#surmonter la crise
Explore tagged Tumblr posts
Text
Crise de la quarantaine : Baisse de testostérone ou mauvaise routine ?
Crise de la quarantaine : Baisse de testostérone ou mauvaise routine ?
Tu savais qu’en moyenne 26 % des hommes américains vivaient une crise de la quarantaine ? C’est certainement pareil en France, et bien que ces chiffres soient plutôt optimistes, il existe des changements que tu peux percevoir concrètement autour de cette décennie. Fatigue, baisse de la testostérone, baisse de libido, prise de poids, anxiété… Nous allons voir ce qu’il en est. Avant de commencer,…
#baisse de libido#bien vieillir homme#crise de la quarantaine#crise existentielle homme#énergie masculine#équilibre hormonal#éviter la crise de la quarantaine#fatigue homme 40 ans#homme en forme 40 ans#hormones et vieillissement#hormones masculines#lifestyle homme 40 ans#motivation après 40 ans#musculation 40 ans#optimiser sa testostérone#perte d’énergie#perte de désir#prise de poids quarantaine#Psychologie masculine#reprise en main homme#retrouver sa vitalité#routine et énergie#routine toxique#santé masculine 40 ans#solutions testostérone basse#surmonter la crise#testostérone basse#testostérone et âge#testostérone et musculation#virilité après 40 ans
0 notes
Text
Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien �� faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
8 notes
·
View notes
Text
En fait c'est génial de se dire que maintenant, quoi qu'il arrive, je sais que je serai assez forte pour le surmonter. Avant, à la moindre difficulté, je remettais toute ma vie en question et tout menait à la même conclusion : le suicide. C'est teeeellement gratifiant de sentir ce changement en soi, de se sentir forte, plus stable. Je me remercie de ne pas avoir abandonné, de m'être battue coûte que coûte. Je ne pensais jamais pouvoir ressentir cette force intérieure, cette confiance en soi et en la vie.
Cette dernière année, peu importe à quel point j'ai pu souffrir, je n'ai plus jamais pensé à mettre fin à mes jours.
Quand ça s'est fini avec le Dieu Grec, ça a été très très difficile au début mais je suis passée à autre chose après quelques jours. Même chose lors de ma rupture amicale avec ma meilleure pote. Même chose quand on s'est quittés pendant 2 jours avec le musicien. À la fin du 2ème jour, je commençais déjà à accepter. J'ai plus le temps de souffrir en fait. Oui, je m'autorise à tout ressentir à fond pendant quelques jours puis naturellement j'arrive à passer à autre chose. Parce que j'ai assez donné, si les gens ne me veulent pas dans leur vie alors basta.
Et mon hypersensibilité? Avant, je me détestais pour ça. Parce que j'ai conscience que je n'ai pas eu un vécu très difficile. J'ai souvent culpabilisé d'être mal alors que d'autres (sur)vivent avec un passé atroce. J'ai toujours eu énormémeeent de mal avec cette hypersensibilité. Je ne comprenais pas pourquoi elle était là. Pourquoi j'étais comme ça. Tout le monde se demandait aussi pourquoi j'étais comme ça d'ailleurs. Ce qui n'aidait absolument pas. Mais maintenant que je ressens cette force intérieure, je commence enfin à accepter et à vraiment apprécier cette part de moi. Je sais qu'elle n'est pas banale. Je sais que c'est ce qui me rend authentique. Je commence enfin à comprendre ce que je vaux. Je commence enfin à oser poser mes limites. Je sens que je commence enfin à comprendre qui je veux être. (Alors que les crises identitaires c'est vraiment le sujet qui est le plus revenu sur ce compte mdr).
Je ne me remercierai jamais assez de faire aussi attention à ma santé mentale.
(06/01/2024)
16 notes
·
View notes
Text
Quelques trucs bien. Mai 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/24ecee9dd44550f83d1ab37b92e4798f/2cf6345de35ebeaf-15/s540x810/654c4c6979260d8f561206b7af605bd7b075c7c7.jpg)
Recevoir des compliments sur notre travail d’équipe et l’accueil dans le service
Fêter les mamans sur trois générations. Échanger des plantes fleuries à entretenir comme l’amour
Être présente pour valoriser l’établissement
Recevoir un message de réconfort et de soutien d’une collègue suite à une crise
Préparer le premier barbecue de la saison dans le jardin. Inviter les amis
Jardiner en famille et planter dans le potager
Bricoler en famille et améliorer la pergola d’une toile d’ombrage
Organiser l’anniversaire de mon fils : 24 ans déjà !
Aller aux bébés nageurs avec ma fille et mon petit Mateo. Être éclaboussés de bonheur
Superviser le sauvetage d’un oisillon mésange, tout juste sorti du nid et déjà guetté par la minette. Laisser du temps aux petites ailes fatiguées
Recueillir la confidence d’une collègue. Me sentir honorée de sa confiance
Surligner ma lecture au stabilo rose. Prendre des notes « En cas d’amour »
Mettre short et tongs pour la première fois cette année. Enfin !
Passer une vraie journée détente : repas en terrasse, spa et massage. Exceptionnel et délicieux ! Et cadeau de mes enfants !
Passer une journée en montagne avec ma fille et sa famille. Passer d’une saison à l’autre en quelques heures. Surmonter le mal d’altitude pour admirer le parc des animaux sauvages : bisons, cerfs, chevaux et sangliers, et le reste de la faune dans cet espace protégé
Passer une journée en Italie avec ma sœur et ma fille. Faire le plein de soleil et de rire
Écouter ma nièce lire sa production d’atelier d’écriture détournant les contes classiques. Me souvenir de mes propres textes détournés. Conclure par « je me suis bien amusée » et l’encourager à continuer
Boire un verre de vin blanc en regardant le coucher de soleil du lundi de la reprise, comme pour prolonger le temps de vacances
Répondre positivement à une invitation à déjeuner. Prévoir d’apporter une bouteille de vin blanc
Planter et rempoter sur la terrasse avec mon fils. Arroser en attendant la pluie (pour une fois) qui favorisera l’enracinement
Accueillir un nid de mésanges sous l’évacuation de ma terrasse. Les savoir là du regard sur leurs allers et venues, et de l’écoute de leurs pépiements
Passer du temps avec mon petit Mateo. M’émerveiller et m’émouvoir de son développement. L’encourager des deux mains
Aller à la jardinerie pour fleurir ma terrasse de rose et de bleu
Passer une journée pluvieuse sous la couette. Attendre le retour du soleil
12 notes
·
View notes
Text
TW : vent, 🇨🇭
Parfois, je me sens tellement mal que je commence à détester tout les gens que j'aime
Si seulement nos ami.es n'étaient pas aussi instable, si seulement on avait pas deux partenaires, si seulement nos petits frères n'existaient pas, si seulement notre mère n'était pas negligeante
C'est un cercle vicieux, on se s'attache à de nouvelles personnes, et on a de plus en plus de contraintes qui nous empêchent de mourir
Quand j'ai juste envie de crever et que je réalise que je peux pas me permettre de traumatisé encore plus mes proches-
Honnêtement, dans les moments les plus sombres, la seule personne qui nous retient c'est notre plus jeune petit frère, bien sûr on adore notre autre frère, mais dans c'est moment là on se dit qu'il est assez bien entouré et heureux pour surmonter notre mort
Alors que L.. déjà on est probablement sa figure parentale vu la période ou il est né et ce qui se passait à ce moment la dans notre famille
Les fois où on s'apprête à en finir, des images de son visage nous apparaissent, on l'imagine à notre enterrement, on l'imagine seul, dans son lit
Si on fait ça, il ne tiendra pas, si on fait ça il ne remontera jamais
Autant certaines personnes- que sa soit sur le moment ou en général on s'en fout un peu tbh- (ouai c'est cruel, mais quand t'es en crise paranoïaque ou maniaque tes rarement très cohérent)
Autant lui, peu importe notre état, on se refuse de lui infliger ça
Si un jour on se tue, c'est que L sera finalement assez heureux et assez bien entouré pour que notre mort soit plus surmontable, parfois j'en viens a espérer qu'il est des enfants juste pour que malgré notre mort on est une semi assurance qu'il ne tombera pas avec nous
Quand je pense à ce genre de chose, je me sens encore plus merdique qu'en temps normal
Au début de notre vie, je pensais qu'on était des monstres pour espérer ce genre de choses
Mais plus on avance dans notre vie, dans notre vie d'adulte surtout
Plus je me rends compte qu'en fait chaque être humain est pourri et qu'on est tous.tes de putain d'égocentrique sans compassion
J'ai juste envie de mourir
2 notes
·
View notes
Text
Des nouvelles de l'écriture
Un "petit" mois ! 27 571 mots. Pour la majorité, ça a été la fin de la deuxième partie des Voies \o/ En fonction de mon degré d'impulsivité, il est possible que je commence la mise en ligne vendredi... Mais ce serait plus raisonnable d'attendre encore un peu.
J'ai fini aussi le one-shot Obikin bête ! Il fait 8 500 mots. C'est peut-être lui que je vais poster vendredi prochain, il est corrigé et tout. Je pensais le garder pour mon anniversaire mi juillet, à la base, mais @trinitrine m'a plus ou moins défiée d'écrire du mpreg et ça m'amuserait, je crois, de faire ma crise de la quarantaine en cochant ce trope-là :D (j'ai une idée et quelques centaines de mots, ce serait court, mais après il faut que je surmonte mon sentiment d'embarras idiot. D'un autre côté j'ai réussi avec l'omégaverse, y'a pas de raison !)
J'ai repris ma seconde Hanahaki Genshin, et j'aimerais réussir à la finir cette semaine, dans l'idée de la publier pour mon anniversaire elle aussi ✨
Enfin, j'ai pris des notes et écrit quelques scène des Voies 3... J'avais dit qu'il y avait une troisième partie ? 😬 C'est juste un bonus, un "dix ans après" pour discuter de l'avenir des jumeaux, et dans des proportions bien plus raisonnables.
Si vous êtes toujours là, un petit bout de la fic bête, pour avoir une idée du sujet :
[Anakin] n’était pas affamé, alors il décida de fouiller dans la bibliothèque de Padmé à la recherche d’une distraction. Elle cachait toujours des hololivres d’aventures entre deux codes juridiques. Un instinct inattendu lui fit fouiller l’étagère du bas ; en d’autres circonstances il aurait cru à un encouragement de la Force, mais en quoi son choix de lecture récréative méritait une telle attention ? Pourtant, il fut surpris lorsqu’il commença à sortir l’holoroman et qu'il tomba sur Obi-Wan. Ou plutôt : la tête d’Obi-Wan en couverture. Curieux de savoir de quel genre d’ouvrage il pouvait bien s’agir (une biographie non autorisée ? Un ouvrage d’étude sur les Jedi ?), il le sortit complètement.
La première chose qui l’interpella fut que ce n’était pas tout à fait Obi-Wan. On avait effacé le grain de beauté sur son front et celui ornant sa pommette droite. Ses taches de rousseur étaient plus prononcées, la forme de sa bouche légèrement différente. Pourtant on ne doutait pas qu’il s’agissait de lui, malgré le bleu uniforme imposé par le format hololivre.
La seconde chose qui l’interpella fut sa tête à lui. Là encore, il y avait eu un vague effort pour changer les choses, il portait une barbe de trois jours et sa cicatrice balafrait ses lèvres plutôt que son arcade sourcilière.
Tous deux étaient dos à dos et faisaient une tête de six pieds de long, « Anakin » regardant le lecteur comme s’il était à deux doigts de le tuer, « Obi-Wan » la tête levée vers le ciel d’un air tragique. Au-dessus d’eux, un Aethersprite Delta-7B bizarrement moins détaillé que les taches de rousseur de pseudo-Obi-Wan ; entre eux, deux silhouettes les représentant, en plein duel. Les poignées des sabres étaient, elles, aussi excessivement détaillées que lesdites taches de rousseur. Dans l’ensemble, il y avait tout juste assez de changements pour sauver l’artiste en cas de procès. Si le juge était très biaisé en faveur de l’artiste.
Le titre ? L’Éveil de la Destinée, premier tome de la série Cœurs de Kyber, par Der'pink'es Shaguikin.
Avec une curiosité morbide, Anakin tapa sur l’écran pour lire le résumé.
6 notes
·
View notes
Text
Je surmonte la crise économique et financière
June 6 2023
8 notes
·
View notes
Text
Aime toi comme tu es !!!!… Aime tes blessures… Elles révèlent ce qui compte le plus pour toi, ce que le plus profond de ton âme recherche et ce que tu es venu guérir dans la communauté. C’est pour cela que nous choisissons de nous incarner dans les familles et situations dans lesquelles nous sommes, pour que nous puissions faire l’expérience de cette souffrance, nous l’approprier et la surmonter pour le bien de tous. Aime tes soi-disant défauts… Ils sont les bijoux spirituels qui pavent ton voyage et révèlent où abandonner le monde physique pour embrasser pleinement le monde spirituel. Ils te connectent au voyage le plus profond de l’âme – sagesse, maturité, profondeur et transcendance. Nous sommes programmés pour les voir comme des défauts, alors qu’ils sont des initiations aux mystères les plus profonds. Aime tes dysfonctionnements et tout ce qui cause la perte de tes amis, succès et te jette dans les leçons de la vie… Ils t’aident à trouver l’humour, la sagesse, la libération et ton enfant intérieur, et te détachent de ce que les autres pensent pour te permettre de trouver l’amour de toi-même et t’élever au dessus du jugement des autres. Aime ta douleur… Elle enseigne le pardon, la tolérance, la patience et donne l’humilité nécessaire pour nous unir dans une conscience plus élevée et dans l’intégrité. Elle nous montre notre pouvoir de guérison, comment nous transformer et être vrai avec qui nous sommes et ce que nous avons besoin de partager et exprimer. Aime tes failles… Elles font partie de ton génie et des aspects les plus élevés de ton être qui ont tout simplement été muselés ou abandonnés. Elles nous montrent nos dons et notre créativité, et nous aident à lâcher prise, prendre des risques et être bien dans notre peau avec nos propres frontières et standards. Aime ton Ego/identité quand il est en crise… Laisse le être la boussole qui t’indique ton Toi le plus élevé, afin que toutes actions, mots, décisions et attitudes reflètent la nature de ton empreinte divine. Il te montre comment retirer les masques, les programmes et les anciens schémas. Il enseigne comment utiliser abondamment de ton libre-arbitre et te rappelle comment être authentique, puissant, influent et exemplaire. Aime et honore toutes ces choses en toi et chez les autres, et demande toi où elles peuvent te mener et ce qu’elles signifient vraiment au lieu de comment elles te font paraître. Quand on voit la Vérité, on voit la perfection dans toutes choses et nous savons comment retrouver le chemin de la maison…
2 notes
·
View notes
Text
"Celui qui, dans la « petite guerre sainte », a su vivre une « grande guerre sainte », celui-là a créé en soi une force qui le rend capable de surmonter la crise de la mort. Mais même sans avoir été tué physiquement, il peut, par l’ascèse de l’action et du combat, expérimenter la mort, il peut avoir vécu et réalisé intérieurement une « plus-que-vie ». Sous l’angle ésotérique, « Paradis », « Royaume des Cieux » et d’autres expressions analogues ne sont, en effet, que des symboles et des figurations, forgées pour le peuple, d’états transcendants d’illumination, qui relèvent, eux, d’un plan plus élevé que la vie ou la mort."
— Julius Evola, La Doctrine aryenne de Lutte et de la Victoire (7 décembre 1940)
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/9d10be077184fd4002880c1519fae622/b954a19cf0ad50a3-6f/s540x810/0dc04fa62dc5a345b76e500227a6bfc8c32c1947.jpg)
1 note
·
View note
Text
Crise nationale : les Églises catholique et protestante unissent leurs voix pour une issue consensuelle
Dans un contexte sociopolitique tendu, l’Église catholique et l’Église du Christ au Congo (ECC) appellent à l’unité et à la recherche de solutions concertées pour surmonter les défis qui menacent la stabilité du pays. Face à l’incertitude et aux tensions, ces deux institutions influentes du paysage religieux congolais ont pris la parole pour rappeler leur engagement en faveur d’un dialogue…
0 notes
Text
Libérez-vous du stress et de l'anxiété : Guide pratique pour une vie calme et épanouie
Dans ce monde où le rythme s'accélère et les défis se multiplient, le stress et l'anxiété sont devenus le lot quotidien de nombreuses personnes. S'ils ne sont pas gérés, ils peuvent avoir des conséquences néfastes sur notre santé physique et mentale, notre bien-être émotionnel et nos relations.
« Libérez-vous du stress et de l'anxiété » est un guide complet et accessible qui vous offre des outils concrets pour comprendre les mécanismes du stress et de l'anxiété, identifier leurs causes profondes et mettre en place des stratégies personnalisées pour les surmonter durablement.
Dans cet ebook, vous découvrirez :
* Les bases du stress et de l'anxiété: Comment ils se manifestent, leurs impacts sur votre corps et votre esprit, et les différents types de troubles anxieux.
* Des techniques de relaxation éprouvées: La respiration profonde, la méditation de pleine conscience, la relaxation musculaire progressive et d'autres méthodes pour calmer votre esprit et votre corps en quelques minutes.
* Des stratégies de gestion du stress au quotidien: Comment identifier vos facteurs de stress, modifier vos pensées négatives, gérer votre temps efficacement et développer votre résilience émotionnelle.
* Des conseils pour améliorer votre hygiène de vie: L'importance d'une alimentation équilibrée, d'un sommeil réparateur, de l'exercice physique et de la connexion avec la nature pour réduire le stress et l'anxiété.
* Des outils pour faire face aux crises d'angoisse: Des techniques de respiration, des exercices de relaxation rapide et des astuces pour gérer les symptômes physiques et émotionnels.
* Des ressources supplémentaires: Des livres, des applications, des sites web et des professionnels de la santé mentale pour vous accompagner sur votre chemin vers la guérison.
Que vous soyez novice en matière de gestion du stress ou que vous ayez déjà exploré différentes approches, cet ebook vous apportera des informations précieuses, des exercices pratiques et des conseils inspirants pour vous aider à :
* Comprendre et accepter vos émotions.
* Développer votre confiance en vous et votre estime de soi.
* Apprendre à vivre dans le moment présent.
* Créer des relations saines et épanouissantes.
* Retrouver un équilibre de vie harmonieux.
N'attendez plus pour vous libérer du stress et de l'anxiété !
Téléchargez dès maintenant « Libérez-vous du stress et de l'anxiété » et commencez votre voyage vers une vie plus calme, sereine et épanouie.
https://payhip.com/b/2b3Vp
1 note
·
View note
Text
J'avais juste envie d'écrire v2
Je sais même pas par quoi commencer.
Il y a des moments ou je pense sincèrement toucher le fond, je suis même pas forcément triste actuellement, je ressens même pas de chagrin ou quoi que ce soit.
Il y a tellement de choses qui me sont impossible de réaliser, des choses toutes bêtes de la vie, des banalités.
J'aimerais pouvoir reprendre un travail, cesser de faire des crises d'angoisse et repartir en crise dès que je pense à mon père au travail. De pouvoir économiser chaque mois, mettre un petit peu de côté pour financer mon code/permis.
J'aimerais pouvoir payer mes propres biens, du liquide de clope jusqu'au bières au bar avec les potes.
De pouvoir retrouver une vie saine, de trouver un lieu ou je me sentirais comme chez moi.
De pouvoir inviter des amis à venir faire une soirée dans mon appart, de réparer leurs dégâts quand ils seront trop bourrés.
De pouvoir apprécier davantage mes sorties en ville, de payer des gâteaux que j'aime, de boire de la Rebdull par exemple.
Des choses vraiment banales de la vie de tout les jours.
J'ai tellement de projets, je suis quelqu'un de super ambitieux, j'ai toujours de nouvelles idées, de choses que je veux mettre en place, de réussir là ou je veux exceller. Je veux vivre ma vie en étant heureux et fier de ma lever chaque matin quand je visualiserais par quoi je suis passé, d'avoir réussi à surmonter mes craintes et mes peurs.
Je rêve de cette vie là, et je sais qu'elle n'est pas si loin, il faut juste que je me stabilise médicalement parlant, et je serais à nouveau ce petit gars gentil et un peu idiot, content d'aller faire un taff passager qui lui plaît pas forcément, mais qui est quand même heureux de se faire 70€ la journée.
De pouvoir à nouveau offrir en retour, ce que mes amis m'offrent depuis maintenant une bonne paire de mois. De pouvoir leurs exprimer ma gratitude, de pouvoir leurs dire, regardait les copains, c'est grâce à vous, merci !
De pouvoir leurs montrer la meilleure version de moi-même, juste moi.
Laissez moi redevenir un petit gars légèrement idiot qui est content d'être en vie avec une bonne poignée de rêve à réaliser.
0 notes
Text
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/101e7a82cb9bb394f5db44b80e258e84/6bf3cb182091e6bf-1d/s640x960/d8472ae9295c93171adee19985ef5ca5a42e1d62.jpg)
Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien à faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
9 notes
·
View notes
Text
Les entrepreneurs noirs britanniques cherchent à surmonter la crise du financement du capital-risque
Ancien Goldman Sachs La dirigeante Ayesha Ofori était convaincue que les investisseurs seraient disposés à financer le lancement de sa plateforme d’investissement, mais est ensuite arrivée le mur des refus. Certains des investisseurs en capital-risque qui ont tourné le dos à Propelle, la plateforme d’investissement financier d’Ofori axée sur les femmes, l’ont finalement rejetée, invoquant leur…
0 notes
Text
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/4da8b7b886f6b592a410fb058f417faf/f08578211cfeda87-21/s640x960/a9132126e306f2c66cf9f384cf86a06f2578c4f5.jpg)
Immunisé contre la peur - Ne paniquez pas !
Il faut plus que des techniques de survie pour survivre à une crise. Par exemple, la capacité de survivre dans un désert exige plus que les compétences nécessaires pour construire un abri, allumer un feu et purifier de l’eau. Cela demande une certaine psychologie, un état d’esprit, une volonté de vivre qui surmonte la peur et le stress associés à la crise. En fait, certaines personnes qui possédaient ces compétences sont tout de même mortes lorsqu’elles se retrouvèrent prises au piège dans un désert physique parce qu’elles n’avaient pas la volonté de vivre. Et d’autres qui manquaient de ces compétences mais avaient la volonté de vivre, ont trouvé un moyen de survivre.
Lorsque nous entrons dans une crise, nous avons souvent tendance de laisser libre cours à notre imagination : « Vais-je m’en sortir ? Pourquoi cela m’arrive-t-il ? Je ne me sens pas prêt pour cela. Dieu ne se rend-Il pas compte de ce que je traverse ? Est-Il en colère contre moi ? Me juge-t-Il ? Est-Il même réel ? ». Bien qu’il soit naturel de se poser des questions comme celles-ci, être obsédé par elles épuise notre détermination à croire en Dieu. Et puisque ces questions se rapportent à la nature même de Dieu, leurs réponses doivent être bibliquement saines.
Vous voyez, la perspective des choses est tout ce qui compte. Si vous vous trouvez dans un désert, si vous vous trouvez dans une crise physique, spirituelle ou autre, ne paniquez pas ! Prenez une grande respiration. Prenez un moment pour vous rappeler qui est Dieu, qui vous êtes en Christ, et ce que la Bible dit de Sa fidélité pendant ces moments difficiles. La peur ne fait que vous rendre vulnérable aux mensonges de l’ennemi. Il mentira sur la fidélité et l’amour de Dieu pour vous. Il mentira même sur l’existence de Dieu, ou sur la valeur que vous avez à Ses yeux. De tels mensonges sont destinés à saper votre endurance spirituelle. Mais c’est à ce moment-là que la « volonté de vivre » doit se lever – la volonté de vivre dans l’Esprit pendant que vous traversez les régions désertiques.
Pour les enfants de Dieu dans le désert, la « volonté de vivre » ne se réfère pas seulement au désir de survivre. Elle se réfère plutôt à une détermination sincère à croire en Dieu. Pendant la sècheresse spirituelle, vous devez décider – parfois malgré toutes les circonstances, les émotions et même les conseils d’amis – que Dieu est réel. Il est bon ! Il est fidèle, et vous réussirez à traverser cette phase avec Lui. Ne laissez pas l’ennemi ou les circonstances définir qui est Dieu pour vous. Refusez de vous permettre de croire autre chose que la Parole de Dieu. Prenez la décision comme David l’a fait dans un désert spirituel : « Mon cœur est affermi, ô Dieu ! Mon cœur est affermi ; je chanterai, je ferai retentir mes instruments » (Psaumes 57:8).
Une des choses les plus importantes à comprendre est que même quand il semble que tout autour de vous devient incontrôlable, si vous êtes un enfant de Dieu, il n’y a rien qui touche votre vie qui n’est pas finalement sous la supervision de Dieu. Tout dans votre vie est en quelque sorte « filtré par le Père ». Il vous aime tendrement et profondément ! Il veille sur vous, et ne permettra pas que quelque chose vous sépare de Lui.
« Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus Christ notre Seigneur » (Romains 8:38-39).
Permettez à l’amour infaillible de Dieu de chasser toutes vos peurs.
« Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l’affliction produit la persévérance, la persévérance la victoire dans l’épreuve, et cette victoire l’espérance. Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint Esprit qui nous a été donné » (Romains 5:3-5).
0 notes
Text
Haïti : 1,34 milliard de dollars nécessaires pour surmonter la crise sécuritaire
Une étude récente, le Rapport d’Évaluation rapide de l’Impact de la Crise (RCIA), estime qu’Haïti a besoin de 1,34 milliard de dollars sur les deux prochaines années pour répondre aux conséquences de la crise sécuritaire et amorcer un redressement. Réalisé entre juillet et octobre 2024, le rapport analyse les impacts de la crise entre 2021 et 2024, ciblant des zones gravement touchées comme…
0 notes