#trek sur les volcans
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28/11/2023
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Suite aux efforts homériques des deux derniers jours, ce sont des aventuriers heureux mais courbaturés qui se réveillent en ce doux matin de fin novembre.
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Le ciel montrant des signes encourageants, nous décidons de tenter la visite du lac Petrohue, dont la couleur turquoise des eaux dépend du bon vouloir de la météo.
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Et nous ne sommes pas déçus ! Les paysages rivalisent de teintes jaunes, vertes et bleutées. Nous parvenons même à approcher l'énigmatique pudu, qui parvient, de ses frêles cinquante centimètres, à charmer Touille, qui en oublie le paysage environnant.
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Alors que nous nous en retournons vers Patochimbo, nous constatons que le volcan Osorno, qui se paraît d'une couronne nuageuse deux heures plus tôt , est à présent dans de superbes dispositions ! Nous filons donc au gré d'une route tortueuse jusqu'à un sentier qui nous permet d'apprécier sa majesté à sa juste valeur.
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Le sommet du volcan Osorno est reconnaissable entre tous car en permanence enneigé. Cependant, c'est un volcan considéré encore actif ! Lorsqu'il entre en éruption, la lave se déverse par de petits cratères entourant la base du volcan. La dernière date de 1869, et la prochaine ne sera visiblement pas pour aujourd'hui, au grand désarroi de docteur Rathatton.
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Sur les pentes du volcan, on se rend réellement compte à quel point celui-ci domine la région, et on profite de panoramas sublimes et multicolores, où la roche volcanique rouge fait office d'exhausteur de paysage.
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Notre petit tour de 3km en forme de décrassage de trek terminé, nous filons le sourire jusqu'au oreilles et le nez rougi par le soleil jusqu'à notre prochain lieu villégiature, au bord d'une rivière en plein nature, en compagnie de paisibles pêcheurs locaux. Prochaine étape, un retour en Argentine prévu pour demain, si la douane le veut bien !
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claudehenrion · 2 years ago
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Hawaï, île de rêve, ou prise de guerre ?
  Je n'ai jamais oublié ma première visite à Hawaï. Entre les films-au-sirop des années '50,  ''starring'' Elvis Presley (comme par hasard dans le rôle d'un chanteur-séducteur), les souvenirs des ''Yukulele'' des disques 78 tours de mes grandes sœurs, la réputation des couchers de soleil sur la plage de Waikiki (''Red sails in the  sunset...''), le nom-même de ''Honolulu'' et les volcans ''en exercice''... le prestige du lieu et la magie du nom jouaient un rôle dans l'émotion ressentie : pas question que je résiste ! Bingo ! Mais retrouver tout cela devant soi est un vrai traumatisme.
C'est avec ces souvenirs en tête que j'ai découvert récemment, en ''surfant'' sur mon écran, que la Subaru-Asahi Star Camera, qui diffuse en direct les images prises par le télescope Subaru à Hawaï, avait filmé des rayons-laser verts tombant en pluie sur le volcan Mauna Kea (que je connais bien, pour y avoir beaucoup chauffé mes semelles, à les faire fondre !). La question suivante a été, bien sûr :  ''Pourquoi attaquer, et au laser s'il vous plaît, un volcan endormi sur la grande île d'Hawaï, ce joyau étoilée de l'Oncle Sam et du drapeau US, Stars and Stripes ? 
Car ces lasers ne provenaient pas d'un satellite de la NASA : compte tenu de l'alignement des planètes... et du ciel, ce jour-là, ils ne pouvaient provenir que du satellite chinois Daqi-1/AEMS... ''qui mesure les polluants, entre autres choses'', a déclaré sans rire Roy Gal de l'Institut d'astronomie de l'Université d'Hawaï au quotidien ''The Hill'', source ensoleillée de mes informations... affirmation complétée par Ray L'Heureux (sic !), ancien chef d'état-major des Pacific Marine Forces : ''A mon humble avis, il serait bizarre que les Chinois -qui sont parmi les plus gros pollueurs de la planète– se mettent brutalement à s'intéresser aux polluants au point de collecter des données de ce côté-ci du Pacifique''. (NB : ''Qu'en termes galants...''. Il doit y avoir d'autres raisons à l'intérêt des chinois pour Hawaï...).
Ce même jour --coïncidence ?--  un désormais célèbre ballon espion chinois est entré dans l'espace aérien de l'Alaska, dans un grand bruit totalement silencieux, très loin au dessus des Aléoutiennes que j'ai tant aimé survoler, pour un petit ''trek'' touristique de huit jours qui l'a conduit à travers tous les États-Unis et le Canada, s'offrant un magnifique aperçu de au moins deux membres de la "triade nucléaire" américaine : sa force de dissuasion nucléaire et les bases qui abritent les missiles balistiques intercontinentaux Minuteman III (le troisième, les sous-marins, étant plutôt du côté de Norfolk, sur la côte Est). Ce gros ballon balourd, officiellement plein de matériel de surveillance –mais pas que !-- s'est baladé, tranquillo, jusqu'au 4 février, avant qu'un F-22 de l'US Air Force ne l'abatte. Ce non-dirigeable dirigé est également passé  loin au dessus de la base de Whiteman, qui abrite la flotte de bombardiers nucléaires B-2  Et il a même survolé, sans être embêté, la base Offutt, siège du Strategic Command du nucléaire américain ! Quel beau voyage il a fait !
La Chine a ainsi fait le plein d'informations utiles, en vue (?) d'une première  frappe éventuelle (puis d'une deuxième, et d'une troisième, tant qu'ils y sont : quand on ''nem'', on ne compte pas !) sur les sites nucléaires américains. Si on ajoute que les ''lasers verts'' ont collecté des données atmosphériques utiles à une frappe par un engin volant hypersonique sur Hawaï (''Remember Pearl Harbor''!)... les grosses têtes ont en main (si j'ose ce raccourci !) tous les éléments pour être alarmés. Car après le ballon espion, trois autres "machins-trucs" ont traversé l'espace aérien nord-américain. Ces intrus, ont également été abattus, mais leur origine demeure, officiellement –tu parles !-- un mystère. (NB : Qui sait ? Des martiens, peut-être ?)
Pourquoi la Chine a-t-elle ''attaqué'' au laser un volcan endormi sur la grande île d'Hawaï ? Le Parti communiste chinois, dans son honnêteté intellectuelle reconnue, s'est immédiatement mobilisé en criant à la provocation, au mensonge, et à une agression du grand Satan... Personne, bien sûr, n'a pu  penser que la pluie de lasers du 28 janvier était à des fins civiles ou climatiques, mais personne ne doute, non plus, que de telles incursions arrivent souvent, beaucoup, partout... Mais ce qui est le plus grave, c'est que le Pentagone a été pris au dépourvu : ce n'est qu'après que le ballon espion chinois ait pénétré, profond, l'espace aérien américain qu'a été fait le lien avec plein d'autres intrusions, souvent, depuis longtemps. Ce manque de vigilance et d'intelligence stratégique ne sont pas un bon signal, mais la preuve d'une impréparation grave, en temps de crise : on comprendrait que la Chine ait envie de tester cette inertie : ce serait une faute, mais que ça doit être tentant !
Conclusion : on est soudain projetés dans un film de science-fiction où quelque docteur Folamour peut ''péter un cable'' à chaque seconde... déclenchant ainsi un enchaînement qui serait sans doute ''le der des ders''... Et pourtant... toutes les informations disponibles –sauf celles citées plus haut-- des ''Nostradam-US'' galonnés et couverts de décorations à en avoir du mal à marcher-- tendraient à démontrer que ''c'est pas demain la veille'' que les armées du ''Trente-et-unième'' Empereur chinois'' (Xi JinPing, d'après mon ami Bernard Brizay) vont être fin prêtes pour un ''remake'' de la formidable Opération Overlord d'Eisenhower, en juin 1944...
Si on accepte les chiffres qui sont admis dans et par tous les Etats-majors, le ratio incontournable pour réussir un débarquement sur une côte bien défendue serait de 9 ou 10 (à Taïwan, cela signifie 10 soldats ''populaires'' pour un ''nationaliste'' –et il y a 2 millions de réservistes entraînés !), et les capacités de transports en mer de la marine chinoise sont très loin de ce genre d’hyper-performances, ce qui rend un débarquement improbable. Reste, bien sûr, le blocus maritime et aérien (NB : des grandes manœuvres ont testé, la semaine dernière, les uns et les autres). Mais là, la supériorité des américains est irrattrapable pour le moment. Et, n'en déplaise à M Macron, ils n'auraient besoin de la France que pour un habillage diplomatique !
En toute logique, il semblerait donc que si de nombreuses menaces, jeux de rôle, bruits de bottes moulinets, rodomontades et discours enflammés soient au menu dans la Mer de Chine, le déclenchement d'un conflit ouvert ne soit pas pour demain. Seulement voilà... les hommes proposent... mais les dieux disposent : personne ne peut assurer qu'un enchaînement imprévu, un coup de ''pas de bol'', une succession de hasards ''que personne n'a voulus mais...'' ne vont pas perturber ce beau calme statistique : le destin se moque pas mal de la logique, et la pluie de lasers verts sur Hawaï pourrait être un avertissement de plus que, quelque part dans notre futur, il y a une guerre entre ces deux géants à la puissance jamais imaginée dans l'Histoire de l'humanité. Et le fait qu'elle ne soit, sauf accident, pas pour demain, n'est pas une raison pour ne pas se préparer très sérieusement à une telle éventualité qui, dans l'échelle des probables, est tout en haut du podium.
''Si vis pacem, para bellum'', recommandait Publius Fabius Végèce (c'est un autre Fabius : le nôtre serait bien incapable de tant d'intelligence !) dans son  Epitoma Rei Militaris : si tu veux la paix, prépare-toi à la guerre. Mais une fois encore, l'Occident post-moderne brille par son in-intelligence stratégique, et la France progressiste par son incapacité à prévoir, le manque absolu de ''vista'' de ses chefs et leur court-termisme mortifère. En cas de coup dur, tous ces responsables irresponsables (s'il reste des habitants sur la Terre !) répéteront ''Nous ne savions pas'', comme ils l'ont fait pour le covid, pour l'actuelle ''bronca'' sociale généralisée, pour la guerre en Ukraine, pour leur refus de voir l'immigration pour ce qu'elle est... et comme ils s'apprêtent à le refaire pour les drames qui vont surgir,  les fausses pandémies qu'ils vont fabriquer pour nous terroriser à nouveau, et les ''viols'' qu'ils vont nous faire subir pour nous imposer toutes les mauvaises idées qu'ils n'ont pas encore eu le temps de nous imposer... ''Ne rien savoir'' est leur deuxième nature !
Mais comme à chaque fois, ils savaient : tout était prévisible et annoncé... à la seule condition de vouloir voir ce qui est visible. Il est vraiment urgent d'envisager un autre mode de sélection de nos ''élites'' (?), que l'ENA (même rebaptisée) ou l'adhésion à un système de pensées mortifères et vieux de 3 siècles, qui a fait cent fois la preuve de son inadaptation totale aux problèmes du monde. Mais ceci est un autre sujet. ''Aloh'a'', comme on dit à Hawaï...
H-Cl.
PS : Nous allons nous quitter, vacances de Pâques–Zone ''C'' obligent. Nous nous retrouverons, si Dieu le veut et avec joie en ce qui me concerne, le Jeudi 4 Mai, ''date à reporter sur vos agendas'', selon la formule consacrée. D'ici là, profitez de chaque minute... et de la vie. Je vous souhaite de vraiment bonnes vacances !
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santorinetcrete2023 · 1 year ago
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Trekking entre Fira et Oia
Journée magnifique aujourd’hui! J’ai retrouvé mon énergie après une vraie nuit de sommeil.
On a pris l’autobus pour se rendre à Fira, là où commence le sentier qui relie les villages de Fira et d’Oia. Jamais je n’aurais pensé revenir à Santorini dans ma vie. En revoyant certains paysages, j’ai eu un flashback de notre voyage d’il y a cinq ans.
Il y avait déjà pas mal de touristes dans les rues. Les Asiatiques sont de retour! Clics, clics avec les appareils photo et ôtez-vous de leur chemin.
Les paysages sont grandioses mais comme nous marchons sur un ancien volcan, tout est sec. On dirait des paysages lunaires. Il faut faire attention où on met les pieds, car ce sont soit des petits cailloux ou des galets de hauteur inégale. C’est dur sur les genoux et les orteils, surtout en descendant.
Après un trekking de deux heures et demie, on arrive à Oia. C’est l’heure du lunch et les touristes sont partout. C’est vraiment désagréable, car on doit faire la file pour circuler dans les rues étroites. Après le lunch, on a notre dose et on décide de retourner à Fira. On attend l’autobus pendant 30 minutes et quand il arrive, on ne peut y entrer, car il y a trop de monde. On nous dit qu’un autre bus devrait arriver dans dix minutes. C’est long au soleil à faire la queue!
À Fira, autant de monde. On décide d’y rester et de souper dans un restaurant du coin pour admirer le dernier coucher de soleil sur Santorini. Je crois bien que cette fois, ce sera la dernière.
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omagazineparis · 7 months ago
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Vacances en Équateur : explorez ce joyau sud-américain
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L'Équateur, ce petit pays situé en Amérique du Sud, est une destination incroyablement diversifiée qui offre une variété de paysages, de cultures et d'expériences uniques. Des montagnes majestueuses aux plages de sable doré, en passant par la forêt tropicale luxuriante et les villes coloniales, l'Équateur a tout pour plaire aux voyageurs en quête d'aventure et de découverte. Dans cet article, nous partageons nos conseils pour des vacances mémorables en Équateur, en mettant en avant les incontournables à ne pas manquer. Explorez les îles Galápagos Les îles Galápagos sont l'une des principales attractions de l'Équateur, offrant une expérience unique pour les amateurs de nature et de vie marine. Ces îles abritent une faune incroyablement diversifiée et souvent peu farouche, permettant aux visiteurs de s'approcher de près des tortues géantes, des iguanes marins et des oiseaux exotiques. Participez à des excursions de plongée ou de snorkeling pour explorer les eaux cristallines et découvrir un monde sous-marin fascinant. Randonnée dans les Andes Les majestueuses montagnes des Andes traversent l'Équateur, offrant des possibilités infinies de randonnée et de trekking. Parcourez les sentiers de la Sierra pour découvrir des vues à couper le souffle, des villages pittoresques et des marchés colorés. Ne manquez pas l'occasion de vous aventurer jusqu'au volcan Cotopaxi, l'un des volcans actifs les plus hauts du monde, pour une aventure alpine inoubliable. Plongez dans la culture à Quito La capitale, Quito, est une ville où l'histoire et la culture se rencontrent. Explorez le centre historique, classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, avec ses rues pavées, ses églises coloniales et ses places animées. Ne manquez pas non plus la chance de monter à bord du téléphérique pour une vue panoramique sur la ville depuis les hauteurs des Andes. Détente sur la côte du Pacifique L'Équateur offre également des plages magnifiques le long de la côte du Pacifique. Des spots de surf prisés aux retraites tranquilles, il y en a pour tous les goûts. Montañita est réputée pour sa vie nocturne animée et ses vagues impressionnantes, tandis que les plages de Montecristi et Ayampe offrent une évasion paisible pour se détendre au soleil. Découvrez la forêt amazonienne Une partie de l'Équateur est recouverte par la forêt amazonienne, offrant une incroyable biodiversité et des expériences d'écotourisme uniques. Participez à des excursions en pirogue pour explorer les rivières luxuriantes, observez la faune et la flore sauvages, et découvrez la vie quotidienne des communautés indigènes qui vivent en harmonie avec la nature. A lire : Les sites archéologiques à visiter en France Respectez l'environnement et la culture Enfin, lors de vos vacances en Équateur, il est essentiel de respecter l'environnement fragile et les cultures locales. Optez pour des opérateurs de tourisme responsables et respectueux de l'environnement, respectez les règles et les traditions des communautés locales, et prenez soin de ne laisser aucune trace de votre passage. En somme, l'Équateur est une destination qui offre une variété incroyable d'expériences pour les voyageurs aventureux et curieux. Des îles Galápagos à la forêt amazonienne, en passant par les montagnes des Andes et les villes historiques, l'Équateur est un joyau sud-américain qui ne demande qu'à être exploré. Suivez nos conseils pour des vacances inoubliables et enrichissantes dans ce pays fascinant. Read the full article
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tanguy-de-saint-cyr · 4 years ago
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Vous marchez sur une cendre à peine refroidie, et vous ne croyez déjà plus aux volcans !
Alphonse de Lamartine, à la Chambre des Députés, le 10 janvier 1839
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encantados2022 · 2 years ago
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Jeudi 13 octobre - Ometepe :
Trek sur le volcan Concepción pour avoir la vue sur le volcan Maderas. Nous ne sommes pas allés jusqu’à sommet. On compte 10h pour faire l’aller-retour avec plus de 3200m de dénivelé: un peu trop.
Nous avons voulu faire le tour du volcan Maderas mais avons dû rebrousser chemin, le niveau de la rivière étant un peu trop élevé pour qu’on puisse la traverser avec le scooter.
Magnifique coucher de soleil depuis notre hôtel !
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p-ads · 2 years ago
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El ascenso del chachani
Le 3 septembre 2022
1h30 du matin ⏰
Le réveil sonne! Je saute du lit et j'enfile la tenue du jour c'est à dire: une brassière, un tee shirt de sport, un haut thermique, un pull en laine et un manteau coup vent. Pour le bas ce sera des chaussettes de montagne, un bas thermique, un legging, un pantalon de trek. Je n'oublie surtout pas le tour cou, le bonnet et les gants. Puis direction la cuisine, je range mes 3 litres d'eau, mes fruits secs et mes pommes dans mon sac et en route pour ......
le CHACHANI !
Pour cette excursion nous sommes 5, quatre français et un péruviens. Deux français ne sont autres que mes collègues/ colocs et le péruvien c'est Abel! Le responsable de la salle d'escalade. Bref on se connait tous, ou presque, le 4 ème français est ici pour les vacances, c'est un ami d'Abel.
2 heures du matin, nous sommes en route direction la merveille qui surplombe Arequipa et qui nous fait de l'oeil depuis qu'on est arrivés. Bien sûr qu'on allait te grimper petit volcan, comment résister à ta beauté !
La route, enfin si on peut la prénommer comme cela, ne fut pas la plus agréable. Notre chauffeur était doté d'un bon 4x4 et heureusement ! Pendant 2h nous roulons sur un chemin de terre semé de trou.
4h45, arrivée au point de départ. Nous abandonnons la voiture et commençons l'excursion à la lampe frontale.
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A oui je ne vous ai pas dit, nous sommes montés jusqu'à 5100 mètres avec notre bolide. Je vous laisse imaginer à combien d'altitude nous serons à notre arrivée!
6h du matin, le soleil montre ses premiers rayons de soleil. Il est l'heure pour nous de faire notre première pause et d'avaler quelques fruits avant de commencer la véritable et interminable montée.
Le souffle, le corps, la lourdeur des pas, le mental.... tout doit s'habituer à cette altitude.
Alors j'ai adopté une démarche assez rigolote mais plutôt efficace : la marche du pingouin. "El pingüino" comme ils aimaient m'appeler. Des petits pas qui m'ont permis d'économiser la force de mes jambes.
Les minis pauses régulières m'ont également aidé à tenir le rythme et surtout à arriver jusqu'en haut.
Nous étions 5 et chacun avait ses propres besoins. Ma coloc par exemple, se sentait obliger de faire des micros siestes régulièrement.
Notre corps n'est pas forcément ami avec l'altitude. Sur les 5, seulement 2 n'ont pas supporté cette hauteur. Mal de ventre, mal de tête était de leur partie. Mais ils ont tenu bon jusqu'au sommet, force à eux!
Personnellement, je n'ai eu qu'un mal de tête, assez léger mais présent. Particulièrement après les longs arrêts, le temps que le corps rallume la mécanique et retrouve son rythme.
Arrivés à 5600m une sieste de 40 minutes s'impose pour tous. C'est la première randonnée que je fais, où je dors presque autant que je marche ( bon j'exagère peut être un peu, mais le sommeil était de la partie)
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La reprise était motivante! Plus que 400 mètres de dénivelé et on y était. Ça voulait dire encore 3 heures! Nous avions fait la moitié !! Le paysage durant toute l'ascension n'était pas très diversifié, mais donnait sur le volcan voisin qui était plutôt agréable à regarder. Mais nous pouvions également contempler la cordillère d'Arequipa.
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A 5900 mètres , nous surplombons la ville blanche. Nous pouvons également apercevoir la neige et la toucher! El pingüino avait retrouvé sa banquise!!
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Lors des 100 derniers mètres, notre ami Jean nous a laissé continuer, son mal de ventre a eu raison de lui, et les derniers efforts lui étaient insurmontables. Nous passons à côté du cratère du volcan qui nous a accueilli durant cette formidable journée. Puis nous arrivons, enfin, au sommet du sommet.
La joie, la fatigue, la fierté, le bonheur, la satisfaction, le plaisir.... toutes ces émotions se confondent à ce moment : 6057 mètres d'altitude bb, ON L' A FAIT!!!!!
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Nous avons le privilège de contempler son voisin le Misti et Arequipa. Sur la terrasse de mon toit je peux contempler le Chachani. A ce moment là, sur le sommet de Chachani je peux contempler la ville blanche. C'est une sensation incroyable et indescriptible.
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Il est l'heure pour nous de redescendre. Cette dernière est assez atypique. Descendre une montagne comme un skieur mais sans les skis et sans la neige, vous avez déjà fait ? Lors des premiers mètres c'est plutôt amusant. Mais ça l'est un peu moins quand je compris qu'il me restait encore 900 mètres de dénivelé à snowboarder sur des cailloux avec des chaussures de randonnées. Mais cela reste une expérience unique en son genre.
15h, Nous voilà enfin en bas du Chachani. L'excursion touche à sa fin. Nous retournons dans notre 4x4 direction notre demeure et surtout notre lit: des cailloux plein les chaussures, un mal de crâne plein la tête mais surtout des étoiles plein les yeux! ✨
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mlou-alex · 5 years ago
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#16 [Chili] La région des lacs – Bienvenue au royaume des volcans
Une étape que l’on attendait depuis longtemps ! Situé au croisement de deux plaques tectoniques et au-dessus de points chauds, le Chili est le pays le plus sismique du monde et se défend question volcanisme. Ce qui offre, en plus du relief dessiné par l’incroyable Cordillère des Andes, un paysage volcanique spectaculaire. Pour la faire simple, cette région se résume à une bande rectangulaire traversée sur la gauche par la panaméricaine (route qui relie le sud du Chili au nord de l’Alaska en gros), et couverte de superbes lacs sur la droite. Et autour de chacun de ces gigantesques lacs, des parcs nationaux, des volcans, du rafting, des termes, des petits villages stratégiquement positionnés. Bref, toute la panoplie pour en prendre plein la tronche.
Nous fixons notre point de base dans le jardin de Rebecca à Puerto Varas : à peine vingt kilomètres au nord de Puerto Montt. Le pommier de son jardin produit des pommes vertes et jaunes délicieuses qui constellent le gazon et sont la proie des vers. Avec sa permission, nous en récupérons une vingtaine afin de cuisiner une compote. Mais lorsqu’on commence à en goûter une, on crie au gaspillage. Les pommes viennent aussitôt agrémenter notre sac de bouffe et font rougir nos fruits de supermarché bien moins goutus !
Le lendemain, nous rallions Ensenada en vue d’attaquer un trek autour du volcan Osorno. Une balade pas évidente, car elle s’effectue pour la majeure partie sur un sol sableux très mou, ce qui rend les heures de marches assez éreintantes. La vue en revanche est aussi douce qu’un coup de genou dans les burnes. Le Lago de todos los Santos, littéralement le « lac de tous les Saints », apparaît comme un paradis immaculé tout droit sorti d’un Walt Disney. Une étendue d’eau transparente entourée de montagnes verdoyantes, cernées de volcans aux sommets culminants dans les cieux et couverts de neige. Et dans notre dos, l’Osorno, trônant là comme une entité suprême laissant de temps à autre apparaître son visage à la faveur d’un vent capricieux.
Cette météo versatile nous oblige d’ailleurs à établir une organisation minimum pour les jours à venir. La star de la région, celle qui attise réellement notre excitation, c’est le volcan Villarrica à 200 km au nord. Celui-ci possède un cratère ouvert et sa dernière éruption date de 2015 ! Il est impératif qu’aucun nuage n’accompagne notre ascension de son sommet. Hélas, on rencontre plusieurs complications.
Premièrement je tombe malade. Une fièvre de l’espace me cogne la tête au réveil et me vampirise mon énergie. Corona virus ou pas, ce qui apparaissait la veille comme une balade tranquille en bord de lac se transforme au jour en un marathon avec trente kilos sur le dos. Je décide de m’allonger dans l’herbe et laisse Marie-Lou finir toute seule. Puis le soir, le bus qui devait nous emmener à Valdivia (à mi-chemin entre le spot d’Osorno et celui du Villarrica) crève sur l’autoroute… Le chauffeur arrête son véhicule sur le bord de la route ; une deux fois deux voies avec des poids lourds lancés à balle qui vous frôlent. Nous patientons. Sous la pluie et le vent, sinon c’est trop facile, tandis que rien ne se passe. Le chauffeur et son assistant ne font que passer des coups de fil, tripatouiller le moteur sans résultat. Pas besoin de leur demander ce qui se passe, l’impuissance qu’affichent leurs visages est suffisante. Il faut attendre une heure et demie qu’un bus de secours vienne nous récupérer pour achever le trajet. On est frigorifiés.
Une arrivée tardive à Valdivia, sous la pluie là encore, où nous n’envisageons même pas le camping. Que ce soit pour gagner des forces avant l’ascension ou pour ma convalescence, il est plus commode de s’enfoncer dans un vrai lit.
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strudelsenamerique · 5 years ago
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Acatenango - El Fuego
Difficile de décrire ce que l'on a vécu, tellement c'était génial!
Nous sommes partis faire le trek de l'Acatenengo. 2 jours, 1 nuit : la première journée, nous montons quasi non stop pendant 5h, notre camp est à 3600m. Le souffle se fait court mais les nombreuses pauses et l'effet de groupe nous aident pendant cette grimpette. Et oui, nous sommes toujours en compagnie de Manon et Nicolas, et nous faisons également la connaissance de Pierre et Myriam. C'est ensemble que nous nous émerveillons lorsque apparaît devant nous El Agua, volcan endormi qui domine Antigua. Et c'est aussi ensemble que nous découvrons le fameux El Fuego. Ce dernier est en activité permanente. De jour, nous voyons les crachats de fumée, de nuit, c'est la lave qui fait son apparition. Pour fond sonore, nous avons les grondements qui ressemblent au tonnerre.
Le spectacle est époustouflant, incroyable, inoubliable.
La nuit est courte, avec l'altitude, il est difficile de trouver le sommeil. D'autant plus que le réveil sonne à 4h00, une grimpette avec 400m de dénivelé nous attend! Ce fut dur, sans doute le moment le plus difficile de ce trek. Mais ça en valait la peine : le lever du soleil avec une vue sur la vallée et ses volcans. Au sommet, il fait froid, très froid... Et on remercie l'agence de nous avoir prêté des manteaux et grâce auxquels nous avons fait un bond dans le passé : Back in the 90's!
Bref, on vous laisse admirer tout ça, nous on ne s'en lasse pas!
(Merci à Pierre, Myriam, Manon et Nico pour leurs photos, vidéos, et surtout un big up pour Nico et ses commentaires sur la vidéo ! 😄)
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lavidaaventura · 5 years ago
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Forêts primaire et thermes à Coranipe.
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Les 11 et 12 octobre 2019.
Après avoir quitté les copains polynésiens nous voilà de nouveau sur la route, direction la réserve naturelle El Cani et une bonne randonnée pour suer l'alcool ingurgité 😁 Sous les nuages et la pluie, le trek ne nous délivrera pas tous ses charmes mais l'essentiel est là, se remettre sur pattes!!
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La rando bouffée dans la matinée nous reprenons la route à midi direction Coranipe et le lac Calafquen. Sur une piste de montagne en direction du Volcan Quetrupillan, nous faisons connaissance avec un personnage exceptionnel, Alejandro. Avec sa femme et ses deux enfants, ils vivent en quasi autonomie dans la montagne qui l'a vu naître. Ancien ranger du parc national et de sang Mapuche par sa grand-mère, il connaît bien la région et tout ses trésors. Il nous guide dans la forêt primaire et nous impressionne par ses connaissances et son charisme. Après une balade dans sa forêt mystique ou "bosque", pleine de fées et d'elfes (si,si j'en ai vu!!), nous allons prendre un bain chaud dans les thermes de la famille de Yenni, sa femme. Quel moment de BONHEUR... Perdus au milieu de la forêt, dans un canyon escarpé, au bord d'une rivière, une terrasse en bois contenant trois bassins d'eau thermale à 40° 😍 Armés de bières Motrulo et de nourriture nous y resterons de 18h à 21h30 😬
Après ça nous serons invités par Alejandro à garer le Kombi pour la nuit sur son terrain, dans une clairière où une de ses brebis s'est fait tuer par le puma 15 jours plus tôt, avec sa laine comme preuve du carnage 😅 gloups
Après une nuit sans puma mais pleine de rêves nous avons fais nos aurevoirs à Alejandro et sa famille, qui nous ont offert 4 oeufs pour notre départ. Nous sommes partis encore une fois la larme à l'oeil, avec un sentiment de gratitude pour notre bonne étoile et de reconnaissance envers ces personnes si généreuses.
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lespetitspedestres · 5 years ago
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Me gusta la lluvia.
Au terme de ces 3 jours, nous rendons notre véhicule et prenons un bus (le stop pour passer les frontières semblant légèrement compliqué) pour l’Argentine cette fois-ci en direction de la ville de El Calafate, point de départ pour la visite du glacier Perito Moreno. Le Perito Moreno c'est de la glace, beaucoup de glace. Pour ceux qui ont vu Game of Thrones, ce glacier a un petit quelque chose du « mur ». Chaque jour, sous la pression de l’accumulation de glace sur les hauteurs, le glacier avance et viens se heurter aux rochers en contrebas faisant choir d'immenses blocs de matière gelée. Ceux-ci percutent alors la surface de l'eau dans un grondement de tonnerre audible à des kilomètres. Nous passons plusieurs heures émerveillés à contempler ce spectacle de la nature.
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Nous ne visitons rien d'autre à El Calafate car, il faut bien le dire, il n'y a rien d’autre à visiter. Comme c’est le cas dans beaucoup d’endroits en Patagonie,  les points d’intérêts nécessitent 3 fois moins de temps pour être visités que pour être reliés les uns aux autres. Nous repartons donc dans la foulée pour la prochaine étape: El Chalten.
C’est là que nous vivons l’un de nos très rares moments de grâce en stop. En effet, la première voiture à laquelle nous faisons signe, s’arrête immédiatement. Les occupants du véhicule sont un couple de Californiens forts sympathiques. Ceux-ci nous emmènent directement jusqu’à destination.
Au terme de 2 heures de voyage, nous voici donc arrivé dont la capitale du trekking en Argentine. Nous prévoyons de rester 4 ou 5 jours, mais, la météo n’étant pas des plus favorable nous sommes contraints d'improviser.
Afin de retranscrire au mieux les émotions ayant découlées de notre expérience au sein du camping «la torcienda» de El Chalten, nous, les petits pédestres avons décidé de partager avec vous un document exceptionnel. Un document relatant nos moindre faits et gestes au cours de chaque journée de nos aventures. Je veux bien sur parler du «journal de bord». Là où vous aviez pris l'habitude de formules tarabiscotées visant à arrondir les angles, vous allez vous heurter à notre aspect carré. Là où vous aviez pris l'habitude de l'information filtrée et romancée, vous allez vous rendre compte que le quotidien est parfois bien ennuyeux, même en voyage. Même si nous sommes vos héros, il faut que vous sachiez que parfois, nous aussi nous plongeons dans les abysses de l'ennui. Jugez vous-même.
Jour 1: nous arrivons au camping «la torcida» visiblement bonne ambiance, mais cuisine et sanitaires un peu sales. Nb : il y a plein de hippies.  Nb2: la lunette des toilettes ne tient pas en place, pas pratique… tiens, on dirait qu'il commence à pleuvoir…
Jour2: il pleut. Nous adoptons des comportements de substitution à la randonnée. On mange. Il ne fait pas chaud. Y a pas des montagnes normalement à El Chalten?
Jour 3: il pleut et il y a du vent. Du coup ça sèche la tente ou ça la mouille? Cet après-midi midi c'est cookies.
Jour 4: aujourd’hui, on prend un seau et on écope. Il faut bien le reconnaître: la tente nage très bien.
Jours 5: jour de fête! Soirée empanadas et vino tinto. Il pleut toujours.
Jour 6: après-midi crêpes au dulce de leche et mate. On écope.
Jour 7: ça y est! Une éclaircie! Nous entreprenons donc la randonnée qui nous mène à la laguna Torre. 20 km plutôt faciles avec assez peu de dénivelé. Mais la vue sur le lac et le glacier qui le surplombe vaut clairement le coup d'œil. En plus, nous avons la chance de croiser un petit tatou velu sur le chemin. Une légère douleur au pied sur la fin de la rando, mais on dirait  bien que ma tendinite est sur le point de disparaître. Enfin!
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Jour 8: je ne peux plus poser le pied par terre. Chloé profite du temps relativement clément pour se lancer à l'assaut du Fitz Roy. Je mange du chocolat pendant qu'elle n'est pas là (faut bien s'occuper).
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Jour 9: nouvelle rando pour Chloé et nouvelle journée d'attente pour moi. Le soir venu, nous rejoignons un point de vue sur le Fitz Roy non loin du camping beau coucher de soleil malgré la patte folle.
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Après ce séjour plus long que prévu à El Chaltén, nous décidons de reprendre la route, bien conscient que malgré sa réputation de capitale du trekking, la ville nous a apporté beaucoup plus de calories qu’elle ne nous en a fait perdre.
S'il est vrai que nous sommes un peu restés  sur notre faim en termes de randonnée, notre passage par le village de El Chalten restera tout de même un excellent souvenir grâce à la gentillesse des personnes que nous y avons rencontré. Ici, assez peu de touristes mais beaucoup de gens venus travailler pour la saison touristique. En clair, même si nous n’avons pas pu randonner durant une semaine nous ne nous sommes pas ennuyé, et nos estomacs non plus.
Ce fut l'occasion pour nous de mettre en place des échanges culturels. Découverte des crêpes pour les Argentins, et découverte des empanadas pour nous. Le tout arrosé de vin rouge ce qui ne fut une découverte pour personne. Enfin, ce séjour à El Chalten nous a permis de rencontrer Ghislaine et Olivier, 2 belges sympathiques dont nous aurons l’occasion de reparler plus loin dans cet article.
Bref, nous reprenons la route au soir avec un bus de nuit direction le Chili. Oui, on aime passer les frontières.
Notre prochaine étape, Puerto Rio Tranquilo marque le début de la fameuse Carrera australe. Cette petite ville porte bien son nom. Pas grand-chose à faire ici, si ce n’est découvrir les  cathédrales de marbre, petite sortie en bateau sur les eaux limpide du lac. Ce bon moment ainsi qu’une petite soirée pâte bolognaise est partagé avec un petit groupe de français ( et suisse!) bien sympathique rencontré dans le bus.
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Le lendemain, nous reprenons notre route, ou du moins, nous essayons. En effet,  après plusieurs heures d’attente sur le bord de la route, nous devons nous rendre à l’évidence : notre tentative de faire du stop est un échec. Nous décidons donc de prendre le bus. Durant l’attente qui nous sépare du départ, nous recroisons nos amis Belges. Ne cesseront ils jamais de nous suivre?
Quelques heures plus tard, nous voici arrivés au pied du Cerro Castillo. Nous dénichons un camping dans lequel nous nous installons en attendant une journée favorable pour effectuer la randonnée qui mène au sommet. Nous rencontrons un couple de français qui souhaite également se lancer dans l’aventure. 2 jours plus tard ça y est, le ciel est presque dégagé, et nous décidons de nous lancer. Pour ma part, je me contente de la marche d’approche qui nous mène au départ réel de la randonnée. Et oui, toujours ce problème de cheville. Chloé continue, accompagnée de nos deux nouveaux camarades. Pour la petite histoire, il faut savoir que cette randonnée était payante. En effet le sentier traverse une parcelle de terrain privé. Le paysan a donc installé une petite guérite au départ de la randonnée et demande à tous les usagers de payer pour avoir accès au Sentier. Bien sûr, Chloé étant auvergnate, il est inutile de vous dire qu’elle n’a pas payé. Ayant entendu parler d’un autre chemin pour atteindre le sommet, notre héroïne des temps modernes a donc esquivé habilement la guérite du cupide paysan. Bien joué. Seulement voilà, le fieffé coquin avait-eu la bonne idée de mettre en place une seconde guérite sur le sentier de substitution qu’avait choisi notre courageuse randonneuse. Peu importe, n’écoutant que son courage, Chloé et ses nouveaux compagnons coupèrent à travers bois, et au terme d’un incroyable effort, ils parvinrent à effectuer la randonnée gratuitement.
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Le lendemain, nous reprenons la route cette fois-ci direction le parc naturel Queulat. Quelques heures plus tard, c’est sous des trombes d’eau que nous parvenons à Puerto Cisnes, la ville la plus proche. Pas grand-chose à faire ici, mais nous décidons tout de même de profiter une éclaircie, pour nous promener dans le village. Et la qui croisons nous? Je vous le donne en mille. Nos amis belges. Lorsque la pluie se calme enfin, nous décidons de nous lancer dans l’exploration du parc naturel. Exploration est un bien grand mot. En effet le parc ne comprend que 2 sentiers. Nous apprécions tout de même la vue que nous offre l’un d’eux sur un impressionnant glacier suspendu. Une journée sur place nous suffit.
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Nous repartons avec pour objectif la ville de la Junta. Cette ville a ceci de particulier qu’elle se trouve dans une zone présentant une forte activité géothermique. En clair, il y a des sources d’eau chaude. Quoi de mieux pour requinquer les petits pédestres fatigués et transis de froid que nous sommes. Nous dénichons un petit camping perdu dans la campagne et qui dispose de sa propre source d’eau chaude. Nous passons une journée entière à nous immerger dans le quotidien: le légume à pot-au- feu, et quand vient le soir, nous prenons nos aises et nous installons non pas dans notre tente, mais dans la grande salle à manger, devant le poêle. Seuls dans notre petit paradis.
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Nous devons à présent rejoindre la ville de Chaiten qui marque la fin de notre voyage sur la Carretera Austral. Le chemin se fait tout naturellement en stop à l’arrière d’une camionette de chantier.
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 Nous y resterons 2 jours afin d’effectuer la randonnée menant au volcan…Mais avant de pouvoir débuter la randonnée, il nous faut en rejoindre le départ. Nous boudons les bus touristiques, et leur préférons le stop. Cela fonctionne plutôt bien, et nous avons même l’occasion de monter avec un gars vraiment sympa qui n’hésite pas à faire un détour pour nous montrer une plage de laquelle nous apercevons des dauphins. C’est également tout fier, qu'il  nous emmène voir la maison qu’il est en train de construire. Finalement, nous parvenons à destination. La randonnée est courte, mais difficile. Ça grimpe raide, mais la vue est à la hauteur de nos attentes. Le volcan étant actif, de nombreux fumeroles s’échappent ça et là du sol rocheux ce qui, il faut bien l’avouer, est assez impressionnant.
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Nous retournons à Chaiten pour la nuit et, le matin suivant, nous embarquons sur le ferry qui doit nous conduire sur l’île de Chiloe.
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Récit de la traversée des fjords Patagoniens
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Après plus de deux jours d'une épique traversée, nous sommes arrivés à bon port (Puerto Yungai) en compagnie de notre cher Patochimbo, qui a bravé les flots et les tempêtes de la Patagonie avec le flegme qu'on lui connaît !
De façon surprenante, la traversée s'est déroulée en quelques clins d'œil. Touille a en effet démontré durant le voyage qu'elle pouvait dormir de jour comme de nuit (il faut dire que la pauvre bête était épuisée après ses trop courtes siestes nocturnes durant le trek W). C'est donc pleine d'énergie que nous la retrouvons !
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Docteur Rathatton, quand à elle, à beaucoup apprécié le radiateur des toilettes ainsi que celui de la douche.
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De son côté, docteur X a réalisé qu'il était guéri. (Cesser d'avoir mal au ventre sur un bateau, cet homme est décidément plein de contradictions). Il a également pu peaufiner un scénario de jeu de rôle dont vous aurez-il l'espère- bientôt des nouvelles.
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La traversée a été pour tous l'occasion de se reposer, de prendre de multiples douches et de se groomer comme il se doit. Malgré le caractère quelconque des mets et boissons proposés (mention spéciale au "jus d'orange" réhydraté) , se voir servir des repas pendant deux jours à été plus qu'apprécié. Il faut dire qu'à ce tarif on n'en attendait pas moins.
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Nous avons aussi courageusement regardé les principales prochaines étapes de notre voyage, qui s'annoncent grandioses, entre pingouins, volcans et glaciers ! En guise d'hors d'œuvre, voici quelques photos prises sur le pont du Crux Australis, notre vaisseau de guerre.
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Enfin, docteur X a enfin pu rentabiliser l'achat de divers jeux de plateau sur son Ipad (Terraforming mars, mon amour).
Prochaine étape, Caleta Tortel, un village de pêcheurs, et le début de la Carretera Austral (un route pleine de gravillons, courage docteur Rathatton).
P. S : Nous adressons une pensée émue à ces pauvres chiens enfermés à ciel ouvert entre quatre planches de bois à l'arrière d'un camion et qui on sagement subi les éléments pendant 800 km. Le karma de leur maître est certainement à son plus bas.
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aventurevolcans · 5 years ago
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Aventure et Volcans, voyages sur les volcans actifs depuis 1983. Plus de 50 circuits différents pour découvrir les principaux volcans de la planète. Randonnée, trekking et expédition. www.aventurevolcans.com [email protected] #volcanology #hiking #trek #trekking #volcan #randonnée #lave #eruption #aventure #aventurevolcans @tanguydesaintcyr (à Aventure et Volcans)
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parroquialloaturismo · 2 years ago
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Atractivos Turísticos
Santuario del Cinto.-
En la loma de Huayrapungo se venera a la Virgen del Cinto, patrona de este lugar desde donde se puede divisar el sur de Quito y disfrutar del magnífico paisaje que brinda la ruta de los volcanes.
 A la Virgen María se la puede observar entre las piedras junto al niño Jesús en sus brazos, además dos mujeres que le acompañan una en cada extremo, también dos frailes y un niño de una de las mujeres.
Historia
Cuenta la historia que una señora que vivía por Lloa que cada mañana salía a vender quesos y leche, la venta del día había estado muy mala, al regresar camino a casa se deslumbro al mirar en una piedra la imagen de la virgen.
La señora la miro gritando milagro!. milagro!…
Todos los vecinos del sector se acercaron a observar lo que sucedía, entonces miraron a la virgen, desde aquel día la señora no se preocupó más por sus quesos y leche, pues todos los días le iba bien en su venta.
La iglesia fue construida en el lugar en donde apareció la virgen, desde ahí se celebra las fiestas el 8 de septiembre por ser el día en que se honra al nombre de María, sin embargo, las festividades inician desde la última semana de agosto hasta la primera de octubre, siendo el domingo los días de festejo.(Eligesermejor,2020)
Recomendaciones
Llevar ropa abrigada.
Se observa movimiento turístico y ventas en mayor cantidad desde viernes, fines de semana y feriados.
Para compra de productos en las afueras llevar dinero en denominaciones bajas.
Tomar fotografías sin flash.
Recorrer libremente la iglesia.
No fumar.
No ingresar alimentos.
No ingresar con maletas y paquetes grandes. (ViajandoX, 2022)
Parque central de Lloa.-
“El Pueblo del Volcán”, llamado así por estar ubicado en las faldas del gran volcán “Guagua Pichincha”, describe a un pequeño poblado de aproximadamente 2500 personas que habitan en calma, rodeadas del verdor de sus tierras y las paredes montañosas que la rodean.
Desde tiempos inmemorables, Lloa fue una ruta de conexión y comercio entre la sierra y la costa, aprovechado principalmente por los llamados “yumbos”, para comercializar, sal, algodón, frutas tropicales, maíz y otros productos que beneficiaba a la población de ambas regiones.
Según investigaciones realizadas por Luis Páez y recogidas en el libro “El Pueblo del Volcán, Etnografía de la Parroquia de Lloa”, nos cuenta que el primer poblado en el valle de Lloa estaba ubicado en el sector de Urauco que era utilizado como paradero de paso o tambo.
Con el pasar de los años aparecen otros asentamientos y barrios como el centro poblado en donde está la iglesia, el parque central y la casa del GAD de Lloa, San Luis, San José, La Cooperativa Virgen del Volcán, San Juan de Chillogallo, Saloya, Playas del Río Cristal, Cooperativa 29 de Enero, Chiriboga.
Su población se dedica a actividades agrícolas y ganaderas que son ofrecidas en las ferias semanales que se realizan en el centro poblado.
Actualmente se apuesta al turismo comunitario con sus múltiples variables: turismo de montaña, pesca deportiva, trekking o senderismo, excursionismo, turismo de aventura y la deliciosa gastronomía. (GoRaymi, 2022)
Cascadas de Urauco.-
El complejo cuenta con un circuito de cascadas naturales formadas con los saltos del río Cachaco; tiene dos piscinas de aguas termales cuyas propiedades medicinales atraen a cientos de visitantes.
Destacado de las Cascadas y Aguas Termales de Urauco
Aguas termales:  Una piscina de aguas termales con una temperatura de 26°C. Tiene un diámetro de 150 metros y una profundidad de 1,70 metros. Una piscina de barro medicinal con afloramientos naturales. Tiene 1 metro de profundidad y una temperatura aproximada de 28°C.
Cascadas: El río Cachaco, afluente del Cinto, desciende por el sector de Palmira formando varias cascadas de diferente altura. Se accede a los saltos a través de un estrecho sendero que parte de la zona de las termas. En el recorrido podremos observar flora y fauna típica del bosque de neblina montano.
Caminatas por un sendero ecológico debidamente señalado, donde se puede apreciar 8 cascadas, siendo la última la más llamativa por ser de 30 metros de alto con la caída proveniente del volcán Guagua Pichincha.
Servicios: cuenta con servicios de duchas, restaurante, canchas deportivas y una ruta para visitar las cascadas naturales que se forman con los saltos del río Cachaco.
Historia
La asociación está en funcionamiento desde hace 4 años, sus socios mencionan que desde el 05 de marzo del 2009 que empezó a funcionar su organización, se han dedicado a mejorar de a poco el centro turístico, debido a la falta de recursos que inicialmente percibían.
Durante este periodo los socios han hecho la gestión correspondiente para ser legalmente reconocidos, para lo cual elaboraron sus estatutos con la asesoría jurídica adecuada en donde se indica que su objeto principal es: Atraer turismo y dar fuente de trabajo a la comunidad para que los jóvenes no emigren a la ciudad, acogiéndolos como socios miembros ubicándolos en distintos puestos de trabajo que pueden ser administrativos, de guías turísticos, mantenimiento, entre otros.
Al complejo turístico de la asociación lo rodean los ríos Baños y Sebauco, y es importante mencionar que la vertiente principal de la piscina de aguas termales es con agua que viene del volcán Guagua Pichicha.
Ubicación
Se ubica al sur occidente de Lloa, tras recorrer 16 km, desde el parque central de Lloa, por la carretera Lloa-Mindo, hasta llegar a la hacienda Palmira.
Infraestructura interna:
-Servicios higiénicos; 2 para hombres y 2 para mujeres.
-10 vestidores.
-2 chorros de agua a través de una manguera adecuada como ducha.
-Anaqueles por terminar, para guardar las pertenencias de los turistas.
-Horno de cal ancestral.
-2 canchas de vóley.
-1 cancha de fútbol.
-Parqueaderos para vehículos y bicicletas con guardianía
Recomendaciones
Se sugiere ir en la mañana, pues el sitio se nubla pasadas las 13:00.
Consultar al médico antes de utilizar la terapia con aguas termales en caso de embarazo o alguna enfermedad.
Evitar bañarse solo en aguas termales, los adultos mayores deben de usarlas con precaución.
Evitar el baño si se encuentra bajo el efecto del alcohol.
tener cuidados extremos si se están tomando medicamentos para enfermedades del corazón.
Evitar el sobrecalentamiento, manténgase bien hidratado y si padece de enfermedades de la piel que sean contagiosas, utilice piscinas privadas. (Ministerio de Turismo,2013)
Cuscungo Adventure Lloa.-  
Guagua Pichincha.-
El volcán Guagua Pichincha se encuentra ubicado a 12 km al oeste de la ciudad de Quito, en la Cordillera Occidental de los Andes Ecuatorianos. Consiste de un domo, denominado Cristal, ubicado dentro de escarpe de deslizamiento que tiene forma de herradura abierta hacia el occidente. Otros centros eruptivos más antiguos y mucho más voluminosos como Toaza, Guagua Basal y Rucu se encuentran al oriente del centro volcánico activo cuyas fumarolas suelen ser muy notables.
El Guagua Pichincha está formado en su mayoría por rocas de composición dacítica. Varias de las erupciones de los últimos diez mil años fueron muy explosivas y provocaron caídas de cenizas, flujos piroclásticos, así como a domos de lava que posteriormente colapsaron.
Durante la época prehistórica las erupciones de mayor magnitud fueron las ocurridas hace 3700 y hace 1000 años. La erupción histórica del año 1660 fue también muy importante, aunque de menor magnitud que las precedentes. En todos los eventos hubo caídas de ceniza importantes en la ciudad de Quito, así como flujos piroclásticos, colapsos de domos y generación de lahares secundarios en varios sectores del volcán (Robin et al., 2010).
El Guagua Pichincha, cuyo significado sería "niño" o "bebé" Pichincha, forma parte del macizo del Pichincha, juntamente con el Ruco Pichincha (4698m) y el Padre Encantado. Estas tres montañas son especialmente visibles desde el sur de Quito, en ocasiones con una capa de nieve en sus partes altas. El volcán Guagua Pichincha ha permanecido activo por muchos años, con erupciones que han sido explosivas y han provocado grandes columnas de cenizas que se han elevado a kilómetros de altura y han terminado causando abundantes caídas de ceniza en la ciudad de Quito, especialmente la erupción del 2001, cuya imagen del enorme hongo explosivo hasta ahora asusta y causa admiración a los quiteños. En la actualidad la actividad volcánica es medio baja, aunque sí se presentan algunas fumarolas dentro del cráter y su olor típico puede ser percibido desde el borde del mismo. Esta caldera tiene la forma de una herradura abierta hacia el occidente, justamente por ese lado se desfoga la mayor cantidad del material volcánico expulsado en las erupciones.
Leyenda
Para nadie es secreto los amoríos entre los grandes volcanes y nevados que descansan en los suelos ecuatorianos. Tal como los hombres ellos pelean por amor y tienen una que otra aventurilla de la que su doncella termina enterándose. Por supuesto fruto de sus romances hay unas cuantas guaguas desplazadas por la cordillera de los Andes.
Es así que cuenta la leyenda que hubo una época en la que los dos grandes guerreros del Ecuador, el imponente Chimborazo y el guapo Cotopaxi mantuvieron una fuerte batalla por ganar el amor de la hermosa Tungurahua.
Finalmente, el imponente Chimborazo venció, haciéndose acreedor a galantear a la Tungurahua; fruto de este gran Amor nació su bebé que en el quichua de nuestros pueblos indígenas es el GUAGUA PICHINCHA.
Ojo que hay quienes dicen que lo que realmente pasó es que la Tungurahua amaba al Cotopaxi, pero este se veía inmerso en varias infidelidades, por lo que ella lo dejó y se refugió en los brazos del Chimborazo. ¿Pero quién soy yo para injuriar al Cotopaxi o desmentir el Amor de la Tungurahua con el Chimborazo??
Lo que sí puedo afirmar es que la Tungurahua cuida de su Guagua como digna representante de las madres ecuatorianas y permanece constantemente pendiente de el, tan consentido es el Guagüito, que, si la Tungurahua se descuida, el enseguida llora; la última vez que lo descuidó en el año de 1999; el llanto del Guagua cubrió de cenizas a todo Quito pero inmediatamente la Tungurahua se pronunció, asustando también a los pobladores de Baños. (Planeta Laboratorio,2020)
Recomendaciones
-La caminata desde Lloa al Refugio del Guagua Pichincha puede tomar entre 4 y 5 horas.
-Por lo general se suele emplear un solo día para cualquier actividad en esta montaña; siempre y cuando se tenga transporte hasta el refugio.
-El refugio se lo utiliza sobretodo para monitoreo del volcán, también está abierto para cualquier visitante. Cuenta con literas y cocina.
-Una caminata fácil es subir desde el refugio al borde del cráter, 15 a 30min; te brindará hermosas vistas en días despejados.
-Podrías continuar caminando a la primera cumbre (Cumbre 1) por otros 30min a 1 hora, una caminata fácil.
-El Guagua Pichincha recibe las nubes de la costa y en ocasiones puede nublarse completamente; se recomienda precaución para no alejarse de los senderos principales.
Ruta Lloa -Palmira
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omagazineparis · 7 months ago
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Vacances en Équateur : explorez ce joyau sud-américain
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L'Équateur, ce petit pays situé en Amérique du Sud, est une destination incroyablement diversifiée qui offre une variété de paysages, de cultures et d'expériences uniques. Des montagnes majestueuses aux plages de sable doré, en passant par la forêt tropicale luxuriante et les villes coloniales, l'Équateur a tout pour plaire aux voyageurs en quête d'aventure et de découverte. Dans cet article, nous partageons nos conseils pour des vacances mémorables en Équateur, en mettant en avant les incontournables à ne pas manquer. Explorez les îles Galápagos Les îles Galápagos sont l'une des principales attractions de l'Équateur, offrant une expérience unique pour les amateurs de nature et de vie marine. Ces îles abritent une faune incroyablement diversifiée et souvent peu farouche, permettant aux visiteurs de s'approcher de près des tortues géantes, des iguanes marins et des oiseaux exotiques. Participez à des excursions de plongée ou de snorkeling pour explorer les eaux cristallines et découvrir un monde sous-marin fascinant. Randonnée dans les Andes Les majestueuses montagnes des Andes traversent l'Équateur, offrant des possibilités infinies de randonnée et de trekking. Parcourez les sentiers de la Sierra pour découvrir des vues à couper le souffle, des villages pittoresques et des marchés colorés. Ne manquez pas l'occasion de vous aventurer jusqu'au volcan Cotopaxi, l'un des volcans actifs les plus hauts du monde, pour une aventure alpine inoubliable. Plongez dans la culture à Quito La capitale, Quito, est une ville où l'histoire et la culture se rencontrent. Explorez le centre historique, classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, avec ses rues pavées, ses églises coloniales et ses places animées. Ne manquez pas non plus la chance de monter à bord du téléphérique pour une vue panoramique sur la ville depuis les hauteurs des Andes. Détente sur la côte du Pacifique L'Équateur offre également des plages magnifiques le long de la côte du Pacifique. Des spots de surf prisés aux retraites tranquilles, il y en a pour tous les goûts. Montañita est réputée pour sa vie nocturne animée et ses vagues impressionnantes, tandis que les plages de Montecristi et Ayampe offrent une évasion paisible pour se détendre au soleil. Découvrez la forêt amazonienne Une partie de l'Équateur est recouverte par la forêt amazonienne, offrant une incroyable biodiversité et des expériences d'écotourisme uniques. Participez à des excursions en pirogue pour explorer les rivières luxuriantes, observez la faune et la flore sauvages, et découvrez la vie quotidienne des communautés indigènes qui vivent en harmonie avec la nature. A lire : Les sites archéologiques à visiter en France Respectez l'environnement et la culture Enfin, lors de vos vacances en Équateur, il est essentiel de respecter l'environnement fragile et les cultures locales. Optez pour des opérateurs de tourisme responsables et respectueux de l'environnement, respectez les règles et les traditions des communautés locales, et prenez soin de ne laisser aucune trace de votre passage. En somme, l'Équateur est une destination qui offre une variété incroyable d'expériences pour les voyageurs aventureux et curieux. Des îles Galápagos à la forêt amazonienne, en passant par les montagnes des Andes et les villes historiques, l'Équateur est un joyau sud-américain qui ne demande qu'à être exploré. Suivez nos conseils pour des vacances inoubliables et enrichissantes dans ce pays fascinant. Read the full article
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tanguy-de-saint-cyr · 5 years ago
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Catalogue Aventure et Volcans 2020. Aventure et Volcans, spécialité dans les voyages et les expéditions sur les volcans actifs depuis 37 ans. #calameocoversclub #calameo #calameocreatives #aventurevolcans #aventureetvolcans #aventurevolcanique #volcan #voyage #trek #trekking #hiking #hike #hiker #randonnée #randonnee #volcano #volcanoeruption #volcanoes #tanguydesaintcyr (à Aventure et Volcans) https://www.instagram.com/p/B_H7D1eouoY/?igshid=15chib21caquo
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