#tricote-a-la-main
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Hand-knitted Sweater in Green Color Hand knitted for you! This is a lovely green hand knitted sweater. Handy, fashion and stylish there isn't a second one! The sweater features lovely six buttons at the bottom.
Pull tricoté à la main de couleur verte Tricoté à la main pour vous ! Il s’agit d’un joli pull vert tricoté à la main. Pratique, tendance et stylé, il n'y en a pas de deuxième ! Le pull comporte six jolis boutons en bas.
Handgestrickter Pullover in grüner Farbe Handgestrickt für Sie! Dies ist ein wunderschöner grüner handgestrickter Pullover. Praktisch, modisch und stilvoll – es gibt keinen zweiten! Der Pullover hat unten sechs hübsche Knöpfe.
Handgebreide trui in groene kleur Handgebreid voor jou! Dit is een mooie groene handgebreide trui. Handig, modieus en stijlvol, er is geen tweede! De trui heeft mooie zes knoopjes aan de onderkant.
#hand-knitted#handmade#handcrafted#sweater#one of a kind#unique#fashion#fashionable#green#female fashion#knitting#unique gifts#tricote-a-la-main#fait-main#fabrique-a-la-main#pull-over#unique-en-son-genre#mode#a-la-mode#vert#handgestrickt#handgemacht#handgefertigt#pullover#einzigartig#modisch#grun#met-de-hand-gebreid#handgemaakt#trui
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Béret romanesque inspiré de « Il était une fois »
Après avoir surfé sur le Web pendant plusieurs heures à la recherche d'un accessoire idéal, j'ai enfin trouvé un modèle gratuit sur Ravelry de Leslie Dalton qui reproduit le béret porté par Mary Margaret/Blanche-Neige dans Il Était Une Fois sur ABC. J’ai tout de suite vu son potentiel : ce n’est pas du cosplay, mais c’est « inspiré par », c’est un peu preppy, et ça peut être très classe, selon le reste de la tenue.
J'ai tout de suite su que ce béret pouvait être un de mes basiques.
Par conséquent, comme il s’agit d’un article de base, je ne me suis pas éloigné de l’original ; je l'ai gardé un blanc neutre. Cela en fait également un article que j’associe à la saison hivernale.
Bien que la conception du câble ait donné un peu d'exercice à mes doigts et quelques gouttes de sueur, je pense que c'est exactement ce qui rend ce chapeau si beau, donc cela en valait vraiment la peine! Ce béret est un article tellement amusant et polyvalent. De plus, en raison de son inspiration originale, cela me donne l’impression d’être une reine de conte de fées… et tout cela pour le prix très abordable du fil blanc récupéré et quelques heures d’efforts tout en regardant (plutôt passivement et inattentivement) la télévision. Cela en valait vraiment la peine.
#béret#chapeau#inspiré par#Leslie Dalton#il était une fois#OUAT d'ABC#tricot#mode#collection de mode#pré automne#2024#romantique#blogueuse de mode#blog mode#mode faite à la main#inspiration#leblogdejennifer
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#Boutons faits à la main pour la couture#Boutons uniques pour l'artisanat#Boutons écologiques#Boutons gravés sur mesure#Boutons de style vintage#Boutons décoratifs colorés#Boutons en bois pour tricoter#Ruban en satin pour les loisirs créatifs#Ruban en gros-grain pour l'emballage cadeau#Ruban en organza pour les mariages#Ruban imprimé pour les décorations#Ruban en velours pour les projets DIY#Collier en perles de rocaille.#Perles de cristal pour la guérison spirituelle#collier de perles long#colliers de perles#Bracelets en perles de rocaille
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sewing vocab list | français - english
verbes
coudre - to sew
couper - to cut
enfiler - to thread
froncer - to gather
installer - to install
marquer - to mark
ourler; faire un ourlet - to hem
repasser - to iron
s'effilocher - to fray
épingler - to pin
adjectives
cousu main - hand-stitched
tissé - woven
noms (fem/masc)
la laine - wool
la manche/la manchette - cuff
une aiguille - needle
une machine à coudre
une paillette - sequin
une pince - dart
une ruche - ruffle
une épingle - pin
le coton - cotton
le tissu - fabric
le tricot - knit fabric
le tulle - tulle
un bouton - button
un fil - thread
un mannequin - mannequin
un modèle - pattern
un mètre ruban - measuring tape
un vêtement - garment
si quelqu'un a les autres mots pour recommender ou des corrections, mets-ils en les comments/tags ou dm moi ^.^
(aussi si vous avez quelques autres thèmes pour une liste, je vais essayer les faire :3)
#frenchblr#french learning#learning french#french notes#french vocab#language learning#french studyblr#french langblr#coudre#vocabulary#vocab list#vocabulaire
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" Il arrive qu'un journal illustré, entrouvert il y a des années, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mémorable. À l'époque où Life était l'hebdomadaire américain par excellence, dans un numéro tourné probablement par une main négligente ( toujours ce qu'on s'attendait à voir : la guerre du Vietnam ou celle de Corée, mêlée à des vedettes de cinéma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la dernière page, réservée d'ordinaire à la "photographie de la semaine", sans référence aux événements d'actualité, élue seulement pour ce que l'image présentait d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'était, en pleine page, un instantané de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu épaisse, sans doute située entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville à talons mi-haut, petit chapeau sûrement acheté dans un grand magasin, sac volumineux, serré sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mûres, et qui contenait à n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santé, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-être un de ces petits carrés de papier de soie imprégnés de produit chimique qui donnent à l'Américain en voyage l'impression de s'être lavé les mains. Une rombière américaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien côtés. Celle-ci était debout devant une mer calme ; une vaguelette léchait le sable à quelques mètres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le déclic, une énorme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identité avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait été une forme, une forme reconnaissable, chérie peut-être, ou détestée, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indifférence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santé ou atteinte de varices ou peut-être d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la société de consommation, s'était d'un seul coup amalgamé à la mer informe. Mrs Smith ( si c'était son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimité. J'ai repensé plusieurs fois à elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-être la seule personne sur la terre à me souvenir qu'elle a été. " M. Yourcenar
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Blairon Headcanon :
Que se passe-t-il si Ron savait coudre ? Je veux dire, ce n’est pas délirant : sa mère sait tricoter, j’ai envie de croire qu’elle sait coudre aussi, et elle aurait eu l’envie d’apprendre à Ginny parce qu’elle pense qu’elle devrait savoir faire ça (Molly est traditionnaliste malgré elle, mais elle apprendrait à n’importe lequel de ses garçons qui en manifesteraient l’envie)
Maintenant on a Ron, qui a à peine un an de plus que sa sœur et qui est souvent exclu des jeux de ses frères car ils sont tous bien plus grands que lui et que les jumeaux sont toujours collés ensemble. Il aurait assisté aux leçons de sa mère avec Ginny et, contrairement à Ginny, aurait adoré ça. Pourquoi ? Car 1) il fait plaisir à sa mère 2) il s’occupe 3) il est patient. Bref, tout ce que n’est pas Ginny, qui a détesté devoir apprendre à coudre alors qu’elle n’a pas le droit d’aller sur un balais.
Vous l’avez ? Alors songez maintenant à Blaise, qui adore dessiner et qui adore la mode… mais qui ne saurait pas faire un ourlet pour sauver sa vie. Il dessine ses vêtements de rêve, songeant avec ironie qu’il a assez d’argent pour acheter n’importe quel vêtement mais que les seuls qu’il veut ce sont ceux qui n’existent que dans sa tête. Il se dit qu’un jour, il sera créateur de vêtements. Il embauchera un couturier et enfin, enfin il pourra porter les vêtements qu’il voulait et avoir son propre style.
Maintenant, imaginez un Ron Weasley en formation d’auror et un peu perdu se promener dans un parc, réfléchissant à sa vie. Imaginez-le passer derrière un Blaise Zabini très concentré à dessiner et imaginez Ron jeter un coup d’œil au dessin avant de se stopper net. Durant tout Poudlard, Ron a recoud les vêtements de ses amis, a appris à Harry et Luna comment coudre, a même réalisé le vêtement rêvé de Hermione : une jupe avec une énorme poche pour pouvoir mettre un livre. Il adorait coudre mais il n’avait pas assez d’imagination pour coudre de lui-même quelque chose d’original. Il préférait largement faire ce qu’on lui demandait et s’appliquer à ce que ce soit bien réalisé. Et là, alors qu’il était en train de se demander s’il ne faisait pas la plus grande erreur de sa vie en s’engageant dans les aurors, il voit Blaise Zabini dessiner des vêtements qui n’existaient pas encore. Des choses originales et excitantes, des choses qui ne demandaient qu’à être réalisées. (Par sa main.)
Je ne sais pas comment ils se sont abordés, je sais en revanche comment ils sont tombés amoureux : dans l’effervescence de la création, quand Ron créait et que Blaise voyait enfin ses idées réalisées. Blaise essayait, corrigeait, réinventait pour avoir la pièce parfaite. Puis Ron en cousait cinq ou dix et Blaise les revendait dans un coin de la boutique de Pansy et Luna (une boutique qui n’avait rien à voir avec les vêtements, elles vendaient des potions médicinales et des pierres)
Quand Blaise avait commencé à se faire un nom, il se battit bec et ongles pour être embauché comme styliste. Il finit par être embauché par la gazette, ce qui lui permit d’habiller toutes les stars qui allaient se faire interviewer par ses vêtements…et comme l’essayer c’est l’adopter, lesdites stars allaient ensuite le voir pour d’autres vêtements. Blaise acheta des locaux pour faire son propre magasin et supplia Draco de penser la décoration intérieure suite à la magnifique décoration que le blond avait lui-même choisie à son mariage et que Blaise, évidemment invité au-dit mariage, avait adoré.
Ron et Blaise avaient trouvé leur dynamique dans le travail mais ils peinaient à séparer pro et perso. Tout tournait toujours autour de l’entreprise fleurissante qu’ils étaient en train de créer. Ou plutôt, que Blaise était en train de créer. Ron se sentait à nouveau dans l’ombre, inutile, remplaçable. Tout le monde pouvait faire ce qu’il faisait. Blaise n’avait qu’à claquer des doigts et il trouverait un autre couturier en moins de temps qu’il n’en faut pour que Draco insulte Harry dire Quidditch.
Ce fut précisément le mari de Draco qui mit les points sur les i en prenant Blaise entre quatre yeux. Harry Potter-Malfoy connaissait son meilleur ami par cœur et il ne voulait pas que Blaise refasse sans le vouloir les mêmes erreurs qu’Hermione et lui avaient déjà faites sans le savoir. Blaise ainsi mit au courant et à moitié menacé de mort s’il ne changeait pas immédiatement la situation, Ron Weasley eut la surprise de se faire inviter au restaurant et de parler de tout, sauf de vêtements.
Petit à petit, ils trouvèrent leur rythme et Ron se sentit aimer pour lui-même et non pour ce qu’il savait faire. Ils adoraient aller à des restaurants sorciers très luxueux et aux pizzerias moldues beaucoup moins luxueuses. Ils aimaient les soirées Quidditch et adoraient aller regarder les matchs de Ginny. Ils détestaient se balader mais adoraient faire du kayak. Ils aimaient voyager en all inclusive et aller au buffet à volonté cinq minutes avant que ça ne ferme. Ils aimaient jouer au tennis ensemble et ils initièrent les Potter-Malfoy afin de pouvoir jouer en équipe. (ils le regrettèrent immédiatement car à partir de ce jour, ils ne gagnèrent plus jamais un match. Harry et Draco étaient les plus gros try-hardeurs de l’univers)
R B Z devint une marque fleurissante et populaire pour la qualité de ses vêtements et l’originalité de son style. Blaise put enfin s’habiller comme il le voulait, Ron avait un métier qu’il aimait, Draco devint l’effigie de la marque et tant qu’à faire, Blaise embaucha Harry comme photographe. La vie n’était pas si mal.
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Character concept
Il ferme les yeux, détourne la tête.
LE SPHINX — Inutile de fermer les yeux, de détourner la tête. Car ce n'est ni par le chant, ni par le regard que j'opère. Mais, plus adroit qu'un aveugle, plus rapide que le filet des gladiateurs, plus subtil que la foudre, plus raide qu'un rocher, plus lourd qu'une vache, plus sage qu'un élève tirant la langue sur des chiffres, plus gréé, plus voilé, plus ancré, plus bercé qu'un navire, plus incorruptible qu'un juge, plus vorace que les insectes, plus sanguinaire que les oiseaux, plus nocturne que l'œuf, plus ingénieux que les bourreaux d’Asie, plus fourbe que le coeur, plus désinvolte qu’une main qui triche, plus fatal que les astres, plus attentif que le serpent qui humecte sa proie de salive ; je sécrète, je tire de moi, je lâche, je dévide, je déroule, j’enroule de telle sorte qu’il me suffira de vouloir ces nœuds pour les faire et d’y penser pour les tendre ou pour les détendre ; si mince qu'il t'échappe, si souple que tu t'imagineras être victime de quelque poison, si dur qu'une maladresse de ma part t'amputerait, si tendu qu'un archet obtiendrait entre nous une plainte céleste ; bouclé comme la mer, la colonne, la rose, musclé comme la pieuvre, machiné comme les décors du rêve, invisible surtout, invisible et majestueux comme la circulation du sang des statues, un fil qui te ligote avec la volubilité des arabesques folles du miel qui tombe sur du miel. ŒDIPE — Lâchez-moi ! LE SPHINX — Et je parle, je travaille, je dévide, je déroule, je calcule, je médite, je tresse, je vanne, je tricote, je natte, je croise, je passe, je repasse, je noue et dénoue et renoue, retenant les moindres nœuds qu'il me faudra te dénouer ensuite sous peine de mort ; et je serre, je desserre, je me trompe, je reviens sur mes pas, j'hésite, je corrige, enchevêtre, désenchevêtre, délace, entrelace, repars ; et j'ajuste, j'agglutine, je garrotte, je sangle, j'entrave, j'accumule, jusqu'à ce que tu te sentes, de la pointe des pieds à la racine des cheveux, vêtu de toutes les boucles d'un seul reptile dont la moindre respiration coupe la tienne et te rende pareil au bras inerte sur lequel un dormeur s'est endormi.
(Jean Cocteau, La Machine infernale, 1934)
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Un atelier tricot
Il était une fois un atelier tricot. C’est sa cheffe le lui a imposé, alors elle n’a pas le choix, elle doit y aller, quand bien même elle n’en a pas du tout envie. Se retrouver au milieu de vieilles mémés et leur eau de cologne rancie à tricoter pendant trois heures une écharpe gratteuse qu'elle sait très bien qu’elle ne portera pas, merci mais non merci. Mais, elle n’a pas le choix. C’est sa cheffe et elle doit lui obéir en allant à ce fichu atelier. Et là quand elle arrive, surprise. Pas des vieilles mémés mais des jeunes de son âge, cool, fringués qui n’ont à première vue rien de bizarre. Mis à part leur participation à cet atelier. Discrètement, elle se trouve une place, se force à sourire à son camarade de table et essaie de trouver de l’intérêt à l’activité qu’on lui propose. Et finalement ce sont les bobines et les aiguilles qui ont raison sur elle. Au bout d’une heure, il semble que la passion du tricot l’ait attrapée elle aussi. Elle éprouve une vraie satisfaction à voir le vêtement se créer petit à petit sous le simple mouvement de ses bras et en plus elle ne se débrouille pas si mal que ça ! Aussi se sent-elle étrangement plus détendue qu’à son arrivée. La faute au tricot ou à l’atmosphère conviviale qui se dégage de l’atelier. Les autres participants sont des plus sympathiques et d’aucuns n'hésitent à l’aider à chaque fois qu’elle s’emmêle et s’embrouille avec ses boucles et ses mailles. À la fin de la séance, elle part gaiement boire un verre avec eux, finalement bien contente que sa cheffe lui ait forcé la main. Quel beau pied de nez à ses idées reçues qu'elle vient de mettre ! Une belle victoire contre ses préjugés ! Comme quoi le tricot peut bel et bien être une joyeuse activité pour tisser du lien et s’ouvrir davantage aux autres.
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''Terre Sainte'', vraiment ?
Après les lignes écrites hier, il ne m'est pas possible de passer à côté du 'énième' chapitre de la version moderne de la Guerre de Cent ans qui, le progrès technologique aidant, se déroule dans nos salons et nos chambres à coucher. Tant de fausses analyses ont été déversées depuis une semaine sur les victimes (consentantes, souvent, hélas !) des chaînes dites ''main stream'' qu'Il ne va pas être facile d'échapper aux lieux communs, aux clichés et aux fausses évidences (sans oublier les bobards auxquels nos politiques et nos organes de presse nous soumettent... Mais je vais essayer de me libérer de cette fausse impression d'honnêteté qu'on appelle ''le direct''...
1 - Il est inutile de rappeler les faits : depuis samedi dernier, les chaînes tournent en boucle sur des images épouvantables et, comme toujours, sur les explications biaisées de nos grands hommes si petits, sur des commentaires d'images qui s'en passeraient bien, tant elles sont terribles... et aussi sur l'engagement physique digne d'admiration de quelques jeunes femmes (pour la plupart ravissantes, ajoute le macho qui sommeille en moi), qui se révèlent comme de vraies journalistes, elles, et de superbes informatrices (NB : pourquoi ne vont-elles pas plus souvent en Ukraine ou en Arménie? On saurait, enfin, ce qui s'y passe, au lieu d'être soumis au tir à répétition en forme de psittacose de Pujadas et des experts en désinformation qui rendent LFI in-regardable !). Et inutile, aussi, de revenir sur le bilan, atroce déjà et qui risque de devenir cauchemardesque dans les jours qui viennent, des deux côtés, cette fois : nous sommes dans le royaume des grands chiffres !
2 - Devant les images et les récits, il m'est impossible de ne pas penser à un ouvrage –dire un ''brûlot'' serait plus précis-- dont je vous ai souvent parlé dans ce Blog : ''La Gestion de la barbarie'', qui est le livre de chevet des djihadistes, des terroristes et des islamistes lorsqu'ils deviennent fous : leur haine féroce pour tout ce qui n'est pas ''eux'' s'appuie sur une lecture officielle du Coran qui précise clairement que n'a droit au qualificatif d'Homme qu'un ''croyant''. Les autres, tous les autres humains à qui on nie ce titre, qu'ils soient chrétiens, juifs, athées, animistes, shintoïstes..., ne sont bons qu'à (ou doivent être) tués, ''juste parce que'' ... ou réduits en esclavage pour les deux premiers, en tant qu'appartenant à une ''religion du Livre''.
3 - Il faut bien comprendre qu'un esprit simple, endoctriné, façonné ''de traviole'' pendant toute sa courte existence dans ce qui est la plus grande prison à ciel ouvert du monde, conçue et imaginée par le Hamas mais maintenue en l'état par Israël (trop content !) finit par se sentir libre d'enlever, torturer et (pardon) tuer avant de pisser dessus... des ''choses'' qui ne sont pas des humains (des insectes ? des animaux ? des ''machins'' ?) puisque le Livre sacré le dit, mais qui sont des ennemis , puisque l'émir du jour l'affirme. Des ''cadres'' bien à l'abri dans leurs beaux hôtels de Téhéran ou de Qatar calculent des plans de Comm' qui vont forcer le monde à demander à Israël d'arrêter –après un ''baroud d'honneur'', le même depuis 40 ans : spectaculaire mais court, pour ne pas faire de ''dégâts collatéraux'' qui pourraient émouvoir certains de nos fournisseurs d'hydrocarbures...Déjà, au nom des otages ''bi-nationaux'', les Chancelleries tricotent, fantasment, et supplient.
4 - Un autre sujet d'étonnement concerne l'occurrence-même de cet événement, mais il relève d'une forme de ''complotisme'' : Israël dispose, de très loin, de la meilleure couverture en matière de Services Secrets, maillage très fin entre les services de la sécurité intérieure, appelés le Shin Beth, la branche du renseignement militaire, dite l'Aman, le renseignement extérieur (le célèbre Mossad), et les forces dites ''spéciales'' de Tsahal, le Sayerot, qui s'appuient sur une communauté séfarade originaire d'Afrique du nord qui parle l'arabe bien mieux que l'hébreu et dont chaque membre trompe facilement n'importe qui quant à son appartenance et son origine...
5 - Qui peut croire une seconde qu'une opération d'une telle importance ait pu être montée, lancée et réalisée sans que le moindre signal ait pu être perceptible par ces armadas de professionnels aguerris ? Il s'agit de plus de mille hommes lourdement armés, de pick-ups par dizaines, de motos plus nombreuses encore, de matériel lourd de destruction du ''Mur''... donc d'une logistique très importante et bien huilée (car elle a parfaitement soutenu les objectifs guerriers). Il va bien se trouver quelqu'un pour s'en étonner et remarquer que cette crise a transformé une dangereuse partition potentielle du peuple d'Israël en un peuple soudé devant l'horreur... la taille de la menace ayant, elle, été sous-évaluée. Il n'est pas interdit de se poser cette question, d'autant que l'Egypte vient de faire savoir qu'elle avait prévenu Israël de la proximité ''d'une action de grande ampleur''.
6 - Reste une question-choc : ''Et maintenant'' ? Des bombes, même en nombre effrayant, n'ont jamais arrêté un mouvement d'idées. Une opération terrestre lourde pose le drame des otages (cent cinquante? plus ? dont combien de multi-nationaux ?), tout comme un nettoyage par le vide --rejeter à la mer (car l'Egypte en crise économique ne va pas vouloir ni pouvoir les accueillir) dans les 2 millions d'arabes, pour la plupart très pauvres (dont un pourcentage conséquent de tueurs prêts à tout)-- ne va pas de soi, et la ''communauté internationale, prompte à déconner, va s'en donner à cœur-joie, dans le genre ''faux bons sentiments''. Décidément, entre l'horreur inracontable vécue samedi, les non-solutions réellement disponibles et la menace du Hezbollah sur le front nord, je n'aimerais pas être un dirigeant israélien, ce soir moins encore que d'habitude !
H-Cl.
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Elle a mis sur l' mur
Au dessus du berceau
Une photo d'Arthur
Rimbaud
Avec ses cheveux en brosse
Elle trouve qu'il est beau
Dans la chambre du gosse
Bravo
Déjà les petits anges
Sur le papier peint
J' trouvais ça étrange
J' dis rien
Elle me font marrer
Ses idées loufoques
Depuis qu'elle est
En cloque
Elle s' réveille la nuit
Veut bouffer des fraises
Elle a des envies
Balaises
Moi, j' suis aux petits soins
J' me défonces en huit
Pour qu'elle manque de rien
Ma petite
C'est comme si j' pissais
Dans un violoncelle
Comme si j'existais
Plus pour elle
Je m' retrouve planté
Tout seul dans mon froc
Depuis qu'elle est
En cloque
Le soir elle tricote
En buvant d' la verveine
Moi j' démêle ses pelotes
De laine
Elle use les miroirs
A s' regarder dedans
A s' trouver bizarre
Tout le temps
J' lui dit qu'elle est belle
Comme un fruit trop mûr
Elle croit qu' je m' fous d'elle
C'est sûr
Faut bien dire s' qu'y est
Moi aussi j' débloque
Depuis qu'elle est
En cloque
Faut qu' j' retire mes grolles
Quand j' rentre dans la chambre
Du petit rossignol
Qu'elle couve
C'est qu' son petit bonhomme
Qu'arrive en Décembre
Elle le protège comme
Une louve
Même le chat pépère
Elle en dit du mal
Sous prétexte qu'il perd
Ses poils
Elle veut plus l' voir traîner
Autour du paddock
Depuis qu'elle est
En cloque
Quand j' promène mes mains
D' l'autre côté d' son dos
J' sens comme des coups de poings
Ça bouge
J' lui dis "t'es un jardin"
"Une fleur, un ruisseau"
Alors elle devient
Toute rouge
Parfois c' qu'y m' désole
C' qu'y fait du chagrin
Quand j' regarde son ventre
Puis l' mien
C'est qu' même si j' devenais
Pédé comme un phoque
Moi j' serai jamais
En cloque
Renaud
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État de brouillard perpétuel.
Je suis vaisseau coincé dans les glaces de l'Antarctique. Sur le pont, pendant la traversée, l'anarchie de pirates gueulards et saouls, avides de chair fraîche.
On navigue à vue.
-
Entre deux mondes, le Cœur s'arrête. Entre deux coups, enfin, il déploie un pont. Le Pont.
Il se traverse d'un souffle. Il scande la marche du cœur comme un tambour de guerre. Il enjambe un gouffre immense dont aucun bruit n'est perceptible. De grands arbres de chaque côté le surplombent.
Le Silence, espace interminable entre battements, blanche pointée qui n'en finit plus, adagio 'avec adage', mais la vie ça tressaute, ça râle, ça pue! et les croque-mort avisés se frottent les mains.
Mon souffle, parti soudainement derriere, dévale ma nuque puis mon dos, se glisse entre mes reins comme un torrent furieux de montagne.
Les deux Vieilles, comme des rouêts devant la Cendre, les deux Vieilles Aiguilles à tricoter de Grand-Mères s'enfoncent inlassablement dans mes yeux.
C'est un larsen.
Burn.
It.
Down.
(2nd pic from The Last Temptation of Christ.)
english below
State of perpetual fog.
I'm a ship stuck in the ice of Antarctica. On the bridge, during the crossing, the anarchy of loud, drunken pirates, eager for fresh meat.
We navigate by sight.
-
Between two worlds, the Heart stops. Between two blows, finally, he deploys a bridge. The bridge.
One can cross it with a breath. It punctuates the march of the heart like a war drum. It spans an immense chasm of which no noise is perceptible. Large trees on each side overlook it.
The Silence, endless space between beats, dotted half note that never ends, adagio "avec adage", but life jumps, it rattles, it stinks; the wise undertakers rub their hands.
My breath, suddenly gone behind, runs down my neck then my back, slips between my loins like a furious mountain torrent.
The two Old Women, like wheels in front of the Ashes, the two Old Knitting Needles of Grandmothers tirelessly sink into my eyes.
It's a Larsen.
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Unique Hand-Knitted Three-Color Blouse This stylish one of a kind hand-knitted blouse features horizontal patterns in black, puce melange, and pearl aqua melange.
Blouse tricolore unique tricotée à la main Ce chemisier élégant, unique en son genre, tricoté à la main présente des motifs horizontaux en noir, mélange puce et mélange aqua perle.
Einzigartige handgestrickte dreifarbige Bluse Diese stilvolle, einzigartige handgestrickte Bluse weist horizontale Muster in Schwarz, Puce-Melange und Pearl-Aqua-Melange auf.
Unieke handgebreide driekleurige blouse Deze stijlvolle unieke handgebreide blouse heeft horizontale patronen in zwart, puce-melange en parel-aqua-melange.
#handknitted#handcrafted#knitwear#blouse#one-of-a-kind#eco-friendly#fashion#female-fashion#tricoté à la main#fabriqué à la main#tricots#chemisier#mode#mode féminine#handgestrickt#handgefertigt#Strickwaren#Bluse#einzigartig#umweltfreundlich#Damenmode#handgebreid#handgemaakt#gebreide kleding#uniek#milieuvriendelijk#vrouwelijke mode
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#Collier en perles de rocaille.#Perles de cristal pour la guérison spirituelle#collier de perles long#colliers de perles#Bracelets en perles de rocaille#Sequins et perles pour broderie#Fils et moulinés pour broderie#Tambours et cadres pour broderie#Aiguilles et ciseaux pour broderie#Tissus et stabilisateurs pour broderie#Logiciels de numérisation de broderie#Boutons faits à la main pour la couture#Boutons uniques pour l'artisanat#Boutons écologiques#Boutons gravés sur mesure#Boutons de style vintage#Boutons décoratifs colorés#Boutons en bois pour tricoter
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Lore entier
Attention ! Ce post contient beaucoup de spoils. Si vous préférez garder le suspense des histoires qui vont être postées, passez votre chemin.
Mais si vous vous en fichez ou avez besoin de références : vous êtes au bon endroit !
Biographies
Hare est un escroc plein d’esprit et avec l'estime de soi d'une coque de cacahuète briése. Il compense en se moquant de tout le monde autour de lui, mais il s’emporte si le même traitement lui est infligé ou si des commentaires sont faits sur ses blessures au visage. Hare est rusé et machiavélique, mais il a toujours un certain honneur et une certaine volonté de faire « le bien », bien que c'est en suivant ses propres morales. Il a passé une grande partie de ses années de formation à essayer de plaire à son créateur, mais son côté voyou ne tolérait pas les abus de Becile, créant un cycle écrasant qui a miné son optimisme. Il a un penchant pour les jeux de cartes et est méchamment doué pour cela, et il arnaque souvent les gens grâce à cela. Ses doigts sont acérés et font d’excellents crocheteurs de serrures. Hare avait une "petite amie" sous la forme d’une perceuse électrique qu’il appelle Gwen, mais actuellement ils "se laissent de l’espace". Il ne peut plus jouer de l’harmonica ni chanter, mais joue toujours du piano. Il a un accent de Brooklyn, mais il lui arrive de parler inconsciemment italien. Il est souvent connu pour boire de l'essence pour se saouler, comme il le fairait avec de l'alcool, mais pas au degré pathologique de Szarka. Son noyau se trouve entre ses omoplates. Hare a été le premier des Becile Bots à être activé.
The Skull est impassible et pragmatique. Arborant une plaque faciale que Becile n'était pas enclin à terminer, il fait de la contrebande afin de maintenir leurs finances le moins possible dans le rouge. Depuis son activation, il a promis la plus profonde loyauté à son créateur - et l'a payé cher, étant souvent le premier à souffrir des mains de Becile. Malgré les abus, le dévouement de The Skull aux idéaux de Becile reste constant même après la mort de son maître. Bien qu'il incarne une menace de violence très réelle, il est tout aussi stratégique, patient et prudent. Il s'occupe en grande partie de l'entretien du manoir Becile et est connu pour tricoter pendant son temps libre. C'est un bassiste accompli, bien que son instrument soit cassé et injouable depuis des années. The Skull est le seul Becile Bot encore capable de chanter - c'est un basses - mais il le fait tout aussi rarement. Il parle aussi peu qu'il peut, mais on peut détecter un accent du Midwest quand il le fait. Son arme préférée est « Suzi l'Uzi », mais contrairement à Hare et Gwen, leur relation est strictement professionnelle. Son noyau est au milieu de sa poitrine. The Skull est le troisième des robots à être activé.
The Jack était à l’origine un robot joyeux et désireux de plaire qui suivait Hare comme une ombre. Il était souvent victime du mauvais caractère de Becile et développa une peur intense de lui et de The Skull, mais ne fut jamais complètement intimidé grâce au soutien de Hare. Après un accident dans lequel il fut frappé par la foudre et jamais correctement réparé, la personnalité de Jack a changé de tout au tout. Il est devenu imprévisible et hystérique, s’en prenant aux autres et à son entourage, ce qui a incité Becile à demander à Hare de l’attacher dans une camisole de force. Aujourd’hui, Jack a été réparé par Riker Szarka. Sa "folie " s’est révélée être semblable à une crise de panique ; en conséquence, il en est sorti plus fatigué et plus capricieux qu’il ne l’était quand il était jeune. Il a un accent cockney et, comme Hare, parle parfois italien. Il ne peut plus jouer du violon en raison de tremblements persistants causés par l’accident. Sa perruque est brune, mais fortement tachée de suie (de plus en plus après son accident). Son noyau est dans son estomac. Le Jack a été activé en deuxième position des trois robots originaux.
Locksmith est apparu dans le manoir Becile en 2013, à la grande surprise de tous, et s'est rapidement senti chez lui. Il était un "projet spécial" de Becile, enfermé en raison des fuites de son noyau et les souvenirs de son existence furent effacés de la mémorie des autres robots. Locksmith a tous les atouts d'un gentleman traditionnel, notamment une manière de parler loquace et le vocabulaire d'un thésaurus. Il se considère comme supérieur aux autres robots Becile, daignant travailler avec eux uniquement par nécessité. Il est égocentrique, cultivé, guindé et ambitieux. Et, bien qu'il n'en parle pas avec les autres, il se souvient d'avoir été humain. Il a un accent difficile à définir, bien qu'il énonce comme un présentateur de nouvelles ou un animateur de documentaire. Il ne peut ni chanter ni jouer d'aucun instrument. Son noyau est dans sa poitrine et a une trappe ; l'ouvrir peut produire un effet aléatoire ou rien du tout. Il parle parfois à The Jack, en particulier des rêves de ce dernier ; il prétend n'avoir aucun motif caché pour cela, bien que Jack semble perturbé par les conversations. Locksmith a été activé en quatrième position des Bots, bien qu'en tant qu'humain, il était plus âgé qu'eux tous.
Dee n'est pas un robot ; c'est un mannequin de couturière possédé. Becile croyait qu'elle était l'esprit de Delilah Morreo lorsqu'il l'a attachée, et a passé des années à manipuler l'esprit confus, essayant de briser son "amnésie". Surnommée Dee par Hare, elle est facilement agitée et devient agressive sous le stress. Ses souvenirs et sa conscience sont souvent brouillés, et elle se considère elle-même et les autres robots Becile comme des monstres. Elle passe beaucoup de temps à lire et à écouter de vieux disques. Elle peut chanter, mais ne sait pas si elle peut jouer d'un instrument. Dee ne quitte jamais le grenier du manoir Becile, permettant occasionnellement à Hare de lui tenir compagnie mais refusant généralement les visiteurs. Elle a un accent du Sud. Elle n'a pas de "noyau" à proprement dit, mais son corps contient une certaine quantité de Sucre Rocailleux. Elle a été la cinquième à être "activée".
Thadeus Becile était en fait deux hommes – l’homme qu’il était avant la Matière Verte, et l’homme qu’il était après. Et pendant les longues décennies où les Becile Bots l’ont connu, il était un tyran. Il était convaincu au plus profond de lui-même que le monde lui avait fait du tort et reportait ses frustrations sur ses créations. Il exerçait un contrôle exigeant sur The Skull ; il intimidait et humiliait The Jack ; il dégradait Hare ; il torturait psychologiquement Dee ; il utilisait Locksmith comme cobaye. Il attendait une obéissance parfaite et était prompt à punir ; en même temps, il était distant et indifférent à ses créations. Les prothèses métalliques qui lui permettaient de travailler après la destruction de ses mains ont fini par fusionner avec ses bras, bien qu’il puisse toujours échanger ses griffes contre des doigts plus acceptables socialement. Il a eu deux fils (avec une femme connue des Becile Bots uniquement sous le nom de « La Veuve Becile »), Ignatius et Norman. Il a été le mentor d’Ignatius pendant un certain temps, mais les deux se sont finalement séparés. Becile est décédé à la fin des années 1990 après des décennies passées en ermite au manoir Becile.
Riker Caleb Szarka est l'ingénieur actuel des Becile Bots. Originaire du Midwest, la trentaine, il fume comme un pompier et boit comme un trou. Weed essaie de rester discret, reconnaissant ses "protégés" comme imprévisibles et dangereux. Vous ne voulez pas l'entendre essayer de chanter. Il est facilement effrayé, cynique, négligé et très déprimé. Cependant, il reconnaît le besoin très réel que les Becile Bots ont de lui et fait un véritable effort pour les maintenir en bon état. Cela est fortement limité par son ivresse fréquente et ses gueules de bois débilitantes, mais il essaie quand même.
Scratch, secrètement Royce Ellis, est un cyborg en trois parties - un humain augmenté contre sa volonté par Becile Industries en utilisant leur technologie, puis réparé par M. Szarka avec divers débris antiques créés par Thadeus Becile. Les blessures qui ont nécessité ces dernières réparations lui ont laissé des douleurs chroniques. Il était étudiant en études de la matière et s'intéressait à la technologie des noyaux. Alors qu'il essayait de trouver un stage, on lui a proposé un poste d'entrée lucratif chez Becile Industries, qu'il a accepté. Au cours des années suivantes, il a été entraîné de plus en plus loin dans les machinations de l'entreprise, s'enracinant progressivement dans leur travail de laboratoire expérimental pour se rendre compte trop tard qu'il était lui-même un cobaye. Il a fini par s'échapper, libérant également The Skull qui était emprisonné, entraînant une dette pour The Skull envers lui. Scratch a une vingtaine d'années. Il utilise principalement la langue des signes, car il est éprouvant d'utiliser la voix qui lui reste (il avait un accent de la côte ouest américaine). Il a une personnalité réservée et réfléchie à la limite de la dépression. Il réfléchit soigneusement avant de s'engager et remet en question son propre sens du bien et du mal. C'est aussi la personne la plus geek du Manoir, trouvant beaucoup d'excitation et de réconfort dans la fiction et les jeux. Avec une formation d'ingénieur, il aide M. Szarka à réparer et à entretenir les Becile Bots. Sa mission principale est de fournir les preuves contre Becile Industries qu'il essaye de faire passer en contrebande aux parties intéressées dans l'espoir de détruire l'entreprise.
Tatters est un chat mécanique recouvert des restes d'une peau empaillée qui a été remise sans ménagement aux Beciles. Elle aurait été récupérée lors d'une vente immobilière et transmise à l'un des contacts du marché noir de The Skull, qui l'a ensuite mise en gage pour lui. Bien qu'elle soit effrayante à voir, elle passe la plupart de son temps assise en hauteur et à avoir l'air critique. Elle accepte les caresses, mais toute personne qui essaie doit être avertie qu'une partie de sa peau pourrait tomber.
Personnages Secondaires
Jager est un cyborg "spécialiste de l'information" et un trafiquant d'armes qui se fait passer pour un prêteur sur gage. C'est un sale type, le principal contact de The Skull pour les transactions clandestines.
Mme Chinadoll est une riche mondaine automate et artiste avec des contacts. Elle et Locksmith prétendent être amis, bien que la sincérité soit discutable. Elle est charmante à l'excès mais totalement impitoyable.
Agent Ester est une cyborg de haut rang membre de la "force opérationnelle" de Becile Industries, les personnes qui s'occupent des affaires les plus sales. Elle est actuellement sous les ordres directs de Buster pour éliminer Scratch et les Becile Bots.
Jaime Huron est l'ex-petit ami violent de Riker Szarka et l'un des nombreux ingénieurs de Mme Chinadoll. Connu pour être obsessionnel et narcissique, il a promis de tuer Riker pour l'avoir quitté.
Histoire
Thadeus Becile était autrefois un gentleman scientifique respecté au sein de la société du Cavalcadium. C'était un ingénieur brillant, un inventeur prolifique, un homme de la Renaissance très instruit et un fabricant d'armes talentueux mais prudent. Sa découverte de l'énergie dans la matière verte contenu dans le Sucre Rocailleux l'a condamné ; ses deux poursuites de l'utilisation de la matière verte et de la main de Delilah Morreo ont tracé une vie toxique qui a détruit d'abord ses amitiés avec Morreo et le colonel Peter Walter I, puis sa réputation et enfin sa morale. Il a assiégé les mines de Sucre Dandy avec une armée d'éléphants robotiques géants, contrôlés par les carcasses zombifiées d'hommes qu'il avait embauchés. Au cours de la guerre du week-end contre le colonel Walter I, la majorité des os des mains de Becile ont été brisés et le scientifique en disgrâce a été capturé et condamné à des décennies de prison.
De nombreux mineurs ont été tués pendant le siège et le chaos qui a suivi. Trois sont à dénoter.
Le premier s'appelait Tony. Fils d’immigrants italiens né aux États-Unis, Tony rêvait de devenir chanteur et pianiste professionnel, mais il n’avait ni argent ni relations. S’il était encore en vie aujourd’hui, il se serait identifié comme un homme transgenre. Cherchant à économiser pour son rêve, il a pris un emploi dans les mines de Sucre Dandy, prenant un bateau en partance pour l’Afrique. Dans son ombre, il y avait une deuxième personne notable : le frère cadet de Tony, Jack. Sans but dans la vie et terrifié à l’idée d’être laissé seul avec ses parents violents, Jack a menti sur son âge et a sauté sur le bateau après Tony, ne se révélant qu’après avoir quitté le port.
Après des semaines en mer et un pénible transport jusqu’à la mine isolée, les frères se sont retrouvés à partager la chambre avec un troisième mineur, un homme noir nommé Frank, arrivé plusieurs mois plus tôt, et ils se sont se lier d’amitié avec lui. Frank, bien qu’il soit un homme rude et réservé qui parlait peu de son passé, a pris les frères sous son aile, les aidant à s’acclimater à leur nouvelle vie. Il est rapidement devenu comme un troisième frère pour eux, et les trois se retrouvaient souvent au coin du feu après les heures de travail, discutant, riant et chantant en harmonie à trois voix.
Tony et Jack étaient dans les mines lorsque le plafond, détaché par les tremblements de terre provoqués par les pieds des éléphants géants, s’est effondré sur eux. Jack a été écrasé par les rochers ; Tony a survécu à l’effondrement mais s’est retrouvé piégé et a suffoqué quelques heures après.
Quelques jours plus tard, le colonel Walter Ier est arrivé et a commencé à faire la guerre à l’armée de Becile. Au cours de la bataille, un éléphant est devenu incontrôlable et s’est déchaîné dans la cheminée d’une usine de raffinage. Le feu s’est répandu dans le bâtiment, brûlant la plupart des ouvriers finissant carbonisés jusqu’aux os – y compris Frank.
Aucun de leurs restes n’a été récupéré.
Becile a passé près de deux décennies en prison après la guerre du week-end, souffrant de ses mains qui n'ont jamais guéri correctement. Après sa libération en 1914, il est retourné en Afrique en secret et a récupéré une réserve de Sucre Rocailleux dans les mines et ruines de Sucre Dandy, aujourd'hui abandonnées, ainsi que quelques… bricoles intéressantes. Se repositionnant discrètement sur ce qui restait de ses propriétés, il a fait commander une paire de prothèses qui lui ont permis de retourner à l'ingénierie. Après avoir vu les débuts de « The Steam Man Band » en 1916, Becile a commencé à travailler sur ses propres automates en acier, utilisant le Sucre Rocailleux pour alimenter les cœurs de leurs noyaux de matière verte.
Le Sucre Rocailleux, pour ceux qui ne le savent pas, est de l'ectoplasme solidifié.
Lorsque le premier robot s'est réveillé, il était prévu qu'il ne s'agisse que d'un essai. Cependant, Becile a été surpris lorsqu'il a commencé à parler et à bouger sans programmation. Il l'a surnommé Hare, ne connaissant que le nom de Rabbit, du groupe « The Steam Man Band ». Le miracle de l'acquisition d'une conscience spontanée se poursuivit avec le deuxième robot, qui s’identifia comme « Jack » ; Becile fut celui qui modifia son nom par un « The ». Becile activa ensuite le troisième robot, bien qu’il n’ait plus de matériel pour terminer sa plaque faciale. La structure squelettique de son visage incita les deux autres robots à l’appeler « The Skull », et le nom resta.
On leur a dit qu’ils allaient être des artistes, ce à quoi ils réagirent avec enthousiasme. Hare fut celui qui proposa le nom « Smokin’ Blokes » ; Becile trouva le nom grossier, mais ne put les dissuader de l’utiliser. Ils étaient tous désireux de faire plaisir à leur "père" les premiers mois, et les Smokin’ Blokes obtinrent un succès mineur dans les circuits underground que Becile avait réussi à mettre en avant. Ils chantaient en harmonie à trois voix ; Hare pouvait jouer de l’harmonica et du piano ; The Jack jouait du violon ; The Skull jouait de la contrebasse. Bien qu'ils n'aient pas le style comique de « The Steam Man Band », ils avaient un certain succès, dont une fan féminine qui a essayé de courtiser The Skull, à son grand désarroi.
Leurs performances ont été brusquement interrompues lorsque Hare s'est blessé après s'être faufiler dans le manoir, étant parti sans permission. Sachant que Becile serait en colère, il a tenté de se réparer ; au lieu de cela, il a déclenché une réaction de son noyau qui lui a fait exploser l'œil, a scellé sa mâchoire et a détruit le mur séparant ses évents de suie de sa boîte vocale. Becile, furieux, a refusé de réparer les dégâts jusqu'à ce que Hare le "mérite". La plaque faciale de The Skull n'a également jamais été terminée en raison du désintérêt de Becile.
Après les avoir retirés de la scène, Becile a commencé à utiliser ses robots pour des projets moins légaux. The Skull était prêt à tout, surtout si cela permettait d'éviter des ennuis à Hare et The Jack. Il a appris à utiliser une arme à feu et à jouer des muscles pour soutenir les acquisitions de Becile. Hare, essayant toujours de rendre Becile fier, a découvert qu'il avait un talent pour le vol à la tire et l'escroquerie, que Becile trouvait beaucoup moins utile. Le Jack, cependant, n'a jamais acquis de talents criminels, ce qui a rendu Becile furieux. Un robot qu'il ne pouvait pas utiliser était un robot dont il n'avait pas besoin, et il est devenu de plus en plus violent envers le Jack. Cela a créé un fossé entre Becile et Hare, car Hare avait toujours été très protecteur envers The Jack. Les relations sont devenues toxiques, et The Skull est intervenu avec mécontentement à plusieurs reprises pour prendre la punition et la responsabilité des actes de Hare et The Jack. Ils n'en ont jamais été conscients, et The Skull en garde toujours une certaine rancune.
Fournisseur de matériaux du marché noir et proche associé de Becile, « Locke Smith » (un pseudonyme) a été diagnostiqué avec une maladie en phase terminale et a accepté de faire partie d’un projet spécial, testant la capacité du Sucre Rocailleux à retenir les esprits et les souvenirs. L’entreprise a été un succès – cependant, le conteneur du noyau du nouveau robot était défectueux et, incapable de le désactiver, Becile a scellé Locksmith dans un coffre-fort, pour ne plus jamais revoir la lumière du jour. Becile a ensuite effacé tous les souvenirs de Locksmith et du projet de la mémoire des autres robots. Locksmith a finalement réussi à s’échapper en 2013.
Un jour, les robots Becile étaient en train de faire des vols à la tire, utilisant The Skull comme leurre. The Jack, dans une tentative d’impressionner Hare, est parti alors qu’il était distrait et a tenté de voler un collier de perles. Des policiers de passage l’ont remarqué et, paniqué, The Jack s’est enfui sur les toits. Il avait commencé à pleuvoir ; The Jack, acculé, se tenait à côté d’un paratonnerre et a été frappé par un éclair. Il tomba au sol et fut récupéré par Hare et The Skull, qui le ramenèrent au Manoir Becile. Dégoûté, Becile dit à Hare qu'il aurait dû faire plus attention et le força à aider à attacher son frère devenu fou dans une camisole de force.
Peu de temps après l'accident de The Jack, Becile fit une dernière tentative pour s'approprier Delilah Morreo. S'éloignant de la science et se tournant vers des arts mystiques sombres, il attacha un esprit au mannequin de couturière, croyant qu'il s'agissait de Morreo. Il réaménagea le grenier pour en faire une « vraie maison » pour elle et interdit à ses robots d'y entrer. Mais sans qu'il ne le sache, Morreo n'était en réalité pas vraiment morte, et il passa beaucoup de temps à essayer de briser "l'amnésie" de l'esprit, en vain. Cela la laissa désorientée et paniquée, sujette à l'autodestruction. Finalement, Becile réalisa son erreur et renonça à interagir avec l'esprit, abandonnant complètement le grenier. C'est Hare qui l'a surnommée « Dee », et il fréquente depuis le grenier quand elle le lui permet, lui apportant des disques et des romans pour passer le temps.
Après ses nombreux échecs et embarras, Becile s'est complètement retiré. Il a passé ses dernières décennies en ermite, prolongeant sa vie grâce à l'utilisation de la Matière Verte et aux soins de The Skull. Il est décédé à la fin des années 1990, une coquille amère d'un homme brillant. Hare et The Skull l'ont enterré derrière le manoir Becile, sous les côtes du dernier éléphant en ruine.
Actuellement, les Becile Bots sont entretenus par Riker Caleb Szarka. Garçon de la campagne du Midwest, M. Szarka a été élevé par sa mère célibataire, elle-même mécanicienne, qui a encouragé son talent prodigue pour l'ingénierie robotique. Cependant, il s'est rapidement épuisé en déménageant sur la côte, tombant dans un cycle autodestructeur de dépression et d'alcoolisme. Finalement, désespéré, il s'est tourné vers la mise au rebut illégale de robots pour joindre les deux bouts. Il a été poussé à réparer Hare par The Skull après que le premier ait été presque mis au rebut et a été "récompensé" par un poste permanent au manoir Becile, où il vit depuis plus d'une décennie.
En 2020, The Skull a été emprisonné par Becile Industries et sauvé par un groupe de cyborgs en fuite. Seuls lui et un cyborg sont sortis, celui qui avait insisté pour emmener The Skull avec eux. Se sentant redevable, The Skull a ramené le cyborg au manoir pour le faire réparer. Prenant le nom de Scratch, le cyborg a commencé à s'installer dans la vie du manoir tout en se préparant à se venger de Becile Industries.
Début 2021, les Beciles ont été adoptés par un chat mécanique nommé Tatters.
À l'automne 2021, on a découvert que Becile Industries avait commencé à envoyer des drones espions au Manoir Becile à la recherche de Scratch. Ils sont sous la direction de l'agent Becile nommée Ester. Initialement hostiles, ils se font actuellement discrets après que Locksmith essaye de négocier avec Ester.
Locksmith prépare quelque chose. Il a été surpris en train de fouiller dans les archives contenant les anciens travaux de Pops, et en plus de ses discussions opportunistes avec Becile Industries, il travaille avec l'ex de Riker, Jaime Huron, sur une sorte d'appareil…
Pendant tout cela, il a été révélé que Pops n'a jamais essayé de réparer The Jack ; Hare avait inventé cette histoire alors qu'il luttait avec sa culpabilité. Il est actuellement ostracisé par le reste du groupe, à l'exception de Dee…
À l'automne 2022, The Jack a été réparé.
Aujourd'hui, lorsqu'il ne chahute pas les Walter Bots, Hare peut généralement être trouvé en train d'escroquer, de voler et de boire de l'essence. À l'occasion, il est connu pour se battre dans un bar avec des hommes qui harcèlent les clientes. The Skull reste occupé à faire de la contrebande. Il ne travaille plus pour Becile Industries. Il garde un œil attentif sur les autres. Lorsqu'il est au repos, il lit le journal et tricote. Locksmith s'est fait un nom dans les cercles mondains underground et assiste régulièrement à des spectacles de grands arts (auxquels les autres Beciles se mêlent parfois). Scratch se remet du traumatisme de la convalescence et prévoit de faire tomber Becile Industries. En attendant, il regarde probablement des dessins animés. Dee reste au grenier. Quant à The Jack, il reste à voir ce qu'il compte faire de son autonomie nouvellement retrouvée…
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Comment Tricoter un Snood Cagoule ?
Vous êtes à la recherche d’un accessoire tendance et pratique pour affronter les jours froids ? Pourquoi ne pas essayer de tricoter un snood cagoule, également appelé balaclava ou passe-montagne ? Cet accessoire hybride entre le bonnet et l’écharpe est idéal pour garder votre cou et votre tête bien au chaud. Que vous soyez débutant(e) ou plus expérimenté(e), ce tutoriel vous accompagnera pas à pas pour réussir votre projet.
Pourquoi choisir de tricoter un snood cagoule ?
Le snood cagoule n’est pas seulement un accessoire de mode, c'est aussi un excellent moyen d’apprendre à tricoter des formes simples tout en vous amusant. De plus, ce projet permet d’utiliser différentes laines comme le mohair, la laine mérinos, l’alpaga, ou même de la laine fantaisie, pour un rendu unique et personnalisé.
Matériel nécessaire pour tricoter un snood cagoule
Avant de commencer, assurez-vous d’avoir tout le matériel à portée de main :
Pelotes de laine : choisissez une laine douce et chaude. La laine mérinos ou l'alpaga sont particulièrement recommandés pour leur confort.
Aiguilles circulaires : elles sont idéales pour tricoter en rond sans couture apparente. Optez pour une taille correspondant à l’épaisseur de votre laine.
Marqueurs de mailles : utiles pour suivre vos rangs et éviter de vous perdre.
Aiguille à laine : pour coudre les extrémités si nécessaire.
Étape 1 : Monter les mailles
La première étape pour tricoter un snood cagoule est de monter les mailles. Utilisez vos aiguilles circulaires et montez un nombre de mailles adapté à la circonférence de votre tête. En général, pour une laine moyenne, vous aurez besoin de monter entre 80 et 100 mailles. Si vous utilisez une laine plus épaisse, vous devrez peut-être ajuster ce nombre.
Astuce : Vérifiez toujours l’échantillon de votre laine ! Il est important de connaître la taille de votre snood avant de commencer, surtout si vous suivez un patron précis.
Étape 2 : Tricoter en rond
Après avoir monté vos mailles, vous pouvez commencer à tricoter en rond. Pour un snood cagoule simple, le point mousse ou le point jersey sont des options classiques et faciles à réaliser.
Point mousse : il suffit de tricoter toutes les mailles à l’endroit.
Point jersey : alternez un rang à l'endroit et un rang à l'envers.
Ces deux points de base permettent d’obtenir un snood douillet et réversible.
Astuce bonus : Si vous souhaitez ajouter un peu de fantaisie, pourquoi ne pas intégrer un point de riz ou une torsade ? Ces motifs donneront plus de texture à votre snood et le rendront unique !
Étape 3 : Former la capuche
Pour la partie cagoule, vous devrez réduire légèrement le nombre de mailles à mesure que vous approchez du sommet de la tête. Cette technique s’appelle les diminutions. Continuez à tricoter en rond, mais à intervalles réguliers, rabattez quelques mailles pour former la courbe naturelle de la capuche.
Étape 4 : Finitions et coutures
Une fois la hauteur désirée atteinte, rabattez toutes les mailles restantes. Utilisez une aiguille à laine pour coudre les bords si nécessaire. Si vous avez tricoté en rond, il n’y aura pratiquement aucune couture visible. Ajoutez éventuellement un pompon au sommet pour une touche amusante !
Astuce créative : Vous pouvez personnaliser votre snood avec des rayures, un mélange de coloris, ou même intégrer des éléments comme de la fourrure ou des broderies pour un look encore plus unique.
Entretien de votre snood cagoule tricoté
Une fois terminé, pensez à bien entretenir votre snood cagoule. Certaines laines comme le cachemire ou la pure laine nécessitent un lavage délicat à la main. Veillez toujours à suivre les recommandations inscrites sur vos pelotes de laine pour conserver la douceur et la forme de votre création.
Conclusion : Lancez-vous dans la confection d’un snood cagoule !
Tricoter un snood cagoule est une activité créative qui allie mode et confort. Que vous soyez débutant(e) ou plus expérimenté(e), ce projet est accessible et permet de se familiariser avec différents points de tricot. Utilisez des laines comme l'alpaga ou le mohair pour un rendu luxueux, ou optez pour des pelotes fantaisie pour un effet tendance.
En suivant ces étapes simples, vous aurez bientôt un snood unique, idéal pour rester bien au chaud cet hiver. Alors, préparez vos aiguilles circulaires, choisissez de belles pelotes, et lancez-vous dans cette belle aventure créative ! Notre blog pour en savoir plus !
Foire Aux Questions (FAQ) : Comment tricoter un snood cagoule ?
1. Quelles laines choisir pour tricoter un snood cagoule ?
Vous pouvez utiliser diverses laines en fonction du style et du confort recherché. Pour un snood cagoule doux et chaud, privilégiez des fibres naturelles comme la laine mérinos, l'alpaga, ou le cachemire. Si vous préférez un rendu plus léger, la laine acrylique ou les fibres synthétiques peuvent être de bonnes options. Pour un effet luxueux, optez pour des laines mohair ou fantaisie.
2. Quel est le meilleur point de tricot pour un snood cagoule ?
Les points les plus couramment utilisés pour un snood cagoule sont le point mousse (facile et réversible) et le point jersey (classique et fluide). Si vous êtes plus créatif(ve), vous pouvez intégrer des motifs comme le point de riz, des torsades, ou même du jacquard pour un rendu original.
3. Quelle taille d'aiguilles utiliser pour tricoter un snood cagoule ?
Le choix de la taille des aiguilles dépend de l’épaisseur de la laine. Généralement, pour un snood cagoule, des aiguilles circulaires entre 5 et 8 mm sont recommandées. Plus la laine est épaisse, plus les aiguilles doivent être grandes.
4. Doit-on tricoter en rond ou à plat pour un snood cagoule ?
Tricoter un snood cagoule en rond avec des aiguilles circulaires est le plus pratique, car cela évite les coutures visibles. Cependant, il est aussi possible de tricoter à plat et d'assembler les bords par la suite en les cousant avec une aiguille à laine.
5. Combien de mailles faut-il monter pour un snood cagoule ?
Le nombre de mailles à monter dépend de la taille souhaitée et de l’épaisseur de la laine. Pour une laine de taille moyenne, vous pouvez monter environ 80 à 100 mailles. Si vous utilisez une laine plus fine ou plus épaisse, ajustez ce nombre en fonction de votre échantillon.
6. Comment réaliser les diminutions pour la partie cagoule ?
Pour former la capuche du snood, vous devrez rabattre des mailles progressivement afin de créer une forme arrondie. Les diminutions peuvent se faire tous les 2 ou 3 rangs en tricotant deux mailles ensemble.
7. Peut-on ajouter des accessoires à un snood cagoule ?
Absolument ! Vous pouvez personnaliser votre snood cagoule avec des pompons, des broderies, ou même des rayures en changeant de couleur de laine. Pour un look plus extravagant, intégrez des éléments de fourrure ou créez des points fantaisie.
8. Combien de temps faut-il pour tricoter un snood cagoule ?
Le temps nécessaire dépend de votre expérience et de la complexité du modèle. Un snood cagoule simple, en point mousse ou point jersey, peut être tricoté en quelques heures à quelques jours pour un(e) débutant(e).
9. Le snood cagoule convient-il aux tricoteuses débutantes ?
Oui, tricoter un snood cagoule est un projet tout à fait adapté aux débutants. Le tuto est simple et permet d’apprendre les bases du tricot, comme monter les mailles, tricoter en rond et rabattre les mailles.
10. Comment entretenir un snood cagoule tricoté main ?
Le lavage d'un snood cagoule tricoté doit se faire délicatement. Préférez un lavage à la main à l’eau tiède avec une lessive douce. Évitez de frotter trop fort pour ne pas abîmer la laine. Laissez sécher à plat pour préserver la forme du tricot.
11. Quels sont les autres accessoires que l’on peut tricoter avec le même type de laine ?
Avec le même type de laine que vous utilisez pour un snood cagoule, vous pouvez tricoter des bonnets, des mitaines, ou encore une écharpe tricotée assortie. Vous pouvez aussi vous lancer dans des projets plus complexes comme un gilet ou un poncho.
12. Puis-je utiliser des aiguilles droites au lieu d’aiguilles circulaires ?
Oui, il est possible de tricoter un snood cagoule avec des aiguilles droites. Cependant, cela nécessitera de coudre les bords ensemble à la fin pour former un tour de cou fermé, tandis que les aiguilles circulaires permettent de tricoter directement en rond sans couture.
Article suivant : Comment porter une cagoule canadienne ?
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Mardi 20 août 2024
C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi,… c’est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres… ; car nous sommes son ouvrage, ayant été créés dans le Christ Jésus pour les bonnes œuvres que Dieu a préparées à l’avance, afin que nous marchions en elles.
Éphésiens 2. 8-10
Les porte-clés en broderie
María-Raquel a cru l’évangile à l’âge de 69 ans. Par la lecture de la Bible et la prière elle a appris à connaître personnellement Jésus, à tel point que son caractère et sa façon de vivre ont radicalement changé. Un jour, elle tombe très gravement malade, mais sa foi l’accompagne et la soutient.
María-Raquel a toujours eu un talent remarquable pour le tricot et la broderie. Un matin, une voisine peu agréable vient lui rendre visite et lui prédit qu’elle perdra l’agilité de ses mains, estimant même que “ce serait une punition de Dieu”. Mais María-Raquel ne l’entend pas de cette façon, elle est convaincue que le Seigneur agit de la meilleure des manières pour elle. Tout au long de sa maladie et presque jusqu’à la fin, elle brode de petits porte-clés avec des textes bibliques, et partout où elle passe au gré des examens médicaux et traitements, elle les distribue à tous ceux qui croisent sa route.
María Raquel est maintenant décédée, Dieu l’a recueillie dans sa présence. Pas à cause de ses bonnes œuvres, ni de son courage dans l’épreuve ; c’est le sacrifice de Jésus pour elle qui lui a donné le droit de devenir une enfant de Dieu (Jean 1. 12) et d’aller près de lui au-delà de cette vie. Elle attendait calmement le moment de son départ vers le ciel. À tous ceux qui la visitaient, elle témoignait de la grâce de Jésus qui avait donné sa vie pour elle. Comment ? En diffusant ces courts textes de la Bible qui parlent de l’amour de Dieu, sur ces porte-clés en broderie.
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