#trueba

[elarea]

El lienzo y la globa (69)

La juventud termina el día en que tu jugador de fútbol favorito tiene menos años que tú. David Trueba.

[365filmsbyauroranocte]

La virgen de agosto (Jonás Trueba, 2019)

[cinematicjourney]

The August Virgin (2019) | dir. Jonás Trueba

[elinordash]

EL OLVIDO QUE SEREMOS (2020) | MEMORIES OF MY FATHER / FORGOTTEN WE’LL BE

Mire, si algo sé, como médico, es que a la izquierda tengo mi corazón, así que ahí tengo mis sentimientos. Pero en el centro tengo mi cerebro, luego la razón. Y también tengo muy claro qué tengo a la derecha, mi vesícula biliar, es decir, la bilis, los odios y la inquina.

[lobbycards]

Two Much, Spanish lobby card. 1995

[cerescereso]

[haute-lifestyle-com]

Haunted Heart, from Vantage Media, presents a story of romance, drama, hidden secrets, a buried past, and a love triangle, as a beautiful French traveler takes a server position on a Greek island, only accessible by boat

[vernonislays]

Happy Birthday to the one and only Winona Ryder!

[sassmill]

Here’s the thing, babes—at the end of the day, when all is said and done, what it’s really all about? Spinster grief.

[pelomundodascidades]

Fernando Trueba+Javier Mariscal, They shot the piano player, 2023

[lost-on-t-umblr]

Meryl Streep as Clara Del Valle and Glenn Close as Férula Trueba in The House of the Spirits (1993)

[moviemosaics]

They Shot the Piano Player

directed by Fernando Trueba and Javier Mariscal, 2023

[365filmsbyauroranocte]

La virgen de agosto (Jonás Trueba, 2019)

[cinematic-explorations]

Belle Epoque (1992) (1994)

(via Belle Epoque - Movie Review — Steemit)

[mmepastel]

Très joli film déconcertant.

J’avais adoré Eva en août vu en 2021, alors j’étais heureuse de voir un autre film de ce réalisateur, toujours avec son actrice fétiche, Itsaso Arana.

Le film est court, et ressemble un peu à un documentaire. En gros, on pourrait dire qu’il y a deux scènes ; ce qui est exagéré, mais pas loin. Scènes qui paraissent filmées en temps réel, qui épousent complètement le temps réel du déroulé de la scène, avec ses longueurs inhérentes.

Acte 1 : deux couples se revoient après un bon moment sans s’être trop parlé, c’est en hiver, ils écoutent un concert de piano, et un des couples annonce qu’il attend un bébé. Ce couple là vient de déménager hors de Madrid, où l’autre continue de vivre. Les futurs parents proposent au couple urbain de venir les voir (cf titre).

Acte 2 : six mois plus tard, le couple urbain va les voir, dans leur maison de banlieue. Tout ne s’est pas déroulé exactement comme prévu. Le repas et la journée se déroulent dans l’amitié et la complicité, avec quelques silences, ou au contraire, quelques tirades (les rats de ville lisent un livre sociologique qui les travaille et qu’ils citent abondamment sur la nécessité de muter pour s’adapter aux changements climatiques et inventer une façon nouvelle de vivre ensemble).

Pas de psychologie, juste une façon un peu rohmérienne de raconter le quotidien, une forme de légèreté trompeuse. On devine que l’annonce de la grossesse a été un mini séisme pour le couple qui n’en était pas là, ils s’interrogent confusément : doivent-ils aussi faire un enfant, doivent-ils aussi quitter la ville ? Les couples fonctionnent en miroir. Ils représentent des choix cruciaux que l’on doit faire, le problème c’est qu’ils posent les questions à des moments où on n’a pas forcément envie d’y répondre. Il y a donc comme un flottement entre ces quatre personnages. Le couple «rats des champs » fait face finalement à une sorte de désillusion, la banlieue n’est pas l’Eldorado. Chacun s’apprécie, des dynamiques souterraines semblent, au cours de cette journée un peu étrange, déplacer les duos, les décaler juste un peu.

On sort du film sans trop savoir ce qu’il adviendra des personnages, mais en ayant un sentiment de proximité avec eux, avec cette banalité des hésitations humaines, banalité rendue jolie par le souci de justesse du personnage principal, Elena, son regard attentif aux vacillements intimes.

[lobbycards]

Two Much, Spanish lobby card. 1995