrer. Merde, je suis pas psy ! J'ai pas toutes les clés et ne détient pas non plus la vérité vrai ! Ce n'est que parce qu'ils ont insisté que j'ai accepté.
Me voilà face à une mÚre larguée, n'ayant pas vu le coup venir et désemparée avec des aprioris des années 50 sinon plus anciens encore. Je la laisse parler. Elle me sort tous les poncifs sur les homos, Sida, MST, follasse... Quand elle reprend son souffle, je lui demande si tout ce qu'elle vient de me dire correspond à son fils ou à ses deux amis.
Elle rĂ©flĂ©chit 5 minutes puis admet que non, les trois garçons ont une attitude irrĂ©prochable quand ils sont chez elle. Puis elle se souvient qu'ils dorment tous dans la mĂȘme chambre. Elle me dit qu'elle est persuadĂ©e qu'ils font des trucs cochons.
Je la regarde et lui demande si quand elle est dans sa chambre avec son mari, ils ne faisaient pas eux aussi des " trucs cochons ".
Evidemment lĂ , pour elle, ce n'est pas la mĂȘme chose, elle l'aime son mari.
Quand je lui dis que c'est tout pareil pour les trois garçons, elle fond en larmes et me dit qu'ils vont ĂȘtre malheureux.
Là elle commence à m'énerver sérieusement. Je l'attrape par les épaules, la fixe dans les yeux et lui dis que je vis avec 4 hommes que j'aime tous comme un fou et que je suis trÚs heureux et eux aussi.
Elle me regarde comme si j'Ă©tais malade. Je me lĂšve, tourne sur moi-mĂȘme et lui demande si je suis anormal.
Elle avoue que non et qu'en plus j'ai réellement eu une influence heureuse sur son fils. Avec son mari, ils ont cru un moment qu'il allait mal tourner.
Je lui rappelle que l'homosexualité n'est ni une tare, ni une maladie et encore moins une honte.
Là, elle me dit qu'elle ne connait pas d'autre homosexuel. Je lui cite quelques acteurs connus et quelques hommes politiques de droite comme de gauche. Elle est éberluée, n'ayant jamais fait attention à la vie privée des peoples, elle n'en savait rien.
Puis elle passe sur le registre façade sociale. Que va-t-elle dire à ses amies.
Je lui conseil rien ou la vĂ©ritĂ©. On est plus au moyen-Ăąge. Et certaines de ses amies ont peut-ĂȘtre aussi des enfants gays !
Quand on se sĂ©pare, elle est d'accord pour ne pas penser Ă  l'homosexualitĂ© comme une maladie, de laisser son fils vivre sa vie mĂȘme si en ce moment c'est avec Ludovic et Nathan.
Elle me demande juste si elle peut me téléphoner en cas de besoin. J'accepte mais lui dis que c'est avec son fils qu'elle devrait parler.
Petit compte rendu téléphonique avec son mari et à la triplette qui passe au blockhaus avant de rentrer chez les parents de Max.
Je leur fait un résumé et leur conseille de faire en sorte que leur comportement prouve à la mÚre de Max qu'ils sont sérieux dans leur amour, qu'ils évitent les pelles de 10mn devant ses yeux surtout si ça fini en malaxage de bite.
Ils Ă©clatent de rire et me disent qu'ils n'ont jamais fait ça mĂȘme chez les parents d'Enguerrand qui eux savent pour les trois.
Quand Marc est en dĂ©placement il nous arrive (PH, Ludovic et moi) de les accompagner Ă  la ferme. Ils sont ravis car depuis notre premier " Ă©cart " (cf. J_SD353 et 354), ils sont toujours partants pour une touze familiale. CĂŽme a beau ĂȘtre hĂ©tĂ©ro, comme par hasard, il est toujours lĂ  ces WE. Il ne rechigne plus Ă  baiser avec nous 6.
La propriĂ©tĂ© des parents des trois frĂšres est belle mais il manquait quand mĂȘme l'essentiel surtout avec les beaux jours : une piscine !
Les deux ainĂ©s trouvent lĂ  une occasion de dĂ©penser un peu l'argent qu'ils ont gagnĂ©s (surtout CĂŽme car Ludovic ne fait pas beaucoup de prestation. AprĂšs tout c'est mon amour !!). Mi-mai, nous trouvons un grand modĂšle hors sol montants bois (11,3 x 5 x 1,40) rectangulaire que nous sommes obligĂ©s d'enterrer Ă  moitiĂ©. Ce qui est bien de l'exploitation, c'est qu'une bonne partie du matĂ©riel est dĂ©jĂ  lĂ . Mais c'Ă©tait sans compter Dorian (Second). Quand il apprend ce que nous voulons faire, il s'impose pour l'installation. Un premier WE nous creusons et coulons la dalle destinĂ©e Ă  supporter la piscine. Elle sĂšche le temps que le kit arrive. 3 semaines plus tard, nous montons le bassin. Heureusement que Dorian est lĂ . Son expĂ©rience nous est bien utile surtout quand l'eau commence Ă  remplir la piscine et qu'il faut dĂ©plisser le liner en mĂȘme temps.
Je participe en offrant la pompe à chaleur destinée à optimiser la température de l'eau. Les tuyaux enterrés, nous pouvons éloigner le local technique.
Quand nous pouvons enfin nous plonger dans l'eau, c'est parfait. Les parents ne savent comment nous remercier car eux mĂȘme profitent bien de cette nouvelle installation principalement en soirĂ©e.
En maillots, ils font beaucoup plus jeunes que leur style classique ne le laissait supposer. Ils n'ont qu'une petite 40aine finalement ! Monsieur c'est CĂŽme avec 25 ans de plus, bel homme et gros paquet lui aussi ! MĂȘme s'il est plus short de bain que slip ou shorty, quand il sort de l'eau et que le tissu se colle Ă  ses reliefs c'est trĂšs net. Madame est trĂšs fine malgrĂ© ses trois grossesses. Pas de vergetures, pas de cellulite et encore moins de ventre, des seins moyens mais raccords avec son physique tout comme ses hanches marquĂ©es mais pas trop.
D'ailleurs la premiĂšre fois oĂč ils sont venu nous rejoindre dans l'eau, mĂȘme leurs fils les ont sifflĂ©s !
Bien, c'est sympa mais le plus agrĂ©able c'est quand mĂȘme nos petites parties communes de jambes en l'air comme dirait madame. Nous avons trouvĂ© d'autres lieux de baise depuis notre premiĂšre dans le pailler. Il faut dire qu'une grande exploitation regorge de recoins. Mais il faut compter avec les odeurs qui en rĂ©duisent le nombre. Le bĂątiment des silos Ă  grain est pas mal non plus mais un peu poussiĂ©reux. Notre endroit prĂ©fĂ©rĂ© reste la rĂ©serve de paille avec ses bottes rectangulaires. Depuis notre premier " Ă©garement ", nous avons privilĂ©giĂ© le haut de l'empilement. Comme ça si le paternel dĂ©barque, nous aurions le temps de nous dĂ©coller et rhabiller.
En attendant, CĂŽme nous a trouvĂ© de veilles mais propres couvertures Ă  poser sur la paille pour Ă©viter les griffures de brins. Ces rĂ©unions quasi familiales nous font tous bander Ă  mort. Les trois frĂšres ne font plus de cas de leurs liens et prennent autant de plaisir entre eux qu'avec nous. On ressent mĂȘme une tendresse particuliĂšre quand ils font l'amour entre eux. Les regards, les caresses, les pelles qu'ils se roulent sont toujours plus doux qu'avec nous !
Je les aime tous les trois, Ludovic beaucoup plus. Mais la premiĂšre fois oĂč j'ai laissĂ© Enguerrand m'enculer, je crois bien que c'Ă©tait comme si je lui avais donnĂ© le graal. Il m'avait dĂ©jĂ  vu me faire dĂ©foncer la rondelle par Ludovic et CĂŽme. Et je crois bien qu'il en mourrait d'envie lui aussi. Pour preuve sa fougue Ă  me monter ! Ses 19x5 (hĂ© oui, il grandit encore le petit) me paraissent 22 au moins vu comme il se dĂ©mĂšne. Il se couche sur mon dos (on Ă©tait en levrette) il cesse un instant ses va et vient pour me glisser un " merci" dans l'oreille. Il me cueille. Je me retourne et me place sur le dos les jambes relevĂ©es et Ă©cartĂ©es pour qu'il revienne me planter. Quand il est bien profondĂ©ment enfoncĂ© dans mon trou, je replie les jambes autour de ses hanches pour l'emprisonner et tire sa tĂȘte vers moi. J'approche son visage tout prĂšs du mien. On reste un moment Ă  se regarder dans les yeux tout pendant qu'il me laboure la rondelle avec efficacitĂ©. Puis je le tire un peu plus. Nos lĂšvres se touchent. Il est vraiment craquant. Je comprends Max et Nathan, tout comme ses deux frĂšres.
Je souffle " sale gamin " avant d'ouvrir la bouche et de sortir ma langue à la rencontre de la sienne. Nous échangeons un baiser fiévreux. Alors que nous sommes tout prÚs de " partir ", Enguerrand sort de moi et vient s'assoir sur moi ou plutÎt sur ma queue. Il me regarde et me dit que finalement il se sent mieux dans ce sens-là. Pour plaisanter je lui demande si mon cul était trop " vieux ". Il pique un fard me dit " non, mais tu comprends, tu seras toujours celui qui m'a dépucelé " (enfin ! façon de dire).
Je le laisse me chevaucher et il ne nous faut plus beaucoup de temps pour exploser, moi dans son cul lui sur mes abdos. Comme les autres n'ont pas terminĂ©, il se coule sous mon bras et pose sa tĂȘte sur mes Ă©paules.
J'essaye alors de remettre les pendules à l'heure mais il me coupe et me dit qu'il avait décidé que j'étais son premier et qu'il n'y avait pas à revenir dessus. Pour atténuer ses propos il me roule un patin qui nous laisse tous les deux sans souffle.
Il se serre contre moi alors que nous voyons ses deux amours prendre leurs plaisir en 69 enculé l'un par CÎme l'autre par Ludovic. Ils n'ont pas fini que nous recevons sur nous les corps de PH pour moi et de Max pour Enguerrand. Grosses pelles puis ils glissent à nos cÎtés sur le dos pour admirer le quatuor se finir.
Quand nous retournons dans le monde, nous tombons sur " papa " qui nous cherchait depuis quelques temps. Il avait besoin de bras pour l'aider. On y va tous et en 15 minutes son problÚme est réglé.
Autres modifications à la " ferme ", ce sont les literies. Nos chambres sont maintenant équipées de 2 lits 2 places réunis. Avec 2,80m de large par 2 de long, on peut maintenant s'étaler.
Nos triplettes sont officielles aussi pour " mĂšre " et ça a moins posĂ© de problĂšme que chez les citadins (mĂšre de Max). On a juste eu droit Ă  " fermer vos portes Ă  clef quand vous voudrez garantir votre intimité " et aussi de leur Ă©pargner les dĂ©tails au petit dĂ©jeuner. Cette mise au point leur a valu d'ĂȘtre embrassĂ©s par 6 jeunes mecs reconnaissants.
CÎme reste encore discret de son cÎté. Il n'est pas décidé définitivement et ne tient pas à alarmer plus que ça ses parents alors qu'il ne sait pas ce qu'il veut.
Je les apprĂ©cie de plus en plus. Je crois que " l'aventure " d'Enguerrand y est pour beaucoup. Ils ont eu une peur rĂ©trospective d'avoir risquĂ© de perdre leur dernier et ça leur a ouvert l'esprit. Je pense aussi qu'ils nous aiment bien (PH, Max, Nathan et moi). J'ai aussi l'impression qu'Ă  nous tous, nous reconstituons une famille nombreuse que madame aurait souhaitĂ© avoir. Cette quasi-certitude me vient des discussions que nous avons eues. Elle-mĂȘme est la 3Ăšme d'une fratrie de 7. Notre prĂ©sence l'oblige Ă  modifier la gestion de sa maison mais on sent que cela ne lui coute pas.
Ce sont les deux garnements (Max et Enguerrand) qui lui ont glissé l'idée d'inviter à diner les parents de Max lors d'un de nos grands WE. Max pense que l'exemple de leur acceptation de la situation devrait aider sa propre mÚre à se faire à l'idée.
C'est comme ça qu'aprÚs nous avoir vu évoluer tous ensemble avec naturel, d'avoir vu la mÚre d'Enguerrand s'occuper de son fils Max et de Nathan comme des siens propre elle s'est rendu compte qu'elle se faisait beaucoup de sang pour rien.
AprÚs ce WE là, lors des semaines de cours de Nathan, c'est chez eux et non plus au blockhaus qu'il a passé ses soirées et ses nuits.  
Pour cet Ă©tĂ©, je charge Ernesto de contacter Javier pour qu'il nous trouve une villa beaucoup plus grande. En mĂȘme temps je lui annonce que la " triplette " sera du sĂ©jour, tout comme Ludovic et JoĂŁo accompagnĂ© de son Romain. De base nous seront donc 11 plus Paco le cuisinier et son probable petit copain du moment. Bien sĂ»r il nous la faut avec grande piscine et installations de muscu.
Il me rappelle une semaine plus tard et m'envoi par mail deux propositions.
Je choisi la plus grande. Elle coute plus cher mais nous laissera plus d'espace pour vivre et baiser bien sûr. Avec ses 8 chambres et sa piscine de 12m, elle remporte tous les suffrages français. En plus elle est plus prÚs des plages intéressantes et ça je pense que ce sera idéal pour la triplette qui vient pour la premiÚre fois dans ce genre d'endroit.
Jardinier
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the surprise guest
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francaistoutsimplement · 10 days ago
Text
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Manuel Valls condamné en Espagne en 2022
En plus de faire de la trahison politique sa spécialité et d'avoir déclaré devant les caméras que les rues de sa ville d'Evry manquait de personnes blanches en 2009, l'arrivée au gouvernement d'un éniÚme politicien condamné par la justice est mal accueillie par de nombreux français. En novembre 2022, le parti politique de Manuel Valls en Espagne a été condamné à une amende record de 277 000 euros pour le financement illicite de sa campagne aux élections municipales : le plafond autorisé avait été dépassé à hauteur de 71% et 189 500 euros de dépenses n'avaient pas été déclarées.
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