#tolérence
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dandanjean · 1 year ago
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Nouveau regard
Le visiteur aime parcourir le monde pour découvrir de nouveaux visages. Il ne se rend pas compte qu’il ne fait que changer de décors. Tous les jours, quel que soit l’endroit où nous soyons, nous allons découvrir de nouvelles personnes, de nouvelles choses, si nous prenons le temps de nous y attarder. On devient voyageur lorsque l’on se déplace pour adopter un nouveau regard. On dit souvent que…
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toolike-fr · 2 years ago
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culturelife · 6 years ago
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Coca-cola et la formule secrète - INFRAROUGE
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cirtrel · 8 years ago
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GIF réalisé pour le vernissage d’un exposition contre le racisme, décembre 2016
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rosebeaudrit · 8 years ago
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Différences = belles = rencontres
Accepter d’autres points de vue, cultures, modes de vie et de penser, c’est mettre de côté le carcan socio-culturel et moral qui nous a été enseigné; c’est repartir d’un point de vue originel nu, non façonné, non biaisé (ou du moins essayer).
Cette tolérance ne signifie pas la passivité et l’acceptation de tout comportement mais suppose la compassion, l’empathie, le comprendre.
Deux exemples :
Les polyamoureux Ces personnes ne veulent pas vivre le schéma traditionnel d’une relation amoureuse exclusive, notamment matérialisé par le diptyque mariage + enfants. Face à cela, l’une d’entre elle explique : “le lien affectif sur l’instant n’exclue pas la naissance future d’autres liens affectifs”.
C’est joli. Ce ne sera pas ma conception du couple mais ça me plait et je n’y avais jamais songé en ces termes.
Les bidonvilles La définition et le jugement porté sur les bidonvilles indiens, les slums en font des territoires marginalisés, en marge de par leur pauvreté et de par leur écart du schéma urbain idéal qui, finalement, est lui-même basé sur une logique européenne selon laquelle la ville personnifie le progrès humain.
Voir les slums comme une négation à l’évolution et à la modernité relève du déni pur et simple d’un mode de penser différent. Certes, leurs conditions de vie pourraient être améliorées et cela est souhaitable mais il ne faut pas oublier que les bidonvilles travaillent, partagent des valeurs, ont des amis et s’entraident autant que les autres habitants de la ville. Ils ne veulent pas forcément quitter ce qui est désormais leur foyer mais se battent pour lui.
Réflexion personnelle - LP
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shalomelohim · 8 years ago
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La tolérance : un portail pour les péchés
Un grand homme a déjà dit :
« Ce que nous tolérons aujourd’hui, nous allons l’embrasser demain ». 
G.K. Chesterton a déjà dit :
« La tolérance est la vertu de l’homme sans convictions ». 
Je voudrais ajouter que la tolérance et les compromis sont le credo des lâches.  Il semble y avoir très peu de choses que la plupart des gens n’endureront pas (tolérance et compromis) pour préserver leur chèque de paie ou pour garder la « paix » dans leur vie. 
Tolérer le mal c’est faire des compromis avec le mal et ceci fait de vous un participant de ce mal.  La mort, l’enfer et la damnation suivront bientôt !
Aucune illusion ou péché mortel n’a jamais infecté plus une société que la tolérance.  Ce qui conduit toujours à faire des compromis.  Une personne avec des convictions sincères ne peut pas et ne tolérera jamais le mal, et ne fera jamais de compromis simplement pour maintenir un mode de vie temporel ou la paix.  La tolérance et les compromis ont détruit beaucoup de sociétés et de nations.  Et, l’Amérique ne fait pas exception !
Ce cancer mortel pour la société et les âmes commence comme tous les cancers. Très lentement, et non reconnu comme un véritable danger.  Comment pourriez-vous savoir qu’il a commencé ?  Examinons quelques méthodes subtiles trouvées dans Genèse 3:1 :
« Or, le serpent était le plus fin de tous les animaux des champs, que YHWH Elohim avait faits; et il dit à la femme: Quoi ! Elohim aurait dit: Vous ne mangerez point de tout arbre du jardin ! Que l’ennemi a utilisées pour nous tromper ». 
En raison de l’aveuglement spirituel et de l’ignorance de la Parole d’Elohim, nous avons été mangés vivants lentement par ce cancer.
Commençons par « Vision à l’œil d’oiseau de l’évolution des nations » d’Alexander Tyler :
De l’esclavage à la foi spirituelle
De la foi spirituelle à un grand courage
Du courage à la liberté
De la liberté à l’abondance
De l’abondance à l’égoïsme
De l’égoïsme à la complaisance
De la complaisance à l’apathie
De l’apathie à la dépendance
De la dépendance de retour à l’esclavage ou, comme Osée le dit au chapitre 4 verset 7 :
« Puis ils se sont multipliés, plus ils ont péché contre moi : Je changerai leur gloire en ignominie. »
L’Amérique a connu un « boom » dans les années 1920.  Puis, une dépression « artificielle » dans les années 1930.  Au lieu de se tourner vers Elohim, ils se sont tournés vers l’homme pour obtenir de l’aide et ont commencé un processus contre lequel ils avaient été mis en garde dans de nombreux endroits dans la Sainte Parole d’Elohim. 
« Or Daniel résolut dans son cœur de ne pas se souiller par les mets du roi, ni par le vin qu’il buvait; et il pria le chef des eunuques de ne pas l’obliger à se souillé » (Daniel 1: 8)
« Autrement tu te mettras le couteau à la gorge, si ton appétit te domine ». (Proverbes 23:2)
Avec cette astuce subtile du serpent et de ses serviteurs, comme Roosevelt et les pouvoirs de l’argent, le cancer de la tolérance et des compromis a commencé !
 « Alors Elohim prononça toutes ces paroles, en disant: Je suis YHWH ton Elohim, qui t’ai retiré du pays d’Égypte, de la maison de servitude. Tu n’auras point d’autres dieux devant ma face » (Exode 20:1-3)
« Car tu ne te prosterneras point devant un autre dieu, parce que YHWH se nomme l’Elohim jaloux; c’est un Elohim jaloux » (Exode 34:14)
« Nul ne peut servir deux maîtres; car, ou il haïra l’un, et aimera l’autre; ou il s’attachera à l’un, et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Elohim et Mammon. C’est pourquoi je vous dis: Ne soyez point en souci pour votre vie, de ce que vous mangerez, et de ce que vous boirez; ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux de l’air; car ils ne sèment, ni ne moissonnent, ni n’amassent dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. N’êtes-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Et qui est-ce d’entre vous qui par son souci puisse ajouter une coudée à sa taille ?...
« … Mais cherchez premièrement le royaume d’Elohim et sa justice, et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne soyez donc point en souci pour le lendemain; car le lendemain aura souci de ce qui le regarde. A chaque jour suffit sa peine.  (Matthieu 6:24-27 et 33-34)
« Et mon Elohim pourvoira aussi à tous vos besoins, selon ses richesses, avec gloire, en Yahshua. «  (Philippiens  4:19)
Parce que nous avons peur d’offenser ceux qui nous fournissent, nous tolérons et faisons des compromis avec le mal ! Nous ne voulons pas mordre la main qui nous nourrit, donc au nom de « Mammon », nous avons renié Elohim et Sa Parole !  La damnation de ce genre de personnes devient alors une certitude !  Leur société est damnée et l’avenir de leurs enfants est détruit.
« Mon peuple est détruit, faute de connaissance. Puisque toi tu as rejeté la connaissance, je te rejetterai, afin que tu n’exerces plus devant moi le sacerdoce; puisque tu as oublié la loi de ton Elohim, moi aussi j’oublierai tes enfants. » (Osée 4:6)
« Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car je suis YHWH ton Elohim, un Elohim jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants, jusqu’à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent » (Exode 20:5)
Parce que nous avons brisé le premier commandement, les autres suivent assez facilement, n’est-ce pas ? 
L’adultère est maintenant appelé « une aventure d’une nuit » ou « une affaire extraconjugale ».  Çà semble mieux ainsi, non ? 
Tuer veut dire assassiner ;  L’avortement ne sonne pas aussi mauvais. 
L’euthanasie sonne tellement mieux que tuer ou assassiner. 
La fornication, la parole d’Elohim semble si dure. Une affaire préconjugale ou la cohabitation sonne tellement plus « gentil ».
La tolérance et les compromis ont commencé dans les Églises derrière les chaires tièdes et lâches !  Si le prédicateur prêchait la parole totalement sans compromis d’Elohim, il perdrait sa congrégation et donc ses « prestiges » et son chèque de paie.
L’église ne veut plus être un « peuple particulier » mais plutôt, un « peuple populaire ».
Maintenant, nous sommes même en train d’apprendre à tolérer et à faire des compromis avec la perversion sexuelle !  Ce qui était autrefois condamné par tous, sauf quelques-uns, est en train de devenir normal. 
« Accepté » par les masses en raison des tolérances et des compromis « condamnés » !  On nous dit de détester le mal si nous aimons vraiment Elohim !
 « Vous qui aimez YHWH, haïssez le mal. Il garde les âmes de ses fidèles, et les délivre de la main des méchants. » (Psaumes 97:10)
« Haïssez le mal, et aimez le bien; maintenez la justice dans le conseil. Peut-être YHWH, l’Elohim des armées, aura-t-il pitié des restes de Joseph. » (Amos 5:15)
« Que la charité soit sans hypocrisie. Ayez le mal en horreur, attachez-vous fortement au bien. » (Romains 12:9)
« Je les hais d’une parfaite haine; je les tiens pour mes ennemis. » (Psaumes 139:22)
Pour ceux qui sont prêts à s’en tenir à la Parole d’Elohim et à proclamer sa justice contre tout péché, acceptons maintenant :
« Et quel rapport entre le temple d’Elohim et les idoles ? Car vous êtes le temple du Elohim vivant, comme Elohim l’a dit: J’habiterai au milieu d’eux et j’y marcherai; je serai leur Elohim, et ils seront mon peuple. C’est pourquoi, sortez du milieu d’eux, et vous séparez, dit le Seigneur, et ne touchez point à ce qui est impur, et je vous recevrai; Et je serai votre Père, et vous serez mes fils et mes filles, dit le Seigneur tout-puissant. » (2 Corinthiens 6:16-18)
Arrêtons de tolérer et de nous compromettre avec le mal et l’injustice en commençant dans nos propres vies, dans nos propres familles, puis, dans l’ensemble de la société !  Commençons encore une fois à parler des dernières instructions de Yahshua à nous, Son « Église / Qehila » dans Matthieu 28:20 :
« Et leur apprenant à garder tout ce que je vous ai commandé; et voici, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. Amen !  Pour enseigner à toutes les nations d’observer ses commandements ! »
Et dans Jean 14:15 :
« Si vous m’aimez, gardez mes commandements. »
Il est temps de cesser d’essayer d’être une personne « gentille » et un « ami » des impies.  Nous ne devons avoir aucune communion avec eux.  
« Prenez donc garde à vous conduire avec circonspection, non comme des insensés, mais comme des personnes sages. » (Éphésiens 5:15)
« Hommes et femmes adultères, ne savez-vous pas que l’amour du monde est une inimitié contre Elohim ? » (Jacques 4:4)
Qui voudra donc être ami du monde, se rendra ennemi d’Elohim. Leurs âmes dépendent de votre fidélité à Yahshua, Sa Parole, et de votre réprobation envers eux pour leurs maléfices avant qu’il ne soit trop tard !
Plus aucune tolérance ! Plus aucun compromis ! 
Au service de Yahshua !
Source : Pleins feux
Version PDF téléchargeable : http://www.cjoint.com/doc/17_01/GADodZ6bTHT_LA-TOL%C3%89RANCE.pdf
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Notes : Je me suis rendue compte que l’on peut être occupé à étudier la Parole, à effectuer une “mission” pour le Père et oublier un peu notre quotidien favorisant l’entrée du péché dans notre vie, engendrant ainsi un certain déséquilibre. Ce sont parfois des événements qui peuvent sembler futiles, inutiles, pas très importants comme un objet à réparer, un achat quelconque à faire, une facture à payer, un souci de santé sans gravité, etc... On laisse filer car on ne se focalise que sur quelques aspects de notre vie et nous avons tord. La combinaison de ces petits déséquilibres favorisent les comportements déviants et donc l’acceptation du péché. A force de se dire “Ce n’est pas grave”, on laisse la situation s’empirer sans s’en rendre compte. Le Père nous teste en permanence - il connait nos points faibles - et c’est à nous de Lui prouver que nous combattons et souhaitons nous améliorer. Lorsque l’on s’en aperçoit, ne pas hésiter à prendre des mesures radicales, à agir efficacement pour rétablir l’équilibre quitte à réduire pour un temps très court l’étude de la Parole, mais pas la connexion avec Notre Père Céleste ni Yahshua. Si l’on s’engage dans une voie qui s’avère être un chemin pour rejoindre la grande foule, identifier immédiatement la porte de sortie et les moyens pour y arriver dans les plus brefs délais, même si c’est parfois un peu brutal ou fracassant. Il peut arriver également que le Père nous envoie volontairement dans la partie adverse afin soit : - de prévenir de ce qui va arriver (l’accueil est rarement chaleureux), - de valider la mise en place de son plan, - effectuer une mission, - apprendre une nouvelle information qui nous sera utile ultérieurement, - etc... Là encore, rester en veille et savoir quitter les lieux avant qu’il ne soit trop tard. Des conseils qui paraissent être des lapalissades ; pourtant je me demande si le Serviteur d’Elohim n’a pas besoin de couler un peu dans les emmerdes pour mieux rebondir...
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stareatwords · 4 years ago
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"La subjectivité n'a de sens que si elle s'encorde à la tolérence."
Expresso, C. Sapin-Defour
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lecturesaflo-ts · 5 years ago
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PS : Oublie-moi ! d'Emma Green aux Editions Addictives
PS : Oublie-moi ! d’Emma Green aux Editions Addictives
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10 octobre 2019
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500 pages
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Accident – Famille – Mannequinat – Psychiatrie – Tolérence – Culpabilité
 Editions Addictives
9,99 € – Ebook / 16,90 € – Broché
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    Léonore est belle comme le jour, mais elle vit dans l’ombre pour cacher son plus gros complexe et son plus douloureux secret. Pourtant, quand une agence de mannequins extra-ordinaires s’intéresse à elle, elle y voit une chance de se…
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digiflimz · 5 years ago
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Brightburn / Brightburn: l’enfant du mal
David Yarovesky, 2019
J’étais hypé par la bande annonce, et un peu rebuté par les réactions à gauche à droite, j’ai quand même été le voir. A raison. Et tort. Bon en fait c’est pas si mal, et je pense que ma mauvaise humeur du jour est pour beaucoup dans mon appréciation assez mitigée du flim. Faut reconnaitre que le concept est sympa (même si pas très original), et la volonté de le tenir jusqu’au bout est manifeste. Cependant, certains manquements agacent et peuvent lasser : certains SFX mal finis (c’est raccord avec le budget rikiki du flim), certains passages symboliquement lourds et trop insistants (à l’image du titre français, inexplicablement explicite), la progression dramatique assez étrange du petit garçon modèle au psychopathe sanguinaire, plombée par un choix de casting assez décevant (ce garçon sait jouer l’indifférence, point). Et puis cette scène où un personnage se prend un éclat de verre dans l’oeil ON AVAIT DIT PAS LES YEUX, BON SANG !!! C’est dommage parce que il y a quand même des éléments positifs, au delà des ambitions scénaristiques : certains effets sont réussis, que ce soit les morts gore à souhait, les scène de tourments psychologique que le garçon inflige à ses victimes avant d’attaquer, certains clins d’oeil à la culture populaire, les deux acteurs vedettes parents du gamin (Elizabeth Banks <3 ). Bref c’est pas mal mais ça peut mieux faire, et la réception dépendra un peu de votre tolérence aux SFX fauchés et aux références pachydermiques aux poncifs du genre. Dommage pour moi, c’était pas le jour.
3/6 A revoir peut-être pour une re-évaluation.
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charlotteduprieuib · 6 years ago
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Titre : Crying Girl on the Border’
Nom : John Moore 12 juin 2018.
Source : www.worldpressphoto.org
Cette photo représente La petite Hondurienne Yanela Sanchez qui pleure alors qu'elle et sa mère, Sandra Sanchez, sont arrêtées par les autorités américaines à la frontière à McAllen, au Texas (États-Unis). 12 juin 2018.
Selon le « Ça a été» de Rolland Barthes cette photo représente un moment précis puisqu’il s’agit d’un moment passé mais capturé dans l’instant du vivant qui a été figé par l’appareil photo de Moore. Cette photo représente la situation réelle, mais aussi celle du passé, car elle contient une vérité qui se passe chaque jour à la frontière du Texas. Quand Moore a appuyé sur le déclencheur, il avait en tête de représenter une vérité réelle, mais trop dissimulée. Il a sûrement voulu montrer à quel point la politique de “tolérance zéro" sur l’entrée des immigrants à la frontière du Texas pouvait menait à de terribles séparations entre les familles.
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Billet 5 : Image
Look Kool, Neckar Doll, long-métrage en construction constante.
Look Kool est une vidéo d’environ 50 minutes de Neckar Doll que j’ai pu visionner 2 fois lors des projections à 18h à la Hear Mulhouse. Il s’agit d’une sorte de reccueil, carnet de recherches, de vidéos récupérées sur internet réunissant sensibilités, esthétiques et questionnements de la pratique générale de Neckar. En cela, cette vidéo me parrait être une des formes les plus simples et efficaces de son travail que j’ai pu voir. La où son pouvoir sur le spectateur est évident, c’est que les images choisies sont choquantes, violentes, belles, douces, lisses et qu’on a tous déjà croisé lors de nos périples sur internet.
Look Kool est 50 minutes de pornographie.
La pornographie ici suggère une hyper accessibilité à toutes sortes d’images sans aucune forme de censure et sans implication de visionneur, se rapportant alors à une forme de voyeurisme passif. Toutes ces notions sont propres à internet.
Toutes ces descriptions ne sont que le fruit de ma propre expérience en tant que spectatrice et seront analysées sous le prisme de La société de la transparence de Byung-Chul Han.
Mes deux visionnages ont pointé du doigt une accoutumence et une tolérence progressive aux images projetées de plus en plus violentes. Se met alors en place l’effet de groupe où si le voisin arrive à supporter ses images, il le faut aussi pour moi. Refuser de voir ses images est-ce nier leur existence, et nier l’existence des faits qu’elles illustrent?
Jean Baudrillard définit dans les stratégies fatales  la prostitution comme « la proximité absolue de la chose vue ».
Le manque de distance avec les images du film fait disparaitre le regard, le visionnage n’est plus qu’une absorbtion.
La transparence s’apparente à quelque chose de lisse et nivelée, s’intégrant sans résistance dans un flux. De nos jours ces flux sont le capital, la communication et l’information. Dans Look Kool, elle se manifeste par l’enchainement des images, rythmées avec de la musique populaire.
Un acte transparent est un aboutissement de calcul, un processus controlable, guidable, opérationnel qui s’inscrit dans une fluidité logique et habituelle.
Si nous prenons l’exemple du temps, il devient transparent lorsqu’il est sectionné en présent disponible. L’avenir devient alors un présent optimisé. La transparence mène donc à la disparition de relief, de distance, de plans.
Quand est-ce que les images deviennent transparentes? Les images deviennent transparentes lorsqu’elles sont libérées de toutes dramaturgie, scénographie, sens. Une image retravaillée pour un contexte, pour son sens et réferencée est l’inverse d’une image transparente.
Une image transparente est finalement une image pornographique, le contact immédiat entre l’image et l’oeil.
Dans Look Kool, le statut des images oscille entre simple extraction de leur contexte digital, donc elle restent relativement brutes, et cette nouvelle contextualisation de film qui les transforme complètement. Comment traiter ses images perdues sur internet sans les dénaturaliser?
C’est dans cette tension que cette vidéo est une des rares pièces qui traite les images le plus justement. Toute leur puissance pornographique est conservée tandis que la mise en forme, leur diffusion offre un point de vue entre documentaire de micro-organismes créés par l’Homme (consciemment?) et nouveau récit proposé par Neckar Doll.
La société de la transparence est un enfer de l’identique, où les images s’expriment en termes de prix.
Plus que jamais, l’altérité menant à la résistance de l’autre perturbent grandement et retarde la communication lisse.
« La transparence stabilise et accélère le sytème en éliminant l’autre et l’étranger. » p. 9
Le simple fait de ne pas absorber ce qui est proposé par un algorithme de transparence est une forme de résistance à cette cascade infinie, stérile aux composants identiques.
La violence de la transparence réside au fait de ramener l’humain a un élément fonctionnel d’un système. La transparence mène à braquer un spot permanent sur l’âme humaine qui comporte une forme d’imperméabilité et de secret auprès d’elle même. Il en devient de nos jours un exercice quotidien de conserver cette imperméabilité. L’humain doit-il rentrer en résistance face à ses images, étant initialement leur auteur, désormais ennemi?
« Je vis de tout ce que les autres ne savent pas de moi. » Peter Handke, À ma fenêtre le matin.
On ne s’appartient plus, si tout de nous est donné. Seule la mort est transparente, universelle. Une relation transparente est une relation morte qui perd toute vitalité, toute humanité du choix de la révélation. Où se positionne Look Kool dans ces rapports de mort et de choix? Là encore, c’est parce qu'un choix d’images, un choix de montages, de musiques est fait que la révélation peut avoir lieu, comme si finalement, ce film n’était qu'un large catalogue réunissant différentes formes de vie qui ont éxistées, dont nous avons été spectateurs et qui ne sont plus.
La notion de transparence est anti humaine, car l’homme n’est même pas transparent avec lui même. Une construction d’un soi transparent ne serait que vitrine et fortification de la forteresse du moi dans la société.
« c’est précisemment l’absence de transparence de l’autre qui maintient les relation en vie. » p.11
La transparence mène à l’absorption totale. Elle est l’ennemi de la curiosité et du dévoilement. L’exercice de la distance devient absolument néccessaire?
L’opacité est alors une faille, une zone sans information mystérieuse, elle régit nos relations humaines. « L’amour sans faille dans la vision, c’est la pornographie. Et sans faille de savoir, la pensée est reléguée à l’état de calcul » p.14
On se retrouve dans une course folle du positif et l’instinct du survie devient le zapping de nos vies. Il ne s’agit de privilégier les bons moments, il s’agit maintenant de forme de dénit la plus totale où la tristesse et la difficulté émotionnelles sont supprimées de nos vies.
« Selon Nietsche, l’âme humaine doit précisèment sa grandeur et sa force au séjour près du négatif » p.14
Il n’y plus le temps d’analyser sa douleur, son sentiment négatif parce que dans un calcul collectif inconscient, on a décidé que cela faisait perdre du temps, était contre productif. Nier sa douleur, nier sa résistence, nier son dégout ou sa peur, absorber, consommer.
L’auteur nous parle d’une société positive, celle dans laquelle il n’y a pas de bouton dislike, celle qui nous donne seulement la possibilité de hocher la tête car le dislike deviendrait une entrave à la croissance et à la communication d’un objet sur un réseau social.
Le cumul d’information n’est pas la vérité en vrac. l’hyperinformation et l’hypercommunication viennent aggraver le flou fondamental du tout qui mène à une opacité deguisée. Plutôt que désigner les images comme menteuses, fourbes, fausses pourquoi ne les traitent-on pas comme simplement fictionnelles? La fiction n’a t-elle pas le droit se baser sur des faits réels comme le font certaines images? À partir du moment où nous considerons sur l’avis de Baudrillard que nous sommes condamnés à faire la confusion entre réalité et images, pourquoi ne pas simplement se plonger dans cette fiction générale?
L’hypervisibilité rend acceptable tout ce qui est montré, et suspect tout ce ne l’est pas. La distance a disparue notamment grâce au téléphone, les images se protituent dans nos mains. Le manque de distance anéantit le regard et tout sens ésthétique et le regard devient absorbtion visuelle.
La transparence et les relations contractuelles impliquent la fin de l’éros, c’est à dire la pornographie.La transparence ferme la porte à l’imagination à qui plus rien n’est suggérer. Nous nous retrouvons dans une acceptation passive et le seul possible est le hochement de tête alors que la suggestion laisse à chacun de nous une grande variable qui nous et propre et intime. La notion de plaisir est finalement dépendante du temps car une jouissance directe est enfermé dans un présent court et immédiat, tandis que  l’appartition partielle vient sejourner dans notre imaginaire créant ainsi un prélude et un postlude de cette apparition.
La société de la transparence n’accepte pas les rituels (processus narratifs) car ils prennent du temps. Prendre le temps du rituel est une forme de résistance?
Face à l’expérience, la connaissance elle, néccessite un temps, et elle seule peut faire basculer une expérience et métamorphoser un ensemble.
La narration est une sélection, autrement dit un calcul de l’information finalement? Un calcul ne propose pas, il atteste qu'il n'y a qu'un résultat.
Malgré ses mises en formes, ses transformations, sommes-nous finalement en train de lutter à la transformation de notre cerveau en disque dur?
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antikorg · 6 years ago
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A Farnborough, l'autre match de la maintenance prédictive
A Farnborough, l’autre match de la maintenance prédictive
LR: Le développement exponentiel du transport aérien constitue une catastrophe écologique qui bénéficie d’une étrange tolérence.
Boursorama – AFP – 18/07/201
L’industrie aéronautique avance à grands pas dans la révolution numérique qui lui permet de gagner en productivité et de réduire les coûts de maintenance et d’exploitation des avions ( AFP/Archives / BEN STANSALL )
L’industrie…
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real-azimut-blog · 7 years ago
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Communauté de joueurs LGBT ou gayfriendly?
Un nouveau billet est apparu par là https://goo.gl/TZuUJT
Communauté de joueurs LGBT ou gayfriendly?
On parle souvent des joueurs en ligne sans pour autant oser remettre leur sexualité en avant. Un peu comme pour les joueurs de foots. On pourrait croire que c’est donc un sujet qui est tabou. Pourtant, tout comme dans le monde du foot, rugby, hockey sur glace et bien d’autres sports considérés comme 100% hétéro, il y a une population Lgbt qui s’y cache.
Le e-Sport met souvent en avant le coté « Mâle » en oubliant souvant qu’il y a aussi des femmes en plus des gays. Ce monde donc, celui qui fait l’apologie de l’hétérosexualité dans le monde du sport, a aussi atteint nos salons au travers du jeu vidéo.
Alors non, les jeux vidéos, le foots, le rugby, le hockey sur glace, le catch, les sports de baston ne sont pas uniquement hétéro. Je pense que vous seriez fortement surpris de savoir que votre voisin de tous les jeudis soir sous la douche préfère la gente masculine à celle féminine. ça vous mets mal à l’aise? Étrange… Car si on est sur de son orientation sexuelle, il n’y a aucune ambiguïté possible et donc pas de quoi se sentir soudainement « atteint » dans sa sexualité ou plutôt en péril.
Au travers de cet exemple, on voit bien que ce n’est pas le fait d’avoir une orientation sexuelle qui pose problème, mais de l’assumer à 100% et de ne pas en douter. Car oui, certain d’entres-nous se posent toujours quelque part la question du « et si je préfère plutôt Jean à Jeanne? ». Cette petite question peut rendre de ce fait la personne « fragile » et ainsi, se sentir en danger face à une éventuelle attirance pour son voisin de douche. Après tout, si on assume notre sexualité, il n’y a donc aucun problème de « phobie » ou plus simplement de peur voir remise en question de soit.
Mais existe-t-il seulement des communauté de joueurs 100% gayfriendly ou LGBT?
J’ai eu beau chercher sur le net, je n’ai rien trouvé de probant… juste des articles qui parlent de convention de « Gaymers » mais pas de communauté FR ouvertement LGBT ou Gayfriendly francophone, si ce n’est à peine 2. J’ai cette vague impression que le sujet est tabou. Car comme je l’ai mis plus haut, les jeux vidéos sont pour les garçons et les hommes, dans l’esprit collectif et pas les femmes ou « les autres »? Ceux que je nomme « les autres » sont donc les personnes se retrouvant dans la communauté LGBTQ (Lesbiennes, gays, bi, transgenre, queer).
Il faut donc croire, bien qu’il existe une communauté de joueurs LGBTQ, qu’ils préfèrent se cacher, encore, aux yeux des autres afin de ne pas se faire rejeter. Un traumatisme datant des années 80, durant lesquelles il n’était pas « normal » d’être « différent ». A croire que la normalité existe…
Mes recherches sur le net m’ont amenées à découvrir donc le mot « gaymer ». Personnellement je trouve ridicule de vouloir classer les joueurs LGBTQ dans une « classe » de gamers. En gros c’est s’exclure afin de montrer sa différence plutôt que s’inclure en assumant sa différence. C’est un peu comme mettre de la couleur rouge pétante sur un produit que l’on veut discret mais bien présent tout de même.
De mon coté, je l’assume, je suis gay et gamer. Je tolère les insultes types « gros pd », « enculé » et j’en passe, durant les parties tant que ce n’est pas une attaque personnelle. Car là ou je ne suis pas d’accord avec le 90% des défenseurs de tous poils, il faut voir l’insulte et son contexte. Alors oui, dire « PD » quand on se fait dépop en jeu n’est pas très glam, mais après tout, c’est un langage courant. Pour faire changer cela, il faut tout d’abord faire prendre conciense qu’il y a d’autres formes de sexualité que l’hétérosexualité. Que ces diverses forment n’entre pas en conflit avec elle et que de ce fait, être gay ou hétéro ne change rien aux rapports entre être Humains. De là, il est possible, via de la tolérence, à faire changer le langage.
Je me vois mal prendre la mouche lors d’une game car un joueur à dit « connard ». Au final, il faut voir l’insulte « PD » sous cette forme. Il est important également de faire comprendre aux joueurs ce que cela veut dire, mais pas durant la partie, en dehors. Avoir un discours de tolérance, s’ouvrir aux autres et leur permettre d’être ce qu’ils sont.
Dans une communauté, la liberté d’expression est un facteur important. Donner quelques règles de bien-aisance est important également. Avoir un discours de tolérance envers les différences et les accepter est primordial. Demander cela à un « bledar » n’est pas chose simple, mais c’est faisable. Il suffit de savoir simplement rappeler la base de la vie en groupe: tolérance et respect. En somme, parler à son prochain est comme parler à ses parents quand on est petit.
Pour répondre à la question: exsite-t-il une comunauté francophone gay-friendly? voir LGBTQ? Oui!! il existe au moins une communauté gay-friendly qui est AZgamers. D’autres semblent exister. On sait une seule chose: elles parlent le français. Mais on ne sait si c’est en Europe ou au Canada…
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marlenecoste-blog · 14 years ago
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True Blood
Sookie Stackhouse habite à BonTemps, petite ville perdue dans la forêt au milieu de la Louisiane, avec sa grand-mère et son frère Jason. Dans un monde où les humains doivent cohabiter malgré eux avec les vampires, elle mène une vie plutôt paisible. Triste à mourir, en fait, mais paisible. Sookie est serveuse au Merlotte's bar. Elle y sert de la bière, beaucoup. Et du sang humain de substitution, du True Blood, un peu. Sookie est télépathe. Sookie est amoureuse de Bill. Bill est un vampire.
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C'est l'auteur américaine Charlaine Harris qui a inspiré la série True Blood, diffusée depuis septembre 2008 sur la chaîne HBO aux USA. Ses romans fantastiques, déclinés en 9 tomes à ce jour, ont été adaptés par Alan Ball (Six Feet Under) pour la télévision de façon plutôt fidèle, surtout concernant les personnages principaux. Les autres rôles et péripéties secondaires sont librement adaptées et pour la plupart originales. Le casting lui aussi respecte assez bien les descriptions des personnages de Chalaine Harris, particulièrement en ce qui concerne les acteurs jouant les vampires. C'est Anna Paquin, vue notamment dans la saga des X-Men, qui interprète le rôle de l'héroïne Sookie Stackhouse. Les autres acteurs sont des inconnus du grand public, mis à part Alexander Skarsgärd que certains ont pu voir dans le clip de Lady Gaga "Paparazzi" (Mais siiii, il la pousse du balcon et elle l'empoisonne à la fin !!). Le générique de la série est particulièrement intéressant. D'une part parce cela devient de plus en plus rare de retrouver un générique digne de ce nom au début de chaque épisode, mais aussi parce qu'il plonge  tout de suite le spectateur dans "l'univers True Blood". Un univers glauque, chaud et humide, poisseux, malsain, renforcé par le choix de la BO, une chanson de Jace Everett "Bad Things". "I wanna do bad things with you..."
Humains VS Vampires Sookie est une petite blondinette d'une vintaine d'années, innocente, douce et attentionnée, prête à tout pour pimenter une vie qu'elle trouve trop sage. Coincée entre sa grand-mère et son job de serveuse, elle se préserve des garçons, (à l'inverse de son frère qui lui ne croise plus aucune fille qui ne soit pas une de ses ex conquêtes à BonTemps) mais plus généralement de la race humaine. Son don, ou handicap comme elle l'appelle, lui a beaucoup appris sur cette nature humaine qu'elle haït de plus en plus. La première saison plante le décor : d'accord les vampires ont été acceptés (ou tolérés) par les humains, d'accord ils ne sont plus obligés de tuer pour se nourrir puisqu'on leur fabrique du sang de synthèse, mais leur intégration est loin d'être un exemple du genre. True Blood explore toutes les formes de discriminations (racisme, homophobie, préjugés...) et de violences ( drogue, sexe bestial, meurtres...)  qui caractérisent le comportement humain face à la peur de l'inconnu. Toutes les relations développées dans cette série, qu'elles soient entre vampires et humains ou au sein d'une même "espèce" sont conflictuelles. True Blood est une série qui parle d'abord de notre société, de notre comportement face à l'autre, à travers des personnages radicaux dans leurs opinions. Le spectateur apprend à lutter contre les préjugés grâce aux personnages évoluant aux côtés de Sookie, des humains pour qui la différence est forcément mauvaise.   True Blood nous parle d'amour, de tolérence, d'amitiés profondes, fraternelles ; d'acceptation, des autres, de soi. Et True Blood nous parle de vampires. De vrais vampires, de ceux qui font peur, qui sont pâles, sanguinaires, immoraux, arrogants, virils quoi ! Ils nous font froid dans le dos mais comme Sookie, on succombe. A leur sang froid (au propre comme au figuré), à leurs sentiments inconditionnels, à leur flair, leur précision. Au silence dans lequel ils évoluent.
Et par rapport à Buffy ? Comment parler de True Blood sans évoquer LA série qui a fait entrer les vampires dans le quotidien de millions d'adolescents à l'imagination empiétant très largement sur la réalité : Buffy, The vampire Slayer (Buffy, la tueuse de vampire). Les points de comparaison sont nombreux entre les deux séries, notamment dans la représentation du vampire. Dans True Blood, le vampire semble plus "humanisé". La peau pâle et les crocs saillants lors d'une attaque imminente restent des classiques, cependant les vampires de BonTemps ne changent pas de visage dans un rugissement inquiétant comme ceux de Sunnydale (ville où se déroule la série Buffy). Le petit "clic" discret, seul témoin de la métamorphose en créature de la nuit, peut même prêter à sourire (voire à s'exclaffer) quand on s'était habitué à une poussée des canines accompagnée d'effets spéciaux rutilants, on croyait que c'était la norme chez les vampires ! Autre similitude entre les deux séries, la sempiternelle histoire du méchant vampire et du gentil vampire. Rappelons que Sookie est une jeune femme blonde d'une vintaine d'année (ça vous rappelle quelqu'un peut être...). Bill lui est un jeune homme brun ténébreux qui séduit sa belle au premier regard avec ses allures de protecteurs de ces demoiselle. Il subit sa condition de mort-vivant plus qu'il ne l'utilise. Alors ?... Ang.. Oui ! Le méchant vampire (qui arrive un peu plus loin dans l'aventure) est quand à lui blond, de cuir vêtu, sans foi ni loi, il aime user et abuser de ses pouvoirs de séduction et trouve bien entendu la nouvelle compagne de son rival Bill très à son goût. Spike ? Bingo. Comme dans Buffy, True Blood évoque les vies antérieures des vampires, ce bon vieux temps où ils étaient encore vivants et qui leur a forgé leurs personnalités de vampires actuelles. Sur le même schéma, on retrouve une hiérarchie chez les vampires, qui émane de leur longévité en tant que créatures de la nuit et qui leur confère une certaine puissante aquise au cours de  leurs années d'errance. Les vampires de True Blood peuvent aussi engendrer d'autres vampires, c'est à dire mordre un humain et le vider de son sang pour l'emmener de l'autre côté, ce qui visiblement, dans Buffy comme dans True Blood, ravie les victimes qui trouvent une plus grande satisfaction dans leur mort que dans leur vie souvent sans intêret. Mais même si tous les épisodes de Buffy étaient rythmés par un combat sanglant entre démons et tueuse à coups de pieux, True Blood reste quand même une série beaucoup plus violente. Plus adulte déjà, plus noire, plus sournoise, plus traitre, plus hot...
Saison 1 Cette première saison voit BonTemps essuyer une vague de meutres sans précédent où Sookie et son vampire Bill vont devoir calmer les tensions naissantes tout en essayant de faire évoluer leur histoire d'amour. Au milieu d'une histoire policière pour le moins banale (un sérial killer dans une petite ville bien tranquille, recherché par un shérif bedonnant plus souvent saoul que sobre), Sookie va voir sa vie bouleversée par l'arrivée des vampires à BonTemps. Mais pas seulement. Elle va découvrir qu'elle était loin de tout savoir à propos de ses proches et qu'il n'y a pas qu'elle qui essaye de cacher tant bien que mal un "handicap"... Cet handicap qui va d'ailleurs devenir un allié dans sa quête de vérité et de justice. Sookie va murir aux côtés de Bill, elle sort tout juste d'une adolescence préservée par sa grand-mère et va devenir un femme courageuse, amoureuse et se découvrir une hargne sans faille pour défendre ses idéaux du bien contre le mal. Mais elle reste humaine avant tout et même si elle fait d'énormes efforts pour s'intégrer à ses nouvelles fréquentations, Bill reste un vampire. Un de cette espèce qui agit sous l'influences de pulsions animales incontrôlables et qui pousser sa belle à s'éloigner plus d'une fois. L'arrivée des vampires à BonTemps va faire naître un nouveau trafic entre adeptes des "effets secondaires" des pouvoirs de ces créatures de la nuit. Une drogue va vite détrôner toutes celles déjà présentes sur le marché : le sang de vampire, appelé le "V". Celui-ci a des vertues beacoup plus nombreuses et puissantes que n'importe quelle autre drogue mais il est rare, même si les vampires sont nombreux, car ils ne se laissent pas saigner comme ça, n'importe où par n'importe qui. Et comme toute drogue, elle rend accro, vite, très vite... Sookie va aussi pouvoir changer d'air, un air par forcément plus pur, loin de là. Son amoureux lui présentera sa famille, un peu particulière, vivant à Shreveport et passant le plus clair de leur temps dans un bar nommé le Fangtasia's. La rencontre avec le chef de la région et patron du bar, le fameux vampire blond, Eric, va lui permettre de mettre son talent de télépathe au service d'une bonne cause, mais toujours à ses risques et périls. C'est seulement à ce moment que Sookie se rend compte de l'ampleur de la relation dans laquelle elle s'est embarquée. Bill est un vampire plutôt courtois mais autour de lui gravitent des congénères qui le sont beaucoup moins. La vérité lui est renvoyée en face en pleine figure : les vampires sont des suceurs de sang impitoyables. Tantôt elle s'offusque, effrayée par le comportement de Bill, tantôt elle s'abandonne corps et âme à son vampire au point d'en oublier sa vraie nature, c'est dans un futur pleins de doutes que la blondinette de BonTemps s'aventure.
Saison 2 La seconde saison augmente d'un cran en intensité : plus de violence, plus de sexe, plus de folie (contagieuse), mais aussi plus de personnages. Le premier épisode donne le ton, Sookie est victime d'une violente agression par une créature des ténèbres qui deviendra le grand méchant de cette saison. Les décors varient, les visites à Dallas s'enchaînent et les deux lieux les plus innocents et chastes en apprarences seront le théâtre de manigances des plus terrifiantes : la maison de la grand-mère de Sookie et l'Eglise de la Confrérie du Soleil. La religion va faire son apparition sous une forme qui se révèlera être plus du domaine de la secte. Viscieuse, fourbe, écoeurante à souhait et avec un niveau d'hypocrisie jamais atteint ! Une confrérie anti-vampire, prônant la rédemption et aux méthodes pas toujours catholiques. C'est aussi l'occasion de voir apparaître un nouveau personnage, un vampire, un des plus vieux règnant sur notre planète. Cet adolescent, un peu gringalé à l'attitude discrète, cache sous son tee-shirt des tatouages datant de l'Empire Romain, il aurait donc plus de 2000 ans d'existence. La sagesse acquise au cours de sa très longue "vie" fait de lui un fervent défenseur de la paix entre vampires et humains. Son engagement envers le bien être et l'harmonie au sein de la société est total, c'est un vampire raisonnable, passifiste, médiateur, sa seule présence suffit à faire taire une assemblée de vampires acharnés. Mais Godric est aussi un vampire doté d'une force physique inestimable, une chance pour Sookie qui se retrouve bien trop souvent en mauvaise posture. Le sacrifice que fera ce vieux (jeune !) vampire nous laisse un peu sur notre faim. On aurait bien voulu en voir un peu plus à propos de ce personnage vraiment intéressant... Même si on se force à comprendre et accepter son geste, la déception est grande ! La souffrance qu'il devait endurer au quotidien en souvenir de ses victimes massacrées au cours de 2000 ans de traques nocturnes aura raison de lui. C'est Sookie qui l'accompagnera dans son dernier voyage, un splendide premier mais dernier lever de soleil. Si d'un côté cette seconde saison met en scène un ce  personnage admirable, elle intègre aussi une nouvelle créature diaboliquement féroce : une ménade. Et avec ce personnage on introduit du sang, beaucoup de sang. Du sang qui coule, déborde, gicle, du sang humain, du sang maléfique, des liquides qui se mêlent, des corps qui s'entremêlent. On grimace, on observe, on hallucine. Sous nos yeux, le sénario s'emballe, prend de la vitesse, dérape. Orgie générale. Religion et mythologie, sexe et violence, tout et son extrême. Adoration et possession. Deux maîtres mots pour qualifier cette seconde saison, avec au centre de toute cette folie pas douce du tout, la ménade alias Maryann. Cette déesse, mi-femme mi-taureau, adepte du voyeurisme, exerce un contôle mental sur ses victimes lui permettant de les voir accomplir tous ses fantasmes de femelle déchaînée. Et ceux-ci concernent évidemment tous les vices et excès que les humains essayent normalement d'éviter. Nourriture, alcool, drogue, pulsions sexuelles, violences physiques... Ingurgiter, accueillir, avaler, recevoir ; pénétrer, frapper, enfoncer, gaver. Les effets spéciaux lors des scènes sous l'emprise de Maryann rajoutent un sentiment de haut le coeur. La ménade vibre, accélère, émet des ultra sons, dans un décor nauséabond. Déroutant. Kiffant ! Beurk... Un final en apothéose pour cette seconde saison, encore sur la notion de sacrifice, forcé cette fois ; ou comment les croyances en une force supérieure vont être synonymes de délivrance.
Saison 3 Après une attente interminable pour tous les fans de True Blood, la saison 3 a enfin révélé ses secrets. Et malgré tout l'intérêt que pouvait suciter le final de la saison 2, cette nouvelle saison ne semble pas au niveau des deux précédentes, du moins pour le début. Elle sera longue, très longue à démarrer. Trop longue.
On avait laissé une Sookie la bague au doigt, les joues humides et les lèvres glossy, toute ragaillardie par sa nouvelle condition de fiancée, mais plantée devant la chaise vide de Bill qui venait de s'évaporer. Bien décidée à faire la lumière sur cette mystérieuse disparition, elle va remuer ciel et terre pendant pas moins de six épisodes pour mettre la main sur lui. Au travers d'une enquête poussée au sein du royaume de sa majesté vampirique, roi de Louisianne et épaulée par Eric qui y voit un moyen de régler ses propres comptes, elle va donner un coup de pied dans la fourmilière, crier, pleurer, taper du poing sur la table, se lamenter, pour retrouver son cher et tendre. Mais à l'évidence, ce kidnapping n'est pas une simple histoire d'enlèvement et l'innocence de Bill dans cette affaire reste à prouver. Eric émet des réserve quand aux dangers que court Bill et essaye en vain de le faire comprendre à Sookie, qui elle, avance bille en tête vers une très grosse déconvenue.
Dans sa quête, elle se voit affublée d'un nouveau compagnon de route, un loup-garou, chargé par Eric d'assurer sa protection. Et voilà que notre petite blondinette se retrouve entourée non plus de deux, mais de trois créatures surnaturelles toutes plus sexy les unes que les autres. Car Alcide, le loup-garou/garde du corps n'est, lui non plus, pas insensible aux charmes de la serveuse de Bontemps. Sa complicité avec lui va d'ailleurs lui ouvrir les yeux sur la nature de sa relation avec Bill et lui faire entrevoir qu'un autre avenir est possible, un avenir plein de vie, de chaleur, de lumière, aux côtés d'un homme qui respire, mange et vieillit. Si jusqu'ici Bill était la seule et unique raison de vivre de Sookie, son seul point de repère, la seule option possible, Alcide va remettre en question ce merveilleux plan de vie, et OUF, il était temps !
Pandant ce temps, Jason, le frère de Sookie, se découvre une nouvelle vocation. Il est décidé à faire le bien autour de lui et se trouve un nouveau leitmotiv : justice et rédemption. Son engouement et son dévouement à toute épreuve pour devenir assistant du shérif relèvent du comique. Jason, l'imbécile heureux ! Il va croiser la route de Crystal, une jeune fille qui cache un lourd secret sous ses écchymoses et notre Saint Bernard va se faire un plaisir de l'aider à résoudre ses problèmes, non sans quelques ratés. Globalement le ton de cette troisième saison est plus léger. Les personnages en viendraient presque à être blasés par toutes ces histoires surnaturelles, d'où quelques scènes et répliques plutôt drôles qui ponctuent l'évolution de l'histoire. Même Sookie fait dans l'ironie et surmonte les uns après les autres les obstacles qui se dressent sur son chemin avec philosophie. Elle n'est plus fascinée par le monde de la nuit, elle en est plutôt dégoûtée. Elles est plus que fatiguée par les querelles incessantes entre vampires qui se dévisagent en sortant les crocs. Elle ligotte, traîne, torture, tue de sang froid et nous fait même partager son plaisir en esquissant un petit rire sadique lorsqu'elle broye les restes d'un vampire dans l'évier, avant de se remettre à lire ses magazines people.
La seconde partie de la saison devient plus intéressante, car plus riche en rebondissements. Après avoir enfin sauvé Bill des mains de ses bourreaux, celui-ci, complètement "déshydraté" se retourne contre sa dulcinée et anéanti le reste de confiance qu'avait Sookie en lui. Car si Sookie savait déjà qu'elle n'était pas une humaine comme les autres (car dotée d'un pouvoir de thélépathie), elle ignorait en revanche à quel point. Et certains, eux, le savaient... La nouvelle nature féérique de Sookie va se révéler pour Eric une immense surprise. Il va d'ailleurs bien vite trouver un moyen d'en tirer avantage pour arriver à ses fins. La vangeance du Viking sera terrible et Sookie, complètement perdue dans ses sentiments, sera sa principale alliée. Eric jubile, il est en train de détourner Sookie de Bill et enfonce le clou par une révélation fracassante dans les dernières minutes. La coupe est pleine pour Sookie Stackhouse. Ras le bol des vampires, de leurs petits jeux manipulateurs et de leurs liens imaginaires aliénants qu'ils croient créer avec elle. C'est TERMINE, elle ne veut plus JAMAIS en entendre parler. Retrait d'autorisation d'entrer et claquement de porte clôturent cette saison.
Sookie, la vie n'est pas un conte de fées... Ou peut être que si. Peut être qu'il existe vraiment un monde parallèle où vivent des fées, des fées qui se nomment Claudine, Claude, peu importe, des fées qui ont dans leur sang quelque chose de spécial. Quelque chose de magique, de merveilleux. Quelque chose dont les vampires raffolent...
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nemowooshi · 10 years ago
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Love all.-
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be-distinctive · 11 years ago
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Quand je dis être une personne extravertie, ouverte et tolérante, je le suis vraiment. Ma différence ? J'assume qui je suis. Ce choix de revêtir une apparence différente me permet de nouer contact plus facilement avec de nombreux individus.
Peu importe l'origine sociale de mon interlocuteur, en 2 seconde je peux changer de visage et ainsi m'adapter ;)
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