#tricote-a-la-main
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Hand-knitted Sweater in Green Color Hand knitted for you! This is a lovely green hand knitted sweater. Handy, fashion and stylish there isn't a second one! The sweater features lovely six buttons at the bottom.
Pull tricoté à la main de couleur verte Tricoté à la main pour vous ! Il s’agit d’un joli pull vert tricoté à la main. Pratique, tendance et stylé, il n'y en a pas de deuxième ! Le pull comporte six jolis boutons en bas.
Handgestrickter Pullover in grüner Farbe Handgestrickt für Sie! Dies ist ein wunderschöner grüner handgestrickter Pullover. Praktisch, modisch und stilvoll – es gibt keinen zweiten! Der Pullover hat unten sechs hübsche Knöpfe.
Handgebreide trui in groene kleur Handgebreid voor jou! Dit is een mooie groene handgebreide trui. Handig, modieus en stijlvol, er is geen tweede! De trui heeft mooie zes knoopjes aan de onderkant.
#hand-knitted#handmade#handcrafted#sweater#one of a kind#unique#fashion#fashionable#green#female fashion#knitting#unique gifts#tricote-a-la-main#fait-main#fabrique-a-la-main#pull-over#unique-en-son-genre#mode#a-la-mode#vert#handgestrickt#handgemacht#handgefertigt#pullover#einzigartig#modisch#grun#met-de-hand-gebreid#handgemaakt#trui
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#Boutons faits à la main pour la couture#Boutons uniques pour l'artisanat#Boutons écologiques#Boutons gravés sur mesure#Boutons de style vintage#Boutons décoratifs colorés#Boutons en bois pour tricoter#Ruban en satin pour les loisirs créatifs#Ruban en gros-grain pour l'emballage cadeau#Ruban en organza pour les mariages#Ruban imprimé pour les décorations#Ruban en velours pour les projets DIY#Collier en perles de rocaille.#Perles de cristal pour la guérison spirituelle#collier de perles long#colliers de perles#Bracelets en perles de rocaille
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sewing vocab list | français - english
verbes
coudre - to sew
couper - to cut
enfiler - to thread
froncer - to gather
installer - to install
marquer - to mark
ourler; faire un ourlet - to hem
repasser - to iron
s'effilocher - to fray
épingler - to pin
adjectives
cousu main - hand-stitched
tissé - woven
noms (fem/masc)
la laine - wool
la manche/la manchette - cuff
une aiguille - needle
une machine à coudre
une paillette - sequin
une pince - dart
une ruche - ruffle
une épingle - pin
le coton - cotton
le tissu - fabric
le tricot - knit fabric
le tulle - tulle
un bouton - button
un fil - thread
un mannequin - mannequin
un modèle - pattern
un mètre ruban - measuring tape
un vêtement - garment
si quelqu'un a les autres mots pour recommender ou des corrections, mets-ils en les comments/tags ou dm moi ^.^
(aussi si vous avez quelques autres thèmes pour une liste, je vais essayer les faire :3)
#frenchblr#french learning#learning french#french notes#french vocab#language learning#french studyblr#french langblr#coudre#vocabulary#vocab list#vocabulaire
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" Il arrive qu'un journal illustré, entrouvert il y a des années, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mémorable. À l'époque où Life était l'hebdomadaire américain par excellence, dans un numéro tourné probablement par une main négligente ( toujours ce qu'on s'attendait à voir : la guerre du Vietnam ou celle de Corée, mêlée à des vedettes de cinéma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la dernière page, réservée d'ordinaire à la "photographie de la semaine", sans référence aux événements d'actualité, élue seulement pour ce que l'image présentait d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'était, en pleine page, un instantané de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu épaisse, sans doute située entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville à talons mi-haut, petit chapeau sûrement acheté dans un grand magasin, sac volumineux, serré sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mûres, et qui contenait à n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santé, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-être un de ces petits carrés de papier de soie imprégnés de produit chimique qui donnent à l'Américain en voyage l'impression de s'être lavé les mains. Une rombière américaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien côtés. Celle-ci était debout devant une mer calme ; une vaguelette léchait le sable à quelques mètres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le déclic, une énorme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identité avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait été une forme, une forme reconnaissable, chérie peut-être, ou détestée, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indifférence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santé ou atteinte de varices ou peut-être d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la société de consommation, s'était d'un seul coup amalgamé à la mer informe. Mrs Smith ( si c'était son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimité. J'ai repensé plusieurs fois à elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-être la seule personne sur la terre à me souvenir qu'elle a été. " M. Yourcenar
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saga: Soumission & Domination 338
Adam notre Flic
La soirée du samedi est agréable. On boit un peu trop et je ne peux laisser Adam (le Flic) repartir bourré. Quand on va se coucher, je l'accompagne à la chambre du premier qu'il avait occupé la veille mais cette fois il est seul.
Dimanche matin : Réveil en milieu de matinée. Je mate le canal qui enregistre la chambre de notre invité. Il sort juste de la douche et se rhabille. Je le vois hésiter puis ne pas remettre son slip de la veille. Je décide d'aller le chercher en jock sous mon peignoir. Quand je frappe à sa porte il m'ouvre aussitôt. Je lui dis que le petit déjeuner est prêt avant qu'on fasse un peu de sport. Il me suit et nous retrouvons Ludovic et PH en train de prendre un café. Ils sont en jock prêts pour une séance sportive. J'annonce le programme. Sport jusqu'à midi, déjeuner, repos, arrivée des garçons...diner puis je les reconduis chez Max pour la semaine. Adam est partant. Après un petit déjeuner succinct, nous descendons à la piscine pour l'échauffement. Je passe un maillot à Adam qui n'avait pas prévu de rester. Il nage mais est loin d'être un bon nageur. Il nous lâche pour aller courir sur un tapis de course à côté. Nous finissons nos 3/4 d'heure de préparation. Séchage rapide, échange des maillots contre des jocks et nous passons sur les postes de muscu. Là, notre invité est meilleur. Sans pousser aussi lourd que moi, il se place aux alentours de PH ce qui est déjà pas mal. On sue une heure de plus à pousser de la fonte. Les muscles gonflent, les corps brillent, c'est sexe tout d'un coup ! J'assure Adam sur le banc de développé-couché. Il peine dans les derniers soulevés de ses séries. A 80Kg c'est honorable, ce doit ne pas être loin du 100% de son poids. Ses pecs sont bien carrés, épais et plats. Ses tétons se dressent aussi quand il pousse la barre. Il est devient vraiment craquant. Et évidement je ne peux m'empêcher de bander. Ma queue déforme mon jock, repousse le tricot élastique juste au-dessus de son nez. Il ne peut maintenant plus ignorer l'intérêt qu'il suscite en moi. Ce qui me fait plaisir c'est que je vois la même chose se produire dans son jock.
Quand il repose la barre sur son support avec mon aide, je me plie dessus et tombe en avant, ma tête vers son entrejambe. Ma bouche ouverte coiffe l'emplacement de son gland. Alors que je pensais qu'il allait me repousser, je le sens repousser la poche de mon jock et prendre ma bite dans sa bouche et rapidement dans sa gorge. Il me surprend car avec nos deux " petits frères ", il s'était montré plus que dominant. Finalement il est peut être recto/verso. J'entends Ludovic me dire que les deux jeunes ne vont pas apprécier. Je me redresse, le temps de lui dire qu'ils sont gentils mais là, c'est une urgence à traiter. Ils en profiteront ce soir de leur policier. Sorti de son emballage et vu la profondeur qu'il atteint dans ma gorge j'estime son sexe à 21cm par 6 de diamètre ovale. De mon côté, mes 20x5 sont gonflés à bloc et ma rondelle me démange. Je le laisse trente secondes le temps d'attraper une kpote et un tube de gel. Quand je reviens il n'a pas bougé. Je le couvre, une noisette de gel de part et d'autre et je m'assois sur lui. Ses mains se crispent sur la barre chromée encore chargée de ses poids. Je ne cède rien et m'enfonce sa bite jusqu'à poser mes fesses sur le haut de ses cuisses. Je comprends le plaisir que nos deux jeunes ont pu prendre avec elle. L'ovale de sa bite est très agréable tout comme son gros gland rond qui bute et rebute à chaque passage contre ma prostate. Je m'accroche à la barre juste à côté de ses mains et chevauche cette nouvelle queue. A nos côtés PH et Ludovic sont résignés. Ils nous laissent seuls. Je prends un bon plaisir à pomper cette bite avec mon cul. Ses mains lâchent la barre et viennent serrer ma taille. Il accentue mes descentes et me garde un instant enfoncé avant de me relâcher pour que je puisse remonter. Mes cuisses brulent. Mes quadriceps tétanisent mais je garde le rythme. Encore deux coups de son gland contre ma prostate et j'explose. Je jute jusque dans ses cheveux, zébrant son torse, son cou et ses joues de plusieurs trainées de mon sperme. Je m'écroule sur lui alors que sa queue sort naturellement de ma rondelle. Petite douche rapide et nous montons au 4ème retrouver mes deux " consciences ".
Le déjeuner nous attend. Ils arrêtent de faire la gueule avant le fromage. Ils savent que je suis difficilement raisonnable alors m'empêcher de faire quelque chose, de plus sexuel, c'est de l'ordre de l'impossible ! Au dessert on en rit tous. Ludovic admet que je suis probablement le seul à pouvoir me permettre ça avec son frère sans qu'il n'en veuille à Adam. Il prend la 300C pour chercher son frère et Max. Ils nous font la fête quand ils arrivent au blockhaus. Pas besoin de dire quoi que ce soit, Enguerrand me serre dans ses bras et me demande si j'ai aimé me faire défoncer par Adam autant qu'eux deux. Je lui prends le visage entre mes deux mains, le fixe dans les yeux puis lui roule une pelle entière, exigeante, vorace. Quand nous en terminons, PH conclue tout haut que je suis pardonné. Enguerrand lui répond que de moi, il accepte tout vu la dette qu'il avait. Je fronce les sourcils, pas la peine que notre Flic vienne à apprendre mes " activités " parallèles. Il comprend et change de sujet en annonçant qu'ils n'avaient que deux pauvres petites heures devant eux. Max attire alors Adam et Enguerrand vers le 1er étage. C'est bien 1h50 plus tard qu'ils reviennent sentant tous les trois le savon. Echanges de bisous dans le garage et je reconduis nos deux lycéens chez Max alors qu'Adam nous confirme qu'il passera le mardi soir suivant.
Mardi soir : J'informe les escorts présents c'est-à-dire tous les homos plus Côme et un des " médecins " qu'allait venir un lieutenant de police pour nous enseigner l'art de recevoir un premier coup marquant mais sans conséquence nous permettant de justifier de l'état de légitime défense. Ils sont tous au courant de ce qui est arrivé à Max et Enguerrand et les conséquences policières. Max complète l'information en les avertissant que le type est homo mais qu'il est pour eux deux, donc il les remerciait de ne pas le draguer. Viktor me regarde et dit qu'il ne me croirait pas si je leur dit que j'ai pas baisé avec lui. C'est Enguerrand qui répond à ma place. Il leur dit que moi c'est différent, j'ai tous les droits, ils le savent et d'après ce qu'il a compris, ils sont même d'accord avec lui. Mais ce qu'il accepte de moi, il ne l'acceptera pas forcément d'un autre. Il tempère l'avertissement avec un " mais si ça se passe lors des touzes post sport, ils feront avec ". Le nouveau membre du " club " arrive sur ces entrefaites. Le temps de traverser le garage, il voit qu'un groupe travaille dans la serre autour de la piscine. On monte au 2ème. La pièce est pleine malgré l'extension du rez-de-chaussée.
Il est un peu sidéré du nombre de mec qui s'entraine. Je l'attends alors qu'il se met aussi en jock (que je fourni). Puis on tourne pour lui présenter tous les mecs présents. A ce niveau, c'est François et PH qui s'occupent des lutteurs. Ils viennent nous voir l'un après l'autre pour une présentation plus poussée de leurs enseignements. Dans le monte-charge qui nous descend vers l'autre salle de sport, il me dit que les mecs sont méchamment canons. Il est intrigué par les piercings dorés qui ornent un téton de certains mecs. Je lui dis juste que les lutteurs avaient ôté les leurs pour se battre. Nous entrons dans le jardin. Là aussi nous attend une brochette de beaux mecs. Anthony est en train de coacher les trois nageurs qui utilisent les 3 lignes d'eau. De l'autre côté du bassin, le tatami est dirigé par Jona et Sosthène (la capoeira demande de l'espace !). J'appelle Anthony. Il descend du rebord du bassin. Lui est en maillot. Mais un Aussiebum qui lui remonte le paquet de façon légèrement indécente. Je le présente comme notre responsable diplômé du pôle natation du groupe. Quand je présente Adam, j'annonce qu'il va devoir élaborer un programme intensif pour sa mise à niveau. Protestation de l'intéressé. Mais je lui fais admettre que dans cette discipline il est un peu à la ramasse. Son crawl est désordonné et il a du mal à aligner un km sans s'arrêter deux ou trois fois. Nous rencontrons après les " maîtres " du tatami. Jona l'entretien rapidement sur le sujet principal de sa venue. Je m'aperçois alors qu'Adam est encore meilleur que je ne pensais en combat. Jona n'arrive à le mettre au sol qu'avec ses connaissances estivales. Adam est surpris de se retrouver sur le dos. Il se rétabli d'un coup de rein avant d'aller serrer la main de Jona, impressionné. Il nous demande si le reste de l'équipe est de ce niveau. Jona lui dis que plus ou moins selon les affinités de chacun envers un des sports de base, karaté, krav maga, boxe française ou capoeira. Mais l'apport, depuis la rentrée, des techniques américaines nous a tous transformés en machine très efficace. Avec ce qu'il voit à coté de nous, Adam n'en doute pas. Il me demande si je n'ai pas d'autres étudiants en médecine dans mon équipe car il se rappelle maintenant qu'il a été en intervention aux urgences de l'hôpital pour trouver un " perturbateur " déjà maitrisé et maintenu à terre avec le genre de clé qu'il venait de voir ici. J'avoue qu'il doit y en voir maintenant presque une demi-douzaine à s'entrainer avec nous.
Je le laisse avec Jona. Avec lui, il détermine les façons de prendre un coup marquant sans dégâts. Je retrouve Anthony et fait le point avec lui des capacités à nager d'Adam. Il me dit qu'il veut le voir à l'oeuvre. L'entrainement du premier trio arrivant à sa fin, il appelle Adam. Je lui trouve un maillot " Funky trunks " qui moule ses fesses et son paquet idéalement. Anthony le pousse dans l'eau et le fait nager. Je regarde. La brasse coulée est correcte mais la coulée courte. Le crawl est peu efficace avec des battements de pied frénétiques. Le dos crawlé est de même quant au papillon, inconnu au bataillon. Anthony descend dans le bassin et commence par diriger son crawl. Si Adam n'est pas un très bon nageur, il sait écouter les conseils même s'ils viennent de mecs plus jeunes que lui. Une heure plus tard, il a vraiment fait des progrès. Lui-même est content du résultat. Max et Enguerrand déboulent pour le tirer de l'eau et l'embarquer sous les douches. La prise en commun ne l'étonne pas mais comme nous sommes nombreux à passer, la promiscuité est grande et il ne peut s'empêcher de bander ! Les habitués sourient. Avec le temps ce genre de frottements ne les fait en général plus bander. Une " prise " en main par un collègue, oui !
Max tire Adam coté piscine et Enguerrand suit. On les laisse mais nous entendons rapidement les bruits caractéristiques d'une chaude baise. Coté douches, ça se met à bander ferme. C'est parti pour une touze improvisée. Sans même se sécher, les kpotes sortent des pochettes, se déroulent sur des bites avant de se retrouver bien au chaud de culs accueillants. La kpote que je porte fait connaissance avec les muqueuses internes de Sosthène. J'ai toujours un faible pour les derniers arrivés ! Ça prend peu de temps pour voir apparaitre la tête de nos trois tourtereaux. Adam m'avouera plus tard n'avoir jamais baisé qu'avec 3 mecs en même temps au maximum. Là, les 20 mecs présents sont plus craquants les uns que les autres même s'il a un faible pour les deux plus jeunes.
Je vois Enguerrand le pousser dans les bras de Sosthène. Je l'entends aussi qui lui demande s'il s'est déjà fait un black. Je les laisse avant d'entendre la réponse mais je vois mon petit beau-frère préparer la rondelle noire alors que son policier d'Adam se fait pomper grave par la bouche qui va avec. Je joue avec quelques-uns de mes escorts. J'ai rarement à chercher qui veut faire l'amour avec moi. Je tâte du cul de Simon, Nikolaï et de Clément, me prend dans le mien les bites de Jona et de João, bon début de soirée finalement. Quand je sors de mes plans, je trouve Adam en train de sodomiser Sosthène tout en se faisant rouler des pelles par Max et c'est Enguerrand qui se fait sucer. Puis ce dernier cède à l'appel de la queue de Sosthène. Il se glisse à reculons sous son ventre et je le vois grimacer alors que sa rondelle se fait élargir par le gros sexe black. L'empilement et beau à voir, blanc noir blanc. L'inverse d'un Oréo !
En attendant je vois qu'Adam prend son pied. Quand Max ajoute à son mélange de langue une stimulation de ses tétons, il fait exploser le lieutenant. Il est même obligé de le retenir pour qu'il ne bascule pas en arrière sous la violence de son orgasme. Dessous j'entends Enguerrand qui gémis puis Sosthène qui lui gueule dans les oreilles alors qu'il remplit sa kpote. On se retrouve tous pour un nouveau passage sous les douches. Les hormones se sont calmées et c'est par quelques claques dans le dos qu'Adam est confirmé dans le groupe. A voir le sourire qui lui barre le visage, ç'a l'air de lui plaire. Malgré ses 28ans, il ne dépare pas. Seul son surplus de poils le différencie. Il se sent suffisamment à l'aise pour prendre ses deux amoureux dans ses bras et leur rouler des pelles devant tout le monde. C'est lui qui me demande s'il pourra revenir " travailler " avec nous. Je n'ai pas le temps de donner ma réponse que fuse de toute part des " oui ", des " ce serait bien j'ai pas pu lutter avec lui ", d'Anthony " c'est indispensable vu ton niveau de nage " et comme ça d'à peu près tous les participants. J'attends que tout le monde y soit allé de son argument pour lui dire que c'était ok tant que ce qu'il voit ici n'en sort pas. Sans être encore au fait des " à cotés " des prestations de ma société, il comprend que ce n'est pas le genre de vie qui le fera grimper dans la hiérarchie.
On fait donc comme ça et il est invité à revenir.
Le soir même je reçois son dossier par l'intermédiaire de DGSE. Il est issu d'une famille de juges, d'avocats et de policiers. Orphelin de père, il lui reste sa mère juge. Une soeur plus jeune et un frère de même. Elle fait des études de droit direction avocat, le plus jeune est totalement hors de ce circuit aux beaux-arts à Paris. Le garçon est bien noté. Il a fait ses premières années de terrain dans le 93 avant d'être envoyé dans cette capitale régionale. Etudes de droit brillantes, concours de commissaire passé trop jeune pour le devenir aussitôt (écrit réussit), plus de bons résultats à son école de police il est sur un chemin qui le mènera rapidement à ce poste. Le dossier " supplémentaire " note qu'il est gay, peu de rencontre, pas d'attaches ni de compromissions. Je renvoi un message pour savoir si le fait qu'il se colle à notre " groupe " risque d'être noté dans son dossier. La réponse est immédiate, " c'est de mon ressort donc non cela ne figurera pas "
Ouf je m'en serais voulu de plomber sa carrière.
Jardinier
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Joyeux putain de Noël
Nombre de mots : 1 876
Résumé : M. Szarka prend sur lui pour faire une série de livraisons douloureusement gênantes de cadeaux.
Notes de l'auteur original : Je ne sais pas, c'est juste arrivé.
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Noël manquait à M. Szarka.
Ou peut-être plus précisément, l’idée de Noël manquait. L'assaut des mauvaises reprises de musique, les conneries kitsch dans les vitrines, la fausse gaieté – cela l'irritait autant que n'importe qui. Mais les lumières colorées du centre-ville la nuit, le rare vent froid sur ses lèvres, l'odeur pas tout à fait réelle du pin, ces choses étaient des souvenirs sensoriels qui n'étaient pas si facile d'oublier. Le Manoir Becile était une crypte émotionnelle dans le meilleur des cas, mais cela devenait de plus en plus glacial et amer à l'approche des vacances. M. Szarka ne pensait pas que les robots aient jamais organisé une véritable fête de Noël, et ce n'était pas lui qui irait accrocher des décorations et chanterait des chants de Noël, mais…
Acheter des cadeaux était la partie la plus facile.
Les distribuer était un exercice d’autoflagellation.
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« Qu'est-ce que c'est. »
« Euh. »
The Skull regarda M. Szarka avec impatience. Il n'avait aucun endroit particulier où aller, mais il y avait peu de raisons pour lesquelles Szarka devait l'approcher et il n'aimait aucune d'entre elles. Il était possible que The Jack ait besoin d'entretien et qu'il devait le restreindre. Ou bien Szarka avait besoin d’argent et ne pouvait pas en obtenir de Hare. Ou autre chose d'ennuyeux. Ainsi, lorsque l'ingénieur tendit la main vers un sac à ses pieds et en sortit quelques pelotes de laine, The Skull ne savait pas trop quoi en penser.
« Qu’est-ce que c’est ? »
« Pour, euh, tricoter ? Du crochet ? Peu importe ce que tu, euh, fais.
« Quoi, tu veux quelque chose ? »
« Quoi ? Non, je veux dire, pas vraiment. Je veux dire, tu pourrais, je ne refuserais pas, c’est juste, euh. » M. Szarka lui poussa presque les pelotes dans les mains. « Je pensais que tu pourrais avoir besoin de plus. » Il y eut une pause, puis Szarka fit claquer sa langue et commença à fouiller dans la poche de son manteau. « Bon sang, j'avais presque oublié, ça aussi, euh… » Il laissa tomber une petite boîte noire sur les pelotes et tendit la pile à The Skull.
Le grand robot regarda dans la boîte. C'était de la colophane.
« Hare a dit que tu avais une contre-basse stockée quelque part. Je ne… peut-être que tu ne joues plus, mais je me suis dit, tu sais, si tu le voulais. » M. Szarka fit une pause. « Je vais y aller. » Et il attrapa le sac et partit dans le couloir.
The Skull plaça les pelotes sous son bras et prit la boîte de colophane dans une main. Pensivement, il la retourna encore et encore.
Il n'avait pas joué depuis très longtemps.
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« Locksmith. Euh. »
Locksmith tourna lentement la tête pour regarder M. Szarka, se tenant debout maladroitement dans l'embrasure de la porte avec un sac dans une main. « Oui, mon bon ingénieur ? On dirait que vous avez quelque chose de désagréable à dire. »
« Non, ce n'est pas désagréable », dit lentement M. Szarka en se grattant la nuque. « Juste, euh. Inhabituel. »
« Mon Dieu. Notre cher Szarka aurait-il été possédée par l’esprit des fêtes ? »
« Je suppose qu'on pourrait dire ça », admit M. Szarka avec un haussement d'épaules, avant de sortir un livre. Il fit quelques pas dans la pièce et le tendit à Locksmith, dont les "lunettes" brillèrent alors qu'il le regardait. 1001 livres à lire avant de mourir.
« C'est présomptueux de votre part de penser que je vais mourir. »
« Quoi ? Quoi, non, ce n’est pas… tu aimes écouter des livres audios, n’est-ce pas ? »
« Correct. »
« Alors j'ai pensé qu'il y en avait peut-être quelques-uns que tu aimerais découvrir. » Locksmith lui jeta un coup d'œil. « Ou peut-être que vous les avez tous lus, je ne sais pas. Voici le reçu du cadeau. »
« Comme c'est attentionné de votre part. »
M. Szarka s'en alla. Locksmith le regarda partir, tapotant du doigt le bout de sa canne, puis se concentra sur l'index du livre.
« Kafka sur le rivage, hum… »
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M. Szarka n'avait pas vraiment offert son cadeau à Jack : il avait ouvert la porte de la chambre du robot, avait jeté le cadeau dedans et avait refermé la porte. Il se sentait plutôt mal ; Jack méritait mieux que d'être traité comme un animal sauvage dans un zoo. Mais il était dangereux, et Szarka ne croyait tout simplement pas à un miracle de Noël qui le transformerait à nouveau en ce petit automate gentil et timide qu'il était censé avoir été assez longtemps pour accepter un cadeau ordinaire.
Le sac avait atterri dans les décombres de la chambre de The Jack et était tombé, renversant une partie de son contenu. Le rire de Jack devint plus doux alors qu'il se tournait pour le fixer, le regardant sous une frange tachée de suie. Il se releva en tremblant et s'avança vers lui, non pas en ligne droite mais en biais, comme s'il risquait de le mordre. Lentement, il avança un pied et posa le bout de sa chaussure sur ce qui était sorti du sac. Cela explosa d’une manière très satisfaisante.
The Jack arracha ensuite le reste du papier bulle du sac avec ses dents, le répandant à travers la pièce et plongea dessus avec une joie maniaque. M. Szarka l'écouta en s'éloignant et pensa que peut-être… eh bien, c'était probablement juste son imagination mais son rire sonnait un peu plus léger.
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Il s'agenouilla devant la porte et plissa les yeux vers la fissure en bas. Il passa ses doigts dessus et jura ; trop mince. D'accord, d'accord, d'accord.
« Euh, Dee ? »
Silence.
« Je ne suis, euh. Je vais ouvrir la porte. Je n'entre pas. D'accord ? »
Il y eut un craquement. M. Szarka serra les dents, saisit la poignée de la porte et l'ouvrit lentement.
Une main en tissu blanc jaillit jusqu'au coude et se jeta vers lui, le grattant de ses doigts contondants. Szarka cria de surprise, frappant la main loin de ses yeux. Il s'esquiva et brandit l'étui du vinyle comme un bouclier. La main de Dee se referma sur du vide, puis s’abaissa, cherchant, et parcourut l’étui. Elle l'attrapa et l'arracha brutalement des mains de Szarka, disparaissant dans la pièce. Szarka claqua la porte, se retrouvant avec sa joue appuyée contre la porte. Il y eut un remue-ménage à l’intérieur.
« Je prends ça ! » cria Dee de l'autre côté de la porte fermée.
« D'accord ! » Szarka répondit. « C'est pour toi, donc ça va ! »
« Je vais le casser ! Vous ne le reverrez plus jamais ! »
« C'est bon ! C'est à toi ! »
« Je déteste ça, foutu fils de... attends, c'est Ma Rainey ? »
« … Oui ? »
Dee fit une pause. M. Szarka pouvait l'entendre marmonner pour elle-même.
« Ouais, je, euh, si la platine là-haut fonctionne toujours, euh– »
« Ferme-la ! »
« D'accord ! »
« Tu vas regretter de m'avoir donné ça ! »
« Je… ouais. »
« Je vais le jouer jusqu'à ce que tes oreilles saignent ! Et quand tu viendras le reprendre, je t’arracherai les yeux. »
« Ouais, tu sais, je vais te laisser jouer ton disque, et euh, ne jamais revenir. Tu m'as eu, j'aime vraiment mes yeux, euh. Ouais. C'était agréable de discuter. »
M. Szarka descendit rapidement les escaliers et tourna dans le couloir, sortant en tremblant une nouvelle cigarette de sa poche. Le pire était passé. D'accord. D'accord.
Il y eut un léger grondement tandis que Dee traversait le grenier. Il y eut une légère égratignure d'aiguille sur le vinyle, et le blues commença à couler dans les escaliers. Dee ferma ses yeux de verre et se balança sur son support.
Plus tard, dans un accès de colère, elle pourrait très bien fracasser le disque contre le mur et le briser entièrement. Mais pour l’instant, elle serra l’étui contre sa poitrine et laissa la musique la bercer.
-
« Eh bien, eh bien. Le petit assistant du Père Noël a été occupé aujourd’hui, n’est-ce pas ? »
M. Szarka leva les yeux au ciel. Hare avait les pieds sur la table de la cuisine et le regardait paresseusement.
« Ouais, ouais. C'est stupide, je le sais. »
« Awww, l'autodérision n'est pas très Noël, Szarka. Où est ta joie ? Tu vas gâcher mes vacances. »
M. Szarka lança son cadeau au visage de Hare. Il l'attrapa avec une bouffée de fumée, les yeux brillants, et le retourna pour l'examiner. Quelque chose comme un rire échappa au vieux robot.
« Des gants. Comme c’est attentionné. »
« Ouais, eh bien. Les tiens ont des trous. »
Hare plia les doigts, comme s'il les voyait pour la première fois. « Eh bien, bon sang, St. Nick l'a remarqué. »
« Ça se peut. » Szarka leva les mains. « Ils ont des coutures doubles. J’espère qu’ils dureront, parce que je ne t’en achèterai pas une autre paire. Cela a été misérable, d'accord ? Et je comprends que vous aimez être difficiles, mais bon sang. C’est comme si vous étiez allergiques à la gentillesse. » Il se dirigea vers le réfrigérateur et en sortit un carton. « Je prends le lait de poule et je vais me coucher. Bonne putain de nuit. »
« Ho, ho, ho, Joyeux Noël, Szarka. »
M. Szarka sortit en trombe de la pièce. Il ne remarqua pas que Hare avait enlevé ses vieux gants et passait ses mains dans les nouveaux, remuant ses doigts.
« Ce n'est pas un mauvais choix, » dit-il doucement. « Pas mauvais du tout. »
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La maison était sombre, mais M. Szarka connaissait le chemin vers ses quartiers. Il ferma la porte de sa chambre derrière lui et s'y appuya, penchant la tête en arrière et en soupirant. Plus jamais ça, pensa-t-il. Même pas pour sauver ma vie. Désolé, maman. Je suppose que je n'ai jamais compris l’esprit de Noël.
Il but une gorgée de lait de poule et traversa la pièce, connaissant les marches, un, deux, trois, quatre – il heurta quelque chose avec son pied. Szarka fronça les sourcils, tendant la main vers la lampe et l'allumant. Il laissa tomber le carton de lait de poule sur la table d'appoint et s'agenouilla près de son lit, tendant la main en dessous. Ce qu’il a sorti était enveloppé dans du papier journal et scotché maladroitement. Il pouvait sentir que c'était doux sous l'emballage ; pas très lourd. Les lèvres de Szarka se serrèrent. Il pouvait deviner. Oh, il pouvait deviner. Il n’arrivait tout simplement pas à y croire.
Il déballa le cadeau et rit.
« Des chaussettes. Je serai damné. »
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Et cette nuit-là, le blues chantait depuis le grenier, et doucement, depuis le sous-sol, une contre-brasse le rejoignit.
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Blairon Headcanon :
Que se passe-t-il si Ron savait coudre ? Je veux dire, ce n’est pas délirant : sa mère sait tricoter, j’ai envie de croire qu’elle sait coudre aussi, et elle aurait eu l’envie d’apprendre à Ginny parce qu’elle pense qu’elle devrait savoir faire ça (Molly est traditionnaliste malgré elle, mais elle apprendrait à n’importe lequel de ses garçons qui en manifesteraient l’envie)
Maintenant on a Ron, qui a à peine un an de plus que sa sœur et qui est souvent exclu des jeux de ses frères car ils sont tous bien plus grands que lui et que les jumeaux sont toujours collés ensemble. Il aurait assisté aux leçons de sa mère avec Ginny et, contrairement à Ginny, aurait adoré ça. Pourquoi ? Car 1) il fait plaisir à sa mère 2) il s’occupe 3) il est patient. Bref, tout ce que n’est pas Ginny, qui a détesté devoir apprendre à coudre alors qu’elle n’a pas le droit d’aller sur un balais.
Vous l’avez ? Alors songez maintenant à Blaise, qui adore dessiner et qui adore la mode… mais qui ne saurait pas faire un ourlet pour sauver sa vie. Il dessine ses vêtements de rêve, songeant avec ironie qu’il a assez d’argent pour acheter n’importe quel vêtement mais que les seuls qu’il veut ce sont ceux qui n’existent que dans sa tête. Il se dit qu’un jour, il sera créateur de vêtements. Il embauchera un couturier et enfin, enfin il pourra porter les vêtements qu’il voulait et avoir son propre style.
Maintenant, imaginez un Ron Weasley en formation d’auror et un peu perdu se promener dans un parc, réfléchissant à sa vie. Imaginez-le passer derrière un Blaise Zabini très concentré à dessiner et imaginez Ron jeter un coup d’œil au dessin avant de se stopper net. Durant tout Poudlard, Ron a recoud les vêtements de ses amis, a appris à Harry et Luna comment coudre, a même réalisé le vêtement rêvé de Hermione : une jupe avec une énorme poche pour pouvoir mettre un livre. Il adorait coudre mais il n’avait pas assez d’imagination pour coudre de lui-même quelque chose d’original. Il préférait largement faire ce qu’on lui demandait et s’appliquer à ce que ce soit bien réalisé. Et là, alors qu’il était en train de se demander s’il ne faisait pas la plus grande erreur de sa vie en s’engageant dans les aurors, il voit Blaise Zabini dessiner des vêtements qui n’existaient pas encore. Des choses originales et excitantes, des choses qui ne demandaient qu’à être réalisées. (Par sa main.)
Je ne sais pas comment ils se sont abordés, je sais en revanche comment ils sont tombés amoureux : dans l’effervescence de la création, quand Ron créait et que Blaise voyait enfin ses idées réalisées. Blaise essayait, corrigeait, réinventait pour avoir la pièce parfaite. Puis Ron en cousait cinq ou dix et Blaise les revendait dans un coin de la boutique de Pansy et Luna (une boutique qui n’avait rien à voir avec les vêtements, elles vendaient des potions médicinales et des pierres)
Quand Blaise avait commencé à se faire un nom, il se battit bec et ongles pour être embauché comme styliste. Il finit par être embauché par la gazette, ce qui lui permit d’habiller toutes les stars qui allaient se faire interviewer par ses vêtements…et comme l’essayer c’est l’adopter, lesdites stars allaient ensuite le voir pour d’autres vêtements. Blaise acheta des locaux pour faire son propre magasin et supplia Draco de penser la décoration intérieure suite à la magnifique décoration que le blond avait lui-même choisie à son mariage et que Blaise, évidemment invité au-dit mariage, avait adoré.
Ron et Blaise avaient trouvé leur dynamique dans le travail mais ils peinaient à séparer pro et perso. Tout tournait toujours autour de l’entreprise fleurissante qu’ils étaient en train de créer. Ou plutôt, que Blaise était en train de créer. Ron se sentait à nouveau dans l’ombre, inutile, remplaçable. Tout le monde pouvait faire ce qu’il faisait. Blaise n’avait qu’à claquer des doigts et il trouverait un autre couturier en moins de temps qu’il n’en faut pour que Draco insulte Harry dire Quidditch.
Ce fut précisément le mari de Draco qui mit les points sur les i en prenant Blaise entre quatre yeux. Harry Potter-Malfoy connaissait son meilleur ami par cœur et il ne voulait pas que Blaise refasse sans le vouloir les mêmes erreurs qu’Hermione et lui avaient déjà faites sans le savoir. Blaise ainsi mit au courant et à moitié menacé de mort s’il ne changeait pas immédiatement la situation, Ron Weasley eut la surprise de se faire inviter au restaurant et de parler de tout, sauf de vêtements.
Petit à petit, ils trouvèrent leur rythme et Ron se sentit aimer pour lui-même et non pour ce qu’il savait faire. Ils adoraient aller à des restaurants sorciers très luxueux et aux pizzerias moldues beaucoup moins luxueuses. Ils aimaient les soirées Quidditch et adoraient aller regarder les matchs de Ginny. Ils détestaient se balader mais adoraient faire du kayak. Ils aimaient voyager en all inclusive et aller au buffet à volonté cinq minutes avant que ça ne ferme. Ils aimaient jouer au tennis ensemble et ils initièrent les Potter-Malfoy afin de pouvoir jouer en équipe. (ils le regrettèrent immédiatement car à partir de ce jour, ils ne gagnèrent plus jamais un match. Harry et Draco étaient les plus gros try-hardeurs de l’univers)
R B Z devint une marque fleurissante et populaire pour la qualité de ses vêtements et l’originalité de son style. Blaise put enfin s’habiller comme il le voulait, Ron avait un métier qu’il aimait, Draco devint l’effigie de la marque et tant qu’à faire, Blaise embaucha Harry comme photographe. La vie n’était pas si mal.
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Character concept
Il ferme les yeux, détourne la tête.
LE SPHINX — Inutile de fermer les yeux, de détourner la tête. Car ce n'est ni par le chant, ni par le regard que j'opère. Mais, plus adroit qu'un aveugle, plus rapide que le filet des gladiateurs, plus subtil que la foudre, plus raide qu'un rocher, plus lourd qu'une vache, plus sage qu'un élève tirant la langue sur des chiffres, plus gréé, plus voilé, plus ancré, plus bercé qu'un navire, plus incorruptible qu'un juge, plus vorace que les insectes, plus sanguinaire que les oiseaux, plus nocturne que l'œuf, plus ingénieux que les bourreaux d’Asie, plus fourbe que le coeur, plus désinvolte qu’une main qui triche, plus fatal que les astres, plus attentif que le serpent qui humecte sa proie de salive ; je sécrète, je tire de moi, je lâche, je dévide, je déroule, j’enroule de telle sorte qu’il me suffira de vouloir ces nœuds pour les faire et d’y penser pour les tendre ou pour les détendre ; si mince qu'il t'échappe, si souple que tu t'imagineras être victime de quelque poison, si dur qu'une maladresse de ma part t'amputerait, si tendu qu'un archet obtiendrait entre nous une plainte céleste ; bouclé comme la mer, la colonne, la rose, musclé comme la pieuvre, machiné comme les décors du rêve, invisible surtout, invisible et majestueux comme la circulation du sang des statues, un fil qui te ligote avec la volubilité des arabesques folles du miel qui tombe sur du miel. ŒDIPE — Lâchez-moi ! LE SPHINX — Et je parle, je travaille, je dévide, je déroule, je calcule, je médite, je tresse, je vanne, je tricote, je natte, je croise, je passe, je repasse, je noue et dénoue et renoue, retenant les moindres nœuds qu'il me faudra te dénouer ensuite sous peine de mort ; et je serre, je desserre, je me trompe, je reviens sur mes pas, j'hésite, je corrige, enchevêtre, désenchevêtre, délace, entrelace, repars ; et j'ajuste, j'agglutine, je garrotte, je sangle, j'entrave, j'accumule, jusqu'à ce que tu te sentes, de la pointe des pieds à la racine des cheveux, vêtu de toutes les boucles d'un seul reptile dont la moindre respiration coupe la tienne et te rende pareil au bras inerte sur lequel un dormeur s'est endormi.
(Jean Cocteau, La Machine infernale, 1934)
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Un atelier tricot
Il était une fois un atelier tricot. C’est sa cheffe le lui a imposé, alors elle n’a pas le choix, elle doit y aller, quand bien même elle n’en a pas du tout envie. Se retrouver au milieu de vieilles mémés et leur eau de cologne rancie à tricoter pendant trois heures une écharpe gratteuse qu'elle sait très bien qu’elle ne portera pas, merci mais non merci. Mais, elle n’a pas le choix. C’est sa cheffe et elle doit lui obéir en allant à ce fichu atelier. Et là quand elle arrive, surprise. Pas des vieilles mémés mais des jeunes de son âge, cool, fringués qui n’ont à première vue rien de bizarre. Mis à part leur participation à cet atelier. Discrètement, elle se trouve une place, se force à sourire à son camarade de table et essaie de trouver de l’intérêt à l’activité qu’on lui propose. Et finalement ce sont les bobines et les aiguilles qui ont raison sur elle. Au bout d’une heure, il semble que la passion du tricot l’ait attrapée elle aussi. Elle éprouve une vraie satisfaction à voir le vêtement se créer petit à petit sous le simple mouvement de ses bras et en plus elle ne se débrouille pas si mal que ça ! Aussi se sent-elle étrangement plus détendue qu’à son arrivée. La faute au tricot ou à l’atmosphère conviviale qui se dégage de l’atelier. Les autres participants sont des plus sympathiques et d’aucuns n'hésitent à l’aider à chaque fois qu’elle s’emmêle et s’embrouille avec ses boucles et ses mailles. À la fin de la séance, elle part gaiement boire un verre avec eux, finalement bien contente que sa cheffe lui ait forcé la main. Quel beau pied de nez à ses idées reçues qu'elle vient de mettre ! Une belle victoire contre ses préjugés ! Comme quoi le tricot peut bel et bien être une joyeuse activité pour tisser du lien et s’ouvrir davantage aux autres.
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''Terre Sainte'', vraiment ?
Après les lignes écrites hier, il ne m'est pas possible de passer à côté du 'énième' chapitre de la version moderne de la Guerre de Cent ans qui, le progrès technologique aidant, se déroule dans nos salons et nos chambres à coucher. Tant de fausses analyses ont été déversées depuis une semaine sur les victimes (consentantes, souvent, hélas !) des chaînes dites ''main stream'' qu'Il ne va pas être facile d'échapper aux lieux communs, aux clichés et aux fausses évidences (sans oublier les bobards auxquels nos politiques et nos organes de presse nous soumettent... Mais je vais essayer de me libérer de cette fausse impression d'honnêteté qu'on appelle ''le direct''...
1 - Il est inutile de rappeler les faits : depuis samedi dernier, les chaînes tournent en boucle sur des images épouvantables et, comme toujours, sur les explications biaisées de nos grands hommes si petits, sur des commentaires d'images qui s'en passeraient bien, tant elles sont terribles... et aussi sur l'engagement physique digne d'admiration de quelques jeunes femmes (pour la plupart ravissantes, ajoute le macho qui sommeille en moi), qui se révèlent comme de vraies journalistes, elles, et de superbes informatrices (NB : pourquoi ne vont-elles pas plus souvent en Ukraine ou en Arménie? On saurait, enfin, ce qui s'y passe, au lieu d'être soumis au tir à répétition en forme de psittacose de Pujadas et des experts en désinformation qui rendent LFI in-regardable !). Et inutile, aussi, de revenir sur le bilan, atroce déjà et qui risque de devenir cauchemardesque dans les jours qui viennent, des deux côtés, cette fois : nous sommes dans le royaume des grands chiffres !
2 - Devant les images et les récits, il m'est impossible de ne pas penser à un ouvrage –dire un ''brûlot'' serait plus précis-- dont je vous ai souvent parlé dans ce Blog : ''La Gestion de la barbarie'', qui est le livre de chevet des djihadistes, des terroristes et des islamistes lorsqu'ils deviennent fous : leur haine féroce pour tout ce qui n'est pas ''eux'' s'appuie sur une lecture officielle du Coran qui précise clairement que n'a droit au qualificatif d'Homme qu'un ''croyant''. Les autres, tous les autres humains à qui on nie ce titre, qu'ils soient chrétiens, juifs, athées, animistes, shintoïstes..., ne sont bons qu'à (ou doivent être) tués, ''juste parce que'' ... ou réduits en esclavage pour les deux premiers, en tant qu'appartenant à une ''religion du Livre''.
3 - Il faut bien comprendre qu'un esprit simple, endoctriné, façonné ''de traviole'' pendant toute sa courte existence dans ce qui est la plus grande prison à ciel ouvert du monde, conçue et imaginée par le Hamas mais maintenue en l'état par Israël (trop content !) finit par se sentir libre d'enlever, torturer et (pardon) tuer avant de pisser dessus... des ''choses'' qui ne sont pas des humains (des insectes ? des animaux ? des ''machins'' ?) puisque le Livre sacré le dit, mais qui sont des ennemis , puisque l'émir du jour l'affirme. Des ''cadres'' bien à l'abri dans leurs beaux hôtels de Téhéran ou de Qatar calculent des plans de Comm' qui vont forcer le monde à demander à Israël d'arrêter –après un ''baroud d'honneur'', le même depuis 40 ans : spectaculaire mais court, pour ne pas faire de ''dégâts collatéraux'' qui pourraient émouvoir certains de nos fournisseurs d'hydrocarbures...Déjà, au nom des otages ''bi-nationaux'', les Chancelleries tricotent, fantasment, et supplient.
4 - Un autre sujet d'étonnement concerne l'occurrence-même de cet événement, mais il relève d'une forme de ''complotisme'' : Israël dispose, de très loin, de la meilleure couverture en matière de Services Secrets, maillage très fin entre les services de la sécurité intérieure, appelés le Shin Beth, la branche du renseignement militaire, dite l'Aman, le renseignement extérieur (le célèbre Mossad), et les forces dites ''spéciales'' de Tsahal, le Sayerot, qui s'appuient sur une communauté séfarade originaire d'Afrique du nord qui parle l'arabe bien mieux que l'hébreu et dont chaque membre trompe facilement n'importe qui quant à son appartenance et son origine...
5 - Qui peut croire une seconde qu'une opération d'une telle importance ait pu être montée, lancée et réalisée sans que le moindre signal ait pu être perceptible par ces armadas de professionnels aguerris ? Il s'agit de plus de mille hommes lourdement armés, de pick-ups par dizaines, de motos plus nombreuses encore, de matériel lourd de destruction du ''Mur''... donc d'une logistique très importante et bien huilée (car elle a parfaitement soutenu les objectifs guerriers). Il va bien se trouver quelqu'un pour s'en étonner et remarquer que cette crise a transformé une dangereuse partition potentielle du peuple d'Israël en un peuple soudé devant l'horreur... la taille de la menace ayant, elle, été sous-évaluée. Il n'est pas interdit de se poser cette question, d'autant que l'Egypte vient de faire savoir qu'elle avait prévenu Israël de la proximité ''d'une action de grande ampleur''.
6 - Reste une question-choc : ''Et maintenant'' ? Des bombes, même en nombre effrayant, n'ont jamais arrêté un mouvement d'idées. Une opération terrestre lourde pose le drame des otages (cent cinquante? plus ? dont combien de multi-nationaux ?), tout comme un nettoyage par le vide --rejeter à la mer (car l'Egypte en crise économique ne va pas vouloir ni pouvoir les accueillir) dans les 2 millions d'arabes, pour la plupart très pauvres (dont un pourcentage conséquent de tueurs prêts à tout)-- ne va pas de soi, et la ''communauté internationale, prompte à déconner, va s'en donner à cœur-joie, dans le genre ''faux bons sentiments''. Décidément, entre l'horreur inracontable vécue samedi, les non-solutions réellement disponibles et la menace du Hezbollah sur le front nord, je n'aimerais pas être un dirigeant israélien, ce soir moins encore que d'habitude !
H-Cl.
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Elle a mis sur l' mur
Au dessus du berceau
Une photo d'Arthur
Rimbaud
Avec ses cheveux en brosse
Elle trouve qu'il est beau
Dans la chambre du gosse
Bravo
Déjà les petits anges
Sur le papier peint
J' trouvais ça étrange
J' dis rien
Elle me font marrer
Ses idées loufoques
Depuis qu'elle est
En cloque
Elle s' réveille la nuit
Veut bouffer des fraises
Elle a des envies
Balaises
Moi, j' suis aux petits soins
J' me défonces en huit
Pour qu'elle manque de rien
Ma petite
C'est comme si j' pissais
Dans un violoncelle
Comme si j'existais
Plus pour elle
Je m' retrouve planté
Tout seul dans mon froc
Depuis qu'elle est
En cloque
Le soir elle tricote
En buvant d' la verveine
Moi j' démêle ses pelotes
De laine
Elle use les miroirs
A s' regarder dedans
A s' trouver bizarre
Tout le temps
J' lui dit qu'elle est belle
Comme un fruit trop mûr
Elle croit qu' je m' fous d'elle
C'est sûr
Faut bien dire s' qu'y est
Moi aussi j' débloque
Depuis qu'elle est
En cloque
Faut qu' j' retire mes grolles
Quand j' rentre dans la chambre
Du petit rossignol
Qu'elle couve
C'est qu' son petit bonhomme
Qu'arrive en Décembre
Elle le protège comme
Une louve
Même le chat pépère
Elle en dit du mal
Sous prétexte qu'il perd
Ses poils
Elle veut plus l' voir traîner
Autour du paddock
Depuis qu'elle est
En cloque
Quand j' promène mes mains
D' l'autre côté d' son dos
J' sens comme des coups de poings
Ça bouge
J' lui dis "t'es un jardin"
"Une fleur, un ruisseau"
Alors elle devient
Toute rouge
Parfois c' qu'y m' désole
C' qu'y fait du chagrin
Quand j' regarde son ventre
Puis l' mien
C'est qu' même si j' devenais
Pédé comme un phoque
Moi j' serai jamais
En cloque
Renaud
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Unique Hand-Knitted Three-Color Blouse This stylish one of a kind hand-knitted blouse features horizontal patterns in black, puce melange, and pearl aqua melange.
Blouse tricolore unique tricotée à la main Ce chemisier élégant, unique en son genre, tricoté à la main présente des motifs horizontaux en noir, mélange puce et mélange aqua perle.
Einzigartige handgestrickte dreifarbige Bluse Diese stilvolle, einzigartige handgestrickte Bluse weist horizontale Muster in Schwarz, Puce-Melange und Pearl-Aqua-Melange auf.
Unieke handgebreide driekleurige blouse Deze stijlvolle unieke handgebreide blouse heeft horizontale patronen in zwart, puce-melange en parel-aqua-melange.
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État de brouillard perpétuel.
Je suis vaisseau coincé dans les glaces de l'Antarctique. Sur le pont, pendant la traversée, l'anarchie de pirates gueulards et saouls, avides de chair fraîche.
On navigue à vue.
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Entre deux mondes, le Cœur s'arrête. Entre deux coups, enfin, il déploie un pont. Le Pont.
Il se traverse d'un souffle. Il scande la marche du cœur comme un tambour de guerre. Il enjambe un gouffre immense dont aucun bruit n'est perceptible. De grands arbres de chaque côté le surplombent.
Le Silence, espace interminable entre battements, blanche pointée qui n'en finit plus, adagio 'avec adage', mais la vie ça tressaute, ça râle, ça pue! et les croque-mort avisés se frottent les mains.
Mon souffle, parti soudainement derriere, dévale ma nuque puis mon dos, se glisse entre mes reins comme un torrent furieux de montagne.
Les deux Vieilles, comme des rouêts devant la Cendre, les deux Vieilles Aiguilles à tricoter de Grand-Mères s'enfoncent inlassablement dans mes yeux.
C'est un larsen.
Burn.
It.
Down.
(2nd pic from The Last Temptation of Christ.)
english below
State of perpetual fog.
I'm a ship stuck in the ice of Antarctica. On the bridge, during the crossing, the anarchy of loud, drunken pirates, eager for fresh meat.
We navigate by sight.
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Between two worlds, the Heart stops. Between two blows, finally, he deploys a bridge. The bridge.
One can cross it with a breath. It punctuates the march of the heart like a war drum. It spans an immense chasm of which no noise is perceptible. Large trees on each side overlook it.
The Silence, endless space between beats, dotted half note that never ends, adagio "avec adage", but life jumps, it rattles, it stinks; the wise undertakers rub their hands.
My breath, suddenly gone behind, runs down my neck then my back, slips between my loins like a furious mountain torrent.
The two Old Women, like wheels in front of the Ashes, the two Old Knitting Needles of Grandmothers tirelessly sink into my eyes.
It's a Larsen.
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🤔❓Comment illustrer l'amour et la justice de Dieu❓
👉 Voici une histoire que ma mère m'a racontée quand j'avais une dizaine d'années.
"Une femme avait un fils qui était menteur et voleur. Elle lui faisait la morale à chaque fois, elle le corrigeait parfois, mais l'adolescent continuait à mentir et à voler.
Exaspérée, elle l'a menacé, la prochaine fois qu'il volerait, de faire chauffer au rouge une aiguille à tricoter et de lui percer la main avec.
Cette menace n'a pas fait longtemps de l'effet.
L'adolescent a recommencé à voler. La mère a mis son aiguille à chauffer dans le poêle.
Lorsque l'aiguille a été bien rouge, la mère l'a prise, l'a approchée de la main de son fils, et, finalement, au lieu de percer la main de son fils, elle s'est percé sa propre main.
L'adolescent a alors compris que sa conduite était très mauvaise, qu'il faisait de la peine à sa mère, qu'il méritait un châtiment et que, par amour, sa mère s'était infligé elle-même ce châtiment."
Dieu agit envers nous comme cette mère. En Jésus, IL prend sur LUI nos fautes, nos péchés et IL subit, à notre place, la condamnation que nous méritons.
Jésus, c'est Dieu qui se fait homme parce que nous, les hommes, nous sommes incapables d'aller vers Dieu. Aussi Dieu, dans son grand amour, a décidé d'aller vers les hommes. Car Dieu est notre créateur et, donc, en quelque sorte, notre Père : nous sommes des enfants de Dieu : IL nous a créés, mais non engendrés. Nous sommes ses fils ou ses filles, sans être biologiquement ses enfants.
(Ne dit-on pas que les disciples d'un maître sont ses fils spirituels ? N'y a-t-il pas une expression arabe qui dit que le voyageur est le fils du chemin ?)
La Bible nous dit que "le salaire du péché, c'est la mort." Or, tous les hommes sont pécheurs et, par conséquent, condamnés devant Dieu.
Pour être réconciliés avec Dieu, nous devons nous placer sous le bénéfice du sacrifice de Jésus. Si quelqu'un le refuse, il se condamne lui-même.
Dieu s'est donc incarné en Jésus. Il est et était pleinement Dieu et IL est devenu également pleinement homme.
Jésus n'est pas arrivé en adulte entièrement constitué, mais IL a suivi la "progression" normale.
D'abord embryon puis foetus dans le ventre de Marie, "mère porteuse", ensuite enfant, adolescent et enfin adulte. Alors, pendant trois ans environ, il a circulé en Judée et en Galilée, guérissant les malades, les boiteux, les sourds et les aveugles..., nourrissant miraculeusement des foules de 4000 à 5000 personnes, ressuscitant des morts (au moins trois selon les récits des évangiles), enseignant les populations et formant des disciples...
Finalement trahi par un de ses disciples, IL S'EST LAISSÉ CONDAMNER par les autorités juives qui ont chargé les Romains de le crucifier (mais c'était dans le Plan de Dieu).
Jésus est, indiscutablement, mort sur la croix. Il a été placé dans un tombeau. Mais trois jour après, IL est ressuscité. Les preuves existent.
👉 Ce qui est remarquable, c'est que tous les détails de cette vie de Jésus ont été annoncés, plusieurs siècles à l'avance, par les prophètes et personne ne peut prétendre que ceux qui ont rapporté l'histoire de Jésus ont pu falsifier les faits.
Jean-Marc Tartar, 2 janvier 2023.
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La coupe dans le textile
Planter, irriguer, cultiver, récolter, égrener, séparer, nettoyer, trier, carder, peigner, filer, tordre, teindre, tisser, couper, coudre, repasser, porter. Depuis des millénaires, ces gestes se répètent sans interruption pour nous vêtir en société, animant la chaîne complexe de la confection textile. De l’ère préindustrielle jusqu'à aujourd'hui, les méthodes évoluent, mais la coupe, étape charnière, demeure au cœur de la création vestimentaire.
Quel rôle joue la coupe sur ce long processus de production ? Nous explorons ici son rôle dans la confection, la valeur qu’elle confère aux vêtements et l'impact que l'industrialisation a pu avoir sur cette étape clé.
Un geste fondateur de la mode Dans l'industrie de la mode, la coupe d'un vêtement désigne la manière dont il est taillé et structuré pour s'adapter à la morphologie humaine. Plus qu'une simple étape technique, elle sculpte la silhouette, modèle le style et détermine le confort de la pièce. De la coupe "ajustée" qui épouse le corps à la coupe "ample" qui libère les mouvements, elle façonne l'allure du vêtement. La construction, quant à elle, repose sur des techniques variées : pinces, plis ou fronces influencent autant l'apparence que le tombé du tissu sur le corps.
Ecole d'apprentissage rue de Babylone (c) Agence Rol
Des prémices ancestrales à l’artisanat textileRemonter aux origines de la coupe textile nous entraîne bien avant l’histoire écrite, il y a environ 300 000 ans, à une époque où les premières peaux d'animaux ou fibres végétales étaient coupées pour se vêtir. Des vestiges plus complexes de tissages apparaissent entre 7 000 et 9 000 ans avant notre ère en Anatolie et dans le Proche-Orient, où des fragments de lin témoignent des premiers usages textiles sophistiqués.
À l’ère pré-industrielle, le tissu avait un tout autre statut dans la société : il était précieux, codifié et rare. Il était toujours au cœur de la vie commerciale, politique, culturelle et intime. Il pouvait parfois être utilisé comme monnaie d’échange. Les fibres avaient même leurs propres routes d’échanges, comme les routes de la soie, du coton, de la laine, des indiennes (tissus imprimés) ou celle des tissus damassés. La lutte pour le contrôle de la route de la soie a agité de nombreux royaumes. A l’image de sa valeur économique et sociale, chaque chute générée par la coupe d’un tissu était soigneusement conservée précieusement gardée et ré-exploitée pour un autre usage.
En –3400 ans avant JC, on découvre en Egypte les premières traces du quilting. Cette technique était utilisée pour fabriquer des vêtements chauds et de protection qui se portaient sous les armures souvent à partir de chutes.
Ce travail minutieux, pratiqué à partir de chutes, est devenu un art universel, à la fois par nécessité économique et comme moyen d'expression pour les artisanes. Cette technique de patchwork est plus diffuse dans des régions du monde ou des périodes précaires de l’histoire. Au-delà de la nécessité économique, elle a été déclinée et est devenue un moyen d’exprimer la créativité et la sensibilité des quilteuses. Plusieurs motifs et techniques propres au quilt patchwork sont apparus tels que crazy quilt ou nine patch.
On trouve encore de multiples techniques artisanales issues de la coupe telles que : le patchwork, l’upcycling, le rug making (fabrication de tapis), le rag weaving (tissage avec chiffons), la broderie et l’appliqué, le furoshiki et le boro (Japon), le yarn making (tricot et crochet avec bandes de tissus), weaving tapestry (le tissage de tapisseries avec chutes) , le kantha (Inde et Bangladesh)...
Ibn Butlân,Tacuinum sanitatis
Quand la révolution industrielle façonne la coupe
L’industrialisation du XIXème siècle bouleverse l’ensemble du processus de production textile. D’une échelle artisanale, le secteur passe à une production de masse, rationalisée et mécanisée. La coupe, autrefois réalisée à la main et sur mesure, est désormais industrialisée. De nouvelles technologies, comme les lames rotatives ou les couteaux électriques, permettent de couper plusieurs couches de tissus à la fois. Plus récemment, des innovations telles que la découpe au jet d'air ou numérique optimisent la gestion des matières premières.
Cette transition vers une production standardisée marque également l’émergence de la mode de masse, accessible au plus grand nombre, et la naissance de la fast fashion. Si elle démocratise l’accès aux vêtements, elle instaure également une logique de surproduction, entraînant gaspillage et pollution. Chaque année, des tonnes de textiles et de chutes sont jetées, illustrant le gaspillage quasi systématique dans l'industrie de la mode. La “mode jetable” systématise le déchet et les décharges textiles à travers le monde.
« L’art du tailleur » de Garsault
Réinventer la coupe pour une consommation plus modérée Face aux dérives du système de surconsommation, des créateurs se tournent vers une mode plus responsable, renouant avec des pratiques ancestrales de réutilisation des matériaux. Martin Margiela, pionnier de l'upcycling, a réintroduit la réutilisation des tissus dans ses collections, notamment avec son célèbre "sock sweater" composé de huit paires de chaussettes. Son approche invite les consommateurs à reconsidérer l'idée même de la coupe, comme un geste conscient et respectueux des ressources disponibles.
Margiela Socksweater
Parmi les maisons de mode qui adoptent des démarches similaires, Hermès se distingue avec son atelier Petit h. Ce département créatif, fondé en 2010, transforme les chutes de cuir, de soie ou d’autres matériaux issus des collections principales en objets uniques. Plutôt que de jeter ou négliger ces précieux restes, Petit h leur redonne vie sous forme de pièces design comme des sacs, bijoux, ou objets de décoration, intégrant ainsi une démarche d'upcycling au sein de la prestigieuse maison de luxe.
De même, la marque Loewe a introduit le Woven Basket, un sac cabas tissé à partir de chutes de cuir récupérées des anciennes collections de la maison. En intégrant des restes de cuir à ce design, Loewe démontre que le luxe peut s’allier à une approche plus durable, tout en valorisant les savoir-faire traditionnels .
D’autres créateurs, à l’image de la marque suisse KAIEM, cherchent à minimiser les déchets textiles en ajustant la coupe à la quantité de tissu disponible. La fondatrice, Kim, développe des patrons utilisant exclusivement des carrés et rectangles pour éviter toute chute. En s'adaptant aux stocks de tissus techniques qu’elle récupère, elle s'inscrit dans une démarche durable et réfléchie, à l'opposé du modèle fast fashion.
Kaim Ams
Marine Serre en a fait sa marque de fabrique. On la présente comme une créatrice engagée, une “éco-warrior�� et une “archéologue du textile” qui ressuscite des textiles à travers un processus créatif. La définition de l'upcycling ou du “vêtement régénéré” par Marine Serre, c’est récupérer des pièces qui ont déjà eu une vie auparavant et en refaire des vêtements. Chez elle, la moitié des pièces sont upcyclées et l’autre moitié réalisées à partir de recyclage de fibres naturelles ou de fin de stock. Cette manière de produire donne des pièces uniques : comment s’adapter à une autre échelle ? Marine Serre parle de créer des processus pour les usines, comme des recettes de cuisine. « Il n’y a rien de plus difficile que de faire de l’upcycling. Cela prend beaucoup plus de temps, et coûte plus cher, ce qui est moins intéressant pour une maison de luxe qui chercherait à faire du profit. »
Matiere Noire, Marine Serre, défilé AW23
La coupe : un geste éthique et créatif
Si la coupe reste un geste technique essentiel, elle devient, à l'ère de la surconsommation, un acte éthique. Elle est le geste qui confère une valeur au vêtement.
D’un savoir-faire artisanal à une production mécanisée, elle est à la fois la clé de la création vestimentaire et un levier pour penser une mode plus durable. Au-delà des tendances, la coupe interroge notre rapport aux vêtements et à leur fabrication, révélant l’urgence d’un changement de paradigme dans l’industrie de la mode.
L’industrie de la mode tente désormais d'industrialiser l'upcycling, une démarche qui soulève des questions fondamentales. Peut-on réellement standardiser une pratique initialement fondée sur la récupération et la singularité des matériaux ? Le processus d’upcycling, en tant qu’approche durable et artisanale, risque-t-il de perdre de sa force créative une fois intégré aux logiques de production de masse ? Alors que la mode cherche à se réinventer, la coupe pourrait bien être à la croisée des chemins, entre innovation industrielle et retour à un savoir-faire respectueux des ressources et des artisans qui le perpétuent.
Fiskars scissors over two centuries
Article écrit par l'équipe d'Itinérance Méditerranée
https://www.instagram.com/itinerance_mediterranee/?hl=fr
https://itinerance.org/
Bibliographie
Le beau pour tous, éditions L'iconoclaste (livre)
Le goût de M #118, Marine Serre (podcast Le Monde par Géraldine Sarratia)
La chronique textile, Le recyclage enfin à la mode (podcast Nova)
Couture apparente, “L’upcycling peut-il réparer la mode?” (podcast par Claire Roussel)
GENERATION REWEAR DOCUMENTARY: Vanish X British Fashion Council
instagram @unserial_clothing
« L’art du tailleur » de Garsault, 1769
Tacuinum sanitatis, Ibn Butlân, vers 1050
Riverblue (trailer), 2017
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