#un petit bijou
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@philoursmars submitted: Une jolie coccinelle jaune, dans le Nord de la France.
Quel est le nom de ce petit bijou ?
Philoursmars
Looks like an Asian lady beetle, Harmonia axyridis. They come in a pretty wide variety of colors and patterns!
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L'Art et la mode Octobre/Novembre 1956
Maggy Rouff Haute Couture Collection Fall/Winter 1956-57. Barbara Cailleux in a black faille dinner dress. Under the inlaid belt tied with a flat bow, a very petticoat blooms. The large rounded neckline is lit up with a jewel.
Maggy Rouff Collection Haute Couture Automne/Hiver 1956-57. Barbara Cailleux dans une robe de petit diner en faille noire. Sous la ceinture incrustée et nouée d'un noeud plat, s'épanouit une robe très juponnée. Le grand décolleté arrondi est éclairé d'un bijou.
Photo George Saad
#l'art et la mode#octobre 1956#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#haute couture#maggy rouff#barbara cailleux#georges saad#vintage fashion#vintage magazine
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L'Art et la mode, no. 34, vol. 17, 22 août 1896, Paris. Petits collets pour sortie de casino. Dessin de Lucy. Bibliothèque nationale de France
Collet de soie vert amande brochée d’acacias roses. Garniture de dentelle blanche et ruches de mousseline de soie noire Au col, nœuds de dentelle fixés par des boutons de strass.
Almond green silk collar embroidered with pink acacias. White lace trim and black silk muslin ruffles. At the collar, lace bows fixed by rhinestone buttons.
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Collet de satin blanc perle brodé de paillettes nacrées et de strass. Col découpé en larges créneaux entourés de gaze blanche; jabot de gaze retenu par un bijou.
Pearl white satin collar embroidered with pearly sequins and rhinestones. Collar cut into wide crenellations surrounded by white gauze; gauze jabot held in place by a jewel.
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Collet de taffetas rose fanée glacé blanc, garni d’application de dentelle blanche. Ce collet est découpé et laisse voir un second collet de dentelle blanche sur taffetas rose. Chapeau orné déplumés blanches.
Faded pink taffeta collar glazed white, trimmed with white lace appliqué. This collar is cut out and reveals a second collar of white lace on pink taffeta. Hat decorated with white feathers.
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Sortie de Casino pour jeune fille, en satin pétale de rose avec guirlande de roses peintes. Capuchon et coquilles de mousseline de soie blanche brodée de dentelle; nœud très enlevé en satin rose.
Casino cape for young girl, in rose petal satin with garland of painted roses. Hood and shells of white silk muslin embroidered with lace; very showy bow in pink satin.
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Collet de soie blanche semé de marguerites de guipure; topaze au centre de chaque fleur. Draperie de mousseline de soie blanche sur satin bouton d’or. Ruche très mousseuse en mousseline de soie avec gros nœud de satin bouton d’or.
White silk collar sewn with guipure daisies; topaz in the center of each flower. White silk muslin drapery on buttercup satin. Very frothy silk muslin ruffle with large buttercup satin bow.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1896#on this day#August 22#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#cape#collar#Modèles de chez#Maison Lucy#detail
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FR- Un p'tit fanart de Marcille, de la série Netflix Dungeon et Glouton, ou encore Dungeon Meshi \ delicious in dungeon. Elle est tellement drôle, à toujours paniquer pour tout et pour rien!
Oh lala le petit bijou! On m'avait parlé de cette série et à mon retour d’Italie j'ai décidé de l'écouter. JE suis tombé sous le charme! Chaque personne apporte son plus et on reconnait trop bien l'univers de Dungeon & dragons hihi. Je vais surement m'amuser à faire les autres personnages :3
EN- A little fanart from Marcille, from the Netflix series Dungeon and Glouton, or Dungeon Meshi \ delicious in dungeon. She's so funny, always panicking about everything!
Oh lala the little gem! I'd heard about this series and when I got back from Italy I decided to give it a listen. I fell under its spell! Each person brings something special to the table, and the Dungeon & Dragons universe is all too recognizable, hihi. I'm sure I'll have fun doing the other characters :3
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Un bijou a le pouvoir d'être cette petite chose qui vous fait vous sentir unique.
#adopte ton bijou
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NOTE DE LECTURE : Un été autour du cou. Guy Goffette. 2001
Ce bouquin est un petit bijou : Un été autour du cou, où l'auteur déroule en poète qu'il est les émotions et sensations de l'enfance, le rejet de la famille et de l'éducation, le désir de la chair et de l'autre, la violence de ce désir et puis de sa réalisation, quand il n'est pas temps. Guy Goffette fait donc une oeuvre délicate et pudique sur un thème grave : l'abus sexuel d'un enfant. Il alterne entre le "je" du narrateur adulte et la 3ème personne, avec le prénom de l'enfant Simon, et nous allons ainsi du présent au passé, pour appréhender l'ampleur de l'histoire et l'emprise de cette femme. J'en ai parfois eu les larmes aux yeux, de colère pour cette femme adulte et cruelle, et tant de compassion pour cet enfant passé, fracassé, sidéré, traumatisé qui cherche et trouve enfin les mots de ses souvenirs. Une oeuvre magistrale pour un premier roman, mais c'est d'un poète...
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Printemps 1922, Hylewood, Canada (5/7)
Je suis impressionnée par la capacité d’Adelphe à tenir tête à Madame Eugénie concernant les décisions qui le touchent lui et sa famille. J’aimerais avoir la même confiance tranquille pour tenir face à mon mari. Mais j’ai trop peur de ses réactions. Si je m’oppose à lui, j’ai peur qu’au mieux, il m’ignore, et qu’au pire, il se mette en colère et qu’il ne me le pardonne pas. Je fais un bien piètre modèle pour mes filles…
[Transcription] Eugénie LeBris : Oh, bon matin, Georges. Qu’est-ce qui t’amène ? Georges Rumédier : Euh… Eh bien, je voulais vous demander quelque chose d’important. C’est un peu gênant… Georges Rumédier : C’est l’anniversaire de Maman bientôt, et je n’ai pas la moindre idée de ce que je dois lui offrir. Comme vous êtes proche d’elle, je me disais que vous auriez peut-être une idée. Un bijou ? Un bouquet extravagant ? Eugénie LeBris : Tu sais que ta Maman a été mariée avant ? Georges Rumédier : Oui, à un homme des bois ou quelqu’un de la sorte. Eugénie LeBris : Ce qui l’a séduite chez lui, c’est un beau bouquet de fleurs sauvages qu’il lui a offert. Ta mère aime les choses simples. Va cueillir de la bruyère, des trilles, des sanguinaires et des hépatiques. Prête du temps et du soin à ton bouquet. Elle l’appréciera plus que n’importe quelle bébelle. Georges Rumédier : C’est simple mais… Ça lui correspond bien ! Merci. Voulez-vous que je vous associe au cadeau ? Eugénie LeBris : Pantoute. Ça sera notre petit secret. Je ne demande qu’une chose en échange. Georges Rumédier : Vu l’épine que vous venez de me tirer du pied, demandez ce que vous voulez. Eugénie LeBris : Reste diner avec nous ! Georges Rumédier : Ça devrait pouvoir se faire.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Jeanne Daville#Virgile Le Bris#Georges Rumédier
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parce qu'on approche doucement mais sûrement de la spooky season 🎃, c'est l'occasion de parfaire votre culture en films d'horreur! voici une petite sélection de 10 diamants du genre, visionnables gratuitement sur youtube (et sous titrés en anglais pour ceux en langue étrangère! que demande le peuple...) il va sans dire que l'horreur étant un genre parfois costaud, pensez à vérifier vos triggers pour chaque film sur le site does the dog die?
carnival of souls, 1962 (vo: anglais américain), une masterclass, un des premiers grand films d'horreur moderne, il a inspiré des réalisateurs comme david lynch ou james wan. (la note de lune: 5/5)
el espinazo del diablo (l'échine du diable), 2001 (vo: espagnol), personne ne raconte une histoire de fantômes comme guillermo del toro, un très beau film qui inaugure sa trilogie de la guerre civile, à suivre avec le labyrinthe de pan et son pinocchio de 2022. (la note de lune: 4/5)
a tale of two sisters, 2003 (vo: coréen), des influences gothiques saisissantes et une histoire aux allures de diabolique petit puzzle. (la note de lune: 4/5)
ringu, 1998 (vo: japonais), un immense classique de la j-horror que l'on ne présente plus, efficace et très bien ficelé, featuring hiroyuki sanada ♥️ (la note de lune: 5/5)
the last man on earth, 1964 (vo: anglais américain), inspiré du roman i am legend qui a donné une palanquée d'adaptations au fil des années, celui-ci est de loin mon favori, vincent price est une ICÔNE et ce film est un pur plaisir à regarder. (la note de lune: 4/5)
kairo (pulse), 2001 (vo: japonais), un autre classique de la j-horror, l'ambiance est profondément troublante et mélancolique, avec des scènes qui vous hanteront pendant un bon moment. (la note de lune: 4/5)
hellraiser, 1987 (vo: anglais américain), tout le monde l'a probablement déjà vu mais la version youtube est tellement quali que je le mets ici quand même, pinhead est un méchant incroyable, le film a des défauts mais les qualités l'emportent sur le reste, un bijou de l'horreur un peu gory des 80s! (la note de lune: 3/5)
donnie darko, 2001 (vo: anglais américain), diffile à mettre dans une catégorie plutôt qu'une autre, un peu d'horreur mêlée à du thriller psychologique et une pointe de sci-fi, ça reste un classique au dénouement final incroyable. (la note de lune: 5/5)
one missed call, 2003 (vo: japonais), juré après j'arrête avec la j-horror, celui-ci est plus efficace dans sa seconde moitié que dans la première, il y a des moments qui font vraiment vraiment peur. (la note de lune: 3/5)
les yeux sans visage, 1960 (vo: français), avant la piel que habito d'almodovar, il y a eu les yeux sans visage, un petit précurseur considéré comme le premier film d'horreur moderne français. (la note de lune: 3/5)
#bizarrement#les films d'horreur sont ceux qu'on trouve le plus facilement sur youtube#mais il y a très très peu de pépites#par contre ceux ci sont vraiment très cool#et variés#donc je pense qu'il y en a forcément un dans le tas qui vous plaira#par contre vraiment vérifiez les triggers avant de les regarder hein!!#blabla
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Bonsoir ✨ On espère que votre mois de Janvier s'est bien passé (c'est nous ou il dure 15 ans cette année ?) et que la vie vous traite bien 🖤 Ce soir on vient vous présenter deux préliens individuels attendus par nos membres pépites et on espère vous faire craquer 🥰 Comme d'habitude, on pense à lire les TW avant de s'embarquer trop loin, pour rappel CONCRETE JUNGLE est un city sombre ! A très vite on espère 🫶
WASTED DESIRE (m) Une relation compliquée, tirant sur l'ambiguité, sur fond de trahison et de caractères bien trempés. des promesses devenues menaces, une dynamique folle à exploiter, un petit bijou à saisir !
LOVE ME RIGHT (f) Les débuts d'une romance wlw à faire évoluer, en dépit des craintes réciproques que les deux jeunes femmes peuvent avoir face aux sentiments. Le genre de pl qu'on dévore et qui ne reste pas longtemps sur l'étagère !
Belle soirée et à bientôt ✨
#concrete jungle rpg#recherches rpg#préliens#rpg français#forum city#forum rpg#french rpg#rpg francophone#forumactif#ressources rpg#forum city sombre#city sombre#rpg fr
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US Vogue October 15, 1957
Mary McLaughlin wears a lightly waxed black wool coat. By Petite Miss. The jewel necklace, by Eisenberg.
Mary McLaughlin porte un manteau de laine noire légèrement cirée.Par Petite Miss. Le collier bijou, par Eisenberg.
Photo Leombruno-Bodi vogue archive
#us vogue#october 1957#fashion 50s#1957-58#fall/winter#automne/hiver#petite miss#eisenberg#mary mclaughlin#leombruno bodi#wool coat
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Le Petit écho de la mode, vol. 20, no. 24, 12 juin 1898, Paris. Sautoir Lakmé. Garniture de ceinture. 1. Toilette de promenade. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Sautoir Lakmé. Après le succès obtenu par notre sautoir Sapho et les nombreux compliments que nous recevons de toutes parts pour cette gracieuse parure, nous continuons à offrir à nos aimables lectrices les nouveautés que la Mode édite en ce genre. Voici un vrai bijou pour les jeunes filles: c’est un sautoir fait d’une seule ganse de soie noire et de motifs en perles turquoise entourés de perles d’acier qui sert à retenir une montre, un crayon, etc. Ce délicieux sautoir est offert au prix minime de 1 fr. 65 franco.
Dans un autre ordre d’idées, voici une parure de robes qui, jusqu’à présent, n’était pas abordable à toutes les bourses, vu sa qualité supérieure et sa suprême élégance. Nous avons, dans ce cas, traité avec une des premières maisons de Paris, et nous sommes heureux d’offrir, au prix de 3 fr.75 franco, une joli parure de ceinture en véritable acier fin composé de: une agrafe (dont notre gravure ne donne qu’un faible aperçu) et trois boucles que l’on coule derrière et sur les côtés sur une ceinture droite en ruban de velours ou défaille. Un délai de 8 jours nous est nécessaire pour la bonne exécution des commandes.
Robe en batiste, guipure de Gênes et satin. La jupe, coupée d une seule pièce, est garnie dans le bas de trois entre-deux poses à clair laissant voir le transparent du fond de jupe. Le corsage, gracieusement drapé à gauche sous un bijou de strass, est garni d entre-deux, le haut décolleté sur un empiècement de guipure posé sur un transparent; dos tendu, col droit et ruche, tour de taille en ruban fermé par une boucle en acier, manche garnie d’un volant de dentelle. Toquet en paille garni d'ailes et de tulle, bijou de strass.
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Lakmé necklace. After the success obtained by our Sapho necklace and the numerous compliments that we received for this graceful adornment, we continue to offer our kind readers the new fashions in this style. Here is a real piece of jewelry for young girls: it is a necklace made of a single black silk braid and turquoise bead patterns surrounded by steel beads which is used to hold a watch, a pencil, etc. This delicious sautoir is offered at the low price of 1.65 francs.
On another note, here is a set of accessories which, until now, was not affordable for all budgets, given its superior quality and supreme elegance. In this case, we have dealt with one of the leading houses in Paris, and we are happy to offer, at the price of 3.75 francs, a pretty belt set in real fine steel composed of: a clasp (including our engraving gives only a faint glimpse) and three loops that run behind and on the sides on a straight belt of velvet ribbon or faille.
Dress in cambric, Genoa guipure and satin. The skirt, cut in one piece, is trimmed at the bottom with three light inserts revealing the transparency of the skirt bottom. The bodice, gracefully draped on the left under a rhinestone jewel, is garnished with insets, the high neckline on a guipure yoke placed on a transparent; stretched back, straight collar and ruffle, ribbon waistline closed with a steel buckle, sleeve trimmed with a lace ruffle. Straw toquet garnished with wings and tulle, rhinestone jewel.
Matériaux: 12 métrés de batiste, 15 mètres d’entre-deux, 0m35 de guipure et de satin blanc, 4 mètres de ruban.
#Le Petit écho de la mode#19th century#1890s#1898#on this day#June 12#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#Forney#dress#parasol#necklace#collar
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Le cheval doré
Le dernier gobelet lavé, je mis le torchon à sécher en bâillant. Plus qu’à verrouiller la porte, et au lit ! Les clients qui avaient pris une chambre étaient montés tôt, mais les habitués s’étaient attardés plus que d’accoutumée autour de la cheminée, une bière chaude à la main, retardant le moment d’affronter la pluie glaciale qui martelait le toit de l’auberge.
La main sur la poignée de la porte, je me figeai. Il m��avait semblé discerner un bruit sourd, presque imperceptible dans le déluge. D’un geste, je saisis la dague dissimulée sous ma tunique et ouvris la porte. Plissant les yeux à la recherche d’un mouvement suspect, je me maudis d’avoir laissé la lanterne allumée derrière moi. S’il y avait un archer planqué, je faisais une cible parfaite. On prend de l’âge, et voilà ce que deviennent vos réflexes…
Un claquement me fit lever la tête. L’enseigne de bois ruait sauvagement dans la tempête. Probablement l’origine du bruit que j’avais entendu. Le cheval sculpté nécessitait décidément un bon coup de peinture dorée pour continuer à justifier le nom de mon auberge.
Puisqu’aucun assassin n’avait l’air pressé de faire son œuvre, je rentrai et verrouillai soigneusement l’huis, en me demandant s’il était possible que le Comte me fît toujours rechercher, vingt-cinq ans après le vol, ou si je me donnais juste trop d’importance. Un petit défaut que je traine hélas depuis ma jeunesse, et qui m’avait décidé à participer à ce cambriolage, à l’époque. Deux compagnons de rapine m’avaient présenté l’affaire, un coup presque impossible mais qui nous mettrait à l’abri du besoin pour le restant de nos jours. « Et la gloire, Tomàs, pense à la gloire ! » Et le jeune imbécile que j’étais n’avait pas résisté à l’ambition d’inscrire son nom au panthéon des monte-en-l’air.
Entrés à trois, nous étions ressortis à deux, et n’avions dû qu’à une chance insolente notre fuite de justesse par les toits. Je ne comprendrai jamais l’acharnement des gardes à défendre des richesses qui ne leur appartiennent pas.
Prudemment, nous nous séparâmes aussitôt le butin partagé en deux part égales, et je traversai autant de comtés qu’il fut nécessaire pour ne plus voir les affiches mettant ma tête à prix avec, ma foi, une fort belle somme et un portrait malheureusement assez ressemblant - la peste soit des gardes physionomistes. La mention « mort ou vif » - et qui, dans ces conditions, s’encombre d’un prisonnier, je vous le demande ? – me donna à penser que le Comte avait pris un peu trop personnellement le fait d’être dépouillé de tous ses bijoux. Une valeur sentimentale, peut-être ?
Pendant des années, je dépensai assez pour vivre confortablement et oisivement, mais pas trop pour ne pas attirer l’attention. Puis, pensant à mes vieux jours, j’achetai ce charmant établissement. Je devins pour tous Elhin, l’aubergiste au sourire débonnaire et à l’embonpoint ceint d’un immuable tablier, que nul n’aurait pu soupçonner d’un casse dont - pardonnez ma vanité - on parle encore à l’heure où je vous raconte cette histoire.
Avec le recul, je reconnais que nommer cette auberge en référence au seul bijou que j’avais gardé par-devers moi, une petite chevalière en or ornée d’un cheval cabré, était d’une rare inconscience. C’est du moins ce qui me traversa l’esprit ce soir-là quand, me retournant, j’aperçus une silhouette dans un recoin sombre de la salle à manger.
« Tu as grossi, Tomàs. »
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Pour les addicts de café comme moi, une idée de cadeau qui en enchantera plus d'un.
La machine à café portable. Vous la branchez sur l'allume cigarettes et en quelques minutes vous avez un espresso !
What else ?
Pour vous procurez ce petit bijou, www.espressooutlet.net
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pourquoi tu dis que t es une merde ?
tu es un petit bijou de femme
je vois pas comment quelqu’un qui m’est inconnu et pour qui je le suis aussi peut dire ça mdr ça ne veut rien dire du coup
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Quelques trucs bien. Août 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Boire du Prosecco avec des pétales de rose cristallisée
Faire un bain de mer et une vidéo sous l’eau
Passer un week-end au soleil et à la mer avec mon amie Cathy. Célébrer l’amitié
Découvrir mon dressing aménagé pour les chaussures de retour de week-end. Surprise d’anniversaire !
Manger au restaurant avec ma fille seule. Prendre le temps des confidences et la mesure de l’attachement. Accompagner mon enfant à devenir parent
Aller prendre un café chez mon amie Pascale. Improviser un semblant d’anniversaire pour se donner des nouvelles
Installer un siège auto dans ma voiture pour les futures sorties avec mon petit Mateo
Suivre une initiation à la bachata en soirée latino. Me laisser inviter à danser par un inconnu
Sortir pour profiter du spectacle d’un feu d’artifice en musique, au-dessus de la mer en baie de Cannes. Être épatée de la synchronisation son et lumière
Recevoir mon amie Monique à la maison pendant une semaine
Faire sortir maman de sa chambre pour aller voir son arrière petit fils
Lire un petit bijou de roman écrit par un poète
Aller à la plage et faire un bain de mer et de soleil
Encourager Mateo qui essaie de se mettre debout
Sortir le soir pour une invitation. La première depuis le début de mes vacances
Faire du shopping avec ma sœur. Choisir des rangements utiles
Mieux dormir avec un sur matelas. Me sentir plus confortable dans mon lit
Ranger ma bibliothèque
Faire le tri et donner à Emmaus
Recevoir un message vert d’Irlande
Voir mon petit Mateo faire un gros câlin à mon fils quand il le voit arriver tout sourire
Faire des jeux d’eau avec Mateo à l’ombre
Boire du champagne pour fêter… ce qu’on veut !
Recevoir un message bleu de Finlande
Me souvenir de maman quand elle était active et suivait la tondeuse en tenant la rallonge électrique
Jardiner sur la terrasse avec ma sœur
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Zadie Smith est presque trop brillante.
Quand la semaine dernière j’ai appris qu’elle avait sorti un roman, se déroulant à l’ère victorienne, j’ai failli m’évanouir de joie. Je me suis précipitée dessus évidemment.
J’en ressors un peu déçue, je ne sais pas trop bien pourquoi puisque je n’ai pas de reproches à lui faire.
Elle nous mène tambour battant à travers l’Angleterre du XIXe, avec de courts chapitres enlevés, à travers la conscience d’Eliza Touchet, femme ayant réellement existé, au statut bancal, pourvue d’une famille étrange et d’un esprit drôlement affuté.
Le style est lumineux mais très sec. On sent que l’autrice s’est voulue exigeante, pas de sentimentalisme, des faits, un œil acéré sur l’époque. Roman victorien, non. Pas de narration linéaire, pas d’effusion, pas de chichis.
Eliza Touchet a été mariée et a eu un fils. Les deux sont morts tôt. Désargentée, elle a rendu service en vivant avec son cousin, un écrivain populaire (lui aussi réel mais aujourd’hui oublié), étant à la fois sa relectrice, sa gouvernante, son amante, sa confidente. Ça n’a pas empêché ledit cousin de se marier deux fois, ainsi la maisonnée, souvent délocalisée suite au déclin du succès des romans de William, est devenue un genre de microcosme composite : une épouse officielle (la deuxième) issue des bas quartiers, leur jeune fille, les trois filles de William de son premier mariage (avec Frances, avec laquelle Eliza a vraiment connu l’amour), et Eliza, qui gère tout ce beau monde et essaie de comprendre sa place dans cette maison, dans ce pays, dans cette époque.
Justement, le pays se passionne pour un procès célèbre. L’histoire d’un imposteur qui voudrait bien croquer une part des restes de l’argent généré par l’esclavage en Jamaïque, à peine aboli. Cette idée est très forte dans le livre et elle en est le cœur. A travers ce personnage et son domestique Bogle, un noir remarquablement stoïque, le pays se déchire. Eliza se passionne pour Bogle et sa conscience catholique abolitionniste s’en trouve renforcée.
Mais c’est là que cela s’est corsé pour moi : je n’avais pas les connaissances suffisantes pour comprendre toutes les subtilités économiques et politiques que soulevaient ce procès. La mort d’une époque, la fin de certains privilèges, je ne les ai compris que péniblement car Zadie Smith est plus ironique que pédagogue (et elle a raison !) ; n’empêche que c’est dur de suivre. Avec les sauts dans le temps aussi. La navigation d’une époque à une autre. Je n’aurais pas craché sur un poil plus d’explications contextuelles.
La meilleure idée du livre selon moi, celle que j’ai pleinement comprise et aimée, en riant souvent, c’est de placer au cœur de cette société patriarcale et raciste une femme intelligente et sarcastique, qui observe tout et a pris l’habitude de tout cacher pour sa sécurité et sa tranquillité. Eliza voit tout, observe tout, juge tout et tous, même Dickens en personne (et il n’est pas épargné par sa sagacité). Elle comprime ses pensées car une femme n’est pas censée penser ni parler politique. Elle supporte en serrant les dents les discussions des littéraires plus ou moins avisés ou alcoolisés, essaie de naviguer dans le petit sillon qui est le sien, se faire sa propre conscience, et agir selon ses convictions. Elle n’a pas beaucoup de marge de manœuvre, mais elle s’y tient. Cette droiture va de pair avec une immense solitude. Solitude que j’ai pleinement ressentie quand elle pose des questions existentielles en son for intérieur, questions qui comptent, cruciales, qu’elle ne peut poser à personne et qui résonnent dans le livre comme autant de coups contre une boîte dans laquelle les femmes et les noirs étaient enfermés en ces temps qu’on voudrait résolument révolus…
Peut-être faudrait-il que je relise ce livre, un jour, en ayant pris les informations nécessaires, en ayant bossé en quelque sorte ! Je crains d’être passé un peu à côté du bijou que ce doit être. Je vous dit, Zadie Smith est plus intelligente que nous. Enfin moi. Mais bon, franchement, elle est au-dessus du lot, largement.
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