#trouble du stress post traumatique
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Réchappé d’une tentative de meurtre au Tchad, un soldat français se pend en prison en France, assiégé par les noirs et les arabes
On peut toujours compter sur la république et son armée pour laisser ses soldats crever la gueule ouverte, partout et dans toutes les situations.
Opex 360 :
Que s’est-il exactement passé à l’antenne médicale du camp militaire français de Faya Largeau [Tchad], le 5 septembre dernier ? Selon les explications données à l’époque par les autorités locales, un soldat tchadien venu se faire soigner aurait porté des coups de bistouri au thorax, à la tête et au cou de l’infirmier militaire français qui l’examinait, obligeant celui-ci à faire usage de son arme pour se défendre. « Un militaire tchadien, qui n’était pas dans un état normal, s’est rendu pour un pansement dans la base militaire de l’armée française, a pris un scalpel et a blessé un infirmier militaire français », avait relaté le général Ali Maïde Kebir, gouverneur de la région du Borkou, dont Faya-Largeau est le chef-lieu. « L’infirmer à fait usage de son arme à feu et l’a tué », avait-il ajouté. Cette version des faits avait été corroborée par une source militaire française. « On ne connaît pas les raisons de l’attaque », avait-elle admis, avant d’insister sur le fait que l’infirmier [un adjudant] avait dû se défendre. Et de préciser qu’une enquête, menée conjointement par les forces françaises et tchadiennes avait été ouverte. Cet incident dramatique avait ensuite donné lieu à une manifestation hostile à la présence française devant le camp de Faya Largeau, ainsi qu’à la diffusion de rumeurs malveillantes sur les réseaux sociaux.
Je ne comprends pas le concept
Seulement, cette affaire a récemment connu un rebondissement, la version de l’adjudant infirmier, aux états de service irréprochables, ayant été remise en question par les expertises menées à la demande de la section militaire du parquet de Paris, selon laquelle, rapporte Le Parisien, les « blessures bénignes sur l’infirmier ont pu être auto-infligées, le patient tchadien n’ayant aucune trace de sang, et seul le profil génétique du mis en examen ayant été retrouvé sur le scalpel ». Toujours selon la même source, le soldat tchadien n’était pas armé et « sa formation militaire spécifique laissait par ailleurs penser qu’il disposait d’un savoir-faire peu compatible avec les égratignures constatées sur l’infirmier ». En outre, poursuit-elle, « le défunt tchadien a manifestement été victime de tirs mortels dans le dos et alors qu’il se dirigeait vers la sortie ». Enfin, un médecin-chef et un adjudant-chef, ont exprimé des doutes sur la version du sous-officier auteur des tirs… Mais il n’étaient pas présents au moment des faits. Dès son retour du Tchad, suivi pour des syndromes de stress post traumatique après avoir survécu à l’explosion d’un engin explosif improvisé lors d’une mission au Mali, l’adjudant infirmier avait été hospitalisé en psychiatrie. Puis, au regard des éléments collectés durant l’enquête, il a été placé en garde à vue le 26 avril dernier, avant d’être mis en examen pour « meurtre » par une juge d’instruction de Paris. Alors que le parquet avait demandé son placement en détention provisoire pour « risque de troubles à l’ordre public, nécessité de conserver les preuves et protection de l’intéressé contre lui-même », l’adjudant infirmier fut placé sous contrôle judiciaire. Mais suite à l’appel du ministère public, il fut finalement incarcéré à la prison de Fresnes, le 14 mai. Ce que ce sous-officier, qui a toujours maintenu sa version des faits, n’a pas supporté. « Je ne comprends pas ma présence en prison, je n’ai fait que me défendre dans le cadre de mon service à la France. Ici, je suis placé à l’isolement car plusieurs détenus ont appris que j’étais militaire. […] S’il vous plaît, essayez de faire quelque chose pour me sortir d’ici, je ne pense pas tenir longtemps », a-t-il écrit à ses parents. Malheureusement, quatre jours après son placement en détention, cet adjudant infirmier de 33 ans a mis fin à ses jours. Pour autant, l’affaire ne va pas en rester là, ses proches ayant déposé plainte contre X pour « homicide volontaire » et « mise en danger de la vie d’autrui ». Elle a également demandé au ministre de la Justice, Éric Dupont-Moretti, de saisir l’inspection générale de la justice. Sollicité par l’AFP, l’avocat de la famille du sous-officier, Me Patrick Ramaël, a fait part de son indignation. « Le motif principal pour lequel la détention a été demandée était pour le protéger contre lui-même d’un suicide. Et, pourtant, c’est cette incarcération qui l’a tué », a-t-il dit. Et d’y voir « d’éventuels dysfonctionnements dans le traitement judiciaire de cette affaire ». Par ailleurs, Me Ramaël a donné d’autres précisions sur les faits survenus à Faya Largeau. Ainsi, selon le récit qu’il a livré à ses proches, l’adjudant infirmier aurait « appelé à l’aide » par talkie-walkie alors qu’il venait de se faire agresser, tout en braquant son arme vers le soldat tchadien. Malgré les sommations, celui-ci se serait alors saisi d’une « paire de ciseaux ». Le sous-officier aurait tiré à ce moment-là… Et un autre militaire, « venu à la rescousse », en aurait fait autant.
Servir le régime macroniste au fin fond d’un désert stupide, en réchapper miraculeusement et finir pendu dans une cellule francilienne sentant la pisse, encerclé de noirs et d’arabes prêts à tout pour vous tuer… Ce pauvre gars aura vécu le rêve français jusqu’à bout.
Même le dernier des clandestins afghans a le droit à bien plus de considération de la part de cette république. Les militaires ont les plus grandes difficultés à comprendre qu’ils ne servent pas « la France », mais ce régime, avec ses loges maçonniques, ses juifs, ses grandes fortunes, ses métèques.
Depuis l’Affaire Dreyfus, on aurait pu espérer que davantage de gens réalisent qu’un militaire français ne sert qu’à mourir pour les juifs et à être traité comme le dernier des larbins. Hélas, beaucoup de gens naïfs l’ignorent encore.
Avec l’entrée en guerre de la France en Ukraine qui se profile, les nouveaux soldats de l’An II vont pouvoir répandre leurs tripes pour la plus grande gloire des juifs avant de se faire pisser dessus par les mêmes une fois la défaite consommée.
Ça ne rate jamais.
Les juifs adorent les Français à l’état de cadavres démocratiques, mais plus encore comme boucs émissaires, une grande tradition hébraïque.
Démocratie Participative
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LIGHTS OUT de Christian Sesma: Opération coup de poing
S’ouvrant sur un bref flash-back en zone de guerre, le film introduit ensuite l’ex-militaire Michael « Duffy » Duffield (Frank Grillo) dans sa situation actuelle, soit celle d’un vagabond qui souffre du trouble de stress post-traumatique, un peu comme Rambo au début de First Blood. Lorsqu’il démontre à quel point il sait se débrouiller avec ses poings lors d’une bagarre dans un bar, Duffy attire l’attention de Max Bomer (Mekhi Phifer), un boxeur fraîchement sorti de prison qui, afin de payer sa dette auprès d’un promoteur louche (Dermot Mulroney), recrute l’ancien soldat pour participer à des combats d’arts martiaux mixtes clandestins.
Le scénario dissipé de Chad Law & Garry Charles s’attarde également à la sœur de Max (Jessica Medina), dont l’ex a égaré une large somme d’argent appartenant à de sinistres individus « dans le sud », ainsi qu’à des policiers corrompus du LAPD menés par la mystérieuse Ellen Ridgway (Jaime King). Puis lors du climax, Duffy fait appel à un vieux frère d’armes incarné par nul autre que Scott Adkins, un caméo de luxe très apprécié.
Malgré un budget modeste, ce long-métrage réalisé par Christian Sesma (Section 8) est riche en action, une scène sur deux impliquant du cassage de gueule ou un règlement de compte. Au sein d’une solide distribution, Frank Grillo livre une performance particulièrement intense et habitée, en plus d’être parfaitement badass. Je ne dirais pas non à un Duffy: Lights Out Part II.
LIGHTS OUT sera lancé en salle et en vidéo sur demande ce vendredi 16 février.
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TW SENSIBLE SUBJECT
- Lila Stark : anorexique
Lila est une jeune mannequin, à cause de la pression de son job et des normes des mannequins elle a perdu confiance en elle.
Elle a d’abord commencé par baisser les calories de ses repas, jusqu’à complètement arrêtée de se nourrir. À force de se laisser aller elle faisait de nombreux manège jusqu’à que son frère la fasse être prise en charge, depuis elle est revenue à un poids bon pour elle.
- Jean Grey : trouble borderline
Jean est une femme qui s’est toujours senti à part et différente, elle en a beaucoup souffert et a subis du harcèlement.
Elle décide à ses 18 ans de consulter un psychiatre qui l’a déclare borderline. Ses symptômes sont surtout la colère, peur de l’abandon, changement d’humeur.
Cette maladie lui cause énormément de problèmes au point qu’elle n’a jamais eu de relation amoureuse du à son comportement.
- Taylor Blake : Stress post traumatique
Taylor a était battu par son père durant son enfance, suite à ça sa mère a divorcé avec lui mais les violences on continué dans son collège a cause de son homosexualité.
Depuis il a une peur de la violence, il cache son homosexualité car il a peur de ce qui lui arrive.
Il déteste les gens qui crient fort ou les gestes brusques.
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Oyé oyé, population du rpg francophone
Je viens à toi en ce petit *remplacer par la période la journée qu'il est chez toi* pour te proposer un petit prélien/scénario pas piqué des hannetons (non, je ne suis pas biaisée du tout).
Alors pourquoi pas, mais ça se passe où ?
Excellent début ! Ca se passe sur Maleficis Ambulare, forum de sorcellerie qui se joue autour d'un panthéon inédit aux inspirations pluriculturelles dont voici le résumé :
Naquit du vide Navnah, Première-Née, Divinité-Mère. [...] De sa bouche sortit les Envoûtant.e.s, la Première Race, une menace pour les Divins, qui les exterminèrent. Alors, de sa chair, naquirent [...] les Hommes, la Seconde Race, et tous peuplèrent la Terre. Les Hommes avaient soif de découverte et de pouvoir. Ils se détournèrent de la Nature et des Divins. Ils bâtirent des empires et vénérèrent de nouveaux Dieux. Alors Navnah se déposséda de ses dernières chairs, et d'elles jaillirent les Sorcier.e.s, la Troisième Race. Et enfin, elle disparut.
Ca en jette pas vrai ? Normal, c'est pas de moi.
Bon, et ce scénario alors, c'est quoi ?
On y vient, ne t'en fais point. Il s'agit du scénario du mari de ma très chère Zénobie qui est, disons... très gentille ? Mais qui a un peu été traumatisée par la vie et est très très dévouée à sa divinité. Allez, jetons un coup d'œil de plus près.
Bonjour, Vous êtes un homme très ambitieux parmi Zeddhis ou l'un de ses alliés. Vous vous êtes mariés il y a cinq ans de cela pour des sentiments sincères ou pour des raisons politiques (les deux ?) à une jeune femme souffrant d'un trouble de stress post-traumatique dont les symptômes s'apparentent à ceux de la schizophrénie, et donc la sœur jumelle, très légèrement misandre cherche plus ou moins activement à vous tuer. Ah, et ne vous attendez pas à quelque descendance, elle empoisonne également votre femme afin que cette dernière demeure stérile. Bienvenue dans la famille !
Ca vent du rêve, hein ? Comment ça, cauchemardesque ? Oui bah ça c'est de moi, normal j'imagine.
Des petites infos en plus, Zénobie est jouée avec La Zarra, chanteuse maroco-canadienne, elle a 30 ans. Son mari en aura donc entre 31 et 36, et comme je suis super sympa (et que j'adore faire des listes de fc), je t'ai préparé des petites suggestions (qui sont tout à fait négociables, c'est juste pour te donner la vibe du bonhomme : aaron taylor johnson, barry keoghan, daniel kaluuya, dev patel, john boyega, riz ahmed, robert pattinson, trevante rhodes, willy cartier, yahya abdul-matteen II.
Et pour le PL dans son entièreté c'est par ici <3.
Mh, je suis pas convaincu par le bonhomme mais l'univers a l'air sympathoche !
Mais viens dont, mon petit ! Je suis pas rancunière, et au contraire, ça me ferait super plaisir de rameuter un.e petit.e nouveau.elle ! On a une équipe administrative hyper réactive et à l'écoute, les membres sont super accueillants, c'est super facile de se trouver des liens, les rp fusent dans tous les sens alors qu'on est en période estivale (période généralement basse niveau activité), et le forum n'a que deux mois, tu peux nous rejoindre dès le début de notre aventure ! On a également un petit serveur Discord où ça floode un peu tous les jours et qui permet aussi pas mal d'aider à trouver des liens en sympathisant avec les autres joueurs.euses (et je te rassure, moi aussi de base je suis sceptique comme la fosse quand il s'agit de Discord dans le milieu du rpg, mais notre canal est vraiment chill et good vibes !).
Sur ce, je te fais des bisous, et j'espère bien vite te croiser sur Maleficis Ambulare !
#rpg francophone#forum rpg#forumactif#avatars forum#rpg ressources#rpg#forum francophone#forum fantastique#forum français
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Quoi de neuf ? - 22 novembre 2024
Voilà pas mal de mois que je n'avais pas de donner de nouvelle plus approfondie ici.
Je sens que ce post aura encore des airs de meuf qui pleure. Mais je ne fais que rester factuel. Et lever le voile sur le tabou de la santé mentale. En septembre, mon arrêt-maladie a "fêté" sa première année. L'année passée, je ne pensais pas que ça ira jusqu'à là. En novembre 2023, on m'a diagnostiqué un stress post-traumatique et un trouble anxieux généralisé. Dans les faits, ça donne quoi ? ça donne que sans une personne proche, je ne sais pas aller dans un magasin sans faire une crise d'angoisse. Mon hypersensibilité au bruit et la lumière ont pris de l'ampleur. Et donc, m'occuper de mes enfants est parfois compliqué. Et je ne vous parle même pas des fêtes de famille ! Je fais des cauchemars, au mieux, des rêves bizarres qui me mettent inconfortable. Certains me faisant vivre mes plus grandes peurs ou plus grands traumas. Le 15 octobre 2024, le jour avant mon anniversaire, un des districts managers de mon taf me téléphone : "Bonjour Jodie. J'ai l'horrible tâche de vous annoncer que nous ne vous gardons pas dans la société." Au bout de 14 ans... Pendant 13 ans, j'ai été une très bonne vendeuse. Investie, fière de la société pour laquelle je bossais. Volontaire. Et toujours prêtes à remplacer quand les collègues qui étaient malades. Et me voilà, virée comme une malpropre. Et le mec a encore eu l'audace de me demander comment j'allais juste après ça. Alors qu'il m'entendait pleurer au téléphone. Mais bon... Faillite... Rachat de ce qui reste... Nouveau patron... Hop ! On vire tous les gens qui sont malades ! Le fait de perdre mon travail m'a encore plus enfoncée. En rajoutant à mon anxiété. Et cela m'a mise dans une incertitude complète par rapport à mon futur. Ce qui me tient ? Mes enfants, mes hommes et mes lives. C'est tout ce qui me fait du bien pour le moment. Voilà un post pas terrible. Mais je n'ai pas envie de dire que ça va quand ça ne va pas. Mais je me bats pour aller mieux. Car mon géniteur m'a assez rendue la vie dure étant enfant que pour me pourrir une fois adulte
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Selon les National Institutes of Health (NIH), 57,8 millions d'adultes aux États-Unis souffrent de troubles mentaux, ce qui souligne l'urgence de donner la priorité aux soins de santé mentale. Les rapports indiquent que les troubles anxieux sont la maladie mentale la plus courante chez les adultes du pays, suivie de près par la dépression et le syndrome de stress post-traumatique. La bonne nouvelle est que la technologie a ouvert de nouvelles voies en matière de soutien en matière de santé mentale auxquelles tout le monde peut facilement accéder. Nous avons effectué des recherches et sélectionné les meilleures applications de santé mentale pour Android que vous pouvez utiliser gratuitement. Remarque : les applications ne sont que des outils qui aident à la santé mentale et ne peuvent pas remplacer un véritable traitement... https://www.funinformatique.com/meilleures-applications-sante-mentale-android/?_unique_id=670ab84c9e485
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Les avancées scientifiques récentes sur les psychédéliques Les avancées scientifiques récentes sur les psychédéliques ont suscité un intérêt renouvelé dans le domaine de la recherche médicale et psychologique. Pour ceux qui souhaitent explorer ces développements contemporains, les "lsd shop" fournissent non seulement des produits mais aussi des informations précieuses sur les nouvelles découvertes scientifiques. Ces avancées révèlent un potentiel thérapeutique prometteur pour des substances qui étaient autrefois mal comprises et largement controversées.
Au cours des dernières décennies, les psychédéliques, tels que le LSD, la psilocybine (le principal composant des champignons hallucinogènes) et le DMT, ont fait l’objet de recherches approfondies, démontrant des effets potentiellement bénéfiques sur la santé mentale. Une partie importante de ces recherches s'est concentrée sur le traitement des troubles de l’humeur, comme la dépression et l’anxiété. Les études récentes ont montré que la psilocybine pourrait induire des effets antidépressifs durables après une ou deux séances, avec une diminution significative des symptômes dépressifs chez les patients résistants aux traitements traditionnels.
Les recherches sur les psychédéliques ont également exploré leur potentiel dans le traitement du trouble de stress post-traumatique (TSPT). Des essais cliniques ont révélé que des substances comme le MDMA, souvent associé aux psychédéliques en raison de ses effets empathogènes, pouvaient aider les patients à revisiter et traiter leurs traumatismes dans un cadre thérapeutique sécurisé. Ce traitement a montré des résultats prometteurs, avec des améliorations significatives des symptômes du TSPT chez les participants.
Une autre avancée notable concerne l'utilisation des psychédéliques pour améliorer le bien-être général et la qualité de vie. Des études ont montré que les psychédéliques pouvaient induire des expériences profondes de réflexion personnelle et spirituelle, offrant des insights qui peuvent contribuer à une meilleure compréhension de soi et à une attitude plus positive envers la vie. Cela est particulièrement pertinent dans le cadre des soins palliatifs, où la psilocybine a été utilisée pour aider les patients en fin de vie à faire face à l’anxiété liée à la mort.
Les progrès scientifiques récents ont également permis de mieux comprendre les mécanismes biologiques sous-jacents aux effets des psychédéliques. Les recherches en imagerie cérébrale ont révélé que ces substances modifient les réseaux neuronaux, favorisant la connectivité entre différentes régions du cerveau et permettant de nouvelles perspectives cognitives.
En conclusion, les avancées scientifiques récentes sur les psychédéliques ouvrent des perspectives passionnantes pour le traitement des troubles mentaux et la promotion du bien-être. Les "lsd shop" et autres sources spécialisées jouent un rôle crucial dans la diffusion de ces découvertes, contribuant ainsi à un dialogue éclairé sur le potentiel thérapeutique des psychédéliques.
ABOUT US
Ce site se consacre à offrir une expérience unique aux passionnés de psychédéliques, avec une expertise particulière dans le domaine des substances telles que le LSD. En tant que "LSD shop" réputé, il met un point d'honneur à garantir une sélection de produits de haute qualité, soigneusement vérifiés pour leur pureté et leur efficacité. L’équipe derrière ce site est composée de professionnels aguerris qui ont pour mission de fournir non seulement des produits de premier choix, mais aussi un accompagnement personnalisé pour chaque client. Ce site se distingue par son approche centrée sur la transparence et l’éducation. Chaque produit est accompagné de descriptions détaillées et d’informations sur son utilisation, permettant aux clients de faire des choix éclairés. L’objectif est de promouvoir une utilisation responsable et informée des psychédéliques, en fournissant des ressources utiles et des conseils pratiques. En plus de la vente, le site propose un support client réactif, prêt à répondre aux questions et à offrir des recommandations adaptées aux besoins spécifiques des utilisateurs. Le site ne se contente pas de vendre des produits, il s’engage également à participer à la promotion de la recherche et de la compréhension des psychédéliques. En fournissant des articles informatifs et des mises à jour sur les dernières avancées scientifiques, il contribue à une meilleure connaissance des effets et des applications possibles des psychédéliques. Ainsi, ce "LSD shop" aspire à être un leader dans le domaine, en alliant expertise, sécurité et éducation pour offrir une expérience enrichissante à tous ses clients.
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Le consentement sexuel : respect et communication
Tandis qu’en Alabama, mercredi 15 mai, les 25 élus américains décident l'interdiction quasi totale de l'avortement (même en cas d'inceste ou de viol). Il est nécessaire de rappeler ce qu’est le consentement sexuel. Le consentement sexuel est l’accord qu’une personne donne à son partenaire au moment de participer à une activité sexuelle. Le viol est l’acte par lequel une personne est contrainte à un acte sexuel par la force, la surprise, la ruse ou, plus largement sans son consentement. En savoir plus sur le consentement sexuel féminin. Pour commencer, Le consentement signifie que les deux personnes donnent de façon libre et éclairé leur accord. Elle a dit oui, il a dit oui, ils ont dit oui. Par conséquent, si le choix n'est pas donné de façon volontaire, c’est un viol. Si la personne n’est pas consciente, c’est un viol. Si la personne dit oui puis qu’elle décide que c’est non et que tu continues, c’est un viol. Aux yeux de la loi, il n’existe pas de façon précise d’exprimer son consentement. C’est avec la parole, ou le comportement, ou les deux qu’on le donne. Ensuite, il est indispensable de s’assurer que l’autre en a vraiment envie : une personne ne doit pas se sentir prisonnière d’un acte sexuel. On ne dit pas oui pour faire plaisir ou par peur de décevoir. La sexualité se vit seul, à deux ou à plusieurs, avec le totale accord et l'envie de chaque individu. En Irlande, lors d’un procès pour viol sur mineure, l’avocate de l’accusé pour le défendre a présenté le string de la victime. En effet, selon elle, le sous-vêtement est la preuve que la jeune femme consentait à ce rapport. Or les vêtements ne sont pas un signe de consentement, chaque femme est libre de porter ce qui lui plait. Rien ne justifie un viol. Pourtant l’accusé a été lamentablement déclaré non coupable et a été acquitté par le tribunal le 6 novembre 2018. Suite à cette affaire, le 13 novembre 2018, la députée Ruth Coppinguer a brandi un string au parlement irlandais et a dénoncé ainsi l’humiliation et la bêtise de la décision finale. Quant aux femmes, elles sont des milliers à avoir réagit. Manifestations dans les rues et tweets incessant avec le hashtag #thisisnotconsent accompagné par une photographie de leurs sous-vêtements. Rien ne justifie un viol : une injustice inacceptable Le viol est un crime odieux qui laisse des cicatrices profondes, tant physiques que psychologiques, sur ses victimes. Rien ne peut justifier un tel acte de violence. Il est impératif de comprendre que, quels que soient les circonstances ou les comportements de la victime, le viol reste un acte de domination et de brutalité inexcusable. Les mythes et les préjugés entourant le viol, tels que ceux impliquant les vêtements ou les actions de la victime, perpétuent une culture de culpabilisation et de stigmatisation. Il est crucial de démanteler ces idées fausses et de reconnaître que la responsabilité incombe uniquement à l'agresseur. Le consentement doit être clair, libre et volontaire; tout acte sexuel sans ce consentement explicite est un viol. Les impacts du viol sont dévastateurs et durables. Les victimes peuvent souffrir de troubles de stress post-traumatique, de dépression et d'anxiété, et leur chemin vers la guérison est souvent long et difficile. La société a le devoir de soutenir les survivants, de leur offrir des ressources et un environnement sécurisant pour se reconstruire. En fin de compte, il est de notre responsabilité collective de lutter contre le viol et de promouvoir une culture de respect et d'égalité. En éduquant, en sensibilisant et en défendant les droits des victimes, nous pouvons œuvrer pour un monde où aucune personne ne souffre de cette atrocité. Ce procès témoigne d’une grande injustice et de l’absurdité dont l’homme peut faire preuve à l’égard de la femme. En effet, un vêtement n’a encore jamais parlé et dit oui. Il est nécessaire de rappeler que le consentement est un accord commun fondé sur le respect et la confiance. N'hésite pas à partager ton point de vue et à rappeler à chacun l'importance du consentement. Read the full article
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Mes lectures : P.T.S.D.
Auteur : Guillaume Singelin
Numéro : One-shot
Édition : Ankama
Genre : Roman graphique, chronique sociale
Illustration : Guillaume Singelin
Parution : 2019
Note : 4,8/5
CW/TW : Violences, drogue, mort, agressions, guerre, traumas
💗 : Coup de cœur
Résumé : Ancienne tireuse d'élite dans une guerre fictive passée, Jun se retrouve maintenant sans-abri et en colère, comme beaucoup d'autres vétérans. Brisée physiquement et mentalement, hantée par ses souvenirs, elle n'accepte l'aide de personne. Si la drogue semble être la seule chose l'aidant à atténuer sa douleur, les gangs qui contrôlent les vétérans en leur fournissant des médicaments sont endémiques. Jun se retrouve alors au milieu d'une autre guerre qu'elle tente de mener seule.
Avis
Le trouble de stress post-traumatique n'est pas un sujet facile à aborder, d'une part parce qu'il est complexe, et d'autre part parce que la diversité des individu-e-s fait qu'il existe sous une infinité de formes, malgré les similitudes que l'on peut trouver chez les personnes qui ont ces troubles (parfois sans le savoir d'ailleurs.) Si vous n'avez jamais entendu parler du trouble de stress post-traumatique, je ne peux que vous recommander de lire ces articles en allant sur ce lien (ce blog est tenu par une personne concernée, et elle parle notamment d'autisme, de handicap, de validisme, de neuroatypie et de bien d'autres sujets) :
Revenons à la BD à présent. P.T.S.D. , à travers ses dessins sublimes, nous raconte l'histoire de Jun, une ancienne sniper d'élite qui a survécu à une guerre dont les détails nous échappent, mais qui a laissé une marque profonde dans l'esprit et le corps de l'héroïne, revivant continuellement les horreurs dont elle a été témoin. Abandonnée par le gouvernement pour lequel elle a risqué sa vie, et vivant dans les bas fonds d'une grande ville aux airs de Tokyo (décors inspirés en partie par l'ambiance présente dans Ghost in the shell), elle se drogue pour tenter de réduire les symptômes du trouble dont elle souffre, hantée par ses souvenirs effroyables. Jun vit donc en solitaire, persuadée qu'elle ne peut compter sur personne, tout en essayant de survivre dans cette Société qui la rejette, et qui plonge la ville dans des guerres de gangs, de drogue, la pauvreté et la précarité.
Les sujets et thèmes abordés sont loin d'être tout roses, cependant ils sont montrés et illustrés avec efficacité. Le sujet principal, le ptsd donc, est bien traité, et sans artifices. D'ailleurs, l'avantage avec la fiction, c'est qu'on a accès aux traumas qui dévorent Jun de l'intérieur. En tant que lecteurices, nous sommes donc les mieux placé-e-s pour la comprendre ou alors essayer de la comprendre. Le personnage est présenté d'une manière telle que l'on s'y attache facilement. On plonge tout de suite dans son quotidien et sa condition de vie qui s'avère difficile. Son caractère violent n'est pas présenté comme une bonne chose, mais elle s'explique, notamment, par son immense souffrance et sa détresse, qu'elle tente d'atténuer par la drogue. Il s'agit donc d'une protagoniste forte, pourvue d'un instinct de survie puissant, qui a peur sans cesse, et qui se méfie d'autrui. Les autres personnages, comme Leona et Bao, une mère de famille célibataire qui tient un petit restaurant en élevant son fils unique, tous deux vivant dans la précarité, épauleront Jun dans sa quête de paix intérieure, en lui apportant leur aide, du réconfort et de l'affection. On assiste donc à une évolution très touchante d'une personne qui apprend à vivre avec ses traumas, et à les gérer avec des personnes bienveillantes, tout en changeant de vie progressivement. Dans ces quartiers pauvres, ce qui est intéressant, et important selon moi, c'est qu'il n'y a pas de "méchants" : personne parmi elleux n'a choisi ces circonstances, et le gouvernement est la source même de cette violence dont on voit les dégâts. Des dialogues assez percutants montrent que chacun-e tente de survivre, jusqu'à parfois user de la violence (référence aux gangs qui utilisent la drogue pour nourrir et loger leurs familles.)
En tant que personne concernée par le ptsd, ça m'a fait beaucoup de bien de lire cette BD. On manque cruellement de représentations, notamment féminines, sur ce trouble. De plus, c'était très beau visuellement, le style graphique est vraiment unique et les couleurs ajoutent une atmosphère très plaisante et je pense lourde en signification. Je vous recommande chaudement cette BD, en espérant qu'elle vous plaira autant qu'elle m'a plu.
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À moi, jeudi 09 mai 2024 : une saison pour guérir
J'ai commencé ce livre, que j'ai trouvé sur internet il y a peut-être 2 semaines... Je cherchais désespérément quelqu'un à qui parler. Quelqu'un pour m'écouter, encore et encore, qui pouvait comprendre ce que je traverse, sans que ça soit un.e proche.
Je suis tombée sur des sites à la limite du "Anti IVG". Des sites qui ne me parlaient pas. Des retraites de guérison. Et puis ce livre.
Mamá me l'a offert. Bien qu'il m'ait donné une petite claque sur les symptômes que j'ai, j'apprécie de savoir que je suis "normale" et que je ne suis pas seule à souffrir de ce silence qu'on m'impose.
"avance", "il faut mettre cette épreuve derrière toi", "n'en parlons plus", "j'espère que tu es heureuse après ton choix", "ça va aller",...
Oui mais non. Je le sais ça. Mais je ne veux pas de ça maintenant. Je me suis mise de côté, je me suis mise en silence, et ce, depuis des années, et tout ce dont j'ai besoin, c'est de me reposer sur quelq'un, un instant. Le temps de ma guérison, le temps de me relever. Juste une fois. Il est peut-être possible que je n'ai pas réussi à voir les mains qu'on me tend. Je n'en vois plus. J'ai l'impression d'avoir trop abusé, trop demandé. J'ai froid. J'ai froid de solitude.
Aujourd'hui, Thomas m'as dit "tu étais là et l'instant d'après tu n'étais plus là". Il s'amuse à me dire que j'ai fumé de la marijuana. Qu'il est bête ! Au moins, ça me réveille. Le temps d'un instant.
Je suis fatiguée. Fatiguée de me mettre à la place des autres, d'être compréhensive, de me faire petite, de ne pas m'étendre. Qui se met à ma place un instant ? Qui ? Je voudrais juste un nom. Pour souffler. Pour ressentir ce vide qui fait du bien. Pour avoir ce silence dans ma tête, dans mon esprit.
De la liste des 19 symptômes de stress post-traumatique proposée dans ce livre, j'en ai 12 :
Colère
Anxiété (la crise de panique du 28 mars)
Déni ou refoulement d'émotions (à vérifier)
Détérioration de la représentation qu'à le sujet de lui-même (estime/ image de soi)
Perturbation du sommeil
Souffrance
Sentiment de culpabilité
Flash-backs
Sentiment de ne plus rien contrôler
Torpeur psychologique : diminution à exprimer n'importe quelle émotion
Regret
Remords
Et au lieu des pensées suicidaires, j'ai des pensées de "destruction", de me faire du mal, sans vouloir le faire. Je me demande "juste" ce que je pourrais bien me faire pour garder une trace, ou pour montrer comme j'ai mal.
Dans les syndromes spécifiques du stress post avortement, j'ai , sur les 8 proposés :
Le syndrome de la date anniversaire. À attendre quand même d'ici à novembre, et l'an prochain. Mais actuellement, je ne veux plus jamais fêter la saint Valentin, c'est dommage, c'était ma première vraie Saint-Valentin.. je sais que je regarde à quel stade il aurait pu être, je sais que partir seule pour le moment de sa naissance est nécessaire pour moi actuellement.
Angoisse d'infertilité
Troubles psycho-sexuels. Je ne me voyais absolument avoir de nouveaux rapports, je m'en sentais coupable, prendre du plaisir après ce que j'ai fait ? Et mardi, c'était bien, oui mais j'étais en détresse. J'ai juste répondu à un besoin physique, sans réel plaisir sans cette saveur délicieuse que j'ai connue.
Je fonds subitement en larmes, sans pouvoir me contrôler .
C'est déjà pas mal, non ? On espère que ça sera tout.
Florent m'a appelée aujourd'hui, enfin, hier soir, mercredi. Pour prendre de mes nouvelles, entendre ma voix. Ces mots qui me touchaient tant ne m'ont rien fait. À la limite, si je ne les avais pas entendu, ça aurait été pareil, ou mieux... Je n'arrive pas à l'expliquer. C'est comme ça. Je n'ai même pas envie de trouver une explication.
Maladresse, quand il m'a dit que si nous avions voulu un enfant nous n'avions pas eu la même difficulté que ses grands-parents qui ont mis deux ans avant d'avoir sa mère. Oui. Bah oui. C'est bien. Tu as vu que nous étions tous les deux fertiles. Oui. Bien.
Maladresse, quand lundi soir, tu as dit que j'aimais faire du mal aux petits garçons innocents. Je sais très bien que tu parlais de toi. J'ai juste pensé que c'était vrai. C'est ce que j'ai fait. J'ai fait du mal à un petit garçon innocent. À mon petit garçon innocent.
J'espère que ma saison sera courte. Je suis commence à m'épuiser, ça fait seulement un mois et une semaine. J'ai l'impression que ça fait des années que je traîne ça.
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Bidos, 01:37
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LE MONDE VIRTUEL
Le monde virtuel, une réalité façonnée par la convergence de la technologie et de l'imagination, offre une expérience immersive et interactive. Dans ce domaine en constante évolution, les avancées spectaculaires de la réalité virtuelle (RV) et de la réalité augmentée (RA) ont ouvert la porte à un univers où les frontières entre le réel et le virtuel s'estompent (SECOND LIFE).
Comment concilier l'exploration illimitée du monde virtuel avec la nécessité d'éviter la dépendance technologique et de maintenir une frontière claire entre le réel et le virtuel ?
1-Les avantages :
Le monde virtuel offre une multitude d'avantages dans divers domaines, ouvrant de nouvelles perspectives et possibilités :Innovation médicale : En médecine, la réalité virtuelle est utilisée pour la formation des chirurgiens, la simulation de procédures médicales et la réhabilitation. Elle permet également de développer de nouvelles approches thérapeutiques pour traiter des troubles tels que le stress post-traumatique.
Créativité et expression artistique : Les artistes peuvent utiliser le monde virtuel comme un espace d'expression créative illimité, que ce soit pour la réalisation de films, la conception de mondes virtuels ou la création d'œuvres artistiques interactives.
Accessibilité mondiale : Le monde virtuel permet une connectivité instantanée et mondiale, éliminant les barrières géographiques et favorisant la collaboration et la communication entre des individus situés n'importe où dans le monde.
2-Les inconvénients :
L'utilisation du monde virtuel présente également certains inconvénients et défis, qui nécessite une attention et prudence particulière :
Problèmes de santé physique : L'utilisation prolongée de réalité virtuelle peut causer des problèmes de santé physique tels que des maux de tête, des nausées, des troubles de la vision et des problèmes posturaux.
Sécurité et confidentialité : Les mondes virtuels peuvent présenter des risques en termes de sécurité et de confidentialité, avec la possibilité de piratage, de vol d'identité virtuelle….
Le monde virtuel offre une variété d'utilisations dans divers domaines par exemple :
1-Jeux vidéo : Les mondes virtuels sont couramment utilisés dans l'industrie du jeu vidéo pour créer des environnements immersifs et interactifs. Les jeux vidéo en réalité virtuelle (VR) permettent aux joueurs de vivre des expériences plus réalistes et captivantes.
2-Éducation : Les environnements virtuels sont intégrés dans l'éducation pour créer des expériences d'apprentissage interactives. Cela peut inclure des visites virtuelles de musées, des cours en ligne avec des simulations, et d'autres outils pédagogiques immersifs.
3-Tourisme virtuel : Les environnements virtuels offrent la possibilité de visiter virtuellement des destinations touristiques.
4-Architecture et conception : Les architectes et les concepteurs utilisent la réalité virtuelle pour visualiser des modèles en 3D de bâtiments et de projets, permettant une meilleure compréhension et collaboration.
5-Réalité Virtuelle et Augmentée : Bien que cela soit encore émergent, la réalité virtuelle (RV) et augmentée (RA) pourraient être intégrées aux réseaux sociaux à l'avenir, offrant des expériences plus immersives.
La réalité virtuelle (RV) et la réalité augmentée (RA) revêtent une importance croissante en redéfinissant les expériences humaines dans des domaines variés. La RV offre une immersion totale dans des environnements simulés, transformant l'éducation, la formation professionnelle et les jeux vidéo en expériences interactives et captivantes. Elle permet également des applications médicales novatrices, allant de la simulation chirurgicale à la gestion de la douleur. D'autre part, la RA enrichit le monde réel en superposant des informations numériques, améliorant ainsi des domaines tels que le commerce de détail, la navigation et l'apprentissage. Ces technologies ont le potentiel de révolutionner la manière dont nous interagissons avec notre environnement, favorisant une connectivité plus profonde et des expériences utilisateur plus engageantes. En investissant dans la RV et la RA, la société ouvre la voie à une nouvelle ère d'innovation, où la frontière entre le monde virtuel et le monde réel s'estompe, offrant des opportunités passionnantes et des applications révolutionnaires dans divers secteurs.
Dans cet espace digital les individus naviguent à travers des réalités alternatives, interagissent avec des avatars et partagent des expériences qui dépassent les frontières du monde matériel. Les jeux vidéo, les réseaux sociaux, la réalité virtuelle et augmentée forment les piliers de ce royaume électronique. Si le monde virtuel offre des opportunités de divertissement, d'apprentissage et de connectivité sans précédent, il soulève également des questions sur la nature de l'identité numérique, la vie privée et l'impact sur les relations humaines.
la conciliation entre le monde réel et le monde virtuel représente un défi contemporain majeur, mais aussi une opportunité de fusionner harmonieusement deux dimensions de notre existence. En intégrant judicieusement ces deux mondes, nous pouvons maximiser les avantages de la technologie tout en préservant l'essence humaine de nos relations et de nos expériences. Il s'agit de créer un équilibre où le temps passé dans le monde virtuel est complémentaire au monde réel plutôt que de le supplanter. En favorisant des interactions en personne, en particulier dans des moments clés de nos vies, tout en utilisant les technologies pour faciliter la communication à distance, nous renforçons nos relations tout en bénéficiant des opportunités offertes par la connectivité numérique. La clé réside dans la conscience de notre utilisation des outils virtuels, en veillant à ce qu'ils améliorent notre réalité plutôt qu'ils ne la substituent. La conciliation réussie entre ces deux mondes réside ainsi dans la capacité à tirer parti des avantages de chacun tout en maintenant un ancrage solide dans la richesse et la complexité du monde réel.
Enfin, En conclusion, le monde virtuel émerge comme un terrain complexe et dynamique, offrant une palette étendue d'opportunités et de défis pour la société moderne. Alors que la technologie continue d'évoluer et d'intégrer de nouvelles dimensions virtuelles, il est impératif de réfléchir de manière critique aux implications de cette immersion numérique. Le monde virtuel enrichit nos vies en fournissant des expériences innovantes, des opportunités d'apprentissage et une connectivité mondiale. Cependant, il est crucial de trouver un équilibre entre cette réalité alternative et notre vie quotidienne, en restant conscients des enjeux liés à la vie privée, à la sécurité en ligne et à l'impact sur la santé mentale. En embrassant les avantages du monde virtuel tout en adressant de manière proactive ses défis, nous pouvons façonner un avenir numérique où la technologie sert l'humanité de manière éthique et éclairée.
Voici quelques liens pour trouver plus de détails :
https://www.bing.com/ck/a?!&&p=c6d0d4924bbc1b5dJmltdHM9MTcwMjk0NDAwMCZpZ3VpZD0zOTRlNjBmNS0zNGJkLTY5OWMtMDI0YS03MzlhMzUwOTY4ZDUmaW5zaWQ9NTUwMA&ptn=3&ver=2&hsh=3&fclid=394e60f5-34bd-699c-024a-739a350968d5&psq=lien+des+oeuvres+sur+le+monde+virtuelle&u=a1aHR0cHM6Ly9taW51dGVsdXhlLmNvbS8xLWVyZS1vZXV2cmUtbnVtZXJpcXVlLW5mdC12ZW5kdWUtbWlsbGlvbnMtZG9sbGFycy8&ntb=1 https://www.bing.com/ck/a?!&&p=3aa523bf62301b72JmltdHM9MTcwMjk0NDAwMCZpZ3VpZD0zOTRlNjBmNS0zNGJkLTY5OWMtMDI0YS03MzlhMzUwOTY4ZDUmaW5zaWQ9NTUwMg&ptn=3&ver=2&hsh=3&fclid=394e60f5-34bd-699c-024a-739a350968d5&psq=lien+des+oeuvres+sur+le+monde+virtuelle&u=a1aHR0cHM6Ly93d3cucGhvbmFuZHJvaWQuY29tL29ldXZyZS1hcnQtbnVtZXJpcXVlLXZlbmR1ZS02OTMtbWlsbGlvbnMtZG9sbGFycy1yZWNvcmQuaHRtbA&ntb=1
HANIFI CELINE GROUP 2
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LE HARCELEMENT CRIMINEL ORGANISE EN RESEAUX :
1/ Présentation du phénomène :
Le harcèlement criminel, pris dans sa forme la plus simple, est une enquête secrète sur une personne. Les harceleurs « veillent » sur cette personne, à la fois ouvertement et de manière dissimulée. Ils la suivent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Pendant le processus de surveillance, des patrouilles motorisées ou à pied sont invitées à suivre la cible partout. C’est l’aspect le plus simple du harcèlement criminel organisé en réseaux.
C’est ce qui se passe après cette première étape, qui provoque la grande séparation entre les victimes et le reste de la société.
Le harcèlement criminel n’est pas seulement une enquête secrète, il est conçu comme une forme systématique de contrôle capable de détruire la vie d’un individu. L’objectif est de maîtriser tous les aspects de la vie des individus choisis comme cibles. L’enquête secrète tente de prendre le commandement, tout comme le fait un « virus cérébral ». Tout est fait pour que ce « virus » soit contagieux.
Le harcèlement criminel est une action de persécution organisée contre un « individu ciblé ». Il se perpétue par une série d’actes hostiles qui ne sont pas attribuables de manière significative à des crimes ou à une violence explicite mais qui, dans l’ensemble, sont gravement nocifs pour la santé mentale et physique de la victime.
L’action vexatoire produit un stress qui, prolongé, induit un trouble de mauvaise adaptation, qui peut provoquer, asocialité, agressivité, misanthropie, crise de panique, crise d’angoisse, insomnie, comportements obsessionnels compulsifs et, dans la plupart des cas, provoquer un suicide ou un meurtre. La tension produite par l’action vexatoire induit également le syndrome de stress post-traumatique sous ses différentes formes, dépressive et anxieuse.
Les objectifs fixés sont le conditionnement des individus, leur contrôle, leur « programmation » et leur élimination par induction de la paranoïa et l’incitation au suicide. Le but principal du harcèlement criminel est d’influencer la vie de la victime et de la conditionner, afin de la détruire. Il y a un réel fossé entre les victimes de harcèlement criminel et le reste du monde. Surmonter ce fossé est la plus grande difficulté.
Le harcèlement criminel fait appel à des techniques de persécution subtiles et cachées basées sur la répétition obsessionnelle d’évènements/incidents qui sont orchestrés avec précision de manière à obtenir l’attention puis, la sensibilisation des victimes. Apparemment, ce sont des questions de peu d’importance pour les gens qui ne sont pas habitués au harcèlement criminel. Ils ont juste du mal à voir ces choses. Pour eux, tout indique que la victime est folle ou à des visions. Ils croient que les abus que la victime dénonce sont entièrement dans son esprit. Cette lacune est la force du persécuteur du fait qu’elle isole la victime. C’est le fossé qui doit être comblé.
Comment la victime pourrait expliquer de manière crédible au public qu’il y a des personnes conduites à se suicider ou à toute autre action violente à cause du fait qu’elles ont été torturées, traquées et harcelées ?
Comment expliquer cela de manière crédible sans paraître complètement fou ou sans passer pour un théoricien du complot ?
Comment expliquer que, année après année, des citoyens manipulés soient devenus les yeux et les oreilles de personnes malintentionnées ?
Comment expliquer que, tout comme en ex-Allemagne de l’Est, une légion d’informateurs ait fini par voir le jour ?
Comment expliquer que l’addition de toutes ces personnes forme un véritable monstre capable de vous localiser et de vous traquer où que vous alliez ?
Le harcèlement criminel est conçu pour être invisible. Seule la victime, un enquêteur extrêmement expérimenté ou toute autre personne bien consciente du phénomène pourrait le reconnaître. L’invisibilité est la force de ce genre de persécution. Il existe de nombreux autres types de persécutions violentes, mais elles sont visibles. Elles sont visibles par tout le monde.
Afin de préparer leurs attaques, les acteurs de terrain sont répartis en petites unités qui ne semblent pas toujours avoir de liens entre elles. D’autre part, le harcèlement criminel a souvent lieu aussi en public, même dans les rues et les zones très peuplées. Les gens autour ne le voient pas. Ils ne peuvent pas voir, à cause du gouffre qui les sépare de la situation de la victime.
Le harcèlement criminel est une violation des droits humains. Il viole même les droits humains les plus élémentaires comme la recherche de la liberté et du bonheur. Cela viole la vie privée, il n’y en a pas. Aussi appelé « slow kill » (mort lente) parce qu’il brise l’esprit humain et peut entraîner un suicide. C’est lent et laisse peu de preuves. Beaucoup de ces « suicides » ont en fait été provoqués, il s’agit en réalité de meurtres dissimulés.
Les individus ciblés sont souvent perçus comme « malades mentaux » alors qu’en réalité, ils sont la cible de prédateurs émotionnels sadiques.
Les symptômes traumatiques des individus ciblés, en raison de la détresse psychologique qui leur est infligée, sont principalement : hypervigilance de tous les instants, aplatissement et rétrécissement des sentiments, aplatissement des émotions (le visage du patient peut apparaître figé avec peu de contacts visuels et un manque d’expressivité), langage inadéquat (la réduction du flux de pensées se traduit par une restriction d’expression et des réponses courtes aux questions, crée l’impression d’un vide intérieur), anhédonie (capacité réduite à ressentir de la joie, peut se manifester par un manque d’intérêt pour les activités et par le fait de passer beaucoup de temps à des œuvres sans but), asocialité, misanthropie, isolement, méfiance (peur de parler à de gens qui vous tourmenteront plus tard de toute façon…), épuisement et par conséquent aucune envie de sortir (la cible doit créer son propre monde pour survivre, on la regardera avec des yeux froids, ou de travers), renforcement excessif des compétences perceptives, renforcement excessif de la résistance à la souffrance émotionnelle face au contexte insurmontable.
La cible est entourée de gens qui ne lui veulent pas du bien, ils vont la blesser, l’humilier et l’isoler, alors elle tentera de renforcer son estime de soi de manière exagérée, en s’imposant des systèmes d’auto-maîtrise pour se protéger des coups durs. Il est important de comprendre quel peut être le déclencheur de ce processus.
La cause première de toute cette folie par « effet domino », le plus souvent, s’agit d’une soif de blesser de la part des initiateurs premiers du harcèlement, animés par l’obsession de détruire. Infliger le chaos chez leur victime, autour de laquelle ils tordent la réalité afin de créer un lynchage collectif, est chez eux un mode de vie.
Généralement, ce sont des maniaques, des fanatiques pervers et sadiques, menteurs, manipulateurs et « insoupçonnables », des individus ayant un dysfonctionnement grave dans leur personnalité.
Des agences, collèges, cabinets, universités, institutions, corporations, groupes communautaires ou politiques, confréries, gangs criminels, entreprises, groupes de particuliers qui ont été entrainés, corrompus, ou trompés, peuvent apporter un appui stratégique, logistique, matériel et humain dans l’organisation et l’application de ce harcèlement, par amitié, solidarité, intérêt, obligation, stupidité, par jeu, ou par goût…
0Le principe de réaction en chaîne est si bien entretenu que, par émulation collective, de nouveaux foyers d’initiateurs peuvent apparaître, cooptant ainsi toujours plus de volontaires pour maintenir et consolider cette persécution sans fin…
2/ Schéma général :
Le harcèlement en réseau est un système collectif, hiérarchisé, et compartimenté.
Les commanditaires, réel noyau dur, créent un véritable maillage autour de leur proie. Objet de leur sentence, qu’ils sont résolus à détruire impunément, sans laisser de traces.
Les complices, l’échelon en dessous est composé de collaborateurs stratégiques, dociles, manipulés, ou stupides. Elus locaux, barreau, magistrature, police, pompiers, armée, sécurité sociale, caisse d’allocations familiales, banques, services des impôts, fournisseurs d’énergie, fournisseurs d’accès à internet, informaticiens, services sociaux, médecins, agences pour l’emploi, organismes de logements sociaux, services des postes, taxis, ainsi que des membres de la franc-maçonnerie…
Nombres d’entre eux sont chargés de collecter des renseignements sur la cible, y compris les informations à caractère strictement confidentiel auxquelles ils sont susceptibles d’avoir accès, ceci, pour lui occasionner des nuisances administratives, sociales et financières.
Certains sont mandatés pour fournir en temps réel, la position géographique de la cible, une géolocalisation obtenue par le biais de son téléphone cellulaire, ou de la pose de balises GPS.
En parallèle, l’on note la présence d’auxiliaires, dont le rôle est d’organiser le harcèlement de terrain sur le lieu de vie de la cible, en lui façonnant une mauvaise réputation et, en recrutant les pions chargés eux, d’agir dans son environnement immédiat.
Les pions, au bas de l’échelle, souvent des voisins manipulés, ont pour tâche de rendre le domicile de la cible le plus invivable possible, ainsi que de donner l’alerte à chacune de ses allées et venues, de manière à ce que la personne ciblée n’ait de répit nulle-part, pas même chez elle. Pour ce faire, le domicile de la cible est placé sur écoute depuis l’habitation elle-même, ou depuis les logements voisins. D’autres pions, aux alentours, sont recrutés pour suivre la cible lorsque celle-ci est en mouvement. Ils ont pour consigne d’envahir son espace et d’y mener des actions oppressantes de nature à lui signifier qu’ils sont bien là, en agissant de manière ultra-répétée évidente pour la cible, mais insignifiante pour les passants.
La plupart des acteurs de cette folie font tout pour que leur proie se rende compte qu’elle est traquée 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, partout, indéfiniment et sans relâche.
3/ Profil des commanditaires :
Les instigateurs du harcèlement en réseau sont généralement des individus ayant des traits de personnalité ultra rigides, nourrissant à la fois un fantasme de domination, une frénésie obsessionnelle, ainsi qu’un goût certain pour la cruauté. Ils entrent de fait, dans la classification des pervers.
Néanmoins, ils sont souvent indétectables pour le commun des mortels, car ne souffrent pas de leur état. Bien au contraire, ils en jouissent. Ils se nourrissent de la souffrance infligée à la cible, qui est présentée, d’une manière ou d’une autre, comme « à abattre », la vampirisant par tous les moyens imaginables, ils créent la psychose parmi la plèbe ivre de rumeurs promptes à lui jeter en pâture, ladite cible.
Manipulateurs, ils font accomplir le sale boulot par les autres, drapant de légitimité leurs instructions, de sorte que le harcèlement devienne un petit jeu très amusant pour un maximum de monde.
Agissements délictueux, lâches et scélérats, se métamorphosent en une « répression » légitime, rendue par d’honorables serviteurs de la bonne cause que sont ces valeureux acolytes, ayant tous fait allégeance à ces commissaires de la « bonne conscience » que sont les donneurs d’ordres.
Tout est déformé, le mensonge devient certitude, la malveillance une bonne action, la lâcheté la bravoure. Tant qu’il y a « vraisemblance », ça passe. Pas besoin de s’embarrasser de la vérité. Chaque action envers la cible étant exécutée dans un esprit de « justice », propice à en effacer la gravité tangible. L’imposture est poussée jusqu’à convaincre l’opinion, que l’harceleur est la cible, et vice-versa, le comble intégral.
De fait, les instigateurs du harcèlement, perpétuant, développant, perfectionnant, année après année, leur petite entreprise de destruction, forme collective d’une symptomatique maniaque auto-entretenue, attestent l’évidence pathologique, de leur personnalité.
4/ Profil des intervenants :
Le profil des divers intervenants présente indubitablement des analogies avec celui des commanditaires.
Bien qu’en apparence, il puisse s’agir de n’importe qui, les traits de caractère suivants illustrent plus ou moins leur profil : moralisateurs, inquisiteurs, victimaires, hypocrites, frustrés, belliqueux, culpabilisateurs, falsificateurs, sans modération, épais, l’esprit farcit de lieux communs, etc…
Cela peut aller du modeste employé de bureau violent le code de déontologie de sa profession, divulguant des informations confidentielles, à la crapule de bas étage saccageant les biens de la cible, en passant par le fonctionnaire véreux géolocalisant son téléphone ou son véhicule dans l’optique d’orienter sur elle, les individus conditionnés pour lui causer préjudice.
Les acteurs de terrain, susceptibles quant à eux, de se retrouver en confrontation directe avec la cible (les commanditaires et complices proches prenant rarement des risques pour eux-mêmes), disposent d’un éventail lexical et sémantique si étriqué, que tout discernement ou expression sensée leur sont inatteignables. A ce titre, ils sont influençables à volonté et sans peine par les différents intermédiaires. Agissant à plusieurs, vantant leurs exploits, cocktail de dénigrement, théâtre de rue, moqueries, vandalisme, divagations et autres ruines de l’esprit, ils « pouffent » dans le dos de la cible pour mieux se gausser de leur statut de parasites, avec une suffisance outrancière. Vautrés dans la fange tels des asticots, Ils n’ont d’ambition plus noble que de se changer en mouche à merde.
A noter que, la plupart de ces pantins, n’ont pas une vue d’ensemble de la situation que seule la victime peut apprécier. Leur action de harcèlement étant mutualisée, ils n’ont qu’une vision parcellaire de ce que la cible vit vraiment.
Les pions, ainsi que l’auditoire sélectionné, « auguste cénacle » composé de sujets limités, extrêmement limités, sont choisis en partie pour leur incapacité à penser la complexité de la chose. Nuire intentionnellement à une personne qu’ils ne connaissent pas et qui ne leur a personnellement jamais rien fait, ne peut faire appel qu’à une perversité ou une arriération bien présente chez ces sujets.
Le harcèlement devient dès lors, systémique, chacun étant cantonné à un petit rôle bien précis.
Ainsi, il nous est apparu qu’un nombre important de personnes peuvent se liguer contre la cible. Sa destruction faisant consensus, chacun y trouvant son compte, à sa manière.
Il est important de comprendre ici que nous avons à faire à des gens qui ont globalement le niveau de réflexion d’enfants de 11 à 12 ans. Tout ceci pourrait se résumer ainsi : « Il était une fois, sur une planète lointaine, une personne très méchante qui faisait le mal. Des gens courageux décidèrent de la combattre pour sauver les habitants ».
5/ Profil des individus ciblés :
Les personnes ciblées par le harcèlement en réseau présentent généralement un profil original : intègre, loyal, singulier, indépendant, sensible, idéaliste, réactif. Elles sont souvent peu entourées et ont été, à un moment précis, en contact plus ou moins direct avec leurs futurs harceleurs qui peuvent être d’anciennes relations, patrons, associés, collègues, employés, concurrents, adversaires, bailleurs, escrocs, voleurs, malfaiteurs, chauffards, entrepreneurs, ou même, des membres de leur propre famille, etc…
Un héritage, une controverse, une complication, un litige, une révélation, un refus, une rancœur, une action en justice, un mariage, une dispute, un divorce, un secret, une jalousie, un scandale, ou encore, une opinion, une rumeur, etc… peuvent être « le mobile » du harcèlement.
Souvent, il s’agit de la pure pratique du bouc émissaire. Il se peut aussi que la personne ciblée en « sache trop ».
Au début, elle note simplement quelques velléités hostiles balbutiantes, embryonnaires, ici et là, de ce qui va devenir une oppression particulièrement perverse, sophistiquée, et étendue.
La survenue de faits insolites, leur récurrence de plus en plus marquée et leur nature chaque fois plus malveillante, laisse augurer à la cible, qu’elle en est une. L’inventaire de toutes ces aberrations est fastidieux, kyrielle sidérante et déconcertante de faits et gestes perpétrés par des infâmes manipulés par des maniaques.
En voici une liste rapportée par nombre de leurs infortunés destinataires de toute l’Europe et d’ailleurs. Critiques négatives et permanentes de tout ce qui est dit ou fait (avec ou sans déformation, à défaut : invention), ingérence grave, vandalisme, courriers et colis interceptés, diffamation, réputation créée de toutes pièces, vols. Mais aussi, suspicion de vols, dégradations, viol, pédophilie, violences et autres crises d’hystérie. Inversion de la réalité, inversion accusatoire, domicile sur écoute, surveillance des allées/venues et relations. Monitoring des accès au logement, flicage et géolocalisation du téléphone cellulaire, suivi en temps réel de tous les trajets sans exception, dénonciations calomnieuses, déplacements, enlèvements ou empoisonnements des animaux domestiques, violences routières, provocations multiples, violations de domicile, violations de la vie privée, violations du droit à l’image (capture de clichés/vidéos, détention et diffusion illicite), création de faux profils sur le web, usurpation d’identité, création de nouveaux ennemis sur mesure, dossiers factices, ridiculisation de l’image de la cible, signalement visuels via notifications en cascade sur certains réseaux sociaux, « Théâtre de rue » consistant à singer hors contexte, des propos, habitudes, gestuelles, défauts voire handicaps, drames vécus par la cible, etc… dans le but de la déstabiliser et/ou la blesser moralement. Sensibilisation extrême à des stimuli acoustiques très précis (sans lien avec les décibels), puis, répétitions synchronisées de manière « chirurgicale » en fonction des pièces exactes où se trouve la cible chez elle. Cela, au moyen de micros, caméras pinhole, et autres capteurs possiblement dissimulés dans le logement, ou via murs, plafond, plancher, dalle, etc… Impossible sans complicité des voisins et/ou bailleur.
S’établit alors entre les harceleurs et la personne cible, une forme de « communication intraspécifique » à sens unique, quasiment imperceptible pour les non-initiés. Tout ceci réitéré avec constance, sans interruption, indéfiniment, dans le but d’infliger à la cible ainsi diabolisée et perdant son anonymat, un maximum de souffrance.
Toutes ces conduites mises bout à bout ayant pour dessein ultime la mort de la cible par son suicide réel ou prétendu, une manœuvre crapuleuse d’un des intervenants, sa riposte violente (armée ou non) entrainant son exécution/emprisonnement/internement, son assassinat maquillé en accident, etc…
En résumé, pousser la cible à la « faute » après quoi, s’écrier : « On vous l’avait bien dit ! ».
A défaut, occasionner sa paupérisation extrême, sa déchéance physique, morale et sociale, sa mise au ban définitive.
Si la cible évoque la réalité, il sera prétendu qu’elle est « folle », la boucle est bouclée. A ce titre, l’on peut affirmer que les actions réitérées sans cesse par les harceleurs, induisent à la longue la « maladie mentale » chez la victime. « La paranoïa » provoquée, système de défense primitif naturel, constituant de « l’instinct de conservation » présent chez chacun, mute vers une forme résistante avec détérioration des facultés discriminantes initiales. Saturation oblige, la cible ne sait plus faire le « tri » et sombre alors dans un état similaire à un « stress post-traumatique » entretenu et aggravé sans cesse par le harcèlement, cela est sans fin.
Certains résistent mieux que d’autres, mais la volonté de leur anéantissement demeure. La cible ne pouvant se défendre, le rapport de forces étant disproportionné, non équitable. Elle n’a pas voix au chapitre.
Quant à la « tribune », n’ayant pas tous les éléments pour se forger une idée autre que négative à son sujet, vu la propagande faite en ce sens, bien souvent elle choisira le carnaval des « Furies », plutôt que le retrait, ou la réflexion.
Ainsi, tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. « Proie » livrée en sacrifice, « Moloch » apaisé et ses adorateurs, ivres de satisfaction, réunis en consistoire tel un « petit sanhédrin
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Et si le vrai impact des punaises de lit était sur notre santé mentale ?
See on Scoop.it - EntomoNews
En regroupant 135 publications sur le sujet, Jerome Goddard et un de ses confrères ont établi que 81% des publications faisaient état de comportements associés aux troubles du stress post-traumatique. Les victimes revivent l'événement traumatisant avec des pensées intrusives ou des cauchemars et font montre d'une hypervigilance et d'une grande nervosité.
Repéré par Clément Poursain sur The Conversation
02/10/2023 à 7h00
"Chez une minorité de victimes revient régulièrement une obsession du ménage, l'évitement des lieux ou des activités susceptibles de transmettre les parasites, et, dans des cas plus rares, des pensées suicidaires voire des tentatives de suicide. Jerome Goddard précise que d'autres rapports anecdotiques faisaient état de suicides ou d'overdoses de drogue par des personnes victimes de punaises de lit. Réjouissant, non? L'entomologiste américain termine cependant par une note d'espoir à destination des personnes concernées: «Essayez de ne pas paniquer. Gardez à l'esprit que les punaises de lit ne sont que des insectes. Elles ne sont pas magiques. Croyez-moi, elles peuvent être tuées et éliminées d'un logement.»"
Bernadette Cassel's insight:
Précédemment
Une infestation de punaises de lit peut avoir un impact sur la santé mentale - De theconversation.com - 7 juin 2022, 18:42
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Riana Grande fait les gros titres avec une nouvelle romance après sa séparation d'avec son mari Dalton Gomez. La chanteuse est maintenant en couple avec Ethan Slater, son co-vedette dans l'adaptation cinématographique de la comédie musicale Wicked, où il joue le rôle de Boq. La relation aurait débuté pendant le tournage du film, mais a été gardée discrète jusqu'à présent. La séparation de Riana Grande et de Dalton Gomez remonte à janvier, mais n'a été annoncée que récemment. Le réalisateur du film, Jon M Chu, a révélé que le tournage était presque terminé lorsque la grève des acteurs a interrompu la production. Malgré les défis, le film, qui met également en vedette Jonathan Bailey, Cynthia Erivo, Michelle Yeoh et Jeff Goldblum, devrait sortir dans les salles en décembre prochain. En parallèle à sa vie personnelle, Riana Grande a aussi pris la parole sur les réseaux sociaux pour défendre la bienveillance envers les corps des autres et partager sa propre vulnérabilité. L'artiste, lauréate de deux Grammy Awards, a toujours été ouverte sur sa santé mentale et a utilisé sa plateforme pour sensibiliser sur les effets du trouble de stress post-traumatique après l'attaque tragique de la Manchester Arena en 2017. Son dernier album à succès, Positions, a conquis le public et atteint le sommet des charts britanniques en octobre 2020.
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