#un peu jaloux
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If Logan Howlett/Wolverine was your partner english version here
notes : GN!reader + des passages ajustés pour AFAB/AMAB (assigned female at birth/assigned male at birth)
! warnings : caractères sexuels (oral, fluff), guerre, violence, insécurités, jalousie, alcool, cigare
2 161 mots
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l'odeur est très importante pour lui, il n'aime pas quand tu changes de shampoing ou de crème pour visage, et il fait toujours la tête pendant plusieurs jours à cause de ça.
dans le même thème, s'il sent son odeur sur toi, il devient un peu bestial, grognant dans ton cou et mordant ta peau. Je t'assure que tu ne sortiras pas de la chambre pendant plusieurs heures.
il est très jaloux, même s'il ne le montre pas forcément. Il est plutôt du genre à tout intérioriser, se disant qu'il ne devrait pas penser ainsi, jusqu'à ce que ça explose et qu'il mette au sol le type qui te faisait rire.
par ailleurs, il te laisse te défendre par toi-même, il n'intervient que lorsqu'il sent que tu en as besoin, ou que tu lui demandes.
de même, à la maison lorsque tu as un projet en tête, comme un meuble à monter ou un mur à repeindre, il te demandera si tu veux de l'aide mais si tu refuses, il n'insistera pas. Il sera par contre toujours dans la même pièce, pour rattraper un cadre qui tombe ou juste t'observer.
il est fier de toi, et il te le dit souvent. Lorsque tu finis un projet, c'est toujours le premier à te prendre dans les bras et te dire comme il est fier.
quelquefois tu penses qu'il n'a pas une bonne mémoire, parce qu'il oublie que vous aviez un rendez-vous chez des amis ou bien qu'il ne reste plus de lait au frigidaire. Mais lorsqu'il s'agit de toi, il se souvient de tout. Souvent c'est même lui qui te rappelle ta soirée jeu de société avec Ororo ou même tes rendez-vous médicaux. Donc, il n'a pas une mauvaise mémoire, il retient juste ce qui est important à ses yeux.
il adorerait pouvoir s'endormir sur toi, mais son poids ne le permet pas à cause de l'adamantium qui le rend trop lourd. Tu essaies alors toujours de le câliner sur le côté en le serrant fort contre toi, et tu sais qu'il adore tout autant ça que toi.
vous faites beaucoup de blagues tous les deux, la plupart du temps les gens ne comprennent pas pourquoi vous riez et ça vous va très bien, c'est entre vous.
tu adores passer tes journées avec lui, mais il te pousse parfois à sortir avec tes amis parce qu'il ne veut pas que tu t'isoles à cause de lui. Mais tu trouves toujours le moyen de rapporter un petit quelque chose qui lui appartient avec toi, comme un foulard, un collier ou une veste ou un suçon.
il a mis du temps pour se livrer, beaucoup de temps. Mais à présent vous pouvez parler de tout, et au final il est assez bavard.
tu aimes lui donner des surnoms, tu lui en donnes énormément en fait et il se souvient de tous, même les plus futiles.
lui aussi il te donne des surnoms, mais il n'en a que très peu car ils veulent dire beaucoup à vos yeux. Même si bien sûr, "bub" est celui qu'il a le plus utilis�� depuis votre toute première rencontre.
il sent beaucoup de choses, avec son odeur mais aussi énormément avec “son instinct” comme tu aimes l’appeler. Bien sûr il sent les catastrophes arriver et ce genre de trucs, mais il sent aussi quand tu as un problème de santé, ou un quelconque changement interne, il le sent. Il sent quand tu es triste, quand tu as mal, quand tu réfléchis trop, quand tu as envie de lui sauter dessus.
il se fout de beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Que tu ne te rases pas ? Il s’en fout. Que tu pètes ou rotes ? Il s’en fout. Que tu en mettes partout en mangeant ? Il s'en fout aussi. Une fois, tu étais malade sur une longue période et la douleur était tellement puissante que tu n’avais pas pu te laver pendant quatre jours, et devine quoi ? Il s’en foutait totalement, tout ce qui importait était que tu te sentes mieux le plus vite possible. Il est tellement à l’aise avec ce genre de sujet, qu’il t’aide parfois pour te raser et ça lui fait plaisir en fait, comme ça tu évites de te couper.
vous habitez assez loin de la ville, dans un coin calme et un peu paumé ce qui vous permet d'être tranquilles, sans voisins bruyants ou attentats à chaque coin de rue.
Vie sexuelle
ton plaisir est sa priorité, dans la vie de tous les jours comme sexuelle. Alors il peut passer des heures et des heures à te torturer sans jamais se toucher. En fait, il oublie souvent son propre plaisir tellement il aime te voir crier son nom sous lui. C'est à toi de le plaquer contre le matelas et de le déshabiller la plupart du temps, même s'il te dit qu'il va bien et qu'il peut supporter la douleur. Mais il suffit que tu lui fasses tes doux yeux et que tu glisses une phrase dans le genre "s'il te plait, ça m'excite de te sucer" et il devient aussi chaud que la braise.
en parlant de ça, il adore les fellations mais il ne te demandera jamais de lui en faire une, même si tu sais très bien reconnaître les signes.
FOR AFAB : il te répète tout le temps à quel point il aime la manière dont tu mouilles pour lui à une vitesse impressionnante. Et en fait, il adore rendre cette humidité audible en faisant de grands mouvements avec ses doigts/langue/sexe/jouet, et puis, il aime te voir rougir à cause de ça.
FOR AMAB : il aime beaucoup te titiller jusqu'à ce que ton précum dégoulines sur toute ta longueur, et de même, il adore les bruits que fait ton corps, donc s'il faut accélérer ses mouvements pour que les sons humides soient plus forts, il le fera sans hésitation.
lorsqu'il jouit, il fera tout pour éloigner ses poings de ton corps, parce qu'il a toujours peur de ne pas se contrôler et que ses griffes sortent.
de même, lorsqu'il a un sommeil agité, il se forcera à rester sur le ventre avec les mains sous son oreiller.
il est tout l'inverse de sauvage. Il a déjà passé une heure entière à juste embrasser ton corps et sentir ton parfum. Je veux dire, il est déjà tellement dur et fermé au quotidien, la chambre est le seul endroit où il prend son temps et savoure chaque moment avec toi comme si c'était le dernier.
malgré ça, il arrive que vos parties de jambes en l'air soient plus que mouvementées. Lorsque vous avez passé un long moment séparés physiquement l'un de l'autre, ou qu'un pic de jalousie a fait surface dans la journée.
il est un peu de la vieille époque, il n'a pas des fantasmes farfelus ou tordus, il aime juste être avec toi. Il a carrément de l'expérience, mais il dit toujours n'avoir jamais vraiment aimé le faire en public ou le dirtytalk. Par contre, si c'est toi qui lui propose quelque chose de nouveau, comme un jouet ou une tenue, il sera toujours partant, et avec grand plaisir.
il est très à l'écoute, et parfois il préfère ralentir, voire stopper, parce qu'il sent et voit que tu as quelque chose en tête qui te préoccupe.
de la même manière, il aime savoir ce que tu ressens : il aime te demander si tu apprécies ce qu'il te fait, là où il appuie, la position dans laquelle tu es.
Petites choses du quotidien
il adore lorsque tu t'assois sur lui, que ce soit son torse ou ses hanches ou son visage. S'il y a cinq sièges, le seul et unique où tu auras l'autorisation de t'assoir sera ses genoux.
si tu as besoin d'aide pour tester quelque chose, il est toujours volontaire. Par exemple, lorsque tu vas racheter une crème ou du maquillage, il se retrouve toujours avec une dizaine de produits cosmétiques étalés sur la main et le bras.
lorsque vous faites des courses ou du shopping, il se débrouille toujours pour porter les sacs les plus lourds sans que tu ne t'en rende compte.
il dira toujours oui si tu veux encore aller voir une boutique, même s'il fait nuit et froid. Parfois, c'est même lui qui te propose d'y aller, parce qu'il a vu comme tu regardais la devanture du magasin.
tu le fais souvent rire lorsque tu ressors des objets/musiques/expressions qu'il a connu il y a des dizaines d'années auparavant.
il n'aime pas que tu dises ça mais tu trouves qu'il a vraiment des comportements de chat. Lorsqu'il est contre toi, il se met en boule et cale son visage contre ton ventre. Et tu peux juré avoir entendu une sorte de ronronnement une fois, peut-être qu'il ne s'agissait que d'un grognement, mais c'était de toute façon adorable.
il écoute de vieilles chansons, normal vu son âge, et ça te fait toujours sourire de le voir marmonner des paroles que ton grand-père aurait pu chanter.
tu demandes toujours à goûter ou tester ce qu'il mange/boit, malheureusement pour toi c'est souvent très fort en bouche (alcool, piment, viande).
lorsqu'il achète de nouveaux cigares, tu veux aussi toujours tester, même si tu trouves ça dégoûtant. Mais tu sais que ça lui fait plaisir que tu essaies les choses qu'il aime, même s'il évite de te faire goûter trop souvent de peur que tu te mettes à fumer à cause de lui.
vous avez l'habitude de faire de longues balades en moto, lorsque vous vous sentez un peu dépassé par des évènements ou simplement la vie.
il adore l'hiver, plus que n'importe quelle saison, et il peut passer sa journée dehors à juste regarder la niege tomber.
Vulnérabilité
il fait fréquemment des cauchemars, tous violents et traumatisants. Dans ces cas-là, il quitte le lit et va prendre l'air, parce qu'il ne veut pas que tu le vois en colère ou triste. Mais tu te réveilles toujours, parfois tu le laisses tranquille parce que tu sens qu'il en a besoin, et à d'autres moments tu le prends dans tes bras.
il pleure plus qu'il ne veut l'avouer, souvent à la suite de ses cauchemars justement. Tu sais qu'il n'aime pas ça, et tu as beau lui répéter que c'est beau de pleurer, il ne sera jamais de cet avis pour son cas personnel. Alors tu fais semblant de ne pas voir ses larmes, tu embrasses ses cheveux et le prend contre ton poitrail. Le lendemain, il vient toujours te remercier, avec des mots ou des gestes.
lorsque tu as de mauvais jours, il le sent à des kilomètres et il fait tout pour te faire te sentir à l'aise. Il a même été chercher des chocolats pomme/cannelle dans une autre ville parce que tu l'avais mentionné.
Entourage
il n'a pas de famille, ou du moins pas de liens de sang, mais Charles et toute l'équipe occupent une place importante dans son cœur, même s'il ne le dit pas.
vous allez souvent passer plusieurs semaines d'affilées dans le manoir, tu aimes voir un refuge aussi beau ouvert à tous mutant et Logan a besoin de retourner là-bas parfois, c'est un peu la seule maison qu'il ait jamais eu (à part toi bien sûr).
Charles est très gentil avec toi, il a tout de suite aimé ta personne et il n'a pas manqué de le dire à Logan.
tu t'entends vraiment bien avec Ororo, c'est un peu devenue comme une sœur à tes yeux.
Logan t'avais parlé de ses conflits avec Cyclope et tu as pu le voir de tes propres yeux, ils s'envoient des pics tout le temps.
il t'avais aussi parlé de Jean, et honnêtement, au début tu n'aimais pas vraiment parlé d'elle, tu avais peur qu'il l'aime toujours. Mais tu as vite pris conscience qu'il n'y avait plus rien entre eux, que c'était juste une sorte de très très gros crush mais qu'il t'a rencontré et que maintenant rien ne t'égale, ce sont ses mots.
deux fois, tu as vu Magneto dans le jardin en train de jouer aux échecs avec Charles, mais tu as préféré ne pas t'en mêler, lui non plus Logan ne l'aime pas et apparemment c'est mutuel.
les x-men sont un peu devenus comme une deuxième famille pour toi aussi, ils t'ont tous accueillis les bras grands ouverts et tu les remercies souvent pour ça.
la première fois que Logan t'a amené là-bas, tout le monde vous a regardé avec des yeux de grenouille. Les étudiants avaient du mal à croire que Wolverine était en couple, et pourtant c'est le cas.
Phrases typiquement "Logan"
J'suis fier de toi
Tu as besoin de quelque chose ?
Sur mes genoux bub
ELLE/ELLE READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal toute seule, puisque t'es "une grande fille", mais je veux le faire pour toi
IL/LUI READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal tout seul, puisque t'es "un grand garçon", mais je veux le faire pour toi
Quelqu'un t'a fais du mal ? Dis-le moi
Film ? Installe toi, je prends les plaids
Chocolat chaud ?
Viens là, viens dans mes bras darl'
SEXUALITÉ
Tu sens ? Dis-moi que tu sens comme tu trembles pour moi
Bordel, regarde toi, putain d'magnifique
Jamais personne n'aura la chance de te voir dans cet état huh ?
Dis-le moi, dis mon nom darling
Putain refais ça, refais ça pour moi
° x-men masterlist
gif : @/asgardswinter
bannière : @/saradika-graphics and @/thecutestgrotto
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Jalousie
À la demande de @harknessshi en espérant que ça va te plaire.
29"Pouvez-vous s'il vous plaît arrêter d'être si jaloux pendant une seconde"
Agatha x Lecteur
Reader, membre du Coven d'Agatha, se tenait là, entourée par ses anciennes amies et nouvelles compagnes d'aventure. Leurs regards se croisaient dans une ambiance chargée d'électricité, alors qu'elles se préparaient à affronter la nouvelle épreuve, celle d'Alice. L'air était saturé d'excitation et d'anticipation, chaque sorcière arborant un style rock qui tranchait avec le passé traditionnel de leur magie. Reader, avec son jean similicuir noir qui brillait légèrement sous les lumières, dégageait une aura de confiance. Son t-shirt en col en V noir, ajusté à sa silhouette, ajoutait une touche de mystère, tandis que sa veste rouge flamboyante, presque comme une armure, attirait tous les regards.
Agatha, bien qu'elle se tenait parmi elles en tant que leader, ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'œil vers Reader. Les souvenirs de leur amitié à Salem, teintés de rires et de secrets partagés, s'entrelaçaient avec le ressentiment causé par la quête insatiable de pouvoir d'Agatha. La tension entre elles était palpable, un mélange de nostalgie et de rivalité, comme une danse délicate entre le passé et le présent. Reader, consciente de ce regard insistant, ressentait un frisson parcourir son corps , à la fois intriguée et méfiante.
Autour d'elles, Jen, Alice et Lilia, et l'adolescent pleine de fougue, semblaient prêtes à plonger dans l'inconnu. Les éclats de rire et les murmures enthousiastes résonnaient, mais pour Reader, tout cela était assourdi par le poids de son histoire avec Agatha.
Dans l'atmosphère électrique de la salle, Jen ne pouvait s'empêcher de contempler Reader, son regard captivé par sa beauté saisissante. La façon dont Reader ajustait sa veste rouge, les mouvements fluides de ses bras, la manière dont ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, tout cela faisait battre son cœur un peu plus vite. Jen, déterminée à ne pas laisser passer sa chance, prit une profonde inspiration et s'approcha de Reader.
« Hé, tu sais que cette veste te va à merveille ? » lança Jen avec un sourire charmeur, sa voix douce mais pleine de confiance.
Reader tourna la tête, surprise, mais un sourire se dessina sur ses lèvres. « Merci, Jen. »
« Tu es absolument incroyable, » répondit Jen, s'approchant un peu plus, ses yeux pétillants d'admiration. « Je veux dire, qui d'autre pourrait porter du similicuir et du rouge avec autant de classe ? »
Agatha, observant la scène de loin, plissa les yeux, un regard noir et méfiant s'installant sur son visage. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague de jalousie en voyant Jen flirter avec Reader sous son nez.
« Jen, tu devrais peut-être te concentrer sur l'épreuve plutôt que sur… disons, des distractions, » intervint-elle d'une voix glaciale, le ton chargé de menace.
Reader, consciente de la tension qui montait, essaya de garder son calme. « Je pense que nous avons tous besoin d'un peu de distraction avant de plonger dans ce qui nous attend, tu ne pense pas Agatha ? » dit-elle, lançant un regard complice à Agatha
« Exactement ! » s'exclama Jen, ignorant délibérément le ton d'Agatha. « Et puis, je suis sûre que nous allons toutes briller. Mais je dois admettre, Reader, que c'est toi qui voles la vedette. »
Le regard d'Agatha se durcit encore plus, mais elle ne pouvait pas s'opposer à l'énergie qui émanait de Jen et Reader. La tension était palpable, une bataille silencieuse entre l'amitié, la rivalité et l'attirance.
~oOo~
Agatha était assise dans la cabine de son, le regard perdu dans le vide, la tension palpable dans l'air. Chaque fois qu'elle voyait Jen s'approcher de Reader, une vague d'irritation l'envahissait. Elle levait les yeux au ciel, sa frustration se manifestant par un léger soupir.
Reader, qui avait remarqué l'humeur d'Agatha, décida de la suivre. Elle entra dans la cabine et ferma doucement la porte derrière elle.
"Peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ?" demanda Reader, son ton léger mais direct.
Agatha éclata de rire, un son qui trahissait une nervosité sous-jacente. "Je ne suis pas du tout jalouse," répondit-elle, feignant l'indifférence.
Reader croisa les bras, un sourire amusé sur le visage. "Ah, donc je peux passer tout mon temps avec Jen, ça ne te dérange pas ?"
Agatha leva à nouveau les yeux au ciel, silencieuse, son expression trahissant son malaise. Reader s'approcha d'elle, s'asseyant sur le bord de la chaise.
"J'aime bien te voir jalouse, mais ce n'est pas ce qui te va le mieux," ajouta-t-elle, son regard perçant cherchant à capter l'attention d'Agatha.
Agatha détourna le regard, mais un léger sourire se dessina sur ses lèvres. "Tu sais que je préfère quand tu es avec moi," murmura-t-elle finalement, la jalousie se mêlant à une affection indéniable.
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Mes mots son bleus et doux avec toi, c'est un pacte que j'ai fait avec eux ! Ils sont impatients de murmurer à tes oreilles, mais je me méfie un peu de leur zèle J'ai beau leur répéter que cela ne dépend pas que de moi, ils me harcèlent et je suis obligé de me fâcher. Ils me boudent et sont jaloux quand je suis occupé à autre chose
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Viktor,
J'espère réellement que tu liras ces mots, parce que c'est sûrement les seuls que j'écrirais avec le cœur si ouvert. Je t'écris avec toute ma sincérité, que j'ai rassemblée en valeurs structurées et organisées depuis près de quatre semaines pour en arriver ici, au fond de ma pensée.
Voici des jours que je m'isole seul avec mon esprit et mes souvenirs qui me consolent dans le seul but de savoir ce que je voulais, parce qu'au fond, je ne l'ai jamais sû. Viktor, j'ai pensé à tout ce qu'on manque, tout ce qu'on perd, tout ce qu'on pourrait ressentir seulement si j'avais réfléchi avant. On me l'avait dit, "réfléchis", et je répondais toujours l'avoir déjà fait, mais au final, ma réflexion n'a jamais été plus poussée que quelques mises en perspective d'événements.
J'ai pensé, j'ai beaucoup pensé. Pensé de la façon la plus simple et linéaire pour que je puisse enfin, aujourd'hui, mettre des mots sur mon ressenti. Mettre des mots sur mon amour pour toi, Viktor.
Sûrement penses-tu que quatre semaines sont trop peu pour arriver à une conclusion, que tu as déjà ton avis tranché sur la question et ce dès le 7 Novembre. Peut être penses-tu que, encore une fois, je n'ai pas de quoi authentifier mes propos, mais c'est avec la plus grande sincérité que je te dis aujourd'hui que je t'aime, que j'ai compris mes erreurs et peu importe qui sait tout croix en ce que j'avance tout haut.
Ça serait mal me connaître de penser que je lâcherais ce qui compte le plus à mes yeux, et même si, j'ai été égoïste, jaloux, indécis, maladroit, même con par fois. Je jure sur notre amour que j'ai compris, cette fois. Donc oui, sûrement as-tu déjà connu nouvel amour, quelqu'un d'autre qui fait battre ton cœur autant que je l'ai fait, et qui te rend encore plus heureux peut être. Mais moi, oui moi. Moi qui ai mal payé ton amour si longtemps dans l'étrange pensé que c'était le mieu pour nous. Moi je t'aime, toi.
Mais même moi qui pensais me connaître, je me suis vu changer, je dirais même renaître. C'est ironique je sais, que tout ce que je souhaite aujourd'hui je l'ai touché du bout des doigts avant que tu ne m'aimes plus, toi. Moi je t'aime, toi. Oui, je t'aime, moi.
Je t'aime du 2 jusqu'au 7, autant tes yeux que ce qu'il se cache dans ta tête. Je t'aime pour toutes ces petites choses que tu fais, pour toutes ces petites choses qu'on a faites du 2 jusqu'au 7. De cette journée durant laquelle le hazard nous a réunit, de cette journée durant laquelle tout s'est pas si brusquement finit.
Viktor, c'est avec un vent d'espoir que j'arrive devant ton cœur, avec une seule déclaration : celle de mon amour en malheur. Celui qui n'a jamais bougé mais qui pourtant m'a semblé à cent fois trop compliqué. Ce même amour qui a aimé Esteban, et qui aujourd'hui aime Viktor d'une flamme qui ne s'éteindra pas.
Je ne demande que ta confiance en mes sentiments, une nouvelle chance à mon cœur défaillant. J'attendrais, si il le faut, pour que mon amour soit à nouveau partagé. Pour que dans tes bras je puisse à nouveau me plonger.
J'attends ta réponse, avec mon amour le plus sincère. Je t'aime, Viktor.
-♥︎
@vikkt0r
#je veux être bien plus que ton ami#bien plus que j'ai pu te donner#radin en amour me dira tu#j'ai maintenant compris mon avarie#ton amour je veux être#mon dernier message ce peut etre
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ASNG Théories/Analyses Jason Mendal
Attention les amis, toute information ici ne sont que spéculation et/ou information que nous avons eu au cours des épisodes déjà passé (pour ma part s’arrêtant à l’épisode 8)
Donc aussi ceux qui ne veulent pas se SPOIL des informations vous pouvez vous arrêter maintenant !
Il y a tellement de chose à dire, plein de pensées différentes à son sujet ! Plein de question sans réponse qui font travailler notre imagination.
Mais avant, vous lui donnez quel âge ? On pourrait croire qu’il est un peu plus âgé que nos autres CDC et de notre Su. Physiquement mais je dirais aussi mentalement.
C’est un personnage confiant voir trop parfois qui au départ avait une attitude quelque peu arrogante avec ses petites touche ironique, mais quand on apprend à le connaitre, il devient une autre personne. Si je pars du commencement avec le peu d’information qu’on a de lui, c’est un homme qui a beaucoup d’influence dans le domaine (dont celui de Devenementiel) qu’il exerce et qui fait forte impression auprès des gens de son entourage. Que ce soit par son professionnalisme ou que ce soit par sa prestance. Cependant, derrière ses aires d’homme tout puissant, se cache selon moi une personne attentionne et complètement différente de ce qu’il projète.
Encore une fois cela reste qu’une supposition. Dans l’épisode 5, Jason nous a brièvement parler de son père (grâce à notre Sucrette qui ne pose jamais les bonnes questions !) décédé quand il était adolescent. On peut tous dire que c’était un sujet douloureux pour lui et qui ne voulais pas en parler (ce qui est tout à fait normal). On peut donc conclure que cela a du bouleverser/préoccuper pendant son adolescence (il devait avoir entre 14-16 ans). C’est dans cette période que l’on a ressentir et essayer de comprendre nos émotions, donc pour sûr, la perte d’un proche peut parfois faire des ravages mentalement… On ne sait pas non plus comment sa mère à réagit. On a appris qu’il n’était pas dans une famille aisée financièrement (peut-être qu’il avait des problèmes d’argent…) Je pense qu’à ce moment, déjà que ça ne devait peut-être pas être facile au début, il a commencé à se refermer, s’isoler et former une carapace pour que personne ne puisse l’atteindre (crée un nouveau personnage pour éviter de souffrir). Au fil des épisodes, on commence à voir le Jason caché. On va se dire qu’il est vraiment adorable avec son petit côté jaloux/protecteur avec notre sucrette.
On ne sait pas non plus à l’école comment est-ce que cela se passait. Mon hypothèse, probablement que Jason, Devon et Roy allait à la même école. Là vient le gros débat de la relation de Devon et Jason (ami/ennemi). On a tout appris par Devon (on a seulement une version de la vérité) que Jason avait volé/plagié son idée/projet lors du concours de la mairie et qu’il s’est fait licencier de son poste d’assistant à la mairie. Je ne crois vraiment pas que Jason déteste autant Devon juste à cause de cette histoire-là (Cela n’empêche pas qu’il ne s’apprécie pas pour autant). Jason n’a pas juste fouillé dans les projets des candidats parce qu’il n’avait pas d’idée et est subitement tomber sur celle de Devon ‘’Ah cool, elle est trop bien cette idée ! Je vais lui piquer ‘’
Il y a clairement eu un incident dans passé qui a déclenché cette guerre et que Jason pris le risque de perdre son travail pour voler son idée. Brillant comme il le laisse paraître et comme je pense qu’il est, il aurait clairement pu trouver une idée lui-même et déposer sa candidature. Le sujet est revenu quelque fois avec Devon/Roy et notre sucrette lors de la visite de l’appart concernant cette histoire. Jason n’a nié le contraire de cette accusation, mais il n’a pas non plus énoncé concrètement qu’il avait fait ça...
Première hypothèse, Devon et Jason était bon/très bon ami. Jason avait moins confiance en lui a l’époque et il voulait présenter sa candidature au concours et avait commencer à monter son dossier. Au final, il s’est découragé (avec son côté perfectionniste) pensant que c’était mal imaginer et à abandonner le projet. Devon en a prit une opportunité (peut-être en décourageant aussi son ami) et à récupérer son dossier pour le présenté au concours sous son nom. Jason s’en ai rendu compte, il a essayé de le récupérer mais à la fine il s’est fait dénoncer. Suite à ça, il s’est fait trahir par son ami, donc il veut se venger et lui pourrir la vie pour lui montrer qu’il a eu tort.
Je mets l’emphase sur Devon comme étant le ‘’méchant’’ de l’histoire parce qu’on a pu voir quelques fois au cours des épisodes qu’il lui arrivait de changer d’attitude brusque. Passer d’un ton doux et délicat à une attitude plus sévère, un ton plus sec. À moins que ce soit juste sa façon d’être mais, y’a un petit truc louche là-dedans.
Deuxième hypothèse, Devon et Roy (vu qu’il se connaisse depuis) intimidaient Jason dans le temps du lycée. Donc quand il a vu que Devon présentait son dossier à la mairie pour le concours, il s’est mis l’idée de se venger en volant son dossier (je ne la trouve pas assez crédible comme hypothèse)
Ou Jason en avait marre de toujours le voir réussir dans la vie sans difficulté et il a juste voulu faire chier en volant son idée ! (Des fois ne faut pas aller chercher plus loin)
Maintenant une autre question, si on sort du passé avec Devon et Jason, pourquoi est-ce que Danica a subitement décidé de changer d’entreprise comme ça. Jason stipule que c’est le choix de Danica et qu’il n’y a pour rien.
On apprend que Danica avait besoin d’un meilleur salaire pour pouvoir nourrir ses bébés qui au final s’avère à être deux chats. Je ne juge rien face à ça, j’en ai deux et je comprends. J’ai trouvé ça très drôles et que Jason la défende en augmentant. On a vu aussi que Roy réagissait très mal quand on parler d’elle et quand on l’a vu à la fête foraine, il n’était pas très enchanté. (Perso, est-ce qu’on peut mettre Danica comme CDC s’il vous plaît !)
Est-ce qu’il s’est passé quelque chose entre Roy et Danica ? Je pense qu’il ne s’est rien passé de spécifique mais, que Roy avait des sentiments pour elle. Il a peut-être essayé de la rendre jalouse en se mettant en ‘’couple’’ avec Brune (Lol)
Sinon, ce qui m’étonnerait quand même mais pas impossible, est-ce qui s’est passé quelque chose entre Jason et Danica pour qu’elle décide de partir aussi rapidement. Mais encore une fois ça m’étonnerait, ils ont l’air d’avoir une relation de collègue normale. Jason vante et apprécie son travail et son dévouement pour l’entreprise.
Ou Danica a juste décidé de partir au plus vite de cette entreprise de ‘’loufoque’’ après avoir eu une situation équivalente à celle de l’épisode 8 à la piscine ! Je ne serais pas choqué non plus.
Bref, c’est pas mal les pensées que j’avais besoin de partager avec vous par rapport à ça. N’hésitez pas à partager le votre aussi tout en restant dans le respect bien sûr.
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Quand j'ai vu le passé de Fizz, je trouvais que quelque chose clochait mais j'arrivais pas à mettre le doigt dessus. Et j'ai compris ce qui me dérangeait, c'était comment le feu a-t-il pu se propager aussi vite ? Quand j'ai vu le point de vue de Blitzo sur ce qui s'est passé lors de cet accident. Je comprenais mieux comment le feu a pu se propager aussi vite ! D'ailleurs quand on y pense son amour des chevaux est un peu tordu vu que ce sont justement les chevaux qui ont propagé l'incendie dans le cirque.
Fizz pensait que Blitzo était jaloux de lui car il était aimé de tous mais en vérité, Blitzo avait l'impression que peu importe l'affection qu'il lui donnerait. Ça ne vaudrait rien comparé à l'amour et l'attention que Fizz recevait de la part des gens du cirque voir même de sa famille. Ce qui est triste car encore une fois on montre à nouveau les insécurités de Blitz. Mais aussi le fait que peu importe ses efforts pour chérir une personne, il aura l'impression que ce sera jamais assez. D'ailleurs je comprends mieux pourquoi sa soeur lui en veut, c'est pas à cause de ce qui est arrivé à Fizz mais ce qui est arrivé à leur mère. Elle est morte dans l'incendie et Barbie l'en tient pour responsable !
When I saw Fizz's past, I thought something was off, but I couldn't put my finger on it. And then I realized what was bothering me: how could the fire have spread so quickly? When I saw Blitzo's point of view on what happened during the accident. I understood better how the fire could have spread so quickly! And when you think about it, his love of horses is a bit twisted, given that it was the horses that spread the fire in the circus.
Fizz thought Blitzo was jealous of him because he was loved by everyone, but in truth, Blitzo felt that no matter how much affection he gave him. It would be worth nothing compared to the love and attention Fizz received from the circus folk and even his family. Which is sad, because once again we see Blitz's insecurities. But also the fact that no matter how hard he tries to cherish someone, he'll always feel that it's never enough. By the way, I understand better why his sister resents him, it's not because of what happened to Fizz but what happened to their mother. She died in the fire and Barbie blames him for that!
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Joachim: Oyez oyez! The Emperor is back from Compiègne! Aimery: And in very good company!
Napoléon V: Who could resist such beauty? I'll give her my hand, and... my life
Philippe: A rare beauty, indeed, with a lot of character.
Napoléon V: Just the way we like them, eh Philippe? Joachim: Are you jealous, Phil?
Philippe: Not at all, I'm happy for Louis Grégoire: How does it feel, your last night as a free man?
Napoléon V: I must admit, I don't feel much difference. Is that a good sign?
Oliver: Don't worry, Louis, you'll soon feel the difference
Joachim (laughs) Napoléon V: It should go well with a bit of your whisky
Joachim: Between the whisky and Charlotte, our Emperor's in no position to reign! Thank you Oliver!
Oliver: Well, I hope the Emperor is sure of himself. He'll soon be looking like a sober man with his soda, surrounded by tempting and delicious spirits
Napoléon V (teasing): What women are you talking about, my dear friend? Shall I tell my sister?
Oliver: I just want to point out that once you're married, you'll attract all the more women. Many want the benefits of a wife, without the official duties associated with it. And… In view of your ancestors, my theory seems to be borne out
Napoléon V: Really?
Grégoire: Charlotte can look after herself, don't worry Louis
Napoléon V (can't resist the whisky, drunk): Anyway, I don't need your help, I'm guided by Providence Oliver: Come on
Napoléon V: I'm doing all this for Phil', poor chap, he nearly became Emperor of the French
Philippe: Don't talk nonsense Louis Joachim: It's nothing Phil', he's already completely drunk Napoléon V: Shut up!
⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 20 Prairial An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Napoléon V and a few friends celebrated his bachelor party at the palace. Joachim, his best friend and organizer, wanted to make it a rococo party, as he couldn't have fun outside the palace for security reasons.
(Thanks @officalroyalsofpierreland !)
⚜ Traduction française
Napoléon V et quelques proches fêtent son enterrement de vie de jeune homme au palais. Joachim, son meilleur ami et organisateur, a souhaité en faire une soirée rococo, à défaut de pouvoir s'amuser à l'extérieur du palais pour des raisons de sécurité.
Joachim : Oyez oyez! L'Empereur est de retour de Compiègne! Aimery : Et en très bonne compagnie!
Napoléon V : Qui aurait pu résister à une telle beauté? Je veux bien y laisser ma main
Philippe : Une rare beauté, en effet, avec beaucoup de caractère
Napoléon V : Comme on les aime, n'est-ce pas Philippe? Joachim : Tu es jaloux Phil' ?
Philippe : Nullement, je suis heureux pour Louis Grégoire : Ca fait quoi, ta dernière nuit comme homme libre ?
Napoléon V : Je ne ressens pas trop de différence, je dois l'avouer. Est-ce bon signe ?
Oliver : Ne t'en fais pas Louis, tu sentiras rapidement la différence
Joachim (rigole) Napoléon V : Ca devrait aller avec un peu de ton whisky
Joachim : Entre le whisky et Charlotte, notre Empereur est mal barré pour régner! Merci Oliver!
Oliver : Hé bien, j'espère que l'Empereur est sûr de lui. Il aura bientôt l'air d'un homme sobre avec son soda, entouré d'alcools tentants et délicieux
Napoléon V (taquine) : De quelles femmes parlez-vous, très cher ami? Dois-je en avertir ma soeur?
Oliver : Je veux simplement souligner qu'une fois marié, tu attireras d'autant plus de femmes. Beaucoup souhaitent les avantages d'une épouse, sans les devoirs officiels associés. Et... Au-vu de tes ancêtres, ma théorie semble se confirmer
Napoléon V : Vraiment ? Je ne souhaite pas faire de mal à Charlotte
Grégoire : Charlotte saura se défendre toute seule, ne t'en fais pas Louis
Napoléon V (ne résiste pas au whisky, bourré) : De toute façon, j'ai pas besoin de votre aide, je suis guidé par la Providence Oliver : Allons donc
Napoléon V : Je fais tout ça pour Phil', le pauvre, il a failli être Empereur des Français
Philippe : Ne dis pas n'importe quoi Louis Joachim : C'est rien Phil', il est déjà complètement saoul Napoléon V : Ta gueule toi!
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Jalousie
Fandom : Ranma 1/2
Relationship : Ranma x Akane
Voici ma participation pour le Rankane Week 2024 pour le prompt : Jalousie.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Akane regarda Ranma s'en aller. Il était furieux car elle avait donné le plat qu'elle avait cuisiné à Ryoga. Après tout, il avait toujours apprécié sa cuisine, alors que Ranma n'arrêtait pas de la critiquer. Et puis, elle espérait secrètement énerver Ranma et donnant ce qu'elle avait cuisiné à Ryoga.
Disclaimer : Ranma 1/2 appartient à Rumiko Takahashi.
@rankaneweek
AO3 / FF.NET
Akane regarda Ranma s'en aller. Il était furieux car elle avait donné le plat qu'elle avait cuisiné à Ryoga. Après tout, il avait toujours apprécié sa cuisine, alors que Ranma n'arrêtait pas de la critiquer. Et puis, elle espérait secrètement énerver Ranma et donnant ce qu'elle avait cuisiné à Ryoga.
Malgré tout, elle ne put s'empêcher de sourire. Ranma était jaloux. À chaque fois qu'un garçon était un peu trop proche d'elle, c'était toujours la même chose.
À vrai dire, elle aussi réagissait ainsi lorsque Shampoo, Ukyo ou Kodachi étaient un peu trop proche de lui. Elle était jalouse et elle ne pouvait pas empêcher ce sentiment. Parce qu'elle tenait à lui. Non, c'était plus fort que ça, elle l'aimait. Et quand elle voyait que Ranma était jaloux, son cœur se réchauffait.
Peut-être que lui aussi ressentait la même chose. Et bien qu'il dise le contraire, elle aimait à penser qu'il l'aimait aussi. Le fait qu'il soit jaloux de Ryoga, de Kuno ou d'un autre garçon ne la gênait pas. Au contraire. C'était la façon qu'il avait d'exprimer ses sentiments. Comme elle le faisait.
Alors Akane souriait parce qu'elle l'aimait et que lui aussi l'aimait.
Fin
#ranma 1/2#ranma ½#rankaneweek#rankaneweek24#rankane#ranma x akane#ranma saotome#akane tendo#my writing
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
15/20
Papa et Maman sont repartis avec les Jeanne et Julienne une bonne semaine après l'enterrement. Maman a insisté pour passer du temps avec mes filles, dont elle s'est montrée très fière. Elle m'a fait quelques remarques quand à leur physique, alors je pense qu'elle se doute de quelque chose, mais peu importe. Si jamais elle me pose des questions, je ne compte pas lui mentir.
Papa s'est plongé dans le travail. Il a ramené d'Egypte des tas de tonnes et donc réinvestit le bureau d'Ange, qui était le sien il y a quelques années. Il partageait nos repas, mais guère plus, même si la veille de son départ, il m'a fait venir pour me parler en tête à tête. Il s'est contenté de recommandations très succinctes, ainsi que d'une étreinte maladroite. C'est peu, mais c'est tout ce que je peux espérer de mon père, et c'est déjà bien.
Transcription :
Constantin « Adelphe… Qu’est-ce que je serais devenu sans toi ? »
Adelphe « Un homme différent sans doute. Mais c’est inutile de se perdre avec des peut-être. Comment te sens-tu ?»
Constantin « Mieux. Et pire en même temps. Mais c’est normal de souffrir quand on perd un être cher. »
Adelphe « Oui, c’est normal. C’est à cela que servent les funérailles, à partager sa peine avec ceux qu’on aime, et avec ceux qui ont aimé celle qu’on a perdu. »
Constantin « Quand ce sera fini, il faudra aussi en faire pour Maman. Et pour Tante Lucrèce. »
Adelphe « Tu as raison. J’aurai du en organiser depuis longtemps. »
Constantin « Je ne pourrais pas retourner en Egypte avant cela et… je crois que j’y resterais un moment. »
Adelphe « On ne va pas se voir avant longtemps alors. »
Constantin « Non. Mais je crois que c’est nécessaire. »
Adelphe « Moi aussi. Mais comme nous l’avons dit avant ton départ, ça ne changera rien entre nous deux."
Constantin « Non, jamais. Tu prendras bien soin d’Arsinoé et Marc-Antoine ? »
Adelphe « Comme si ils étaient mes enfants. »
Constantin « Arsinoé est bien plus ta fille qu’elle ne sera jamais la mienne. Je ne suis pas jaloux, c’est simplement un fait. Peut-être… peut-être n’aurai-je jamais du avoir d’enfants. »
Adelphe « C’est peut-être un peu tard Tintin… »
Constantin « Je m’en doute… Au final, tu es comme grand-mère. Tu as élevé et couvé des générations d’enfants qui n’étaient même pas les tiens et tu as pallié à tous mes défauts. J’espère qu’un jour, on se souviendra de toi comme on se souvient d’elle. »
Adelphe « Merci. Tu n’as pas idée comme cela me touche. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Adelphe Barbois#Constantin Le Bris#Clémence Brion#Lucrèce Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Jeanne Le Bris II#Julienne Le Bris#Elisabeth Le Bris de Chastel#Anna Le Bris de Chastel#Ange de Chastel
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Alors ce post est un peu un espece de characters studies à propos de Gamebreakers et de lnévolution de leur relation entre l'arrivée des français sur le serveur et jusqy'à aujourd'hui. Et vu que je vais le poster pour le Language Day, ce poste sera écrite en français. Si j'ai vraiment la force je le tradurerai en anglais mais ce n'est pas du tout sûre. Aussi ce que je vais partager est juste mon opinion, donc ne prenez pas celà comme la vérité absolue. Aussi, je vais surtout parler du POV de q!Aypierre. Bref, après ce loooong intro allons au sujet qui intéresse aujourd'hui.
Alors l'évolution d'AyHalo peuvent être vu en trois étapes chronologique (pour l'instant).
La première va de l'arrivée des français sur l'île jusqu'au vol des meuble.
Et pour être plus précise ça a vraiment commencer lors de la deuxième connexion d'Aypierre sur le serveur où BadBoyHalo lui a fait une p'tite visite de l'île et lui a montrer sa ferme, lui a donner des quelques stuffs pour lui et pour Pomme, et l'a aider à avoir ses 20 cœurs. Tout cela a vraiment marquer dans une très bonne manière Pierre. Grâce à cela et dû qu'à l'époque où Aypierre se connectait durant la matinée (en France) et que Bébou était généralement la seule autre personne qui était connecter sur le serveur, il a était le premier dont Pierre lui a montrer sa ferme à XP et aussi le premier non FR, en remerciement pour l'aide qu'il a donner aux frenchies et à leurs œufs durant les premiers jours de leur arriver sur l'île, dont Aypierre a ajouter dans l'allowlist pour y accéder. En en retour, il a été un des premiers (si pas le premier mais je ne suis pas sûre à propos de ça) dont Bad lui montrer sa nouvelle base quand il était en construction.
Durant toute cette période il s'apprenaient à se connaître et ils n'étaient pas aussi proche comme ils vont l'être plus tard. Ca a surtout poser les bases de leurs relations.
Aussi c'était durant cette période là où Aypierre couchait à gauche et à droite (son but principal était d'avoir tout les gars de l'île dans son lit). Aussi, en même temps, côté il y avait sa relation entre lui et Maximus qui commençait à se développer (un p'tit truc amusant, c'est à grâce à Bébou ces deux là se sont vraiment rencontrer lorsqu'ils leur a proposer de faire des shenaningans dans le dragon de Foolish). Et BadBoy avait toute cette chose avec "l'Autre Gars" (je penses que certain.e. savent de qui je veux parler).
Bref, après cette p'tite interlude on va passer au live 24h d'Aypierre où il a passait beaucoup de temps avec Bébou. Et tout cela avec Bad demandant à Pierre de l'aider à interroger Foolish en construisant une machine pour le torturer et ce dernier accepta. Puis après avoir avoir le Lucky avec Foolish et "l'Autre Gars" il apprit que ce dernier et Pierre avait déjà coucher ensemble (même si ce dernier essaya de le nier) ce qui conduisit plus tard dans la nuit à Bébou jaloux envers Aypierre, lui demandant si beaucoup de personnes étaient passer dans son lit et Pierre lui répondit en lui citant les noms. Et ensuite, Bad lui demander sarcastiquement si Skeppy était passer dans son lit et il a profiter de l'occassion pour lui demander que si c'était le cas, est ce que il coucheraient avec eux aussi. Bébou a éviter de répondre même si Aypierre continuer à le taquiner avec notamment un photomontage de Skeppy dans le lit d'Aypierre. Et ensuite, ils commencèrent à construire la machine à torture pour Foolish. Puis ils emprisonna ce dernier.
Selon moi, cette live là marqua un moment important dans leur relation surtout, je penses, du côté de Bébou qui a pu voir que la boussole morale d'Aypierre était aussi fucked up que la sienne et que ça ne le dérangeait pas de construire une machine pour torturer quelqu'un et que ce dernier ne le jugerait pas pour ça.
L'autre moment qui une autre étape importante dans leurs relation est lors de l'affaire des vols des meubles où Pierre est le seule adultes qui été présent ce jour à penser que BadBoyHalo était innocent et devait être libérer. Ce qui fait qu'il a était avec Pomme et Dapper les premiers à avoir accès à la nouvelle waystone de chez Bébou. Aypierre lui avoua c'était qui avait trafiquer le système des votes pour un nouveau mod (ce qui va installer une habitude chez Pierre de ne pas lui cacher des choses importantes, que ce soit lorsqu'il avait voler les waystones pour détourner l'attention des gens de Bébou ou bien plus avec ses rêves et de son passé avec la Fédé). Puis les œufs disparurent et à partir de ce moment là Aypierre passèrent plus de temps ensemble. Ils essaient de faire que l'autre ne plonge pas complètement. Et par exemple, durant je crois le premier jour, Pierre a été celui qui a fait rire BadBoy. Et ils passèrent aussi de longues heures à discuter et à théoriser sur ce qu'ils se passaient avec les oeufs et certaines personnes. Aypierre a aussi été un des premiers à être témoin de la dégradation mentale et physique de Bébou et à s'inquiéter de cela. Aussi, il avait prit l'habitude d'aller chez Bad lorsqu'il le voyait se connecter sur le serveur.
Après sa rupture avec Maximus, BadBoy a été la personne vers qui Aypierre s'est pour parler à propos de jambe infecté de Maxo.
En gros, durant cette période leur amitié, confiance et affection en l'un et l'autre s'est vraiment renforcé et c'est encore devenue plus forte avec le 1er Purgatory où il s'effectuaient souvent les missions et les assassinats des teams adverse en compagnie de l'un et l'autre (et il ne faut pas oublier Aypierre disant à Bad que c'est eux deux contre le reste du monde).
Puis on arrive à la troisième de Gamebreakers où les deux sont devenu plus souder que jamais, meilleures amies, étant toujours partant à participer qu'un faisant sur un des habitants de l'île (Tubbo) et aussi en faisant des pranks contre l'un et l'autre.
Et puis il y a aussi lors du dernier jour de "l'Autre Gars" lorsque Aypierre passa du temps pour replanter les graines dans la ferme de Bébou et Dapper alors qu'il n'était obliger de le faire et Bad le étant à le prévenir de ce qui se passait au même moment. Et c'était aussi le même soir où Pierre a dit à Bad qu'il savait qu'il pourrait compter sur lui pour ne pas disparaître comme Maximus avait fait.
Et il y a aussi ce moment lorsque Pomme et lui donnent les peintures qu'ils ont fait de lui comme CatBoyHalo et qu'il lui demande de miauler ce que Bad finit de faire.
Et puis arrive le Jail Event où Aypierre et BadBoy sont compagnons de cellules et cela est un grand moment pour Gamebreakers/Ayhalo. Avec Aypierre essaient de détourner l'attention des gardes de la prison lorsqu'ils les trouvèrent en train de chuchoter dans un coin, avec lui disant qu'il étaient de s'embrasser et Bébou riant à propos de ça. Pierre s'inquiétant lorsque Bad ne revient avant l'extinction des feux dans leur cellule et aussi Pierre disant lors de son entretien par les gardiens durant le dernier jour de l'évent, que la personne avec qui il quitterait l'île serait BadBoy
Puis vit le reboot et grâce à Bébou qui lui proposa de devenir partenaire d'affaire/de crime, ceci aida à le réveiller de son sommeil/dépression après avoir perdu son château. Puis il devinrent aussi voisins et ils commencèrent à développer une domesticité entre eux. Et Aypierre commença à utiliser un ton un peu flirteur avec Bad et qu'on ne l'avait seulement entendu utiliser qu'avec Maximus.
Ensuite Bad mourut et il et il revit à la vit mais en étant amnésie et essaya de l'aider à regagner sa mémoire par un prank, en lui disant que Richars et Dapper étaient ses parents.
Bref, tout cela pour dire que Gamebreakers est un de mes duos favoris sur QSMP car c'est une relation que l'on voit évoluer très naturellement et avec le temps et je presser de voir ce que le futur leur réserve. Pour ceux qui ont pris le temps de lire ce long pavée merci. Sur ce je vais aller me coucher car il est déjà 4h du mat'.
#ce n'est pas le meilleur essaie sur tumblr#et je suis certaines qu'il y a des fautes d'orthographe et des mots manquants#que je n'ai pas vérifier car trop crevée là#gamebreakers#ayhalo#qsmp aypierre#qsmp badboyhalo#qsmp language day
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Fais-moi une place au fond d’ta moule Même si Ignace y a mis sa s’moule Je r’deviendrai tout dur, tout long, épais Pour te grimper Fais-moi une place au creux d’ta bouche Que j’te décrasse à la farouche Je giclerai du gland tout blanc, gommeux Pareil comme eux J’veux rester dans l’coup avec tes potes Si tu veux j’mettrai même une capote Je t’aime Fais-moi une place dans ton trou d’balle Près d’Stanislas et d’Hannibal Je s’rai jamais tout mou, tout con, tout p’tit Quand j’t’emboutis Fais-moi une place au fond d’ton pieu Ta vie d’chaudasse me fout l’épieu J’s’rai plus jamais perso, vieux jeu, jaloux Sois tranquillou J’veux pas m’en aller j’veux pas qu’on s’quitte J’veux juste un p’tit trou là pour ma bite Je t’aime Une petite place ici maint’nant Entre Jonas et Ferdinand J’me lav’rai même un peu la queue des fois Si j’ai pas l’choix Sur l’air de « Fais-moi une place » (Julien Clerc)
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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J'entrai dans la station-service. Je tins la porte à un homme qui était peut-être un routard États-Uniens, il avait la casquette la barbe et une chemise à carreaux enfin je crois je ne suis pas sûr je pourrais très bien dire n'importe quoi. L'homme m'a remercié chaleureusement il avait l'air sympathique, je me suis dit trop cool j'inspire du respect et de la chaleur à un homme qui est chauffeur de camion États-Uniens enfin je pense, j'espère, ce serait la classe. J'ai toujours trouvé cools les chauffeurs de camion États-Uniens, les hommes qui sont sur la route aux États-Unis. Les films sans doute...
On entre tous les deux dans les toilettes, je fais mon pipi et lui aussi, il s'en va, nous étions au pissoir. Moi je prends mon temps je suis un homme nerveux faut que ma ceinture soit remise parfaitement et que mon caleçon soit placé parfaitement sous mon short, faudrait pas que ça me dérange. Je passe les détails de tous les autres mécanismes de malade mental que j'ai et qui font que je suis un homme aussi lent qu'une tortue et qui vu de l'extérieur ressemble à un homme qui replace sa ceinture pendant 30 ans sans qu'au final ça ne change grand-chose à sa position initiale.
Dans les toilettes assis à côté de moi, de l'autre côté du mur, caché, j'entends un gémissement. Un soulagement même, prolongé, appuyé, bruyant. Chelou gênant mais quand-même sacrément drôle en vrai. Damn un homme encore plus bizarre que moi. Ça n'arrête pas les gémissements se répètent je me dis damn voilà un homme léger.
Ça me rappelle ce matin-là à l'auberge de jeunesse de la Nouvelle-Orléans où j'avais été réveillé également par un gémissement, c'était un long Damn d'ailleurs, genre daaaaaaaamn, mais aux sonorités plus érotiques et moins liées à l'univers gastrique. C'était tôt le matin j'avais mal dormi j'avais fait trop de portable la veille avant de m'endormir, et j'étais un peu stressé je devais partir à Mexico le jour même puis j'en avais ras le cul de cette auberge de merde, ouais c'était vraiment une auberge de merde je la recommande pas, si un jour ils me lisent ce que je pense arrivera inéluctablement aucun problème j'assume mes propos vous êtes une auberge de merde, une belle merde comme celle délicatement et savoureusement évacuée par l'homme décrit plus tôt.
Bref j'étais un peu de mauvaise humeur de me faire réveiller par les bruits d'une femme qui prend du plaisir. Nous étions seulement deux dans une grande chambre sans fenêtre de 6 lits superposés sans rideau isolant, et dont les lumières au plafond ressemblaient à celles des hôpitaux mais en encore plus moches et en encore plus lumineuses genre presque aveuglantes, d'un blanc froid aveuglant. Sauf que là on était dans le noir et j'entendais se tortiller dans le lit plus bas. Putain y en a qui s'en tape vraiment des autres, elle avait déjà été chiante la veille à faire des appels vidéos avec son homme jusqu'à pas d'heure, je me suis dit qu'il en avait peut-être marre de l'appeler et il était peut-être venu en personne, c'est vrai que j'avais cru comprendre qu'il y avait des passages un peu coquins lors de l'appel, alors que moi je lisais mon livre sur les Innus en pyjama, bien gentil bien sage bien docile dans mon lit superposé. Puis c'est vrai que je l'ai entendue se lever je crois, un peu plus tôt dans la matinée déjà tôt, peut-être qu'elle avait ramené son homme à ce moment-là mais c'était quand-même bizarre parce que normalement c'est interdit de ramener des invités, c'est pas moi qui le dit c'est le règlement. J'ai jeté quelques regards un peu énervés et peut-être un brin jaloux vers le lit de la meuf, quoique j'étais trop de mauvaise humeur pour avoir quelconque désir. J'ai vu bouger et je me demande si j'ai pas vu deux personnes. Ce qui est bizarre néanmoins c'est que quand ça s'est calmé, quand les gémissements qui en vrai sonnaient plutôt joliment, en tout cas plus jolis que l'autre cochon en train de chier dans la station-service de l'état de New York, bref quand ça s'est calmé elle a appelé quelqu'un. C'est bizarre de faire ça après l'amour c'est chelou quand-même non pourquoi tu ferais ça t'es bizarre.
J'ai lâché un Oh Come on parce que j'avoue j'étais agacé, y a des limites quand-même puis bon elle ne me faisait pas tellement peur. Elle a dit quelque chose je crois mais j'en suis pas sûr et puis de toute façon je m'en souviens plus. J'ai ajouté de manière polie, succincte et ouverte au dialogue qu'en gros elle était casse-couilles à faire tout ce bruit alors qu'il était à peine 8h du matin. Elle m'a répondu qu'il était exactement 8h du matin, comme si c'était l'argument ultime qui lui permettait de faire tout le bruit qu'elle voulait et qui m'empêchait de faire toute critique. Que répondre face à ça j'avoue j'étais un peu surpris, bien joué. Je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner j'avais mis le réveil à 8h du matin de toute façon et elle n'avait pas menti il était effectivement 8h du matin, fallait que je me taise bon dieu. Sur le chemin c'était bizarre j'avais l'impression qu'elle était seule dans son lit finalement mais bon tout n'était pas très clair dans ma tête j'étais fatigué, je pouvais pas vraiment réfléchir.
Je mangeais mon petit-déjeuner tranquille quand un employé chelou et casse-couilles m'a donné le coup de grâce, alors même que je me disais que la vie est finalement plutôt belle et pleine de surprises et de promesses. Le beurre de cacahuète et moi c'est une relation solide, couple ouvert certes mais on en a vu d'autres. L'homme s'est arrêté à mon niveau et il m'a demandé comment j'allais. C'était un peu bizarre parce qu'à mon arrivée il m'avait rappelé l'arrogance teintée d'un brin de malveillance que je connaissais d'autres êtres humains et que je n'étais pas prêt d'oublier. Puis il avait été prodigieusement indifférent ce qui était vraiment une belle perf pour quelqu'un qui travaille dans le domaine de l'accueil des gens, trimballant avec lui une vibe très bizarre pas toujours claire ni saine ni bienveillante mais en vrai j'en sais rien finalement de ce qui le traversait, j'exagère peut-être j'ai parfois pas peur de l'exagération. Il s'était montré subitement sympathique un soir où j'avais débarqué sans faire exprès à l'happy hour pourri qu'il organisait et où il n'y avait personne. Il m'a offert un soft me l'a même ouvert et servi et m'a filé un extra dollar pour que je puisse prendre le tram comme le tram n'acceptait pas la carte. Je sentais ou au moins j'avais l'impression que ça le faisait quand-même un peu chier de faire tout ça pour moi mais en vrai j'en sais rien c'est peut-être mon esprit aussi susceptible que chelou avec sa ceinture après avoir fait pipi qui parle, par contre j'avoue j'ai quand-même jubilé quand je lui ai indirectement fait comprendre que ouais t'inquiète tu peux me servir toi-même le coca que tu m'as offert et décapsulé, et ce dans le cadre d'un happy hour où personne n'est venu et où moi-même je n'allais pas rester. Merci gars pour le dollar que tu m'offres sans remboursement à venir ça fait plaisir, ça aide. Yesseusse je suis un gamin mais j'avoue pour le coup ça faisait du bien, je comprends le gémissement de joie du gros dégueulasse qui faisait caca dans la station-service à New York.
Puis j'ai compris que les employés recevaient des bonus si les guests les mentionnaient dans leurs commentaires sur booking.com à la fin de leur séjour. Je me suis dit ah ok je comprends mais d'un autre côté il n'était pas totalement frontal vis-à-vis de ça donc j'avoue qu'au fond de moi j'avais l'espoir naïf innocent gênant et débile que cet homme finalement s'intéressait un peu à moi, un tout petit peu. J'ai souvent ressenti cet étrange besoin de plaire et de séduire des êtres humains pourris qu'en vrai je n'aime pas et qui peuvent être parfois blessants voire carrément des connards finis, wow je suis quand-même spécial à être content si jamais je les fais rire. Bref à la suite de cette interaction on a eu quelques small talks bizarres où il était sympathique je trouvais ça ouais franchement bizarre puis je me disais non il va pas oser, il est quand-même pas sympathique et curieux à propos de ma vie juste pour choper de la thune, il va pas oser.
Ce matin là à la fin de mon petit déjeuner, à la fin de ses nouvelles questions polies quant à mon voyage, alors que je me dis cool il est quand-même sympa finalement même s'il est quand-même masse chelou, je suis même carrément flatté en fait finalement qu'un connard fini puisse s'intéresser à moi, wow j'ai quand-même du charisme j'inspire le respect et la curiosité à des êtres qui n'ont pas peur d'être des connards finis publiquement, bref à la fin de la petite conversation, il me dit Ah oh fait, n'oublie pas de mentionner mon nom dans ton commentaire. Il s'en va et rigole comme si de rien n'était.
Je rentre dans la chambre noire en me disant fuck ça me casse les couilles cette auberge c'est de la merde je déteste la Nouvelle Orléans c'est vraiment pas pour moi je suis trop gentil et sensible et stylé ouais ça faut le dire pour la Nouvelle Orléans, je suis quand-même stylé ouais enfin je le pense enfin je pense que je le pense ou plutôt je le dis pour compenser l'autre enfoiré que j'hésite à démonter dans mon commentaire booking.com, crois-moi j'en suis capable je pourrais faire un roman magnifique sur cet tentative de corruption horrible et terrifiante et malsaine et terriblement méchante d'un pauvre petit Bakpacker du quartier Contades de Strasbourg qui voulait juste avoir du fun à la Nouvelle Orléans et oublier son passé tragique. Mais bon en vrai je suis pas assez lâche je suis quand-même digne enfin c'est ce que je me dis j'aime bien penser ça tout de suite je me sens mieux, puis je me barre bientôt donc en vrai tranquille. Puis je me rends compte en vrai que la meuf qui a gémi bah elle est seule dans son lit en fait, a priori. Putain c'est ouf ! Ça change beaucoup de choses. C'est presque flatteur, elle s'est sentie suffisamment à l'aise dans la chambre avec moi pour se faire du bien toute seule, pour se caresser et gémir langoureusement, damn peut-être même que c'était une invitation, peut-être même qu'elle voulait mon attention et que je participe. Dans tous les cas elle a l'air d'avoir joui au son de son long gémissement en forme de daaaaaaaamn qui m'avait presque inquiété tant il était appuyé. Damn c'est presque flatteur c'est comme si j'avais contribué à la chose, qui sait peut-être que je l'ai inspirée.
L'agacement a disparu j'étais presque fière de moi, une femme de plus qui était comblée. J'avais été tenté de faire un max de bruit en faisant mes affaires et de laisser les lumières d'hôpital ultra aveuglantes et froides allumées lorsque je quitterais la chambre, parce que comme elle le disait il était exactement 8h du matin, en fait il était carrément plus tard donc ouais ma grande moi aussi j'ai tous les droits prends ça, comme je suis lâche Damn je me défoule sur une fille mais bon l'homme est un loup pour l'homme et moi je suis une tortue ou un petit agneau sans défense au passé tragique et qui cherche monsieur le berger pour me protéger des requins. Sauf que bref tout avait changé on était maintenant dans la même équipe avec ma compagne de chambre, t'inquiète j'ai capté les signaux merci et de rien je t'en prie, service. Bon après faut pas abuser elle m'avait quand-même réveillé puis la veille elle avait été bien bruyante avec son tel donc ouais fallait que je fasse quelque-chose, du coup je suis quand-même parti en laissant la lampe de chevet allumée et ouais j'ai fait ça ouais je suis sûr qu'elle avait trop les nerfs en tout cas voilà faut pas me chercher je suis pas un lâche je suis courageux.
Ce jour-là dans les toilettes de la station service dans l'état de New York, alors que l'homme dans les toilettes assis faisait comprendre qu'il était de plus en plus soulagé, et que le malade mental que je suis n'arrêtait pas d'ajuster sa ceinture sans rien ajuster du tout, je me suis quand-même demandé à quoi ressemblait l'individu expressif et soulagé et sonore. Ça pouvait pas être un beau gosse comme moi, on aime trop plaire nous les beaux gosses on est trop addicts au regard des autres et à leur reconnaissance et leur validation, on est pas assez libres on est un peu des baltringues en fait nous les beaux gosses parmi les beaux gosses, ça prend un homme courageux, un homme qui s'en bat les couilles. J'avais raison il avait l'air bien chelou et courageux et pas un beau gosse parmi les beaux gosses comme moi qui est un beau gosse parmi les beaux gosses.
J'ai eu la belle surprise de voir que l'être courageux chelou était dans mon bus en direction de New York City, il était assis tout à l'avant juste derrière le chauffeur il me semble, forcément. Pendant le trajet il s'est dirigé plusieurs fois à l'arrière du bus où étaient les toilettes, en vrai vraiment plusieurs fois c'était ouf j'étais impressionné en voilà un vraiment qui s'en bat les couilles qui est plus courageux que Marlon Brando y a pas photo, ça prend tellement plus de courage d'assumer aller aux toilettes d'un bus dont le trajet est de 9 heures, bref d'y aller et d'y revenir un nombre incalculable de fois devant presque les mêmes personnes et ce pendant 9 heures, ouais ça prend un courage et une force mentale de fou pour faire ça, un immense je m'en foutisme, bien plus de courage que les gens qui sauvent la nation ou les gens qui sauvent les gens dans le métro, respect bro, moi je stresse déjà si j'y vais plus d'une fois pendant le trajet, j'ai peur qu'on reconnaisse que je suis un chelou nerveux parmi les chelous nerveux pseudo lents et que du coup je ne fasse plus partie des beaux gosses parmi les beaux gosses qui attirent les filles vraiment intéressantes, Fuck j'aurais trop les nerfs qu'on réalise qu'en fait je suis pas un beau gosse parmi les beaux gosses mais vas-y j'ai quand-même l'impression que je suis peut-être quand-même un beau gosse parmi les beaux gosses, enfin j'espère s'il te plaît lecteur confirme. Je me demande si l'homme plus courageux qu'un militaire et qui vaut 100 policiers osait gémir comme il avait gémi lorsqu'il était dans la station-service, s'il osait le faire à chacune des dizaines de fois voire plus où il était allé aux toilettes du bus devant tout le monde, à chaque fois avec la même allure de chelou pressé et en vrai un brin ratatiné je suis sûr que tout le monde pouvait deviner qu'il allait faire caca. Wow ce serait ouf s'il avait osé gémir comme un fou, wow le courage du gars, dans ce cas oubliez tout ce que vous savez sur la guerre et faites le général, confiez lui les armées du monde entier il va nous sauver il aura pas peur c'est sûr il s'en bat les couilles c'est ouf c'est lui le vrai beau gosse parmi les beaux gosses.
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"Sans haine mais pas sans colères, mon poème peut montrer les dents, quand une foi arrogante menace du bâillon les infidèles, les athées, les libertaires, et promet l'ordre moral aux libertins, aux affranchis qui dénoncent l'imposture d'un péché de chair, la lapidation de la femme adultère, la beauté qu'on enferme dans l'insulte d'une burqa. Des misérables avilissent l'amour et la vie et l'on s'attriste qu'ils ne puissent deviner que si leur dieu jaloux n'est pas un voyeur, il regarde dans les coeurs, pas dans les lits! Pour un oui, pour un non, une caricature, une image non conforme à leur orthodoxie, les voilà en émoi, rameutant le troupeau, en appelant à la censure, au meurtre, à la croisade; ils crient au sacrilège en feignant d'ignorer que le sacré des uns n'est pas celui des autres, qu'on est pour son voisin toujours un peu dans l'hérésie. Car ces inféodés, ces dévots qui s'indignent du blasphème semblent incapables de comprendre jamais que le respect humain est dû à la personne, pas à son credo, ses opinions, ses utopies. Bien sur, je connais des croyants convaincus que sans la liberté de conscience aucune adhésion jamais ne vaudrait rien, qui connaissent le doute et parfois même les tempêtes sous un crâne et qui n'ont cure des pauvres crédulités nées du clapot des cerveaux. Déchirés entre la louange et le refus, ceux-là dont le souci d'autrui oriente la prière, qui voudraient rédimer le monde en misant seulement sur la ferveur et la bonté, sont à mes yeux le seul argument en faveur du divin. Mais je crois trop que leur "créateur" est à l'image fraternelle du meilleur de leur humanité pour ne pas penser qu'ils l'ont inventé! Pour ma part je le confesse, depuis longtemps la messe est dite, le discrédit jeté sur ces relents de religions, ces allégeances à la lâcheté superstitieuse, aux angoisses qui nous accablent, à la peur de la mort, du vide et de l'insignifiance; Je n'ai pas le goût des soumissions, des prosternations ni des genoux à terre. La dignité de mes héros intimes est d'être filles et fils de Prométhée, d'avoir volé le feu au ciel et de lui montrer parfois le poing. Et je me plais à croire que si un dieu existait qui valût quelque considération, il serait de toute éternité du côté des esprits critiques, des rebelles, des insoumis, des mécréants." Michel Baglin-"Si dieu existait" -
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Comment les rois réagiraient à une OC humaine avec des enfants ?
Aro :
Au début, il est jaloux, mais finit par comprendre que maintenant elle est à lui. Il n'y a pas d'autres hommes et il n'y en aura jamais.
Il saisit qu'elle aime ses enfants et fait un effort pour que les enfants l'aiment. Il aura plus de résultats s'ils sont plus petits.
Il veut attendre qu'ils soient plus âgés pour transformer leur mère.
Ils seront transformés dès leur majorité.
Caïus :
Il est fou qu'un humain ait eu sa compagne avant lui.
Il est très maladroit avec les enfants mais il s'intéresse à eux, car ils sont une partie de sa compagne.
Quand ils grandissent Caïus va à toutes les fêtes d'école et au réunion parents-profs avec sa compagne.
Il transforme sa compagne aussi vite que possible. Il attend que les enfants soient majeurs.
Marcus :
Il se soucie peu que sa compagne ait eu une vie avant lui.
Il aime ses enfants dès qu'ils les voient et s'en occupent comme si c'était les siens.
Il va à chaque réunion, parfois seul, et tout le monde sait que se sont ses enfants.
Il transforme sa compagne quand elle le souhaite et laisse choisir aux enfants quand ils vont être transformés.
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