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lauuu-23 · 1 year ago
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<<6/ Le harcèlement érigé en système :
Un système humain dans un nœud de vipères…
Dans le cadre d’un harcèlement criminel, l’efficacité de l’organisation consiste à fédérer les intérêts du groupe autour d’un objectif commun pendant une durée de temps importante (légitimation d’un enjeu pour créer des alliances).
Les moyens de harcèlement et l’exercice du pouvoir fonctionnent d’autant mieux que les mécanismes de surveillance sont cachés, recueil d’informations par la mise sur écoute de la personne ciblée, entre autres... Cela implique que nombreux sont ceux qui, dans ce dispositif, ignorent que leur cible fait l’objet en amont d’un tel niveau de surveillance.
Il y a en effet, parmi les harceleurs, indicateurs et autres pions, deux catégories principales. Ceux qui savent que tout repose sur une manipulation, et ceux qui l’ignorent. Cet ensemble constitue ce que l’on appelle un « système humain ». Chaque élément de ce système se trouve être entraîné dans une dynamique constituée de personne en interaction intense, de telle sorte que le comportement d’un de ses membres affecte automatiquement un autre, puis un suivant, et ainsi de suite… Ainsi, chaque information recueillie sur la cible par les pions de service à un instant T, remonte aussitôt le courant jusqu’au noyau dur de l’organisation : les commanditaires du harcèlement. Ceux-ci, à leur tour, diffusent de fausses informations, souvent mêlées à des éléments réels, dans le but de créer une émulation incitant un maximum de pions à traquer la cible, sans jamais perdre sa trace, ni relâcher sa surveillance. L’ingérence dans la vie privée est d’autant plus efficace qu’elle est insidieuse, facilitant ainsi l’approbation générale que la personne concernée serait « folle ».
Le harcèlement criminel en réseau consiste à livrer à un groupe, qui sert de relais à d’autres groupes, puis encore à d’autres, une personne désignée comme devant être harcelée sans répit et sans concessions.
Le but de ce type de harcèlement est de détruire la victime/cible en la poussant à la folie ou au suicide. Pour parvenir à ce but accepté par les amateurs de ce harcèlement, les accros de ce système criminel vont s’occuper d’espionner, dénigrer, vilipender et isoler la personne désignée, pour la rendre toujours plus fragile et vulnérable. Ils élaborent des récits à dormir debout, grossissent des détails insignifiants, travestissent les apparences, créent des liens imaginaires entre la cible, des évènements ou des personnages qui lui sont totalement étrangers, participent à l’édification d’intrigues quasi impossibles à démêler, etc…
Dans sa relation avec la cible, chaque participant, et cette fois dans le cadre de son métier, sous couvert de sa qualité ou de sa fonction, va compliquer toute situation de la victime en organisant des sabotages ou en feignant d’incessantes erreurs, qui prétendument réparées, s’avèrerons souvent pires que le mal et parfois fort couteuses.
Cette criminalité est aussi déléguée à des voisins, souvent inconnus, assassins volontaires pourvu qu’ils ne risquent rien. Les organisateurs du harcèlement criminel sont ailleurs.
Les voisins sont un maillon essentiel du dispositif de renseignement, car ils sont en charge du signalement en temps réel de chacun des mouvements de la cible, ces derniers étant affectés, entre autres, à une surveillance très rapprochée (logement sur écoute). Si la cible bouge, une première alerte est donnée, puis, une fois la cible « en visuel », l’alerte est validée et la traque peut commencer. Créer un effet de poursuite obsessionnelle chez la cible, est un véritable jeu grandeur nature chez ces malades qui s’ignorent.
Le harcèlement criminel est une expression de haine et/ou un désir de vengeance ainsi qu’un instrument de domination et de terreur, corrélé à « l’exercice du pouvoir », qui peut transformer la victime en cobaye d’expérimentation, ou en jouet pour sadiques et psychopathes. La cible/victime devient un « élément public », « consommable » par tous, pour défoulement ou étude, avant anéantissement et élimination.
De nombreux témoignages ont essayé de lister les raisons de la participation de « citoyen aux airs normaux », à cette pratique codifiée qu’est le harcèlement criminel manipulé. On y trouve des individus frustrés, avides de pouvoir facile. Des personnes naïves, qui s’imaginent que la société a besoin d’eux pour être « protégée de la cible ». Des simplets, qui trouvent là le seul moyen de se « faire des amis ». Des délateurs à qui l’on fait croire qu’ils sont de valeureux espions utiles à l’Etat. D’opportunistes escrocs, cherchant toutes occasions pour tromper et voler. Des crapules, qui utilisent leurs travers naturels pour diversifier leurs activités ou compléter leurs revenus. Et tous les citoyens très très moyens, à qui l’on peut faire gober n’importe quoi, puisqu’ils s’imaginent avoir un droit constitutionnel de plus que leur victime : celui de l’assassiner « secrètement et légitimement ».
D’autre part, ce qui est incroyable chez le « simple gogo », situé lui, tout en bas de l’échelle de ce système, celui qui, ayant « entendu des rumeurs » et n’étant peut-être animé que d’une simple curiosité malsaine, est qu’il participe souvent, dans une moindre mesure lui-même, à la chose, ne serait-ce qu’en agissant en « contrôleur » de la vie supposée de la cible (détour volontaire dans la zone où elle se trouve avant de rentrer chez lui par exemple. Certains n’hésitant pas à faire de nombreux kilomètres par besoin d’imprimer dans leur tête, une image tangible « en rapport » avec ladite cible et le battage fait autour de sa personne, un peu comme pour ajouter des images à un roman… Non, vous ne rêvez pas !), figurants, souvent malgré eux, dans le « sketch » joué par les habitués, qui pour certains, demeurent parfois stationnés durant des heures entières, sans bouger, histoire que la cible s’attarde sur leurs cas, en vue de produire chez elle, un « stress psychique » qu’ils s’attèlent chaque jour à vouloir entretenir.
Qu’espèrent tous ces individus ?
Voir le « Diable sortir de sa boite » ?
Les personnes qui participent, cela va du simple indicateur au harceleur à domicile, en passant par le poursuivant, ou le professionnel véreux, ont en commun quelques traits distinctifs à divers degrés : un penchant pour le voyeurisme, une fatuité à toute épreuve, un goût pour la « violation », des tendances sadiques et une lâcheté extrême.
Chacun des impliqués à ce « jeu infernal » se voit distribuer son « petit rôle » correspondant le mieux à sa « petite personne » : « petit » procureur » pour certains, « petit juge » pour beaucoup, « petit bourreau tortionnaire » pour d’autres, « petite balance » ou « spectateur silencieux » pour le reste.
La « tête du réseau » se voit, elle, endosser les rôles de « petits saints du jugement dernier » ou de « petit grand architecte » de leur « univers » vermoulu et corrompu.
Ce système de harcèlement devient presque autonome, s’alimentant de lui-même pendant une période plus ou moins longue selon l’appétit des différents protagonistes. Les instigateurs n’ayant qu’à « souffler sur les braises » de temps à autre pour relancer la machine. Ils ne permettent aucunement à la cible de s’échapper d’eux de quelque façon que ce soit.
Le harcèlement en réseau n’est pas que l’apanage d’adolescents stupides et irresponsables. De nombreux « adultes » s’organisent d��sormais en réseaux criminels et mafieux, pour monter des opérations punitives à l’égard de cibles prédéfinies, suivant le procédé de persécution aussi sophistiqués que pervers et invisibles.
Les méthodes utilisées reposent sur la furtivité et sur un investissement conséquent.
La destruction de chaque pan de la vie de la personne ciblée s’opère à deux niveaux. Local d’une part, avec des campagnes de diffamation, violation de la vie privée, intrusion au domicile, sabotage des biens, mise en danger, traque et harcèlement continuel… Mais également, à un niveau bien supérieur, par un détournement de système institutionnel permettant à la fois un déni complet des droits de la personne ciblée, et la quasi-immunité des criminels qui le harcèlent. La victime n’ayant aucun recours, la police et la « justice », lorsqu’elles ne sont pas directement complices, ayant « un train de retard » sur la connaissance de l’existence même de ces pratiques et les techniques d’écoute, de traque et de torture employées. Ne sont-elles pas censées devoir appréhender toutes les formes de dérives sociétales ?
La vulnérabilité de la cible semble être un critère déterminant dans le passage à l’acte du harcèlement criminel en réseau. Les victimes appartiennent généralement à des publics vulnérables, marginalisés et peu intégrés dans le tissu socio-économique.
Leur identification reste encore problématique en raison de ces deux freins : cette forme de criminalité bénéficie d’une omerta solide, comme dans tout réseau mafieux et confidentiel, à l’instar des réseaux pédophiles ou de prostitution, par exemple, mais aussi une censure de l’information sur le sujet. Sujet sur lequel les lanceurs d’alerte peuvent être directement menacés (emprisonnement, internement, voire pire).
Les victimes ciblées sont ainsi plongées dans un état de survie et se retrouvent rejetées, évitées, isolées et traitées comme des parias, méprisées et critiquées durement dans leurs efforts pour tenter de faire cesser le harcèlement. Elles sont très difficilement employables et appauvries, avec peu d’espoir de s’en sortir pour retrouver une vie personnelle, professionnelle et sociale plus normale.
Quant aux persécuteurs, ils retourneront toujours à leurs fondamentaux : nuire, nuire et nuire encore et toujours, chez eux cela est organique, consubstantiel à leur « engeance ».
Dans une société qui ne croit plus en rien, où le « divertissement/spectacle » dégénéré est roi, la permanence du ricanement compulsif qui l’accompagne, son symptôme direct, le clientélisme et la corruption quasi généralisés, marque d’une déliquescence morale et d’un déclin civilisationnel avérés.
Le harcèlement criminel organisé en réseau n’est finalement qu’une « conduite comme une autre » pour ses fervents adeptes. Ce « laboratoire d’ingénierie sociale », véritable « incubateur à virus », ventile ses agents pathogènes telle une nébuleuse toxique, à travers toute la société…
7/ Un système psychopathique :
Comme nous l’avons déjà vu, l’origine du harcèlement peut être variée.
La racine peut prendre sa source dans un conflit, ouvert ou non, lointain ou présent, avec certaines personnes ayant acquis à leur cause nombre de nervis sans scrupules capables de se déployer partout où la cible se trouve. Ces mêmes personnes bénéficiant possiblement, pour une raison ou une autre, de l’appui de certains milieux afin d’amplifier leur force de frappe et servir leurs personnels et funestes desseins.
Second cas de figure, la cible fait l’objet d’une surveillance étroite de la part de certains organes étatiques, pour une raison qui reste à définir : suspicion de banditisme, de terrorisme, d’activisme, de trafic, d’escroquerie, de proxénétisme, de pédophilie, etc…
Mais alors, pourquoi harceler ? Pour pousser à l’erreur ? Sur de très longues durées, cela est peu probable…
Quelle que puisse être l’impulsion de départ, la machine mise en branle inclue la communauté du renseignement dans son ensemble : Police, services de renseignements, indicateurs, voisins, mais aussi des particuliers exerçant des professions diverses ou sans emploi.
Cela inclue également l’usage intensif d’équipement d’écoute, de détection, d’enregistrement photo/vidéo, de géolocalisation, de transmission, de sonorisation, d’appareils type IMSI-catcher, RF-Capture, et même de dispositifs nocifs pour la santé, …).
La coordination de tout ce petit monde par des membres d’obédiences maçonniques n’est pas à exclure, loin de là, car les loges ont sur le plan local, grâce à leurs « sous-réseaux », des pouvoirs de pression importants. Ces officines sont en mesure de fédérer des personnes de milieux très disparates, dont les rôles s’avèreront complémentaires dans la mise en œuvre de cette inimaginable entreprise de surveillance, de traque et de destruction.
Déménager ne change rien. Nous l’avons observé, ce type de harcèlement se régénère où que la cible emménage, y compris dans une maison isolée au milieu de nulle part. Elle ne tardera pas à voir s’installer caravanes et autres camping-cars à proximité avec vue sur son habitation. Sans compter les incessants va et vient de véhicules en tous genres, un ballet surréaliste qui cessera du jour au lendemain si la cible déménage de nouveau. Dans ce cas les caravanes feront de même. En milieu urbain, les voisins mitoyens seront manipulés, corrompus, ou bien remplacés. Des pions, triés sur le volet, occuperont les logements vides ou séjourneront directement chez les voisins de la cible. Une habitation en vis-à-vis sera occupée H24 afin d’avoir un visuel sur ses allées et venues. Ici aussi, tout ce petit « jeu » cessera à l’instant où la cible quittera définitivement les lieux, pour recommencer ailleurs…
C’est la stupéfiante disproportion entre les moyens matériels et humains déployés et le résultat, souvent incertain, obtenu. L’ampleur colossale de cette disproportion révèle qu’il s’agit bien d’un système psychopathique. Lèveriez-vous une armée de 1000 soldats pour anéantir une seule personne qui plus est, indéfiniment ?
Une telle démesure ne peut servir que les ambitions sadiques et assassines de personnalités maniaques désireuses, tout en échappant à la justice, de normaliser et pérenniser ce lynchage, à la fois lent et sophistiqué, qu’elles ont institué. Quelle est la part de chacune des figures de cette organisation ?
S’il est probable que quelques-uns soient récompensés financièrement ou en nature, qu’en est-il des autres ? Ceux pour qui la cible est un jouet et sa vie une aire de jeux. Ceux qui prennent un malin plaisir à souiller de leur présence chacune de ses journées telle une succession ininterrompue de « flash mobs » hostiles ou transforment son domicile en cellule sous surveillance agrémentée de leurs vicieuses et permanentes « mascarades acoustiques » dignes des plus sévères malades mentaux.
Cette « satisfaction », souvent affichée comme une gloire, est-elle leur seule récompense ? Ou est-ce la victime de leur ego désaxé mise en évidence comme une célébration de leur perversion narcissique ?
Le poncif de la mystique manichéenne des « gentils » contre les « méchants » est si solidement ancré dans la société, qu’une majorité de harceleurs s’identifient évidemment aux « gentils ». C’est souvent le moteur de leur action et les commanditaires l’ont bien compris. Cela permet d’obtenir d’eux tout et n’importe quoi gratuitement. Ainsi convaincus du bien-fondé de leurs motivations, ils sont prêts à accomplir toutes les exactions. Anthropologiquement, il s’agit là d’une pulsion prédatrice des harceleurs engendrée par la représentation mentale qu’ils ont de la cible. Mirage construit entièrement par les instigateurs du harcèlement, qui utilisent les failles et frustrations de leur armée de primates, pour les exciter contre la personne visée par leur inénarrable folie furieuse et criminelle. Cette règle dualiste établit le groupe dans son « statut de justicier ». Ils sont alors prêts à tout pour détruire celle ou celui qu’ils imaginent être leur ennemi. Cet « ennemi » leur étant servi sur un plateau, c’est « open bar » pour tout le monde.
Ceux qui refusent de croire à cette hallucination collective, sont simplement sceptiques, ou peu manipulables, sont sèchement remis à leur place ou exclus. Dans ce système psychopathique, il n’est pas permis de réfléchir par soi-même, ni de s’écarter de la doxa, sous peine d’être écarté du groupe.
Les acteurs du harcèlement en réseau s’inscrivent dans la dynamique de ce dernier, s’ils s’en trouvent rejetés, tout cela n’a plus lieu d’être.
Il existe quatre grandes catégories génériques de leviers permettant de manipuler ces individus :
1) Le gain, l’espoir d’obtenir de l’argent, un poste, un avantage ou un bien.
2) L’idéologie, la « méchante cible » doit être châtiée.
3) La contrainte, via le chantage ou la menace.
4) L’égo, que l’on flatte en le chargeant d’une mission, d’un défi.
L’endoctrinement des pions s’intègre dans une pathologie psychologique engendrée par la peur du rejet, pour favoriser un véritable assujettissement.
Tous les mécanismes psychiques et de manipulation qui viennent d’être présentés reposent sur l’action des sujets soumis à ce système.
Au-delà même de la doctrine, ceux qui pratiquent ce harcèlement collaborent avant tout par goût de ce qu’ils font. Tels à une corrida, ils se plaisent à venir planter leurs banderilles, pendant que d’autres applaudissent. Le ticket est gratuit, c’est la cible qui paye…
8/ L’élimination sociale :
Par « élimination sociale », il est entendu l’isolement social d’un individu par le recours au discrédit et la suppression complète de ses moyens économiques. Le but étant qu’aucune personne intégrée dans la société ne souhaite développer ou poursuivre une relation régulière et amicale avec lui.
L’élimination commence d’abord par une privation plus ou moins rapide des ressources économiques de la cible. Elle perd son emploi à la suite d’une manipulation ou d’une intervention quelconque, puis ne parviendra pas à en trouver un autre, quoi qu’elle fasse, quelles que soient ses compétences, expérience et diplômes, quelle que soit l’ingéniosité qu’elle peut déployer puisqu’elle fait l’objet d’une étroite surveillance.
La recherche d’un emploi, de nos jours, passe inévitablement par l’usage de l’Internet, du téléphone et du courrier, les collaborateurs auront toujours toute facilité pour devancer, ou intervenir peu après, celui auquel ils veulent nuire au moment de cette démarche.
L’élimination sociale prend toujours la forme d’un harcèlement dont celui qui en est la cible ne doit pouvoir en désigner l’auteur à l’opinion publique, sinon au risque d’être aussitôt accusé de fabulation, de paranoïa ou de schizophrénie.
Des récits historiques attestent de formes de harcèlement particulièrement sophistiquées dirigées contre Voltaire par le roi de Prusse Frédéric II (dit Le Grand) : lorsque ce dernier comprit que le philosophe et écrivain français avait été envoyé par Louis XV pour l’espionner et tenter de l’influencer dans sa politique. Frédéric II n’avait pas voulu s’en prendre violemment et ouvertement à un homme aussi connu et « respectable » que Voltaire. C’est pourquoi il fit mettre à la disposition du Français une résidence, où ce dernier ne manqua de remarquer, entre autres détails, que ses murs intérieurs avaient été peints en jaune (couleur de la honte et du discrédit en Prusse à cette époque), et que la nappe de la table de la salle à manger avait été brodée de renards (symboles de la trahison et de la fourberie). En sus de quoi Frédéric II avait fait suivre Voltaire par des agents partout où celui-ci se déplaçait en Prusse, et juste assez ouvertement pour que ce dernier puisse s’en apercevoir sans pouvoir le démontrer formellement.
Les formes que peut prendre le harcèlement peuvent grandement varier d’un individu à l’autre selon les personnalités, cultures et intelligences de ceux-ci. Par exemple, Voltaire ne pouvait se sentir harcelé que parce qu’il était assez cultivé pour savoir que le jaune était la couleur de la honte, et le renard une représentation allégorique de la trahison et de la fourberie. Un individu à l’intelligence moyenne et à la culture médiocre se serait estimé, au contraire, très heureux d’avoir une belle nappe brodée et des murs fraichement peints, et il aurait pris Voltaire pour un fou s’il l’avait vu se lamenter. Un effet secondaire du harcèlement attendu par son auteur.
La personne ciblée, de par sa propre expérience, est réceptive à des subtilités que le non-initié ou l’imbécile ne pourraient pas même identifier. Ces subtilités se présentent comme autant de détails riches de significations. Ces détails sont, avec le cynisme et le sourire qui les accompagnent, presque toujours des actes de harcèlements : le refus lourd de conséquences prononcé suavement, la mesquinerie récurrente, les comportements faussement infantiles, les promesses et les engagements révoqués à la toute dernière minute pour des motifs absurdes, mais légalement justifiables, les multiples « hasards malheureux » et autres funestes « coups du sort », les attitudes inexplicablement hostiles de voisins, de commerçants, d’agents de Police, de Pompiers, d’Ambulanciers faisant hurler la sirène de leur véhicule au croisement de la cible pour la mettre en sourdine dès octroiement de son attention, les flagrantes « démonstrations de force » effectuées au moyen de toutes sortes de véhicules avant leur fuite…
Ces faits, pris un par un, peuvent sembler anodins et assez ordinaires, personne ne serait assez fou pour les prendre comme preuves d’une quelconque agression. C’est juste l’extraordinaire fréquence avec laquelle ils se produisent, et leurs extraordinaires associations qui font devenir, ensemble, un harcèlement indiscutable et puissant. Les harceleurs saturant l’espace sensoriel de leur victime de leur présence à l’en rendre folle.
La cible, psychiquement prise en otage, a à faire d’un côté à de véritables psychopathes, et de l’autre, à des personnes médiocres pensant agir pour le bien car habilement manipulées (Néanmoins, sur la durée, l’on peut se demander ce qui peut bien motiver ces dernières. A ce stade, cela doit faire penser à une probable forme de débilité légère).
Ces agissements ont tous pour caractéristique particulière commune, et pour seul but de faire naître un sentiment de frustration dans l’esprit de celui qui y est exposé, en particulier lorsque ses ressources économiques ont été délibérément réduites au minimum vital, et lorsqu’il a été isolé socialement. Car la frustration, lorsqu’elle se prolonge indéfiniment, est un sentiment qui mène inévitablement : soit à la dépression, soit à des bouffées violentes, soit au suicide.
La frustration est un barrage à l’action, elle produit exactement les mêmes effets, sur le long terme, que l’inhibition. Lorsqu’elle est entretenue et dirigée contre tous les besoins et centres d’intérêt d’un individu, la frustration est un emprisonnement virtuel, sans murs ni barreaux visibles, un emprisonnement de l’esprit que personne d’autre que celui qui en est la victime ne peut voir.
Quand bien même la cible de cette forme très sophistiquée de harcèlement aurait l’intelligence de consigner dans un cahier toutes ces sources de frustrations extraordinairement nombreuses, avec des dates permettant d’en démontrer l’anormale fréquence, celle-ci devrait encore prouver l’impensable : qu’autant de gens n’ayant aucun rapport avéré les uns avec les autres se soient délibérément ligués pour nuire à un pauvre inconnu qui vit dans une situation de grande précarité. Seule une issue dramatique permettra peut-être de s’interroger sur la cause de cette succession d’improbables hasards, puisqu’elle sera inexplicable.
Le témoignage du harcèlement par une autre personne que celle contre laquelle il est dirigé est un incident que redoutent évidemment beaucoup ceux qui en sont les auteurs.
En sus de la privation du droit au travail et de la surveillance de chacun des aspects de la vie, on trouve une multitude de moyens et méthodes d’user nerveusement la cible pour la pousser à agir.
Tout être vivant muni d’un système nerveux central réagit à l’agression par un comportement de défense (qui peut être passif, actif, ou les deux). L’Homme n’étant pas équipé d’un moyen de défense passif naturel, comme le hérisson ou le putois, il se défend contre l’agression par l’action, même lorsque cette action est peu susceptible d’être payante.
L’Homme est une créature intelligente pourvue d’un néocortex très développé, il est de ce fait capable d’apprendre à différer sa riposte. Il peut évaluer la force et la tactique de ce qui le menace, et attendre un moment plus propice pour dissuader ou éliminer cette menace. Il peut tenter de fuir aussi.
Il est particulièrement rare qu’il soit assez fort à la fois nerveusement et intellectuellement pour différer à volonté une action physique de riposte.
Par exemple, tout le monde a fait l’expérience, durant l’enfance particulier, d’être tourmenté par de petites agressions telles que des moqueries, somme toute, insignifiantes, mais répétées jusqu’à ce que l’inévitable instant de la colère survienne, assortie d’une gifle, d’un coup de poing ou d’une autre action associée du même genre. Mais lorsque l’on est adulte et que l’on se trouve dans le contexte d’une société civilisée moderne, ce genre d’action peut facilement se solder par une sanction, celle d’une plainte pour coups et blessures, par exemple. Pourtant, personne ne peut échapper à cette défense par l’agression même les plus intelligents et les plus cultivés d’entre nous, parce qu’elle est l’expression d’une pulsion défensive qui provient du cerveau reptilien, et non d’une réflexion élaborée dans le néocortex.
La cible est prise en étau entre ce déterminisme indépassable et les harceleurs qui veulent entraîner une réaction « disproportionnée ».
En effet, le cerveau, dit « reptilien », n’a pas pour spécificité le calcul d’une quelconque modération. Instinctif, il active des réflexes immédiats de survie. En fonction de l’information reçue, la prise de décision lui revient, et il prendra le dessus sur le cerveau limbique et le néocortex.
La cible serait-elle responsable de ses réactions innées de conservation dans le cas où ses harceleurs les auraient volontairement provoquées ?
Dans ce contexte, bien sûr que non. La cible n’a pas choisi de devenir « La cible ».
9/ Autopsie d’une folie collective :
Dans le cas précis d’un harcèlement criminel organisé en réseau, la charge émotive et traumatique générée par l’oppression permanente des multiples harceleurs, pousse souvent les personnes ciblées à quitter leur domicile pour aller vivre ailleurs, loin du cauchemar de leur quotidien.
Cela peut s’avérer bénéfique, après tout, quitter un lieu devenu un enfer est un élan naturel, un réflexe de survie.
Le déménagement s’effectue alors, vous arrivez dans votre nouveau chez vous avec vos cartons et vos espoirs. Enfin, enfin débarrassé des harceleurs, infiltrés, poux et autres commissaires en tous genres. Une fois vos affaires installées et, reconstitué par une nuit réparatrice, tout est plus serein, vous goûtez chaque seconde comme une renaissance. Un sentiment de quiétude et de libération envahit votre esprit.
Les jours passent, vous constatez que le régiment de morts-vivants qui à l’évidence, en avait après vous, s’est comme « évaporé ». Vous avez de la « chance ». En effet, vous étiez en proie à un harcèlement collectif, certes, mais « local », vous avez quitté les lieux et tout est fini.
A contrario, si vous commencez à observer les mêmes anomalies qu’à votre précédente adresse, anomalies qui vont en se réaffirmant et s’intensifiant, il y a de fortes probabilités que le phénomène vous ait suivi.
En effet, les commanditaires de votre persécution première sont manifestement passés par là. Cela se réitère à chacune de vos nouvelles adresses, vous êtes alors en proie à ce qu’il convient de nommer un « harcèlement criminel organisé en réseau », avec de multiples corrélations et implications.
Pour faire court, des dizaines de vidéos sur le modus operandi, les multiples circonvolutions autour de la cible et tout ce qui est mis en œuvre pour ruiner chaque instant de son existence, ne suffiraient pas à la cognition d’un novice ou d’un incrédule sur le sujet. Seule une connexion établie entre vous-même et vos harceleurs, aboutit à la prise de conscience du phénomène. Des heures, des jours, des mois, des années, des décennies entières, passés à écouter puis rapporter des conversations et activités sans aucun intérêt (bon courage…), à donner l’alerte au moindre de vos battements de cils, à vous suivre partout, à inventer n’importe quoi dès lors que cela peut vous être nuisible, au point que les gens embarqués dans l’entreprise en deviennent encore plus « paranoïaques » que vous, a pour conséquence d’entraîner une propagation « automotrice » du harcèlement.
L’envie irrépressible de vous épier, de vous traquer, de vous provoquer, de vous moquer, de vous humilier, de vous blesser sans cesse, semble immuablement obnubiler l’esprit des participants.
Pourtant, vous n’avez commis aucun crime, aucun délit, et n’êtes connu d’aucun d’entre eux. Alors dans quel intérêt ce flicage domestique permanent, et surtout, pour le compte de qui ?
Par ailleurs, vous pourriez tout à fait être sous surveillance sans même le savoir, mais ici, les « préposés » au harcèlement font tout leur possible pour vous aviser en temps réel de leur action de flicage, invasive au possible. L’explication est très simple : si des inconnus apportent leur concours à cette « chasse en boîte » alors qu’ils n’ont aucune raison personnelle de le faire, cette « raison », pierre angulaire de toute action, quelqu’un leur en a fourni une, une raison « clé en main » fabriquée de toutes pièces.
Il y a un côté récessif en proportion non négligeable chez le citoyen lambda. En effet, sans déclencheur réel, ces personnes ne passeraient peut-être jamais à l’acte. Il suffit qu’elles reçoivent une petite visite, et d’un seul coup, comme par magie, elles sortent de leur état végétatif, ces cellules dormantes se réveillent, elles ont le feu vert pour laisser libre cours à toute leur perfidie (sous réserve d’observer scrupuleusement la marche à suivre…).
Le nombre d’individus naïfs, stupides et impulsifs prêts à tout, pour peu qu’on leur désigne une proie, est incalculable. C’est sur ce substrat que l’infection peut se répandre. La victime ne choisit pas ses bourreaux.
Vous êtes à votre nouvelle adresse depuis un certain temps, et le cauchemar continue comme avant, voire pire… Assiégé, vous vivez un véritable kidnapping psychologique, un détournement de votre existence, une désintégration individuelle et sociale. Comment cela est-il possible ?
Une fois de plus, c’est très simple : le voisinage le plus virulent, pas uniquement ceux qui vous nuisent ostensiblement, mais aussi ceux qui, « dans l’ombre », incitent les autres à le faire, a été approché. Par qui ?
Par une « figure d’autorité ». Potentiellement des membres réels ou prétendus de : conseils locaux, professions reconnues et respectées, syndicats professionnels, copropriété, offices H.L.M., associations diverses, ou encore, d’un ami ou membre de la famille qui lui-même a été contacté, etc… Quelqu’un qui inspire la confiance et la considération. Des gens dont on aurait, a priori, du mal à mettre en doute les propos. La profession, le statut, le nombre ou même l’âge, étant utilisés ici comme un gage de crédibilité. Une personne charismatique ou d’un culot suffisant peut tout aussi bien jouer ce rôle de « cheval de Troie ».
En vous diabolisant, ces insoupçonnables commissionnaires se positionnent de facto dans le « camp du bien », de manière à se rendre incritiquables. A partir de cet instant, le débat se ferme, les rôles sont distribués, vous serez le « méchant », la cible à abattre, quoi que vous puissiez dire, faire, ou pas.
Se jouant de la naïveté de leurs interlocuteurs, ces dramaturges vont mettre sur pied des sociodrames, ou supposer leur existence. Vous serez suspecté de faire des « esclandres » pour un « oui » ou pour un « non ». Isolé, vous ne pourrez pas lutter.
Telle une « boîte flottante » autour de vous, la structure mise en place, avec sa capacité immédiate de déploiement, rendra possible l’invention de toutes sortes d’histoires. Ils mettent en perspective des éléments véridiques avec des éléments faux de manière à falsifier la réalité et faire interpréter des choses qui ne sont pas. Connaissant vos habitudes et votre géolocalisation, ils profiteront de l’absence d’alibi à un instant T pour vous imputer tout et n’importe quoi. Ils vous attribueront des paroles que vous n’avez pas prononcées et des actes que vous n’avez pas commis. De véritables scènes de théâtre seront joué devant des témoins bien choisis pour valider leurs élucubrations. Les individus de facture primaire goberont tout en quantité suffisante pour transformer votre vie en indignité permanente. Se croyant investis d’une mission de salubrité publique, ils mettront tout en œuvre pour vous pourrir l’existence H24, car n’oubliez pas, ils sont du « camp du bien ». A ce titre, ils vont s’autoriser les agissements les plus odieux, mais c’est pour la « bonne cause » … Vous n’aurez pas assez de temps et d’énergie pour détricoter toutes les rumeurs, mensonges et doutes instruits contre vous, du moins, ceux dont vous aurez connaissance. Vous serez infesté par leur nombre, possédé par leur omniprésence, décomposé par leur constance. Vous ne vivrez plus, vous survivrez, vous suffoquerez. Ils confisqueront votre honneur et vous marqueront du sceau de l’infamie. Vous devrez continuellement donner des gages et vous justifier pour vous laver de leurs offenses.
Ces psychopathes en quête de supplices s’attaqueront à votre estime personnelle pour vous occasionner une profonde et durable blessure narcissique. Ils feront intrusion dans votre for intime, cherchant la saturation émotionnelle critique pour vous faire perdre pied. Ils endommageront vos filtres psychiques pour fausser votre interprétation du réel et en redéfinir les normes.
Chez eux, vous torturer n’est pas seulement atavique, c’est un corpus idéologique, une expérience métaphysique, une « thérapie » palliative à leur déficience et à leur débauche. Ces délétères, acerbes et cruels crétins, aberrations vivantes devant l’Eternel, semblent ne vivre que pour anéantir votre existence. Y a-t-il un espoir ? Pour eux : aucun. Tout changement ne peut venir d’eux. Ils n’en ont ni la volonté, ni la force, ni la stature. De plus, ils y ont maintenant pris goût. Ils ne cesseront de vous tourmenter que si : cela leur coûte trop, leurs maîtres l’exigent, ou, sont stoppés par la force, ou le destin.
Nous n’appelons pas à la violence, mais c’est bien un des rares langages que ces suppôts soient en mesure de comprendre.
Pour vous : Gardez une confiance inébranlable. Vous avez survécu jusque-là, ce n’est pas le cas de tout le monde.
Si ces damnés se voyaient appliquer à eux-mêmes tout ce qu’ils vous infligent, ils caresseraient l’idée du suicide dans un laps de temps plus court que vous ne l’imaginez. Au-delà, ils finiraient probablement par passer à l’acte. Beaucoup, en effet, vous causent cela car ils seraient eux-mêmes incapables de le supporter.
Pour finir, ne cherchez pas à convaincre à tout prix sur votre situation. Avant d’y être confronté, vous n’y auriez peut-être pas cru vous-même. Sachez que tout le monde n’est pas fait pour entendre la vérité. Celle-ci peut s’avérer si profonde, perturbante et anxiogène, que la réaction du déni risque d’être la seule rhétorique que vous essuierez. Ils ont peut-être volé votre vie, mais vous continuez de vous appartenir.
10/ Un Théâtre d’Ombres :
Le chorus : vous êtes une personne « marginale », « déséquilibrée », « délirante », « aliéné », « menteuse », « enragée », « cruelle », « dangereuse », « prétentieuse », « fainéante », « nulle », « détestable » et « insensée » est repris tel un cantique religieux. Cérémonieusement, ce mantra est récité par les gourous de votre harcèlement, jusqu’à ce qu’il s’imprime dans la masse gélatineuse des créatures qui déambulent à leur niveau.
Allégeance faite à la cause de leurs maîtres, ces amas cellulaires en mal d’évolution embrassent à leur tour le projet de vous briser. Cette idée même leur procure une perverse jouissance.
Pour passer inaperçus, ils évoluent en dehors du champ de perception des « normies ». Ces esprits tordus fonctionnent tous sur le même mode. Ils sont à la fois stupides et rusés, dissimulateurs et transparents, moralisateurs et immoraux. Entièrement voués à la « bête », ces êtres impurs sont conçus pour nuire, harasser, profaner, souiller et détruire. Ils constituent le premier cercle.
Régis par les entités les plus sombres du monde invisible, ils recrutent les ravageurs qui une fois endoctrinés, deviendront des exécutants zélés et sans scrupules. Penser que ces derniers agissent par pur conditionnement serait inexact, car au fond, ce sont les mêmes et ils marchent main dans la main. Les uns ne faisant que réveiller les autres et ainsi de suite, pour la relève de la garde, excitant leur appétit prédateur et leur audace destructrice. Le Sycophante, le pervers et le mythomane préexistaient initialement en eux. Ils personnifient le deuxième cercle.
Ces disciples du diable s’abritent donc derrière le paravent des masses indolentes et inexpérimentées pour qui tout ce qui se situe en dehors du prisme récréatif, hédoniste, auto-contemplatif et festif est du « complotisme », de la « paranoïa » ou de « l’affabulation », pour commettre leurs actes, parfois même, au nez et à la barbe de ce tout-venant léthargique sans provoquer écho.
Ils ne ressentent, ni ne comprennent le monde. Tout ce qui est de l’ordre du grand, du beau, du vrai, du noble, du sacré, leur est étranger, ou insupportable. Ils ne saisissent ni la finalité de la vie, ni sa substance abstraite. Vous avez affaire à de féroces dégénérés d’un côté, à du bétail zombifié de l’autre. Les uns se répandant assidûment autour de vous, pendant que les autres demeurent avachis dans leur zone de confort.
Ces derniers, par déficit de réceptivité, paresse intellectuelle, ou manque de foi, laissent ainsi le champ libre aux créatures infernales qui, chaque jour, maculent votre horizon de leur présence dévastatrice. L’alliage sournois d’un théâtre d’ombres et de la nuit de l’esprit.
Par conséquent, ne cherchez pas le secours auprès des « normies », vous serez amèrement déçu, infoutus qu’ils sont de conceptualiser autre chose que ce qu’ils ont envie de voir.
Vous qui êtes dans une lutte à mort, un combat inégal, quand ils ne sont que les spectateurs infirmes du néant, inaptes à décrypter les évènements, à faire le lien entre les effets et les causes, à interpréter leur époque, même lorsque cela les touche directement. Tels des poissons rouges, ils effectuent un tour de bocal et tout est oublié. Ils ne perçoivent pas la réalité autour d’eux, comment voulez-vous qu’ils distinguent la vôtre… Incapables de lire entre les lignes, tout ce qui échappe au paradigme « Dolce Vita/Carpe Diem » fatigue ces ventres sans âmes, il n’y a définitivement rien à en attendre. Votre expérience ne s’achète pas, donc ne les intéressera pas.
Son exposé les mettra mal à l’aise au point qu’ils se réfugieront dans la dénégation pour calmer la tension qui en découlera, voire se mettront à vous nuire à leur tour pour momentanément donner corps tangible à ce qu’ils sont incapables d’appréhender par eux-mêmes. Perfusés de médias mainstream, de propagande infantilisante et de produits de consommation inutiles, noyés de réseaux sociaux et applications débilitantes, ces « bovins » dénués de réactivité n’entendront strictement rien à votre récit. Ils vous verront comme une bizarrerie, un phénomène de foire, leur grille de lecture faussée et leur manque d’expérience du monde se conjuguant pour nourrir leur inertie, elle guidera leur perception et en retour, ils l’entretiendront, comme une tumeur.
Laissez-les croupir dans les marécages de ce monde, vous n’êtes pas responsable de leur condition. L’humeur dominante de leur caractère s’apparente à la rengaine d’un jingle promotionnel, un instantané temporel qui tourne en boucle et qui les rassure. Un combiné de futilité, de mièvrerie, d’indifférence, de déductions à l’emporte-pièce, de ricanements compulsifs, d’autosatisfaction, de premier degré, de matérialisme, incapables qu’ils sont d’interagir avec d’autre chose que le ras des pâquerettes. Ils se révèleront aussi toxiques qu’inutiles. Force est de constater que les infâmes rampants qui s’acharnent sur vous sont de même, conjointement issus de milieux véreux, dégénérés, « bien-pensants », ou biologiques sclérosés. Telle une volée d’étourneaux, un nuage de criquets ou un banc de sardines, c’est une dynamique collective, une prédisposition immanente.
Espérer qu’ils puissent « changer », se « réveiller » et « comprendre » enfin, se révèlera vain.
En découle la fracture cognitive et sensible qui vous distingue définitivement. Ils appellent de leurs vœux Votre Perte. Ils se délectent du temps passé à son exercice, chaque parole formulée, chaque opération initiée contre vous, constitue l’aveu de leur implication et de leur essence.
S’appuyant les uns sur les autres, liés dans la perversion, l’iniquité et le crime, ils perpétuent indéfiniment l’œuvre du démon. A leurs yeux, votre vie n’a pas de valeur, mais votre flux vital en a une, ils s’en nourrissent comme des sangsues.
Votre sacrifice les destine tous à une damnation spirituelle certaine pour les pires, et à une purification douloureuse pour les autres, commettre l’irréparable n’est pas sans conséquence. Si aucun d’entre eux n’est capable de se réformer, qu’il en soit ainsi. Le jour viendra où la vérité triomphera sur les mensonges, leur univers s’écroulera sous le poids de leurs impostures, Ils goûteront alors à leur propre médecine. Ils n’imaginent pas une seconde que le « jeu » puisse s’arrêter, écrivant, jour après jour, l’histoire de votre fin, ils ignorent que quelqu’un est peut-être en train de rédiger la leur…
En conclusion, ne laissez pas le tumulte de ce Pandémonium vous déboussoler. Le monde à un sens et une finalité. Pour l’heure, soyez prêt. Veillez et tenez-vous au-dessus de tous, droit, juste et authentique>>
See on Facebook
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plaidetchocolatchaud · 8 months ago
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Rappel annuel que je déteste mais vraiment je déteste tellement facebook
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boscaesperanza · 1 year ago
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Tarzan... 7 ans de harcèlement non stop ... je craque...
Tout le monde a déjà entendu parler de cette personne, menace de violence, insultes, racisme décomplexé... Cette personne terrorise les forums et également les rpg Facebook. Si j'ai toujours l'habitude d'expliquer ses actions par ses difficultés psychologiques, cela fait 7 ans que cette personne me poursuit partout chaque forum où je vais, chaque serveur Discord où je me trouve (même mon propre serveur de pub) il débarque pour m'insulter, dire que je suis une menteuse (alors que j'ai 12 GO de comportement pedocriminel et/ou violent de sa part dans mon ordinateur) Ce soir, le gars a débarqué sous un pseudo lambda se faisant passer pour un joueur juste un peu paumé qui savait pas trop comment fonctionnait les forums. Il a parlé de Tarzan qui avait débarqué quelques minutes avant lui (oui j'aurais dû me méfier) qui avait été ban (parce que son compte "tarzan le vampire" est connu de tous et puis à commencer à m'insulter gratuitement en mp et sur le serveur, je me tâte à envoyer ses ips, ses email et toutes les preuves à Pharos parce que si je ne lui ai jamais voulu de mal je ne peux plus supporter ça je vous montre les screenshots de mes mps de ce soir que vous ayez le pseudo et que vous puissiez le ban si vous le souhaitez
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voilà désolée, je suis à bout...
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fidjiefidjie · 1 year ago
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Quelques dessins 😁 🤣 .... 😏
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Dessins de presse de Felix, Chaunu, Piérick, Goubelle, Man, Gros.
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Bel après-midi 👋
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lulue-xie · 2 months ago
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Still have a hard time to swallow what happen friday at work
I will do my best
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droitsdesfemmes · 1 year ago
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Affiches Violences sexistes et sexuelles : mise en place d'outils à la disposition des établissements de l'ESR. Source.
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vespasien · 2 months ago
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MES "AMIS" M'HARCELE
C'EST QUOI LE NUMÉRO À APPELER DEJA ?
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rayondelun3 · 1 year ago
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J'ai envie de vomir.
Mes camarades de classes se sont foutus de la gueule de E. qui a un handicape. Je suis allée le voir, il est tellement innocent et gentil- et je pense que son handicape a joué aussi, il n'a pas compris qu'ils venaient de se foutre de sa gueule.
Je suis allée le voir, je lui ai parlé, je lui ai dit que c'était ok, je lui ai donné mon mail et mon prénom sur un papier, de m'envoyer un mail s'il avait besoin de quoi que ce soit.
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havaforever · 11 months ago
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L'INNOCENCE - Ce n’est pas une affaire de viol, comme dans les Risques du Métier, mais de violence qui détruit la notoriété d’un professeur. Une violence aux effets destructeurs, générée par le mensonge, le remord et la dissimulation.
Le génie de Kore Eda sera d’utiliser l'effet Rashōmon (du nom d’un film réalisé en 1950 par Akira Kurosawa) pour décrire les faits sous différentes perspectives, selon la version de chaque protagoniste. Mensonges et absence de preuves permettent de conforter ou de disqualifier toute version de la vérité, tandis que la pression sociale exerce tout son poids en faveur de la clôture du débat.
La critique de la société (japonaise « mais pas que.. ») est féroce et ne manquera pas de dénoncer les défenseurs d’une certaine tradition. Les acteurs Sakura Andō (Saori), Eita Nagayama (Hori), Soya Kurokawa (Minato) sont dirigés d’une main paternelle et douce et expriment par leur jeu tout en retenue l’humanisme et la délicatesse de Kore-Eda.
Qu'aurait donné L'Innocence si Hirokazu Kore-eda avait construit son film de manière traditionnelle et linéaire, sans recourir à un procédé à la Rashomon ? Sans doute aurait-il gagné en évidence dès le départ, et peut-être même en émotion, mais il aurait en revanche perdu de son mystère et d'un rapport ludique avec son public. Oui, la forme sophistiquée du long-métrage dissimule somme toute une histoire plutôt simple et touchante, qui ne se révèle que dans ses dernières minutes, mais on n'en tiendra pas trop rigueur au cinéaste, eu égard au plaisir qu'il nous concède, in fine, avec ce regard attentif et bienveillant sur l'enfance, qui est sa marque de fabrique.
A travers le regard d'une mère puis d'un enseignant et l'exploration d'un milieu scolaire où l'on peut stigmatiser le comportement d'un élève, doté d'un "cerveau de porc" (sic), ou encore enregistrer le poids des rumeurs et la tenaille du harcèlement, Kore-eda se fait sociologue de son pays, sans virulence mais en ne cachant quelques unes de ses failles, y compris au sujet du tabou dont il est question de manière certes tardive mais néanmoins claire. L'Innocence n'est vraisemblablement pas le meilleur film de son auteur mais la richesse de ses personnages contribue à ne pas en sortir déçu, d'autant qu'il se situe dans la continuité d'une œuvre dont la cohérence ne cesse de se consolider au fil du temps.
NOTE 14/20 - On retrouve et on partage les attentes du réalisateur : la quête d’un père qui ne soit ni absent ni violent et l’aspiration à la lumière et à la vérité. On apprécie de façon renouvelée, sans jamais se lasser : sa poésie, sa délicatesse, et cette très jolie magie des images.
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taramboyle · 1 year ago
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Victime de harcèlement scolaire, Léo manque de confiance en lui. Heureusement, Tom va se montrer bienveillant et lui prouver qu'en amour les actions concrètes valent plus que les longs discours.
Les Amants Inséparables 🧡
🌈
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rallumons-les-etoiles · 1 year ago
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Mon parcours de vie : Partie 2
Quand je suis rentrée en classe de 4ème, j'ai subis un traumatisme, petit à petit , mon état psychique se dégradait . J'ai à ce moment la commencer à me faire du mal, j'ai commencé à subir de l'harcèlement scolaire, j'appréhendais chaques jours, car à chaque fois, dès le début des cours , le calvaire continuait , je me faisais humilié sous les yeux des professeurs qui ne réagissaient pas. Je dormais avec la boule au ventre, je me reveillais avec la boule au ventre , je vivais avec la boule au ventre et chaque matin je me disais : qu'est ce qu'il m'attends aujourd'hui comme humiliation ? Qu'est ce qu'ils m'ont reservé aujourd'hui? . J'arrive en classe de 3ème et je ne me sens pas comme avant, je sens que quelque chose n'allait pas et je me faisais de plus en plus de mal... Seul une professeur a remarqué ma détresse , elle a dit à ma mère que je couvais une dépression, que je devais consulter une psychologue ce que j'ai totalement refusé.. cette professeur m'a donc envoyé chez la psychologue scolaire, je n'ai pas prononcé un mot. Certains professeurs s'enervaient car j'avais de mauvaises notes, ce qu'ils ne savaient pas c'est que je bossais énormément , ce qu'ils ne savaient pas et que je ne savais pas à ce moment la c'était ma dyslexie et ma dyspraxie visuo-spatial qui ont été diagnostiqué beaucoup plus tard. Malgré tout cela j'ai obtenu mon brevet des collèges et me voila au lycée, et c'est à ce moment la que ma vie a basculé !
La suite au prochain post ...
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lauuu-23 · 1 year ago
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LE HARCELEMENT CRIMINEL ORGANISE EN RESEAUX :
1/ Présentation du phénomène :
Le harcèlement criminel, pris dans sa forme la plus simple, est une enquête secrète sur une personne. Les harceleurs « veillent » sur cette personne, à la fois ouvertement et de manière dissimulée. Ils la suivent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Pendant le processus de surveillance, des patrouilles motorisées ou à pied sont invitées à suivre la cible partout. C’est l’aspect le plus simple du harcèlement criminel organisé en réseaux.
C’est ce qui se passe après cette première étape, qui provoque la grande séparation entre les victimes et le reste de la société.
Le harcèlement criminel n’est pas seulement une enquête secrète, il est conçu comme une forme systématique de contrôle capable de détruire la vie d’un individu. L’objectif est de maîtriser tous les aspects de la vie des individus choisis comme cibles. L’enquête secrète tente de prendre le commandement, tout comme le fait un « virus cérébral ». Tout est fait pour que ce « virus » soit contagieux.
Le harcèlement criminel est une action de persécution organisée contre un « individu ciblé ». Il se perpétue par une série d’actes hostiles qui ne sont pas attribuables de manière significative à des crimes ou à une violence explicite mais qui, dans l’ensemble, sont gravement nocifs pour la santé mentale et physique de la victime.
L’action vexatoire produit un stress qui, prolongé, induit un trouble de mauvaise adaptation, qui peut provoquer, asocialité, agressivité, misanthropie, crise de panique, crise d’angoisse, insomnie, comportements obsessionnels compulsifs et, dans la plupart des cas, provoquer un suicide ou un meurtre. La tension produite par l’action vexatoire induit également le syndrome de stress post-traumatique sous ses différentes formes, dépressive et anxieuse.
Les objectifs fixés sont le conditionnement des individus, leur contrôle, leur « programmation » et leur élimination par induction de la paranoïa et l’incitation au suicide. Le but principal du harcèlement criminel est d’influencer la vie de la victime et de la conditionner, afin de la détruire. Il y a un réel fossé entre les victimes de harcèlement criminel et le reste du monde. Surmonter ce fossé est la plus grande difficulté.
Le harcèlement criminel fait appel à des techniques de persécution subtiles et cachées basées sur la répétition obsessionnelle d’évènements/incidents qui sont orchestrés avec précision de manière à obtenir l’attention puis, la sensibilisation des victimes. Apparemment, ce sont des questions de peu d’importance pour les gens qui ne sont pas habitués au harcèlement criminel. Ils ont juste du mal à voir ces choses. Pour eux, tout indique que la victime est folle ou à des visions. Ils croient que les abus que la victime dénonce sont entièrement dans son esprit. Cette lacune est la force du persécuteur du fait qu’elle isole la victime. C’est le fossé qui doit être comblé.
Comment la victime pourrait expliquer de manière crédible au public qu’il y a des personnes conduites à se suicider ou à toute autre action violente à cause du fait qu’elles ont été torturées, traquées et harcelées ?
Comment expliquer cela de manière crédible sans paraître complètement fou ou sans passer pour un théoricien du complot ?
Comment expliquer que, année après année, des citoyens manipulés soient devenus les yeux et les oreilles de personnes malintentionnées ?
Comment expliquer que, tout comme en ex-Allemagne de l’Est, une légion d’informateurs ait fini par voir le jour ?
Comment expliquer que l’addition de toutes ces personnes forme un véritable monstre capable de vous localiser et de vous traquer où que vous alliez ?
Le harcèlement criminel est conçu pour être invisible. Seule la victime, un enquêteur extrêmement expérimenté ou toute autre personne bien consciente du phénomène pourrait le reconnaître. L’invisibilité est la force de ce genre de persécution. Il existe de nombreux autres types de persécutions violentes, mais elles sont visibles. Elles sont visibles par tout le monde.
Afin de préparer leurs attaques, les acteurs de terrain sont répartis en petites unités qui ne semblent pas toujours avoir de liens entre elles. D’autre part, le harcèlement criminel a souvent lieu aussi en public, même dans les rues et les zones très peuplées. Les gens autour ne le voient pas. Ils ne peuvent pas voir, à cause du gouffre qui les sépare de la situation de la victime.
Le harcèlement criminel est une violation des droits humains. Il viole même les droits humains les plus élémentaires comme la recherche de la liberté et du bonheur. Cela viole la vie privée, il n’y en a pas. Aussi appelé « slow kill » (mort lente) parce qu’il brise l’esprit humain et peut entraîner un suicide. C’est lent et laisse peu de preuves. Beaucoup de ces « suicides » ont en fait été provoqués, il s’agit en réalité de meurtres dissimulés.
Les individus ciblés sont souvent perçus comme « malades mentaux » alors qu’en réalité, ils sont la cible de prédateurs émotionnels sadiques.
Les symptômes traumatiques des individus ciblés, en raison de la détresse psychologique qui leur est infligée, sont principalement : hypervigilance de tous les instants, aplatissement et rétrécissement des sentiments, aplatissement des émotions (le visage du patient peut apparaître figé avec peu de contacts visuels et un manque d’expressivité), langage inadéquat (la réduction du flux de pensées se traduit par une restriction d’expression et des réponses courtes aux questions, crée l’impression d’un vide intérieur), anhédonie (capacité réduite à ressentir de la joie, peut se manifester par un manque d’intérêt pour les activités et par le fait de passer beaucoup de temps à des œuvres sans but), asocialité, misanthropie, isolement, méfiance (peur de parler à de gens qui vous tourmenteront plus tard de toute façon…), épuisement et par conséquent aucune envie de sortir (la cible doit créer son propre monde pour survivre, on la regardera avec des yeux froids, ou de travers), renforcement excessif des compétences perceptives, renforcement excessif de la résistance à la souffrance émotionnelle face au contexte insurmontable.
La cible est entourée de gens qui ne lui veulent pas du bien, ils vont la blesser, l’humilier et l’isoler, alors elle tentera de renforcer son estime de soi de manière exagérée, en s’imposant des systèmes d’auto-maîtrise pour se protéger des coups durs. Il est important de comprendre quel peut être le déclencheur de ce processus.
La cause première de toute cette folie par « effet domino », le plus souvent, s’agit d’une soif de blesser de la part des initiateurs premiers du harcèlement, animés par l’obsession de détruire. Infliger le chaos chez leur victime, autour de laquelle ils tordent la réalité afin de créer un lynchage collectif, est chez eux un mode de vie.
Généralement, ce sont des maniaques, des fanatiques pervers et sadiques, menteurs, manipulateurs et « insoupçonnables », des individus ayant un dysfonctionnement grave dans leur personnalité.
Des agences, collèges, cabinets, universités, institutions, corporations, groupes communautaires ou politiques, confréries, gangs criminels, entreprises, groupes de particuliers qui ont été entrainés, corrompus, ou trompés, peuvent apporter un appui stratégique, logistique, matériel et humain dans l’organisation et l’application de ce harcèlement, par amitié, solidarité, intérêt, obligation, stupidité, par jeu, ou par goût…
0Le principe de réaction en chaîne est si bien entretenu que, par émulation collective, de nouveaux foyers d’initiateurs peuvent apparaître, cooptant ainsi toujours plus de volontaires pour maintenir et consolider cette persécution sans fin…
2/ Schéma général :
Le harcèlement en réseau est un système collectif, hiérarchisé, et compartimenté.
Les commanditaires, réel noyau dur, créent un véritable maillage autour de leur proie. Objet de leur sentence, qu’ils sont résolus à détruire impunément, sans laisser de traces.
Les complices, l’échelon en dessous est composé de collaborateurs stratégiques, dociles, manipulés, ou stupides. Elus locaux, barreau, magistrature, police, pompiers, armée, sécurité sociale, caisse d’allocations familiales, banques, services des impôts, fournisseurs d’énergie, fournisseurs d’accès à internet, informaticiens, services sociaux, médecins, agences pour l’emploi, organismes de logements sociaux, services des postes, taxis, ainsi que des membres de la franc-maçonnerie…
Nombres d’entre eux sont chargés de collecter des renseignements sur la cible, y compris les informations à caractère strictement confidentiel auxquelles ils sont susceptibles d’avoir accès, ceci, pour lui occasionner des nuisances administratives, sociales et financières.
Certains sont mandatés pour fournir en temps réel, la position géographique de la cible, une géolocalisation obtenue par le biais de son téléphone cellulaire, ou de la pose de balises GPS.
En parallèle, l’on note la présence d’auxiliaires, dont le rôle est d’organiser le harcèlement de terrain sur le lieu de vie de la cible, en lui façonnant une mauvaise réputation et, en recrutant les pions chargés eux, d’agir dans son environnement immédiat.
Les pions, au bas de l’échelle, souvent des voisins manipulés, ont pour tâche de rendre le domicile de la cible le plus invivable possible, ainsi que de donner l’alerte à chacune de ses allées et venues, de manière à ce que la personne ciblée n’ait de répit nulle-part, pas même chez elle. Pour ce faire, le domicile de la cible est placé sur écoute depuis l’habitation elle-même, ou depuis les logements voisins. D’autres pions, aux alentours, sont recrutés pour suivre la cible lorsque celle-ci est en mouvement. Ils ont pour consigne d’envahir son espace et d’y mener des actions oppressantes de nature à lui signifier qu’ils sont bien là, en agissant de manière ultra-répétée évidente pour la cible, mais insignifiante pour les passants.
La plupart des acteurs de cette folie font tout pour que leur proie se rende compte qu’elle est traquée 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, partout, indéfiniment et sans relâche.
3/ Profil des commanditaires :
Les instigateurs du harcèlement en réseau sont généralement des individus ayant des traits de personnalité ultra rigides, nourrissant à la fois un fantasme de domination, une frénésie obsessionnelle, ainsi qu’un goût certain pour la cruauté. Ils entrent de fait, dans la classification des pervers.
Néanmoins, ils sont souvent indétectables pour le commun des mortels, car ne souffrent pas de leur état. Bien au contraire, ils en jouissent. Ils se nourrissent de la souffrance infligée à la cible, qui est présentée, d’une manière ou d’une autre, comme « à abattre », la vampirisant par tous les moyens imaginables, ils créent la psychose parmi la plèbe ivre de rumeurs promptes à lui jeter en pâture, ladite cible.
Manipulateurs, ils font accomplir le sale boulot par les autres, drapant de légitimité leurs instructions, de sorte que le harcèlement devienne un petit jeu très amusant pour un maximum de monde.
Agissements délictueux, lâches et scélérats, se métamorphosent en une « répression » légitime, rendue par d’honorables serviteurs de la bonne cause que sont ces valeureux acolytes, ayant tous fait allégeance à ces commissaires de la « bonne conscience » que sont les donneurs d’ordres.
Tout est déformé, le mensonge devient certitude, la malveillance une bonne action, la lâcheté la bravoure. Tant qu’il y a « vraisemblance », ça passe. Pas besoin de s’embarrasser de la vérité. Chaque action envers la cible étant exécutée dans un esprit de « justice », propice à en effacer la gravité tangible. L’imposture est poussée jusqu’à convaincre l’opinion, que l’harceleur est la cible, et vice-versa, le comble intégral.
De fait, les instigateurs du harcèlement, perpétuant, développant, perfectionnant, année après année, leur petite entreprise de destruction, forme collective d’une symptomatique maniaque auto-entretenue, attestent l’évidence pathologique, de leur personnalité.
4/ Profil des intervenants :
Le profil des divers intervenants présente indubitablement des analogies avec celui des commanditaires.
Bien qu’en apparence, il puisse s’agir de n’importe qui, les traits de caractère suivants illustrent plus ou moins leur profil : moralisateurs, inquisiteurs, victimaires, hypocrites, frustrés, belliqueux, culpabilisateurs, falsificateurs, sans modération, épais, l’esprit farcit de lieux communs, etc…
Cela peut aller du modeste employé de bureau violent le code de déontologie de sa profession, divulguant des informations confidentielles, à la crapule de bas étage saccageant les biens de la cible, en passant par le fonctionnaire véreux géolocalisant son téléphone ou son véhicule dans l’optique d’orienter sur elle, les individus conditionnés pour lui causer préjudice.
Les acteurs de terrain, susceptibles quant à eux, de se retrouver en confrontation directe avec la cible (les commanditaires et complices proches prenant rarement des risques pour eux-mêmes), disposent d’un éventail lexical et sémantique si étriqué, que tout discernement ou expression sensée leur sont inatteignables. A ce titre, ils sont influençables à volonté et sans peine par les différents intermédiaires. Agissant à plusieurs, vantant leurs exploits, cocktail de dénigrement, théâtre de rue, moqueries, vandalisme, divagations et autres ruines de l’esprit, ils « pouffent » dans le dos de la cible pour mieux se gausser de leur statut de parasites, avec une suffisance outrancière. Vautrés dans la fange tels des asticots, Ils n’ont d’ambition plus noble que de se changer en mouche à merde.
A noter que, la plupart de ces pantins, n’ont pas une vue d’ensemble de la situation que seule la victime peut apprécier. Leur action de harcèlement étant mutualisée, ils n’ont qu’une vision parcellaire de ce que la cible vit vraiment.
Les pions, ainsi que l’auditoire sélectionné, « auguste cénacle » composé de sujets limités, extrêmement limités, sont choisis en partie pour leur incapacité à penser la complexité de la chose. Nuire intentionnellement à une personne qu’ils ne connaissent pas et qui ne leur a personnellement jamais rien fait, ne peut faire appel qu’à une perversité ou une arriération bien présente chez ces sujets.
Le harcèlement devient dès lors, systémique, chacun étant cantonné à un petit rôle bien précis.
Ainsi, il nous est apparu qu’un nombre important de personnes peuvent se liguer contre la cible. Sa destruction faisant consensus, chacun y trouvant son compte, à sa manière.
Il est important de comprendre ici que nous avons à faire à des gens qui ont globalement le niveau de réflexion d’enfants de 11 à 12 ans. Tout ceci pourrait se résumer ainsi : « Il était une fois, sur une planète lointaine, une personne très méchante qui faisait le mal. Des gens courageux décidèrent de la combattre pour sauver les habitants ».
5/ Profil des individus ciblés :
Les personnes ciblées par le harcèlement en réseau présentent généralement un profil original : intègre, loyal, singulier, indépendant, sensible, idéaliste, réactif. Elles sont souvent peu entourées et ont été, à un moment précis, en contact plus ou moins direct avec leurs futurs harceleurs qui peuvent être d’anciennes relations, patrons, associés, collègues, employés, concurrents, adversaires, bailleurs, escrocs, voleurs, malfaiteurs, chauffards, entrepreneurs, ou même, des membres de leur propre famille, etc…
Un héritage, une controverse, une complication, un litige, une révélation, un refus, une rancœur, une action en justice, un mariage, une dispute, un divorce, un secret, une jalousie, un scandale, ou encore, une opinion, une rumeur, etc… peuvent être « le mobile » du harcèlement.
Souvent, il s’agit de la pure pratique du bouc émissaire. Il se peut aussi que la personne ciblée en « sache trop ».
Au début, elle note simplement quelques velléités hostiles balbutiantes, embryonnaires, ici et là, de ce qui va devenir une oppression particulièrement perverse, sophistiquée, et étendue.
La survenue de faits insolites, leur récurrence de plus en plus marquée et leur nature chaque fois plus malveillante, laisse augurer à la cible, qu’elle en est une. L’inventaire de toutes ces aberrations est fastidieux, kyrielle sidérante et déconcertante de faits et gestes perpétrés par des infâmes manipulés par des maniaques.
En voici une liste rapportée par nombre de leurs infortunés destinataires de toute l’Europe et d’ailleurs. Critiques négatives et permanentes de tout ce qui est dit ou fait (avec ou sans déformation, à défaut : invention), ingérence grave, vandalisme, courriers et colis interceptés, diffamation, réputation créée de toutes pièces, vols. Mais aussi, suspicion de vols, dégradations, viol, pédophilie, violences et autres crises d’hystérie. Inversion de la réalité, inversion accusatoire, domicile sur écoute, surveillance des allées/venues et relations. Monitoring des accès au logement, flicage et géolocalisation du téléphone cellulaire, suivi en temps réel de tous les trajets sans exception, dénonciations calomnieuses, déplacements, enlèvements ou empoisonnements des animaux domestiques, violences routières, provocations multiples, violations de domicile, violations de la vie privée, violations du droit à l’image (capture de clichés/vidéos, détention et diffusion illicite), création de faux profils sur le web, usurpation d’identité, création de nouveaux ennemis sur mesure, dossiers factices, ridiculisation de l’image de la cible, signalement visuels via notifications en cascade sur certains réseaux sociaux, « Théâtre de rue » consistant à singer hors contexte, des propos, habitudes, gestuelles, défauts voire handicaps, drames vécus par la cible, etc… dans le but de la déstabiliser et/ou la blesser moralement. Sensibilisation extrême à des stimuli acoustiques très précis (sans lien avec les décibels), puis, répétitions synchronisées de manière « chirurgicale » en fonction des pièces exactes où se trouve la cible chez elle. Cela, au moyen de micros, caméras pinhole, et autres capteurs possiblement dissimulés dans le logement, ou via murs, plafond, plancher, dalle, etc… Impossible sans complicité des voisins et/ou bailleur.
S’établit alors entre les harceleurs et la personne cible, une forme de « communication intraspécifique » à sens unique, quasiment imperceptible pour les non-initiés. Tout ceci réitéré avec constance, sans interruption, indéfiniment, dans le but d’infliger à la cible ainsi diabolisée et perdant son anonymat, un maximum de souffrance.
Toutes ces conduites mises bout à bout ayant pour dessein ultime la mort de la cible par son suicide réel ou prétendu, une manœuvre crapuleuse d’un des intervenants, sa riposte violente (armée ou non) entrainant son exécution/emprisonnement/internement, son assassinat maquillé en accident, etc…
En résumé, pousser la cible à la « faute » après quoi, s’écrier : « On vous l’avait bien dit ! ».
A défaut, occasionner sa paupérisation extrême, sa déchéance physique, morale et sociale, sa mise au ban définitive.
Si la cible évoque la réalité, il sera prétendu qu’elle est « folle », la boucle est bouclée. A ce titre, l’on peut affirmer que les actions réitérées sans cesse par les harceleurs, induisent à la longue la « maladie mentale » chez la victime. « La paranoïa » provoquée, système de défense primitif naturel, constituant de « l’instinct de conservation » présent chez chacun, mute vers une forme résistante avec détérioration des facultés discriminantes initiales. Saturation oblige, la cible ne sait plus faire le « tri » et sombre alors dans un état similaire à un « stress post-traumatique » entretenu et aggravé sans cesse par le harcèlement, cela est sans fin.
Certains résistent mieux que d’autres, mais la volonté de leur anéantissement demeure. La cible ne pouvant se défendre, le rapport de forces étant disproportionné, non équitable. Elle n’a pas voix au chapitre.
Quant à la « tribune », n’ayant pas tous les éléments pour se forger une idée autre que négative à son sujet, vu la propagande faite en ce sens, bien souvent elle choisira le carnaval des « Furies », plutôt que le retrait, ou la réflexion.
Ainsi, tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. « Proie » livrée en sacrifice, « Moloch » apaisé et ses adorateurs, ivres de satisfaction, réunis en consistoire tel un « petit sanhédrin
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tillmidnight-writings · 2 years ago
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Tribune : parce que le harcèlement ne s'arrête pas avec les actes
Je tremble comme si j'avais 40 de fièvre. Mes jambes bougent toutes seules et mes yeux sont rouges. Inutile que je cherche à tout masquer ce matin par du maquillage, je l'ai déjà fait ça. Derrière des sourires, des " ça, c'était avant". Je me rends compte maintenant que je me suis menti pendant 15 ans. Même terminé, meme à des années lumière, le harcèlement scolaire est resté en moi et je n'en suis pas libérée. J'ai tout pris pour argent comptant à l'époque, j'y ai presque crû et j'ai bâti les fondations de ma vie sur du branlant. Sur cette image hautement dévalorisante que les autres m'ont renvoyée de moi-même : inutile et fragile.
Le nez qui coule et les yeux aussi, encore plus. D'une abondance rare après un cauchemar. Parce qu'après tout, les cauchemars ne sont que des constructions de l'esprit, des pièces qui ne s'imbriquent pas si l'on y regarde de plus près. Mais celui-ci était réel, je pouvais sentir le cauchemar recommencer. Les larmes remontent rien qu'à l'écrire et les tremblements se multiplient. Ma vue se floute. Les anciens souvenirs flottent à la surface, je suis adulte mais je me suis construite sur l'idée que j'étais moins bien. Pas assez. A l'adolescente que j'étais et au petit garçon de 3 ans qui grandi sous mes yeux et a besoin de sa maman pour s'épanouir sereinement, à mon mari aussi qui m'aime telle que je suis avec mes traumas et mes idées de travers, loin des fantômes qui sont les miens mais ne doivent en aucun cas devenir les leurs, je vais me soigner. Tout faire pour oublier ce bagage explosif qui est enfoui, pardonner ce qui doit l'être. A moi-même en premier parce que ce sont pas les harceleurs qui souffrent, ce sont les autres. Ce n'est pas parce que les racines de mon propre jugement sont altérées, bousillées, que demain, je ne pourrais pas les assainir. Ne nous appelez pas des victimes, nous sommes la force incarnée de vivre ensuite avec. Nous sommes plus que le harcèlement.
Aujourd'hui, faisons désormais au centuple tout ce dont nous avons été privés avant. A commencer par être nous sans la moindre once de crainte. Tu es toi et tu es suffisant.e, aimable.
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iviarellereads · 1 month ago
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A Swiftly Tilting Planet, Chapter 3 The sun with its brightness
(THIS PROJECT IS SPOILER FREE! No spoilers past the chapter you click on. Curious what I'm doing here? Read this post! For the link index for the Time Quintet, read this one! Like what you see? Send me a Ko-Fi.)
In which I get so annoyed I can either say almost nothing or rant for pages, and I choose the former for all our sakes.
Meg opens her eyes in the attic. Almost no time has passed. She kythes again, and doesn't see Charles or Gaudior, but knows that she witnesses their journey.
Eventually, they arrive at their destination: the same star-watching rock, but in a different time long, long ago. Gaudior says they'll have to travel in time and Charles will have to travel "Within" other people to find the "Might-Have-Been" at the heart of the problem they face.
Charles is terrified at the thought, but Gaudior assures him that he'll stay himself as well, and if all goes well, his body will have been taken care of. Besides, Charles has some experience with going Within. Charles supposes that's what his kything with Meg is, after all.
Gaudior says it's time to get going, this was just a respite, seeing the world before humans came and messed it all up. Now, it's time to go find a When with people. Charles keeps asking questions, but Gaudior says he's not some computer with a glib answer for everything, let's go.
Together, boy and unicorn travel again through the wind that may or may not be a tesseract conduit, and when they land, Meg, watching, realizes that Charles isn't visible because he's Within the other boy nearby, who is clearly an Indigenous stereotype I MEAN person.(1) Gaudior informs him that the host is named Harcels,(2) and Charles has to become him to succeed at this, to hide his own thoughts and his own presence and observe. Then Gaudior takes off.
Harcels is living quite the charmed life, totally at one with the harmony of the universe, and his people still understand the Old Music and commune with everything at will. All of them are equal no matter their occupations. His best friends are animals: Finna, something like a dolphin, and Eyrn, something like a giant eagle.
One day, while riding Eyrn, Harcels sees a distant tribe. He asks the Teller of Tales about other tribes, but the Teller tells him sharply to leave everyone else alone. He tells Harcels he had a friend like Eyrn once, and rode, and descended enough to see one man kill another. Harcels doesn't understand why anyone would do that, and the Teller hopes he never does.
Charles finds it very easy to live in Harcels. He intervenes once, to keep Harcels focused on the pleasure of flight instead of the curiosity about other tribes, and prevent him from making contact. Meg kythes that it's the right thing to do, surely.
Meg opens her eyes again, and little more time has passed. Ananda whines at her, and they go back in.
Gaudior has extracted Charles, who thanks him. Gaudior says he doesn't decide who Charles is occupying, it's all up to the wind. He guesses that Charles was sent within Harcels to ease him into going Within, before he has to try to also recognize the Might-Have-Beens. Charles worries about losing himself and not being able to kythe Meg, because he feels he's going to need her at some point. Gaudior just tells him to hold on tight.
=====
(1) I don't have a lot of notes on this chapter, partly because I don't think much bears commenting on, and partly because this is one that ought to be commented on but if I get started this single footnote will be a page or two long with criticism. Being who I am, I can't help but bristle at white people writing Indigenous people because it's nearly always, just, so wrong. I'm sure it has been done well but I can't remember any offhand. (2) Oh yes, that's so totally not just jumbling the letters of Charles into something plausible for your totally-not-an-unresearched-Indigenous-person. Bravo.
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oumoumimi · 3 months ago
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les k médias ont toujours aimé pousser les célébrités à bout, et aujourd'hui, ils en profitent encore plus en visant quelqu'un qui pourrait potentiellement être plus vulnérable à cause de son passé...
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infosisraelnews · 6 months ago
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La déclaration indignée du député du Likoud : "Ils ont mis volontairement des soldates pour garder les terroristes du 7 octobre"
La déclaration du député Nissim Vatori à la commission des affaires étrangères et de la sécurité de la Knesset a fait débat : lors d’un débat public qui a eu lieu (mardi) à la Knesset, un membre de la Knesset du Likoud s’est prononcé contre le placement de soldates pour garder les terroristes du Hamas dans les cellules de prison. Il a parlé des dégâts causés et a déclaré : « Nous mettons toujours…
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