#tw violences conjugales
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the-swan · 1 year ago
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♡ STORYTIME :: a lie within a dream
CHAPTER 01. peaceful sleep
— et elle chante, Ash, comme si les mots n'en seraient jamais suffisant. de ses doigts à pincer les cordes, de son archet à glisser contre l'instrument : violoncelle ,, comme seul réel ami. vibre les sonorités ,, les muses lui en avaient offert : talent des plus précieux ! seule réussite, sur les terres escarpées.
"again and again ! play ! Ash !"
de ses mains à ne jamais devoir être abîmées, enfant sur laquelle l'on avait tout misé : car de sa seule passion ,, les maladresses en semblaient toujours sournoises. et malgré les blessures, et malgré les efforts, à tuer son petit corps, elle souriait ! celle à être amoureuse des notes idylliques.
CHAPTER 02. farewell, nerverland
— rire angélique, merveille de l'univers ,, elle voltige, sautille sur les pavés, fleurit comme bien trop sage. innocence dans l'âme, naïveté à vouloir en croire bonté dans tous : Ash, elle en suivait les papillons dans la rue, s'arrêtait pour en sentir les fleurs sauvages, comme si tous les maux sur ses épaules n'en étaient que chaos dans quelques uns de ses rêves. et de ses gentillesses toujours trop mélodieuses, à vouloir vivre le jour le jour sans ne plus en être emprisonnée : elle en attrapait les étoiles, de ses paumes, pour pouvoir les protéger à leur tour.
CHAPTER 03. love me like this
tw. violence conjugale ,, coups et blessures
— et dans les contes, les princesses douces et délicates en trouvaient toujours leur prince. sourire à mourir, cœur à s'éteindre. quand elle avait cru, en ses mots. à lui avoir offert tous ses sourires, les lueurs s'en étaient éteintes, dans son regard.
et de ses coups,,
à mourir :
sous ses yeux.
d'un amour sincère ! quand de fin de lycée, tout n'en avait été qu'illusion perfide : jeu bien mené, ficelles à l'avoir suspendue dans les tréfonds des Enfers. car d'une possessivité extrême face à ses douceurs altruistes, les coups étaient venus en redessiner son corps. de quelques galaxies, de quelques étoiles, là, ici : à toujours en afficher sourire sur ses lippes, pour tout dissimuler. à ne rien dire, se taire ! jusqu'à ce que les joues inondées par les pleurs en reçoivent les bénédictions des cieux. protégée de tout un monde : personne n'avait rien vu ! et elle en était effrayée ,, de chaque geste que l'on venait à lui adresser : comme par instinct de survie, face aux cruautés du monde. réactions automatiques, quand délaissée par le démon pour une autre proie ,, les poumons revenaient à fleurir presque trop doucement.
CHAPTER 04. the swan
— court sur scène, de ses délicatesses si merveilleuse ,, sylphide à se faire fraîcheur de vivre : quand sur scène, elle rayonnait. fierté de ses parents, à trop souvent l'ignorer quand elle n'en brillait pas derrière son instrument, elle venait à en aimer chacun des instants où les doigts en caressaient son violoncelle. à l'enlacer, le chérir, comme réelle personne. personnification : de ses romances inventées ! à rêver comme mélodrame de quelques baisers contre ses joues.
Saint Saens :: à la refaire naître.
quand comme un cygne, d'une blancheur aux puretés qui lui en collaient à l'épiderme, elle en était iconique ! connue, là, pour sa bonté infernale ! quand entre banquets et soirées organisées, elle en était toujours au planning ! de son petit corps trop frêle ,, à rayonner. comme pour en cacher, que les étages n'en étaient pas si élevés par rapport à d'autres.
qu'importe ,,
quand chaque jour :
en étaient requiem fleuris.
CHAPTER 05. starlight parade
tw. harcèlement
— et sur son dos, instrument à se balader ! elle sourit à tout le monde, en vient en aide à tous ceux dans le besoin. bonne poire, Ash ! car de quelques travaux, joueuse incroyable : dans ce conservatoire, sa place n'en est que futile. mais elle aime si sentir entourée ! de quelques visages familiers. douceur d'un temps, à côté des concerts réalisés.
à être :
pantin de certains.
car elle en était trop gentille ,, pour en laisser de marbres ceux aux alentours. entre déclarations factices, pour en voir ses réactions, demandes toujours plus saugrenues, comme pour la tester. il y avait parfois les sarcasmes et les petites bousculades ! celles que l'on accuse de pacifique : quand les jeux n'en étaient pas sains. là, entre les couloirs, entre les salles de répétitions. à lui voler son archet, détraquer son métronome ,, quelques mots sur les partitions : ô jamais vraiment mélodieux. et pourtant, Ash, soleil à briller : elle en avait capturé tous ses rayons sans y faire attention !
and they will just get over it one day.
alors à supporter : à en avoir l'habitude. petite poup��e à se jouer du monde, à sembler naïve et beaucoup trop bête ,, à pourtant savoir, au fond, que le monde n'en aimait tout simplement pas ceux qui en essayaient d'être heureux.
CHAPTER 06. mad world
tw. pression psychologique
— famille renommée ,, quand papa en était directeur d'une école de musique très fermée, que maman en était professeure au conservatoire. à devoir être princesse parfaite : quand les doigts à s'en abîmer, elle devait jouer, encore et encore, jusqu'à ce que les harmonies en soient divines, jusqu'à ce que le public en pleure. et d'un petit nom, dans le spectacle, famille invitée à de nombreuses cérémonies et divers évènements, à emmener derrière eux, petite muse à briller : elle était celle à rassembler ! Ash. de ses sourires, de ses délicatesses, à s'être faite un nom !
bousculée :
par de nombreux ,,
regards.
quand de quelques mécènes parfois trop vicieux, à se produire ((trop)) souvent, pour son fin corps : elle s'en épuisait souvent ! car les menaces pleuvaient, à ne pas savoir ce qui en adviendrait de sa passion si de ses parents contrariés, elle n'en atteignait pas les Paradis virtuoses. et du haut de leur 82ème étage ,, ô à ne pas en atteindre les sommets ,, il n'y en avait pourtant que désirs à briller, chez ses parents. loin, de celle qui n'en aimait que sa liberté de jouer de son instrument.
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jepeuxpasjairoleplay · 2 months ago
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Lorcan Barton
Yesterday is history, tomorrow is a mystery.
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ultra-violences · 1 year ago
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TW : violences conjugales, agression sexuelle, violences sur enfants
En ce moment, je me retrouve à faire 1000 messages sur les staff qui font des choses ??? wtf mais en même temps, comment ne pas exposer ce genre de comportements ? En 2023, on a deux admins d'un forum qui ont décidé de jouer une relation toxique. Jusque-là rien de choquant. Sauf que nous sommes sur un forum chill où les sujets violents/choquants ne sont pas forcément autorisés. Ensuite, on parle de vi*olences conjugales et de v*ols, entre autre (je vous épargne le validisme abject ou même les vi*lences sur enfants).
Oui oui, l'homme violent est joué et oui la fiche est immonde et oui elles vont rp ces sujets entre la victime et son bourreau comme si de rien n'était, et non elles ne trouvent pas ça déplacé ni maladroit. Je sais pas ce qu'il faut de plus pour comprendre que ça ne se juste pas en fait.
Je suis écoeurée.
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gerard-menjoui · 1 year ago
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Tw : violence conjugale
Les gens qui idolâtrent encore ✨Keanu Reeves ✨ sachez qu'il est complice d'un acte assez immonde de violence conjugale (je donne avec plaisir mes sources mais en PV parce que c'est particulièrement violent)
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princessesaphi · 2 years ago
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Bon, c'est un peu plus que 500 mots, mais un petit commentaire sur Un nid ? De "Elle s’interrompit en voyant Peine sortir du trou" à "L’instant d’après, ils étaient blottis l’un contre l’autre et le dragon ronronnait triomphalement.", pretty please ? :)
J'aurais bien demandé un commentaire sur Déluge mais je pense que je ne suis pas assez forte pour m'y replonger tout de suite T-T /pos
J'adorerais faire un commentaire de Déluge, mais en même temps ça commence à faire loin, j'ai surement oublié des tas de trucs dessus.
Réponse à ce prompt au sujet de cette fic.
TW : Violences conjugales - Mentions
Il y aura pas grand chose sur le style parce que c'est vraiment une fic que j'ai plus écrit pour explorer un AU que pour faire des expériences littéraires. (Déjà, juste le fait d'écrire au passé, je trouve que c'est beaucoup moins intéressant que le présent.)
C’est dommage que tu ais choisi ce passage et pas un autre parce que je peux pas caser l’info que j’ai fait des petites recherches sur la parade nuptiale des macareux pour Franck.
Elle s’interrompit en voyant Peine sortir du trou sous sa forme humaine, dans une chemise visiblement passée à la hâte. Il la regarda d’un air inquiet.
Franck en chemise 😳.
Je suis complètement partie sur “pour se transformer, le dragons doivent retirer leurs vêtements”. Donc, déjà Franck a ruiné l’uniforme qu’il portrait à la scène d’avant, mais il a quelques trucs dans son nid pour ce genre de situation où il doit se retransformer.
« Peine ! Vous allez avoir froid…
Dans la première version de cette fic, Sarah appellait Franck par son prénom, comme dans le canon, mais ça collait moins bien avec l’ambiance début XIXe siècle. Ça fait bizarre de les écrire dans une relation aussi formelle.
-Il vous a fait du mal ? »
Je voulais un truc pour raccrocher le canon. Et a priori, on en sait pas plus que ça sur le mariage de Sarah dans le canon mais vu la manière dont elle en parle, ça s’est vraiment pas très bien passé. J’espère pas avoir trop dramatisé. Cet AU, c’est un univers ou les mariages arrangés existent, celui-là s’est juste particulièrement mal passé.
Je me suis pas demandée comment étaient perçues les violences conjugales dans la culture des dragons. Franck est surtout très choqué qu’on ait pu faire du mal à Sarah.
Sarah fit de son mieux pour rester concentrée sur le visage du sergent. Elle hocha prudemment la tête, essayant d’empêcher ses souvenirs de remonter. Le dragon ne la lâchait pas des yeux, l’air incertain de ce qu’il devait faire. Il tendit une main maladroite vers elle mais se ravisa aussitôt et lança un regard furieux à l'horizon, vers les îles dont Sarah lui avait dit qu’elle était originaire.
Sarah essaye de rester concentrée devant Franck à moitié nu et c’est pas évident. Elle est vraiment très attirée par lui…
Quand j’écris Franck et Sarah c’est à 50% constitué de tentatives de contacts physiques qui s’arrêtent en cours de route.
Sarah attrapa sa main tendue et le sergent baissa aussitôt les yeux vers elle.
« Peine, vous n’allez pas vous battre pour moi, ordonna-t-elle.
-Je dois vous protéger…
-Non ! Vous ne comprenez pas, c’est pour ça que je suis ici ! S’exclama la jeune femme, fière de son plan. Je suis soldate au service de notre Grande Majesté, il ne peut rien contre moi, je suis intouchable. Et quand je reviendrai, je saurai me battre. »
Le dragon ne lui répondit pas tout de suite. Il la regarda longuement, l’air impressionné, Sarah sentit sa propre fierté bouillonner au fond de son ventre.
Sarah est vraiment très fière de son plan. Et elle a raison, une fois qu’elle sera héroïne de guerre, elle pourra faire entendre sa voix contre son mari.
« Vous n’êtes pas obligée d’y retourner.
-Si.
Non mais Franck, Sarah veut vraiment prendre sa revanche !
-Non. »
Il baissa les yeux, hésita un instant et continua.
« Les dragons ne se marient pas alors… Je pense que j’ai le droit d’être votre partenaire… Si vous en avez envie. »
J’ai peur que ce passage soit un peu incohérent avec le fait qu’il ait très mal réagit en apprenant qu’elle était déjà mariée. C’est pas tellement une obligation de garder un partenaire à vie chez les dragons. Je suppose qu’il était juste choqué qu’elle ne lui en ait jamais parlé…
À nouveau, Sarah se sentit rougir.
« Ça ne vous dérange plus que je sois mariée ? »
Peine détourna les yeux.
« Je voudrais juste partager votre vie… Au moins un peu…
-Moi aussi, souffla Sarah, incapable de s’en empêcher. »
Elle se plaqua aussitôt les mains sur les lèvres. Ça y était, elle l’avait dit. Mais si réellement, son mariage importait peu, à des yeux de dragon… Au fond, elle n’avait pas tellement envie d’être fidèle, juste peur de ce que penseraient les autres. Et quoi qu’il se passe, les autres le savaient déjà, désormais…
« Moi aussi, confirma la jeune femme avec plus de conviction. »
Le dragon la regarda à nouveau, l’air de ne plus du tout savoir quoi faire de tout son corps d’humain. Sarah se souvint soudain qu’il avait dit ne rien savoir des relations humaines, alors elle prit les devants et glissa doucement une main sous son menton. Peine se laissa faire quand elle l’attira un peu plus près d’elle pour pouvoir l’embrasser.
Pourtant, il battit en retraite aussitôt qu’il sentit les lèvres de la jeune femme contre les siennes. Sarah l’observa, surprise et déçue. Le sergent baissait les yeux.
Franck est pas près pour les gestes d’amour humains.
« Je suis désolé, murmura-t-il en comprenant soudain qu’il avait interrompu quelque chose d’important. Je voudrais me re-transformer. Si ça ne vous dérange pas… »
Sarah hésita une seconde avant de se rappeler que son compagnon préférait son autre forme. Elle hocha la tête et Peine disparut dans le terrier.
Sarah est sincèrement déçue mais le bien être de Franck est plus important.
Je sais jamais trop comment gérer ce genre de situation où les ressentis des deux personnages sont légitimes mais profondément contradictoires, j’ai toujours un peu peur que ça culpabilise les émotions de l’un des deux et que du coup ça se répercute sur le lecteur si il s’identifie à un des personnages.
Il ressortit quelques minutes plus tard sous sa fourrure noire et blanche, et tendit prudemment le bec à Sarah qui lui caressa doucement la tête. L’instant d’après, ils étaient blottis l’un contre l’autre et le dragon ronronnait triomphalement.
Ils sont mignons T-T
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contesdefleurs · 1 year ago
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Mes lectures : Paroles d'honneur
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Titre livre/saga : Paroles d'honneur
Autrices : Leïla Slimani et Laetitia Coryn
Numéro : Unique
Édition : Les Arènes BD
Genre : Documentaire, reportage
Illustration : Laetitia Coryn, Sandra Desmazières
Parution : 2017
Note : 3.5/5
CW/TW : Sexualité, homophobie, racisme, misogynie, sexisme, agressions
Résumé : Rabat, été 2015. Suite à la parution de son livre "Dans le jardin de l'ogre", un roman cru et audacieux qui aborde la thématique de l'addiction sexuelle, Leila Slimani part à la rencontre de ses lectrices marocaines. Face à cette écrivaine franco-maghrébine décomplexée qui aborde la sexualité sans tabou, la parole se libère. Au fil des pages, l'auteur recueille des témoignages intimes déchirants qui révèlent le malaise d'une société hypocrite dans laquelle la femme ne peut être que vierge ou épouse, et où tout ce qui est hors mariage est nié : prostitution, concubinage, homosexualité. Le Code pénal punit toute transgression : un mois à un an de prison pour les relations hétérosexuelles hors mariage, six mois à trois ans de prison pour les relations homosexuelles, un à deux ans de prison pour les adultères. Soumises au mensonge institutionnalisé, ces femmes nous racontent les tragédies intimes qui égrènent leurs vies et celles des femmes qui les entourent : IVG clandestines, viols, lynchages, suicides. Toutes sont tiraillées entre le désir de se libérer de cette tyrannie et la crainte que cette libération n'entraîne l'effondrement des structures traditionnelles. À travers cette BD, il s'agit de faire entendre la réalité complexe d'un pays où l'islam est religion d'État. Et où le droit des femmes passera, avant tout, par la défense de leurs droits sexuels.
Avis
Une BD qui permet de mettre en lumière de nombreux aspects sur la manière dont le patriarcat au Maghreb, et plus particulièrement au Maroc, se manifeste et exerce un pouvoir avec violence (symboliquement, physiquement, socialement) sur les femmes. De multiples dialogues sous la forme de témoignages illustrés mettent en scène le vécu de femmes différentes vivant dans une société misogyne, conservatrice, où culturellement sont ancrés des habitudes nourrissant les oppressions subies par les femmes. Tantôt, nous apprendrons ce que peuvent vivre les femmes face à la (non-) découverte de leur sexualité dans un pays où il est interdit de vivre toute forme de vie sexuelle en dehors du mariage, et où le tabou sur la sexualité des femmes, et la pudeur, sont dominants. Tantôt, on apprendra ce qu'elles peuvent endurer à cause du manque d'expérience et de leur silence, en parlant notamment des avortements, souvent clandestins, de la gestion des IST, etc. Tantôt, il s'agira de s'intéresser au poids de la religion dans une société conservatrice cishétéronormée, et comment l'homophobie peut se manifester (en abordant la place du voile en société, plus particulièrement en public, et l'instrumentalisation du Coran pour justifier ces violences et l'existence du pouvoir patriarcal qui pèse sur les femmes en public comme en privé dans leur vie conjugale). Et, tantôt, sera abordé le sujet de la prostitution qui est dissimulé et qui soulève d'autres questions sur le poids de la société sur les corps des TDS. Deux bémols cependant à noter : d'abord, "les africaines" pour désigner les femmes noires au Maroc, et plus généralement au Maghreb, ça semble négrophobe dans la mesure où l'Afrique est un continent, pas une population, sans parler du fait qu'être noire et marocaine c'est possible. Ensuite, parler de schizophrénie pour parler des comportements paradoxaux que l'on doit adopter pour survivre, donc adopter différentes attitudes, c'est un peu usant. Utiliser des troubles pour parler de ces situations que l'on est obligé-e de vivre parce que racisme, c'est psychophobe en plus de contribuer aux clichés sur eux. Des femmes imams féministes sont citées à la fin de la BD si ça vous intéresse, donc n'hésitez pas à aller checker les dernières pages.
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capitainerowen · 2 days ago
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LECTURES DE 2024 : Aux douceurs du temps - Véronique Chauvy
Lecture terminée le 30 octobre 2024 (104/110)
384 pages lues
- C'est une femme ! Nom de Dieu, Gustave! On fait un métier d'homme ! - Je t'ai déjà dit que les choses évolueraient dans un proche avenir… On ne s'étonne plus d'avoir des femmes enseignant dans les écoles, on commence à avoir des femmes médecins, peu, je te l'accorde, mais la voie est ouverte. Et pourquoi pas des femmes dans la confiserie ? Qui fassent autre chose que de l'emballage et de la vente ?
Ma 104ème lecture de cette année est le roman Aux douceurs du temps de Véronique Chauvy, nous contant l'histoire de Juliette, confiseuse!
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Résumé : Quand Juliette hérite de la confiserie d'un oncle qu'elle n'a jamais connu, tout semble s'imposer à elle. Son père lui refuse de reprendre l'affaire sous peine d'être déshéritée, et elle se voit même proposer une offre de rachat le jour même. Mais Juliette tombe amoureuse de cette confiserie presque au premier coup d'œil, et chaque pique contre elle cherchant à lui interdire de se développer dans ce métier si masculin ne fait qu'éveiller en elle l'envie profonde de devenir la première confiseuse dont on ait entendu parler.
CW/TW: sexisme ordinaire d'époque, agressions sexuelles, adultère, abus de pouvoir, violence parentale, banalisation de la violence conjugale et filiale, blessures graves, mention d'accidents du travail, handicaps physiques et mentaux, mention d'hôpital psychiatrique, racisme ordinaire d'époque, guerre (Ière guerre mondiale), nourriture, abandon, violences psychologiques, maladie, grossesse, religion, alcool, etc...
J'ai acheté ce livre lors d'un salon du livre, en septembre, et de tous les livres que j'y ai trouvé, il est mon préféré jusqu'ici! (Pourtant, Géantes est très, très bien aussi, ça se joue de peu)
C'est la couverture qui m'a attiré en premier, j'avoue. Si le jaune reste ma couleur préférée, j'ai une faiblesse non-négligeable pour le rose depuis quelques années, et en plus, l'idée de découvrir le monde de la confiserie m'a intrigué.
On commence à la fin du XIXème siècle. Juliette hérite de la confiserie d'un oncle dont elle n'a jamais entendu parler, et son fort caractère ainsi que son affection pour la confiserie la poussent à redonner vie à ce lieu. On suivra son histoire sur une bonne trentaine d'années, et franchement j'ai passé un chouette moment! L'autrice sait parfaitement comment nous rendre ses personnages attachants. Tous ont une personnalité propre, des sentiments, des motivations, leurs qualités et leurs défauts, ils ont tous l'air concrets, autant ceux auxquels on s'attache que ceux qu'on déteste. Sincèrement C'est une bien chouette lecture, et j'ai découvert quelques noms de confiseries, ce qui m'a ouvert l'appétit bien sûr, ahah.
Si vous aimez les slow-burn, vous apprécierez cette lecture! Car, en effet, cette histoire d'indépendance féminine et féministe est aussi une histoire d'amour aussi longue que douloureuse à suivre (et je dis ça dans le bon sens). Enfin, de manière générale, le roman est vraiment chouette, il est plaisant d'y voir que malgré les difficultés qu'elle rencontre, Juliette n'est jamais seule et peut être soutenue par des gens dignes de confiance, et son évolution est belle à suivre.
Tout ça pour dire, je recommande chaudement ce roman! N'hésitez pas à le lire, il en vaut la peine! :) Moi, en tout cas, j'ai vraiment passé un super moment!
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2salles2ambiances · 2 months ago
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Il était une fois dans 2 salles, 2 ambiances, deux podcasteuses cinéma qui ont décidé d’emmener leurs auditeur-ice-s dans une épopée au cœur du conte mythique de la Belle et la Bête. Cette semaine émerveillez vous avec Gabrielle et Inès dans une forêt onirique et un New York enchanté. Faites attention cependant à ne pas vous faire kidnapper par une bête poilu ou un homme chauve.
Tw: mention de suicide, mort, drogues, violences conjugales
Voici la partie 1:
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magringotv · 2 years ago
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L'importance des hommes
TW: violence conjugale, violence sexuelle, suicide
1 homme sur 6 sera abusé sexuellement dans sa vie.  1 homme sur 9 sera victime de violence conjugale. Environ 75% de la mortalité due au suicide est masculine.
Est-ce qu'ils sont moins importants que les femmes? Non. Mais c'est pas lorsqu'on parle des problématiques féminines qu'on doit en parler. C'est pas non plus aux femmes de pointer du doigts ces problématiques, c'est NOTRE responsabilité.
Also: Le whataboutism c'est une plaie.
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egalitariste · 8 years ago
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chevaliersifrelo · 7 years ago
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L'Equipe a fait une page entière sur C*man et il y a seulement un petit encadré en bas de page qui parle de ses violences conjugales. Le pire c'est que le gars dit que ça fait partie de la vie et que ça arrive de faire des erreurs... genre wtf, t'as battu ta femme mec, on parle pas de s'être trompé de route sur le chemin des vacances. Battre sa femme c'est pas juste « faire une erreur », c'est impardonnable.
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dontr-pemeplease · 6 years ago
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Le Clan Bennett, tome 1 : Le chant du Loup
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Présentation :
Titre français : Le Clan Bennett, tome 1 : Le chant du Loup
Titre original : Wolfsong (Green Creek #1)
Auteur : T.J. Klune
Type d’ouvrage : Roman
Maison d’édition : MxM Bookmark
Genre : Contemporain, Romance, Paranormal
Résumé :
Ox a douze ans quand son père quitte le foyer familial en lui disant qu’il ne vaut rien et que les gens ne le comprendront jamais.
Il en a seize lorsqu’il rencontre Joe Bennett dont la famille vient d’emménager dans la maison du bout de la route. Joe, qui parle, parle, parle. Qui parle comme il ne l’avait plus fait depuis presque deux ans.
La vie d’Ox change alors du jour au lendemain, car les Bennett accueillent à bras ouvert cet adolescent solitaire au sein de leur famille. De leur clan. De leur meute.
Dès lors, Ox n’est plus seul et s’épanouit auprès de Joe et de ses frères. Mais il sent que des choses lui échappent : des secrets qu’on lui cache, des dangers dont on veut le protéger.
Des secrets rouge Alpha, orange Beta, violet Omega.
Des dangers surgis du passé et qui menacent désormais tout le clan Bennett...
Représentation : un personnage secondaire homme bi ace, plusieurs personnages bi ou gay (dont le couple formé par les deux personnages principaux)
TW/CW : deuil, mort, violence, mutilation, relations sexuelles explicites, relations parentales abusives, mentions de violences conjugales, torture, mention de nudité
L’avis du CLAAN :
Le chant du loup est le permier tome d’une série de 4 romans (et 2 nouvelles). Chaque tome est centré sur des personnages différents, et bien que le personnage ace apparaisse dans le premier, il ne sera un personnage principal que dans le 3ème volume.
Positif :
Le mythe des loups-garous connaît un traitement intéressant.
L’humour est bien dosé.
Le style d’écriture permet une lecture fluide.
Les personnages sont tou·te·s développé·e·s et bien construit·e·s
L’évolution du personnage principale est très intéressante.
Il n’y a pas de rapport de domination malsain dans la relation entre humains et loups-garous.
Les relations entre les personnages sont de manière générale saines et bien développées.
Malgré ce qu’indique le résumé, ce roman n’a rien à voir avec le trope de l’omegaverse.
Si vous aimez le Monde des Ténèbres, ça vous parlera !
Négatif :
Le roman comporte deux scènes intimes explicites (dont une très longue) et très graphiques. Ces passages sont cependant entièrement optionnels. 
La représentation ace n’est pas explicite et ne passe pour le moment qu’à travers quelques remarques ou comportements du personnage concerné (Kelly Bennett). Cependant, ledit personnage sera plus mis en avant dans le tome 3 de la série.
Bien que le roman comporte un grand nombre de personnages LGBTQI+, les représentations ne sont pas très diverses (on y rencontre principalement des hommes gays) et peu approfondies (par exemple, “tous les loups sont fluides en terme d’orientation sexuelle” sans plus de détails).
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jezatalks · 5 years ago
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TW: Violence
Je ne sais pas quoi faire.
J'ai une amie qui vient me demander de l'aide car ça ne va pas dans son couple.
Son copain n'écoute pas ses conseils/propositions pour que ça aille mieux dans le couple, il se braque et "boude". Il y a peu de dialogue entre eux et elle a l impression d'être face à un mur quand elle essaye d'amorcer une discussion pour qu'il se remette en question. Il oublie tout ce qu'elle lui dit, même si elle le rappelle le midi pour l'aprem/soir et ensuite blâme que ce n'est pas grave et de sa faute, et joue aux jeux vidéos (mais il fait "tout de même les tâches ménagères pour l'appart")
Elle a conscience de ses défauts à elle et fait en sorte de travailler dessus.
Elle m'a lâché au détour de la discussion qu'il y a eu de la violence (main au cou et poussé violemment au sol avant de fuir "prendre l'air", elle a eu un hématome et mal une semaine)
Je lui ai envoyé quelques images sur le cycle de la violence et le violentomètre qui a circulé il y a quelques temps. Et le numéro 3919.
Ils pensent tous les deux qu'ils peuvent vivre ensemble, ils s'aiment. Mais elle sait que ce n'est possible que si il y a un déclic chez lui et qu'il s'ouvre à la discussion.
Je sais que le mieux serait qu'ils se séparent (ce que lui a déjà menacé), et elle n'arrive pas à tenir un ultimatum et n'a pas de pouvoir sur lui.
Je ne sais pas trop vers quels liens l'envoyer, ils vivent ensemble, ont 22/23ans, je ne pense pas qu'elle va (avouer) se reconnaître dans "violences conjugales" puisque il n'y a pas eu de violence sexuelles (Mais verbale oui)
Quelqu'un aurait des liens/numéros ?
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lanefeloma · 4 years ago
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𝐒ome birds are not
meant to be caged,
that's all.
𝐓heir feathers are too
bright, their songs too
sweet and wild.
tw ; sous-entendus imagés de violence conjugale.
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contesdefleurs · 7 months ago
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Écrire sur des traumas vécus
Quand on est un-e lecteurice, nous avons toujours la possibilité d'arrêter notre lecture. De se renseigner sur les éventuels CW et TW d'une œuvre. De faire une pause dans une lecture parfois trop difficile pour la poursuivre. En bref, nous n'avons pas le même contrôle sur ce que nous lisons en tant que lecteurice et en tant qu'écrivain-e. J'ai écrit un projet qui décrit des expériences vécues, et je ne pensais pas que cela allait m'affecter autant. Comme indiqué dans le titre, on va parler des traumas et d'à quel point ils peuvent influencer notre processus d'écriture. Pour ce faire, je vais vous faire part de ma propre expérience et des réflexions qui découlent. Je ne vais pas présenter le projet concerné ici, car cela ne me semble pas utile pour le moment (et peut-être qu'un billet lui sera entièrement dédié, qui sait).
Les traumas et leur impact
Ce qu'il faut savoir, c'est qu'il traite de sujets qui ont marqué ma vie, et il parle notamment de validisme et de psychophobie : du déni familial aux violences intra-familiales, des médecins qui ne considèrent pas l'avis de l'enfant, le manque de renseignements (même les plus basiques), les accusations validistes qui freinent une bonne prise en charge : "tu fais semblant, c'est pour attirer l'attention", les abus, les troubles et/ou la maladie qui sont minimisés, que l'on relativise au point de mettre la personne malade/possédant des troubles en danger. Ajoutons à ces sujets le deuil, la solitude, la maltraitance, les violences conjugales et les rapports familiaux néfastes. Tout cela, je l'avais plus ou moins abordé, à ma façon, dans ce projet qui me tient très à cœur. Seulement, j'ai dû m'arrêter en cours de route, parce qu'émotionnellement cela devenait trop compliqué. Le travail d'écriture que je menais consistait à décrire ces situations que j'avais vécues. L'objectif était de montrer comment le validisme peut se manifester dans la sphère familiale tout en me libérant de ce passé avec lequel je pensais avoir suffisamment de recul pour le retranscrire dans un récit. Je ne m'étais pas rendue compte que j'y étais encore très sensible, au point de ne plus pouvoir poursuivre ce projet. Je pensais, naïvement, qu'être suivie par une psychologue, qu'être entourées de personnes aimantes et bienveillantes, qu'avoir une nouvelle vie avaient effacé l'impact des traumas qui me hantent encore aujourd'hui. C'est quand on commence à aller mieux que l'on se berce avec l'idée que plus rien ne peut nous atteindre (ou peu de choses). Durant l'écriture de ce projet, avec la manifestation des symptômes propres aux PTSD et aux C-PTSD, j'ai réalisé qu'il était encore difficile se rappeler. Les souvenirs ont ressurgi avec beaucoup de douleur. Je me sentais triste, je faisais régulièrement des crises d'anxiété, jusqu'à faire des cauchemars de manière assez fréquente pour que je le notifie. En fin de compte, je me suis lancée dans un projet d'écriture en m'impliquant émotionnellement sans avoir jaugé, ou imaginé, les conséquences qui ont nourri un mal-être pendant quelques semaines.
Qu'envisager pour la suite ?
Comme il s'agit de la première fois que je mets un projet de côté pour ces raisons, j'ai commencé à réfléchir : comment j'allais, à l'avenir, préparer des projets qui traitent de sujets directement ou indirectement liés à mes traumas. Peut-être que ce que je vais mettre en place pourrait intéresser d'autres, alors je vais les exposer :
Commencer à travailler en amont sur le projet voulu pour jauger son ressenti avec les sujets que l'on compte aborder
Lister/cibler les scènes qui peuvent être particulièrement difficiles (pour mieux s'y préparer ou pour trier selon vos besoins, envies, votre vécu, etc)
En parler avec une personne de confiance pour mesurer votre sensibilité avec ce sujet (est-ce que vous vous sentez capables d'en parler ? Est-ce que le fait de l'aborder ou de se souvenir des évènements à retranscrire atteint votre santé mentale/physique de manière significative ?)
Si vous êtes suivi-e par un-e psy, peut-être lui en parler ne serait pas une mauvaise idée si vous êtes bien accompagné-e
Dédier un moment de réflexion pour peser le pour et le contre avant de choisir, en se posant des questions qui pourront éventuellement vous guider : pourquoi je veux parler de ces sujets en particulier ? Qu'est-ce que cela m'apportera ? Est-ce que je me sens prêt-e à les aborder ?
Ce que j'en retire comme leçon
Je pense qu'il est important de garder en mémoire que les traumas ne sont pas contrôlables comme on pourrait le croire. Que connaître des moments heureux, ou de soulagement dans notre vie, ne les effacent pas. Cette idée qu'ils s'évaporent au premier rayon de soleil semble venir d'un imaginaire validiste consistant à prétendre que "puisque tout va mieux, pourquoi être encore triste ?", elle-même provenant de cette idée que la santé mentale est modifiable selon la volonté (sans prendre en compte les multiples facteurs et la réalité médicale qui prouvent que le "quand on veut, on peut" est une fausse idée, oppressive, en plus d'être dangereuse). Comme nous sommes entouré-e-s de cet imaginaire validiste, je n'y ai pas échappé. Mais peut-être qu'en vous le disant ici, vous y penserez.
On est parfois tenté-e de parler de notre passé, des traumas que l'on a vécus, parce qu'on porte des projets engagés. Parce qu'ils nous touchent intimement et qu'on sait qu'il y a des gens qui ont besoin de lire qu'il est possible de s'en sortir, qu'on les comprend. Parce que ce sont des sujets que l'on souhaite visibiliser pour cesser la banalisation des violences. Parce qu'on est, pour certain-e-s, militant-e, et on a envie de porter un discours dénonciateur. C'est avec cet état d'esprit que j'avais commencé à travailler sur ce projet (bien qu'il soit très sombre). Toutefois, ne perdons pas de vue notre santé mentale qui peut être très affectée. Cela peut être frustrant de ne pouvoir continuer un projet d'écriture, moi-même cela me peine de devoir le laisser dans le placard pour une durée indéterminée, néanmoins la santé est à prioriser. J'espère vous avoir donné des pistes de réflexions utiles sur le sujet, prenez bien soin de vous en attendant et bonne continuation dans vos projets.
Voici quelques ressources sur les traumas si vous ne connaissez pas, ou peu, ou qui pourront vous aider à gérer/identifier les vôtres si vous en avez :
Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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Si cela vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux et lire mes projets publiés ici, à bientôt ! :
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