#temporaire et à
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lours-file-a-telie · 9 months ago
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Philatélie 467
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danetteabdl · 9 days ago
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Titre : Le Match de sa Vie
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Chapitre 1 : Le rêve d’un jeune prodige
Léo, 17 ans, était un jeune prodige du football. Repéré dès l’âge de 12 ans par un centre de formation prestigieux, il avait tout pour réussir : technique, vision du jeu et une détermination sans faille. Pourtant, un obstacle inattendu menaçait son rêve : le stress des grands matchs.
À chaque fois qu’il se préparait à entrer sur le terrain pour un match important, Léo ressentait une boule au ventre. Peu importe les encouragements de ses coéquipiers ou les conseils de son coach, le trac prenait toujours le dessus. Un jour, à son plus grand embarras, son corps céda sous la pression : le stress le rendit incontinent.
Chapitre 2 : Le poids du secret
Léo était dévasté. Il n’osait en parler à personne, pas même à ses parents. Il se réfugia dans le silence, trouvant des excuses pour éviter de jouer les matchs. Ses entraîneurs commencèrent à douter de son engagement, et certains coéquipiers murmurèrent qu’il manquait de courage. Mais la vérité était bien plus complexe.
Chaque fois qu’un match approchait, l’idée de répéter cet incident l’angoissait encore plus, créant un cercle vicieux.
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Chapitre 3 : La rencontre qui change tout
Un jour, alors qu’il ne supportait plus cette situation, Léo prit son courage à deux mains et consulta un médecin spécialisé en gestion du stress. Lors de la consultation, il expliqua, non sans difficulté, ses problèmes.
Le médecin, compréhensif, lui posa des questions sur ses émotions et sur la manière dont son corps réagissait au stress. Après un long échange, il lui proposa une double solution : suivre une thérapie pour apprendre à mieux gérer son stress et, à court terme, envisager une solution pratique et discrète : porter des couches pour adulte lors des matchs.
Au départ, Léo était réticent. Il trouvait cela humiliant. Mais le médecin lui expliqua que ce n’était qu’un outil temporaire, une aide pour lui permettre de surmonter sa peur et de se concentrer sur son jeu.
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Chapitre 4 : Reprendre confiance
Lors de son premier match avec cette solution, Léo était nerveux. Il craignait que ses coéquipiers ou les adversaires s’en aperçoivent. Mais en entrant sur le terrain, il remarqua quelque chose de différent : il n’avait plus cette peur paralysante. Pour la première fois depuis des mois, il joua comme il le faisait à l’entraînement.
Son coach, impressionné, le félicita à la fin du match. Personne ne connaissait son secret, et Léo commençait à retrouver le plaisir de jouer.
Chapitre 5 : La victoire intérieure
Au fil des mois, avec l’aide de son thérapeute, Léo apprit à mieux gérer son stress grâce à des techniques de respiration, de visualisation et de méditation. Il finit par ne plus avoir besoin des couches, mais il se souvint toujours de ce pas important qu’il avait osé franchir.
Un an plus tard, il disputa un match décisif pour son équipe. Devant des milliers de spectateurs, il inscrivit le but de la victoire. Ce jour-là, Léo ne remporta pas seulement un match : il triompha de ses peurs et prouva que les obstacles, aussi inhabituels soient-ils, peuvent être surmontés avec du courage et du soutien.
Épilogue
Léo devint un exemple pour de nombreux jeunes, prouvant que la force mentale et l’acceptation de soi étaient tout aussi importantes que le talent. Ses débuts marqués par des défis atypiques le rendirent encore plus admiré dans le monde du football.
Les couches te donnent de l assurance? Assume !
… tu en veux encore ? Commente ce billet !
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kilfeur · 6 months ago
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J'aime bien la dynamique de Soren et Corvus dans cette épisode, leur permettant de plaisanter un peu tout en étant sérieux. Comme le fait que Soren explique qu'il croyait en Zubeia quand il disait que cette blessure n'était rien pour elle. Et que le fait que Soren s'inquiète pour Zubeia est parce que c'est la mère de Zym. Mais ça lui fait penser à la sienne et Corvus lui dit que Zym l'a lui. Ok, je ship maintenant ! Et les retrouvailles de Zubeia et Zym, c'est rassurant de la voir en vie mais Zubeia sera la grande absente de cette saison vu que ses blessures prendront du temps à guérir. Du coup Zym est le roi temporaire des dragons non ?
I like Soren and Corvus' dynamic in this episode, allowing them to joke around a bit while still being serious. Like Soren explaining that he believed in Zubeia when he said that this wound was nothing to her. And that Soren's concern for Zubeia is because she's Zym's mother. But it makes him think of his own, and Corvus tells him that Zym has him. Okay, I ship now! And the reunion of Zubeia and Zym, it's reassuring to see her alive but Zubeia will be the big absentee of this season as her wounds will take time to heal. So Zym is the temporary king of dragons, isn't he?
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lounesdarbois · 2 months ago
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Paris aux approches de Noël à l'époque, il y a longtemps, combien c'était beau. Les porches, les entrées éclairées, les hautes fenêtres avec leur rideaux là-haut, la branche qui dépasse d'un sapin décoré, les moulures aperçues d'un plafond illuminé. Je regardais tout cela enfant depuis en bas, depuis la rue. Et en arrière-plan le soir était la pénombre des parcs avec leurs feuillages balancés au vent derrière les grilles en fer. Émergeant ça et là, les gens, les familles surtout, une chose rare aujourd'hui, les gens étaient en famille. Des pères à l'allure fringante, de jeunes mères avec chacune plusieurs enfants, très rangés, très élégants, très heureux. Un monde comme mon monde, chez mes grands-parents. Le monde comme un prolongement tranquille de mon monde. Le décor des logements bourgeois dans des films comme Les Visiteurs, Opération Corned-Beef, Le père Noël est une ordure, étaient tous semblables au logement principal et secondaire de mes grands-parents, ainsi la vie future serait une tranquille continuité entre la vie privée et la vie publique, et la France remise à l'endroit par ces visites chez ces Anciens aurait forcément raison bientôt de la montée des "voyous" comme on les appelait alors. J'avais une famille. Un havre de paix gratuit quelque part, un refuge avec une place à mon nom, une base. Quand j'ai compris avec le temps que c'était ma seule famille, vu mes origines, alors que tous mes amis en avaient deux, cette base est devenue alors un idéal à reconstruire pour la vie adulte future.
La fête que c'était, Paris, enfant, avant Noël. La foule variée des restaurants, des cafés, tout cela inondé de lumière qui devait ne jamais s'éteindre. Il y avait la vie quelque part, cela existait, il suffisait de le savoir pour s'en retourner rassuré dans sa banlieue éteinte affronter la montée des "voyous", épreuve temporaire qui finirait bientôt, car les méchants finissent au bagne disait Le Bouillon.  Paris, les grands magasins. Le Printemps. Les Galeries Lafayette. Le métro avec ses publicités immenses pour La Samaritaine. Le Trocadéro. Les églises. Les gares pleines de voyageurs avec des skis. Et partout où l'on allait dans la ville les sapins ceinturés de girandoles, constellés de lumières dans les entrées d'immeuble, dans les halls de palace, dans les magasins, partout, comme une symphonie unanime dans le pays où chacun joue sa partition privée spontanément, partout. Les avenues bordées d'immeubles en pierre, illuminés du dedans, peuplés de familles françaises qui attendaient Noël comme nous. Les guirlandes électriques dans les rues. Les publicités pour les spectacles, les salles de spectacle avec leurs portes en or qui donnaient 3 représentations par jour d'un Molière ou d'un Feydeau, bondées de foule française heureuse, pendant ces jours qui précédent Noël, pendant la montée progressive vers cette réjouissance, 19 Décembre, puis l'entrée dans les chiffre des vingtaines, le 20, le 21, de mieux en mieux le 22, le 23, puis le 24 et le parachevèment du 25, point final et point d'orgue de l'année. Les libraires, les bistrots, les brasseries avec leurs étalages d'écailler mirifique, les pancartes "arrivage d'escargots", les teinturiers derrière leurs comptoirs assiégés, les écoles encore encore occupées, les salons de coiffure pleins de dames, les marchands de gravure et leur air compassé, les détaillants en spiritueux. Partout la vie. Et chez nous, se retrouver à 20 convives, accomplir les préparatifs, réserver les huîtres, cuisiner des plats, allumer des lumières partout dans un appartement spacieux où chaque pièce devenait habitée, ici pour s'habiller, ici pour emballer en secret des paquets, là pour parler affaires, chacun à sa place. 1995. 1990. 1988, et avant. Larmes fréquentes rien que d'y penser. Cette lugubre, hideuse impression de fin de tout aujourd'hui, dans l'indifférence dépeuplée, cynique, impie, technologique. Tout cela beaucoup trop violent, beaucoup trop méchant quand on est seul, quand on est loin, quand le train qui vous dit "complet" part sans vous et qu'on s'essouffle à le rattraper. Parti au vent le parc Monceau, et le Ranelagh, le manège en bois, la boulangerie, le marchand de caddies à motifs écossais en bas de la rue. Cette ville grise à l'extérieur et si chaude, si lumineuse, si proprette dès que l'on entrait quelque part. Auteuil, l'arrêt "Jasmin" sur la ligne du 9, la légende, la ligne qui mène aux Champs-Elysées et au virage Boulogne, à la bourgeoisie et au combat. Et le musée de la marine, et l'aile Denon au Louvre d'où l'on revenait plein d'histoires à raconter, le théâtre de Chaillot, et Guimet, et les petits cinémas du 16ème qui donnaient Maman j'ai raté l'avion en 1990. Et les vieux appareils électriques oranges, notamment le presse-agrume, le couteau électrique qui fait des fines tranches de rôti, le hachoir à jambon, la yaourtière. Et la noble charité filiale, légère, facile, dégagée, qui nimbait tout cela dans un ordre qui avait toujours été, qui serait toujours, grâce auquel nous n'aurions jamais à nous inquiéter de rien.
Et aujourd'hui... À six heures du matin rugit le hurlement des poids-lourds qui redémarrent au feu rouge (visages effondrés des routiers moldaves à la proue de 20 tonnes de béton sur métal qu'ils ont conduit toute la nuit). Les embouteillages, les rues défoncées, les palais noircis qui s'enfoncent dans la boue du sol détrempé. Plus de jobs. Plus de prolétariat. Plus rien. Recommencer à "gagner sa vie" là-dedans seul, abandonné en rase campagne. Sueurs froides et halètement. Réminiscences de Houellebecq, Soral, de ces lectures de 2000-2010, de phrases comme "la société où vous vivez à pour but de vous détruire", ou "ils ont été emasculé par la violence du système", ou encore "vous étudiants, êtes voués à un monde de mensonge, de saloperie et de violence". Dire que cela nous semblait exagéré à l'époque... Tout est contre nous et personne ne fait rien. Et puis un pays noir. Des rues noires sous un temps noir. Population rare, verdâtre, visages froncés, bouches mal fermées, dents avides. Société excrémentielle. Pluie noire sur les dos voûtés, lavés à l'eau sale, qui rentrent par des cages d'escalier aveugles dans des bâtiments opaques aux vitres fumées d'où ne sort ni lumière ni branche de sapin, ni familles rangées. À côté de cela, les "consultants" badge au cou dans leur voiture payée par la prétendue union, prétendument européenne, et les "double paye sans enfant". Il n'y en a plus que pour les sournois suceurs. Un tel degré de saloperie, une entreprise aussi monstrueuse, devrait se payer par vingt Sinn Fenn par jour, méthodiques, fanatiques de justice en faveur des pauvres.
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empiredesimparte · 4 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | N°26 | Francesim, Palais des Tuileries, Paris, 9 Fructidor An 230
In a historic televised address, Emperor Napoleon V, unexpectedly, decides to temporarily hand over power to his beloved wife, Empress Charlotte, thereby instituting a Regency. This unexpected announcement surprised the French public, who had anticipated hearing about the first political actions of his reign. To reassure the nation, Napoleon explains that the Empress will be supported by a trusted council, led by Imperial Prince Henri, who will ensure the continuity and greatness of Francesim.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Dans une annonce télévisée historique, l’Empereur Napoléon V, contre toute attente, décide de céder temporairement le pouvoir à son épouse bien-aimée, l’Impératrice Charlotte, marquant ainsi la mise en place d’une Régence. Cette déclaration inattendue a surpris le peuple français, qui attendait plutôt les premières mesures politiques de son règne. Pour rassurer la nation, Napoléon indique que l'Impératrice sera épaulée par un conseil de confiance, présidé par le prince impérial Henri, qui veillera à la continuité et à la grandeur de la Francesim.
(Napoléon) Français, françaises,
(Napoléon) C’est avec un profond sentiment de responsabilité et de dévouement envers notre grande nation que je m’adresse à vous aujourd’hui.
(Napoléon) Je veux servir la Francesim avec discernement. Pour cela j’ai, comme les Empereurs avant moi, bien des conquêtes à faire.
(Napoléon) Afin de répondre à toutes les exigences qu’implique mon rôle, j’ai pris la décision de parfaire ma formation militaire à l’Ecole Navale.
(Napoléon) J’ai la ferme conviction qu’elle sera bénéfique à tout l’Empire et renforcera notre position sur la scène internationale.
(Napoléon) Durant cette période, je crois satisfaire l’opinion publique, en même temps que j’obéis à mes sentiments pour l’Impératrice, en la désignant comme Régente.
(Napoléon) L’Impératrice sera assistée par un Conseil composé d’hommes ayant ma confiance, le prince impérial Henri à sa tête. Ensemble, ils travailleront pour la grandeur de la Francesim
(Napoléon) Montrons qu’une nation où règne la confiance résiste aux emportements, et que, maîtresse d’elle-même, elle n’obéit qu’à l’honneur ou à la raison
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equipe · 2 months ago
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Notes de mise à jour
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jeanchrisosme · 13 days ago
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Je vais te donner un conseil qui t'épargnera les déceptions et trop de larmes, et je te le donne par expérience. Les gens ne changent jamais, et s'ils changent c'est juste temporaire, pour essayer d'être bien avec toi et non pas parce qu'ils sont vraiment né de le faire, après un certain temps ils reviennent à la même chose. Si une fois il t'a été infidèle et que tu lui as pardonné, cette personne le refera. Rappelez-vous que les gens ne changent jamais, ils apprennent juste à mieux mentir... c'est simple
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lilie-stuffs · 4 days ago
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J'ai beau aimer plus que tout mon forum ; mes membres ; les filles qui m'accompagnent dans le Staff ... y a des choses qui épuisent. Certain-e-s ont tendance à oublier que les admins sont des humains comme les autres, qui donnent de leur temps personnel pour gérer une communauté, avec ses potentiels crises et membres mécontents. Larguer sa colère à la gueule d'un admin c'est facile. Ca vide son sac sans penser aux admins en face. Les membres qui demandent à ce qu'on prenne en considérations leurs sensibilités / troubles / avis / humeurs, sans eux tenir compte des nôtres en retour. J'suis un peu usée là. Blessée. Fatiguée. Et j'en perds le goût du rp. C'est temporaire, j'le sais bien. Mais fuck quoi. Nous aussi, on a des émotions !
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aurevoirmonty · 26 days ago
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"La modernité occidentale était fondamentalement défectueuse, conduisant à une dégénérescence totale et à un désastre, culminant avec le règne de l'Antéchrist. La culture woke est la culture de l'Antéchrist. Le prochain sommet (hauts temps) ne peut être que le grand retour au Christ. Le Christ est le roi du monde. Son autorité a été temporairement usurpée par le prince de ce monde, mais le règne de Satan prend fin. Les libéraux sont considérés comme possédés par Satan et la modernité elle-même est satanique."
Alexandre Douguine, Katehon.com (2025)
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aisakalegacy · 2 months ago
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J'en profite pour faire un point sur un aspect des dernières lettres qui n'est pas forcément très clair dans le sens où il est impliqué mais pas explicité clairement : l'hypnose.
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Lucrèce et Clémence sont des vampires. En tant que vampire du jeu Les Sims 3, elles ont un pouvoir, qui est celui d'hyponose. Dans notre histoire, ça veut dire que concrètement, les vampires savent laver le cerveau des gens. Cela concerne les vampires en forme (= vampires transformés stabilisés et vampires nés qui se nourrissent de sang humain) qui maîtrisent bien leurs pouvois, aka pas Adèle en plein killing spree suite à sa transformation alors que son état n'était pas stabilisé. Il s'agit de modifications ponctuelles de l'état de la psyché de quelqu'un, sur une durée pouvant varier de quelques heures à quelques mois, quelques années tout au plus, pas quelque chose qu'on peut faire durer éternellement. On peut s'en servir pour rendre quelqu'un confus, lui faire oublier quelque chose au moment où l'évènement se produit - comme si le sujet ne prêtait pas attention à l'évènement en cours, de façon à ce qu'il ne s'imprime pas dans sa mémoire. On peut également s'en servir pour faire oublier quelque chose temporairement - le vrai souvenir finira toujours par ressurgir.
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Concrètement, voici comment Lucrèce et Clémence s'en servent :
Pour fuir de France sans se faire inquiéter, alors qu'elles étaient recherchées partout par la police.
Pour que les habitants d'Hylewood ne remarquent pas qu'elles n'ont pas pris une ride depuis les bientôt 40 ans qu'elles sont là. Ça demande de réhypnotiser leurs fréquentations régulièrement, soit en leur fournissant des justifications plausibles (tu as connu ma mère qui me ressemblait comme deux gouttes d'eau), soit en les faisant ignorer des choses évidentes (exemple : "... elle a quand même l'air vachement jeune Mlle Rumédier, quand on la regarde, elle ressemble à une jeune femme qui n'aurait même pas vingt ans, elle est bien conservée quand même parce que quand on y réfléchit, depuis le temps que je la connais, elle doit être dans la trentaine... Après, je ne sais plus exactement à quoi elle ressemblait il y a dix ans. Elle devait sûrement avoir l'air plus jeune qu'aujourd'hui").
Pour lire les lettres de leur famille française sans se faire repérer. Forcément... Clémence veut savoir ce que deviennent ses enfants, et Lucrèce a toujours eu beaucoup d'affection pour ses neveux et ses nièces, évidemment qu'elle veut savoir aussi.
Pour faire oublier à Arsinoé d'écrire à Lucien la venue de "Ada Rumédier", l'identité qu'elle a revêtu en se rendant en France. Cela a servi tout simplement à se laisser le temps de rentrer et de préparer le terrain avec Clémence et s'assurer qu'il n'y ait pas de mishap. Ada n'a jamais quitté l'île, par contre il a fallu faire oublier à Lucien quand il la croisait. Bien sûr, les souvenirs finiront par ressurgir un jour, mais comme du temps aura passé, il va tout naturellement se dire qu'il se trompe probablement dans les dates, et que ses souvenirs d'Ada Rumédier sur l'île sont postérieurs ou antérieurs à son voyage.
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fablesofenvola · 13 days ago
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— Les autres Magies
ces magies peuvent s'imposer à un.e envolien.ne sans particularité de genre ou d'origine.
La Magie de l'Âme - le Voile: accessible uniquement pour les envolien.nes ayant trépassé et étant revenu.es.
Capacités innées :
Sensibilité accrue à la présence des âmes errantes ou des esprits.
Immunité partielle aux sorts mentaux ou aux illusions.
Peut percevoir les véritables intentions ou émotions d’un individu en croisant son regard.
Capacités acquises (deux au choix) :
Permet de voir les souvenirs ou les traumatismes d’un individu en entrant dans son esprit.
Invoque des âmes errantes pour attaquer ou distraire les ennemis.
Guide une âme perdue vers l’au-delà, empêchant sa transformation en créature maléfique (ascension ou bannissement).
Crée un lien mental temporaire avec un allié pour coordonner leurs mouvements ou partager leurs perceptions.
Capacité ultime (une au choix) :
• L’Éveil des Ancêtres : Invoque les esprits des ancêtres pour protéger ou combattre aux côtés du mage.
La Purge Spirituelle : Libère une vague d’énergie spirituelle qui bannit toutes les entités maléfiques et purifie l’âme des alliés dans une large zone.
La magie des Songes - L'Éther :
Capacités innées :
 Peut entrer dans les rêves des autres, soit pour les apaiser, soit pour les perturber.
Immunité totale contre les effets de sommeil ou les illusions basées sur l’esprit.
Détection des troubles corporels ou mentaux en observant les rêves d’un individu.
Capacités acquises (deux au choix) :
Plonge un allié dans un état de sommeil réparateur, accélérant sa régénération.
Projette un ennemi dans un cauchemar, le paralysant ou l’effrayant temporairement.
Inflige des blessures ou des douleurs illusoires à un ennemi, affaiblissant son esprit.
Permet à un groupe de partager un rêve commun pour coordonner leurs actions ou explorer un lieu mentalement.
Accélère ou arrête un processus biologique (guérison ou hémorragie, par exemple).
Capacité ultime (une au choix) :
L’Étreinte des Songes : Plonge tous les ennemis dans une zone dans un sommeil profond, les rendant vulnérables aux attaques ou aux manipulations mentales.
Le Rêve Infini: Piège un individu dans un rêve éternel, l’empêchant d’agir ou de revenir à la réalité tant que le mage ne le libère pas.
La Magie du Soleil Eternel :
Capacités innées :
Capacité à briller d’une lumière douce ou aveuglante selon son état émotionnel, attirant ou repoussant ceux qui l’entourent. Cette lumière n’est pas simplement visible, elle réchauffe les cœurs et apaise les âmes.
Capacité à détecter l'invisible
Capacités acquises (deux au choix) :
Création d'une flamme divine, non destructrice mais purificatrice, capable de guérir ou de dissiper les ténèbres et la corruption autour de lui.
Création d'un rayon lumineux frappant l’ennemi ou l’environnement, capable de brûler.
Capacité à voir un aura de couleur autour des objets et personnes, dévoilant leurs intentions profondes.
Confère une bénédiction solaire sur un allié, guérissant les maladies et restaurant un peu de sa santé.
Capacité à percevoir et effacer les malédictions légères de la magie du sang.
Capacité ultime (une au choix) :
Le Soleil de l'Apogée : Le mage invoque un soleil miniature qui éclaire et réchauffe une grande zone. Ce rayon purificateur provoque une vague d’énergie solaire qui nettoie les âmes des influences néfastes et inflige une chaleur dévastatrice aux ennemis.
L’Avatar du Soleil : Le mage se transforme en un être de lumière éclatante, une incarnation du soleil vivant. Il devient presque intangible, brûlant tout sur son passage et guérissant ses alliés avec sa lumière sacrée.
La Magie de la Lune Mystique :
Capacités innées :
• Création d'illusions basées sur la lumière lunaire, transformant son reflet et celui des autres pour dissimuler. • Capacité à renforcer ses capacités la nuit et percevoir des choses dans le noir.
Capacités acquises (deux au choix) :
• Manipulation des ombres à sa guise (création de lames ou de zones sombres). • Manipuler les marées en fonction de la position de la lune. • Production d'une lueur lunaire dans la main qui confère un pouvoir de régénération ou d’illusion sur les blessures et les esprits. • Création d'une marque mystique sur un ennemi ou un objet, le rendant vulnérable à des attaques magiques basées sur la lumière lunaire.
Capacité ultime (une au choix) :
• L’Ombre de la Lune : Le mage crée une brume nocturne qui englobe tout autour de lui, plongeant les ennemis dans une obscurité totale où leurs sens sont brouillés et leur perception du temps altérée, les rendant vulnérables à des attaques mystiques. • L’Avatar de la Lune : Le mage se transforme en une silhouette éthérée, flottant dans l’air, baigné d’une lumière lunaire d’une beauté glaciale, il devient intouchable et manipule les ombres pour qu'elles attaquent les alentours.
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lours-file-a-telie · 1 year ago
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maneki-art · 3 months ago
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Swing Macabre : Les Trois Grâces
Alors…
Bon… Pour commencer, je les appelle les Trois Grâces, mais elles (oui, ELLES) n’ont rien à voir avec la mythologie.
Pour être entièrement exacte, elles ont été inspirées par le Dit des Trois Morts et des Trois Vifs.
Pour simplifier ceux qui ne connaissent pas le Dit etc etc, en gros, imaginez rencontrer trois squelettes et/ou cadavres qui vous disent : Tel que tu, tel je fus / Et tu seras tel que je suis.
Oui, ça fait un choc.
En gros, elles sont les Memento Mori de Madeleine. Elles sont là pour lui rappeler de vivre le moment présent.
Elles ont aussi des éléments des Vanités de la Renaissance, avec le miroir, la pomme d’or/les bijoux et le peigne, pour signifier que la beauté, la richesse et la jeunesse sont temporaires mais plus ça va, plus j’ai envie de dire que dans leur cas, ce n’est pas une leçon de morale et de piété, mais plutôt l’injonction d’en profiter.
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The Three Graces
Sooooo…
Ok, for a start, I call them the Three Graces, but these lasses (yes, LASSES) have nothing to do with mythology.
More precisely, they were inspired by a medieval French poem: Le Dit Des Trois Morts et Des Trois Vifs (The Tale of the Three Living and the Three Dead).
So, there is no Wikipedia page about it, but basically it was a Medieval poem which later became a theme in Medieval art. Three young men are hunting, and suddenly faces three dead in gradual state of decomposition who get out of their tombs. The livings are, rightfully, freaking out, and the dead basically told them to live a better (read: more Christian) life and prepare for their upcoming death because: As you are, we were, as we are, you will be.
 Yup, they are positively sunny, aren’t they?
Grosso modo, the Graces are Madeleine’s Memento Mori. They are here to remind her to live in the moment.
They also have elements from Vanitas, with the mirror, le gold apple/jewels and the comb, which means beauty, riches and youthfulness are temporary, but the more I think about it, the more I understand that, coming from the girls, it is not a moral or piety lesson, but an injunction to enjoy her life.
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lounesdarbois · 2 months ago
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La cantine
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Dieu que j'ai aimé la cantine.
Les nourritures roboratives des cantines nous enseignent que nous faisons peu les difficiles quand nous avons faim, et que nous faisons les ingrats une fois rassasiés. Et au souvenir de la fête que c'était, enfant, les jours de cordon bleu, de steak haché, de bourguignon et de petit salé, nous regrettons cette douce prise en charge. La cantine était l'un des trésors d'une routine qui semblait devoir durer toujours pour des enfants heureux à la seule odeur de la sauce brune, dans le vacarme du couloir de la file d'attente. Un esprit rassurant habitait les lieux hospitaliers de notre enfance. Le carrelage du sol, la glissière des plateaux-repas, la fumée des chauffe-plats, la foule nombreuse, l'institution d'un jour des frites, formaient un monde compréhensif et chaleureux.
J'allais deux fois, trois fois, chercher du supplément de cordon bleu, de yaourt à l'ananas, et des tranches de baguette "bien cuite", au point de finir seul à table, longtemps après le départ des camarades partis jouer au football. La paix revenue dans la grande salle posait la respiration. L'avenir serait meilleur. Nous portions des Nike Air et disions des gros mots, mais c'était temporaire. Tintement des couverts en arrière-plan plan. Grondement tranquille de quelque soufflerie, bruit apaisant. Je restais longtemps après la fin de ces services, parfois jusqu'à la sonnerie de fin de récréation tandis que les "dames de la cantine" s'étonnaient de trouver encore un élève à table. Je n'irai pas jouer, le monde est décevant, il fait meilleur dans la proximité des grandes personnes qui sont là pour nous. J'allais encore chercher du supplément. Tout revenait dans l'ordre. C'était la vie stable et la paix, peut-être un aperçu d'éternité bienheureuse. Tintement de couverts encore. Travailleurs en cuisine qui s'apostrophent en rangeant des chariots. La paix loin des engrenages du monde. Mes grands-parents, à Paris, là-bas, l'ordre de leur maison. Un refuge possible. La France tenue par des gens de France, souriants et âgés. Une organisation du monde qui venait de loin et se donnait à moi pourtant, à demi-étranger, un ordre qui me donnait hospitalité, amour, avenir. J'ai immensément aimé ces fins des services de cantine. Moments d'alternative inventés, gagnés sur l'engrenage obligatoire, moments de récollection, de récapitulation, moments de retrouvailles avec le temps lent de mon pays. La cour de récré c'était les jeux stupides, les prochaines boums, les tiraillements sans répit de la réputation et de la sentimentalité qui vous hameçonnent et vous enlèvent à vous même. Rester longtemps à la cantine c'était être rendu à soi-même dans la joie contenue, sans commentaire, sans éclat, dans un cadre, un tout petit cadre, qui délimite une paix totale.
Beaucoup plus tard je n'ai plus aimé que la vie variée, les "excitantes opportunités" pour "profiter de la vie" et "s'éclater comme des malades" dans des nouveautés étonnantes et toujours renouvellées, qui vous mettent la tête à l'envers. Il fallait pour que la vie ait du sel, pour repousser le démon qui vous accuse d'être un raté, accumuler en une seule journée un maximum de musts, que ces musts deviennent un flux continu, abondant, et sûr, qui vous remplisse et vous fasse passer par-dessus la vie.
Il fallait en une seule journée avoir gagné de l'argent, avoir été beau, avoir été bien habillé, avoir affermi son avenir professionnel, avoir serré une petite et s'en être réservé une autre pour plus tard, avoir été drôle, avoir été profond, avoir été guerrier de la survie immédiate dans un tête à tête avec l'existence tout en ayant accepté avec dégagement un salaire, l'amour d'une famille, d'un pays, d'un Dieu charitable, et goûté cette stabilité.
Il fallait en une seule heure avoir capté au réveil une musique nouvelle et opportune qui avait éteint vos doutes et façonné votre optimum d'état d'esprit, puis s'être douché en étrennant un fabuleux gel douche dérobé la veille dans un magasin de luxe, puis avoir passé vos vêtements favoris tout en honorant simultanément un rendez-vous téléphonique pris de longue date qui allait permettre un déblocage administratif auquel on ne croyait plus, être sorti et avoir marché face au soleil tout juste revenu et croisé au moins un regard de jolie passante, être monté dans le métro à la seconde exacte où les portes fermaient, et s'en être allé ainsi vers la foule des opportunités de l'heure suivante, de la journée suivante, des années suivantes sous l'égide d'une présence protectrice et bienveillante.
Au retour de certaines nuits passées dehors à courir les filles je prenais conscience dans des moments d'illumination profonde, que jouir vraiment de la vie supposait de se contenir totalement et tout le temps. J'allais ces nuits là au bout de moi-même, au bout de mes finances, au bout de mon temps libre, au bout de ma peur de l'autre pour oser l'aborder et réussir à la convaincre, j'osais aller chercher cette vie qui ne venait pas à moi et j'assumais de la prendre avec méthode et passion exactement comme on prend une fille. Je touchais au centre de l'existence, à ce pourquoi j'avais jusqu'ici vécu sans avoir osé y aller. Aussitôt, tout devenait paradoxe. Les hommes etaient malheureux disaient Pascal, de ne pouvoir rester en leur chambre ? Eh bien tout le malheur des hommes je le voyais était de vouloir jouir de la vie, de vouloir s'abîmer, s'évader, s'oublier. La musculation, l'éducation, le gain d'argent, les belles possessions matérielles, les appuis mondains étaient des potentiels laborieusement amassés, mais ils étaient comme de l'huile dans des outres fatiguées de les contenir et qui ne demandaient qu'à crever, qu'à se répandre, qu'à purger leur trop-plein. Il faudrait ne jamais vouloir se soulager et ne jamais se fatiguer d'amasser, toute la vraie joie est là. À quels tourments nous condamnent, je le voyais, la recherche hédoniste ! À cet homme moderne et maudit qui se gaspille lui-même parce qu'il est seul, habité d'un monde de désir et assiégé d'un monde d'impossibilités. Telle est la cruelle condition des hommes, voilà ce que je comprenais. En-dedans, un besoin total, et en-dehors, une indifférence totale. J'ai beaucoup aimé les auteurs qui ont su exprimer ce moment précis, ce lieu précis de l'existence, ce vrai tête à tête avec les choses, un face à face musculaire, intellectuel, instinctif, spirituel, financier, judiciaire, total, qui engage avec frayeur et ivresse la totalité de votre être qui veut de toutes ses forces faire naître un nouveau monde. Herman Hesse, Dostoievski, London, Morand, Céline. Et plus près de nous, Soral et Cysia Zykie. Alors vous sentez que vous n'êtes pas de taille, que vous êtes faible et fanfaron ou tout du moins, que vous pourrez tenir mais temporairement, qu'il faudra très vite un support, "un lieu où reposer sa tête", une grâce, une aide externe, une réponse à vos tentatives comme une bouée de sauvetage à un naufragé haletant qui s'épuise et s'affole.
J'ai longtemps fait le fou pour sortir de la condition de perdant immobile que nous promettait cette affreuse ville de Grenoble, entre les gauchistes, les fonctionnaires, les étudiants ESC et les racailles. Il a fallu, du moins le croyais-je, il a fallu trouver une bande de fous et de déclassés comme moi, et lancer la machine. Resquiller, voler, cambrioler, siphonner, camper, cogner, attraper, crier, saccager, courir pour sa vie. Plus tard ce fut le Vietnam, Hongkong, Paris, tenter sa chance, forcer la chance. L'argent, la bourgeoisie retrouvée, re-perdue, regagnée, les vestes en cuir et les baskets Dior Homme ancien modèle, les filles qui ont la mèche sur le front et le collant qui s'arrête à la cheville. Planer au-dessus du marécage où s'enfonce le monde impie des indifférents, et parfois se débattre dedans, avec horreur, larmes et rage.
Eh bien je préférais la cantine.
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lordk022 · 20 days ago
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The guard and the Jedi, chapter 3 : Protection.
Synopsis : Le chancelier suprême Palpatine demande à la princesse Padmé Amidala de quitter sa planète pour séjourner « temporairement » sur Coruscant. Padmé n'est pas heureuse de cette nouvelle, mais étant son garde rapproché, tu dois toi aussi séjourner sur Coruscant, et tu n'as qu'une pensée revoir Anakin !
Avertissement : Contenu +18, relation sexuel, personnage x male reader, Anakin Dom, relation entre hommes, cochonnerie, propos grossier.
Le vaisseau de la princesse Amidala se posa, cette dernière fut acceuillie par une Cinquantaine de clones diriger par le commandant Cody. Ta mission était simple, escorter Padmé jusqu'au bureau du chancelier et attendre son retour dans le grand couloir, mais tu ne pouvais t'empêcher de penser à ton amant, Anakin ! Il devait être impatient lui aussi, passera-t-il plus de temps avec moi ou avec Padmé... Tu devais l'avouer, tu étais jaloux de Padmé et inquiet pour t'as relation avec Anakin. Soudain le bruit des bottes cessa, vous étiez arrivé devant la porte du bureau, toi et les autres gardes attendait dans le couloir, le regard fixe, tous dos au mur. Le chancelier ouvrit la porte et fit entrer Padmé. Au bout de presque une heure, la princesse ressortit, elle fit signe au garde le plus gradé de la suivre.
« Rejoigniez vos chambres, couloir des invité ! »
Dit le garde en question qui était aussi ton supérieur. Alors que tu commençait à partir, une petite voix, t'interpella.
« Garde ! »
Tu fut surpris de voir qu'il s'agissait du chancelier suprême !
« Oui, chancelier. »
« Quel est votre nom ? »
« Y/N, chancelier. Puis-je vous être utile ? »
Tu le questionna, te demandant ce qu'il te voulait. Et soudain tu fût inquiet.
« Oui, rendez vous à la salle d'entraînement jedi. »
« Bien sûr, chancelier, mais... pourquoi ? Si je puis me permettre. »
Palpatine fit un grand sourire, tout en s'éloignant vers son bureau.
« Vous devez le savoir, garde, rendez vous à la salle d'entraînement, inutile que des oreilles trop curieuse nous entende dans ce couloir. »
Une boule se forma dans votre ventre Comment peut-il être au courant ? A-t-il des espions sur Naboo ? Mais non bien sûr... Aanakin, il m'en avais parler, mais sont-il vraiment aussi proche ? Putain Anakin a quoi tu joue !
Tu sortit du couloir angoissé, c'est sûr, Anakin lui a tout raconté, une fois sur Naboo il t'avais dit qu'il était comme son père une fois. Tu essayais de chasser ces pensées de ton esprit, tandis que tu arrivais devant la porte de la salle d'entraînement. Le garde te laissa entrer, et une fois à l'intérieur tu vis une belle pièces en forme de demi cercle, les rayons du soleil illuminer la pièce. Tu entendit des éclats de voix, et des sabres laser s'entrechoquait, il était là ! En face de toi, sur le balcon s'entraînant avec Obi-Wan Kenobi.
Tu resta en retrait pour ne pas les interrompre, ou plutôt, tu l'admirait. Il était resplendissant. Anakin était très fort, il désarma Obi-Wan. Tu as eu envie de l'applaudir, mais tu devais rester discret. Il remarqua t'as présence.
« Maître, je vais vous laissez, je suis épuisé. »
« Très bien Anakin, ont reprend demain. »
Obi-Wan semblait perplexe ne s'attendant pas à êtres aussi vite délaissé, et tu vis Anakin s'approchait de toi te chuchotant à l'oreille.
« Suis moi discrètement, ne t'arrête pas. »
Tu le suivi, maintenant une certaine distance pour ne pas attirer l'attention, puis tous les deux vous atteignez la chambre d'Anakin.
Anakin ferma la porte, et se jeta sur toi, t'embrassant sauvagement.
« Je t'ai manqué Ani ? »
« Oh oui, mais ne t'en fais pas, nous allons rattraper le temps perdu ! »
Anakin te poussa sur son lit pour te mettre en position assise.
« Tu es dur, Y/N »
« Oui ! »
Il roula des yeux, son regard sérieux et sexy se posa sur toi, le même regard qu'il t'avais lancé pour te dragué, ce regard tu le connaissez bien ! Il te faisait fondre, c'était le signe que Anakin n'avait qu'une envie : te baisé jusqu'à ce que tu cri son nom, renforcer l'addiction que tu as pour lui !
« Tu ne t'ai pas branler, tout seul sur Naboo, n'est-ce pas Y/N ? »
Tu rougis, baissant le regard sur le sol.
« Une fois, j'avais trop envie de toi ! Désolé Ani... »
Anakin claqua la langue.
« Cela ne fait pas partit de nos accords Y/N ! Il n'y a que moi qui est le droit de te branler, de te toucher, ce corps m'appartiens maintenant. »
Il s'approcha de toi, prit ton pantalon et le baissa rapidement avec ton caleçon.
« Hmm, t'as bite est tellement dur. »
Il caressa le bout, puis effleura t'es couilles mais sans te branler.
« Ani fais le ! J'en peux plus ! »
« Je le ferais, si tu formule mieux t'as demande envers moi ! »
Il croisa se mains derrière le dos, un sourire sadique se dessinant sur son visage, il attendait et ne voulait pas être déçus.
«  Je suis t'as salope, Ani, branle ma bite ! S'il te plaît ! Je regrette de mettre touché sans toi et sans ton autorisation, Fais le ! »
Il se mit à rire, puis prit t'as bite dans sa main pour la branlait durement.
« Bon garçon, je vais te soulagé. »
Il continu, et il te branle tellement fort que tu es sûr qu'il veux que tu jouisse rapidement ! Il te regarde fixement, il admire ton corps, l'effet puissant qu'il à sur toi. Tu fini par jouir dans sa main.
« Bien, maintenant je suis très dur moi aussi, sors ma bite, et suce là avec amour, comme si tu suçait le bonbon le plus délicieux de la galaxie ! »
Il baissa son pantalon.
« Ani t'as bite EST le bonbon le plus délicieux de la galaxie ! »
tu commençait à le sucer.
« Quelle salope ! J'aime tellement ça ! »
Il finit par jouir, vous remettez vos vêtements mais à ton plus grand étonnement, il t'invite à rester quelques heure dans sa chambre tu fini par t'endormir à ces côtés laissant t'es préoccupations de côtés.
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equipe · 6 months ago
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