#tombera aux bons endroits
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Comment les médias mainstream font plus de bruit que d'information
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BFM, la chaine qui te donne des acouphènes !
Si l’on en croit les grandes chaînes d’info en continu et les journaux à gros tirages, le Français moyen passe ses journées à trembler devant son écran, entre deux bouchées de son sandwich triangle, terrifié par les soubresauts de la planète et les sautes d’humeur de ses dirigeants. Les médias mainstream ont cette étonnante capacité à transformer un fait divers anodin en un véritable blockbuster de la peur, comme si chaque émission devait faire exploser le box-office des angoisses nationales. L’art de la panique quotidienne Prenons l’exemple qui m'a bien fait rire : « Alerte, invasion de punaises de lit ! » il y a peut, il ne se passait plus une journée sans qu’on nous informe que ces horribles petites bestioles se faufilent dans nos maisons, dans nos écoles, nos cinémas, et bientôt, à l’Assemblée nationale qui avouons-le grouillait déjà d’autres parasites avant leur arrivée. Que l’on se rassure, ces nouvelles venues ne seront qu’un énième prétexte pour affoler les citoyens avant d’être remplacées, dès demain, par une autre menace. Le problème avec les médias mainstream, c’est qu’ils souffrent de ce que l’on pourrait appeler le syndrome de  apocalypse. Si ce n’est pas une invasion de punaises, c’est une canicule meurtrière ou une crise économique cataclysmique. Les chaînes d’information en continu ont ce don de nous plonger dans une spirale anxiogène, où l’exception devient la règle, et où le commun des mortels, bercé de sinistres prophéties, finit par avoir la conviction que le ciel est en train de lui tomber sur la tête. La recette secrète des chaînes d’info Mais ne vous y trompez pas, derrière ce déferlement de titres alarmistes, il y a une méthode bien rodée. Voici, rien que pour vous, la recette des médias mainstream pour traiter une information : - L’inflation des chiffres Prenons un simple fait divers : une hausse de 0,5 % du prix du beurre. Pas de quoi fouetter un chat. Mais dans le monde merveilleux des médias, ce chiffre sera transformé en un drame national. Attendez-vous à voir des reportages dignes d’un film catastrophe sur des mères de famille en larmes, à genoux devant leur frigo vide et des boulangers affolés, désespérés de ne plus pouvoir tartiner. Le chiffre est modeste, mais l’impact émotionnel est colossal. - Le défilé des experts autoproclamés Dès que la panique est lancée, place aux « spécialistes ». En plateau, défilent des experts en tout, des économistes qui n’ont jamais tenu un porte-monnaie aux scientifiques qui viennent de découvrir que le beurre fond au soleil. Leur rôle ? Entretenir la peur, tout en balançant des analyses fumeuses qui rassurent autant qu’un pistolet à eau lors d’un incendie. - L’emballement social Les réseaux sociaux entrent en scène. Les internautes, déjà bien chauffés par l’avalanche d’informations contradictoires, partagent des vidéos de leurs tartines au beurre déformées ou des photos de punaises qu’ils n’ont jamais vues en vrai. L’affaire prend une ampleur nationale, et voilà comment, en quelques heures, on passe d’un banal fait divers à une crise qui occupe tous les JT. Le citoyen désinformé mais surinformé Résultat : une population qui ne sait plus à quel média se vouer. Parce que le Français moyen, bombardé de titres choc et de reportages anxiogènes, finit par croire que chaque nouvelle information est la plus importante de sa vie. Et c’est ainsi qu’il passe d’un sujet à l’autre sans jamais rien comprendre réellement, emporté dans un tourbillon de panique orchestrée. Le voilà qui change de chaîne en espérant trouver une information « plus fiable », mais en tombant sur le même flot de bêtises prémâchées. Par simple analyse personnelle, je trouve que C-news reste encore le seul endroit de liberté d'expression, bon, tu tomberas toujours sur un connard qui dit de la merde, c'est les aléas du direct, mais mieux cette chaine que tout le reste ! Les médias mainstream se sont transformés en un fast-food de l’information : rapide, facile à consommer, et terriblement indigeste. En quelques minutes, ils servent des plats de news bien grasses, dégoulinant de sensationnalisme, qui rassasient sur le moment mais laissent le consommateur d'info avec une indigestion intellectuelle à long terme. Le citoyen finit par devenir sceptique, méfiant, et… perdu. À force d'entendre tout et son contraire, il ne croit plus en rien. L’expertise noyée dans le brouhaha médiatique Parce qu’au milieu de ce brouhaha, les vraies informations se noient. Qui, par exemple, se rappelle qu’au milieu des cris d’alerte sur la hausse des prix du beurre, on nous a aussi parlé d’un petit sujet nommé réchauffement climatique ? Ah, mais celui-là n’est pas vendeur. Il ne provoque pas d’audiences record comme les scandales du jour. Pourtant, il est bien là, avec des effets bien réels. Les vraies questions passent à la trappe La vérité, c’est que les médias mainstream préfèrent les sujets vendeurs aux sujets importants. Parler des inégalités sociales, du climat, de l'insécurité, de l'éducation ou de la santé publique ? Trop compliqué. Mieux vaut un bon buzz sur la dernière bourde d’une célébrité ou un « scandale » sans lendemain. Et pendant que les Français sont hypnotisés par ces non-sujets, les vraies questions passent à la trappe. Changer de canal mental Il est temps de rendre hommage aux quelques irréductibles journalistes qui continuent de faire leur travail avec sérieux et profondeur, en creusant au-delà des apparences. Mais pour la grande majorité des médias, il serait peut-être temps de lever le pied sur l’effet dramatique. À force de nous plonger dans une perpétuelle crise, ils nous font perdre de vue l’essentiel : notre capacité à réfléchir par nous-mêmes. David SCHMIDT : Une presse libre informe les citoyens de la nation sur les faits dont ils ont besoin pour décider des affaires civiques et politiques. Mais une presse libre n’assure pas la prospérité, et il est difficile de l’avoir sans démocratie. Là où il n’y a pas de presse libre, la corruption prospère, souvent sans contrôle. Avec des médias libres, les journalistes peuvent présenter des faits au public pour lui permettre de comprendre les enjeux et de prendre toutes les mesures possibles pour redresser la situation. Derrière les portes closes, il y a des cas d’abus à l’échelle industrielle. Ces abus ne disparaissent pas d’eux-mêmes. Il faut que la lumière soit faite pour que les gens puissent voir de quoi il s’agit. Il faut espérer qu’ils feront, mais surtout, il faut être lu et entendu. Nous avons le droit de dire à une personne si elle est bonne ou mauvaise. La transparence est importante dans les systèmes démocratiques. Elle est peut-être plus importante dans les systèmes de tyrannie, mais les tyrans n’autorisent pas les médias libres. Lire mon article sur : Je suis un média libre, je dis ce qu'il me plait ! En résumé, le peuple est aujourd'hui pris au piège d'une manipulation médiatique savamment orchestrée, où la peur et le sensationnalisme remplacent la vérité. Les grands médias, motivés par l’audience et le profit, distillent une information déformée, au service des puissants. Mais nous, journalistes libres, sans autre ambition que celle de révéler la réalité, sans rémunération ni intérêts cachés, restons les derniers remparts contre cette désinformation galopante. C'est notre devoir de mettre en lumière ce qui est vrai, sans fioritures, pour que la population puisse enfin reprendre le contrôle de son jugement. Alors cher lecteur, débranche ton poste quelques minutes, respire un bon coup et essaie de lire entre les lignes. Parce que dans cette cacophonie médiatique, il est peut-être temps de changer de canal. Ou mieux : d’éteindre la télé. Ainsi tu verras, les punaises de lit et le beurre retrouveront leurs justes proportions dans ta vie. David SCHMIDT Read the full article
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christophe76460 · 1 year ago
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CHAMBRE DE CEUX QUI ONT GONFLÉ LES PRIX POUR UN GAIN MALHONNÊTE ( Partie 1), Par Aston Mbaya de la RDC.
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J'étais avec le Seigneur Jésus au-delà de la tombe, et il a dit :<< La fin de toutes choses est résolu en moi. ( 1 Cor 15:28)
Après avoir visité la prison de ceux qui n'avaient pas l'amour fraternel, nous allons maintenant parler d'une autre chambre de l'enfer appelée les chambres des personnes qui surfacturent les articles et les services. Ce sont ceux qui font grimper les prix des articles et des services, vendant des choses aux gens à des prix nettement supérieurs à la valeur des articles et des services. Il s'agit de gens qui ont excessivement gonflés les prix des articles pour obtenir plus que ce qu'ils étaient censés faire. ( Prov 20:10), Nous étions en enfer, un lieu de tourment que je redoutais, où les âmes perdues étaient incarcérés à jamais dans leurs cellules. La souffrance de ces personnes était inexplicable. Je voyageais avec le Seigneur quand il a dit :<< Nous devons nous déplacer dans ce tunnel d'horreur.
Puis nous avons commencé à planer au dessus des flammes de feu. Il y avait des cris perçant venant de toutes les directions, et je me suis habitué à ces cris de tourment.
Le Seigneur a dit :<< Savez vous que le fait d'exagérer les prix des articles et des services peut conduire à Enfer ?>> Mais cela n'avait aucun sens pour moi. Alors que nous nous déplaçons dans cet endroit où les démons se déplaçaient sous la forme d'ombres, J'ai vu qu'il n'y avait rien de bon en Enfer. C'est une mauvaise demeure pour les hommes qui y tombent.
Le Seigneur m'a dit :<< J'exerce mon jugement parmi les hommes, et je prendrai en compte toutes vos actions et mon jugement est sévère pour les gens qui me rejettent. Mais si vous M'acceptez, Je vous soutiendrai tout au long de votre voyage et je resterai sur terre pendant que vous vous dirigerez vers la terre promise.>>
Nous nous déplaçions dans ce tunnel sombre, et J'ai vu un panneau, lorsque nous nous sommes rapprochés de ce panneau, J'ai vu qu'il était écrit :<< Chambre de ceux qui ont gonflé les prix pour un Gain Malhonnête.>> J'ai été stupéfait d'apprendre que certaines personnes sont en Enfer à cause du prix déraisonnable des articles.
J'ai dit au Seigneur :<< Les gens tombent-ils en Enfer simplement parce qu'ils en ont exagéré le prix ?
Le Seigneur a dit :<< Lorsque vous rejetez Ma Parole, Mes Préceptes et Mes Commandements, le Jugement de Dieu tombera sur vous. ( Habakuk 2 :9), Quand nous sommes arrivés devant ce panneau, J'ai savais que c'était l'entrée de cette chambre de l'enfer. Et en un clin d'œil, nous sommes entrés dans ce trou, et j'ai commencé à voir le spectacle terrifiant des âmes tourmentés horriblement. J'ai vu d'innombrables âmes qui s'entassaient. C'était d'innombrables âmes des quatre coins de la terre. Ils ont tous regretté leur péché et ont imploré le Seigneur pour la délivrance. Ce tourment était insupportable car je voyais des démons tourmenter ces âmes qui s'entassaient. Ces gens en Enfer demandaient de l'eau. Témoin de cette horrible scène, j'ai Commencé à pleurer. Et j'ai vu le Seigneur verser des larmes. Le Seigneur a dit :<< Ce n'est pas ma faute, J'ai versé Mon Sang sur la croix pour ces gens. Si mon peuple pour lequel J'ai payé ce prix élevé sur la croix tombe ici, ce n'est pas ma faute.>>
Dans cette section de l'enfer, J'ai vu tellement d'objets. Et ces objets réclamaient justice contre ces âmes. Non loin delà où nous nous trouvions, il y avait une montagne en feu, sur laquelle j'ai vu se tenir deux démons géants. Ces démons étaient Grand, environ 16 mètres. Ces deux démons n'arrêtaient pas de dire à ces âmes :<< Réjouissez vous, Réjouissez-vous, ceci est votre royaume pour L'éternité.>> J'ai vu que l'un des démons a saisi une âme dans sa main, J'ai entendu cette âme dire à ce démon :<< Pardonne moi, j'ai reconnu mon péché>> Mais ce démon n'a pas voulu écouter. Et cette âme a dit :<< Malheur à mon âme, Juste à cause de ces choses insignifiantes, je suis condamné pour toujours à être ici.
J'ai remarqué que cet homme était sombre comme du charbon, car il avait été brûlé par le feu, et ses os étaient écrasés, et il avait des trous sur le corps, comme s'il était perforé.
Ce démon lui a dit :<< Tu n'as jamais eu pitié de ton père, vous lui avez toujours menti sur les prix des articles afin d'obtenir de l'argent supplémentaire, Que sommes nous censés vous faire, si non vous torturer. L'homme a supplié ce démon, il leur a dit :<< Je reconnais que j'ai péché, mais j'ai menti sur le prix à cause de mes parents. Ils n'ont pas compris que j'étais déjà adulte et que j'avais des besoins. Ils n'ont pas réalisé que j'avais des besoins et ils n'ont pas répondu à mes besoins, chaque fois que je demandais de l'argent à mon père et à ma mère, ils m'ignoraient et me donnaient une somme insignifiante. Je n'avais pas d'autre choix que de surestimé le montant des frais de scolarité et des cahiers requis à l'université. C'est ainsi que j'ai pu répondre à mes besoins.>> Ce démon géant lui a dit :<< N'est-il pas écrit dans le livre de votre Dieu que les enfants doivent honorer leurs parents, N'est-il pas écrit dans le livre de votre Dieu que vous ne devriez pas mentir? Puisque vous avez menti à vos parents, nous n'avons rien à faire avec vous, à part vous tourmenter, car vos parents n'ont pas pu le faire, nous nous engageons dans ce travail.
Ces démons ont Jeté cet homme dans un endroit plein d'épines, et il a été transpercé par ces épines. L'homme a dit :<< Malheur à mon âme, Qu'est-ce qui m'a fait tricher, je suis condamné à cause de petites choses, j'ai perdu mon âme pour toujours. ( Prov 21:6), J'ai dit au Seigneur :<< Qu'à-t-il fait ?
Le Seigneur a dit :<< Vous avez entendu sa confession, ses parents n'ont pas rempli leur devoir. Il avait beaucoup de besoins dans la vie, mais il ne savait pas où trouver de l'argent, il mentait à ses parents pour avoir quelques chose, il a délibérément surestimé le montant des frais universitaires pour répondre à ses besoins, c'est le genre de péché qui l'a conduit ici, Avant sa mort, tous les étudiants de l'université devaient acheter un programme qui coute 10$, mais il a dit à ses parents que le programme coûte 15$ afin de gagner 5$ pour lui même. Peu de temps après cet incident, il est tombé malade et est mort.>> Le Seigneur a dit :<< Il n'y a pas de prix pour votre âme, par conséquent, réformez vos voies et protéger vous contre le mal. ( Marc 8:37), Ma chère, Je pensais que ces exagérations de prix que nous faisions à nos parents pour en tirer profit n'étaient pas si grave, pourtant, d'innombrables âmes se sont entassés dans cet endroit pour ce péché. Puis le Seigneur m'a emmené sur une montagne. Lorsque nous sommes montés au sommet de cette montagne, J'ai qu'il y avait des milliers d'ouvertures et de fosses qui vomissaient du feu comme de la lave renversé par les volcans.
Le Seigneur a dit :<< Je dois vous emmener visiter les âmes qui sont emprisonnés dans ces fosses de feu. J'ai dit :<< Seigneur, quel est le sort de ces âmes qui sont tourmentées ici ?
Le Seigneur a dit :<< Il est trop tard pour eux, car quand une âme tombe en Enfer, il n'y a plus de salut pour lui, seulement la colère de Dieu qui lui suffit, C'est un grand jour de colère réservé à tous les pécheurs qui ont foulé Ma grâce.>>
Rapidement, nous nous sommes dirigés vers une fosse de feu où j'ai vu une âme qui essayait de sortir, il n'arrêtait pas de crier :<< Qui est là pour me sauver, qui est là pour me libérer ? Mais il n'y avait aucune aide pour lui, il savait qu'il était trop tard pour lui. Il était squelettique et ses os étaient couverts d'asticots. J'ai remarqué beaucoup d'argent dans sa fosse et cet argent réclamait la Justice de Dieu, il n'arrêtait pas de dire à cet argent qui l'accusait :<< Arrêtez de me tourmenter, je rendrai l'argent que je dois au propriétaire, je suis prêt à vous remettre à votre propriétaire, J'en ai eu assez, j'ai passé tant d'années ici pour ces petites choses que j'ai faites.>
Le Seigneur lui dit :<< Le péché suffit pour être puni, Quiconque commet un péché a une fosse qui lui est réservée dans ce lieu.>> Quand cet homme a entendu la voix du Seigneur, il a levé les yeux et il y a eu un contact visuel avec le Seigneur.
Il a dit :<< Seigneur, pardonne moi et fais moi sortir d'ici, je suis prêt à rendre cet argent à leurs propriétaires, je promets que j'irai partout dans le monde pour dire aux gens d'arrêter d'agir de cette façon. J'evangéliserai dans les arrêts de bus, les lieux publics et les transports publics, je suis prêt à suivre votre chemin et à vous servir maintenant.>> Le Seigneur a dit :<< Vous avez eu de multiples occasions de changer votre chemin. J'ai élevé mes serviteurs pour vous avertir avant qu'il ne soit trop tard. Mais maintenant, il est trop tard, J'ai même envoyé votre ami pour vous réprimandé, même votre femme vous disait que ce que vous faisiez était mal, vous n'avez pas écouter la voix de votre femme qui vous parlait en mon nom. Aujourd'hui, mon fils, je ne peux rien faire pour toi, c'est trop tard, la colère est tombé sur vous.>>
Mais cet homme a continué à implorez le Seigneur, il a dit :<< Seigneur, aie pitié de mon âme et accorde moi la grâce, je veux retourner sur la terre juste pour 30 secondes et me Repentir, je ne peux plus rester ici. Le Seigneur a dit :<< Cet homme était un employé d'une entreprise, son patron l'aimait beaucoup, chaque fois que l'entreprise achetait des marchandises, le patron lui envoyait, il était censé vérifier les prix de toutes les commandes, et puis il devait soumettre le prix total et le montant à l'entreprise qui était censé lui rapporter tout l'argent. Mais chaque fois qu'il devait faire le total du coût des marchandises qu'il devait acheter, il ajoutait un montant supplémentaire pour son propre intérêt, Quand quelques chose coûte 100$, il écrivait 150$. Ce qui coûte 50$, Il l'écrivait 80$, C'est pour profiter de l'entreprise. Chaque fois que cet homme rentrait chez lui avec beaucoup d'argent, il disait à sa femme :<< Chérie, c'est l'argent que j'ai gagné après avoir surestimé le coût des marchandises que l'entreprise devait acheter, Étant donné que sa femme était chrétienne, elle était opposé à ce que son mari profite de l'entreprise, et elle s'opposait à lui en lui disant :<< Votre salaire nous suffit dans cette maison, vous n'avez pas besoin de citer le prix des marchandises plus haut pour obtenir un gain injuste de l'entreprise.>> Mais il n'arrêtait pas de dire à sa femme :<< J'ai beaucoup de responsabilités et beaucoup de choses à faire, Je n'ai pas le choix. Nous avons pu profiter de cette opportunité et profiter de la vie. Plus tard, il est tombé malade et est mort. C'est pourquoi les démons de l'enfer ont capturé son âme et l'ont amené ici, Si seulement il avait écouter la voix de sa femme. ( Prov 16:8)
Puis nous sommes allés dans une autre fosse où le feu brûlait un homme, ce feu montait du sol au sommet de la fosse le brûlant, J'ai vu qu'il était un squelette en feu. Le Seigneur lui dit :<< Tu as menti à mon serviteur et volé de l'argent sacré pour l'utiliser dans ton propre intérêt. Si seulement tu entendais l'avertissement de mon serviteur, tu ne serais pas ici, mais c'est ainsi que tu as fini. L'homme a dit :<< Seigneur, ce n'est pas ma faute, c'est mon Pasteur qui m'a donné la responsabilité de m'occuper des fournitures de L'église. J'étais celui qui achetait tous les instruments. Mais le pasteur était égoïste, il n'a jamais considérer que j'avais des besoins. Il gagnait beaucoup d'argent dans l'église, Mais nous le servions Gratuitement. Alors qu'il en avait plus qu'assez, il nous a ignorés, c'est pourquoi j'ai surestimé les prix des instruments d'église pour gagner de l'argent pour moi même, Seigneur, pardonne moi, je suis conscient de mon péché.
Puis, j'ai demandait au Seigneur, Qu'à-t-il fait ?
Le Seigneur a dit :<< De son vivant, son Pasteur lui faisait confiance, Et quand son Pasteur voyageait à l'étranger, c'était lui qui gardait l'argent de L'église, et toutes les dépenses de l'église étaient entre ses mains. Un jour, un prédicateur est venu de l'Europe pour prêcher dans leur église, lorsque le pasteur l'a envoyé acheter des instruments et le microphone pour les invités d'Europe, il a surestimé le prix du microphone. Et le pasteur lui a fait confiance et a donné tout ce qu'il a demandé pour tout acheter. Et quand il a pris cet argent, il a acheté des instruments et a conserver l'argent supplémentaire pour lui même. J'ai déversé Ma colère sur lui, il est tombé malade et est mort. ( Ézec 22:13)
Mes chers, J'ai regardé cet homme et j'ai pensé à moi-même combien de fois j'avais été envoyé pour acheter des choses et j'ai menti sur le prix, cet homme pensait qu'il mentait à son Pasteur, mais il mentait au Seigneur. ( Actes 5:1-5)
Dans cet endroit, nous avons vu un homme brûlé. Il a dit :<< Seigneur, j'ai utilisé l'argent public, je pensais que ce n'était pas un problème puisqu'il s'agissait de fonds publics.
Le Seigneur a dit :<< Vous étiez un employé de l'État et vous aviez votre salaire, ce qui vous suffisait.>>
J'ai dit au Seigneur :<< Qu'à t-il fait pour tomber ici ?
Le Seigneur a dit :<< Il travaillait dans une entreprise publique au Congo, il était en charge de l'achat de fournitures pour l'entreprise, cependant, il a toujours acheté du matériel de mauvaise qualité pour l'entreprise, ce qui ne dure pas au lieu d'utiliser l'argent pour acheter du matériel de qualité supérieure. C'est pour s'aider lui même avec l'argent supplémentaire qui reste, il a passé 15 ans dans cette entreprise. Il pensait qu'il volait la compagnie du gouvernement et que ce n'était pas un problème, il s'est trompé. (1 Tim 6:10)
........ À SUIVRE......
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ecrisettaistoi · 3 years ago
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Croire encore
.
.
.
Après un certain âge,
c'est fatigant de passer entre les gouttes.
Ne vaut-il pas mieux prendre l'orage
une bonne fois pour toutes ?
Danser sous la pluie en espérant
que la foudre tombera
au bon endroit, au bon moment ?
Être emporté par la plus violente
des bourrasques, dispersé aux quatre
coins de la Terre pour ne plus penser, ni être
autre chose qu'un souvenir qu'on enterre ?
Je doute.
Ou pire.
.
.
.
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hamiltonricher48-blog · 5 years ago
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Une entreprise de construction à Sète peut vous aider à obtenir la maison dont vous rêvez. Plus important encore, ils peuvent vous fournir le service que vous méritez et donner de la valeur à votre argent. Donc, pour y parvenir, ne manquez jamais de suivre les conseils ci-dessus, alors tout tombera aux bons endroits. Soyez intelligent!
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turanveysel050-blog · 5 years ago
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Une entreprise de construction à Sète  peut vous aider à obtenir la maison dont vous rêvez. Plus important encore, ils peuvent vous fournir le service que vous méritez et donner de la valeur à votre argent. Donc, pour y parvenir, ne manquez jamais de suivre les conseils ci-dessus, alors tout tombera aux bons endroits. Soyez intelligent!
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ipar-ekialde-blog · 6 years ago
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La barque conduite à la forêt sur le fleuve. Je tue deux hommes qui tuèrent un cerf âgé. Je suis malade. Mon dernier stade s’atteint. Rien y faire. Plus que la résine qui emprisonne les moustiques sanguinolents, pourquoi circulent-ils donc dans l’air des chambres de filles éloignées des banlieues en verdures, je me résigne à passer la plupart de mon temps à crever. Bazouka mon canard se roule dans la poussière et essaye de secréter des mensonges à l’oreille des cannes ainsi rapprochées. Il y arrive, je le crois bien, ce bon canard m’aura donné des fils. Il se lève la nuit, va dans la cabane, vernis à ongles, robes, et voilà une femme qui se lève, enfin un homme, enfin, il était un peu temps. Elle ne parlera plus. Il essayera d’attraper une oie parmi les oies, il s’endormira sur la terre. Beaucoup il dormira contre la terre, en diverses endroits, devant chez lui, autour de l’enclos des oies. Il s’enfermera d’abord dans la cabane pour se changer. Il sortira dehors en temps de nuit, vagabond de jardin, étrange réfugié derrière les barrières de sa maison. Il n’y aura aucun bruit, ici tout dort la nuit, il n’y a rien à faire de la nuit, alors on en fait rien. Sa femme le surprendra, le ventre rond elle courra, ce n’est évidemment que lui, ce n’est point arbre ni abcès, elle frappera le mutisme. Ce qu’elle en tirera, ce sera équivalent à la nuit. Elle le conduira dans la cabane, fermée à double-tour. Votre père et votre fils ne peut plus voir personne. La fierté est belle, la maladie est pauvre, l’impuissance est farouche, la transgression impalpable comme les seins d’une éjaculation. Tu n’iras pas le voir. Il ira marcher dans la terre, recouvrir ses bottes, frapper à la porte, non il ne toquera pas, mais son regard. Une voisine aura vu. Elle racontera. Les enfants diront. L’enfant implorera. Les voisins se rassembleront et voudront rentrer. Il sortira et marchera entre tous, croisant, sans voir, il fera planer le silence et il ne dira pas mais la nuit caressera tous ceux qui ne voulurent rien faire d’elle, et qui ne savait pas qui elle était et pourquoi pour le silence. Il longera et reviendra tard. Il dansera une fois, différemment la musique tapera à ses oreilles, et il hochera la tête en retour. Il dormira, il se fera pantin. Il sera réveillé d’un pied. Il subira les coups et protégera son corps. Un coup de chasse retentira et ils fuiront, ceux qui touchent. C’est là que la forêt le gagnera. Mais avant deux boucles d’oreilles s’enfoncent dans ses oreilles. Plus il faut résister, plus il femme, mais il ne peut plus parler depuis déjà si longtemps que le vulnérable en lui s’étale sur des régions qu’il disloque. Il fait peine, il fait pleuvoir, cela se ressemble. La cabane il l’habitera et il pressera les mousses pour que l’eau. Sans couvertures, genoux dans poitrine, il dort. Un homme veut empoigner son sexe de femme. Combat se mène mais il n’est plus. Il perd. Ce n’en est pas un. À terre des pieds rompent les côtes sans frénésie. Un coup, un coup, rythme, comme s’il fallait donner. Et il est à terre, il y est venu de lui-même, sûrement. D’autres viendront à l’appel, la forêt sera parcourue, piétinée, il tombera, il avait pour la première fois contracté le danger. Un sexe d’homme dans les fesses d’un homme. Il semble mort, ils repartent. Les fesses et la forêt. Il se réveille. Qui est-on et qui meurt quand il ne faut pas mourir et qu’on nous pénètre jusqu’à faire directement fuir la mort ? Par une petite mort on fait fuir la mort. Par un semblant d’absence, par une simulation de perte ouverte, on ne meurt pas assez pour mourir. Non, il allait mourir, c’était le début, la mort l’avait à nouveau repéré, il ne pouvait être une femme, il était un homme, et les hommes on les pénètre, elle l’avait vu et en une petite secousse, elle lui avait dit que ce serait très bientôt et si bientôt qu’il fallait qu’il rentre se coucher. Mais elle est venue. Il était sale, le maquillage se perdait sur son visage, sur sa robe, une fragile appartenance au corps. C’est aux travestis que l’on doit la survie du devoir de vivre malgré que flotte notre parcelle de terre jonchée de grains d’or. Les dents des anges étincèlent, plantent leur fourche de terre. Ce sont les travestis qui réhabilitent l’espoir d’avoir quelque chose à être en communion avec. Ce sont les travestis qui rachètent au pardon sa proie, à la forêt son étang, et nous y plonge sans plus attendre et nous l’oublions, nous oublierons que ce soit passé, que cela ne soit pas, nous dîmes. Mais sans l’amour de la femme délivrée de la grossesse, sans la femme qui accoucha et qui n’en dit rien, sans l’enfant entre la femme et l’homme en robe, sans le sang, sans pouvoir laver avec l’eau les parties du corps, sans pouvoir réveiller pendant la sieste, sans pouvoir aller en forêt, sans remaquiller et rhabiller, nettoyer le sol, et sans se coucher aux côtés de la robe sur le bois dur, il n’y a pas de réponse au silence. Ils dorment. On lira la couleur de ses yeux. Ce sera terminé. Ce sera tout. Ses yeux n’avaient pas la couleur de la colère des enfants. Ils étaient pures, il était encore parmi le vivant. Il devint silencieux, il ne parla pas la couleur de ses yeux. Mais la couleur était là.
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hcallokyle · 4 years ago
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Après plusieurs coups de fil infructueux, et un bon nombre de centres d’appels qui vous ont répondu dans des langues imprononçables, vous parvenez enfin à joindre Kyle. Le super-héros vous répond avec un temps de décalage, comme ces reporters au JT de 20h, ceux qui parlent en direct depuis une autre ville, à l’extérieur en général parce que ça doit manquer de réseau à l’intérieur. La connexion est très mauvaise, la voix de Kyle vous parvient brouillée et étouffée, mais vous parvenez tout de même à comprendre distinctement ce qu’il vous raconte. Kyle restant Kyle, il ne répond pas directement à vos questions, mais se lance à la place dans un long soliloque sans queue ni tête que vous vous contentez d’écouter, cherchant un quelconque indice :
– On a gagné. ON A GAGNÉ ! J’ai rien vu venir. Faut dire que je vois rarement les choses venir, même quand elles se passent sous mon nez… Pour un médium, c’est un peu bête quand même. C’est quand même moi qui leur ai fourni l’info capitale, à la fin. Pas qu’on nous avait clonés, ça visiblement j’étais le dernier au courant. Mais pour l’eau, c’est moi. Envahir le monde avec des soldats qui rouillent, c’est pas très malin !
« Le monde, on l’a pas mal exploré depuis la fin des combats. C’est devenu une nécessité, à un moment donné. Tout le monde essayait de se réorganiser pour remonter la pente et remettre un peu de justice dans le micmac installé par les Kevin… Calvin. On était de trop dans le paysage, alors on est partis. Mais on n’a pas quitté l’Agence, attention ! S’ils ont besoin de nous, on sera là. On s’est juste éloignés. Ça peut paraître un peu lâche, après tout on a laissé nos amis avec la charge immense de tout reconstruire. Mais dans le groupe, il y a ceux qui savent prendre des décisions, et… On veut toujours bien faire, mais on peut pas dire qu’on soit très efficaces. On voulait pas être dans leurs pattes. Les rêveurs et les anciens traîtres, ça embête plus qu’autre chose, dans ce genre de situation.
« On a quitté Montréal pour quelque temps, avec Cecil. Pour aller où ? Après avoir passé tout ce temps au même endroit, ou trimballés d’un bout à l’autre sans avoir notre mot à dire, on n’était pas capables de savoir. Alors on a suivi Karin. Lui, il connaît le monde, pas toujours ses parties autorisées mais avec lui on pourrait se changer les idées, c’est sûr. C’est pour ça qu’on le suit en fait : on a besoin de sensations fortes. Parce que ça fait penser à autre chose. C’est toujours comme ça avec Karin, on gravit des montagnes, on se galère dans les coulées d’avalanche fraîches, et puis on finit par atteindre le sommet. On atteint toujours le sommet, même si on doit s’y reprendre à plusieurs fois avant de passer ce mur vertical de 800 mètres sans attache. Une fois en haut c’est beau, c’est très haut mais c’est très beau, mais comme c’est haut quand même on a tous un peu le vertige, forcément ! C’est tellement haut. Alors on tangue un peu parce qu’on a peur de tomber, et comme c’est beau on voudrait rester tout le temps ici, pas vrai ? Mais on finit par tourner en rond. Arrivés au sommet, on n’a plus qu’à redescendre. On peut faire nos chagasses et repartir par où on est venus, en rappel. Ou alors, on peut choisir de sauter. Ça fait peur le vide, le vide c’est l’inconnu, un avenir incertain… Pour un médium, même un médium un peu nul, c’est effrayant de pas savoir. Mais si on se lance pas maintenant, quand on le fera ? Et puis, on est capables de résister à la chute, pas vrai ? C’est comme Karin, il a eu tellement de fractures, de déchirures, d’élongations, et plein d’autres trucs pas hyper agréables, mais il a toujours survécu. On n’a peut-être pas la même résistance physique, mais on est au moins aussi tenaces que lui, sinon on serait pas en pleine varappe sans corde sur la face nord du K2. Aussi tenaces, ou aussi inconscients, l’un ou l’autre…
« J’ai eu une vision l’autre jour. C’est devenu plutôt rare en fait, c’est pour ça que je précise. Je sais pas vraiment si je crois encore aux visions. On peut voir ce qu’on veut dans une vision floue. Voir le futur, ça permet surtout de le manipuler. Une vision obscure oriente des peuples et couronne des héros. Elle donne de la confiance à ceux qui n’en ont pas, elle peut aussi pousser à la catastrophe. Le don de medium n’a finalement pas grand-chose à voir avec la capacité de voir l’avenir… J’ai sans doute jamais été fait pour ça. Trop naïf pour un pouvoir pareil ! Je vois l’avenir dans toutes les couleurs, dans trop de couleurs.
« Elles s’étaient arrêtées, les visions. Quand on a gagné, j’ai arrêté de voir le futur… Parce qu’on n’en a plus eu besoin, après ça. C’était à nous de le construire, le futur ! Mais l’autre jour, j’ai vu un immense tourbillon vague et flou, une tornade pleine de couleurs qui tournait trop vite pour distinguer quoi que ce soit. Mais au centre, il y avait quelque chose… Ou quelqu’un. Je sais plus trop, ça ressemblait à un être humain, mais ça avait l’allure et la texture d’un… robot. L’être ne bougeait pas, toujours encerclé par les vents de couleur. Et puis, il a ouvert les yeux.
« Son regard m’a réveillé en sursaut. J’ai du mal à savoir si je dois y voir un présage quelconque, ou un effet du choc post-traumatique, mais là ça n’aurait rien à voir avec mon don de médium. Mais est-ce que c’est vraiment important ? Je suis persuadé que c’est comme ça qu’il faut faire. Et on a commencé, déjà.
« On est cassés. On a perdu des parties de nous dans l’histoire, c’est sûr, qu’on veuille l’admettre ou non. Si on veut continuer, on doit… être réparés. Il faut copier le sérum qui a rendu le corps de Karin résistant à tous les éléments, et s’en faire un pour nos fractures invisibles. Changer les parties rouillées par des mécanismes flambant neufs qui tournent sans accroc. Huiler le tout. Devenir des créatures mi-humaines, mi-robots, et re mi-humaines derrière surtout, pour ne jamais perdre notre part d’humanité ; les parties mécaniques, ce sera juste pour nous empêcher de nous écrouler, ce sera pas un masque pour cacher nos failles, au contraire ce sera un truc à l’intérieur, pour nous soutenir… Comme un exosquelette, et je suis même pas sûr de savoir la définition de ce mot, c’est dire.
« Devenir à moitié robot pour continuer de vivre en humains normaux. Il faudra sans arrêt graisser les rouages et se tenir loin de l’eau pour éviter la rouille… Ce sera compliqué. Comme cette métaphore, qui est un peu compliquée mais qui est belle quand même. Mais vous voulez savoir ? Ça peut marcher. L’avenir en cyborg. Ça sonne bien. On s’y fera. Il y aura toujours des montagnes à gravir, des falaises à surmonter… On s’aidera de nos membres de titane tout neufs pour grimper. Et peut-être qu’on tombera encore, au bout du compte. Mais c’est ça qui est excitant, pas vrai ? On tombera avec panache. Il a tout compris Karin. Et une fois au sol, on se relèvera, quoi qu’il arrive. »
Le super-héros ferait un très bon poète, mais vous ne savez pas trop si tout ce qu’il vous a dit pourra vous être utile pour la suite. Il n’a pas fait grand-chose de plus que de répéter ce que vous saviez déjà grâce aux comptes-rendus de l’incident : les clones, le court-circuit qui les a tous désactivés…
Juste avant de raccrocher pourtant, Kyle ajoute :
– C’est marrant que vous appeliez maintenant, parce que j’ai eu une autre vision, juste avant, pendant ma sieste. Je vous l’envoie par fax.
Longtemps après cette conversation, parce que le réseau devait faire des siennes, vous recevez enfin le fameux fax. Les visions de Kyle sont toujours difficiles à décrypter… Ou alors peut-être se paie-t-il réellement votre tête.
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gamertestdomi · 5 years ago
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My Memory Of Us est un jeu qui se déroule pendant la seconde guerre mondial, mais les développeurs ont pris un  risque en la modifiant à leur sauce – sauce qui est pour moi très intéressante – ici on oublie les allemands (Nazis) qui seront remplacés par des robots tout aussi méchants. Cette univers nous plongera dans un ghetto de Varsovie. L’histoire nous sera raconté par un vieux monsieur (un bibliothécaire pour être un peu plus précis), à la vue d’une jeune cliente lui rapportant un livre. Il reconnu en elle son amie d’enfance avec qui il était très lier ; à ce moment-là, il décida de raconter son passé à travers différents souvenirs. On commencera donc l’histoire avec un jeune garçon qui est au passage un très bon voleur (il s’agit du vieux monsieur) et dans les minutes qui suivent, on croisera cette fameuse jeune fille avec qui il sympathise automatiquement – par la suite nous contrôlons également cette dernière – voici un DUO hors du commun !!! La complicité de nos deux jeunes petits héros sera très importante dans My Memory Of Us, il faudra très régulièrement alterner entre les deux pour pouvoir avancer ou bien tout simplement pour faire des actions à 2, la coopération sera un point très important ici.
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Visuellement, le jeu m’a agréablement surpris pas son esthétique, My Memory Of Us utilise principalement QUE 2 couleurs : gris et noir, si je dis “QUE”, c’est que, un plus tard dans l’aventure on retrouvera une troisième couleur : le rouge. Cette couleur aura une très grande importance pour le déroulement de l’histoire, puisque que le ROUGE sera la couleur maudite du jeu (ségrégation raciale). Lors de l’arrivée des robots, tout ce qui sera rouge sera arrêté et parqué, cette couleur fait irrémédiablement penser à ce que les juifs ont subits, je trouve ça très intéressant de la part des développeurs d’avoir remplacé les allemands (Nazis) par des robots et les juifs par la couleur rouge, une autre façon de voir le racisme. Bien que My Memory Of Us utilise principalement que du noir et du blanc, il n’empêche que cela colle parfaitement à cet univers et techniquement parlant, le jeu est beau dans une atmosphère Steampunk très travaillée. Le chara-design de nos deux petits héros est réussi et l’on remarque immédiatement leurs gentillesses avec des expressions du visages positives malgré les événements catastrophiques. Quant aux ennemis, ils seront immédiatement reconnaissables avec des teintes de visages bien plus sombres ainsi que des expressions non chaleureuses. Les quelques effets de lumières et d’ombres sont réussis, je valide à 100% la partie esthétique du jeu. La partie sonore n’est pas en reste, elle colle parfaitement à l’univers, les pistes musicales qu’elle propose, alternant entre des thèmes rétros et des sonorités plus modernes, rajoutez à cela le talent de la narration qui est raconté par Patrick Stewart – vous savez le professeur Xavier des X-men – et l’on obtient la perfection.
Concernant la jouabilité, celle-ci reste classique mais efficace, la coopération de nos 2 héros reste le point le plus important dans le jeu et il sera très simple de passer de l’un à l’autre en un seul clique (gâchette L et R). La jeune fille aura l’avantage de pouvoir courir et de lancer des pierres grâce à son lance-pierre que l’on récupère rapidement dans le jeu, le garçon en revanche lui, n’est pas capable de courir, mais il aura la possibilité de se pencher (idéale pour se cacher dans les endroits sombres et éviter ainsi les gardes/robots – ce que l’on fera très régulièrement). Le lance pierre est remplacé ici par un miroir, miroir qui servira pour éblouir les ennemis, par exemple : un ennemi/robot bloque le passage d’un bouton qu’il faut absolument activer, une source de lumière est pas loin, il suffit de déplacer le garçon sur cette source de lumière et de sortir le petit miroir et de viser les yeux des ennemis qui se trouveront comme paralysés, sélectionnez la fille et le tour est joué. Grâce à une simple précision du bouton X, nos 2 héros se donneront la mains, si l’on veux courir il suffira de prendra la main du petit garçon et de prendre le contrôle de la fille et vice versa pour se pencher, notre binôme est vraiment complémentaire. On tombera sur certaines phases bien plus rythmées où l’on devra fuir les ennemis ou on alternera de l’un à l’autre pour passer les différents obstacles le plus rapidement possible avant de se faire attraper. Quel risque si l’on se fait attraper ??? On recommencera simplement au dernier checkpoint. Checkpoint qui arrive très régulièrement donc pas de PANIQUE de ce côté-là.
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D’autres phases seront bien plus calmes où la discrétion sera de mise et l’observation de vigueur comme par exemple faire attention au tour de garde et aux déplacements des ennemis. Pour faire profiter de la course ou de la discrétion à l’un de nos héros, il suffira tout simplement de lui tenir la main. Mais ce n’est pas tout … Il arrivera que de temps en temps, on tombera nez à nez avec des petites enigmes/casse tête au cours de notre aventure plus ou moins difficile : trouver le bon code d’une porte verrouillée ou bien comment ouvrir la bouche d’un robot géant à l’aide d’une grue … Des enigmes/casses têtes qui collent parfaitement avec le déroulement de l’aventure !!! En ce qui concerne la durée de vie du jeu, j’ai mis environ 6-7 heures pour le finir et cela sans compter les quelques heures pour dénicher les souvenirs du vieux bibliothécaire, un petit challenge non négligeable !!!
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Conclusion 
My Memory Of Us est jeu qui m’a marqué : émouvant et passionnant. Dès les premiers mots du vieux bibliothécaire, nous serons subjugués par son récit d’enfance. C’est un vrai plaisir de le contrôler jeune ainsi que sa jeune amie, il faut dire que le binôme fonctionne parfaitement !!! Je ne me suis pas ennuyé une minute dans cette aventure entre couper par des enigmes/casses-têtes bien sympathiques. Le jeu est visuellement réussi, la bandes-son est magistrale et notre binôme est touchant, que demander de plus !!!
FONCEZ !!!! Découvrir ce chef d’oeuvre !!!!
Les Plus :                                                               Les Moins : 
– Magnifique                                                                       – Pas assez long 🙂 
– La bande-son
– Notre Duo attachant 
– Univers touchant
– Les Mini-jeux/casses-têtes  
– Son prix 
  My Memory Of Us est disponible sur Nintendo Switch au prix de 14,99 euros et sur PS4, Xbox One, PC pour 19,99 euros.
  My Memory Of Us, un jeu mémorable et touchant !!! My Memory Of Us est un jeu qui se déroule pendant la seconde guerre mondial, mais les développeurs ont pris un  risque en la modifiant à leur sauce - sauce qui est pour moi très intéressante - ici on oublie les allemands (Nazis) qui seront remplacés par des robots tout aussi méchants.
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lily-yvonne · 5 years ago
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MERCREDI EN SOIRÉE
Plans extérieurs de jour vers 19h
Fondu enchaîné sur Jésus qui dit à ses apôtres et aux disciples : — Asseyons ici pour nous reposer un peu.
Ils s’asseyent sur une pente du mont des Oliviers en face du Temple embrassé par le soleil couchant. Jésus regarde fixement cet endroit avec tristesse. Les autres ont un sentiment partagé entre l’enthousiasme de la vue sur le Temple et l’inquiétude à cause du regard triste de Jésus qui semble être plongé dans ses pensées. Pierre et Jean parlent entre eux et puis murmurent quelque chose à Jacques d’Alphée et à André, leurs voisins, qui expriment leur accord par un signe de tête.
Pierre se tourne vers le Maître et Lui demande : — Viens à part et explique nous quand se réalisera ta prophétie sur la destruction du Temple. Daniél en parle, mais s’il en était comme lui le dit et comme tu le dis, le Temple n’aurait plus que quelques heures. Mais nous ne voyons pas d’armée ni de préparatifs de guerre. Quand donc cela arrivera-t-il ? Quel en sera le signe ? Tu es venu, tu dis que tu vas t’en aller. Et pourtant on sait que cela n’arrivera que quand tu seras parmi les hommes. Tu reviendras alors ? A quand ton retour ? Explique-nous afin que nous sachions…
Jésus lui répond : — Il n’est pas besoin de se mettre à l’écart. Tu vois ? Sont restés les disciples les plus fidèles qui vous aideront grandement, vous mes apôtres. Eux peuvent entendre les paroles que je vous dis.
Puis il s’adresse à tous en élevant le ton : — Venez tous près de Moi !
Les disciples disséminés sur la pente, s’approchent, forment un groupe compact, serré autour du groupe principal de Jésus avec ses apôtres.
Jésus poursuit : — Prenez garde que personne ne vous séduise à l’avenir. Je suis le Christos, le Mashi’ah, et il n’y aura pas d’autres Christos. Donc quand plusieurs viendront vous dire : « Je suis le Christos » et ils en séduiront un grand nombre, vous ne croyez pas à ces paroles, même si elles sont accompagnées de prodiges. Satân, père du mensonge et protecteur des menteurs, aide ses serviteurs et ceux qui le suivent par de faux prodiges qu’on peut pourtant reconnaître comme n’étant pas bons, car ils sont toujours unis à la peur, au trouble et au mensonge. Les prodiges d’Elohîm, vous les connaissez : ils donnent une Paix sacrée, la Joie, le Salut, la Foi, ils amènent à des désirs et des œuvres sacrées. Les autres, non. Réfléchissez donc sur la forme et les conséquences des prodiges que vous pourrez voir à l’avenir attachées à l’œuvre des faux Christos et de ceux qui s’envelopperont des vêtements des sauveurs de peuples et seront au contraire les fauves qui les ruinent. Vous entendrez aussi, et vous verrez aussi, parler de guerre et de bruits de guerre, et ils vous diront : « Ce sont les signes de la fin ». Ne vous troublez pas : ce ne sera pas la fin. Il faut que tout cela arrive avant la fin, mais ce ne sera pas encore la fin. Il y aura des soulèvements d’un peuple contre un peuple, d’un royaume contre un royaume, d’une nation contre une nation, d’un continent contre un continent, et il s’ensuivra des pestes, des famines, des tremblements de terre en plusieurs endroits. Mais ce ne sera que le commencement des douleurs. Alors ils vous jetteront dans la tribulation et ils vous tueront en vous accusant d’être responsable de leurs souffrances, et en espérant en sortir, en persécutant et en détruisant mes serviteurs. Les hommes accusent toujours les innocents d’être la cause du mal que les pécheurs se créent eux-mêmes. Ils accusent Eloah lui-même, Innocence Parfaite et Bonté Suprême d’être la cause de leurs souffrances et agiront ainsi avec vous, et vous serez haïs à cause de mon Nom. C’est Satân qui les pousse. Et beaucoup se scandalisent et se trahiront et se haïront mutuellement. C’est encore Satân qui les pousse. Et il s’élèvera de faux prophètes qui induiront un grand nombre de gens en erreur. Ce sera encore Satân l’auteur véritable de tant de mal. Et à cause de la multiplication de l’iniquité, la charité se refroidira en plusieurs. Mais qui aura persévéré jusqu’à la fin sera sauvé. Et auparavant il faut que ce Bon Message du Royaume d’Elohîm soit prêché dans le monde entier, en témoignage pour toutes les nations. Et c’est alors que viendra la fin… Et puis un autre signe pour la fin du Temple et pour la fin du Monde. Quand vous verrez l’abomination de la désolation, prédite par Daniél — que celui qui m’écoute comprenne bien et que celui qui lit le Prophète sache lire entre les lignes — alors que celui qui sera en Iehouda1 s’enfuie sur les montagnes, que celui qui sera sur sa terrasse ne descende pas prendre ce qu’il a dans sa maison, et que celui qui est dans son champ ne revienne pas à la maison pour prendre son manteau, mais qu’il fuie sans se retourner, pour qu’il ne lui arrive pas de ne plus pouvoir le faire, et même qu’en fuyant il ne se retourne pas pour regarder, pour ne pas garder dans son cœur le spectacle horrible et en devenir fou. Malheur à celles qui seront enceintes et qui allaiteront en ces jours ! Et malheur si la fuite devait s’accomplir durant le Shabat ! La fuite ne suffirait pas pour se sauver sans pécher. Priez donc pour qu’elle n’arrive pas en hiver et un jour de Shabat, car alors la tribulation sera si grande qu’il n’y en a pas eu de telle depuis le commencement du monde jusqu’à nos jours et qu’il y en aura plus jamais de semblable car se sera la fin. Si ces jours n’étaient pas abrégés en faveur des élus personne ne se sauverait car des hommes, les suppôts de Satân, s’allieront à l’enfer pour tourmenter les hommes. Et alors aussi, pour corrompre et tirer hors de la voie juste ceux qui resteront fidèles à Adonaï, s’élèveront des gens qui diront : « Le Christos est ici, le Christos est là. Il est en cet endroit. Le voici ». N’en croyez rien. Que personne ne les croie, car il s’élèvera de faux Christos et de faux prophètes qui feront des prodiges et choses extraordinaires capables d’induire en erreur, s’il était possible les élus eux-mêmes. Ils diront des doctrines en apparence si convenables et si bonnes qu’elles séduiraient même les meilleurs, s’ils n’avaient pas avec eux le Souffle d’Elohîm qui les éclairera sur la vérité et l’origine satanique de ces prodiges et de ces doctrines. Je vous le dis. Je vous le prédis pour que vous puissiez vous diriger. Mais ne craignez pas de tomber. Si vous restez dans l’Adôn, vous ne serez pas attirés par la tentation et la ruine. Rappelez-vous ce que je vous ai dit : « Je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et de toute la puissance de l’Ennemi rien ne vous nuira car tout vous sera soumis ». Je vous rappelle aussi cependant que pour l’obtenir vous devez avoir Eloah en vous et vous devez vous réjouir, non parce que vous maîtrisez les puissances du mal et les choses empoisonnées, mais parce que votre nom est écrit dans le Ciel. Et afin qu’il ne s’efface pas, priez tout en restant dans Adôn et dans sa Vérité. Aussi, je vous répète encore : quelque chose que l’on vous dise de Moi, ne le croyez pas. Moi seul ai dis la Vérité. Moi seul je vous dis que le Christos viendra, mais quand ce sera la fin. Donc si on vous dit : « Il est dans le désert » n’y allez pas. Si l’on vous dit : « Il est dans cette maison » n’y croyez pas. En effet, le Fils de l’homme, quand il viendra pour la seconde fois, sera semblable à l’éclair qui sort du levant et glisse jusqu’au couchant en moins de temps qu’il n’en faut pour le battement d’une paupière. Et il glissera sur le grand Corps devenu soudainement cadavre, suivi de ses Anges resplendissants, et il jugera. Partout où sera le corps, se réuniront les aigles. Et tout de suite après les tribulations de ces derniers jours dont on vous a parlé — je parle maintenant de la fin du temps et du monde et de la Résurrection des ossements dont ont parlé les Prophètes — le soleil s’obscurcira, et la lune ne donnera plus de lumière, et les étoiles du ciel tomberont comme les grains d’une grappe trop mûre secouée par un vent de tempête, et les puissances des Cieux trembleront. Et alors, dans le firmament obscurci, apparaîtra fulgurant le signe du Fils de l’homme, et toutes les nations de la Terre pleureront, et les hommes verront le Fils de l’homme qui viendra sur les nuées du ciel avec une grande puissance et une grande gloire et Lui commandera à ses Anges de moissonner et de vendanger, et de séparer l’ivraie du bon grain, et de jeter le raisin dans la cuve, car il sera venu le temps de la grande récolte des descendants d’Adâma, et il n’y aura plus besoin de garder des grappillons ou de la semence, car l’espèce humaine ne se perpétuera plus jamais sur la Terre morte. Et il commandera à ses Anges de réunir à grand son de trompe les élus des quatre vents, d’une extrémité à l’autre du ciel, pour qu’ils soient du côté du Divin Juge pour juger avec Lui les derniers vivants et ceux qui seront ressuscités. Apprenez du figuier une ressemblance : quand vous voyez ses branches s’attendrir et mettre des feuilles, vous savez que l’été est proche. De même aussi quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Christos va venir. En vérité, je vous dis : elle ne passera pas cette génération qui n’a pas voulu de Moi avant que tout cela se produise. Ma parole ne tombera pas. Ce que je dis sera. Le cœur et la pensée des hommes peuvent changer, mais ma parole ne changera pas. Le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront pas. Quant au jour et à l’heure précise, personne ne les connaît, pas même les Anges d’Adonaï, mais le Père seul les connaît. Comme au temps de Noah, ainsi il en sera à la venue du Fils de l’homme. Dans les jours qui précédèrent le déluge les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient, se logeaient sans réfléchir au signe jusqu’au jour où Noah entra dans l’arche et où s’ouvrirent les cataractes du ciel et où le déluge submergea tous les vivants et toutes les choses. De même aussi il en sera pour la venue du Fils de l’homme. Alors deux hommes seront l’un près de l’autre dans un champ et l’un sera prit, l’autre laissé ; et deux femmes seront appliquées à faire aller la meule, l’une sera prise et l’autre laissée, par les ennemis de la Patrie et plus encore par les Anges qui sépareront la bonne semence de l’ivraie, et ils n’auront pas le temps de se préparer au jugement du Christos. Veillez donc car vous ne savez pas à quelle heure viendra votre Adôn : Bèn Elohîm. Pensez de nouveau à ceci : si le chef de famille savait à quelle heure vient le voleur, il veillerait et ne laisserait pas dépouiller sa maison. Veillez donc et priez, en étant toujours préparés à sa venue, sans que vos cœurs tombent dans la torpeur par des abus et des excès de toutes espèces, et que vos esprits ne soient éloignés et fermés aux choses du Ciel par le soin excessif des choses de la Terre, et que le lacet de la mort ne vous prenne pas à l’improviste alors que vous ne serez pas préparés. Car rappelez-vous : tous vous devez mourir. Tous les hommes, dès leur naissance, sont destinés à la mort, et c’est une venue particulière du Christos cette mort et le jugement subséquent, qui devra se répéter pour tous les hommes à la venue solennelle du Fils de l’homme. Qu’en sera-t-il donc de ce serviteur fidèle et prudent préposé par son adôn pour donner en son absence la nourriture aux gens de sa maison ? C’est un heureux sort qu’il aura si son adôn, revenant à l’improviste, le trouve à faire ce qu’il doit avec sollicitude, justice et amour. En vérité je vous dis qu’il dira : « Viens, bon et fidèle serviteur. Tu as mérité ma récompense. Tiens, administre tous mes biens ». Mais s’il paraissait, sans l’être, bon et fidèle et si intérieurement il était mauvais comme extérieurement il était hypocrite, et qu’après le départ de son adôn il ait dit en son cœur : « L’adôn tardera à revenir ! Donnons nous du bon temps » ; et s’il se mettait à battre et à maltraiter ses co-serviteurs en faisant de l’usure sur eux pour la nourriture et toutes espèces de choses pour avoir plus d’argent à dépenser avec les noceurs et les ivrognes, qu’arrivera-t-il ? Que l’adôn reviendra à l’improviste, quand le serviteur ne pense pas qu’il est tout près, et sera découverte sa mauvaise conduite, sa place et l’argent lui seront enlevés, et il sera chassé, comme le veut la justice et y restera… Il en est ainsi du pécheur impénitent qui ne se demande pas comment la mort peut être proche, et voisin son jugement, et jouit et abuse en disant : « Plus tard, je me repentirai ». En vérité je vous dis qu’il n’aura pas le temps de le faire et qu’il sera condamné à rester éternellement dans le lieu de la redoutable horreur où il n’y a que blasphèmes, pleurs et tortures, et qu’il en sortira seulement pour le Jugement dernier, quand il revêtira sa chair ressuscitée pour se présenter entier au Jugement dernier, comme il a péché avec tout son être au temps de sa vie terrestre, et avec son corps et son âme il se présentera au Juge Yeshouah, dont il n’a pas voulu comme sauveur. Tous seront là devant le Fils de l’homme. Une multitude infinie de corps rendus par la terre et la mer et recomposés après avoir été poussière pendant si longtemps, et les esprits dans les corps. A chaque chair revenue sur les squelettes correspondra son propre esprit qui l’animait autrefois. Et ils seront debout devant le Fils de l’homme, assis sur le trône de sa gloire, soutenu par les Anges. Et Il séparera les hommes entre eux en mettant d’un côté les bons et de l’autre les mauvais, comme un berger sépare les brebis des boucs, et mettra ses brebis à droite et les boucs à gauche. Et de sa douce voix, avec son aspect bienveillant, Il dira à ceux qui, paisibles et beaux d’une beauté glorieuse dans la splendeur d’un corps sacré, le regarderont avec tout l’amour de leurs cœurs : « Venez, Ô bénis de mon Père, prenez possession du Royaume préparé pour vous depuis l’origine du monde. Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire, j’ai été pèlerin et vous m’avez logé, j’ai été nu et vous m’avez revêtu, malade et vous êtes venu me rendre visite, prisonnier et vous êtes venu me réconforter ». Et les justes Lui demanderont : « Quand donc Adonaï, t’avons-nous vu affamé pour te donner à manger, assoiffé pour te donne à boire ? Quand donc t’avons-nous vu pèlerin pour t’accueillir, nu pour te revêtir ? Quand t’avons-nous vu malade et prisonnier, pour être venu te rendre visite ? » Et le Roi des rois leur dira : « En vérité je vous le dis : quand vous avez fait une de ces choses à l’un des plus humbles parmi mes frères, alors c’est à Moi que vous l’avez fait ». Et puis Il se tournera vers ceux qui seront à sa gauche et Il leur dira d’un air sévère, et ses regards seront comme des flèches qui foudroieront les réprouvés et dans sa voix tonnera la colère de Yahweh : « Hors d’ici ! Loin de Moi, ô maudits ! Dans le feu éternel préparé par la fureur d’Elohîm pour le démon et les anges des ténèbres et pour ceux qui les ont écoutés avec leur voix de la passion triple et obscène. J’ai eu faim et vous ne m’avez pas donné à manger, soif et vous ne m’avez pas désaltéré, j’ai été nu et vous ne m’avez pas revêtu, pèlerin et vous m’avez repoussé, malade et prisonnier et vous ne m’avez pas rendu visite, car vous n’aviez qu’une loi : le plaisir de votre moi ». Et eux Lui diront : « Quand t’avons-nous vu affamé, assoiffé, nu, pèlerin, malade, prisonnier ? En vérité, nous ne t’avons pas connu. Nous n’y étions pas quand tu étais sur la Terre.» Et Lui leur répondra : « C’est vrai, vous ne m’avez pas connu, car vous n’y étiez pas quand j’étais sur la Terre. Mais vous avez pourtant connu ma Parole et vous avez eu parmi vous des pauvres, des affamés, assoiffés, nus, malades, prisonniers. Pourquoi ne leur avez-vous pas fait ce que peut être vous m’auriez fait à Moi ? Car il n’est pas dit que ceux qui m’ont eu parmi eux ont été miséricordieux envers le Fils de l’homme. Ne saviez-vous pas que je suis dans mes frères et que je suis là où souffre l’un d’eux, et ce que vous n’avez pas fait à l’un de mes humbles frères, c’est à Moi que vous l’avez refusé, à Moi, premier né des hommes ? Allez et brûlez dans votre égoïsme. Allez et que les ténèbres et le gel vous enveloppent puisque vous avez été ténèbres et gel , tout en sachant où était la Lumière et le Feu et l’Amour » Et ceux-là iront à l’éternel supplice alors que les justes entreront dans la vie éternelle. Tel est l’avenir …Maintenant allez. Et ne vous séparez pas entre vous. Je m’en vais avec Iohanân et je serai près de vous au milieu de la première veille, pour le repos et pour aller ensuite à nos instructions .
Judas dit en se lamentant : — Ce soir aussi ? Ferons nous cela tous les soirs ? Je suis tout endolori par la rosée. Ne vaudrait-il pas mieux désormais entrer dans quelque maison hospitalière ? Toujours sous les tentes ! Toujours à veillez et pendant les nuits qui sont fraîches et humides…
Jésus : — C’est la dernière nuit. Demain…ce sera différent.
Judas : — Ah ! Je croyais que tu voulais aller au Gat-Shemanîm1 toutes les nuits. Mais si c’est la dernière…
Jésus : — Je n’ai pas dis cela, je veux dire que ce sera la dernière nuit à passer au Camp des Galiléens tous unis. Demain nous préparerons Pèssah et nous consommerons l’agneau et puis j’irai seul priez dans le GatShemanîm. Et vous pourrez faire ce que vous voulez.
Pierre dit : — Mais nous viendrons avec Toi, Adôn ! Quand donc avons-nous voulu te quitter ?
 Heureux de dénoncer, Judas lance d’un air sarcastique : — Tais-toi, toi qui es en faute. Toi et le Qanaït2 , vous ne faites que voleter çà et là dès que le Rabbi ne vous voit pas. Je vous ai à l’œil ! Au Temple …pendant la journée…sous la tente, là-bas….
Jésus : — Suffit ! S’ils le font, ils font bien. Mais pourtant ne me laissez pas seul…Je vous en prie.
Simon le Zélote se défend : — Adôn, nous ne faisons rien de mal, crois-le. Nos actions sont connues d’Elohîm et son œil ne se détourne pas d’elles avec dégoût.
Jésus : — Je le sais, mais c’est inutile. Et ce qui est inutile peut toujours être dommageable. Restez le plus possible unis… (Puis il s’adresse à Matthieu) Toi, mon bon chroniqueur, tu leur répéteras la parabole des dix vierges sages et des dix vierges folles, et celle de l’adôn, qui donne des talents à ses trois serviteurs pour qu’ils les fassent fructifier, et des deux qui gagent le double et du paresseux qui enterre le sien. Te souviens-tu ? 
Matthieu répond : — Oui, mon Adôn, exactement. 
Jésus : — Alors répète les à ceux-ci. Tous ne les connaissent pas et même ceux qui les connaissent auront plaisir à les entendre à nouveau. Passez ainsi le temps en sages conversations jusqu’à mon retour. Veillez ! Veillez ! Tenez votre esprit éveillé. Ces paraboles sont appropriées à ce que je dis. Adieu. La paix soit avec vous.
Il prend Jean par la main et se dirige avec lui vers la ville. Les autres se dirigent vers le Camp des Galiléens. Ellipse avec travelling arrière.
EXTRAIT DE L’OUVRAGE  “SCÉNARIO - L’ULTIME ALLIANCE” : http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/scenario-l_ultime-alliance.pdf
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/ https://www.youtube.com/watch?v=1qI8FeNbFsM&t=621s https://www.change.org/p/emmanuel-macron-dieu-ne-veut-pas-de-fl%C3%A8che-sur-notre-dame-098097a0-f72c-4021-9b66-cc9c78ecb8a8?lang=fr-FR
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lebideduroutard · 5 years ago
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Jour 11 - Descendre le Styx pour atterrir au paradis
Il est 8h30 quand nous ouvrons les yeux dans cette nouvelle chambre. La nuit a été bonne, et l’on constate que jusqu’à présent nous n’avons pas eu à proprement parlé de mauvais lit (excepté dans notre tout premier appartement sur Hanoï, où finalement le matelas n’était quand même pas si confortable).
Le petit-déjeuner est encore une fois parfait pour commencer la journée : les fameux pancakes sont toujours là, accompagnés d’un café noir vietnamien (NOIR-NOIR le café, on est plus sur un concentré type café italien qu’un café américain). Nous partageons ce moment avec Danielle, une vancouvéroise vivant depuis 6 ans à Paris. Le courant passe bien, aussi décidons nous de louer des vélos tous ensemble pour partir à la découverte de l’ancienne capitale, Hoa Lu.
Il fait beau, et après quelque coups de pédales perdus en plein milieu des rizières, il commence même à faire chaud !
La route est… inégale, mais il y a toujours quelque chose où poser le regard et être émerveillé, ou surpris. 
Après pas loin d’une heure de vélo, nous arrivons face à l’entrée d’Hoa Lu. Le lieu semble être extrêmement touristique : de nombreuses personnes tentent de nous alpaguer sur le bord de la route tenant à nous vendre diverses choses même si elles ne cessent de répéter “No money ! No money !”. En cherchant où laisser nos vélos, une dame très antipathique nous dit que cela nous coûtera 10000 dongs par personne en frais de parking. Bien que cela ne soit pas cher du tout (approximativement 40 centimes d’euros), la façon de nous le dire ne me plaît pas, et je préfère encore m’éloigner un peu pour aller ranger nos vélos dans un coin plus isolé. A ce moment, une autre dame, légèrement plus agréable, vient nous dire que si nous mangeons dans son restaurant, le parking sera gratuit. Il est déjà midi, il faudra bientôt songer à trouver où déjeuner, cela semble être un bon compromis (il s’avérera que non, ce n’était pas un bon compromis…).
Nos vélos enfin posés, nous pénétrons enfin la cité d’Hoa Lu. C’est beaucoup plus calme qu’à l’extérieur, et ça fait du bien. Nous déambulons tous les trois dans les allées, à la découverte de plusieurs petits temples, tous très semblables et nous croisons même notre premier serpent ! Danielle, n’ayant pas connaissance de la phobie de Charlotte, me crie “ARTHUR ! Regarde, un SERPENT !!!”. Trop tard, Charlotte a entendu… Mais aussi étonnant que cela puisse paraître (je n’aurais pas misé 1 dong sur ça), Charlotte ne prend pas ses jambes à son cou et est même intriguée par le reptile (même si elle n’affichait quand même pas un air des plus détendu). Je dois dire que je suis assez fier !
Nous finissons notre visite en déambulant dans un temple dédié à Bouddha où l’on tombera sur des recommandations religieuses illustrées assez intrigantes : il y est décrit une “mauvaise” action et le prix de cette dernière, du point de vue du karma (“Si tu tues une personne dans cette vie, tu seras poignardé et brûlé vif en Enfer”, ou encore “Si tu insultes les autres, tu seras réincarné en cochon”...).
Nous retournons donc à notre parking à vélo, pour honorer notre promesse de manger chez la dame “presque” agréable. ERREUR. Le Pho que Danielle et moi-même prenons ne contient presque rien (et peut-être que c’est pour le mieux finalement) et le bouillon est marronâtre, on ne voit pas le fond du bol, c’est de loin le Pho le plus moche que je croise jusqu’à présent. Quand au Ban Mi de Charlotte, il se définit par un morceau de pain avec un peu d’omelette à l’intérieur : la tristesse incarnée. C’est chiche, pas moins cher qu’un restaurant convenable, et c’est un peu dégoûtés que nous finissons le repas.
C’est le ventre peu rempli que nous remontons sur nos vélos. Cette fois-ci nous voulons aller à Trang An : c’est l’endroit où l’on pourra monter dans une barque pour se balader dans la fameuse “baie d’Halong terrestre” dont on a lu le plus grand bien sur divers blogs et guides de voyage, et dont Ute et Bjoern nous ont dit que c’était encore plus beau que la croisière que nous avons fait ensemble sur la baie de Lan Ha. Nous ne savons pas encore si nous allons choisir ce point de départ, deux autres étant possibles, dont un à Tam Coc où nous logeons, mais il paraît que Trang An est considéré comme le plus beau et le plus préservé. Le hic, c’est que Ute et Bjoern nous ont expliqué qu’une fois dans la barque, il faudrait passer par des grottes, et comme il a beaucoup plu dernièrement, certains passages nécessitent de s’allonger dans la barque car il n’y a pas beaucoup d’espace entre l’eau et les stalactites… Charlotte étant légèrement claustrophobe, je comprend qu’elle puisse hésiter. Moi-même, sans parler de claustrophobie, je ne suis pas sûr d’apprécier ces espaces TRÈS confinés. 
Finalement, une fois sur place, on se dit qu’après tout il faut tenter : nous n’aurons pas souvent la chance de réitérer l’expérience, et tout le monde dit que c’est génial.
Nous payons donc notre entrée (25% plus cher que d’habitude, encore à cause de cette fichue fête du Têt), et sautons dans notre petite barque dont le moteur n’est autre qu’une petite dame qui semble avoir facilement 70 ans. C’est parti pour 3h environ, selon le prospectus que l’on nous a donné à l’entrée, où l’on alternera entre progression sur les lagons, explorations de grottes (neuf au total sur l’itinéraire que l’on a choisi), et découvertes de temples cachés (3 pour nous).
Quand l’entrée de la première grotte arrive, j’avale nerveusement ma salive en constatant que oui, ce n’est pas haut du tout !!! Rester assis dans la barque ne semble pas envisageable, à moins de vouloir se râper le front sur le plafond, et je me demande si cela va le faire pour Charlotte, redoutant un peu d’avoir sous-estimé une possible crise d’angoisse qui nécessiterait que l’on arrête ici notre “croisière” et que l’on fasse demi-tour. Surprise, Charlotte affiche un grand sourire et me lâche un “C’est génial ! C’est trop beau !”... C’est à la fois étonné (il fait noir, le plafond se trouve quelques centimètres au dessus de nos têtes, et il n’y a pas d’échappatoires, chose qu’elle déteste) et content que je constate que l’on a bien fait de tenter l’expérience : c’est un endroit splendide et mystérieux à la fois.
Nous poursuivons donc notre périple sur l’eau, et la dame qui nous conduit essaye de communiquer avec moi à de nombreuses reprises, souvent avec de trèèèèès longues phrases. Problème : je ne parle pas le vietnamien et elle ne parle ni l’anglais, ni le français. Je souris donc béatement à chacune de ses tentatives, et j’essaye malgré tout de lui répondre poliment en pariant sur ce qu’elle a voulu me dire. Cela fait beaucoup rire les filles qui me laissent me débrouiller, sûrement une vengeance parce que je les laisse pagayer depuis le début du voyage (mais ce n’est pas parce que je suis macho, je suis juste assis en plein milieu de la barque pour l’équilibrer avec mes grosses fesses, et je suis donc trop loin du bord pour aider !). Au fur et à mesure que nous avançons, j’ai un déclic. Nous sommes monté dans la barque vers 16h, le trajet dure 3h… et la nuit tombe vers 18h… Mince. On a pas pris ce détail en compte… Nous sommes venus en vélos, qui malgré qu’ils soient en bon état, ne sont pas équipé en lampes. Me remémorant le chemin pris à l’aller, où nous avons roulé à travers les rizières, sur des chemins d’une cinquantaine de centimètres de large encadrés par l’eau, je suis pris d’un léger coup de stress. Nous n’avons cependant pas le choix, advienne que pourra.
Quand nous rejoignons enfin l’embarcadère, nous sommes la dernière barque à rentrer. Cela nous a permis d’être seuls au monde sur toute la fin de notre périple, ce qui en soit était incroyable et nous a offert une expérience hors du commun. Mais il fait effectivement nuit noire. Nous récupérons nos vélos, et après avoir étudié le trajet, décidons de choisir un chemin plus long, mais où l’on restera sur une route qui sera donc sûrement plus stable et éclairée. Le choix reste sûrement le meilleur après coup, mais j’avoue que l’expérience a été assez inquiétante sur le moment : nous avons roulé la plus grande partie du trajet sur une route de type nationale, sans aucun éclairage publique ou lumière pour voir devant nous, et sans véritable moyen de nous signaler aux autres véhicules. Nous avons malgré tout bidouillé un peu pour fixer nos smartphones allumés dans notre sac à dos, pour ne pas être totalement invisibles, mais personnellement j’étais en charge de la carte, donc je n’ai pas pu bénéficier de ce très léger avantage, et je me suis surpris à réviser mon “Notre Père” à chaque fois que les phares d’un poids-lourd ou d’un bus commençaient à projeter mon ombre devant moi, ne rouvrant les yeux qu’après avoir senti le bestiaux me frôler…
Après ce qui sembla être une éternité, nous voyons enfin apparaître au loin les lumières de Tam Coc. J’aurai pu pleurer de joie à cet instant. Je peux sentir chaque muscles de mon corps, tendus par l’effort et le stress, commencer à se relâcher au fur et à mesure que l’on se rapproche du centre-ville et, pas besoin de se concerter à ce sujet, d’une bonne bière fraîche pour atterrir en douceur de cette expérience quelque peu traumatisante. 
Ute et Bjoern nous rejoignent également, et c’est avec plaisir que je constate que chaque jour, le nombre de chaises autour de notre table augmente peu à peu…
Arthur
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thegodofmistletoe · 6 years ago
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4 Novembre - Destination Islande
Saikan retint un soupir et reprit pied sur terre tandis que Mona et Ilyas le dévisageaient, semblant attendre quelque chose de sa part. Le jeune homme devait bien l'avouer, il avait totalement déconnecté de la présente conversation. En même temps, qui pourrait le blâmer ? Suivre deux discussions à la fois et être impliqué dans chacune d'elles n'était pas une chose aisée, loin de là. Son regard perdu suffit à Ilyas pour comprendre qu'il n'avait strictement rien écouté. "-On se demandait si on ne commencerait pas par le Danemark. Ça nous permettrait de pouvoir accéder aux autres pays avec la voiture sans avoir à faire le grand tour. Normalement on devrait avoir largement les moyens pour le bateau." Voilà exactement ce que Saikan redoutait plus que tout. Les deux cousins semblaient avoir déjà prit une décision. Comment faire pour les convaincre de changer leurs plans en faveur de l'Islande ? Comment rendre une île glaciale plus attirante que Amsterdam, sa vie nocturne et sa culture ? Car Saikan savait bien que c'était cette ville en particulier qui attirait les Helland. Ça lui semblait être mission impossible de faire jouer sur le même terrain Islande et Amsterdam, même pour le dieu de la manipulation qu'était Loki. "-Fais moi donc confiance ! Je te garantis que dans deux jours on sera dans un bateau à destination de l'Islande ! -Amsterdam ? Qu'est-ce donc ? -Le rêve de tout jeune ou du moins d'une grande partie de la jeunesse occidentale d'aujourd'hui. En gros c'est une ville très réputée pour sa liberté, ses mœurs légères, ce genre de choses... Ils sont assez... Euh... Décomplexés je dirais ? -Va falloir être plus clair Saikan." Pouvait-on imaginer situation plus gênante que de discuter avec deux dieux nordiques du quotidien (fantasmé) d'Amsterdam ? Il n'avait pas peur de les choquer, il connaissait ses classiques, il savait qu'eux-même avaient pu faire bien pire. Mais le contexte en lui-même était gênant et Saikan, contrairement à Mona, n'était pas du genre à parler facilement de ce genre de choses. Heureusement, il fut sauvé par la nécessité de répondre aux deux cousins. "-Je crois que je vois assez bien pourquoi vous voulez passer par le Danemark, pas la peine d'essayer de m'entuber ! Mais sérieux... Ça me paraît pas ultra raisonnable de commencer par ça... Le quartier rouge tout ça ? On aura qu'à les faire juste avant de revenir non ? -T'es coincé. -Va jouer sur l'autoroute Mona, t'as rien à faire avec nous pour commencer !" Mona lui tira puérilement la langue en réponse tandis que Saikan commençait à prendre une teinte rouge prononcée qui lui allait affreusement mal au vu de son teint pâle habituel. Ilyas sentait que s'il ne faisait rien, leur road-trip allait rapidement se transformer en escapade pour trouver un endroit où planquer un corps ! "-Saikan a raison Mona, c'est lui qui a lancé l'idée, laissons-le décider ! Disons que tu décidera de la prochaine destination puis ce sera mon tour et on tournera comme ça jusqu'à la fin. Non ?" S'il ne s'était pas retenu de crainte de passer pour un fou, Saikan aurait sauté aux bras de son meilleur ami. Ce dernier venait, sans le savoir, de lui fournir l'alibi parfait pour que sa décision soit écoutée et respectée. Mona bougonna, pesta, manqua de les insulter mais finit par accepter la proposition de son cousin. Après tout, l'idée de pouvoir décider de la destination suivante sans que sa décision ne puisse être contestée plaisait bien à son côté autoritaire. "-J'irais bien faire un tour à Reykjavik en Islande... Il paraît que les paysages sont magnifiques et puis on tombera pile durant la nuit de la Culture et j'ai vraiment envie de voir ça ! -L'Islande ?! Mais il fa- -Mona ! Saikan a choisi l'Islande alors on ira en Islande point." Mona se renfrogna, commençant à bouder tandis que Saikan adressait un sourire reconnaissant à son meilleur ami. Rapidement, ils remontèrent tous en voiture, Mona toujours à l'arrière. Cette dernière ne tarda pas à se rendormir sans un mot tandis que les deux jeunes hommes à l'avant commençaient à réfléchir à ce qu'ils pourraient faire là-bas en même temps que Saikan commandait les billets pour le bateau. Il était rayonnant de fierté même s'il tentait de le cacher. Il avait réussi à les convaincre sans l'aide de Loki ! Bon d'accord, il n'aurait sans doute rien pu faire sans Ilyas, mais ce dernier ignorait tout des véritables projets du jeune norvégien. Sinon il le prendrait sans doute pour un fou ! Deux antiques dieux en train de se chamailler sous son crâne ? Et pourquoi pas une chèvre albinos et unijambiste dans la voiture aussi ? "-Les gars ? -Ce n'est pas ainsi que l'on s'adresse à des dieux Saikan. Mais nous t'écoutons. -Vous squattez mon crâne, je m'adresse à vous comme ça me chante. Mais bref... Vous pensez vraiment que la réponse se trouve dans le Codex Regius ? -Il y a des chances effectivement. -Tu ne vas pas m'en dire plus ? -Non. Moi-même je n'en sais pas vraiment plus, mais le Codex Regius est connu, même chez les dieux. Alors les réponses sont sûrement dedans. -Attends, attends... En fait vous n'en savez rien ?! -...Non. -Je suis en plein cauchemar ! Et il a rien à dire l'autre là qui voulait tant aller en Islande ?! -Loki ? Non il boude, il est vexé que tu ai pu t'en sortir sans lui." Saikan serra les dents, tapant son crâne contre l'appuie-tête. Il voulait se débarrasser de la présence dérangeante de Baldr et Loki mais... Cette expédition lui semblait de plus en plus folle et casse-figure. En fait, ils ignoraient tous trois ce qu'ils cherchaient réellement ! Peut-être même que la solution pour renvoyer les deux dieux d'où ils venaient n'exister pas réellement. Et c'était sans doute la perspective la plus effrayante : devoir les supporter pour le restant de son existence... Ça ne faisait que quelques mois mais ces deux-là le rendait déjà complètement fou... Alors plusieurs années ? Il était bon pour la camisole blanche à ce rythme !
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kenstenbaum · 7 years ago
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RUNOUT
Against a pre-human exactitude, let’s no longer go to the under-layer of what is legible but progress to the edge of readability.
On imagine. On ne pourrait que mieux faire qu’ici, un coin de monde et vivre pour partir. Tous depuis des étapes différentes, l’épicentre des nœuds de routes était la situation de notre rencontre. Un soir arrive quand il pleut. Nous sommes deux, on tient la pause bouclés à des crochets tout terrain. Remplir ses propres formes dans l’attente de voir venir la forme. Pas le temps calme de revenir, au fond. Reprenons les suspensions de nos envies les plus coûteuses. Baisers, de quoi baiser la fertilité. Vendange des rondeurs de la ferti- lité. Tremors de dénivelés rocheux s’écaillent et craquent. Il faut se coller entièrement à l’horizon et gérer sans prise l’auto-centrisme.
Cherry pie and much more things on the list to be closer to what we like so much.
En grande vélocité, faire vibrer les stocks de recettes/dépenses en colonnes dégringolées. Dézinguées. En somme des envies de château, de vie mûre, séchée, congelée, réhumidifiée, craquer mon T-shirt.
À l’intérieur c’est tout chaud, comme une invitation à prendre un pas tranquille. Le dépôt de corps gras vient fondre à ma soudaine bave. Le corps gras de ces pauvres de peau, ça me colle à la peau de base. Ma poêle irritée en souvenir.
Sachant la place qui ne pourrait plus être occupée par une approche organique, on ima- gine empilé par succession, une décharge de la première place qui avait fait raz. RAZ
Les condors volent. Patience inconnu.
C’est arrivé en pleine lourdeur pour suturer et enfermer une réelle mélancolie. Pas moyen d’affecte ou d’sentiment. «Souviens-toi des histoires perdues», ON SAIT que l’on ne pourra revenir. Quand je me sens bien, je n’aime pas les flashs. Merci à l’indifférence, je ne songe jamais que vous êtes parallèles et multiples, que nos contacts ont des bords recroquevillés vers eux-mêmes. Salauds! Je vous aide déjà : Vous avez voulu rouler à notre mort mais je roule déjà à notre mort. Conduisez-moi, en tant que chef je dirai où la neige tombera. Riche de germes, parcourons les steppes de points de vie de vide. Ce moment spécial voulait que nous soyons seuls n’acceptant aucun entrouïr trop bête. Nous, orchestral, sans rire, à marcher du diable! Le vertige sans pédale.
General beat given aside.
“ Je pleure, et tu ne t’arrêtes pas de m’éblouir ! Pas moyen d’y voir un «Mezzo», le crash-test n’a pas aidé.
— Trash. — Sérieux! Ultima Vez, Ultima Vez. — Buttes-moi au canal, je te trouve si amère que je suis brûlé. — On tire vers l’être entier mais moi je ne peux pas me perdre anonymement.
Où est le commencement? Des ordures? Je vais tout jeter. — Vois-tu les dorures de mes bleus? — Route, mille routes, mille fois le tour sur un dragon. ”
Voilà pourquoi on se regardait, partageant entièrement la responsabilité des gains. Voilà mon sexe sans poils. C’est difficile d’arquer la face, les crêtes sourcilliaires sont trop éle- vées que tout n’y est pas. Elle a mal au visage ou putain à la tête. C’est un jeu, que nous te- nions notre verre à deux mains. Au début, c’est moi qui disais de ne pas embarquer. Mais tout content bien gagnant, le jackpot était bien là. La faille, quand le montant des gains devient supérieur à la capacité globale des comptes, déverse tous ses excès. On galère, ça se voit. Au fond, si on joue, c’est qu’on est au chaud! Dehors le froid. Pas possible de sor- tir de cette caisse. Chut! Possible, quand notre sueur nous dégoutera tant qu’on ne sentira plus l’envie de croquer, d’y laisser une sanglante. On appuiera again et grosse machine on play.
Poussé par un son de flash et de réacteurs, j’active maintenant la manette qui dévore. On se fait goûter en plat fumant. Plus de jambe ni de tronc corporel, que des grands bras et un mental en visio perspective à la première personne. Faisant tout pour garder la réflexion à l’œuvre, je grattais le marre du percolateur, une emmerdeuse et moi.
Les vestes de crises sont les données qui nous vendent de la musique bien qu’éternelle plastique lourd.
Au moins tenter le jeu, la musique pourrait se branler d’autre chose! Aucune vision n’aide à planer, toujours accueillante, elle zap sans dire aurevoir. Voilà du style!
“ On est chez nous! — Arrêtes le matos, on va déneiger ici. Nous somme resté concentrés. — On aura tout essayé, on reviendra? — Moi, j’ai tout donné. ” Langoureuse patience en attendant le retour de Joie. Elle est si
superficielle que nous seront amis au moins quelques années.
Il y a du potentiel libre service de thé et de café, et c’est gratuit! Les pommes ont une apti- tude à la survie. Pulsions novices, ça sera jamais que jouer de la trompette en trompette, genre la motivation et tout. Elle avait raison de commencer championne, elle connaissait l’habitude. Les résultats nuls sont exemples pour détails importants. Nous avons tout partagé dans le contrat de mise. De somme, sommes liés à l’émotionnel de mise.
You could generate a computer full all of this certain willingness of being real. Perfectly attached to the commandment in the right order and how money is. In succession, harmoniously. SUCCESSION.
The earth hemisphere is now and howsoever, a big plastic length of cord. In the inner interactions, the membrane which shows good manners of reflexion could just leave the movement in contract with an act. The too perfect pointed the member ‘free infinite’ to enclose it. Malabar islands have become numb and normal living purity, sharped in strip mall. The move there could be, I would never complain.
It talks about its creator. Once a real act has begun, just go with the run. Follow word by word, growing permanently and one day take it as an insult. Know that this fear will take over the driver’s hand. Unlike any route, leading to one’s, the part of what is suggested as thoughts, will melt perfectly to the horizon. Perfectly melted, I drive now in a slow big movement taking masses with the echo. Exponential echoes.
How can I be disturbed by my own ID creation, taking over when she followed me. I was following a note, pushing always, written on a sheet of paper placed behind me. Today I was really stressed, I cried.
I don’t really listen. Unknown route to an unknown village of knowledge.
According to you that we all learn a bit while intelligence is there, we never know how the rites are used by each.
As a visual oil coat, I would really like to encounter the wet now yet - then - wanting you, we all want this too cheap/not true. I love you, actors. All of you, actors.
Nom, prénom, âge... On part tous, égaux de ça. La santé morale pleure la riposte, le retour n’est pas informé ou injuste - c’est qu’on s’est engagé - maintenant c’est l’histoire du futur. Tombes en froid et réjouis toi d’un reste d’hyperthermie. Accroches-toi à ton palais et à tes pédales. Only pause pipi are allowed.
“ I will not be able to do it anymore, the battle in my hand bought the tickets which leave the earlier. ” Resolving a danger, trust me, take my hand, trust you, you took my hand.
On s’appelle pas souvent.
En plein pouvoir des liaisons extérieures, je pousse à saisir en simplicité et cohésion ce qui se présente. Il y a cette chaleur ambiante qui adoucit la terre où tout se développe un peu avec calme. Par cette ouverture, je me sens plus proche de vous et je voudrai presque être empathique ; Juste pour ce que j’aime bien. C’est la passe d’être las. En fait il fait beau alors on se sent beau et on oublie le reste, ça fait du bien.
AC (spreading) cool air is something I already hope could happen next time.
Il y a cette atmosphère veloutée noire. Surtout un grand lourd de gravité, l’air réconfor- tant, sûr, pour cacher des secrets cyniques. Couleur affolante des machines en l’air. 1000 milliards de possibilités avec 30 € en poche. On y passera la nuit honnêtement, le choix ça nous stresse pas trop on est venu pour en bouffer.
It was for banning all this crazy residue to make them totally invisible.
Prendre du poids, sentir que se remplir la panse à foison n’est pas possible, c’est tout pré- parer pour se branler en total, pour tout mettre en branle. Dépasser la raison primitive d’ingurgiter mais y faire passer le plus fluide des fluides quand il réclame le fruit de petits poids. Après l’oublie, l’appel d’air prend la place des parties nécessiteuses en gras et en sucre. La réactivité sera efficace, un manque de matière vive.
En venir aux extrèmes, apparement c’est ce qu’on voulait essayer de jouer et progresser, sans urgence, en répétant bon élève.
Juste la sensation — qu’elle te rende heureuse pour continuer, comme d’habitude. Abon- dance solo, une poussée de mes externes :
“ Merci de me sortir, j’aime ça! — Ça marche à tous les coups, gros reflux. — Tu me parles de ton image, elle se fait distordre. J’ai bien cru ne plus jamais te voir.
Impasse bien cruelle, n’est-ce pas? — Qui es-tu? — Le chicot 01855. ”
Pour organiser la même chose, on ne le fera plus. La première fois c’était déjà pas censé devenir concret. Plutôt une autre question mais cet endroit ne change pas. Toutes les nuits la même chose, personne ne nous accompagnera. C’est une zone — Unsafe — At your own risq.
For it should go slower, much more, or what is something that could possess time process and with it, would appear by the tuition wish of being present. I got to take a break in silence. I will just leave the situation and have a look from far away until it can drop me or if I like the scene, I would ask to stop again.
“ Big Spyro obscura, I thought what you did was terrifying. — What do you say when every speech is made to celebrate the venue of the frozen sun.
{...} — Don’t go against the wall that you won’t see. It is invisible, but also too big. — Go burn yourself. ”
D’une part d’enfant sauvage d’une autre de règle incandescente, je m’attache encore aux mets, ceux qui me parviennent et calment ma brusquerie. C’est à hauteur d’en baver sur chaise. Il n’y avait que, tout autour, des rebords moquettés d’épaisses matières étouffantes, absorbantes, pour focaliser son attention sur l’adresse à maîtriser où la dextérité simple d’expérience constiturait son beau language.
ENCORE - SIMPLES - des centaines de milliers de kilomètres à nous - où bon nous per- mettrons d’aller les nappes de sol noires. Impossible de décoller de l’apesanteur, la norme c’est de glisser comme un flotteur.
“ Tu rêves? — Assez oui, je m’y adonne et des fois j’y suis. Mais ça c’est le contrôle non-conscient. — Moi je dors dans le noir et je ne rêve pas. J’aime que ça se passe comme ça avec toi.
Tout ce qui bouge derrière s’efface pour charger les prochaines rafales en perspective. Tu es toujours en avance sur cette pleine immersion, j’arrive à te voir.
— C’est plus facile de me laisser conduire. Quand les jeux seront fait, tu prendra la relève.
— What the fuck! — It’s a cat, in the middle of the way. ”
There’s a cat in the middle of the road. It prevents with great distance that before us was the deep tranquillity of the area. It doesn’t move SO FAR.
“ Should we take right or left? — What is this? the end of the road? — A road does not end, it’s always leading to a road to another road... — This one is not finished, it is just blocked by rocks and trees. — It’s growing again. ”
Un moteur aérodynamique qui vrombit ça fait pas classe. Les phares ont une portée normale de 50 à 150 mètres environ.
When the appetite is twarted - CONTRECARRÉ
Une boîte mécanique _ une activation à la pièce comme un tour d’auto tamponneuse à laquelle il n’y a pas de limitte de temps, seule différence dans la partie, celle de s’éloigner au maximum des uns des autres... Si on lâche le jus, toute la chauffe se dissipe et l’ivresse redescend.
C’était l’idée de faire tapi pour une fois. Une quinte double flèche - un point à mille tours par seconde.
Les frontières territoriales sont ensevlies par les évènements naturels, celui-ci est de pluie, celui-là plein de sable venue des dunes. Les pistes formes des courants d’aspiration vers des étendues élancées.
Temperature will fall to — 54°.
Malheuresement, je ne passe pas inaperçu.
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appartonaute · 7 years ago
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Un pique-nique à Paris - Le guide futé
Le pique-nique parisien : pour ou contre ?
Après avoir débattu de la question, l’équipe d’Appartonaute a tranché : Nous sommes favorables aux pique-niques ! Mais pas n’importe comment. Voici un guide pour le parfait déjeuner sur l’herbe… Ou sur les pavés.
De Saint Louis à Bagatelle, quel endroit vous correspond ?
Tout d’abord, si vous décidez d’aller manger sur une nappe, il faut choisir votre lieu. Cela va avoir son importance dans de nombreux éléments de votre organisation. Comme d’éviter les ballons pour les enfants si vous allez au bord de l’eau. Voici quelques idées :
► Les quais parisiens, plutôt entre copains !
○ Au bord de la Seine ou du Canal Saint Martin
○ Ou même sur une île : Saint Louis, l’île de la Cité, l’île aux Cygnes, etc.
► Les parcs en famille (notamment pour laisser les bambins courir partout) :
○ Les chics : Jardin du Luxembourg, Jardin des Plantes, Place des Vosges, Jardin des tuileries
○ Les grands : La Villette, Parc Nelson Mandela, Parc André-Citroën
○ Les charmants : Parc Monceau, Parc Montsouris, Parc de Bagatelle, Promenade plantée
Mylittleparis a d’ailleurs fait une carte des meilleurs spots pour pique-niquer à Paris : Consultez la ici.
Les incontournables compagnons de table
Maintenant que vous avez votre destination, il faut composer votre panier. Que pouvez-vous prendre pour passer un bon moment ? (et éviter le fameux syndrome du « Oh non, on a oublié de prendre [insérer l’objet/l’aliment oublié] ! » ) Une petite sélection :
► Les ustensiles :
○ Un limonadier sera votre meilleur ami. Débouchonner, décapsuler, ouvrir une boite de conserve, j’en passe… Un limonadier et la question ne se pose plus.
○ Vous pouvez compléter avec un couteau suisse ou simplement avec un opinel.
○ Prenez des couverts, des assiettes, des serviettes et un sac poubelle, indispensable pour laisser l’endroit propre. Par ailleurs, si vos couverts peuvent être réutilisables et/ou éco-responsables, vous êtes sur la bonne voie.
○ Idéalement, embarquez votre pique-nique dans une glacière pour garder les boissons et aliments au frais.
○ Vous pouvez également prévoir une boite dans la glacière : S’il fait chaud, cela préservera à la fois la batterie et l’écran de vos portables.
○ Si grand soleil : les indispensables lunettes de soleil, chapeau et crème solaire.
○ Et une nappe ou un grand plaid sur lequel vous pourrez vous assoir sans problème.
► Les aliments :
○ Prédécoupez, si possible, tous les légumes faciles à grignoter : Carottes, concombres, choux fleurs… Pensez aussi ceux qui se mangent simplement : Tomates cerises et radis par exemple. (Faites pareil pour les fruits !)
○ Vous pouvez aussi faire une salade géante avant de partir. Niçoise, grecque, César, … choisissez votre clan !
○ Une ou deux baguettes de pain frais pour des bons petits sandwichs avec de la charcuterie (Jambon, saucisson, etc.)
○ Du beurre, des vinaigrettes et des laitages/fromages si vous avez une glacière
○ Des chips ou autre biscuits apéritifs et vous serez parés !
Pas envie de vous casser la tête à tout préparer ? ça arrive. Vous pouvez aussi vous faire livrer et prenez le temps de jeter un oeil à cet article du Bonbon qui référence des petits nouveaux à connaître pour l’apéro : Lire leur article. (Personnellement, nous allons en tester quelques uns. Pour être sûrs.)
©Paris Is Beautiful
Le savoir-vivre d’un bon pique-nique
Vous êtes maintenant installés dans un beau parc et le soleil est à son beau fixe. Vous n’êtes bien entendu pas les seuls dans ce bel espace et vous avez envie de passer un bon moment ? On vous donne quelques astuces.
► Les DOs :
○ Prenez votre temps : Rien de mieux qu’un bon pique-nique qui se poursuit sur l’après-midi avec une bonne sieste (Rappel : les coups de soleil, c’est douloureux donc trouvez un peu d’ombre pour faire la sieste .)
○ Repérez le sens du soleil pour en profiter un maximum / ou mieux vous protéger ou demandez à l’ingénieur du groupe (ou celui qui était scout quand il était petit, mais c’est souvent la même personne) de prévoir l’endroit où l’ombre tombera au moment opportun
○ Amenez des jeux de cartes / de dés / de société (petits) avec vous ! Des jeux comme le Tarot, Uno, The Game ou Hanabi sont de vrais bons moments à passer ensemble (et de toute façon, votre portable est dans une des boîtes de votre glacière, ça tombe bien, non ?)
► Les DONTs :
○ Ne laissez pas de déchets derrière vous. Cet espace sera ainsi toujours aussi joli quand vous reviendrez ! Rappelez-vous : Vous avez une mini poubelle avec vous.
○ N’aspergez pas vos voisins de crème solaire ou d’anti-moustique malgré eux
○ Ne commencez pas de feu improvisé même si l’envie d’un barbecue est très forte
○ Votre vie est privée : Gardez vos conversations téléphonique pour vous et évitez le haut-parleur.
  C’est bon ? Vous êtes prêts pour une nouvelle saison de pique-nique au top ? C’est parti.
Si vous avez trouvé un super endroit pour pique-niquer, nous vous recommandons chaudement de le garder pour vous. Sinon vous risquez de ne plus être tranquille très longtemps  Bon pique-nique au soleil ! ;)
Bonus pour briller en société avec votre verre de rosé : L’origine de l’expression « Pique-Nique »
©Aperodujeudi
http://www.appartonaute.com/un-pique-nique-a-paris-le-guide-fute/
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silkefeierabend · 7 years ago
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Comment enlever (et éviter) les marques d’insectes sur le papier peint
Et voilà, il a tout éclaboussé votre joli papier peint — un insecte mort ! Les moustiques en particulier ne nous laissent souvent pas d’autres choix que de les écraser sur le mur.
Sur les papiers peints, cela crée un problème disgracieux et sous-estimé, mais un problème que l’on peut éviter.
Les saisons ont une incidence sur la probabilité de ces taches indésirables, mais toutes sortes d’insectes se retrouvent chez vous (et sur votre beau papier peint) au printemps, en été, en automne et en hivers indifféremment. Moustiques, araignées, punaises, guêpes — il y a de nombreux coupables possibles, et tous ne sont pas immédiatement reconnaissables. Vous pouvez trouver un certain nombre de substances sur vos murs, allant du « sang » rouge, bleu ou vert à des substances collantes de consistance variée. Quand on enlève les insectes morts ou leurs restes, il faut faire très attention à éviter d’endommager la surface du papier peint et d’étaler encore plus la tache.
Le plus souvent, les insectes font juste une petite pause sur votre papier peint et laissent un « cadeau » miniature derrière eux. Ces soi-disant « mouchetures » sèchent alors sur le papier, où on ne les découvrira que plus tard. Dans ces cas-là, il est important de se rappeler cela : n’utilisons pas un marteau piqueur pour casser une noix — approchons le problème en l’étudiant soigneusement.
Ce guide vous expliquera comment on peut enlever des marques fraîches ou sèches dues aux insectes afin d’éviter d’abîmer son papier peint, et comment les éviter pour commencer. C’est très bien pour le décor mural comme pour les insectes — après tout, ce sont aussi des êtres vivants.
Informations générales
Nous vous recommandons de garder les fiches spécifiant les caractéristiques des papiers peints de créateurs et des papiers peints imprimés que vous avez achetés dans notre magasin de papiers peints dans un endroit sûr, au cas où vous auriez besoin de vous y référer plus tard. Ceci est extrêmement utile si vous avez besoin de vous rappeler des caractéristiques de nettoyage et d’entretien du papier peint que vous avez acheté récemment, et vous pouvez trouver rapidement s’il est épongeable, lavable, très lavable, brossable ou très brossable. Une fois en possession de ces renseignements, vous pouvez aborder n’importe quelle tache ou n’importe quel dommage dû à un insecte de manière appropriée. Cela présente, bien sûr, toujours un certain risque, mais nous essaierons de le minimiser grâce aux informations données dans ce guide.
D’une manière générale : on ne devrait jamais s’attaquer à des papiers peints brillants, chatoyants, métalliques, à effets spéciaux, gaufrés et texturés, ou à ceux ornés d’éléments décoratifs avec des objets pointus, avec des gommes de bureaux ou pour la maison ni avec des brosses. Les produits détachants chimiques conçus spécifiquement pour les papiers peints ou pour des taches spécifiques (par exemple le sang), les détergents ménagers, le vinaigre, l’acide citrique et la levure chimique ou le bicarbonate de sodium sont aussi tabous. N’utilisez que de l’eau, peut-être avec une goutte de liquide lave-vaisselle pour faire une solution savonneuse.
Notre magasin de papiers peints propose une large gamme de papiers peints design avec des surfaces spéciales en textile ou matériaux naturels. La majorité de ces papiers peints sont épongeables, mais pas lavables, ce qui signifie que ces surfaces peuvent seulement être traitées avec un chiffon humide (pas mouillé !). Ceci protégera la forme et la structure de l’endroit traité.
Comment enlever des taches fraiches d’insectes et leurs restes
Certaines personnes ont peur des insectes (surtout des araignées !), d’autres ne veulent pas être piquées ou ne peuvent pas supporter le son très aigu émis par les moustiques. Donc dès que l’insecte s’immobilise, on l’écrase. Il tombera peut-être du mur, en laissant derrière lui du sang et d’autres substances indéterminées, souvent étalées sur votre papier peint de grande qualité par la tapette à mouche.
Pour enlever des taches fraîches d’insectes ou leurs restes, suivez simplement ces étapes :
Utilisez un morceau de mouchoir en papier ou d’essuie-tout pour enlever soigneusement les restes de l’insecte du mur. Faites attention de ne pas frotter.
Maintenant, enlever les éléments liquides comme le sang avec un autre mouchoir en papier propre. Vous voulez peut-être tamponner l’endroit en question — veuillez faire très attention.
S’il reste des traces sur le mur, utiliser un chiffon en microfibres (ou sinon un morceau d’éponge coupé aux dimensions voulues), humectez-le et tamponnez doucement cet endroit — ne frottez pas ! De l’eau gazeuse ou pétillante peut aussi convenir pour cela. Le dioxyde de carbone fait l’effet d’un solvant doux.
Si vous connaissez les caractéristiques de nettoyage du papier peint (ce qui serait la meilleure solution possible), vous pouvez adapter la méthode de nettoyage aux options lavable, très lavable, brossable ou très brossable. Vous pouvez trouver des informations plus détaillées dans notre article de blogue complet Papier peint lavable – Une solution propre, qui explique quels détergents et quels outils utiliser pour quels types de papier peint.
Astuce : Si vous n’avez plus la fiche énumérant les caractéristiques de nettoyage de votre papier peint, vous pouvez rechercher le modèle dans notre magasin de papiers peints en ligne pour obtenir ces informations (pour autant que vous vous souveniez de son nom !). Même si le modèle est épuisé, vous trouverez les caractéristiques du papier peint dans les descriptions d’articles.
Comment éviter les taches d’insectes sur votre papier peint
Énonçons d’abord une évidence : résistez à la tentation d’écraser le pauvre insecte et utilisez les deux méthodes ci-dessous pour l’enlever du papier peint. Bien sûr, le désir de tuer est souvent fondé sur un sentiment profond de dégoût et de peur. Mais, pour une raison obscure, cela ne s’applique pas à tous les insectes. Ceux d’entre nous qui peuvent simplement écraser une jolie petite coccinelle sont peu nombreux. Abordez cette situation avec le même respect pour l’insecte (et votre papier peint prestigieux) que vous le feriez pour n’importe quel type de bestioles — même celles qui sont « mignonnes ». Oubliez votre peur et votre dégoût un instant, ou demandez simplement à un membre de votre famille ou à quelqu’un d’autre qui est présent de l’enlever. Si vous vous sentez capable de le faire vous-même, encore mieux !
Pour tous les insectes qui se déplacent en rampant, ou qui volent très doucement, par exemple les punaises, les abeilles, les araignées, etc., prenez un morceau de journal et glissez-le doucement sous la bestiole. Elle rampera ou tombera sur le journal (ou par terre). Une fois qu’elle est bien posée sur le journal, amenez-la calmement jusqu’à une fenêtre ouverte et laissez-la tomber.
Une autre solution pour les cas où le truc du journal ne marche pas — ou si vous vous sentez tout simplement incapable de procéder ainsi — vous pouvez toujours utiliser votre aspirateur pour enlever l’insecte du mur. Cela aussi demande qu’on y aille doucement. Évitez de poser l’embout d’aspiration directement sur le papier peint ou de l’y déplacer, car cela peut causer des dommages et des taches supplémentaires. Dirigez le tube d’aspiration vers l’insecte, en gardant un peu de distance, puis allumez l’aspirateur. La plupart du temps, l’animal sera aspiré avant de savoir ce qui lui arrive.
Les insectes volants sont moins faciles à enlever du mur de cette manière, surtout les moustiques ou les papillons de nuit. Les aspirateurs ou les journaux ne font pas le poids face à eux, car ils volent tout simplement d’un mur à l’autre.
Vous ne vous en débarrasserez pas complètement, surtout en été, mais pourvu qu’il n’y en ait pas trop, cela ne devrait pas trop être un problème. Ils laisseront peut-être de petites marques sur le mur, mais celles-ci sont si petites qu’elles sont sans importance, invisibles. En dernier recours, il y a toujours les insecticides en aérosol — une méthode éprouvée pour se débarrasser pour de bon de ces bestioles, mais veuillez vous assurer que vous suivez les instructions sur l’étiquette. Ne respirez pas le produit, quittez la pièce en question et gardez toutes les fenêtres et toutes les portes fermées pendant le temps indiqué. N’oubliez pas de bien aérer la pièce après. Utilisez l’aspirateur pour enlever les insectes morts du sol ou des meubles.
La meilleure solution est de s’assurer que les insectes ne parviennent pas à rentrer chez vous pour commencer. De nombreux insectes sont attirés comme par magie par les odeurs, les liquides sucrés, les aliments ainsi que par la lumière. Voici comment faire en sorte que les insectes ne rentrent pas chez vous.
Les moustiquaires pour les fenêtres sont une des méthodes les plus sûres pour éloigner les insectes pendant les chauds mois d’été.
Si vous êtes dans une pièce après le coucher du soleil et si la lumière est allumée, il vaut mieux laisser les fenêtres fermées. Même la lumière émanant d’un poste de télévision attirera les papillons de nuit et les moustiques.
Pendant toute l’année, ne laissez pas de déchets organiques (par exemple pour le compost) dans votre cuisine et assurez-vous d’enlever tous les aliments qui fermentent ou sont moisis ; si cela est possible, mettez-les directement dans la poubelle verte.
Pendant l’hiver, assurez-vous que les pièces ne sont pas trop froides et que vous les aérez régulièrement, car une ambiance froide et humide dans une pièce attire les araignées.
Conclusion : si vous pouvez résister à la tentation d’écraser les insectes et si vous pouvez essayer les solutions que nous vous suggérons à la place, vous vous éviterez la corvée d’enlever les taches. La « méthode du journal » est une vraie solution gagnant-gagnant. Les insectes (qui font partie de la chaîne alimentaire !) restent vivants, votre joli papier peint demeure épargné et vous avez plus de temps pour prendre la vie du bon côté !
Souvenez-vous : les efforts et les inconvénients liés à l’enlèvement d’un insecte mort du mur sont bien plus importants que si on l’enlève et le libère. Tout ce qu’il faut c’est un peu de volonté pour dépasser sa peur ou son dégoût. Pensez à cela : vous êtes confronté à un tout petit animal qui est complètement à votre merci et n’a qu’une toute petite fraction de votre force et votre taille. Ce n’est pas comme si vous étiez confronté à un énorme ours qui va vous déchiqueter ! Ça y est, vous souriez ? Vous voyez, il suffit de le prendre avec un peu d’humour et de prétendre que même les bestioles les moins attrayantes sont de mignonnes petites coccinelles…
Source: https://www.papierpeintdesannees70.com/lookbook/blog/comment-enlever-et-eviter-les-marques-dinsectes-sur-le-papier-peint
from Papier Peint Des Années 70 https://papierpeintdesannees70.wordpress.com/2018/02/01/comment-enlever-et-eviter-les-marques-dinsectes-sur-le-papier-peint-2/
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papierpeintdesannees70 · 7 years ago
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Comment enlever (et éviter) les marques d’insectes sur le papier peint
Et voilà, il a tout éclaboussé votre joli papier peint — un insecte mort ! Les moustiques en particulier ne nous laissent souvent pas d’autres choix que de les écraser sur le mur.
Sur les papiers peints, cela crée un problème disgracieux et sous-estimé, mais un problème que l’on peut éviter.
Les saisons ont une incidence sur la probabilité de ces taches indésirables, mais toutes sortes d’insectes se retrouvent chez vous (et sur votre beau papier peint) au printemps, en été, en automne et en hivers indifféremment. Moustiques, araignées, punaises, guêpes — il y a de nombreux coupables possibles, et tous ne sont pas immédiatement reconnaissables. Vous pouvez trouver un certain nombre de substances sur vos murs, allant du « sang » rouge, bleu ou vert à des substances collantes de consistance variée. Quand on enlève les insectes morts ou leurs restes, il faut faire très attention à éviter d’endommager la surface du papier peint et d’étaler encore plus la tache.
Le plus souvent, les insectes font juste une petite pause sur votre papier peint et laissent un « cadeau » miniature derrière eux. Ces soi-disant « mouchetures » sèchent alors sur le papier, où on ne les découvrira que plus tard. Dans ces cas-là, il est important de se rappeler cela : n’utilisons pas un marteau piqueur pour casser une noix — approchons le problème en l’étudiant soigneusement.
Ce guide vous expliquera comment on peut enlever des marques fraîches ou sèches dues aux insectes afin d’éviter d’abîmer son papier peint, et comment les éviter pour commencer. C’est très bien pour le décor mural comme pour les insectes — après tout, ce sont aussi des êtres vivants.
Informations générales
Nous vous recommandons de garder les fiches spécifiant les caractéristiques des papiers peints de créateurs et des papiers peints imprimés que vous avez achetés dans notre magasin de papiers peints dans un endroit sûr, au cas où vous auriez besoin de vous y référer plus tard. Ceci est extrêmement utile si vous avez besoin de vous rappeler des caractéristiques de nettoyage et d’entretien du papier peint que vous avez acheté récemment, et vous pouvez trouver rapidement s’il est épongeable, lavable, très lavable, brossable ou très brossable. Une fois en possession de ces renseignements, vous pouvez aborder n’importe quelle tache ou n’importe quel dommage dû à un insecte de manière appropriée. Cela présente, bien sûr, toujours un certain risque, mais nous essaierons de le minimiser grâce aux informations données dans ce guide.
D’une manière générale : on ne devrait jamais s’attaquer à des papiers peints brillants, chatoyants, métalliques, à effets spéciaux, gaufrés et texturés, ou à ceux ornés d’éléments décoratifs avec des objets pointus, avec des gommes de bureaux ou pour la maison ni avec des brosses. Les produits détachants chimiques conçus spécifiquement pour les papiers peints ou pour des taches spécifiques (par exemple le sang), les détergents ménagers, le vinaigre, l’acide citrique et la levure chimique ou le bicarbonate de sodium sont aussi tabous. N’utilisez que de l’eau, peut-être avec une goutte de liquide lave-vaisselle pour faire une solution savonneuse.
Notre magasin de papiers peints propose une large gamme de papiers peints design avec des surfaces spéciales en textile ou matériaux naturels. La majorité de ces papiers peints sont épongeables, mais pas lavables, ce qui signifie que ces surfaces peuvent seulement être traitées avec un chiffon humide (pas mouillé !). Ceci protégera la forme et la structure de l’endroit traité.
Comment enlever des taches fraiches d’insectes et leurs restes
Certaines personnes ont peur des insectes (surtout des araignées !), d’autres ne veulent pas être piquées ou ne peuvent pas supporter le son très aigu émis par les moustiques. Donc dès que l’insecte s’immobilise, on l’écrase. Il tombera peut-être du mur, en laissant derrière lui du sang et d’autres substances indéterminées, souvent étalées sur votre papier peint de grande qualité par la tapette à mouche.
Pour enlever des taches fraîches d’insectes ou leurs restes, suivez simplement ces étapes :
Utilisez un morceau de mouchoir en papier ou d’essuie-tout pour enlever soigneusement les restes de l’insecte du mur. Faites attention de ne pas frotter.
Maintenant, enlever les éléments liquides comme le sang avec un autre mouchoir en papier propre. Vous voulez peut-être tamponner l’endroit en question — veuillez faire très attention.
S’il reste des traces sur le mur, utiliser un chiffon en microfibres (ou sinon un morceau d’éponge coupé aux dimensions voulues), humectez-le et tamponnez doucement cet endroit — ne frottez pas ! De l’eau gazeuse ou pétillante peut aussi convenir pour cela. Le dioxyde de carbone fait l’effet d’un solvant doux.
Si vous connaissez les caractéristiques de nettoyage du papier peint (ce qui serait la meilleure solution possible), vous pouvez adapter la méthode de nettoyage aux options lavable, très lavable, brossable ou très brossable. Vous pouvez trouver des informations plus détaillées dans notre article de blogue complet Papier peint lavable – Une solution propre, qui explique quels détergents et quels outils utiliser pour quels types de papier peint.
Astuce : Si vous n’avez plus la fiche énumérant les caractéristiques de nettoyage de votre papier peint, vous pouvez rechercher le modèle dans notre magasin de papiers peints en ligne pour obtenir ces informations (pour autant que vous vous souveniez de son nom !). Même si le modèle est épuisé, vous trouverez les caractéristiques du papier peint dans les descriptions d’articles.
Comment éviter les taches d’insectes sur votre papier peint
Énonçons d’abord une évidence : résistez à la tentation d’écraser le pauvre insecte et utilisez les deux méthodes ci-dessous pour l’enlever du papier peint. Bien sûr, le désir de tuer est souvent fondé sur un sentiment profond de dégoût et de peur. Mais, pour une raison obscure, cela ne s’applique pas à tous les insectes. Ceux d’entre nous qui peuvent simplement écraser une jolie petite coccinelle sont peu nombreux. Abordez cette situation avec le même respect pour l’insecte (et votre papier peint prestigieux) que vous le feriez pour n’importe quel type de bestioles — même celles qui sont « mignonnes ». Oubliez votre peur et votre dégoût un instant, ou demandez simplement à un membre de votre famille ou à quelqu’un d’autre qui est présent de l’enlever. Si vous vous sentez capable de le faire vous-même, encore mieux !
Pour tous les insectes qui se déplacent en rampant, ou qui volent très doucement, par exemple les punaises, les abeilles, les araignées, etc., prenez un morceau de journal et glissez-le doucement sous la bestiole. Elle rampera ou tombera sur le journal (ou par terre). Une fois qu’elle est bien posée sur le journal, amenez-la calmement jusqu’à une fenêtre ouverte et laissez-la tomber.
Une autre solution pour les cas où le truc du journal ne marche pas — ou si vous vous sentez tout simplement incapable de procéder ainsi — vous pouvez toujours utiliser votre aspirateur pour enlever l’insecte du mur. Cela aussi demande qu’on y aille doucement. Évitez de poser l’embout d’aspiration directement sur le papier peint ou de l’y déplacer, car cela peut causer des dommages et des taches supplémentaires. Dirigez le tube d’aspiration vers l’insecte, en gardant un peu de distance, puis allumez l’aspirateur. La plupart du temps, l’animal sera aspiré avant de savoir ce qui lui arrive.
Les insectes volants sont moins faciles à enlever du mur de cette manière, surtout les moustiques ou les papillons de nuit. Les aspirateurs ou les journaux ne font pas le poids face à eux, car ils volent tout simplement d’un mur à l’autre.
Vous ne vous en débarrasserez pas complètement, surtout en été, mais pourvu qu’il n’y en ait pas trop, cela ne devrait pas trop être un problème. Ils laisseront peut-être de petites marques sur le mur, mais celles-ci sont si petites qu’elles sont sans importance, invisibles. En dernier recours, il y a toujours les insecticides en aérosol — une méthode éprouvée pour se débarrasser pour de bon de ces bestioles, mais veuillez vous assurer que vous suivez les instructions sur l’étiquette. Ne respirez pas le produit, quittez la pièce en question et gardez toutes les fenêtres et toutes les portes fermées pendant le temps indiqué. N’oubliez pas de bien aérer la pièce après. Utilisez l’aspirateur pour enlever les insectes morts du sol ou des meubles.
La meilleure solution est de s’assurer que les insectes ne parviennent pas à rentrer chez vous pour commencer. De nombreux insectes sont attirés comme par magie par les odeurs, les liquides sucrés, les aliments ainsi que par la lumière. Voici comment faire en sorte que les insectes ne rentrent pas chez vous.
Les moustiquaires pour les fenêtres sont une des méthodes les plus sûres pour éloigner les insectes pendant les chauds mois d’été.
Si vous êtes dans une pièce après le coucher du soleil et si la lumière est allumée, il vaut mieux laisser les fenêtres fermées. Même la lumière émanant d’un poste de télévision attirera les papillons de nuit et les moustiques.
Pendant toute l’année, ne laissez pas de déchets organiques (par exemple pour le compost) dans votre cuisine et assurez-vous d’enlever tous les aliments qui fermentent ou sont moisis ; si cela est possible, mettez-les directement dans la poubelle verte.
Pendant l’hiver, assurez-vous que les pièces ne sont pas trop froides et que vous les aérez régulièrement, car une ambiance froide et humide dans une pièce attire les araignées.
Conclusion : si vous pouvez résister à la tentation d’écraser les insectes et si vous pouvez essayer les solutions que nous vous suggérons à la place, vous vous éviterez la corvée d’enlever les taches. La « méthode du journal » est une vraie solution gagnant-gagnant. Les insectes (qui font partie de la chaîne alimentaire !) restent vivants, votre joli papier peint demeure épargné et vous avez plus de temps pour prendre la vie du bon côté !
Souvenez-vous : les efforts et les inconvénients liés à l’enlèvement d’un insecte mort du mur sont bien plus importants que si on l’enlève et le libère. Tout ce qu’il faut c’est un peu de volonté pour dépasser sa peur ou son dégoût. Pensez à cela : vous êtes confronté à un tout petit animal qui est complètement à votre merci et n’a qu’une toute petite fraction de votre force et votre taille. Ce n’est pas comme si vous étiez confronté à un énorme ours qui va vous déchiqueter ! Ça y est, vous souriez ? Vous voyez, il suffit de le prendre avec un peu d’humour et de prétendre que même les bestioles les moins attrayantes sont de mignonnes petites coccinelles...
from Papier peint des années 70 Blog https://www.papierpeintdesannees70.com/lookbook/blog/comment-enlever-et-eviter-les-marques-dinsectes-sur-le-papier-peint
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cedprevost-blog · 7 years ago
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Appréciation: L’étrange Noël de monsieur Jack
Fiche technique
Titre: L’étrange Noël de monsieur Jack
Réalisateur: Henry Selik
Scénariste: Tim Burton
Compositeur: Donny Elfman
Pays: Étas-Unis
Année: 1993
1) Jack L’Épouvantail (ou Jack Skellington). Il est très grand et mince, sa tête est un crâne et il porte un uniforme délabré. Il est créatif et plutôt influençable, un effet secondaire de son ennui. Il est plutôt possessif car il a dit qu’il voulait que le plaisir des habitants de Noël soit à lui, mais malgré tout il ne veut pas faire de mal aux autres.
2) Le film commençe avec la célébration annuelle de l’halloween, représentée par une chanson. Jack est le symbole principal de l’halloween, mais malgré cela, il s’ennuie. Ensuite, il tombera par hasard sur un regroupement de portes menant à des mondes différents du sien. Il atterrira dans le monde de Noël, monde qu’il adorera, mais aura de la difficulté à comprendre. Jack, dans toute sa bonté, décidera de donner une pause au Père Noël cette année afin de célèbrer Noël à sa façon, esquivant les avertissements de la femme recousue. Le Noël imaginé par Jack se transformera en cauchemar pour les enfants et Jack se rendra compte qu’il n’est pas fait pour gouverner une autre fête que l’halloween.
3) C’est très bien fait pour un stop motion de 1993, et les mouvements sont assez fluides. Tout cela a dû demander un travail colossal, puisque les personnages ont l’air d’être faits en grande partie de pâte à modeler. Je trouve que la neige de la ville de Noël était aussi un bon aspect du visuel car elle réagissait de manière très réaliste aux monvements de Jack.
4) Je crois que le message principal est qu’il faut faire du mieux qu’on peut avec ce que l’on a déjà plutôt que d’essayer d’en avoir toujours plus et se ruiner.
5) H: Monde de l’Halloween N: Monde de Noël
Couleurs: H: Orange, Noir. N: Vert Rouge Bleu.
L’architecture: H: Ancien style européen, maisons sombres, tombent en morceaux, palette de gris. N: Même style d’architecture mais ne tombe pas en morceaux, couleurs plutôt vers le brun, un peu de rouge et un peu de vert.
Les habitants: H: Ils ne cherchent qu’à faire peur, cherchent de l’horreur dans tout. N: Joyeux, ils s’entraident, ils sont chaleureux.
Les héros: H: Jack Skelligton l’épouvantail. N: Le Père Noël
La musique: Inconfortable, fait sursauter, oppressante par endroits. N: « Chaude »,propice au sommeil, rassurante, fluide (sans surprise).
Le sens de chacune des fêtes: H: L’halloween est faite pour faire peur et aussi rendre hommage aux morts. N: Noël célèbre la naissance de Jésus, c’est une fête où l’on reçoit des cadeaux et où on est heureux.
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