#une partie de campagne
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(Une partie de campagne, 1936, Jean Renoir)
petite histoire poétique du cinéma, les réminiscences des images
.
Courir sous les bras des arbres,
s'échapper de l'ombre,
vision fugace de printemps,
un rouge serré à la taille
la liberté bourdonnante plein les yeux.
.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(jeudi 6 octobre 2005)
#poésie#poème#poètes français#french poetry#poésie contemporaine#hommage à Jean Renoir#une partie de campagne#réminiscence#printemps#dans la portée des ombres#petite histoire poétique du cinéma
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Bei ihrer jährlichen Landpartie treffen die junge Schönheit aus der Stadt und ihre Mutter auf den lokalen Wüstling und dessen romantischer veranlagten Kumpel. Dieser wählt gegen die Absprache die Tochter statt der Mutter, Vater und Verlobten schicken sie zum Angeln. Dann beginnt es zu regnen, doch noch Jahre später denken der Romantiker und die längst verheiratete Schönheit an diesen Nachmittag. Ein unvollendet gebliebener Jean-Renoir-Film, den fremde Hände fertigstellten, mit zehnjähriger Verpätung, und den wir noch nie gesehen haben. Er ist nicht besonders lang ("moyen métrage"), aber besonders schön. Wie ein Gemälde seines Vaters, sagen manche (die Jean wohl immer verkaufte, um seine Filme zu finanzieren), dabei ist es schwarzweiß.
#Une partie de campagne#Sylvia Battaile#Georges D'Anoux#Jacques Borel#Jeanne Marken#Film gesehen#Jean Renoir#Der französische Film der Woche
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Napoleon acts like a brat on St. Helena; his valet ignores stupid accusations
Un certain jour, l'Empereur, pour être couché plus au large, eut l'idée de se faire un grand lit de ses deux petits lits de campagne en les faisant accoupler ensemble. Sa volonté fut aussitôt exécutée. Mais les couvertures, assez grandes pour les petits lits séparés, ne le furent plus assez pour garnir la longueur et la largeur des deux lits réunis. Un soir, étant un peu de mauvaise humeur, et ne sachant à qui ou à quoi s'en prendre, il trouva que ses épaules n'étaient pas assez garnies ; il prétendit que nous avions coupé les couvertures. C'était une idée comme une autre, mais à laquelle il n'y avait rien à répliquer; une justification était inutile. Ce que l'on avait de mieux à faire, quand il était mal monté, c'était de garder le silence, eût-on raison ou tort ; et le parti que nous prenions, c'était de redoubler de zèle pour son service et de ne rien négliger de ce qui pouvait lui être utile ou agréable. Si parfois il lui arrivait de chagriner ceux qui étaient constamment autour de lui, il savait toujours revenir à eux et leur prodiguer ses caresses. Les deux lits restèrent accouplés pendant une quinzaine environ, et ensuite ils furent séparés et remis à leurs places primitives.
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One day, the Emperor, in order to lie more spaciously, had the idea of making a large bed from his two small campaign beds by having them brought together. His wish was immediately carried out. But the blankets, large enough for the separate small beds, were no longer large enough to cover the length and width of the two beds joined together. One evening, being a little bad-tempered, and not knowing who or what to blame, he found that his shoulders were not sufficiently covered; he claimed that we had cut the blankets. It was an idea like any other, to which there was no reply; an excuse was useless. The best thing to do, when he was bad tempered, was to keep silent, whether one was right or wrong; and the course we took was to redouble our zeal for his service and to neglect nothing that could be useful or agreeable to him. If sometimes he happened to upset those who were constantly around him, he always knew how to return to them and lavish them with his caresses. The two beds remained coupled for about fifteen days, and then they were separated and put back in their original places.
Souvenirs du mameluck Ali (google books)
#St. Helena#Etienne St. Denis aka Mameluke Ali#Napoleon's nutty ideas#Napoleon's famous seduction techniques to people he pissed off
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saga: Soumission & Domination 354
WE à la campagne-2, Nathan
Dimanche :
Messe pour ceux qui veulent c'est-à-dire les parents et Côme. Nous profitons qu'ils soient partis pour une bonne heure et demie pour nous payer un réveil sexe. La veille nous nous étions couchés avec juste un câlin soft et la chambre d'à côté aussi vu l'avertissement de la veille.
Dès que le bruit du moteur de la voiture s'éteint, nous parviennent des gémissements de la chambre des jeunes.
Ils sont trois, nous aussi et l'épisode de la veille dans la paille m'a rappelé ce qui m'excite chez les jeunes. Le temps de décider mes acolytes de faire les quelques mètres qui nous séparent et nous arrivons alors qu'ils se sucent en triangle.
Les trois corps lisses mais musclés nous font saliver (et pas que) grave. Sachant la maison vide, nous sommes nous aussi à poil. Je regarde mes comparses, ils bandent tout comme moi.
Ils sont tellement pris par le corps de leurs amis qu'aucun ne s'est aperçu de notre présence. Ce n'est que quand ils sentent des mains en trop sur leurs corps qu'ils prennent conscience que nous sommes là. La partouze de la veille fait qu'ils ne sont pas surpris ou même gênés.
Je leur dis de continuer. Je m'accapare la rondelle de Nathan, PH cette d'Enguerrand et Max se retrouve avec la langue de Ludovic à lubrifier sa rondelle.
Ils s'ouvrent comme des fleurs et ils arrivent même à laisser échapper des gémissements de plaisir sur le coté des bites qui pourtant agissent en sourdine vu comme ils s'enfoncent le bâton de plaisir de leur pote bien profondément dans leurs gorges.
Je suis le premier à enfoncer ma bite là où j'avais la langue. Enkpoté contrairement à mes deux amours qui eux peuvent y aller direct. On a beau les secouer hard, ils ne se désaccouplent pas et continuent leurs pompages façon " morts de faim ".
Je caresse le flanc et le dos de Nathan. Il reste doux et de temps en temps je l'agrippe par ses hanches pour appuyer un peu plus mes pénétrations. C'est moi qui pousse à la rotation des sodomites. Un tiers de tour, je me dékpote et encule Enguerrand, cédant ma place à Ludovic et PH entreprend Max.
Mon petit beau-frère est attendrissant et je me penche pour l'embrasser sur la joue. Il sent mes lèvres et se tourne pour me rouler une pelle qui sent un peu la bite. C'est celle de Max et elle s'agite, impatiente d'être à nouveau couverte. Je me penche un peu plus et ce sont deux bouches qui s'occupent d'elle. Et/ou d'elle et des boules associées. J'adore limer sa rondelle, peut être que l'effet " famille " amène une dimension excitante supplémentaire.
Nouveau décalage. Petite hésitation de la part de Ludovic qui se trouve à devoir enculer son frère. S'il a déjà fait l'amour à son grand frère (relire les récits du nouvel an), ce n'est qu'à côté du petit qu'il l'a déjà fait. Cela ne trouble pas Enguerrand qui lui dit d'y aller que ça lui fait plaisir. Sans forcer personne, je reste à ses côtés pour le démarrage.
Ça beau être son petit frère, il n'a pas débandé pour autant. Je lui dis qu'ils se ressemblent tellement que ça tient plus d'une masturbation qu'à une vraie relation sexuelle. Approbation de cette assertion par les 4 autres participants. Je pousse même la délicatesse à positionner le gland de Ludovic juste sur la rondelle d'Enguerrand. Là, c'est ce dernier qui d'un recul franc et décidé, s'empale sur les 19 cm fraternels.
Après ça je peux moi aussi profiter du moment et enculer Max qui commençait déjà à se refermer. En fait c'est meilleur. Son anneau s'est resserré et mon gland doit déplisser la rondelle avant de pouvoir s'enfoncer dedans. Mes mains trouvent ses tétons et sous mes doigts, ils gonflent et son cul se détend. Je peux alors m'enfoncer sans douleur pour personne. Il ne faut pas 5 minutes pour que le duo de frères s'écarte du reste du groupe.
Reconfiguration : Max et Nathan en 69. Les enculeurs restent les même. Le duo ne va pas loin. Il reste sur le matelas juste à nos côtés. Le cul de Max est délicieux mais je suis distrait par le " couple ". La simple sodo se change en sodo plus pelle. La retenue de Ludovic a disparue. Sans mettre autant de passion que dans nos rapports, je le sens bien excité. Enguerrand serre ses bras autour du cou de son frère. C'est plutôt lui qui kiffe le plus cette sodomie ! Quand arrivent les moments de juter, nous 4 nous décollons de notre partenaire et laissons nos spermes les couvrir. Par contre, à côté, ils restent collés jusqu'au bout. Enguerrand éponge la production de Ludovic et jute entre leurs abdos collés. Comble du vice, Enguerrand ramasse sons sperme, le porte à sa bouche et roule un patin à son frère qui n'est toujours pas sorti de son cul.
Mais le temps passe et une messe, c'est finalement court ! On accélère le tempo. Passage sous les douches, groupés, même si elles ne sont pas si grandes qu'au blockhaus, nous arrivons à être habillés et le coeur à 60/65 pulsations/minutes quand ils reviennent de leur obligations dominicales.
Malgré ses protestations, nous aidons tous madame à finir la préparation du déjeuner.
J'observe tout le monde pendant le repas. Pour madame, c'est comme si nous étions tous ses fils. Elle n'hésite pas à reprendre Nathan quand il met ses coudes sur la table au même titre qu'Enguerrand. Elle oblige PH à se resservir le trouvant un peu maigre !
Je le vois se retenir de soulever le bas de son polo et lui montrer ses abdos.
Monsieur est plus réservé et comme moi, analyse plus qu'il ne parle. Je le surprends même à regarder souvent son ainé. Quand son regard glisse sur ses autres fils, il n'est pas aussi pensif. Quand il se pose sur Enguerrand, j'y vois même une tendresse particulière.
C'est vrai que c'est chez lui que le changement a été le plus radical. D'écorché vif à ne pas prendre avec des pincettes, il est redevenu le gamin espiègle, content de vivre qu'il devait être auparavant.
Par rapport aux premiers repas chez eux, il ne règne plus ces tensions qui perturbaient. L'ambiance est gaie et gay aussi. Si des remarques typées " homo " nous échappent, vêtements, mode, bijoux..., les parents s'y font, après la surprise des premières sorties. D'autant plus que mes cadeaux de Noël et du nouvel an ne sont pas forcément du style maison. Courant janvier j'ai fait faire un anneau supplémentaire pour Enguerrand non prévu à l'origine, puisqu'il nous avait rejoint le premier janvier. Il a été trop content que je ne fasse pas de différence avec tous les autres.
Les habitudes de la maison seraient plutôt, au maximum, une chevalière armoriée ! C'est sûr que ma boucle d'oreille, même si les pierres que j'y accroche sont de grandes valeurs, détonne, mais je suis accepté et c'est le principal.
Il fait beau et nous prenons le café dehors. Quand les parents nous laissent, les polos volent et on s'étale sur la pelouse. Il faut profiter de ce temps pour métaboliser la vitamine D et prendre quelques couleurs par la même occasion. Enguerrand cours vite à la maison chercher de quoi protéger nos peaux et après une séance de tartinage qui en a fait bander plus d'un, nous siestons.
Nous sommes réveillés par madame venu voir si nous avions besoin de quelque chose. Elle est surprise que nous soyons tous imberbes, même son ainé qu'elle croyait assez poilu. Innocemment elle nous dit nous trouver très beaux. On abonde tous dans son sens et ça part en sucette. Petits bisous, chatouilles, poursuites et bagarres. Nos cris et chahuts font venir le mari et père. On se calme, nous renfilons nos polos et acceptons un thé avant de partir.
Au retour, je reconduis Nathan chez Julien. Max et Enguerrand restent et partirons directement au lycée demain.
Julien nous attendait avec Second. Nathan monte à sa chambre et je reste discuter quelques instants avec son employeur. Je leur résume le WE et leur dit que le rapprochement avec Max et Enguerrand à l'air de se confirmer. Ces trois-là sont resté collés pendant les 2 jours. Julien est content car le gamin mérite d'être heureux après son année pourrie chez son confrère. Non seulement c'est un gentil jeune homme mais aussi un bon apprenti, travailleur et inventif.
Comme j'entends ça, je me dis qu'il pourrait faire des extra auprès de Pablo. Quand Emma donne de grands diners, il a toujours besoin de petites mains efficaces et professionnelles. Julien connait bien Pablo et me dit que ce serait une bonne idée.
Quand Nathan redescend pour me dire au revoir, je lui soumets ma proposition. Il hésite et nous dit craindre de ne pas savoir assurer, après tout il n'est qu'apprenti charcutier/traiteur. Julien balaye ses arguments et lui dit que lui, à son âge, n'était pas aussi bon.
Quand je passe voir ma mère, je fais ma proposition à Pablo. Il n'est pas contre car souvent il ne trouve que des extra de service mais pas en cuisine. Le fait que ce soit l'apprenti de Julien le rassure sur ses compétences. Il me dit qu'il passera les voir à la boutique et qu'il me tiendra au courant.
Coup de fil quelques jours plus tard. Je me fais presque engueuler d'avoir omis de lui dire qu'en plus le petit mec était canon. Je lui demande s'il croit pouvoir l'embaucher de temps en temps. Il me dit qu'il a beaucoup échangé avec Julien, qu'il a vu le travail de son apprenti et que oui, le gamin est bon en plus d'être volontaire.
Il m'annonce que nous le verrons vite puisqu'il a décidé de le tester le WE qui vient, Emma l'ayant prévenu qu'elle avait invité une 20aine de personnes dont nous sommes. Il pourrait s'en débrouiller seul mais ça va lui permettre de voir ce que notre dernier protégé valait.
Curieux de voir Nathan travailler, j'arrive en début d'après-midi chez Emma. Cette dernière ne se fait pas d'illusion sur la raison de ma présence. On travaille quand même deux heures ensemble et elle me laisse aller en cuisine chercher le thé ! Nathan ne fait pas attention à moi, accaparé par le travail que Pablo lui a donné à faire. Je dois aller le voir et quand je lui fais un bisou sur la joue, il manque de se couper. J'ai droit non pas à un " bonjour Sasha " mais plutôt à " merde tu fais chier".
Je pars avec le plateau de thé. Avant de passer la porte, je me retourne et lui dis " ça intérêt d'être bon sinon c'est ton petit cul qui sera de la fête ".
La réponse de cet impertinent : " arrête, ça me donnerait peut être envie de rater ! ".
Je me fais mettre dehors par Pablo qui me dit qu'ils ont autre chose à faire qu'à bavarder.
PH arrive avec Ludovic à ce moment-là. Thé puis une petite tête dans la piscine avant d'aller se doucher et de passer nos costumes.
Je change mon pendentif d'oreille pour le diamant que m'a offert Emma. Avec un costume noir, c'est ce qui fait le moins excentrique. Cravates bleues, quand on sort de " notre " chambre, Emma éclate de rire. On se regarde pour voir ce qui cloche chez l'un ou chez l'autre. Les costumes sont noirs, pas de tâches, les chemises blanches sont bien repassées, les cravates sont droites, je ne vois pas ce qui cloche.
Emma nous entraine dans sa chambre et en rang d'oignon, nous voyons ce qui l'a fait rire. Trois clones ! Tant pis nous restons comme ça. Les invités devront se débrouiller avec nos têtes différentes.
Les invités arrivent. Avec Emma je les reçois. PH et Ludovic s'assurent de leur côté que personne ne se retrouve seul. Nous sommes heureux quand Henri arrive avec Kev. Cela nous promet une nuit sympathique.
Le diner est excellent et Emma ne reçoit que des compliments. L'entrée est un plat que nous avait encore jamais fait Pablo. Une espèce de pâté en croute à base de foie gras servi avec un jus de truffe, un vrai régal. La surface est croustillante alors que le foie est encore rosé à coeur. Le reste du repas est du même niveau. Les discutions portent sur l'actualité et l'économie.
Ma voisine de gauche me demande où j'ai acheté une pierre aussi pure, en parlant de mon pendentif. Quand je cite la place Vendôme elle comprend mais elle ne peut s'empêcher de me demander ce qu'en a pensé ma mère. Avec un grand sourire, je lui dis que c'est elle qui me l'a offert. Ça lui clou le bec !
Son mari ré accapare la conversation sur un sujet moins...frivole.
Au café, nous nous écartons un peu avec Kev. On a toujours beaucoup de chose à nous raconter ! Je lui explique pour Nathan qui aide Pablo. Dans ses yeux je vois briller comme de la concupiscence. Il me dit que ce sera sympa de " travailler " une nouvelle recrue.
Je n'avais pas pensé que cela pouvait tourner comme cela mais pourquoi pas. Ce n'est pas Pablo qui sera contre. J'avise discrètement Emma que nous comptions finir la nuit chez Pablo. Elle est adorable. Elle me dit que cela tombe bien ils avaient plein de choses à se dire avec Henri. Du coup je suis pressé de voir partir les invités ! Le dernier embarque sa femme vers les 1h du matin. Avec PH, Ludovic et Kev, nous entrons dans la cuisine. Pablo et Nathan sont en train de ranger.
Je m'empare d'une pile d'assiettes et vais pour la ranger. Pablo m'arrête et me dit qu'il fera ça demain. Kev le félicite pour son entrée. Comme ils disent dans les émissions culinaires, il y avait du croquant, du doux avec une pointe d'acide...
Pablo fait la révérence devant Nathan et nous dit que c'est une création de monsieur. Lui qui rougit facilement devient pivoine. Ph lui demande s'il l'a proposé à Julien. Réponse de l'intéressé, il n'avait pas osé et en plus cela demande des ingrédients très chers. Pablo me dit que ça ne l'étonne pas il avait dû le forcer pour qu'il fasse son jus de truffe plutôt qu'un simple râpé.
On laisse donc la cuisine rangée et prenant tout le monde à témoin je propose un petit bain de minuit passé. Nathan n'ose pas dire oui mais non plus non. Je le pousse devant nous. Aux abords de la piscine les vêtements volent et alors que nos deux hommes de l'art prennent une douche nous autres plongeons dans l'eau chaude du bassin. Nous ne retournerons même pas chez Pablo (son appartement au-dessus des garages) pour baiser. La partouze s'initie sur les bords de l'eau. Nathan est subjugué par les 24cm de Pablo. Je lui dis de bien le sucer car quand il va se le prendre dans le cul, faudra qu'il soit bien lubrifié. Il me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes, apeuré par l'idée.
Pour le moment il commence avec Kev et ses " petits " 21cm. Pour éviter des dégâts, je prépare et assoupli sa rondelle. Quand le " travail " est bien avancé, je le laisse et avec Ludovic et PH, nous nous occupons de Pablo. Nous ne sommes pas de trop pour nous occuper de Pablo. 2 sont scotchées sur ses attributs, en pipe à deux ou un sur le gland l'autre aux boules. Le troisième oscille entre sa bouche et ses tétons.
On alterne, car chacun veut profiter des dimensions hors normes du mec. Avec un gland aussi gros que sa hampe, on a vite la bouche pleine. Heureusement il adore quand on le travaille à la langue. J'aime aussi ajouter mes dents. Puis brusquement, enfoncer le tout au fond de ma gorge. Je m'étouffe avec un effet d'excitation intense.
Alors que je m'étrangle, je sens ma rondelle lubrifiée par la langue de PH. Je me détends avant de m'assoir sur Pablo, enfin sur sa bite. J'ai préféré cette position où c'est moi qui maitrise la pénétration. Les petits cris de Nathan en train de se faire ramoner le conduit, m'excitent un peu plus et je touche brutalement les cuisses de Pablo de mes fesses. Ludovic me roule un patin et PH fait de même avec mon enculeur. Cela faisait un moment que je ne m'étais pris aussi gros dans le cul. J'ai senti passer chacun des 240 mm qui ont écarté ma rondelle. Je chevauche quelques instants mon " étalon " avant de le passer à PH. A ce moment-là je rejoins l'autre baise en cours. Nathan est chaviré par les coups de queue de Kev. Je lui roule un gros patin et je sens à la force de son roulage de pelle la plaisir qu'il y prend. Je décolle mes lèvres des siennes pour lui demander s'il était prêt pour Pablo. Dans l'ambiance, il accepte et me dit que c'est bon.
Je préviens Pablo et nous procédons à la reconfiguration des emmanchements. Nathan s'installe en levrette et Pablo arrive après avoir changé de kpote. J'attrape un flacon de poppers et lui fourre sous le nez au moment où Pablo entame la pénétration de sa rondelle. Ce n'est pas de trop et malgré cela l'enculage lui provoque quelques grimaces jusqu'à ce que Pablo soit totalement entré. Après il apprécie. Je reste à sa tête pour vérifier qu'il prend bien du plaisir et non de la douleur. Nathan me pousse jusqu'à ce que je sois assis devant lui. Là, il attrape ma queue et me pompe. Il laisse les coups de rein de Pablo rythmer sa fellation. Il est bon ce jeune, je l'avais déjà testé mais ça me confirme ses capacités et son intérêt pour le sexe. Je comprends pourquoi Max et Enguerrand lui ont mis le grappin dessus !
Nous terminons notre mini touze par des expulsions de spermes en direction de Nathan dont nous en couvrons les abdos. Il est 4h du matin quand nous regagnons nos chambres respectives.
PH, Ludovic et moi, nous nous glissons aux côtés d'Emma alors que Kev rejoint son Henri et que Nathan suit Pablo.
Jardinier
it's all about sharing Christmas
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Chiquimula, Guatemala. Dimanche 28 février 1982.
Je suis arrivé au Guatemala en provenance du Salvador le mardi 16 février pour suivre la campagne électorale. J'allais parcourir le pays en proie à une guerre civile, dont on parlait très peu en Europe, le Salvador faisant les "unes" des quotidiens et magazines américains, et dans une moindre mesure des médias européens.
Le pays est somptueux, mais cassé par cette guerre civile qui dura trente six ans, de 1960 à 1996. Les principales victimes furent les différentes ethnies des indiens maya.
Il y aura plus de 200.000 morts, des dizaines de milliers de disparus et plus d'un million de déplacés. (Voir le journal du lundi 16 à aujourd'hui).
Campagne électorale de Mario Sandoval Alarcon et de Lionel Sisniega Otero, candidats respectivement à la présidence et à la vice-présidence pour le parti MLN (Movimiento de Liberacion nacional), parti nationaliste et anti-communiste.
Alarcon se trouve ici dans la ville de Chiquimula, près de la frontière avec le Honduras. Cette ville est le fief du candidat conservateur.
J'ai ressenti dès le début de ce meeting qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. La foule composée majoritairement d'indiens semblait enthousiaste, mais beaucoup plus par obligation que par support pour le candidat, comme si elle était surveillée.
Alarcon a joué un rôle important dans les assassinats commis par les escadrons de la mort de la "mano blanca", la main blanche. Sandoval était aussi un responsable de la ligue anti-communiste.
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Impression de gueule de bois post électorale non ?
On pourra dire qu'il y a 12 millions de racistes en France, c'est peut-être vrai mais n'oublions pas aussi que nos dirigeants portent une immense responsabilité dans le résultat de ce premier tour.
Voilà le résultat de la politique de casse sociale menée par Macron depuis son premier mandat (et les autres, depuis longtemps). Voilà le résultat d'une politique qui prétend s'adresser aux citoyens et qui ne sert qu'à tenter de relancer la machine de la croissance en France. Voilà le résultat d'une politique qui s'adresse d'abord aux agences de notation et aux créanciers de la France. Voilà le résultat d'une politique qui sacrifie progressivement de plus en plus de gens au sacro-saint marché.
Voilà aussi le résultat du discours d'incrimination de la gauche que Macron et ses sbires cherchent à nous faire avaler depuis des mois (s'il faut reconnaître et lutter contre les problèmes de la gauche, c'est bien à *nous* électeurs et militants de gauche de le faire, pas à cette bande d'hypocrites de droite). Voilà le résultat des ambiguïtés de Macron, qui se pose en rempart contre l'extrême-droite mais fait le pique-assiette quand il s'agit d'appeler à voter contre le RN.
Il n'y a rien d'anodin à dire que LFI est un parti antirépublicain aujourd'hui, alors même que le RN a clairement affiché et défendu des propositions discriminatoires toute cette campagne. RIP notre devise, j'imagine.
Ce n'est pas à Macron et ses pauvres 20 % de faire la police entre qui est un bon allié et qui ne l'est pas. Les macronistes ont prouvé qu'ils ne l'étaient pas en continuant à soutenir le Président qui nous a foutu dans cette situation dégueulasse, indirectement par sa politique et directement par cette dissolution dont on ne sait plus si elle relève du calcul politique ou de la pure bêtise.
Bon allez, j'arrête, j'ai une thèse à écrire...
#on me dire qu'on a toujours su que c'était de la bêtise#et je dirais que vous avez surement raison#upthebaguette#french politics
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Les communautés Tumblr sont là !
La fonction Communautés vous offre une toute nouvelle manière de vous rapprocher aisément des utilisateurs qui partagent vos hobbies. Vous pouvez inviter vos mutus pour échanger avec eux autour de vos obsessions secrètes au sein d'une communauté privée, ou bien créer une communauté publique dédiée à un sujet que vous aimez et ensuite contempler avec délectation l'arrivée progressive de nouveaux membres. Et d'ailleurs, à la manière d'un sac sans fond de magicien, les communautés peuvent contenir autant de personnes que vous le désirez (enfin presque…).
Aujourd'hui, la fonction Communautés sort enfin de sa phase de test et s'offre à vous en tant qu'expérience à part entière (tout en continuant à évoluer sous l'impulsion de nos équipes). Toutes nos plateformes sont concernées : que ce soit sur le Web, dans nos applis iOS et Android, et jusqu'aux confins de l'univers.
Vous pouvez créer une communauté autour de n'importe quel sujet qui vous plaît : l'Art (avec un grand A), Souvenirs de Gravity Falls, le tricot, vos campagnes de D&D, la photographie, de nébuleuses relations, les commu' LGBTQIA, la musique, la science, la mode, le design ou encore Baldur’s Gate 3. En clair : vous êtes aux commandes de votre destinée et grâce à nos précieux testeurs en accès anticipé, d'innombrables communautés vous tendent d'ores et déjà les bras. Hazbin Hotel ? C'est là. Arcane ? Bien sûr ! The Phandom ? Évidemment !
Comment faire pour se lancer ?
Pour explorer les communautés existantes : c'est par ici.
Pour rechercher une communauté en particulier, appuyez/cliquez sur l'onglet "Communautés" présent dans la partie haute des résultats d'une recherche.
Vous avez envie de votre propre communauté ? Voilà pour vous !
Enfin, cette page du Centre d'aide devrait pouvoir répondre à toutes les questions que vous pourriez (encore) vous poser.
Nous avons hâte de découvrir de quelle manière vous ferez usage de ce nouveau joujou. Alors, n'hésitez plus et surtout : éclatez-vous !
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Les châtaignes, appelées à tort "marrons", sont pour moi une véritable gourmandise, quelle que soit leur préparation. Aller les ramasser sur les sentiers de campagne fait partie de ces plaisirs simples et précieux de l'automne. Mais le meilleur reste de les griller au coin du feu, en savourant leur chaleur et leur goût unique, même si cela implique de se brûler un peu les doigts. Impossible de résister à ce petit plaisir sans conséquence !
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
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Et le député lfi qui fait compagne sur tinder…
Maudet ? Franchement c'est con mais c'est tellement loin d'être le pire. C'est sûr que ça dit quelque chose de l'état de la France, mais perso ce qui m'inquiète le plus c'est plutôt la véhémence de la haine des idées de gauche dans leur ensemble. On en est quand même à entendre tous les abrutis du monde dire que LFI c'est l'extrême-gauche (donc le diable), critiquer Israël c'est antisémite, faudrait dissoudre le NPA et même LFI !
Je rappelle que le programme actuel du NFP fait d'énormes concessions à l'aile droite du PS (déjà pas super super à gauche), et est même pas aussi "radical" que ce que le PS lui-même a pu défendre au siècle dernier. Mais toute la fenêtre d'acceptabilité a tellement glissé à droite qu'on peut entendre sans sourciller qu'il n'y a pas de honte à avoir été dans la Waffen-SS, l'homophobie c'est surtout à gauche, faudrait faire barrage aux "extrêmes", si t'es juif tu seras plus en sécurité avec le parti des nazis qu'avec la gauche, etc. Par contre dire que tu veux taxer les plus riches c'est limite staliniste.
La campagne sur Tinder, pour moi c'est juste un autre symptôme de l'anti-intellectualisme général, mais ça a rien de nouveau, et c'est malheureusement pas un problème spécifique à LFI. Évidemment que je préférerais qu'ils s'y adonnent moins, mais je comprends que quand tes concitoyens sont cons au point de gober tout ce que BFM raconte et de voter Bardella parce qu'il est sexy (🤮) sur Tiktok (comme certains ont voté Macron pour les mêmes raisons en 2017 hein), à un moment tu te dis "si ça marche, pourquoi pas moi". Je pense que c'est une erreur à long-terme et qu'elle risque de leur coûter cher comme leurs compromis pour l'alliance leur ont coûté et vont continuer de leur coûter cher, mais en vrai peu importe comment ils font campagne, à moins d'arriver à racheter 15 chaînes avec des fréquences publiques, ils vont toujours se faire cracher dessus au nom du maintien du statu quo. Quand t'es le seul parti (hors extrême-gauche) à proposer quelque chose qui s'apparente à un changement, et que ta feuille de route est sourcée et crédible en plus, évidemment que tous les petits bourgeois et autres delulu en attente d'un héritage imaginaire d'un oncle en Amérique vont te tomber dessus, quitte à se vautrer dans le bon vieux "plutôt Hitler que le Front Populaire", quitte à renier tous les idéaux de gauche, quitte à inventer les pires idioties sans aucune preuve. Et comme en plus beaucoup de Français sont réacs de base, et qu'il est toujours plus facile de se recroqueviller sur son petit moi en trouvant des boucs-émissaires que d'imaginer un autre monde, c'est avec délectation qu'ils lèchent les bottes de l'extrême-droite et de ses alliés (Macron compris).
Je préfère pas relever les petites idioties de LFI actuellement parce que 1) les autres partis font pareil quand ils ne font pas pire, 2) y a bien plus grave, et 3) dans le climat actuel, je pense pas particulièrement utile d'en rajouter sur le dernier parti de gauche qu'il reste.
#oui évidemment que le ps eelv pcf sont techniquement de gauche mais avec tellement de concessions à droite et de dédain pour leur électorat#de gauche que je les compte pas#ce qui m'empêche de dormir la nuit c'est la montée de la haine et l'improbabilité d'un chgt que je désire plus que tout#pas maudet qui swipe right sur tinder honnêtement#upthebaguette#french side of tumblr#oops this was supposed to be a fandom blog#mine#asks#je parle beaucoup je sais
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peut-être on est chez les fous je sais pas, depuis quand c’est devenu normal de soutenir un parti nazi, courage à nous les camarades, encore 5 jours de campagne, il faut tout donner, on ira se battre dans la rue pour notre pays s’il le faut
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(petite histoire poétique du cinéma, Une partie de campagne, Jean Renoir)
les visages questionnaient les lumières ; la lumière épousait le vertige des sentiments ; et le divin se taisait dans cet échange de silence, de peur de briser l’image, ses mots superflus
© Pierre Cressant
(dimanche 20 novembre 2022)
#poésie en prose#poésie#poètes sur tumblr#poème#poème en prose#prose poétique#poètes français#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#jean renoir#une partie de campagne#petite histoire poétique du cinéma
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• C‘est quand même fantastique qu’une vieille démocrature comme les États-Unis accepte encore de promouvoir des manières de votation que seul un dictateur africain soucieux de son image pourrait encourager. Totalement ouvert à toutes les gruges, qu’elles soient technologiques ou archaïques, ce système fait penser au réseau électrique aérien des villes américaines : incompréhensible, piratable et finalement très moche.
• Oui, bien sûr, nous avons tous goûté avec plaisir au cocktail de larmes des totalitaro-minoritaires qui composent principalement les rangs de la gaucherie américaine, idiots très utiles de Wall Street et de l’État profond. Baptisons-le “Kamala Dry” ! Cette merveilleuse amertume, cette haine transparente, cette pensée toute en glace, pilée et repilée... Et cette olive au milieu, plantée là comme une couillette de vegan déconstruit. Quel pied.
• Que ceux qui se réjouissent de la consécration du homard blond se calment. Son arrivée aux manettes, doublée de sa capacité camérale à gouverner, va vite se solder par pas grand-chose. L’Amérique reste l’Amérique, à savoir un bateau ivre n’admettant sur la passerelle que les sépulcraux détenteurs des fortunes construites sur les guerres incessantes et la ruine voulue des modestes et des naïfs. Il y aura bien quelques plombs qui vont sauter, histoire de faire fonctionner les soupapes. Un peu de média par ici, un peu d’Epstein par là. Une pointe de woko-trostskystes. Et tout rentrera dans l’ordre.
• Les seuls qui ont dormi sur leurs deux oreilles le 5 novembre, ce sont les Israéliens. Un peu à gauche, un peu à droite : ce sera toujours bon pour eux.
• Kamala devait gagner parce qu’elle était vaguement noire, sûrement métisse, vraiment femme et super, super cool. Elle a perdu pour toutes ces raisons, parce qu’aux États-Unis, les Blancs, les Noirs, les Latinos – et encore quelques autres – refusent que le pays sur lequel sont posés leur vie et leurs espoirs devienne un club de tarés transgenres et d’homos colériques se faisant livrer des pizzas véganes par des esclaves guatémaltèques sans papiers. Ils voulaient de l’autorité, de l’ordre, du sens. Ils ont donc viré Kamala et son rire hystérique.
• Poutine commence son échauffement et Zelensky ses valises. Espérons que Vlad-l’Empaleur tiendra ses engagements et qu’ils poussera son avantage jusqu’à rejoindre tous ses objectifs de campagne.
• Wonder-Lahyène réfléchit au moulage d’un nouveau brushing et à une aspersion massive d’auto-bronzant. Ça pourrait marcher ? Was ?
• La réaction de MLP est explicite. Feindre l’indifférence face au succès éclatant de Donald, c’est vouloir faire oublier que la normalisation médiatique de son parti (appelée “dédiabolisation” par les marketeurs) est un non-sens politique doublé d’une impasse fatale.
• Les cultivateurs et paysans français continuent de disparaitre par ruine ou pendaison, souvent les deux. D’ailleurs, Kamala ou Donald, ça ne change rien pour eux puisqu’on a toujours Macron et ses donneurs d’ordre européistes.
• Je serais Robert Kennedy Junior, je m’habituerais à porter une belle ramure afin de préserver mes cervicales.
• Volkswagen et Michelin (comme beaucoup d’autres) ferment des usines et licencient. Pour sauver l’industrie qu’elle est entrain de détruire, la Commission bruxelloise va lourdement taxer les piles à roues chinoises. Mais quasiment pas les Tesla. “Great Again” on vous a dit.
• CNN réalise un acte de contrition presque jamais vu à la télévision américaine. “On a vraiment merdé en racontant des fictions et en déféquant massivement sur la tête des sans-dents. Pardon, les gars”. Une façon plutôt de grossière de tenter de sauver ses meubles face à la très prochaine administration.
J.-M. M.
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21 août
j'ai rêvé que je nageais avec une baleine dans une piscine très profonde. le plafond était très haut parce qu'elle a sauté hors de l'eau et ça m'a entrainée vers le fond mais ça allait parce que je m'étais préparée, j'avais pris une grande inspiration juste avant. j'étais complètement impuissante contre le courant, j'étais projetée dans tous les sens mais j'avais pas peur. puis j'ai jailli hors de l'eau jusqu'au plafond et je me disais c'est dommage qu'y ait ce plafond quand même.
l'autre jour j'ai rêvé du libraire d'exc ou l'ex-libraire d'exc puisqu'il a été licencié, quand il l'a annoncé sur ig je lui ai envoyé un extrait de mon journal où je parle de lui ultra cringe x1000 mais j'ai pas pu m'en empêcher. parfois je peux pas stopper le cringe. dans le rêve on parlait d'argent, il me demandait si j'en avais assez pour finir le mois et pour manger à ma faim, je disais oui oui ça va mais je me sentais un peu coupable de lui avoir fait croire que j'étais dans le besoin alors que je suis pas pauvre, j'arrive juste pas à travailler.
hier dans le tram 68 pour alt-schmöckwitz, la plus belle ligne de la ville d'après reddit, j'ai de nouveau été aspirée par le gros trou du nihilisme. à quoi bon? à quoi ça sert d'être à berlin si j'arrive pas à vivre? j'avais mon sentiment d'irréparabilité, rien à faire, ça fonctionnera jamais. je sentais l'usure. je me sens usée jusqu'à la moelle par ma stagnation (je fais trainer mes os marrons, ça fait un bruit de rouille). j'ai croisé n. dans la cuisine ce matin et elle m'a dit que ça l'avait déprimée de revenir à berlin hier soir. elle a dit que ça lui faisait ça à chaque fois qu'elle rentrait à berlin. elle a passé les deux dernières semaines chez sa mère à la campagne, là elle vient de repartir pour la pologne. je pensais qu'elle aimait berlin moi. peut être que ça sert à rien de me laisser du temps et de laisser du temps à la ville pour me séduire. peut être que berlin ne veut pas me séduire. peut être que je sous-estime mon intuition et ma capacité à savoir ce que je veux et ce qui me convient et que ça sert à rien de se forcer. comment savoir? dans tous les cas, avant de partir d'ici je dois savoir exactement ce que je vais faire après. avoir un plan avant de me retrouver échouée à la maison comme une baleine en fin de vie. continuer à essayer. ne pas céder au trou. même si ça glisse.
hier pour rentrer j'ai longé les rails du tram jusqu'à grünau, ils longeaient la forêt d'un côté et la rivière de l'autre, cachée par la végétation et puis des bâtiments. sur la dernière partie ils passaient au milieu de la forêt de pins et je les longeais sur un petit sentier en marchant sur les pommes de pin qui craquaient sous mes baskets. j'étais soulagée de pas avoir peur. je me sentais bien en compagnie des grands pins au dessus de moi et j'ai commencé à chantonner une chanson inventée. j'ai pris la s bahn pour rentrer avec un sentiment de satisfaction et je suis restée dedans sans bouger jusqu'au terminus parce que j'avais pas envie de rentrer. je voulais aller voir love lies bleeding au cinéma et boire un coca, comme petit cadeau à moi-même, mais le film passait trop tard et puis mon short était sale parce que je m'étais assise sur des racines au bord de l'eau et je me sentais pas présentable. alors j'ai pris la ringbahn dans l'autre sens et j'ai fait le tour complet de la ville avec. dans stranger on a train jenny diski fait le tour des états-unis en train dans une tentative de n'être personne, à part une étrangère dans un train. quand elle était petite elle passait ses journées à faire le tour de londres dans la circle line parce qu'elle voulait pas rentrer à la maison.
23 août
de retour au treptower park. je me suis forcée à sortir alors que j'étais en train d'écrire de la POÉSIE ça y est je suis sortie du creux de la vague ça revient et ça m'enthousiasme, mais j'ai besoin de l'ordi pour ça, ce qui veut dire rester enfermée dans ma petite chambre sur mon canapé moyennement confortable. mais je suis contente que ce soit revenu. je viens de lire un petit zine que n. m'a passé avant de partir en disant tiens ça devrait t'intéresser. j'y ai appris que berlin dormait dans le lit d'une ancienne rivière glaciaire et qu'elle avait été construite sur un marais. son nom veut littéralement dire "l'endroit dans le marais" (berl veut dire marais dans une langue slave). est-ce que c'était une bonne idée d'aller vivre sur un marais alors que j'essayais d'échapper à mon marais figuré? est-ce que j'ai quitté un marais pour un autre?
hier j'ai fait du shopping. c'était bien. le shopping est une valeur refuge. j'ai fait que trois ou quatre magasins et j'ai acheté deux robes. la première à quatre euros, dans une des seules friperies encore abordable de la ville et la deuxième à quinze euros dans une friperie au kilo. je la trouvais trop chère parce qu'elle est un peu usée et on dirait qu'elle a été cousue et recousue à la main à l'arrache, les ourlets à l'intérieur sont tout effilochés. je l'ai essayée deux fois en me prenant en photo sous toutes les coutures dans le miroir légèrement amincissant de la cabine, bien joué le magasin parce que j'étais trop belle sur les photos et ça m'a incitée à la prendre. elle a une coupe de robe tennis courte sans manches avec une encolure en v et surtout elle est en velours orange. je l'ai lavée à la main dans une bassine en rentrant. je déteste laver à la main mais c'était agréable de faire un truc aussi domestique, chez moi. j'avais l'impression de m'approprier l'appartement en faisant ça. plus qu'en faisant une machine par exemple. peut être que c'est une histoire de geste ancestral. la deuxième est une robe longue noire à pois blancs et je m'adore dedans. je crois que la dernière fois que j'ai acheté une robe c'était en 2016, à berlin aussi, quand j'avais les cheveux très courts et que j'étais en crise de genre. j'arrivais pas à concilier mes cheveux courts avec des habits féminins ni avec mes formes féminines, j'aimais pas le mélange des deux, et en même temps j'essayais quand même de me féminiser parce que j'assumais pas de ressembler à une lesbienne. alors que c'était précisément ce que je voulais. évidemment c'était voué au désastre.
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saga: Soumission & Domination 386
Mes Escorts-1
Tout fonctionnant sans moi, conséquence de mon absence prolongée, j'ai beaucoup de temps libre après les cours. Je profite de ça pour revoir mes Escorts un par un et faire un point sur leurs besoins et leurs désirs.
Je laisse de côté ceux qui sont en contrat exclusif (Jean, Phil et Luc) ou spécialisés (Jonathan et François) et commence par :
Jimmy.
A 24ans, comme il n'a pas beaucoup grandi (il fait 1m70), on lui en donnerait toujours 18. Il adore son travail de jardinier pour quelques clients dont Pierre et Olivier, les parents d'Ed et Théo entre autre et kiffe toujours de se faire défoncer par mes clients les plus grossement membrés. Bien qu'il soit Escort depuis 5 ans, il ne lasse pas ma clientèle qui continue à me le demander régulièrement. Il m'explique qu'il est quand même le meilleur de tous en gorge profonde et en dilatation anale. Il me raconte que lors d'une prestation, le client s'était masturbé dans son cul. Je demande quelques explications. Il me dit que le client l'avait réservé pour un fist et une sodo Il avait commencé par la sodo puis enchaîné par le fist. C'est lui-même (Jimmy) qui, bien parti, lui avait proposé d'ajouter sa bite à sa main. Le mec avait pris un pied comme jamais et ça lui avait rapporté une prime équivalente à la prestation négociée. Il me dit qu'il avait vu avec Jona pour requalifier la prestation et partager le surplus. Maintenant ce client le commandait exclusivement pour refaire ça.
Je lui demande si côté privé, il s'était trouvé un petit copain.
Réponse : pas encore, bien qu'il ait des demandes, il me dit qu'il se casera avec un mec du type de mes clients quand il aura fait le tour de la question. Et vu son imagination, c'est pas pour demain ! Sa vie entre notre campagne, et ses déplacements lui convient tout à fait. Il a son havre de paix et ses périodes de sexe intense.
Charles-Edouard (Ed)
Maintenant 21 ans, il s'est allongé et malgré les heures de muscu reste longiligne. Ce physique plus sa blondeur en fait un de mes Escorts les plus classe. Mes clients l'adorent car sous un dehors " bien sous tous rapport ", se cache une chaudasse de la pire espèce. Certains de mes clients blacks ne le retiennent qu'à cause de la différence de couleur extrême qu'ils ont avec lui. C'est un blond à la peau très blanche et les premières fois où je l'ai accompagné, dans certaines positions j'avais l'impression de voir un domino géant. Ses études vont bien et ses parents qui maintenant savent qu'il travaille pour moi, n'y voient aucun inconvénient. Ils auraient du mal à lui reprocher ce qu'eux même achètent auprès de mes amis (Second et Julien) ou mes escorts. Chacun d'eux apprécie les doubles- sodo devant l'autre.
Ed me dit que cela va faire un moment qu'ils ne se cachent même plus quand ils se font baiser. Souvent il leur est arrivé à lui et son petit frère Théo d'entrer dans le salon ou d'aller nager dans la piscine alors qu'ils se faisaient démonter la rondelle dans ces endroits.
Lui kiffe toujours autant de travailler pour moi et voit son " trésors de guerre " augmenter gentiment tous les mois ce qui lui convient tout à fait. Il aime ses vacances tous frais payés en palace, même si maintenant il a les moyens de se les offrir tout seul. Ce qu'il adore le plus c'est de choquer les bien-pensants. Les autres se doutent bien qu'il n'est pas le " fils " ou " neveu " qui accompagne son parent. Il ajoute qu'il est rarement le seul jeune dans ce cas et que ça lui est arrivé souvent, pour ne pas dire toujours, d'en profiter pour organiser avec ses homologues des touzes qui les changeaient agréablement de leurs clients. Souvent aussi, il a pu profiter des " gens de service " qui, sans les assimiler à leur condition, reconnaissaient en eux des serviteurs de la classe aisée.
Certains clients le sort comme un trophée de chasse, dans ces cas-là il fait en sorte de rendre jaloux tous les autres hommes avec lesquels ils entrent en contact. Il n'adore rien tant que de recevoir des propositions en douce pour soit changer de " papa " ou de délaisser le sien temporaire pour quelques instants, moyennant une très grosse enveloppe.
Il me rassure en m'affirmant qu'il a toujours décliné ces propositions. Il sait que cela aurait porté préjudice à la réputation de ma boite.
Daniel :
Depuis qu'il a accepté ma proposition, il taffe et double ou triple son salaire de vendeur chez Suzuki (et c'est un bon vendeur qui se fait de confortables commissions). Avec lui, tout roule. Il fait kiffer les clients qui pensent s'encanailler avec un motard. Ils ont l'impression de risquer leur vie en faisant venir un " loubard ". Daniel accentue cet aspect en arrivant toujours bardé de cuir noir. Il me dit avoir même acheté quelques bracelets et chaines en acier pour augmenter leurs frissons ! Pas au courant je lui demande s'il avait fait passer les factures à Jona. Comme il me répond non, je lui dis que tout ce qui est équipement de travail est pris en charge. J'insiste et il me dit qu'il le fera. Du coup ça lui arrive de plus en plus qu'on lui demande d'être actif. Souvent il commence par se faire enculer et doit (scénario organisé) se rebeller et " forcer " le client jusqu'à l'enculer. J'admets que c'est original comme plan. Quand il me dit qui il a déjà enculé parmi mes clients, sur certains noms je tombe de haut ! Il me confirme que lui aussi ça n'aurait pas été ces noms-là qui lui seraient venu en premier à l'esprit. Il s'amuse de cette évolution qui lui va bien puisqu'il est actif/passif à la base.
Morgan :
Mon collègue d'école de commerce, comme moi en dernière année. Il a laissé tomber le foot pour se consacrer totalement à son activité d'escort et aux séances de sport maison. Ses parents sont ravi du travail qu'il a trouvé à coté de ses études (ils ne savent pas le contenu du poste !) qui lui permet d'être aussi bien payé.
Avec Simon, c'est le grand amour et il n'envisage pas sa vie sans lui. C'est en plus réciproque. Ça été le premier " couple " qui s'est créé entre mes escorts.
On discute un peu. Il m'assure que même quand il aura commencé à travailler, il ne cessera pas ses prestations pour moi, enfin en fonction de son travail et que je pourrais toujours compter sur lui. Il a fait son cursus à l'étranger en Afrique du sud et sa séparation d'avec Simon a été dure, même s'ils se sont vus tous les mois. Il me dit qu'il s'était fait un ami là-bas qui a comblé partiellement son manque, surtout des grosses queues de mes clients ! Ils ont dû rester discrets car même avec l'abandon de l'apartheid, les relations sexuelles entre blancs et noirs pouvaient poser des problèmes surtout quand elles sont homosexuelles. En attendant ça lui a permis de tenir sans trop déprimer d'être sans son Simon. Coté physique ses 65Kg tout mouillés sont loin et comme moi il accuse 85Kg de muscles sur la balance. Je ne peux m'empêcher de lui demander de se mettre à poil, même si cette occasion m'est donnée lors des séances sportives, là je peux prendre mon temps pour voir les changements. Il est superbe. Epilés nickel, ses 19x6 même non bandés en imposent en haut de ses grosses cuisses. J'aime beaucoup cette différences : grosses cuisses >< petit cul et épaules larges. Il me fait bander et il s'en aperçoit et bande à son tour. Comme je suis assis à mon bureau, il me tire et me pousse contre le plateau. Sa langue fraiche vient se battre avec la mienne. Il recule juste pour me dire que cela faisait longtemps qu'il ne m'avait remercié pour ce qui lui était arrivé. On colle nos peaux, pecs contre pecs, nos tétons bandent eux aussi et on reprend notre pelle. Nos queues se touchent, nos glands mouillent et leurs frottements l'un contre l'autre attisent notre excitation commune.
Il se baisse et embouche ma bite. Ses cheveux courts touchent mes abdos quand il fait passer mon gland dans sa gorge. J'aime ! J'aime surtout quand il pompe profond, couvrant ma queue de salive. Sans faiblir, il continu pendant au moins un bon 1/4 d'heure avant de se redresser, me tourner le dos et se pencher tout en restant cambré. Un véritable appel au viol. Comme il est consentant, je me kpote vite fait et plonge entre ses fesses. Je sens le passage de sa rondelle, brève résistance, puis sa douce chaleur interne. C'est tellement bon que je reste bloqué au fond de son cul quelques instants avant d'entamer le limage de son oignon. Limage qui se transforme en labourage de grande ampleur avec l'utilisation complète des 20cm de mon appendice. Je pousse les papiers derrière moi qui encombre mon bureau et d'une rotation propulse Morgan dos sur le plateau, ses jambes entre mes bras en appui sur mes épaules. Il se retient au bord car sinon mes coups d rein l'auraient propulsé de l'autre côté. Je pousse sur ses jambes pour venir lui cueillir les lèvres. Sa grosse bite se trouve compressée entre elles et je sens ses couilles contre mon bas ventre.je me redresse, attrape un kpote et sans cesser de lui défoncer le cul la lui enfile sur son sexe. Quand il est prêt, je décule, monte sur le bureau (béton) et m'assois dessus. Bon format, les diamètres de 6 cm ça a du bon ! Je fais l'ascenseur sur cet axe de plaisir et comme nous sommes déjà très excités tous les deux, il ne nous faut pas longtemps pour jouir. Mon sperme lui zèbre le torse et le visage. N'étant pas encore prêt, il se redresse et se lève, portant mes 85Kg sans problème. Enfin pour les trois coups de reins qui m'ont décollé les fesses de lui avant que la pesanteur ne me fasse reprendre ma position initiale avec une brutalité propre à le faire exploser.
Sous la douche commune, on rit de ce dérapage impromptu mais pas non contrôlé.
Simon :
Quand je le vois il sait déjà que j'ai profité de son mec. Il me propose d'évacuer cette dimension en faisant de même d'entrée de jeux, qu'on aura qu'à discuter après.
Je l'attrape par le cou et écrase mes lèvres sur les siennes. Pulpeuses elles ont toujours eues sur moi l'attrait d'un aimant. Il le sait et m'en fait profiter. Je passe de pelles en morsure et suçage de sa lèvre inférieure. Dans mes bras je n'ai plus, comme pour Morgan, un garçon longiligne (en 2011 il pesait 66Kg pour ses 1m80) mais un très beau mec aux muscles bien formés qui doit accuser au moins 80Kg sur la balance. Il a gardé ses cheveux mi- longs qui vont si bien avec ses yeux bleus. En plus quand on agrippe sa crinière, il y a de quoi s'accrocher contrairement à la plupart de mes escorts aux cheveux plutôt courts.
On se fait donc un peu plaisir ensemble. Je reconnais dans sa façon de faire l'amour la marque de Morgan. L'enthousiasme qu'il avait quand je l'ai pris dans mon équipe est toujours la même et sa fraîcheur intacte. La chose expédiée (façon de dire d'une petite séance de baise d'une bonne heure et demie), on discute de son avenir.
Il me confirme qu'il ne l'envisage pas sans son Morgan et qu'il s'établira comme avocat là où ce dernier trouvera du taf. Je lui dis alors que j'avais quelques idées là-dessus et voulait son ressenti quant à l'orienter vers certains de mes " contact " professionnel, collègues d'AG des boites de ma mère. D'après lui, Morgan ne s'offusquera pas d'un petit coup de pouce et ce se sera pas son employeur qui sera lésé vu ses compétences... officielles. Je lui offre de l'aider aussi si l'intégration dans une cellule juridique privée l'intéresse. Je sais et certaines des sociétés d'Emma ont sous contrat des juristes. Il me dit qu'il y réfléchira et me le dira en temps et heure, selon où Morgan atterrira.
Il me plait bien ce petit couple, la prochaine fois je m'inviterai entre eux, ça devrait être intéressant !
Viktor et Nicolaï :
Je reçois mes deux " Russes " ensemble. De toutes les manières ils sont collés ensembles dans leurs études de langues comme dans leur appartement et souvent dans leurs prestations. Même quand mes clients n'ont besoin que d'un traducteur, ils me commandent les deux en prévision de leurs " troisièmes mi-temps ". 22ans chacun, il se ressemble de plus en plus. Seule la blondeur qui confine au blanc de Nicolaï les distingue d'autant plus que souvent ils sont habillés pareil. Faisant partie de ceux qui voyagent le plus (contrats de traducteur oblige) ils ont négocié avec leur fac les absences que cela provoque. Sans dévoiler de secret, je crois bien qu'un petit coup de fil de mon correspondant dans les services de l'état à leur doyen à bien aidé pour cette tolérance. Nicolaï a trouvé auprès de Victor et surtout sa mère, un rappel de sa Russie natale. Sa nouvelle identité lui a même permis de retourner à Moscou en toute sécurité. Ils me disent que quelques-uns de mes clients leur demandent de baiser entre eux avant de participer. Au point que parfois ils en oublient que le client les mate jusqu'à ce que l'un d'eux se fasse ouvrir l'oignon par son gros ou très gros morceau.
A l'examen de leurs physiques, pas de surprise. Même nus ils sont jumeaux. Seule la queue de Nicolaï légèrement plus longue mais aussi plus fine (enfin 5.5 c'est déjà pas mal), ajoute une différence, car ce n'est pas leurs pilosités réduites à un minimum qui frise l'inexistence qui le feraient. Alors que nous discutons encore, ils m'approchent de chaque côté avant de me lever de mon fauteuil et de me mettre à poil en 30 seconde chrono. On ne se refait pas, je bande comme un fou (faudrait peut-être que je consulte ça pourrait être maladif ?!).
Je les laisse faire, ça me permettra de voir comment ils ont évolués. Quand un s'occupe de me sucer la langue et de me rouler un patin, l'autre embouche ma bite dans une fellation que je ne renierais pas moi-même. Quand ils me trouvent suffisamment chaud, alors que Nicolaï continue sa pipe en mode gorge profonde, Victor me travaille la rondelle. Qu'on s'occupe de moi des deux coté c'est jouissif. Surtout que la langue qui travaille ma rondelle est très efficace. Elle me détend bien l'oignon et je me sens prêt, après une telle préparation, à enculer l'un tout en me prenant l'autre dans le cul.
C'est chose faites quelques minutes plus tard. Viktor sur le dos, moi au-dessus avec ma bite dans son cule et derrière moi Nicolaï qui me stimule la prostate de l'intérieur. Mes 20cm font merveilles dans Viktor qui mouline du cul pour augmenter ses sensations. Comme il serre bien ma bite, ça me fait aussi pas mal d'effets ! Le corps de ma queue pistonne son trou alors que la peau qui le recouvre, elle, se vrille. Excitation augmentée garantie. A cela s'ajoute la pénétration des 20 x 5.5 de son partenaire entre mes fesses et, à l'aide de mes va et vient, au plus profond de moi. Me voilà pris en sandwich et quelque part c'est terriblement efficace !!
Ils me changent plusieurs fois de position, toutes sont aussi bonnes que la première. Quelques intermèdes où je me retrouve en 69 avec Viktor ou Nicolaï après leurs échanges de ma rondelle. Quelques autres où j'encule L'un ou l'autre lui-même faisant son affaire à son partenaire. On se retrouve à s'achever d'un coup de main pour se juter dessus et réciproquement.
Sous les douches ils m'expliquent qu'ils comptent bien continuer à bosser comme maintenant. Ils sont en train de se constituer un carnet d'adresse avec lequel ils n'auront aucun mal à trouver du travail en tant qu'indépendants. Dès que l'attrait sexuel qu'ils génèrent se sera tassé.
Ce qui, vu leur gueules encore très " juvéniles " ne risque pas d'arriver demain !
Jardinier
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Manuel Valls condamné en Espagne en 2022
En plus de faire de la trahison politique sa spécialité et d'avoir déclaré devant les caméras que les rues de sa ville d'Evry manquait de personnes blanches en 2009, l'arrivée au gouvernement d'un énième politicien condamné par la justice est mal accueillie par de nombreux français. En novembre 2022, le parti politique de Manuel Valls en Espagne a été condamné à une amende record de 277 000 euros pour le financement illicite de sa campagne aux élections municipales : le plafond autorisé avait été dépassé à hauteur de 71% et 189 500 euros de dépenses n'avaient pas été déclarées.
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