#tous aux cèpes
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bonheurportatif · 2 years ago
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Quelques trucs bien en novembre
1er novembre Recevoir un mail amical, sous la forme d'un strip de Tom Gauld Ramer sans se casser le dos Découvrir une revue québécoise de recherche en littérature
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2 novembre Déjeuner sur le pouce, des restes du frigo Découvrir avec intérêt le travail de Jérôme Game, parmi d'autres trucs de poésie sonore Ne pas voir passer l'heure au téléphone avec la responsable d'un refuge équin 3 novembre Raccourcir efficacement la procédure de validation d'un article Avoir lu un Goncourt avant qu'il ne soit primé Dîner d'une soupe de cèpes 4 novembre Se réveiller en pleine tempête Être à jour de son travail pour au moins un après-midi Regarder un film avec la famille au complet 5 novembre Couper une betterave cuite en petits cubes Sauvegarder enfin le contenu de son vieil ordi sur un disque dur externe En profiter pour se replonger dans plusieurs années de photos
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6 novembre Aider sa fille à boucler fissa son devoir de géométrie Lire dans l'après-midi le livre qui attendait depuis un an sous son lit Retrouver facilement sur internet le titre qui nous est revenu en mémoire durant la lecture 7 novembre Après les avoir longuement cherchés, et redouté leur disparition, retrouver deux bouquins, à leur place, dans la bibliothèque Ranger, et réaménager un peu le bureau Saupoudrer sa soupe de potimarron de châtaignes écrasées 8 novembre Ouvrir un restaurant à oiseaux et rencontrer un grand succès : les clients se battent Retrouver l'infraordinaire Acheter trois livres, en commander deux, s'en faire offrir deux
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9 novembre Passer par la plage pour rentrer Apprendre la différence entre "raven" et "crow" Limiter sa consultation des sites d'info 10 novembre Rester plus longtemps qu'à l'accoutumée sous une douche plus chaude qu'à l'accoutumée Ranger mon placard d'atelier Décliner avec politesse mais résolution une proposition de collaboration 11 novembre Tomber sur une mise en abîme de ces 3 trucs bien dans un roman Faire des pizzas maison, pâtes comprises Finir un deuxième roman avant d'aller se coucher 12 novembre Prendre un café avec une amie perdue de vue depuis des années et croisée au marché Sourire aux "bains sulfureux" gravés dans la pierre Lire l'inspirant journal d'Erica Von Horn 13 novembre Se réveiller au terme d'une quasi grasse mat', à 9h passées Faire une promenade sur la plage Remplacer la pile de la pendule
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14 novembre Se réveiller une minute avant le réveil et l'empêcher de nuire Liquider rapidement le courrier Voir un arc-en-ciel 15 novembre Entendre la pluie sur le toit Renouveler sa pile de livres à lire à la médiathèque Passer par la mer et tomber sur une procession de promeneurs de chiens lumineux 16 novembre Réécouter Vaduz de Bernard Heidsieck Préparer (balayer, dépoussiérer) le poêle en prévision d'un feu Faire la première flambée de l'automne 17 novembre Voir un mini-arc-en-ciel très furtif dans la tempête Animer sans réelle préparation une très agréable séance d'atelier Marcher sous un ciel gris menaçant et s'abriter quelques secondes avant l'averse
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18 novembre S'accorder quelques minutes supplémentaires au lit Recevoir Le Matricule des anges avec Thomas Vinau Boucler (enfin ?) un boulot qui traîne depuis deux mois 19 novembre Se régaler de la lecture - et de la découverte - de Guy Bennett Savourer par avance la triple bonne pioche effectuée chez le libraire Lire devant un feu, tandis que le reste de la famille joue 20 novembre Fêter un anniversaire avec tous les enfants Bien réussir les tartines au fromage, fondu, pas trop grillé Regarder Blow Up pour la première fois 21 novembre Marcher sur la plage et contre le vent avec sa chérie Manger des saloperies, avec une culpabilité gourmande D'un souffle, ranimer le feu 22 novembre Voir un très bel arc-en-ciel pile dans l'axe de sa rue Boucler son travail à 9h30 Recevoir la confirmation pour la location des vacances
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23 novembre Trouver une place où il n'y en a habituellement jamais Acheter un mixeur à bras qui fait aussi batteur à œufs Manger des oursons à la guimauve avec un nutriscore E comme "Excellent" 24 novembre Franchir in extremis le passage à niveau avant qu'il ne se mette à sonner Tester des haïkucottes avec les étudiantes, mélange de haïkus écrits sur des salières en papier Se faire son cadeau de Noël 25 novembre Arriver à nouer la cravate de sa fille Recevoir quelques mails amicaux Arriver sur l'île à la fois dans la brume et sous le soleil 26 novembre Lire presque toute la journée Décrasser sans forcer la vitre du poêle Démarrer facilement le feu 27 novembre Réviser son espagnol Effectuer une réparation de fortune dans le plafond crevé de sa fille Conduire dans les marais, de nuit, à petite vitesse, sous une pluie battante 28 novembre Balayer l'humeur du jour à la tombée de la nuit Préparer deux chocolats chauds Tester les rapports entre les temps de cuisson et le moelleux des cookies maison
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29 novembre Découvrir sa playlist 2022, basée sur ses statistiques d'écoute Céder à la fatigue Sortir son gros pull islandais 30 novembre Allumer le chauffage un mois et demi plus tard que l'an dernier Reporter tout travail ce matin Déclarer un total de piges confortable
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre. > Quelques trucs bien en octobre.
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leblogdemarinaetjeanmarie · 2 months ago
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SAMEDI 5 OCTOBRE 2024 (Billet 1 / 5)
« QUAND VIENT L’AUTOMNE » (1h 42min)
Un film de François Ozon, avec Hélène Vincent, Josiane Balasko, Ludivine Sagnier…
Sur le Site AlloCiné :
Critiques Presse : 3,5 / Critiques spectateurs : 3,6
Comme d’habitude, pour vous dire ce que nous avons pensé du film, nous avons trouvé une critique d’un spectateur de province qui décrit au mot près nos impressions lorsque nous sommes sortis de la projection, mercredi dernier, premier jour de son exploitation en salle (une salle qui, entre parenthèses, était archi-pleine… pleine de spectateurs de notre génération – nous nous serions crus dans une maison de retraite 🤣 !).
Nous donnons tous les deux à ce film : 💓💓,5 sur 5. « Film français » pour « film français », « LE FIL » de Daniel Auteuil est autrement mieux réussi ! Nous vous le conseillons toujours.
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L'automne est ma saison préférée. J'aime entrer dans cette période où les jours raccourcissent, où les arbres jaunissent, où le vent se lève et les cheminées se réveillent. Demain, l'été s'en va et ça me remplit de joie. Quant à François Ozon, j'ai beaucoup aimé certains de ses films, dont le dernier, « Mon Crime », avec Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewicz. Ainsi, lorsque j'ai appris que son nouveau film, « Quand vient l'automne », serait diffusé en avant-première près de chez moi, je n'ai pas réfléchi longtemps avant de m'y déplacer. Et quelle déception ce fut !
« Quand vient l'automne », malgré ses tons orangés et ses forêts boueuses, qui rappellent l'époque où j'allais cueillir des champignons avec mon père dans les champs, ne m'a malheureusement procuré aucun effet, aucune sensation. Avec un tel titre, on aurait pu pourtant s'attendre à un film d'ambiance, d'autant qu'il sort dans nos salles au moment parfait. Cependant, à part quelques balades dans les bois et un soleil descendant sur un ciel grisâtre, ce drame au scénario rocambolesque peine à imposer son atmosphère. J'ai été déçu par le casting qui ne permet pas à tous ces personnages de nous passionner : on se fiche de la plupart de leurs problèmes et c'est bien regrettable car toutes ces relations parent/enfant auraient dû nous toucher davantage. Hélène Vincent est bien mais peut-être en fait-elle un peu trop, j’imagine Suzanne Flon à sa place, elle aurait été parfaite. J'ai eu également du mal à m'attacher à Josiane Balasko (trop caricaturale) ou Ludivine Sagnier (idem), et encore moins à Pierre Lottin (on dirait un mauvais imitateur qui prendrait l’accent d’un petit malfrat) et Garlan Erlos dans le rôle de Lucas, un jeune garçon sans vraiment aucun relief et qui ne dégage rien de ce qu’il est censé exprimer (une erreur flagrante de casting) !
Le scénario, quant à lui, est tiré par les cheveux et ne mène nulle part. Après une introduction sur fond de cueillette de champignons, dont la conclusion se voit venir 15 minutes à l'avance tant les sous-entendus sont appuyés, on assiste à des querelles familiales en veux-tu en voilà, qui ne m'ont jamais touché tant les personnages manquent cruellement de nuances. De toutes façons, les situations n'éclatent jamais vraiment et le film s'avère même assez ennuyeux, car répétitif dans son principe et ses décors, jusqu'à un final qui ne fait pas du tout dans la subtilité (ce plan fixe pour fermer le film est assez ridicule). 
Bref, je ne vais pas m'éterniser sur « Quand vient l'automne » qui ne m'a fait ressentir ni l'arrivée de cette saison magnifique, ni les émotions des personnages. Je vais retourner dans les bois, cueillir des champignons, éplucher quelques gousses d’ail et me faire une bonne omelette aux cèpes qui me régalera davantage que le plat sans relief et trop convenu que nous a cuisiné François Ozon !
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toutmontbeliard-com · 3 months ago
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Les Journées Gourmandes de Montbéliard 2024
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Montbéliard accueille la deuxième édition des Journées Gourmandes, les samedi 21 et dimanche 22 septembre 2024 (samedi de 14h00 à 23h00 et dimanche de 10h00 à 21h00), Parc du Près-la-Rose, au cours du week-end dédié aux Journées du Patrimoine, l’occasion d’allier la visite du riche patrimoine historique, patrimonial de la Cité des princes et de savourer les spécialités culinaires du Pays de Montbéliard et de Franche-Comté. Après une première édition très réussie sur le site du château, la deuxième édition des Journées Gourmandes sera organisée dans les allées du parc du Près-la-Rose où différents espaces seront aménagés pour accueillir les visiteurs : marché de produits locaux et artisanaux variés, espaces jeux pour tous, village de foodtrucks, espace apéro-chill/détente avec musique, transats et poufs géants. L’évènement est organisé par la Ville de Montbéliard, le collectif Montbéliard Animations et Festivités et l’Office de tourisme du Pays de Montbéliard. A travers cette nouvelle collaboration, les organisateurs poursuivent leur objectif de valoriser le patrimoine et les savoir-faire locaux en matière de gastronomie avec le soutien de producteurs et autres métiers de bouche de Montbéliard et des alentours. A l’instar de l’an passé, la deuxième édition est organisée sur deux jours avec un grand marché du terroir, des animations pour tous, des concerts en accès libre et une marche gourmande… Marché du terroir Le marché accueille cette année une quarantaine de producteurs locaux contre une quinzaine en 2023. Installé dans les allées du parc de Près-la-Rose, il offrira une large gamme de produits alimentaires de qualité. Les visiteurs pourront se laisser tenter par les nombreuses dégustations et repartir avec quelques petites provisions, histoire de se remonter le moral en ce début d’automne. Les visiteurs retrouveront les salaisons locales comme la saucisse de Montbéliard ou encore escargots, tartinades, cancoillotte, comté, morbier mais aussi des miels, chocolats, glaces, confitures, biscuits.... Les boissons satisferont également tous les goûts : bière, vin, crémant et autres boissons sans alcool... Les visiteurs pourront se laisser tenter par un cornet de saucisson, un sandwich de fondue à la Morteau ou encore un « Hot comtois » ! Au menu également : coq au vin, pâtes au pesto d’ail des ours, friture de carpe, frites, poulet au comté... Tarte aux noix, gaufres, crêpes... Bières, limonades, café, tisanes... Stands d'information et de sensibilisation Des associations et partenaires de la Ville de Montbéliard seront également présents : Signé Montbé (commerces de Montbéliard et bons d’achat) ; Office de tourisme du Pays de Montbéliard (promotion des événements et boutique) ; Info Jeunes Montbéliard, le samedi seulement (Carte Avantages jeunes) ; Association pour le Don du Sang Bénévole de Montbéliard (sensibilisation au don) ; ASCAP Œnologie (initiation, le samedi de 15h00 à 17h00 et le dimanche de 10h00 à 12h00). Marche gourmande Montbéliard va accueillir la deuxième édition de la Marche gourmande le dimanche 22 septembre 2024. L’occasion d’allier la visite du riche patrimoine historique de la Cité des princes et de savourer les spécialités culinaires de Montbéliard et de son pays. Départ depuis l’Office de Tourisme de 10h15 à 12h30 avec un départ toutes les 15 minutes. Etape finale au Près-la-Rose Au menu : étape 1 Théâtre de Montbéliard, apéritif Pontarlier ou bière régionale ou kombucha ; étape 2 Stade Bonal, velouté de poireaux et saucisse de Montbéliard IGP, Arbois Blanc Ligier ou Limonade ; étape 3 Temple Saint-Georges, émincé de poulet au vin du Jura, cèpes et roestis, vin de Charcenne ou eau ; étape 4 Skatepark Le Frigo, assiette de fromages, Poulsard ou boisson sans alcool, animation Freestyle Adrenaline Camp ; étape 5 : Parc du Près-la-Rose, baba franc-comtois à la cerise (avec ou sans alcool), boule de glace pour les enfants, infusion ou café. Adulte 35 €, enfant 20 € (de 6 à 14 ans,  comprenant les étapes 1, 3 et 5,  avec boissons sans alcool et boule de glace). Inscriptions auprès de l’Office de Tourisme du Pays de Montbéliard 03 81 94 45 60, réservation jusqu’au 12 septembre 2024. infos > www.montbeliard.com     Read the full article
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les-cris-des-fendues · 1 year ago
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"Psic, Anna et Lise" de Catherine Pierre
(Extraits)
Moi, je serais psychiatre, je recevrais dans un bistrot. Un bistrot à vins, avec portes ouvertes. On discuterait le coup au dessus du comptoir (...) D'ailleurs mes clients (sic ou pas sic?), ils ne me paieraient pas. Je recevrais mon pinard directement de Bourgogne et du Beaujolais. Il y aurait, bien sûr, des saucissons, des sau-ci-sses-sè-ches, des jambons à foison. Et des pâtés! Je serais la reine du pâté à Paris. Il y aurait des pâtés de canard, de lapin, de faisan, du pâté aux cèpes, des terrines de sanglier, des terrines de foie de volailles, des foies gras du Périgord. Et puis des fromages du Cantal, des fourmes, des reblochons, des crottins de Chavignol, des roqueforts des Causses, du maroilles, des camemberts à point, des bries coulants... Ce serait la fête continue.
P.19
*
(...)
-Par exemple, elle (sa mère) répétait tout le temps ce vers de Mallarmé: "La chair est triste hélas, et j'ai lu tous les livres." ... Ça m'énervait, mais ça m'énervait!
-Et c'est comment alors , la chair?
Quel con ce type! Si lui aussi se met à poser des questions métaphysiques, où allons-nous?
-D'abord, je ne sais pas ce que ça veut dire, la chair. C'est une terminologie chrétienne. La chair opposée à l'esprit. C'est un coup des Pères de l'Eglise. Des mecs qui ont pu affirmer que toute la femme était dans son utérus, il n'y a qu'eux pour avoir pu parler de " la chair "... C'est un langage de charcutier. Si vous demandez de la chair à un charcutier, au moins c'est clair. Il vous donnera de la chair à saucisses, c'est à dire de la chair de cochon. Dans le vers de Mallarmé, la chair veut dire "l'acte de chair ". La fornication n'est pas triste, nom de Dieu!
P35
*
-Qu'est-ce que le désir?
Encore une question à la flan. C'était la deuxième en vingt minutes. Surtout parle pas trop, Duchmol, ça pourrait te fatiguer.
J'ai pris mon temps. Le désir? Ah, mon bon monsieur, c'est bien une question de psic... Je ne sais pas ce que c'est, moi. Si toi tu ne le sais pas, alors qui le sait? Le désir, c'est quand j'ai envie de quelqu'un. Et lorsque ça m'arrive, je n'ai de cesse que de charmer le mec.
-Le désir, c'est une tension.
Ce n'était pas vraiment ce que je voulais dire. Le désir, bon sang, c'est quand on veut bouffer l'autre de plaisir et en être bouffé. Tu te souviens la piscine et mon corps allongé. Moi je vois encore ton ardeur ensoleillée. Tu ne savais plus quoi faire avec tous ces gens autour de nous. Tu avais le désir adolescent, mon prince. Et ce jour où nous mangions du miel, bouches mêlées, rires entrechoqués, morts de faim d'avoir trop fait l'amour, ne pensant qu'à recommencer, et il y avait de l'orage, et c'était fou et c'était fort et c'était drôle.
Le désir, mais que peut-il y comprendre, ce moustachu ratiocineur? Ce sujet commençait à me fatiguer. Je lui ai chipé un de ses cigares. En me donnant du feu, il s'est penché vers moi. Il puait l'eau de toilette musquée.
Mon amour sentait la forêt.
P.37
To be continued...
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selenoplexia · 6 years ago
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Empalot - Mañassé
Tous Aux Cèpes (2002)
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aisakalegacy · 2 years ago
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Marie Le Bris [DL]
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Le Bris Legacy - Génération 3
Histoire
Née en 1872, Marie Le Bris est la quatrième des cinq enfants d'une écrivaine anarchiste et d'un éleveur de chevaux d'une petite île canadienne du fleuve Saint-Laurent. Elle découvre la sculpture dans son enfance, à travers des reproductions de Rodin. Dès lors, elle devient une praticienne talentueuse et assidue, consacrant la totalité de son temps libre à essayer de saisir le mouvement dans la pierre. Autodidacte, elle estime que son talent est encore trop brut et souhaiterait se parfaire auprès d'un maître. Mais surtout, elle aimerait toucher à d'autres arts - gravure, peinture, et peut-être cet art nouveau qu'on appelle la photographie !
Traits et souhait à long terme
Sims aux multiples talents (1/3)
Amoureuse de la nature
Casse-cou
Génie
Aime la chaleur
Amicale
Carrière et compétences
Sculptrice : Reine de la glace (niveau 6)
Sculpture : niveau 10
Cuisine : niveau 2
Pêche : niveau 2
Logique : niveau 1
Divers
Cancer ♋
Plat favori : Risotto aux cèpes
Couleur favorite : Citron vert
Elle possédait 24 438 $ quand elle est partie de la maison de son père.
Contenu Personnalisé
Les robes viennent du blog de Lunenore
DLC : Super pouvoirs, Suites de Luxe Kit, Ambitions
CGU : Ne pas changer sa génétique ni son background (comme sa famille, son passé et sa date de naissance). Vous pouvez changer tout le reste. Elle peut même être transportée dans le présent à condition que ce soit justifié. Dans le passé, elle est jouable à partir de 1891. 
Taguez-moi sur mon blog principal @navissetpmocia​!
Téléchargez ici (sims3pack).
Story
Born in 1872, Marie Le Bris is the fourth out of five children, of an anarchist writer and a horse breeder from a small island in the St. Lawrence River (Canada). She first got to discover the art of sculpting in her childhood, through reproductions of Rodin's work. From then on, she became a talented and diligent sculptress, devoting all of her free time to trying to capture movement in stone. As a self-taught artist, she believes that her talent is still too raw and would like to improve it under the teaching of a master. Above all, she would like to give a try to other arts - engraving, painting, and perhaps this new art they call photography!
Traits and lifetime wish
Renaissance Sim (1/3)
Loves the outdoors
Daredevil
Genius
Loves the heat
Friendly
Career and skills
Sculptor: Ice Guy (level 6)
Sculpture : level 10
Cooking: level 2
Fishing: level 2
Logic: level 1
Various
Cancer ♋
Favorite meal: Porcini Risotto
Favorite color: Lime
She owned about 24 438 $ when she left her father's house.
Custom Content
Dress come from Lunenore's blog
DLC : Supernatural, Master Suite, Careers
TOU: Don’t change her genetics nor her background story (such as family, past and birthdate). You can change everything else. You can even take her to the present but only if it’s explained why. If in the past, she can be played from 1891.
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nanananerd · 2 years ago
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Jour 12 : Champignon
    Michel était heureux. Il savourait son premier petit déjeuner de retraité. Rien de très exéptionnelle, juste un croissant trempé dans du café. Mais pas n’importe quel croissant : un croissant de la boulangerie. Et pas n’importe quelle boulangerie, celle du village : pour la première fois depuis très longtemps, il avait pu aller chercher une viennoiserie à pied. Pour ce cadre supérieur parisien, ce petit plaisir n’avait pas de prix. Il avait passé les 15 dernières années à économiser chaque centime pour pouvoir rénover la petite maison qu’il avait achetée en Bretagne. Michel avait passé sa vie seul, n’ayant trouvé l’amour. Mais ça lui allait après tout. Et puis bon, faire des rencontres à son âge été déjà difficile, mais quand en prime ont été gay ! Pensez-vous donc. 
Il termina son croissant et bu le café où flottait des miettes. Aujourd’hui, il avait prévu d’explorer sa foret, et pourquoi pas d’y cueillir des champignons. Il rangea la vaisselle et partie enfilé de bonnes chaussures. Il n’avait pas envie que les gens du coin ne le prennes pour un touriste, aussi avait-il soigneusement composé sa tenue d’un jeans savamment usé, d’une chemise en flanelle grossière, mais de marque, et d’une immonde doudoune sans manches kaki, dont il appréciait néanmoins les nombreuses poches. 
Il referma la porte derrière lui, et ferma à clé. On était jamais trop prudent, se disait-il. Mais c’est vrai qu’un chien pourrait être un bon compagnon, et un bon gardien. Il attrapa son panier à champignons tout neufs et se dirigea vers les bois. Il avait suivi un séminaire l’automne dernier pour apprendre à reconnaitre les champignons. Certes, dans le Bois de Boulogne, mais ça ne devait pas être bien différent de la campagne ! Il avisa une première souche où jaillissait une touffe de champignons blancs aux écailles jaunes. Il se précipita dessus, pensant trouver les délicieux Polypore en touffe ! Il sortit de l’une de ces multiples poches le petit manuel qui lui avait été donné lors de son stage, et déchanta : il s’agissait de polypore assurément, mais écailleux, et impropres à la consommation. Il se redressa et se ressaisit : au moins, il y a de la vie ici ! Il continua sa marche.
Au détour d’un sentier, il s’arrêta pour prendre en photo une superbe Amanite phalloïde. Il rigola en reprenant sa marche ; il était en effet assez amusant de constater combien de champignons possédait des noms ambigüe: l’amanite vaginée, le satyre puant, le gymnopile pénétrant. Il arrivait sur les limites de sa propriété d’après ces souvenirs. Devant lui, puissant, majestueux, se dressé un chêne plus que centenaire. Il s’en approcha et caressa le tronc ; une légère chaleur s’en dégageait. Il ne la remarqua pas tant il était fasciné par l’arbre aux puissantes racines. En le contournant, au milieu d’entre elle, il vit des champignons ! Des cèpes ! Trop heureux, il les ceuilli tous, sans vérifier s’ils pouvait appartenir à l’une des espèces non comestibles et si communes qui existaient. Son esprit divaguait alors qu’il saisit le tronc du dernier champignon ; il était plus épais que les autres, plus noueux, plus ferme. Son chapeau était aussi démesurément proportionné que le champignon en lui-même. Une marmite comme disait ma grand-mère ! Il caressa une dernière fois le chêne, et reprit le chemin de la maison. À peine arrivé chez lui, après avoir retiré ses chaussures, il s’afféra au nettoyage des champignons. Son esprit ne cessait de revenir à cet arbre, qui lui avait laissé une sensation de chaleur étrange. Michel avait ramassé suffisamment de champignons pour faire une bonne omelette, et une sauce riche. Il se souvint qu’il avait vu de magnifiques lapins chez le boucher jouxtant la boulangerie ce matin. Ni une, ni deux, il s’y rendit. 
Durant le laps de temps que cette emplette lui prit, une armée de champignons varié avait envahi son terrain. Le lierre grimpait plus haut sur la façade. Il ne remarqua rien en rentrant, trop préoccupé par son repas du soir.
Il lui fallut le reste de la journée pour préparer son festin de retraité ; une salade de gésiers aux noix en entrée, du râble aux cèpes, avec de la purée et une omelette en plat de résistance, un bon morceau de camembert en dessert ! Repus, il n’avait même plus le courage de manger un dernier fruit. La somnolence se fit rapidement sentir, et il décida que la vaisselle pourrait bien attendre demain, les bras de Morphée l’attendaient. 
Il tituba jusqu’à son lit, et s’y effondra tout habillé, empoisonné.
Michel aurait dû se renseigner avant d’acheter le terrain, ce dernier était maudit ! On disait qu’un sorcier avait enchanté la terre pour que jamais personne ne puisse la posséder, avant de disparaître dans la forêt. Tout le monde dans le coin connaissait la malédiction ; bovins et ovins qui venaient y brouter mourrait dans la nuit. Les fermiers les suivaient dans d’étranges circonstances. La mort sur tous s’abattait !
Et Michel ronflait. Un filet de bave commençait à poindre sur ses lêvres. Il commençait même à rêver. Un rêve étrange ; il se voyait nu qui avançait vers ce chêne, le caressant, dansant à son pied. Il voyait un feu, ancien, qui brulait en son cœur, un feu réconfortant. Il avait de plus en plus chaud et se réveilla soudain. La nuit était tombée, seule la lune, ronde, éclairait sa chambre. Il se redressa et constata non seulement qu’il s’était couché encore habillé de sa tenue de forêt, mais aussi par l’émotion qui gonflait son entre-jambe. Surpris par la réaction de son corps, qui n’avait plus manifesté de désir depuis de longs mois, il attribua cela au calme. La retraite avait vraiment des vertus insoupçonnées ! Il se déshabilla et se rendormit. La suite de sa nuit ne fut pas plus calme, il fut un rêve érotique, mais perturbant ; il se voyait nu, au pied de l’arbre, à manger ces champignons aux formes équivoques. Savourant les chapeaux du bout des lêvres, se délectant des troncs massifs, s’allongeant entre les racines, ces derniers caressant son corps offert. À son réveil au petit matin, son émoi n’était pas redescendu. Il profita de la solitude de sa maison isolé pour se balader nu chez lui, et prendre son petit déjeuner dans son jardin. Il faillit lâcher sa tasse de café en ouvrant le porte de ce dernier : le jardin, si vert hier, été couvert d’une foule de psylocibes et de coprins. En une nuit, un épais tapis avait poussé autour de sa maison. Un chemin bordait de vesses de loup s’aventuraient dans la foret. Il eu une envie puissante de le suivre, mais une brise fraîche le rappela sa tenue. Il avala rapidement son petit déjeuner de fruits, bu d’une traite son café, et couru se vêtir. Il ne se soucia point de son apparence aujourd'hui ; le premier pantalon venue, la première chemise, des chaussettes, des chaussures et il été déjà sortie. D’un pas décidé, il s’enfonça dans les bois. En quelques minutes, le chemin l’avais ramené vers le grand chêne. Les vesses de loup formaient deux cercles dans la clairière ; l’un entourant le chêne, l’autre, en face d’un trou dans le tronc. Attiré par un instinct ancestrale, Michel s’assit dans le cercle. Il n’était pas spirituel, et ne croyait pas aux légendes sur les cercles de sorcières. Pour lui, ces cercles avaient toujours été la manifestation du motif du mycélium. Assis dans ce cercle, pour la première fois de la matinée, il se sentit en paix. Il resta longuement à observer l’arbre. Il avait le sentiment qu’il l’observait aussi. Qu’il l’étudiait comme lui l’étudiait. Tous deux été ridés. Tous deux étaient noueux. Lui semblait plus puissant. Michel se surprit à imaginer un homme aux épaules larges, au ventre tendu par la bonne chair et une musculature profonde, aux jambes arqués par les années de labeur. Cet homme, aux cheveux blancs comme lui, lui plaisait. Michel avait beau savoir qu’il aimait les hommes, il n’était pas simplement attiré par eux. Non, il avait besoin de se sentir proche d’eux, ami, de les connaître pour pouvoir les aimer et les désirer. Un bourdon vint zonzonner dans son oreille et le tira de sa rêverie : était-il vraiment en train de fantasmer sur un arbre ?! Il se releva, commença à rebrousser chemin et réagit : les vesses de loup avaient poussé dans la nuit, tout du moins, celle qui encerclait l’arbre : jeunes, elles été donc comestibles ! Il les ramassa, caressant le feuillu. Il été chaud. Comme vivant. Il trouvait ça étrange, mais pas désagréable. Il revu son rêve de la veille, celui où lover contre l’arbre, il mangeait avec une sensualité déconcertante son champignon. Ému, il rentra chez lui, la chemise pleine de champignons, la douceur de ces derniers caressant son ventre rebondi à chaque pas. 
Une fois chez lui, il entreprit de les nettoyer et réfléchi. Il avait grand besoin de faire des courses, et pas seulement alimentaires. Il lui fallait des livres. Il avait beau avoir travaillé ces 20 dernières années uniquement sur ordinateur, il s’en passait allégrement. Sans se changer, il attrapa les clés de sa voiture et partit en ville.
Il rentra chez lui à la nuit tombés; il lui fallut deux trajets pour vider le véhicule ; outre des victuailles et des boissons, il avait trouvé une petite librairie qui regorgeait d’ouvrages fascinants. Tenu par une jeune femme aux regards déconcertant, elle lui avait immédiatement trouvé les ouvrages qui pourraient l’éclairer ; des recueils de nouvelles, des contes de sorcières et de sorciers, un livre de reconnaissance de champignons, bien plus fourni que son petit poche, un livre sur l’étude biologique de ces derniers, et un énorme livres de cuisine ancienne. Il rangea les courses, puis amena la pile de livres au salon. Il ne garda dans la cuisine que l’énorme ouvrage de cuisine. Il ouvrit les fenêtres, et déboucha une des bouteilles de vin. Il sortit deux verres, se ravisa, étourdi et s’en versa un. Mais où avait-il la tête, il ne connaissait personne, et n’attendait personne, quand bien même, s’il se surprenait à en rêver. Il commença à feuilleter l’ouvrage, marque d’un pli les recettes qui aimerait essayer. Il adorer cuisiner, mais sa vie active ne lui en laissait que rarement le temps. Il se dit qu’un potager serai une bonne idée, puis il réalisa qu’il ne savait pas par où commencer. La nuit était tombée, la lune s’était levée, quand quelqu’un toqua à la fenêtre de la cuisine. Michelle releva la tête et tenta de retenir ces émotions. L’homme dont il avait rêvé au pied de l’arbre. Cet homme se tenait devant sa fenêtre.
-”Bonsoir, pardon de passer aussi tard, j’venais vous apporter quelques victuailles, pour vous souhaiter la bienvenue.” Il avait un accent bourru, une voix rauque. Michelle ouvrit la bouche pour lui répondre, mais aucun son ne sortit. Il se contenta de sourire en se levant précipitamment pour ouvrir la porte de la véranda. Il ne remarqua pas que son portail était resté fermé à clé. 
-”Merci, c’est très gentil à vous, entrer, je viens d’ouvrir une bouteille !” déclara enfin Michelle. L’homme lui sourit. Il avait un sourire doux, qui faisait ressortir les rides du coin de ces yeux. Michelle lui rendit son sourire en le guidant vers la cuisine. Il s’arrêta un instant pour se demander quand il avait ressorti le second verre. L’invité lui demanda :
-”C’est du rouge, j'espère ?”
-”Non, du blanc, ça se marie mieux avec les vesses de loup !”
-”Bah té, jt’ai ramener des œufs, tu pourra te faire une omelette !”
-”T’en as apporté pour deux ?”
L’homme lui sourit, et sortie un plein panier d’œufs de derrière lui. Michelle le regarda en haussant un sourcil. Il n’avait pas remarqué qu’il tenais un panier. Ni qu’il portait une longue chemise en lin pourpre, et un pantalon qui semblait en cuir. Il lui tendit son verre et prit le panier. Ils commencèrent à bavarder :
-”Au fait, je m’appelle Tugdual, mais les gens du coin me surnomme le Sorcier. "
-" Enchanté moi, c'est Michel ! "
-" T'es pas du coin, qu'est-ce qui t'a amené ici ? "
-" Le boulot en quelque sorte. Y'a une dizaine d'années, j'avais rendez-vous dans le coin, puis j'me suis perdu. Plus de réseaux, plus de GPS, et par hasard, je suis tombé sur cette maison à vendre. Un coup de foudre avant même de l'avoir visité. Du coup, j'ai sauté sur l'occasion, puis j'ai passé 10 ans à trimer comme un acharné pour pouvoirs payer les travaux et me voilà pour mes vieux jours ! "
-" Les employés du coin te l'ont p't'etre pas dit, mais t'a sauvé quelques entreprises avec ton chantier. Tu les as remis à flot et t'a permis de former la nouvelle génération. Puis c'est courageux d'emménager dans un terrain maudits "
Michel lui sourit et répondit calmement /
-" Tu sais moi les histoires de malédiction… Je fais confiance à mon cœur, ça m'a toujours mieux réussi ! "
-" Et t'a ben raison Michel ! Mais d'ailleurs, tu vis seul ici ? Po d' femme ou d'enfant ? "
Michel éclata de rire, le vin commençait déjà à monter. 
-" Non, on va dire que c'était pas mon truc. "
Tugdual le regarda en souriant. Il prit une gorgée de vin, et s'adossa à sa chaise. 
-" Moi non plus, mon cher, moi non plus ". Les deux hommes explosèrent de rire. Ils continuèrent à bavarder, Michel se surprenant à raconter sa vie à cet homme qui été un quasi inconnu. La bouteille fini, Tugdual se leva et déclara :
-"Ton vin était bien bon. Permets-moi de préparer la ripaille !" 
Michel rigola :
-"Va pour la ripaille, en bonne compagnie, c'est toujours meilleur ! Mais permets-moi de t'aider, ordonne et j'obéis !" 
Tugdual se tourna vers lui et s'approcha. Il le dominé d'une bonne tête. Il le toisa et souffla :
-"Des mots puissants que tu viens de prononcer. Tu m'invite chez toi, tu m'offre le vin, et tu n'a pas peur ?" 
Michel répondit d'une traite :
-"Non. Pas de toi, quand bien même, tu semble plus fort. Mais j'ai eu confiance en toi dès la première fois que je t'ai vu". Tugdual lui sourit. Le même sourire doux. Ils se mirent à cuisiner : le panier renfermé curieusement, tous les ingrédients pour faire un fricot et une bonne salade. Michel aurai pourtant juré qu'il n'y avait que des œufs initialement. Tugdual dressa les assiettes, que Michel attrapa :
-"Il fait bon dehors, et la nuit est claire, profitons en ! Tu veux bien attraper nos verres et une autre bouteilles ?" Tugdual s'exécuta et le suivi sur la table dans le jardin. Un nouveau cercle de champignons avait poussé autour d'elle. Les deux hommes mangèrent en silence, appréciant les craquements de la forêt, le scintillement des étoiles. Une fois leur assiette vide, Michel demanda :
-"Tu viens de la forêt non ?" 
Un silence. Une étoile filante. 
-"Il y a longtemps, que je t'attendais." 
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perruccis-cuisine-passion · 3 years ago
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Rôti De Bœuf Aux Herbes Et Champignons
Mes chers amis bonjour. 😘😍🥰
Alors que la saison chaude aime se tourner vers la cuisson au barbecue, la froide préfère se pencher plus souvent en direction du four. Et pour cause! Le premier s'utilise en extérieur alors que le deuxième aime le cadre douillet de notre cuisine. On l'utilise pour les tartes, les gratins ainsi que pour les rôtis. C'est exactement ce que je vous propose ici. Une bonne recette de rôti de bœuf. Que j'agrémente de champignons (accompagnement d'automne par excellence) pour créer un plat unique qui allégera votre charge de travail. Bien que le tout se suffise à lui-même, vous pourrez toujours confectionner une sauce échalote/vin rouge pour intensifier le plaisir. Votre petit monde en sera ravi. 😉
Ingrédients 1 rôti de bœuf de 1,2 kg 3 cuillères à soupe de gros sel 85 g de beurre salé 1 botte de romarin frais 1/2 botte de thym frais 4 gousses d'ail 3 cuillères à soupe d'huile d'olive 500 g de champignons (cèpes, girolles chanterelles…) Sel Piment d'Espelette
Préparation Massez le rôti – à température ambiante – avec du gros sel. Saupoudrez de piment d'Espelette. Faites fondre 60 g de beurre dans une cocotte et faites dorer le rôti, 4 mn de chaque côté à feu vif. Réservez. Préchauffez le four à 180 °C/th.6. Hachez les feuilles de romarin et de thym rincées avec l’ail épluché. Ajoutez l’huile d’olive et mélangez pour obtenir une pâte. Poivrez. Étalez la pâte sur le dessus du rôti. Couvrez la cocotte et enfournez 25 mn. Nettoyez pendant ce temps les champignons puis coupez-les grossièrement. Mélangez-les avec le restant de beurre et glissez le tout avec la viande environ 15 mn avant la fin de la cuisson. Ouvrez la cocotte pour les 5 dernières minutes de cuisson et passez sur le mode gril. Servez le rôti, les champignons et le jus de cuisson avec un vin rouge de la région bordelaise.
Bon appétit à tous! 😘
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cuisinedegrandpere · 3 years ago
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Le ventre des artistes : Claude Monet
Un service militaire en Algérie et un long séjour à Montgeron chez son ami Hoschédé, ont averti le jeune Claude Monet que la nature n'est pas cette chose humide et verte où dorment les bohémiens. Il s'étonne maintenant qu'une église soit rouge au matin, bleue vers le soir et que cette infidélité nie toute la peinture classique. Il passera toute sa vie à restituer cette altération capricieuse des couleurs au fil du jour. On attendait pas moins d'un homme du Havre.
Cet appétit exige une vie ordonnée, bien nourrie. Physiquement le premier peintre impressionniste est une version calme et bucolique d'Apollinaire, avec un béret et une barbe d'enchanteur. C'est un gros Rodin.
Une santé fragile avait emporté sa première femme. C'est avec sa seconde épouse (l'ex-femme de son ami Hoschédé) que sa table prend forme autour de 1880 : une table bourgeoise garnie de quelques fleurs où on sacralise la nourriture, les produits frais et le fait maison. Cette famille exigente et gourmande fait exécuter par sa cuisinière Marguerite tous les plats de l'époque, ceux des restaurants fameux et de leurs amis cuisiniers, Cézanne, Mallarmé, Guitry, Whistler... Les recettes qu'aimait le peintre ont été inventées juste avant sa naissance. On peut donc restituer la cuisine de l'époque à partir de cette table. S'il mène une vie campagnarde à Giverny, il n'a pas l'esprit campagnard : « Tu veux vivre à la campagne sans servir les passions de tes voisins, sans même écouter leurs bavardages. Quelle faute ! » (Stendhal, Le Rouge et le Noir, II, 1).
Monet ne cuisine pas lui-même mais accorde une extrême importance à la qualité et à l'abondance de ses repas. Il ne se contente pas de s'alimenter : pour lui la bonne cuisine est une chose nécessaire. De même il ne chasse pas, on chasse pour lui. C'est la préciosité d'un chat exigeant des plats parfaits sans toucher aux fourneaux. Seule exception, il découpe la viande à table. Pourtant s'il ne touche qu'à ça, il gouverne absolument tout le reste et ne néglige rien de ce qu'il délègue. Il partage ces trois caractères avec Talleyrand (l'exigence pour la qualité et l'abondance, le gouvernement général et le découpage des viandes). Mais Talleyrand avait Carême pour cuisinier...
Il manifeste la même exigence pour son jardin. Dès son arrivée à Giverny il en jette rapidement les bases pour s'enroyaumer de couleurs. Ce jardin où se promenait Clémenceau, avec les nymphéas du bassin, est maintenant connu jusqu'en Chine. Le potager était inséparable du jardin : Monet contrôlait à la fois les larges commandes de fleurs et d'herbes aromatiques. Il y a aussi plusieurs arbres fruitiers, des cerisiers, des pruniers, des cognassiers. On peut même se demander si cet amoureux de la nature n'a pas aussi quitté Paris pour ça (il fait quand même venir ses thés depuis la capitale). Ici aussi il ne fait qu'ordonner et c'est son jardinier Florimond qui exécute tout. Monet lui aménage même une maison dans le domaine, qu'on peut désormais louer sur airbnb.
Monet a longtemps vécu misérable avec une famille à nourrir, avant de connaître enfin la richesse et la gloire grâce à l'exposition Monet-Rodin (1889). C'est Paul Durand-Ruel, le mécène des impressionnistes, qui a d'abord permis tout ce train de vie. Grâce à lui Monet renove son atelier et sa cuisine avec une importance égale. Il discute longuement avec le peintre en bâtiment pour toutes les teintes de la nouvelle demeure, et choisit finalement des tons pastels. Mais sa cuisine sera d'un bleu profond, qui la détache des autres pièces tout en s'accordant aux casseroles en cuivre. C'est une pièce à part.
La basse-cour n'a ni clapier à lapin ni pigeonnier, et Monet, également maniaque des volailles, n'y élève que des canards landais et mandarins, ainsi que trois races de poules. De même il ne conçoit pas de table décente sans potager, et il paye cher pour obtenir les meilleurs poissons. Pour lui il n'y a pas de bonne cuisine sans bons produits. Il est inutile d'exécuter parfaitement des recettes sophistiquées sans une bonne matière première. Dans un passage admirable d'À l'ombre des jeunes filles en fleurs, Proust, à travers le personnage de Françoise, compare cette recherche en cuisine des bons produits à celle de Michel-Ange, « passant huit mois dans les montagnes de Carrare à choisir les blocs de marbre les plus parfaits pour le monument de Jules II ».
Ce caractère rappele Le locataire de Paul Morand : « Le ministre se disait écrasé par les détails administratifs ; il ne l'était que par l'excès de sa méfiance naturelle qui lui faisait dissiper son temps en menues surveillances ; non seulement il dirigeait ses directeurs, comme il se doit, mais il contrôlait les contrôleurs, inspectait les inspecteurs, grattait les virgules des expéditionnaires, ne déléguait aucune signature et se faisait montrer jusqu'aux balais des balayeurs. »
Monet travaille comme Balzac : tout doit s'organiser autour de lui et être impeccable. Il est maniaque de la cueillette des légumes, des endives « vapeur » et des épinard cuits avec à peine d'eau. Il est aussi très pointilleux sur chaque horaire : il a horreur du retard, des visite à l'improviste, et les menus d'invités sont réfléchis une semaine à l'avance pour faire amener les vivres. Ces invités sont Mallarmé, Valéry, Clémenceau, Caillebotte, Gallimard... Quelques-uns laissent des recettes, comme Mallarmé (girolles cuites pendant une heure au bain-marie), Sacha Guitry (une recette de palette de porc), Cézanne (une bouillabaisse morue avec des clous de girofle et du safran). Quant à Monet, on lui doit la recette du cèpe à l'huile d'olive.
Il se lève tôt, vers 5-6h du matin, déjeune à 11h comme dans les samedis de Du côté de chez Swann, et dîne tôt pour se coucher un peu après 22h ; tout l'inverse de l'heure espagnole. Le reste du temps, il travaille, uniquement, tant que la lumière du jour le permet. Que ce soit dans son rapport à la cuisine ou à la création artistique, Monet exerce un contrôle absolu sur tout l'approvisionnement de sa rétine et de son palais. La moindre agitation visuelle et le moindre œuf à la coque, tout doit être parfait. C'est d'ailleurs étonnant que ce Christophe Collomb des changements chromatiques ne laisse aucune marge au hasard.
La première vocation de Salvador Dali à six ans était d'être cuisinière, au féminin (première phrase de son autobiographie), disait « je sais ce que je mange. Je ne sais pas ce que je fais ». Monet pourrait dire : je sais ce que je mange et je sais ce que je fais.
Bibliographie : Les carnets de cuisine de Claude Monet, Claire Joyes, Jean-Bernard Naudin, éditions du chêne.
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les-k-mioneurs-2021 · 3 years ago
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23/08
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Dernière vadrouille dans les gorges du Tarn… On s’en met plein la vue ! On se rêve même habitant d’un village qu’on atteint qu’en barque… Ici les villages sont incroyablement beau… les toits recouverts de Lauzes nous laissent pantois … On se balade, on mange des salades aux papillons… dernier jour de rivière… Alors on nage, on fait des kerns, du slime avec les algues et des ricochets ce qui réveille Kaya comme un border Collie devant un bâton ! On est si bien… c’est si beau ici…
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On dit au revoir à la rivière et on s’éloigne un peu pour notre dernière soirée en Lozère… Étonnant comme le décors peu vite changer… Il y a des petits airs d’Écosse par ici… on discute avec le fermier pour demander si on peut se mettre aux abords de son champ… il est méfiant mais accepte sans trop parler… un voisin viendra vérifier gentiment qu’on ne fasse pas de feu… Le fermier, le voisin, les gens du marché, ceux du camping, tous nous disent comme la région s’est fait assaillir de touristes cette année… plus qu’ils ne le peuvent… les gens ont afflué de Belgique, Hollande, Allemagne en masse… Ils ont très très peur du feu et il faut avouer qu’on a vu plusieurs fois des traces de veillées d’inconscients se pensant sans doute plus malins que les braises et le vent… Nous nous profitons de la chaleur du soleil, du champ de blé où les enfants récoltent des trésors (cela donnera lieu à un prochain post), du saucisson au cèpes, d’un magnifique coucher de soleil et de notre petite histoire du soir sous la couette les uns contre les autres et c’est aussi bien qu’un feu !
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Demain est un autre jour…
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violettedarval · 5 years ago
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Pierre & Louis — Le poteau rose
Ah quels amours que ces deux là ! Peut-on trouver aussi galants et bons baiseurs, aussi charmants compagnons de soirée et fouteurs infatigables ? Ils sont joueurs, espiègles, et n'ont de cesse de faire des mots d'esprit même en pleine baisade. J'aime avec eux, plus encore que la baise elle-même, cette élégance, cette légèreté qu'ils savent lui donner.
Ils s'ennuyaient un peu je crois, de leur vie de bohème, quand ils m'ont trouvée et séduite dans un bistroquet du côté de Saint-Maur. Il y avait dans leurs éclats de voix, leurs provocations, une tragique désinvolture, une attitude de dandys un rien désabusés qui semblaient jouer leur comédie pour eux-mêmes, davantage que pour moi.
Plus tard, dans leur petit meublé de la Rue du Four, pompette et affolée par leurs caresses, je tentai de leur dire celle que je n'étais point. Mais ils ne m'écoutèrent guère, ne cessant de plaisanter et de tourner en dérision mes protestations. Louis, qui avait déjà dégrafé mon corsage et massait mes loches à pleine mains, me demanda toutefois si je souhaitais qu'on me laissa en paix. Je le rassurai sur l'entièreté de mon désir, mais quand je voulus, une fois de plus, leur dire la chose, il me galocha en m'entraînant sur le sofa. C'est Pierre, quand après m'avoir caressée des chevilles aux cuisses, il eût troussé mes jupons et écarté ma culotte en quête de ma motte, qui fit la découverte.
— Mon ami, nous avons ici quelque chose !
Louis lâcha ma bouche :
— Eh bien Pierre, quel gibier vous effraie donc, que vous n’ayez jamais tiré ?
Je restai figée…
— En fait de gibier, il s'agit, je le crains, d'un aspic ! Visez par vous même.
Il rabattit mon jupon et Louis put partager son point de vue. Elle était là, ma lancette, avec sa large tête de cèpe violine qui se démarquait plus que jamais, toute gonflée de sang par les mains chaudes de l'un sur mes nichons, de l'autre sur mes cuisses. Et malgré l'inquiétude qui m'étreignait, je l'avais toute dure, déjà perlée de suc. Il y eut un long silence. Louis la regardait en écarquillant les yeux. Pierre souriait à la réaction de Louis…
Je devins à cet instant leur muse au bois bandé, Vénus apollinienne, la nymphe et le faune réunis, et je vous passe tous les autres noms qu'ils surent encore me trouver.
C'est Pierre, qui ayant le verbe facile, déclamait ces inventions, me faisant rire à chacune. Louis, pour sa part, s'était penché sur moi, et avait happé sans hésitation la bonne tête de mon panais. Et entre mes rires s'insinuaient les soupirs qu'il me tirait. Puis il laissa ma verge détrempée aux bons soins de son ami – qui se tut pour me boulotter à son tour – et libéra la sienne. C'était un arc de belles dimensions, un peu cintré, terminé par une ove bien longue et régulière qui me fit saliver. Il la fit jouer un peu sur mes mamelles dont les tétons étaient tout dressés et sensibles, puis, voyant comme ma bouche était tristement vide, me la donna enfin à sucer.
De pompes en effeuillage, de branles en baisers, et de caresses en feuilles de roses, nous fûmes bientôt dans leur lit, eux nus, et moi ne portant que mon corset et mes bas.
Suite : « Le gâteau à la broche »
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valerie123degustez · 3 years ago
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Velouté de châtaigne aux cèpes et Saint-Jacques
Velouté de châtaigne aux cèpes et Saint-Jacques
Voici une petite entrée festive et facile à préparer, qui va régaler tous les gourmets amateurs de douceur et de légèreté. Le velouté de châtaigne aux cèpes est bien parfumé, les cèpes séchés ajoutent un réel plus à la douceur du velouté de châtaigne.  Sans gluten ni lactose, il est très facile à réaliser et vous pourrez le préparer à l’avance.  Si vous avez un vitaliseur, vous le réchaufferez…
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franckdoutrery · 4 years ago
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Ouverture de la chasse
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Au tout début l’homme n’aimait pas la chasse. Parce qu’il séjournait au paradis et qu’il avait donné leur nom à tous les animaux, chacun selon son espèce. Il s’entendait bien avec le tigre de Bengale et fréquentait volontiers l’ours polaire, qu’il cajolait comme un nounours. D’ailleurs, à quoi aurait servi la chasse, puisqu’il n’aimait ni le civet de chevreuil ni le sanglier aux cèpes. Il se nourrissait de fruits et légumes qui poussaient en quantité dans l’Éden. Bref, il était végétarien. Puis Yahvé lui modela une compagne à partir de la côte surnuméraire, estimant qu’il n’est pas bon que l’homme reste seul. Dans son insondable providence, il avait prévu que tôt ou tard celui-ci aurait besoin d’une femme pour faire la cuisine, la vaisselle, la lessive et le nettoyage de printemps. Or cette compagne, végétarienne elle aussi, avait un penchant pour les pommes du paradis, des golden savoureuses, que Yahvé avait frappées d’interdit, mais qu’un serpent perfide lui conseilla de manger tout de même. Elle craqua donc pour une d’elles, la croqua et en donna une part à son compagnon, qui la trouva délicieuse. Et ce fut la cause de ce qu’on appelle depuis lors la chute de l’homme et son expulsion du paradis. D’où des guerres, des révolutions, des pandémies, des intempéries, des émissions de téléréalité et d’autres nuisances.
Et puis il y eut la chasse. De tous les sports, disait Vialatte, c’est le plus cynégétique. C’est même le seul qui le soit vraiment. Sous ce nom générique figurent la chasse à courre (bien que moins courue de nos jours), la chasse au faucon, à l’appeau, au tir et au piège ; la chasse au lion, au renard et aux papillons. Mais aussi la chasse gardée avec l’écriteau « Défense d’entrée ! » Sans oublier la chasse à l’homme, qui remonte aux temps les plus anciens. Or dès son bannissement du paradis, notre ancêtre eut besoin de changer de régime alimentaire. La cueillette de fruits de saison, les légumes du potager local, le circuit court et la cuisine écoresponsable, c’était bon pour l’Éden. Depuis son expulsion, il devait gagner son bifteck à la sueur de son front. Or donc, pour recharger ses batteries, il lui fallait du consistant, du saignant même, un menu qui tienne au ventre et nourrisse son homme. Et même sa femme. C’est pourquoi il conçut des silex néolithiques à double face, des javelots magdaléniens, des cognées de l’Aurignacien, tous outils de chasse qui lui permirent d’abattre et de dépecer le mammouth laineux, l’aurochs des steppes et les sangliers d’Obélix.
Mais il fallut inventer avant tout l’arc. Pour ce faire, l’homme coupa une branche d’if, la plia dans le sens voulu et tendit une corde de chanvre entre les deux bouts. Le résultat lui parut parfait, mais sa capacité crânienne n’étant encore que de 1500 cm3, il ne vit pas bien ce qu’il pouvait en faire. Il fit d’abord vibrer la corde, ce qui donna un son agréable à l’oreille. Ce ne fut pas encore l’Art de la fugue, mais c’en fut la promesse. Puis il ajouta plusieurs cordes à son arc sans se rendre compte qu’il préparait ainsi la lyre, la harpe et d’autres instruments à cordes. Or si la musique adoucit les mœurs, elle ne remplit pas l’estomac. Pour préparer le civet du soir, il faut d’abord tirer le marcassin. C’est pourquoi on a besoin de flèches. D’abord l’homme essaya d’en fabriquer avec la première tige venue. Autant dire qu’il fit flèche de tout bois. Puis, d’essai en échec, il perfectionna l’outil avec des fûts d’épicéa ou de cèdre. Il ajouta une pointe en silex d’un côté et des plumes de coq de l’autre. Et il partit à la chasse avec ou sans chien de race.
Or les descendants de l’homme ne se bornèrent pas à chasser pour remplir le frigidaire de l’époque glacière. Jadis chasseurs-cueilleurs nomades, ils se sédentarisèrent, entourant leur domaine de clôtures ou de fils barbelés. Et ils en firent de même pour leur pays au moyen de frontières, de postes de douanes ou de murs en béton. Et quand les voisins voulurent empiéter sur leur chasse gardée, ils les chassèrent avec les mêmes armes qu’ils avaient jadis utilisées pour abattre antilopes et bouquetins. D’où la chasse au gibier, qui se mua en chasse à l’homme. D’où aussi guéguerres, guérillas, guerres civiles, coloniales, de religion ou mondiales. D’où razzias, pillages et ravages. D’où par-dessus tout la chasse à l’alimentation carnée, qui causa des carnages.
De nos jours les enfants des hommes suivent l’exemple de leurs aînés. Ils y sont incités notamment par le Père Noël, qui leur apporte très tôt pistolets, mitrailleuses automatiques et bazookas imitation. Avec la munition qui va avec. Bientôt ils iront eux aussi à la chasse. Ou à la guerre. De Gaulle disait que celle-ci diffère de la chasse en ce que les lapins tirent également. « Ce matin, un lapin a tué un chasseur … » C’est peut-être ainsi que le chasseur passe l’arme à gauche. Sinon dans la réalité, du moins dans la chanson.
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ladresseimmobilier · 4 years ago
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L’Essonne : bien mieux qu’une banlieue…
Comme chaque trimestre, « Propriétaires » vous propose de partir à la découverte d’une région ou d’un département, à travers son marché immobilier, bien sûr, mais aussi, et peut-être surtout, en nous attardant sans la moindre prétention d’exhaustivité sur ce qui fait son charme : spécialités gastronomiques, centres d’intérêt, sites remarquables… Dans ce numéro, gros plan sur l’Essonne avec trois guides occasionnels : Denis Clavel, ancien président du réseau implanté à Chilly-Mazarin et Palaiseau, Laurence Vene, basée à Gif-sur-Yvette et Briis-sous-Forges, et Romain Galbes, sociétaire à Draveil et Vigneux.
L’IMMOBILIER : UNE EXPLOSION DE LA DEMANDE !
 A l’image de toute l’Ile-de-France, l’Essonne profite de plusieurs facteurs : flambée des prix parisiens, proximité avec la capitale, bientôt renforcée par les aménagements du Grand Paris, autant dire que le marché y est tendu. « Si vous rentrez un bien à son prix, vous pouvez le vendre dans la semaine, confirme Denis Clavel. Pour ce qui est du volume d’affaires, le marché se porte donc très bien, même si les biens mis en vente ont tendance à se raréfier. Les prix, curieusement, n’augmentent pas tant que cela. Les acheteurs sont, en effet, toujours plus connaisseurs du marché et de plus en plus raisonnables. La crise sanitaire n’y a rien changé. Tous les dossiers signés avant le confinement ont été finalisés et nous n’avons pas reçu de demande de baisse de prix. Au contraire, j’ai même l’impression que l’immobilier est, plus que jamais la valeur refuge. »
A Draveil et Vigneux aussi, s’il existe un « effet Covid », il est plutôt positif. « Nous nous situons sur un marché moins urbain, essentiellement ancien et pavillonnaire, confie Romain Galbes. Les prix s’y échelonnent entre 150 000 et 250 000 € pour les appartements, 250 000 et 400 000 € pour les maisons, qui augmentent assez nettement depuis un an ou deux. La proximité de la gare de Juvisy rend, par ailleurs, le secteur attractif et dynamique. L’activité est donc soutenue. Mes seules inquiétudes pour les mois à venir résident dans l’évolution du marché de l’emploi et dans celle des taux d’intérêt, qui pourraient casser la dynamique, à l’image de cet acheteur, qui venait d’apprendre son licenciement, dont j’ai enregistré ce matin la renonciation.»
Avec des agences à Gif-sur-Yvette et Briis-sous-Forge, Laurence Vene réalise un peu la synthèse de ses deux confrères. « A Gif, il y a beaucoup d’acquéreurs mais peu de mandats, même si la situation est en train de se décanter. Quant aux prix, ils ont augmenté l’an dernier d’environ 4 % sur les appartements et 2 % sur les maisons. Cependant, les taux de crédit ont permis le retour des primo-accédants ainsi qu’une recrudescence de l’investissement locatif. Le confinement nous a, bien sûr, ralentis. Mais depuis le 11 mai, nous sommes véritablement submergés par les demandes d’acquéreurs. A Briis, le marché est moins actif, plus rural. Les prix sont plus bas et la clientèle différente, avec davantage de catégories socio-professionnelles plus modestes. »
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LA QUALITE DE VIE : PLUS ATTIRANTE QUE JAMAIS
« L’Essonne est le département le plus peuplé de France et l’un des plus actifs sur le plan économique, souligne Denis Clavel. Et puis, au sud de la Francilienne, se trouvent encore de vastes zones agricoles et forestières. Nous conjuguons donc un dynamisme économique hors norme et une proximité avec la nature. Par ailleurs, où que vous soyez, dans un rayon de 10 km autour de vous, vous pouvez pratiquer toutes les activités physiques, ludiques ou culturelles. Au point qu’il n’est plus nécessaire de se rendre à Paris pour mener une vie intense et agréable. L’Essonne est en train de quitter son statut de département dortoir pour devenir un véritable lieu de vie. »
« Nous nous situons en lisière de forêt de Sénart, avec de nombreux parcs et de multiples commerces de proximité en centre-ville, se réjouit Romain Galbes. C’est rare, aujourd’hui, de trouver en banlieue des bouchers, des poissonniers, des fromagers, de nombreux restaurants… C’est une banlieue qui ressemble un peu à la province. Bref, il fait bon vivre ici. »
« La proximité du RER renforce l’attractivité de Gif-sur-Yvette, observe Laurence Vene, d’autant que c’est une ville agréable, avec de nombreuses associations, un petit cinéma, une salle de spectacles, de jolis parcs, un environnement verdoyant et très calme, préservé des nuisances sonores. Quant à Briis-sous-Forge, c’est carrément la campagne, avec une petite commune très agréable, entourée de hameaux. »
Et les trois sociétaires se rejoignent pour constater que le confinement mal vécu par de nombreux Parisiens a rendu l’Essonne plus attirante que jamais. « La semaine dernière, nous avons vendu trois maisons à des personnes qui venaient de Courbevoie, Levallois et Paris », confie Romain Galbes.
LE(S) SITE(S) ATTRACTIFS
Avec un quart de son territoire occupé par des milieux naturels, l’Essonne recèle une biodiversité à la richesse et à la variété incomparables. Chère à Romain Galbes, la forêt de Sénart, par exemple, l’une des plus anciennes de France, autrefois zone de chasse royale, aujourd’hui sillonnée de sentiers et de pistes cyclables, offre plus de 3 000 hectares de chênes, charmes, châtaigniers, bouleaux et pins sylvestres, peuplés de chevreuils, sangliers, renards, lièvres ou écureuils.
De multiples et diverses célébrités ont vécu dans le département et leur anciennes demeurent se visitent. Ainsi, à Bièvres, le domaine des Roches où Victor Hugo séjourna plusieurs étés est devenu une maison littéraire où sont exposés documents et manuscrits du célèbre écrivain. A Draveil, la maison d’Alphonse Daudet est aujourd'hui un lieu de rencontres artistiques et culturelles. A Milly-la-Forêt, la maison de Jean Cocteau, ancienne dépendance du château de la Bonde, propose aux visiteurs une plongée dans l'univers mythologique et baroque du poète, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste. A Dannemois enfin, le Moulin où Claude François vécut une quinzaine d’années jusqu’à sa mort est devenu un musée, que les fans visitent avant d’aller se recueillir sur la tombe du chanteur, dans le petit cimetière du village.
Les passionnés d’aéronautique ancienne ne manqueront pas le musée volant Salis, à Cerny, petit aérodrome du sud du département. Près de 70 avions de collection sont aujourd'hui basés sur le site et présentés régulièrement en vol, en particulier pour la grande fête annuelle de Pentecôte. Les plus téméraires pourront même s’offrir un baptême de l’air sur avion rétro !
Changement de millénaire au musée numérique de Brunoy, où un écran géant et quinze tablettes numériques, rendent accessible une collection de 500 œuvres numérisées issues de douze institutions culturelles parmi lesquelles le Louvre, le château de Versailles, le musée Picasso, le musée du Quai Branly, l’Institut du monde arabe, l’Opéra-Bastille et la Philharmonie de Paris.
Enfin, avec plus de 25 000 objets, un million de photographies, une bibliothèque et un fonds documentaire technique unique, le musée français de la photographie de Bièvres rassemble une des plus importantes collections sur le plan international.
LES EVENEMENTS  
Habituellement prévues en mars, les fêtes vénitiennes d’Etampes importent chaque année les fastes et la gaieté de l’un des plus célèbres carnavals, aux sons et aux rythmes joyeux des compositeurs vénitiens ou des musiciens qui s’en sont inspirés : Monteverdi, Vivaldi, Rossini, Campra, Gounod, Hahn… Au même moment, mais dans un tout autre registre, Marcoussis et son festival Elfondurock prouvent depuis près d’un quart de siècle que le rock s’accorde aussi au féminin.
Pour sa 5ème édition, en juin, le festival m’IMPROvise avait vu grand : pour la première fois, Melody Gardot, Manu Katché, Kyle Eastwood, -M- & Ibrahim Maalouf devait être réunis sur la même scène pour une création spéciale. Le rendez-vous a, malheureusement, dû être annulé cette année au vu de la situation sanitaire exceptionnelle.
Tous les ans, le dernier weekend de septembre, les amateurs de jardins et d’horticulture se donnent rendez-vous à Saint-Jean de Beauregard. Pour sa 35ème édition, la fête des plantes d’automne permettra de rencontrer les meilleurs pépiniéristes producteurs européens, récolter leurs précieux conseils et acquérir leurs plus beaux végétaux : arbres, arbustes, bulbeuses, graminées, grimpantes, rosiers et vivaces rares, mais aussi mobilier, objets de décoration, accessoires, vêtements, artisanat… Espérons que, cette année, la fête pourra être maintenue et battre son plein…
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CUISINE ET DEPENDANCES
Toutes les spécialités franciliennes se retrouvent sur les tables du département. Mais l’Essonne, notamment dans sa partie Sud, possède aussi des spécialités traditionnelles qui lui sont propres : pâté d’alouettes, où des morceaux de lapin, de foie de volaille,… farcissent les alouettes désossées et enrobées d’une pâte brisée ; terrine de pigeonneau aux gousses d’ail confites…
Plus légère, la soupe au cresson rappelle que le département est le premier producteur de cette salade en France. Terre de chasse et de rivières, la cuisine de l’Essonne propose également de nombreuses recettes à base de gibier, de poisson ou d’écrevisse. Citons, par exemple, l’étuvée de lapin à la menthe, le lapereau au basilic ou la truite au cresson. Quant aux saucisses du Gâtinais, mélange en quantités égales de purée de pomme de terre et de pâte à choux, roulées en quenelles, elles séduisent même les végétariens ! Côté légumes, d’ailleurs, la région ne manque pas de choix : tomates de Montlhéry, haricots, choux-fleurs et poireaux d'Arpajon, haricots plats de Massy, choux de Nozay, asperges de Brières, échalotes d’Etampes, oignons de Corbeil, ail du Hurepoix, chicorée de Crosne, cèpes, morilles, coulemelles, girolles et autres champignons des bois,…
Enfin, quoi de mieux que de bons fruits pour terminer le repas ? Fraises, pommes, poires, framboises, groseilles, cassis ou prunes font la fierté de la région. Moins diététiques, les roussettes, pâte frite parfumée au cognac et à la fleur d’oranger et enrobée de sucre glace, sont malgré tout bien tentantes !
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L’ESSONNE EN QUELQUES CHIFFRES
23 agences à l’enseigne du réseau l’Adresse
91 : le numéro minéralogique
194 communes
1804 km²
59,2 % de propriétaires
508 206 résidences principales
8267 résidences secondaires
34 062 logements vacants
1.287.330 habitants
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selenoplexia · 6 years ago
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Empalot - La Trappe De Especial
Tous Aux Cèpe (2002)
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cuisinepinup · 4 years ago
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𝕋𝕒𝕣𝕥𝕖 𝕖𝕟𝕥𝕣𝕖 𝕥𝕖𝕣𝕣𝕖 𝕖𝕥 𝕞𝕖𝕣 . . . Voilà une petite tarte simple, rapide et goûteuse comme j'aime en été. Un classique que je fais tous les ans depuis des années. Cette fois ci j'avais envie d'un goût un peut différent et d'y ajouter un côté terre. J'ai donc utilisé mon sel aux cèpes de @vinaigrelegout et mon poivre de sapin de @abies_lagrimus pour l'assainissement et ai parsemé sur le dessus de ma tarte avant de l'enfourner des graines de sésames toastés aux huiles essentielles de sapin @abies_lagrimus . Un petit côté terre amené au côté mer avec le thon. Un véritable délices c'est je trouve encore meilleur ainsi et toute ma tribu l'a validé (sauf ma Ève qui n'aime pas les tomates cuites 😂😂) La recette: 1 pâte brisée 2 càs de moutarde 2 boîtes de thon 4 tomates 20cl de crème entière 3 oeufs 1 càc de sel au cèpes @vinaigrelegout 1 et demie càc de poivre de sapin @abies_lagrimus Sésames toastés aux huiles essentielles de sapin @abies_lagrimus Préchauffez le four à 189°c. Disposez votre pâte dans un plat à tarte. Piquez la pâte à l'aide d'une fourchette. Étalez sur la pâte la moutarde, puis y disposer le thon émietté. Coupez les tomates en rondelles et les déposer sur le thon. Dans un bol battre les œufs avec la crème, le sel aux cèpes, et le poivre de sapin. (rectifier l'assaisonnement si besoin en fonction de vos goûts). Puis versez le tout sur les tomates. Parsemez de sésames toastés aux huiles essentielles de sapin et enfournez pour 45/50 min selon votre four. Et voilà il n'y a plus qu'à déguster ☺️☺️ #cuisinepinup #instafood #instamiam #food #foodphotography #faitmaison #homemade #homemadefood #recetteoriginale #recipe #recette #recettesimple #cesttropbon #recettefacile #ideerecette #miammiam #yummy #yumyum #miam #foodlover #mangerbien #tarte #thon #abieslagrimus #vinaigrelegout #epiceriefine #Foodie #finefood https://www.instagram.com/p/CCX06BPhya4/?igshid=10bcsxnak3gxq
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