#syndrome post traumatique
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L’été en poche (12): Ceux qui restent
C’est nourri de son expérience que l’auteur a écrit ce premier roman qui raconte la difficulté que rencontrent les militaires de retour de zones de conflit. On y suit quatre camarades bien décidés à retrouver l’un des leurs.
En 2 mots: Revenu à la vie civile après des années d’armée, Stéphane essaie de guérir d’un traumatisme post-opératoire lorsqu’on le sollicite pour retrouver un compagnon d’armes qui a subitement disparu. Une fois encore, il laisse sa famille pour rejoindre trois militaires et tenter de retrouver son ex-collègue. Ma note: ★★★★ (j’ai adoré) Si vous voulez en savoir plus… Ma chronique complète…
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Et Chaque fois, mourir un peu - Livre 1 : Blast
Auteur : Karine Giebel Titre : Et Chaque fois, mourir un peu – Livre 1 : Blast Date de parution : 27 mars 2024 – Editions recamier EAN : 9791036635380 – 352 pages   4eme de couverture : La voix profonde de Thierry Blanc nous plonge dans le premier livre de cette duologie tant attendue de Karine Giebel, pour une expérience d’écoute durant laquelle le temps est suspendu. Monter au front sans…
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#autrice#Drame#enfance#Guerre#humanitaire#Littérature Française#Littérature Générale#médecine#Mort#Mutilations#Polar#Roman#roman adulte#roman noir#Romans et nouvelles de genre#romans policiers et polars#syndrome post-traumatique#thriller#Thriller Psychologique#torture
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Réchappé d’une tentative de meurtre au Tchad, un soldat français se pend en prison en France, assiégé par les noirs et les arabes
On peut toujours compter sur la république et son armée pour laisser ses soldats crever la gueule ouverte, partout et dans toutes les situations.
Opex 360Â :
Que s’est-il exactement passé à l’antenne médicale du camp militaire français de Faya Largeau [Tchad], le 5 septembre dernier ? Selon les explications données à l’époque par les autorités locales, un soldat tchadien venu se faire soigner aurait porté des coups de bistouri au thorax, à la tête et au cou de l’infirmier militaire français qui l’examinait, obligeant celui-ci à faire usage de son arme pour se défendre. « Un militaire tchadien, qui n’était pas dans un état normal, s’est rendu pour un pansement dans la base militaire de l’armée française, a pris un scalpel et a blessé un infirmier militaire français », avait relaté le général Ali Maïde Kebir, gouverneur de la région du Borkou, dont Faya-Largeau est le chef-lieu. « L’infirmer à fait usage de son arme à feu et l’a tué », avait-il ajouté. Cette version des faits avait été corroborée par une source militaire française. « On ne connaît pas les raisons de l’attaque », avait-elle admis, avant d’insister sur le fait que l’infirmier [un adjudant] avait dû se défendre. Et de préciser qu’une enquête, menée conjointement par les forces françaises et tchadiennes avait été ouverte. Cet incident dramatique avait ensuite donné lieu à une manifestation hostile à la présence française devant le camp de Faya Largeau, ainsi qu’à la diffusion de rumeurs malveillantes sur les réseaux sociaux.
Je ne comprends pas le concept
Seulement, cette affaire a récemment connu un rebondissement, la version de l’adjudant infirmier, aux états de service irréprochables, ayant été remise en question par les expertises menées à la demande de la section militaire du parquet de Paris, selon laquelle, rapporte Le Parisien, les « blessures bénignes sur l’infirmier ont pu être auto-infligées, le patient tchadien n’ayant aucune trace de sang, et seul le profil génétique du mis en examen ayant été retrouvé sur le scalpel ». Toujours selon la même source, le soldat tchadien n’était pas armé et « sa formation militaire spécifique laissait par ailleurs penser qu’il disposait d’un savoir-faire peu compatible avec les égratignures constatées sur l’infirmier ». En outre, poursuit-elle, « le défunt tchadien a manifestement été victime de tirs mortels dans le dos et alors qu’il se dirigeait vers la sortie ». Enfin, un médecin-chef et un adjudant-chef, ont exprimé des doutes sur la version du sous-officier auteur des tirs… Mais il n’étaient pas présents au moment des faits. Dès son retour du Tchad, suivi pour des syndromes de stress post traumatique après avoir survécu à l’explosion d’un engin explosif improvisé lors d’une mission au Mali, l’adjudant infirmier avait été hospitalisé en psychiatrie. Puis, au regard des éléments collectés durant l’enquête, il a été placé en garde à vue le 26 avril dernier, avant d’être mis en examen pour « meurtre » par une juge d’instruction de Paris. Alors que le parquet avait demandé son placement en détention provisoire pour « risque de troubles à l’ordre public, nécessité de conserver les preuves et protection de l’intéressé contre lui-même », l’adjudant infirmier fut placé sous contrôle judiciaire. Mais suite à l’appel du ministère public, il fut finalement incarcéré à la prison de Fresnes, le 14 mai. Ce que ce sous-officier, qui a toujours maintenu sa version des faits, n’a pas supporté. « Je ne comprends pas ma présence en prison, je n’ai fait que me défendre dans le cadre de mon service à la France. Ici, je suis placé à l’isolement car plusieurs détenus ont appris que j’étais militaire. […] S’il vous plaît, essayez de faire quelque chose pour me sortir d’ici, je ne pense pas tenir longtemps », a-t-il écrit à ses parents. Malheureusement, quatre jours après son placement en détention, cet adjudant infirmier de 33 ans a mis fin à ses jours. Pour autant, l’affaire ne va pas en rester là , ses proches ayant déposé plainte contre X pour « homicide volontaire » et « mise en danger de la vie d’autrui ». Elle a également demandé au ministre de la Justice, Éric Dupont-Moretti, de saisir l’inspection générale de la justice. Sollicité par l’AFP, l’avocat de la famille du sous-officier, Me Patrick Ramaël, a fait part de son indignation. « Le motif principal pour lequel la détention a été demandée était pour le protéger contre lui-même d’un suicide. Et, pourtant, c’est cette incarcération qui l’a tué », a-t-il dit. Et d’y voir « d’éventuels dysfonctionnements dans le traitement judiciaire de cette affaire ». Par ailleurs, Me Ramaël a donné d’autres précisions sur les faits survenus à Faya Largeau. Ainsi, selon le récit qu’il a livré à ses proches, l’adjudant infirmier aurait « appelé à l’aide » par talkie-walkie alors qu’il venait de se faire agresser, tout en braquant son arme vers le soldat tchadien. Malgré les sommations, celui-ci se serait alors saisi d’une « paire de ciseaux ». Le sous-officier aurait tiré à ce moment-là … Et un autre militaire, « venu à la rescousse », en aurait fait autant.
Servir le régime macroniste au fin fond d’un désert stupide, en réchapper miraculeusement et finir pendu dans une cellule francilienne sentant la pisse, encerclé de noirs et d’arabes prêts à tout pour vous tuer… Ce pauvre gars aura vécu le rêve français jusqu’à bout.
Même le dernier des clandestins afghans a le droit à bien plus de considération de la part de cette république. Les militaires ont les plus grandes difficultés à comprendre qu’ils ne servent pas « la France », mais ce régime, avec ses loges maçonniques, ses juifs, ses grandes fortunes, ses métèques.
Depuis l’Affaire Dreyfus, on aurait pu espérer que davantage de gens réalisent qu’un militaire français ne sert qu’à mourir pour les juifs et à être traité comme le dernier des larbins. Hélas, beaucoup de gens naïfs l’ignorent encore.
Avec l’entrée en guerre de la France en Ukraine qui se profile, les nouveaux soldats de l’An II vont pouvoir répandre leurs tripes pour la plus grande gloire des juifs avant de se faire pisser dessus par les mêmes une fois la défaite consommée.
Ça ne rate jamais.
Les juifs adorent les Français à l’état de cadavres démocratiques, mais plus encore comme boucs émissaires, une grande tradition hébraïque.
Démocratie Participative
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Borne vraiment elle est en mode "c'est bon j'ai donné à la commu maintenant c'est l'heure des vacances et de traiter mo' syndrome post-traumatique".
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Depuis le temps je pense qu’il est temps de me présenter.
Disons que je m’appelle M, je suis diagnostiquée TDAH, je souffre d’anxiété chronique et de trouble de l’humeur en lien avec un syndrome post traumatique.
J’ai ouvert cette page il y a 8 ans environ à un moment de ma vie qui m’a été très difficile à surmonter.
On fait tous face à des difficultés dans nos vies, mais personne ne devrait jamais avoir à les traverser seul, c’est le but de cette page. Ici j’extériorise / verbalise mes pensées et émotions.
Et j’espère vous permettre de vous sentir comprit, ou relativement en confiance pour oser demander de l’aide ou simplement discuter si vous en avez le besoin.
Tout le monde mérite un soutien, alors si vous avez besoin de parler, je serais là <3
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Selon les National Institutes of Health (NIH), 57,8 millions d'adultes aux États-Unis souffrent de troubles mentaux, ce qui souligne l'urgence de donner la priorité aux soins de santé mentale. Les rapports indiquent que les troubles anxieux sont la maladie mentale la plus courante chez les adultes du pays, suivie de près par la dépression et le syndrome de stress post-traumatique. La bonne nouvelle est que la technologie a ouvert de nouvelles voies en matière de soutien en matière de santé mentale auxquelles tout le monde peut facilement accéder. Nous avons effectué des recherches et sélectionné les meilleures applications de santé mentale pour Android que vous pouvez utiliser gratuitement. Remarque : les applications ne sont que des outils qui aident à la santé mentale et ne peuvent pas remplacer un véritable traitement... https://www.funinformatique.com/meilleures-applications-sante-mentale-android/?_unique_id=670ab84c9e485
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Et coucou !
Je te propose 8, 13 et 20 pour le jeu des oc ! Et sur l'oc que tu veux !
Salut ! Merci beaucoup pour les questions ! :D Et vu que c'est l'OC au choix, je vais partir sur les ancêtres de Claude, soit Kelon de la tribu Riéigantides, originaire d'une cité almyroise inspiré de l'Athènes classique !
8. Les énigmes complexes les intriguent-elles ou les frustrent-elles ?
Kelon aime beaucoup les énigmes complexes et se retourner le cerveau dessus. C'est clairement pas un Alexandre qui coupe le noeud gordien car il n'a plus de patience et qu'il sera le maitre de l'Asie, lui ira plutôt au temple où est le char, l'étudiera sous toutes les coutures et arrivera à le défaire petit à petit, surtout qu'il a tout son temps vu la durée de vie d'un sorcier, juste pour arriver à le défaire pour la fierté de l'avoir défait, pas pour conquérir quoi que ce soit. Non, Kelon est plus du genre à rester tranquille dans son coin et bien s'entendre avec ses voisins alors, il aime bien ce genre de défis où il faut faire plus de preuve d'esprit que de force brute. Il n'a pas non plus de type d'énigmes qui préfèrent plus que les autres, il aime juste passer du temps dessus.
Je pense que ça pourrait aussi l'aider à se vider la tête quand il est anxieux ou que ses idées noires le reprennent. Il a participé à la guerre de Troie et même si son rôle a surtout été celui d'une sentinelle à cause de sa capacité à voler (il n'a pas encore très bien développer ses pouvoirs plus offensifs, il sait surtout faire tomber la pluie ou ramener le beau temps à ce stade, sa capacité à manipuler les éclairs et le reste des types de météo possibles viendront plus tard), il a quand même dû se battre et il a perdu ses deux frères au combat, ce qui l'a laissé avec un gros syndrome de stress post-traumatique dont il pouvait difficilement parler étant donné que la "faiblesse" était mal vue, même si plusieurs soldats en souffraient (surtout ceux qui sont là pour la même raison que lui : ils ont pas le choix car leur roi participe à cette guerre d'égo stupide), et sa santé mentale a pris un autre coup quand il a découvert en rentrant chez lui que toute sa famille avait dû se vendre eux-mêmes comme esclaves pour payer leurs dettes et était morte, et c'est sans parler du carnage qu'a été l'équivalent de la bataille des Thermopiles qui l'a de nouveau beaucoup ébranlé (bataille gagnée par les grecs dans cette histoire car, Kelon a repéré le gros détachement ennemis sur le sentier alors, il a pu les intercepté avec Pyrkaïa, même si tous les ennemis ont cramé pour les empêcher d'avancer, ce qui n'était clairement PAS beau à voir).
Faire une activité calme qui l'aide à s'occuper l'esprit l'aide donc quand il ne peut pas s'empêcher de se rappeler de tout ce qu'il a vu pendant son millénaire d'existence et lutter contre les pensées intrusives.
13. Nommez une chose que leurs parents leur ont apprise.
Ses parents lui ont appris à travailler la terre et à faire beaucoup d'effort pour arriver à nourrir les siens et les aider, tout en étant très à cheval sur le devoir d'hospitalité et l'entraide aux autres. C'était des fermiers qui avaient beaucoup de mal à joindre les deux bouts (sa dernière petite soeur a même été exposée quand elle est née, même si ce n'était pas de gaieté de coeur car, avoir une autre fille leur aurait couté trop cher, ce qui l'a aussi beaucoup marqué car il avait hâte de la connaitre) alors, il a toujours voulu les aider pour les aider à garder la tête hors de l'eau, ce que ses parents l'ont toujours encouragé à faire. C'est d'ailleurs la raison principale pour lesquelles il est devenu un sorcier manipulant la météo et le temps qui fait : pouvoir donner le meilleur temps possible à leurs champs pour qu'ils soient le plus fertile possible, ce qui aurait mis sa famille à l'abri du besoin.
C'est aussi d'eux qu'il tient de toujours tenir sa porte grande ouverte aux gens de passage. Le devoir d'hospitalité est très important en Grèce Antique mais, lui met vraiment un très gros point d'honneur à très bien traité ses invités et à prendre soin d'eux le temps de leur passage, tout en étant très amical avec les gens originaires d'autres cités, en particulier les autres sorciers qui sont un peu les seuls personnes qui peuvent vraiment le comprendre et savoir ce que ça fait de vivre des centaines d'années en voyant tout le monde mourir sans pouvoir rien faire. Il est un peu comme Claude sur ce point, il espère qu'un jour, les différentes cités arriveront à s'entendre les unes les autres et à arrêter de se faire la guerre constamment alors, il fait tout pour bien accueillir les personnes de passage, même s'il ne roule vraiment pas sur l'or.
20. Qu'est-ce qu'ils aiment que personne d'autre n'aime ?
Un peu compliqué mais, je dirais que par rapport aux personnages de l'époque du jeu, il a des gouts assez différents en cuisine vu que les recettes ont beaucoup évolués avec le temps, et vu qu'il n'est pas très riche, il ne mange presque jamais de poisson, et encore moins de viande en dehors des sacrifices publics. Les recettes qu'il ferait serait donc assez différents par rapport à celles dont les personnages ont l'habitude et il devrait être le seul à aimer.
Sinon, pour les gens de son époque à lui, c'est plus qu'il est le seul à pouvoir le faire : voler dans les nuages et assez haut dans le ciel. Les wyverns ne sont pas encore domestiqués à son époque (par rapport à l'époque du jeu où on est en 1185, il est né aux environs de -1000~1030 avant la fondation de l'Empire d'Adrestia, on commence à peine à bien domestiquer les chevaux dans son coin) alors, c'est juste impossible de voler comme il le fait avec ses ailes, surtout qu'il est extrêmement mobile et adroit avec. Il a même dû créer quelques légendes quand les gens voyaient une silhouette humaine avec de grandes ailes, que ce soit les harpies vu que de loin, on aurait pu penser que ses ailes sont ses bras, peut-être aussi la sirène quand il se met à la musique mais, ce serait plus tard dans sa vie quand il se met à la lyre et commence à accepter à raconter les histoires qu'il a vécu, ce qu'il fait souvent en chantant car c'est la manière de faire à l'époque (même s'il refusera toujours de parler en bien de la guerre de Troie ou de la bataille des Thermopyles) .
#jeu de questions#civis thewinterpeony#merci beaucoup pour les questions !#j'espère que ça vous a plu !#vu que Claude est un de tes persos préférés je me suis dit que ce serait pas mal de faire Kelon#même si j'ai pas eu le temps de le dessiner pour illustrer le billet... désolé - -'#C'était agréable de parler un peu de lui ! Kelon est assez triste mais ça reste quelqu'un de gentil qui arrive à se relever avec le temps
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Dans Tuäl et Dewald, il y a : _ de la Fantasy (six mondes pour le prix d'un, quatre races et demie, une Histoire, des civilisations, des guerres, des "pouvoirs"...) _ de la romance adulte (Ai-je besoin d'expliquer? 😘🔥) _ de la représentation (J'y tiens beaucoup. Les discriminations constituent un thème majeur.) _ des personnages souffrant de troubles mentaux ou psychiques (dépression, syndrome post-traumatique, traumas transgénérationnels, psychoses…) _ une fresque familiale (famille biologique ou famille choisie (adoption, amitiés…)
Et j'attends toujours des réponses pour publier le tome 1 !!!ðŸ˜
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À moi, jeudi 09 mai 2024 : une saison pour guérir
J'ai commencé ce livre, que j'ai trouvé sur internet il y a peut-être 2 semaines... Je cherchais désespérément quelqu'un à qui parler. Quelqu'un pour m'écouter, encore et encore, qui pouvait comprendre ce que je traverse, sans que ça soit un.e proche.
Je suis tombée sur des sites à la limite du "Anti IVG". Des sites qui ne me parlaient pas. Des retraites de guérison. Et puis ce livre.
Mamá me l'a offert. Bien qu'il m'ait donné une petite claque sur les symptômes que j'ai, j'apprécie de savoir que je suis "normale" et que je ne suis pas seule à souffrir de ce silence qu'on m'impose.
"avance", "il faut mettre cette épreuve derrière toi", "n'en parlons plus", "j'espère que tu es heureuse après ton choix", "ça va aller",...
Oui mais non. Je le sais ça. Mais je ne veux pas de ça maintenant. Je me suis mise de côté, je me suis mise en silence, et ce, depuis des années, et tout ce dont j'ai besoin, c'est de me reposer sur quelq'un, un instant. Le temps de ma guérison, le temps de me relever. Juste une fois. Il est peut-être possible que je n'ai pas réussi à voir les mains qu'on me tend. Je n'en vois plus. J'ai l'impression d'avoir trop abusé, trop demandé. J'ai froid. J'ai froid de solitude.
Aujourd'hui, Thomas m'as dit "tu étais là et l'instant d'après tu n'étais plus là ". Il s'amuse à me dire que j'ai fumé de la marijuana. Qu'il est bête ! Au moins, ça me réveille. Le temps d'un instant.
Je suis fatiguée. Fatiguée de me mettre à la place des autres, d'être compréhensive, de me faire petite, de ne pas m'étendre. Qui se met à ma place un instant ? Qui ? Je voudrais juste un nom. Pour souffler. Pour ressentir ce vide qui fait du bien. Pour avoir ce silence dans ma tête, dans mon esprit.
De la liste des 19 symptômes de stress post-traumatique proposée dans ce livre, j'en ai 12 :
Colère
Anxiété (la crise de panique du 28 mars)
Déni ou refoulement d'émotions (à vérifier)
Détérioration de la représentation qu'à le sujet de lui-même (estime/ image de soi)
Perturbation du sommeil
Souffrance
Sentiment de culpabilité
Flash-backs
Sentiment de ne plus rien contrôler
Torpeur psychologique : diminution à exprimer n'importe quelle émotion
Regret
Remords
Et au lieu des pensées suicidaires, j'ai des pensées de "destruction", de me faire du mal, sans vouloir le faire. Je me demande "juste" ce que je pourrais bien me faire pour garder une trace, ou pour montrer comme j'ai mal.
Dans les syndromes spécifiques du stress post avortement, j'ai , sur les 8 proposés :
Le syndrome de la date anniversaire. À attendre quand même d'ici à novembre, et l'an prochain. Mais actuellement, je ne veux plus jamais fêter la saint Valentin, c'est dommage, c'était ma première vraie Saint-Valentin.. je sais que je regarde à quel stade il aurait pu être, je sais que partir seule pour le moment de sa naissance est nécessaire pour moi actuellement.
Angoisse d'infertilité
Troubles psycho-sexuels. Je ne me voyais absolument avoir de nouveaux rapports, je m'en sentais coupable, prendre du plaisir après ce que j'ai fait ? Et mardi, c'était bien, oui mais j'étais en détresse. J'ai juste répondu à un besoin physique, sans réel plaisir sans cette saveur délicieuse que j'ai connue.
Je fonds subitement en larmes, sans pouvoir me contrôler .
C'est déjà pas mal, non ? On espère que ça sera tout.
Florent m'a appelée aujourd'hui, enfin, hier soir, mercredi. Pour prendre de mes nouvelles, entendre ma voix. Ces mots qui me touchaient tant ne m'ont rien fait. À la limite, si je ne les avais pas entendu, ça aurait été pareil, ou mieux... Je n'arrive pas à l'expliquer. C'est comme ça. Je n'ai même pas envie de trouver une explication.
Maladresse, quand il m'a dit que si nous avions voulu un enfant nous n'avions pas eu la même difficulté que ses grands-parents qui ont mis deux ans avant d'avoir sa mère. Oui. Bah oui. C'est bien. Tu as vu que nous étions tous les deux fertiles. Oui. Bien.
Maladresse, quand lundi soir, tu as dit que j'aimais faire du mal aux petits garçons innocents. Je sais très bien que tu parlais de toi. J'ai juste pensé que c'était vrai. C'est ce que j'ai fait. J'ai fait du mal à un petit garçon innocent. À mon petit garçon innocent.
J'espère que ma saison sera courte. Je suis commence à m'épuiser, ça fait seulement un mois et une semaine. J'ai l'impression que ça fait des années que je traîne ça.
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Bidos, 01:37
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Estimation : plus d'un demi-million d'Israéliens courent un risque élevé de développer un syndrome de stress post-traumatique après le 7 octobre.
Un pays post-traumatisme : cinq mois se sont écoulés depuis le 7 octobre, jour le plus difficile de l’histoire du pays. Les données révèlent une estimation préliminaire selon laquelle plus de 520 000 personnes courent un risque élevé de développer cette maladie à la suite du 7 octobre. Il s’agit d’une étude approfondie menée conjointement par l’Université hébraïque, l’Université de Columbia,…
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Je vais péter un câble sur cette planète de merde. J'en peux plus, n'importe quoi d'autre que de continuer à vivre ça. Supporter des gens qui n'en ont rien à foutre, vides au possible, antipathiques à souhait, méprisants, moralisateurs, avec une culture aussi élevée que le catalogue des émissions TF1. Bande d'incapables, de bons à rien. Je vous plains et en même temps je vous envie d'arriver à vivre en étant aussi vides et inconscients du monde qui vous entoure qu'une limace nouvelle-née. D'être aussi détaché de la réalité en restant parfaitement sobre. Vous n'êtes même pas conscients de la chance que vous avez, d'avoir un esprit qui vous laisse tranquille, une vie qui suit son cours paisiblement, toute tracée, sans virages, sans débordement ou sécheresse, cascade, nappe phréatique. Je pensais toujours que tout le monde avait sa part de souffrance, que chacun avait mal, à un certain degré d'intensité, mais je vais laisser tomber cette pensée. Certains sont sur un petit nuage d'invulnérabilité. Certains sont cajolés par le destin, et on se retrouve à écouter des histoire à faire pleurer dans les chaumières pathétiques qui impliquent la rupture un peu difficile de ta dernière copine. En attendant tu fais une crise d'angoisse liée à un syndrome Post traumatique, tu as beau leur parler des histoires les plus horribles et tordues qui te sont arrivées et tu es sensé "continuer à vivre", "la vie est belle".
La vie est moche, injuste, instable, imprévue. La mort est libératrice, certaine, absolue. Ma vie a été semée d'embûches, pas les pires, mais des putains de traumas qui me collent à la peau, enfoncé dans mon hypothalamus comme une verrue purulente qui crache son venin dans mon cortex dès que ces souvenirs sont réactivés. J'en peux plus. J'en peux plus de porter ça. J'en peux plus de ne pas supporter le contact de ma propre peau, de ne pas réussir à me lier avec les gens autour de moi, d'apprécier le contact physique seulement pour me punir. De ne pas réussir à prendre soin de mes proches et qu'au final, ça leur importe même pas tant que ça. J'en ai marre d'être invisible, silencieux, immobile, j'en peux plus. Si je suis comme ça, autant me foutre en l'air.
Il suffit juste de 60 mètres de haut, 60 millimètres de profondeur, 60 milligrammes d'opiacés. Qu'est-ce que ça peut faire vraiment. Qu'est-ce que ça peut faire.
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LE HARCELEMENT CRIMINEL ORGANISE EN RESEAUX :
1/ Présentation du phénomène :
Le harcèlement criminel, pris dans sa forme la plus simple, est une enquête secrète sur une personne. Les harceleurs « veillent » sur cette personne, à la fois ouvertement et de manière dissimulée. Ils la suivent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Pendant le processus de surveillance, des patrouilles motorisées ou à pied sont invitées à suivre la cible partout. C’est l’aspect le plus simple du harcèlement criminel organisé en réseaux.
C’est ce qui se passe après cette première étape, qui provoque la grande séparation entre les victimes et le reste de la société.
Le harcèlement criminel n’est pas seulement une enquête secrète, il est conçu comme une forme systématique de contrôle capable de détruire la vie d’un individu. L’objectif est de maîtriser tous les aspects de la vie des individus choisis comme cibles. L’enquête secrète tente de prendre le commandement, tout comme le fait un « virus cérébral ». Tout est fait pour que ce « virus » soit contagieux.
Le harcèlement criminel est une action de persécution organisée contre un « individu ciblé ». Il se perpétue par une série d’actes hostiles qui ne sont pas attribuables de manière significative à des crimes ou à une violence explicite mais qui, dans l’ensemble, sont gravement nocifs pour la santé mentale et physique de la victime.
L’action vexatoire produit un stress qui, prolongé, induit un trouble de mauvaise adaptation, qui peut provoquer, asocialité, agressivité, misanthropie, crise de panique, crise d’angoisse, insomnie, comportements obsessionnels compulsifs et, dans la plupart des cas, provoquer un suicide ou un meurtre. La tension produite par l’action vexatoire induit également le syndrome de stress post-traumatique sous ses différentes formes, dépressive et anxieuse.
Les objectifs fixés sont le conditionnement des individus, leur contrôle, leur « programmation » et leur élimination par induction de la paranoïa et l’incitation au suicide. Le but principal du harcèlement criminel est d’influencer la vie de la victime et de la conditionner, afin de la détruire. Il y a un réel fossé entre les victimes de harcèlement criminel et le reste du monde. Surmonter ce fossé est la plus grande difficulté.
Le harcèlement criminel fait appel à des techniques de persécution subtiles et cachées basées sur la répétition obsessionnelle d’évènements/incidents qui sont orchestrés avec précision de manière à obtenir l’attention puis, la sensibilisation des victimes. Apparemment, ce sont des questions de peu d’importance pour les gens qui ne sont pas habitués au harcèlement criminel. Ils ont juste du mal à voir ces choses. Pour eux, tout indique que la victime est folle ou à des visions. Ils croient que les abus que la victime dénonce sont entièrement dans son esprit. Cette lacune est la force du persécuteur du fait qu’elle isole la victime. C’est le fossé qui doit être comblé.
Comment la victime pourrait expliquer de manière crédible au public qu’il y a des personnes conduites à se suicider ou à toute autre action violente à cause du fait qu’elles ont été torturées, traquées et harcelées ?
Comment expliquer cela de manière crédible sans paraître complètement fou ou sans passer pour un théoricien du complot ?
Comment expliquer que, année après année, des citoyens manipulés soient devenus les yeux et les oreilles de personnes malintentionnées ?
Comment expliquer que, tout comme en ex-Allemagne de l’Est, une légion d’informateurs ait fini par voir le jour ?
Comment expliquer que l’addition de toutes ces personnes forme un véritable monstre capable de vous localiser et de vous traquer où que vous alliez ?
Le harcèlement criminel est conçu pour être invisible. Seule la victime, un enquêteur extrêmement expérimenté ou toute autre personne bien consciente du phénomène pourrait le reconnaître. L’invisibilité est la force de ce genre de persécution. Il existe de nombreux autres types de persécutions violentes, mais elles sont visibles. Elles sont visibles par tout le monde.
Afin de préparer leurs attaques, les acteurs de terrain sont répartis en petites unités qui ne semblent pas toujours avoir de liens entre elles. D’autre part, le harcèlement criminel a souvent lieu aussi en public, même dans les rues et les zones très peuplées. Les gens autour ne le voient pas. Ils ne peuvent pas voir, à cause du gouffre qui les sépare de la situation de la victime.
Le harcèlement criminel est une violation des droits humains. Il viole même les droits humains les plus élémentaires comme la recherche de la liberté et du bonheur. Cela viole la vie privée, il n’y en a pas. Aussi appelé « slow kill » (mort lente) parce qu’il brise l’esprit humain et peut entraîner un suicide. C’est lent et laisse peu de preuves. Beaucoup de ces « suicides » ont en fait été provoqués, il s’agit en réalité de meurtres dissimulés.
Les individus ciblés sont souvent perçus comme « malades mentaux » alors qu’en réalité, ils sont la cible de prédateurs émotionnels sadiques.
Les symptômes traumatiques des individus ciblés, en raison de la détresse psychologique qui leur est infligée, sont principalement : hypervigilance de tous les instants, aplatissement et rétrécissement des sentiments, aplatissement des émotions (le visage du patient peut apparaître figé avec peu de contacts visuels et un manque d’expressivité), langage inadéquat (la réduction du flux de pensées se traduit par une restriction d’expression et des réponses courtes aux questions, crée l’impression d’un vide intérieur), anhédonie (capacité réduite à ressentir de la joie, peut se manifester par un manque d’intérêt pour les activités et par le fait de passer beaucoup de temps à des œuvres sans but), asocialité, misanthropie, isolement, méfiance (peur de parler à de gens qui vous tourmenteront plus tard de toute façon…), épuisement et par conséquent aucune envie de sortir (la cible doit créer son propre monde pour survivre, on la regardera avec des yeux froids, ou de travers), renforcement excessif des compétences perceptives, renforcement excessif de la résistance à la souffrance émotionnelle face au contexte insurmontable.
La cible est entourée de gens qui ne lui veulent pas du bien, ils vont la blesser, l’humilier et l’isoler, alors elle tentera de renforcer son estime de soi de manière exagérée, en s’imposant des systèmes d’auto-maîtrise pour se protéger des coups durs. Il est important de comprendre quel peut être le déclencheur de ce processus.
La cause première de toute cette folie par « effet domino », le plus souvent, s’agit d’une soif de blesser de la part des initiateurs premiers du harcèlement, animés par l’obsession de détruire. Infliger le chaos chez leur victime, autour de laquelle ils tordent la réalité afin de créer un lynchage collectif, est chez eux un mode de vie.
Généralement, ce sont des maniaques, des fanatiques pervers et sadiques, menteurs, manipulateurs et « insoupçonnables », des individus ayant un dysfonctionnement grave dans leur personnalité.
Des agences, collèges, cabinets, universités, institutions, corporations, groupes communautaires ou politiques, confréries, gangs criminels, entreprises, groupes de particuliers qui ont été entrainés, corrompus, ou trompés, peuvent apporter un appui stratégique, logistique, matériel et humain dans l’organisation et l’application de ce harcèlement, par amitié, solidarité, intérêt, obligation, stupidité, par jeu, ou par goût…
0Le principe de réaction en chaîne est si bien entretenu que, par émulation collective, de nouveaux foyers d’initiateurs peuvent apparaître, cooptant ainsi toujours plus de volontaires pour maintenir et consolider cette persécution sans fin…
2/ Schéma général :
Le harcèlement en réseau est un système collectif, hiérarchisé, et compartimenté.
Les commanditaires, réel noyau dur, créent un véritable maillage autour de leur proie. Objet de leur sentence, qu’ils sont résolus à détruire impunément, sans laisser de traces.
Les complices, l’échelon en dessous est composé de collaborateurs stratégiques, dociles, manipulés, ou stupides. Elus locaux, barreau, magistrature, police, pompiers, armée, sécurité sociale, caisse d’allocations familiales, banques, services des impôts, fournisseurs d’énergie, fournisseurs d’accès à internet, informaticiens, services sociaux, médecins, agences pour l’emploi, organismes de logements sociaux, services des postes, taxis, ainsi que des membres de la franc-maçonnerie…
Nombres d’entre eux sont chargés de collecter des renseignements sur la cible, y compris les informations à caractère strictement confidentiel auxquelles ils sont susceptibles d’avoir accès, ceci, pour lui occasionner des nuisances administratives, sociales et financières.
Certains sont mandatés pour fournir en temps réel, la position géographique de la cible, une géolocalisation obtenue par le biais de son téléphone cellulaire, ou de la pose de balises GPS.
En parallèle, l’on note la présence d’auxiliaires, dont le rôle est d’organiser le harcèlement de terrain sur le lieu de vie de la cible, en lui façonnant une mauvaise réputation et, en recrutant les pions chargés eux, d’agir dans son environnement immédiat.
Les pions, au bas de l’échelle, souvent des voisins manipulés, ont pour tâche de rendre le domicile de la cible le plus invivable possible, ainsi que de donner l’alerte à chacune de ses allées et venues, de manière à ce que la personne ciblée n’ait de répit nulle-part, pas même chez elle. Pour ce faire, le domicile de la cible est placé sur écoute depuis l’habitation elle-même, ou depuis les logements voisins. D’autres pions, aux alentours, sont recrutés pour suivre la cible lorsque celle-ci est en mouvement. Ils ont pour consigne d’envahir son espace et d’y mener des actions oppressantes de nature à lui signifier qu’ils sont bien là , en agissant de manière ultra-répétée évidente pour la cible, mais insignifiante pour les passants.
La plupart des acteurs de cette folie font tout pour que leur proie se rende compte qu’elle est traquée 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, partout, indéfiniment et sans relâche.
3/ Profil des commanditaires :
Les instigateurs du harcèlement en réseau sont généralement des individus ayant des traits de personnalité ultra rigides, nourrissant à la fois un fantasme de domination, une frénésie obsessionnelle, ainsi qu’un goût certain pour la cruauté. Ils entrent de fait, dans la classification des pervers.
Néanmoins, ils sont souvent indétectables pour le commun des mortels, car ne souffrent pas de leur état. Bien au contraire, ils en jouissent. Ils se nourrissent de la souffrance infligée à la cible, qui est présentée, d’une manière ou d’une autre, comme « à abattre », la vampirisant par tous les moyens imaginables, ils créent la psychose parmi la plèbe ivre de rumeurs promptes à lui jeter en pâture, ladite cible.
Manipulateurs, ils font accomplir le sale boulot par les autres, drapant de légitimité leurs instructions, de sorte que le harcèlement devienne un petit jeu très amusant pour un maximum de monde.
Agissements délictueux, lâches et scélérats, se métamorphosent en une « répression » légitime, rendue par d’honorables serviteurs de la bonne cause que sont ces valeureux acolytes, ayant tous fait allégeance à ces commissaires de la « bonne conscience » que sont les donneurs d’ordres.
Tout est déformé, le mensonge devient certitude, la malveillance une bonne action, la lâcheté la bravoure. Tant qu’il y a « vraisemblance », ça passe. Pas besoin de s’embarrasser de la vérité. Chaque action envers la cible étant exécutée dans un esprit de « justice », propice à en effacer la gravité tangible. L’imposture est poussée jusqu’à convaincre l’opinion, que l’harceleur est la cible, et vice-versa, le comble intégral.
De fait, les instigateurs du harcèlement, perpétuant, développant, perfectionnant, année après année, leur petite entreprise de destruction, forme collective d’une symptomatique maniaque auto-entretenue, attestent l’évidence pathologique, de leur personnalité.
4/ Profil des intervenants :
Le profil des divers intervenants présente indubitablement des analogies avec celui des commanditaires.
Bien qu’en apparence, il puisse s’agir de n’importe qui, les traits de caractère suivants illustrent plus ou moins leur profil : moralisateurs, inquisiteurs, victimaires, hypocrites, frustrés, belliqueux, culpabilisateurs, falsificateurs, sans modération, épais, l’esprit farcit de lieux communs, etc…
Cela peut aller du modeste employé de bureau violent le code de déontologie de sa profession, divulguant des informations confidentielles, à la crapule de bas étage saccageant les biens de la cible, en passant par le fonctionnaire véreux géolocalisant son téléphone ou son véhicule dans l’optique d’orienter sur elle, les individus conditionnés pour lui causer préjudice.
Les acteurs de terrain, susceptibles quant à eux, de se retrouver en confrontation directe avec la cible (les commanditaires et complices proches prenant rarement des risques pour eux-mêmes), disposent d’un éventail lexical et sémantique si étriqué, que tout discernement ou expression sensée leur sont inatteignables. A ce titre, ils sont influençables à volonté et sans peine par les différents intermédiaires. Agissant à plusieurs, vantant leurs exploits, cocktail de dénigrement, théâtre de rue, moqueries, vandalisme, divagations et autres ruines de l’esprit, ils « pouffent » dans le dos de la cible pour mieux se gausser de leur statut de parasites, avec une suffisance outrancière. Vautrés dans la fange tels des asticots, Ils n’ont d’ambition plus noble que de se changer en mouche à merde.
A noter que, la plupart de ces pantins, n’ont pas une vue d’ensemble de la situation que seule la victime peut apprécier. Leur action de harcèlement étant mutualisée, ils n’ont qu’une vision parcellaire de ce que la cible vit vraiment.
Les pions, ainsi que l’auditoire sélectionné, « auguste cénacle » composé de sujets limités, extrêmement limités, sont choisis en partie pour leur incapacité à penser la complexité de la chose. Nuire intentionnellement à une personne qu’ils ne connaissent pas et qui ne leur a personnellement jamais rien fait, ne peut faire appel qu’à une perversité ou une arriération bien présente chez ces sujets.
Le harcèlement devient dès lors, systémique, chacun étant cantonné à un petit rôle bien précis.
Ainsi, il nous est apparu qu’un nombre important de personnes peuvent se liguer contre la cible. Sa destruction faisant consensus, chacun y trouvant son compte, à sa manière.
Il est important de comprendre ici que nous avons à faire à des gens qui ont globalement le niveau de réflexion d’enfants de 11 à 12 ans. Tout ceci pourrait se résumer ainsi : « Il était une fois, sur une planète lointaine, une personne très méchante qui faisait le mal. Des gens courageux décidèrent de la combattre pour sauver les habitants ».
5/ Profil des individus ciblés :
Les personnes ciblées par le harcèlement en réseau présentent généralement un profil original : intègre, loyal, singulier, indépendant, sensible, idéaliste, réactif. Elles sont souvent peu entourées et ont été, à un moment précis, en contact plus ou moins direct avec leurs futurs harceleurs qui peuvent être d’anciennes relations, patrons, associés, collègues, employés, concurrents, adversaires, bailleurs, escrocs, voleurs, malfaiteurs, chauffards, entrepreneurs, ou même, des membres de leur propre famille, etc…
Un héritage, une controverse, une complication, un litige, une révélation, un refus, une rancœur, une action en justice, un mariage, une dispute, un divorce, un secret, une jalousie, un scandale, ou encore, une opinion, une rumeur, etc… peuvent être « le mobile » du harcèlement.
Souvent, il s’agit de la pure pratique du bouc émissaire. Il se peut aussi que la personne ciblée en « sache trop ».
Au début, elle note simplement quelques velléités hostiles balbutiantes, embryonnaires, ici et là , de ce qui va devenir une oppression particulièrement perverse, sophistiquée, et étendue.
La survenue de faits insolites, leur récurrence de plus en plus marquée et leur nature chaque fois plus malveillante, laisse augurer �� la cible, qu’elle en est une. L’inventaire de toutes ces aberrations est fastidieux, kyrielle sidérante et déconcertante de faits et gestes perpétrés par des infâmes manipulés par des maniaques.
En voici une liste rapportée par nombre de leurs infortunés destinataires de toute l’Europe et d’ailleurs. Critiques négatives et permanentes de tout ce qui est dit ou fait (avec ou sans déformation, à défaut : invention), ingérence grave, vandalisme, courriers et colis interceptés, diffamation, réputation créée de toutes pièces, vols. Mais aussi, suspicion de vols, dégradations, viol, pédophilie, violences et autres crises d’hystérie. Inversion de la réalité, inversion accusatoire, domicile sur écoute, surveillance des allées/venues et relations. Monitoring des accès au logement, flicage et géolocalisation du téléphone cellulaire, suivi en temps réel de tous les trajets sans exception, dénonciations calomnieuses, déplacements, enlèvements ou empoisonnements des animaux domestiques, violences routières, provocations multiples, violations de domicile, violations de la vie privée, violations du droit à l’image (capture de clichés/vidéos, détention et diffusion illicite), création de faux profils sur le web, usurpation d’identité, création de nouveaux ennemis sur mesure, dossiers factices, ridiculisation de l’image de la cible, signalement visuels via notifications en cascade sur certains réseaux sociaux, « Théâtre de rue » consistant à singer hors contexte, des propos, habitudes, gestuelles, défauts voire handicaps, drames vécus par la cible, etc… dans le but de la déstabiliser et/ou la blesser moralement. Sensibilisation extrême à des stimuli acoustiques très précis (sans lien avec les décibels), puis, répétitions synchronisées de manière « chirurgicale » en fonction des pièces exactes où se trouve la cible chez elle. Cela, au moyen de micros, caméras pinhole, et autres capteurs possiblement dissimulés dans le logement, ou via murs, plafond, plancher, dalle, etc… Impossible sans complicité des voisins et/ou bailleur.
S’établit alors entre les harceleurs et la personne cible, une forme de « communication intraspécifique » à sens unique, quasiment imperceptible pour les non-initiés. Tout ceci réitéré avec constance, sans interruption, indéfiniment, dans le but d’infliger à la cible ainsi diabolisée et perdant son anonymat, un maximum de souffrance.
Toutes ces conduites mises bout à bout ayant pour dessein ultime la mort de la cible par son suicide réel ou prétendu, une manœuvre crapuleuse d’un des intervenants, sa riposte violente (armée ou non) entrainant son exécution/emprisonnement/internement, son assassinat maquillé en accident, etc…
En résumé, pousser la cible à la « faute » après quoi, s’écrier : « On vous l’avait bien dit ! ».
A défaut, occasionner sa paupérisation extrême, sa déchéance physique, morale et sociale, sa mise au ban définitive.
Si la cible évoque la réalité, il sera prétendu qu’elle est « folle », la boucle est bouclée. A ce titre, l’on peut affirmer que les actions réitérées sans cesse par les harceleurs, induisent à la longue la « maladie mentale » chez la victime. « La paranoïa » provoquée, système de défense primitif naturel, constituant de « l’instinct de conservation » présent chez chacun, mute vers une forme résistante avec détérioration des facultés discriminantes initiales. Saturation oblige, la cible ne sait plus faire le « tri » et sombre alors dans un état similaire à un « stress post-traumatique » entretenu et aggravé sans cesse par le harcèlement, cela est sans fin.
Certains résistent mieux que d’autres, mais la volonté de leur anéantissement demeure. La cible ne pouvant se défendre, le rapport de forces étant disproportionné, non équitable. Elle n’a pas voix au chapitre.
Quant à la « tribune », n’ayant pas tous les éléments pour se forger une idée autre que négative à son sujet, vu la propagande faite en ce sens, bien souvent elle choisira le carnaval des « Furies », plutôt que le retrait, ou la réflexion.
Ainsi, tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. « Proie » livrée en sacrifice, « Moloch » apaisé et ses adorateurs, ivres de satisfaction, réunis en consistoire tel un « petit sanhédrin
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Irrésistible (2023)
Regarder Irrésistible 2023 Série en Streaming illimité HD et VF – Irrésistible (2023) Dans cette comédie romantique tendre et captivante, Adèle, une créatrice de podcast à succès, tombe amoureuse d'Arthur, un mathématicien, lors d'un coup de foudre mutuel. Cependant, chaque fois qu'elle se trouve en sa présence, elle est accablée par d'intenses crises de panique. Ses émotions sont si débordantes qu'elle risque même de s'évanouir. Le diagnostic ne laisse aucun doute : Adèle souffre d'un syndrome de stress post-traumatique, directement lié à une histoire d'amour précédente qui s'est terminée de manière extrêmement douloureuse. Face à cette situation, Adèle se voit contrainte de maintenir ses distances avec Arthur. Cependant, l'attraction entre eux est tout simplement irrésistible... Read the full article
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