#squelette animal
Explore tagged Tumblr posts
Text
some of my orders arrived!


(i already had the doll for a few days but i forgot to show it)
i also ordered some clothes for the doll and a kasane teto keychain! all of that was on vinted :p
#age regressor#agere blog#agere#age regression#agere community#sfw agere#sfw regression#squelette animal#vinted#bjd#ball jointed doll#leekeworld mikhaila
7 notes
·
View notes
Text
Le squelette joyeux (1898)
#le squelette joyeux#the dancing skeleton#the merry skeleton#19th century#19th century movies#1898#1890s movies#louis lumière#auguste lumière#short film#silent film#danse macabre#animation#experimental#horrorgifs#gif#my gifs
339 notes
·
View notes
Text

1 note
·
View note
Text
Une maquette de papier miniature de la maison de Jack Skellington [vidéo]
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/une-maquette-de-papier-miniature-de-la-maison-de-jack-skellington-video/
Une maquette de papier miniature de la maison de Jack Skellington [vidéo]

#animation#anime#carton#epouvantail#halloween#horreur#Jack Skellington#maison#maquette#miniature#papier#squelette#Tim Burton#tour#tutoriel#vidéo#cinema#design#imxok
0 notes
Text
DAY 13: Till Death Do Us Part
The end of a crew. The end of a legend.
If you haven't seen the "Character Death" tag and you don't like when your favorite characters die, there's still time to turn around. The entire crew dies in this story, it's not a spoiler to say that. (And, the warnings will be put at the beginning of each chapter, in more or less gruesome ways.) I was looking for a poem to be the story's guideline but I couldn't find one that fit what I was looking for. And even though I don't really need it anymore, I decided to write it myself. The first real chapter will be coming tomorrow or in the next few days but in the meantime I left some clues on how each character dies if you want to decipher them. I originally wrote the poem in French and was unable to make it rhyme in English, to my great disappointment. So I left it for you in French with the translation for each line just below. Fandom : One Piece Character(s) : Mugiwara Kaizoku | Straw Hat Pirates Relationship(s) : Mugiwara Kaizoku | Straw Hat Pirates & Mugiwara Kaizoku | Straw Hat Pirates Words Count : 629 No. 13: TEAM AS A FAMILY Familial Curse | Multiple Whumpees | "Death will do us part." (Set It Off, Partner's In Crime)

À bord du navire des rêves,
(On board the ship of dreams,)
vivaient dix animaux
(lived ten animals)
Tous suivaient leur capitaine,
(All followed their captain,)
un singe avec comme couronne un chapeau.
(a monkey with a hat as a crown.)
Le tigre partit le premier,
(The tiger left first,)
protégeant jusqu’au bout ses camarades.
(protecting his comrades until the end.)
Mais son dos resta intouché,
(But his back remained untouched,)
marquant l'ultime preuve de sa bravade.
(marking the ultimate proof of his bravado.)
Le cheval solitaire fût le suivant,
(The lonely horse was next,)
son vieux squelette ne tenant plus le coup
(his old skeleton no longer holding up)
Ses amis ne le laissèrent pas seul un instant,
(His friends did not leave him alone for a moment,)
tenant sa main jusqu’à son dernier pouls.
(holding his hand until his last pulse.)
La fin commença avec celle du caméléon,
(The end began with that of the chameleon,)
son courage inspirant le monde entier
(his courage inspiring the whole world)
Même devant la Mort il ne baissa pas le front,
(Even in the face of Death he did not lower his head,)
lançant sur la mer les navires par milliers.
(launching ships by the thousands into the sea.)
L’ironie n’échappa pas au canard,
(The irony did not escape the duck,)
quand ses yeux se fermèrent de leur plein gré.
(when his eyes closed of their own accord.)
Il aurait aimé que cela arrive un peu plus tard,
(He would have liked it to happen a little later,)
sombrer dans les bras de la mer dont il avait toujours rêvé.
(to sink into the arms of the sea he had always dreamed of.)
Le taureau résista sans jamais faillir,
(The bull resisted without ever failing,)
quand se déchainèrent les sévices des enfers
(when the torments of hell were unleashed)
Il accueillit la fin avec un sourire,
(He greeted the end with a smile,)
tel était l’adage de l’homme de fer.
(such was the adage of the iron man.)
La chatte affronta sa fin sans ruser,
(The cat faced her end without guile,)
maîtrisant une dernière fois les éléments
(mastering the elements one last time)
Elle ne s’enfuit pas même si elle était effrayée,
(She did not run away even though she was frightened,)
libérant un pays entier du tourment.
(freeing an entire country from torment.)
Le petit renne choisit de rester,
(The little reindeer chose to stay,)
refusant de tourner son dos à ceux dans le besoin
(refusing to turn his back on those in need)
Face à la maladie il ne cessa d’essayer
(Faced with illness he never stopped trying)
et sa compassion causa sa fin.
(and his compassion caused his end.)
La seule grue qui avait réussi à fuir,
(The only crane that had managed to escape,)
finit par retourner à la maison
(ended up returning home)
Pour une fois elle ne pût pas courir,
(For once she could not run,)
et enfermée, elle se plia à la raison.
(and locked up, she bowed to reason.)
L’ours fût là quand personne ne pouvait plus l’être,
(The bear was there when no one could anymore,)
Guidant son capitaine jusqu’à la dernière minute
(Guiding his captain until the last minute)
Il ne laissa jamais sa peur paraître,
(He never let his fear show,)
Continuant jusqu’au bout pour lui, la lutte.
(Continuing the fight to the end for him.)
Le singe resta le dernier,
(The monkey was the last to remain,)
Seul et froid au milieu de la nuit
(Alone and cold in the middle of the night)
Quand il partit, personne n'était là pour l’en empêcher,
(When he left, no one was there to stop him,)
et il prit le soleil avec lui.
(and he took the sun with him.)
#whumptober 2024#no.13#“death will do us part”#multiple whumpees#team as family#one piece#fanfiction#original poem#character death#straw hat pirates#the straw hats being ride or die#except they die
12 notes
·
View notes
Text
A nouveaux, c’était la guerre. Comment bien dire? Il n’était pas né en Palestine, au Soudan, en Somalie… La comparaison foireuse et caricaturale le renvoyait au fait de ne rien connaître de la réalité d’une vie de misère et de souffrance réelle.
Il se détestait d’être soumis à cette douleur incapacitante, contrepartie commune d’une vie facile.
Il avait assisté de très loin et d’un oeil quiet, endormi par l’impression de sécurité que lui conféraient sa naissance en France dans les années 80 et les images télévisées, à la guerre Iran-Irak, à l’invasion du Koweit, à la guerre civile en ex-Yougoslavie - conflit qui le marqua durablement pour d’étranges raisons - et, jeune adulte, ou vieil adolescent, il vit un jour dans le petit cinéma de sa petite ville de campagne, « West Beyrouth ».
Il resta fasciné longtemps par ce film qui le confrontait à son ignorance . Quel toupet de croire qu’un film peut vous faire approcher de de près ou de loin l’expérience d’un individu, d’un peuple, d’un pays… Il se dit alors que jamais, au grand jamais, il n’avait le droit, lui, de souffrir. Lui qui était né dans une famille aimante d’instituteurs en Dordogne, en 1981.
Depuis que La Mythe se rappelait de quelque chose, (peut-être d’ailleurs que parmi ces souvenirs, certains n’étaient pas les siens: il savait qu’il avait pu choisir de s’approprier certains récits parentaux des ses très jeunes années, ou de réinterpréter de vieilles photographies, pour s’inventer un glossaire d’images dans lequel il originait la construction de son individualité qu’il pensait tout à fait singulière;)- longue digression- ses souvenirs étaient liés aux animaux. Alors oui, le lien avec les considérations des premiers paragraphes paraît ténu. Patience!
A l’insupportable et incontournable question d’adulte « qu’est ce que tu veux faire plus tard? » Sa première réponse fut: « défenseur des animaux ».
Qu’imaginait-il? Une vie dégagée des autres, du désastre des humains. S’il avait pu mieux comprendre le monde à cinq ans, il n’aurait pas répondu « défenseur des animaux ». Si on lui avait reposé la question et qu’il avait pu comprendre qu’elle n’était que le cellophane qui emballait, dans l’obsession de la norme, le désintérêt des adultes pour les enfants, il aurait répondu: « je veux être un animal sauvage, un animal lointain, qui vit à l’écart des Hommes, à tout prix, parce que sa survie en dépend, ou un arbre exotique, fragile ou non, mais d’une essence rare et inconnue, un insecte qui a su rester caché, un poisson des abysses qui n’a jamais eu encore besoin de se rapprocher de la surface.».
S’il avait eu les mots… et s’il avait maîtrisé l’ironie, il aurait dit « Policier mon con, comme tous les autres ou infirmière connasse, pour te plaire». S’il avait eu les mots, il aurait eu le loisir de ne pas les utiliser et il aurait préféré le ricanement, le cri, le rictus, le dédain, le silence.
Lui, c’était cela qu’il voulait: se propulser hors du bruit du langage qui, au fur et à mesure qu’il le comprenait de mieux en mieux, lui paraissait de plus en plus absurde. Se propulser, oui, car il entendait que rien de bien solide ne soutenait les mots. Leurs sons étaient loin de leurs sens. Leurs sens étaient sans cesse contre-dits par les situations dans lesquelles ils étaient employés. Il n’en entendait que l'usage égoïste, qui servait à l’orateur à se rassurer lui-même et à signifier à l’autre qu’il ne méritait l’articulation de cette suite de bruits que lorsqu’il acceptait d’en être l’esclave récepteur . Les mots ainsi vidés un à un évoquaient un péril profond auquel il ne pourrait échapper qu’au prix d’une lutte constante pour maintenir l’adhérence de son corps aux contours d’un monde tremblant.
Dans ce paysage d’images cornées, au milieu de cette lande défrichée, et même s’il n’était pas devenu l’animal qu’il voulait être, il ne pouvait accepter ce qu’il ressentait. Cette banalité de la souffrance amoureuse avec son corps amaigri jusqu’au squelette tant les mots des autres, comme des cuillères, l’avaient déjà creusé, cette certitude intense de perte qui obsède le rêveur le jour entier quand il ouvre l’oeil mais dont l’objet n’a pas de réalité, tout cela collait à sa chair, la malaxait, s’y mélangeait, sans qu’il puisse en accepter le nom. On n’a pas le droit de souffrir, de le dire, quand on a eu cette chance, quand on arrive à oublier la formule qui garde le monde illuminé.
2 notes
·
View notes
Text








Conception d’un « puppet » dans l’objectif de faire une animation en stop-motion. On peut voir les recherches de charadesign sur papier, le squelette en fil d’aluminium , la construction du corps en pâte fimo et enfin le résultat une fois celui-ci peint.
0 notes
Text
Lecture Overlord - Tome 1

Bonjour tout le monde, comment allez-vous ? La dark fantasy, ça vous dit ? Si oui, je vous entraîne dans un manga se passant dans un tel monde, un manga existant également en light novel et dont je parlerai peut-être plus tard. Peut-être... Je ne sais jamais sur quoi je me dirige après tout. Je vous laisse avec le résumé en tout cas ! Bonne lecture. Faites d’Ainz Ooal Gown une légende immuable. S’il existe de nombreux héros, gommez leur nom avec le mien. Faites savoir à tous qu’Ainz Ooal Gown est le plus grand des héros. Face à des êtres plus puissants que nous, employez un moyen autre que la force. Face à un magicien protégé par une armée, employez autre chose que le nombre. Nous n’en sommes encore qu’aux préparatifs, mais agissez le moment venu, dans le but de leur apprendre qu’Ainz Ooal Gown est le plus grand homme du monde. Overlord connu, principalement, grâce à son anime et dont le manga est paru en ce mois de janvier aux éditions Ototo dans la catégorie Seinen. Un manga où l’on découvre Momonga, être humain dans notre monde – comme vous et moi en soi – et mort vivant se baladant, de ce fait, sous la forme d’un squelette dans le monde d’Yggdrasil. Faisant partie d’une guilde nommée Ainz Ooal Gown et composée essentiellement d’adultes, Momonga voudra rester connecté jusqu’à la fermeture du jeu. Sauf que quelque chose d’étrange se passera… Je me doute que vous savez ce qu’il se passe, mais laissons la surprise à ceux qui n’auraient pas d’idées. De base on se dirait que ça tient encore de la saga //Hack, SAO ou Log Horizon (pour ne citer qu’eux) et pourtant ce n’est pas le cas. Là où le jeu vidéo reste réellement un jeu, ce n’est pas tout à fait le cas ici, enfin, il semblerait. Et ça, nous nous en rendons compte assez vite même si les PnJ sont bel et bien identiques et se comportent tels qu’ils ont été créés. D’ailleurs j’adore les jumeaux, Aura et Mare sont vraiment à l’opposé l’un de l’autre mais se complètent tellement bien. En parlant des personnages, tous possèdent un tempérament propre et bien distinct mais il n’y a pas que cela qui les distinguent les uns des autres. Physiquement, il n’y en a pas deux identiques que ce soit Momonga ou les différents gardiens de Nazarick. De plus, les styles vestimentaires sont assez variés et l’on passe de la tenue de maid aux tenues un peu plus fantasy, d’ailleurs j’ai réussi à me tromper de sexe pour un personnage... ça commence à devenir fréquent quand même. (Ceci m’arrive souvent dans Les Enfants de la Baleine par exemple) Leurs manières de parler retranscrivaient leurs caractères et la traduction nous permettait sans problème de savoir qui parlait ♥ L’histoire, de son côté, ne nous laisse pas tant de temps morts que cela dans ce premier volume. Nous y découvrons le monde « virtuel », les lieux, les personnages, mais également les motivations de certains. Motivations ne rivalisant pas toujours avec « Sauvons le monde des vilains pas beaux ! » Comment ça, j’exagère ? Pas du tout. Surtout que le but de la guilde où se trouve Momonga sera bel et bien mentionné à un moment donné. J’ai bien apprécié certaines phrases ou manière de parler, après tout le ciel (ou le monde) peut très bien être considéré comme un coffret à bijoux vu sa beauté. Les dessins collaient parfaitement aux différents protagonistes (je vous ai dit que j’aimais bien Aura et Mare ? Oui ? Bah je le redis !) et comme dit plus haut il est très facile de reconnaître les personnages. Monstres, humains, autres races – parce que si j’énumère tout, dans trois lignes je suis encore occupée -, lieux, artefacts ou tenues. Rien n’est laissé au hasard et chaque page nous permet d’en savoir plus sur ce qui entours Momonga, sur la guilde et le reste du monde. Un monde où semble régir la loi du plus fort et où les faibles sont opprimés. Un monde à découvrir et que l’on verra probablement au fil des tomes. Bien sûr, nous nous demandons si Momonga est le seul de chez nous à s’être retrouvé bloqué dans cet univers. On sait qu’il était seul dans le Tombeau de Nazarick, mais était-il le seul à attendre la fermeture du jeu ? Si l’on se fie à ce qui se fait dans notre monde, cela serait étrange et de ce fait je me demande si nous découvrirons quelques « Terriens » perdus en Yggdrasil. Tant de choses sont encore possibles. Mais ce qui est certains, c’est qu’un ton plus adulte est présent, plus sombre dans certains passages mais que des touches un peu plus humoristiques apparaissent de temps en temps. La fin laisse présager quelque chose d’intéressant en tout cas. De plus, au détour de fin de chapitres/épisodes, nous trouvons des explications sur des éléments présents dans le manga tels que les Objets ou sur Yggdrasil lui-même. A la fin du premier volume se trouve également un bonus dans lequel nous retrouvons Aura, Shalltear et Albedo en pleine discussion. C’était agréable à lire, même si je plains la pauvre Aura sur le coup ! Comme vous devez vous en doutez à la vue de l’article, j’ai passé un très, très bon moment en compagnie des personnages, créés par Kugane Maruyama et dessinés par Hugin Miyama, sur le coup même si je me doute que le manga ne plaira pas à tout le monde. J’espère que la tournure des événements ne sera pas trop simple à déduire par la suite, étant donné que ce ne fut pas le cas pour une fois hormis durant certains passages (mais bon… Ce n’était pas vraiment de la déduction mais mon moi intérieur qui hurlait). AH et si je l’appelle Momonga, c’est juste parce que je désirais l’appeler par le premier « nom » qu’il porte dans ce tome. Cela me paraissait bien plus logique. Ne soyez donc pas surpris si lors de mon avis sur le tome 2 un petit changement s’opère, mais cela sera précisé ! Et de votre côté, avez-vous lu ce tome 1 ? Qu’en avez-vous pensé ? Lirez-vous la suite ? Un anime existant, l’avez-vous vu ? Quel est le format que vous préférez pour le moment ? (anime ou manga) Read the full article
2 notes
·
View notes
Text
NIGHT WALKING
Cette animation a été réalisé sur After Effect. Même procédé que pour Breaking ball, le son a été rajouté sur Premiere Pro.
Je me suis inspiré d'une vidéo tiktok et aidé de vidéos Ytb. Étant dans une démarche d'amélioration constante, il m'est nécessaire de trouver du contenu à la fois inspirant mais aussi réalisable sans forcément dépenser des milles et des cents sur des plug-in T-T, même si j'aurais bien voulu haha. Le plus important selon moi, est d'avant tout avoir une maîtrise fluide et à l'aise sur l'étendu des services que propose After Effect, avant d'aller utiliser les autres extensions.
Par contre, il est vrai que pour cette animation, je me suis aidé du plug-in Duik Angela, afin d'y insérer des squelettes et la petite baguette magique qui relie le tout :)
Cette animation fut challenging, car c'est ma 1er animation du style personnage en mouvement mais je suis contente du résultat ! C'est le début d'une belle aventure x)
Durée : 2 jours
0 notes
Text
Post n°2 Février 2024 Animation d'un samouraï-squelette contre un dragon Numérique
0 notes
Text
post 90
janvier 2025 3h
animation traditionnelle d'une course de squelette : travail sur l'anatomie humaine
animation ralentie pour observer les frames
l'objectif: rajouter du gras par dessus pour chercher à étudier le mouvement de balance du gras
0 notes
Text
✅ Et Dieu dit : Faisons l’homme à notre image pour qu’il nous ressemble, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre et sur tous les reptiles et les insectes. Dieu créa l’homme à son image, il le créa pour qu’il soit à l’image de Dieu. Il créa l’homme et la femme (Genèse 1:26-27).
Nous arrivons à l’étape ultime de la création. Le récit a débuté avec le Commencement de toutes choses, c’est à dire la mise en place de la structure de l’univers et se termine avec le dernier être vivant à faire son apparition, le chef d’œuvre de cette planète : l’homme. C’est ici que nous rencontrons pour la troisième fois le mot hébreu bara qui veut dire créer ex nihilo, à partir de rien.
La première fois, c’était pour le cosmos, la deuxième, pour les êtres vivants maritimes en qui Dieu a insufflé la vie, et maintenant c’est l’homme qui est créé à partir de la poussière de la terre comme les animaux, mais avec en lui une étincelle divine. Concernant l’univers avec tout ce qui s’y trouve, le texte ne dira rien de plus.
Le Créateur a communiqué à peu près tout ce qu’il voulait que nous sachions et je dois m’en contenter. Dans d’autres livres que celui de la Genèse, certaines précisions supplémentaires concernant la Création sont données au lecteur. D’un point de vue scientifique, l’Éternel ne satisfait pas ma curiosité parce qu’il désire par-dessus tout que je lui fasse confiance. Je rappelle un texte du Nouveau Testament que j’ai déjà cité :
✅ C’est la foi qui nous fait connaître que l’univers a été créé et ordonné par une parole de Dieu, c’est-à-dire que le monde visible est sorti du néant et que tout ce qu’on voit procède de l’invisible (Hébreux 11:3).
Par quels mécanismes cela s’est-il fait ? Nous l’ignorons ! Pour ma part, je crois fermement que tout s’est passé comme Moïse l’a écrit ; l’ensemble de l’univers avec tout ce qui s’y trouve est issu du néant par un acte créateur du Dieu tout-puissant.
Pour ce qui est de l’homme, l’Éternel nous donnera plus tard des détails supplémentaires parce qu’il veut que nous sachions avec certitude d’où nous sommes issus, vous et moi. Mais tout comme les étoiles, la végétation et les êtres vivants, l’homme doit son origine à un acte spécifique de Dieu inscrit dans l’espace-temps et dans l’histoire. Le texte a précisé que Dieu créa l’homme à son image. Cette expression fait partie des grandes déclarations des Textes Sacrés. Cela veut dire que l’homme est d’une certaine façon semblable à son créateur ; il est conscient de son existence et il a la capacité de prendre des décisions qui ont une portée morale ce qui le rend responsable de ses actions.
De plus, il possède une âme immortelle ce qui veut dire que la tombe n’est pas la fin de l’existence d’une personne. Lorsqu’on emmène un cercueil au cimetière, il est courant de dire que le défunt va dans sa dernière demeure. En réalité, c’est son corps qui retourne à la terre, mais lui, contrairement aux animaux, il continue à être, mais dans une autre dimension. D’ailleurs, dans ce récit de la Genèse, Dieu fait une différence très nette entre la formation des végétaux, des diverses espèces de vie animale et la création d’Adam et Ève.
Bien qu’il soit constitué d’un squelette couvert de chair comme les animaux, l’homme est différent d’eux en ce qu’il est un reflet de Dieu. Contrairement au postulat de la science moderne qui a adopté la théorie de l’évolution, l’homme n’est pas fait à l’image de la bête et il ne descend ni d’un bouillon de culture ni d’un animal. Vous et moi sommes de race noble et nous avons une valeur infinie en vertu du Créateur dont nous sommes directement issus et qui a mis en vous et moi une étincelle de sa divinité.
🤣 Au travers de l’histoire, beaucoup d’hommes sont devenus célèbres de leur vivant. Cependant, un certain nombre ont fait parler d’eux après leur mort, parce que la valeur de ce qu’ils avaient accompli sur terre n’a été reconnue qu’à titre posthume. Et puis d’autres n’ont rien fait du tout, sinon d’exister et de mourir et ils sont quand même parvenus à la notoriété ; de ce nombre est l’homme de Java. Lorsqu’on a découvert ses restes, il fut considéré comme l’un de ces fameux chaînons de l’évolution entre l’animal et l’homo erectus, vous et moi.
🤣 Eh bien, il se trouve que les ossements de ce personnage intermédiaire furent rassemblés à partir de 1891 par un certain Eugène Dubois ; nous avons en tout et pour tout un gros os de jambe, un bout de crâne et 3 molaires qui proviennent d’un site où se trouvaient également des crânes humains récents, ce que Dubois a oublié de préciser durant toute sa carrière d’anthropologue.
🤣 Finalement après 30 ans passés à convaincre les sceptiques du bien-fondé de sa découverte, il a avoué les circonstances exactes qui lui avaient permis de donner naissance à l’homme de Java et qu’il s’agissait peut-être des restes d’un singe géant. Dans le premier chapitre du livre de la Genèse, il est écrit :
✅ Dieu créa l’homme à son image, il le créa pour qu’il soit à l’image de Dieu. Il créa l’homme et la femme (Genèse 1:27).
Mais comme ce point de vue est inacceptable pour le monde scientifique moderne, on a cherché les chaînons manquants entre l’animal et l’homme ; seulement ce qu’on a découvert n’est pas très convaincant, surtout que les magouilles abondent. L’homme du Nebraska a été présenté sur la base d’une dent qui aurait appartenu à quelqu’un vieux d’un million d’années. Bien plus tard, il fut découvert qu’il s’agissait en fait d’une dent de cochon. Et on ne parle plus de lui. La liste est longue.
🤣 En 1912, un dénommé Charles Dawson découvre l’homme de Piltdown qui en fait avait été fabriqué de toutes pièces avec un morceau de mâchoire, de crâne et deux molaires. Ce spécimen fut dans tous les livres d’école pendant 40 ans. En 1953, la mystification fut dénoncée, car on se rendit finalement compte que les dents avaient été limées, les os colorés pour tromper avec succès les plus grandes autorités en la matière. Il est étonnant de constater avec quelle facilité on peut manipuler les experts lorsqu’ils ont des idées préconçues.
🤣 Ensuite, il y a l’homme de Pékin découvert en 1921 dans les environs de la capitale chinoise et identifié en 1929. Il s’agit de fragments divers rassemblés et qui disparurent durant la Seconde Guerre mondiale ; le mystère demeure.
🤣 Quant aux os de Lucy, découverts en 1974, on a déterminé qu’elle faisait 1 m et pesait 30 kg ce qui est la moyenne pour un chimpanzé. Les anthropologues voient en elle notre ancêtre maternelle en train de devenir humaine, parce que l’articulation de son genou est angulaire comme le nôtre alors que celui d’un singe qui vit sur la terre est ferme est droit. Mais les anthropologues oublient de mentionner que n’importe quel singe qui grimpe aux arbres a lui aussi l’articulation angulaire tout comme Lucy, vous et moi.
🤣 Ensuite arrive l’homme de Neandertal, qui est reconnu comme un être mu de compassion et non plus une brute épaisse. En effet, on a découvert en l’an 2000 dans une cave du Vaucluse une mâchoire édentée vieille dit-on de 200 000 ans. Cet ancêtre aurait vécu sans pouvoir mâcher pendant plusieurs années grâce aux soins que lui prodiguaient les autres membres du groupe qui le nourrissaient. De plus, on sait que ces hommes étaient inventifs, avaient un goût pour la beauté et fabriquaient des ouvrages esthétiques, et qu’ils enterraient leurs morts avec cérémonie ce qui montre une certaine croyance en l’au-delà. En d’autres mots, l’homme de Neandertal était comme vous et moi.
🤣 Ensuite, nous avons l’homme de Cro-Magnon, le plus célèbre de tous et qui aurait eu une capacité crânienne supérieure à la nôtre. Cependant, s’il revenait aujourd’hui parmi nous en portant un costume trois-pièces et s’il se promenait dans les rues de n’importe quelle grande métropole, il passerait totalement incognito.
Finalement, je me souviens d’avoir lu dans le livre Sélection du Reader’s Digest en anglais d’août 1973, le récit de deux découvertes sensationnelles en Afrique. La première, faite par un certain Richard Leakey, était celle d’un crâne humain, que les évolutionnistes dataient de 2 millions 800 000 années en arrière, donc plus vieux que notre soi-disant premier et lointain ancêtre qui lui ne remonte qu’à un million d’années.
L’autre découverte était celle de squelettes d’hommes qui d’après les scientifiques étaient vieux de 100 000 ans, mais qui exploitaient des mines, gardaient des archives, savaient compter et avaient développé des outils relativement perfectionnés. Or selon le modèle évolutionniste, de telles prouesses ne devraient pas remonter à plus de 35 000 années en arrière. Richard Leakey, auteur de la première découverte, donna une conférence où il commenta ces deux trouvailles. Je le cite : Ce que nous avons découvert balaie tout ce que nous avons appris sur l’évolution de l’homme, et je n’ai rien à offrir à la place.
🤣 Pendant longtemps, on a cru que l’homme descendait du singe selon une ligne directe et sans bavure. Cette théorie a maintenant été revue et corrigée au profit d’une provenance de multiples lignées compliquées d’une grande famille d’hominidés, le nom que les spécialistes donnent à nos ancêtres. Cette famille fortement enchevêtrée descendrait du singe il y a 6 millions d’années. Depuis les années 80, le nombre d’hommes préhistoriques en notre possession a doublé ; ils ne font pas tous la une des journaux, parce que le commun des mortels se lasse très vite des ossements.
➡️ Un des arguments en faveur d’un ancêtre commun à l’homme et au singe est que nos os se ressemblent beaucoup. Mais le fait que nous ayons des caractéristiques communes avec les animaux me semble relativement normal dans la mesure où nous vivons dans des environnements similaires. Par exemple, les châssis d’une Renault et d’une Peugeot de même taille sont presque identiques même si chaque constructeur essaie de vanter les avantages de son véhicule. Pour fabriquer une automobile, il faut commencer avec une structure qui soit assez proche d’un rectangle, assez solide pour y fixer 4 roues et un moteur ainsi qu’un habillage de carrosserie. Les voitures se ressemblent, parce qu’elles devront circuler sur les mêmes routes et être coincées dans les mêmes bouchons. Cela ne veut pas dire qu’elles proviennent des mêmes usines ni qu’une petite Renault ait évolué en une grosse berline Peugeot 605.
➡️ Pareillement, ce n’est pas parce que nous avons une silhouette qui rappelle celle de certains singes que nous provenons d’eux. L’homme est différent de tous les animaux, parce que Dieu l’a créé à Son image. L’être humain revêt aux yeux du Créateur une valeur particulière ; il est digne de respect et ne doit pas être traité avec mépris. En fait, ma vision de l’homme dépend directement de celle que j’ai de Dieu. Si je ne le respecte pas, mon attitude vis-à-vis de mes semblables s’en ressentira. Ce que quelqu’un croit dans son cœur a une influence directe sur la façon dont il mène sa vie et se conduit à l’égard des autres. Si à l’école le maître enseigne que nous avons évolué d’un animal, il ne faut pas s’étonner de ce que les jeunes se conduisent comme des bêtes.
➡️ Dans la conception du monde selon Darwin se trouve l’idée de lutte qui opère la sélection naturelle ; chaque être vivant comme chaque espèce doit se battre pour assurer sa survie. Selon ce principe, les plus robustes et les plus rusés l’emportent sur les autres et les faibles sont éliminés. La croyance qui considère l’homme comme un simple animal qui aurait évolué lui enlève toute la valeur intrinsèque que Dieu lui a conférée en le créant à son image. Cette perspective soulève un problème éthique, car elle justifie que la raison du plus fort est la meilleure. Cette conception qui dévalorise l’être humain a engendré des idéologies qui ont mis en danger et menacent encore notre existence.
➡️ Un sous-titre du livre de Charles Darwin, La préservation des races supérieures dans la lutte pour la vie, sous-entend que l’évolution de l’humanité va créer des surhommes qui survivront et prendront le pouvoir. ⟪ Hitler ⟫ a très bien compris la leçon et a accepté les platitudes évolutionnistes d’une super race prônée par le philosophe Nietzsche. La race aryenne telle qu’Hitler l’a concevait était simplement la suite logique de la pensée évolutionniste. D’autres comme ⟪Mussolini ⟫ citaient fréquemment Darwin avec des phrases toutes faites. Il a dit, entre autres, que l’idée de paix était répugnante à ceux qui croyaient à la survie du plus fort et au progrès de l’humanité.
⟪ Karl Marx ⟫ fait aussi partie de la liste des personnages responsables de génocide ; il a tellement bien compris que la théorie émise par Darwin donnait une légitimité scientifique à la doctrine communiste qu’il lui a demandé d’écrire l’introduction de son livre Le Capital. À son crédit, Darwin refusa.
Dans le camp politique opposé, c’est aussi l’idée de la sélection des espèces qui est à la base de la philosophie capitaliste moderne. ⟪ Les premiers géants du Big Business, comme Andrew Carnegie et Rockefeller ⟫ , se sont servi de la théorie de Darwin pour justifier leurs méthodes brutales qui leur ont permis d’accumuler d’immenses richesses au détriment des petites gens. ⟪ L’hyper libéralisme tel qu’il est pratiqué aux États-Unis est l’héritier direct de cette façon d’agir qui consiste à faire un maximum de fric et où la fin justifie les moyens. ⟫
➡️ Dans cette histoire, tout le monde a les mains sales, car la théorie de l’évolution a apporté de l’eau au moulin de toutes les obédiences politiques. De plus, ses implications éthiques sont considérables, car cette théorie permet d’exploiter son prochain, la conscience tranquille. Comme je l’ai déjà souligné, mes croyances ne sont pas neutres, car elles dictent ma conduite envers les autres et il se trouve que les Écritures ont beaucoup à dire sur ce sujet.
0 notes
Text
J'ai essayé de faire une animation de mon personnage entrain de marcher. Je me suis inspirée des déplacements des pingouins.
D'abord j'ai cherché à comprendre la structure du squelette d'un pingouin pour m'aider à mieux comprendre le mouvement de ses pattes.

Ensuite j'ai essayé de faire une décomposition de mouvement, je me suis surtout intéressée aux pattes car le haut du corps bouge assez peu (hormis les ailes qui se balancent).

093
Décembre 2024
0 notes
Text
Une Charogne by Charles Baudelaire
A Carrion
Do you remember the thing we saw, my soul, That summer morning, so beautiful, so soft: At a turning in the path, a filthy carrion, On a bed sown with stones,
Legs in the air, like a lascivious woman, Burning and sweating poisons, Opened carelessly, cynically, Its great fetid belly.
The sun shone on this fester, As though to cook it to a turn, And to return a hundredfold to great Nature What she had joined in one;
And the sky saw the superb carcass Open like a flower. The stench was so strong, that you might think To swoon away upon the grass.
The flies swarmed on that rotten belly, Whence came out black battalions Of spawn, flowing like a thick liquid Along its living tatters.
All this rose and fell like a wave, Or rustled in jerks; One would have said that the body, fun of a loose breath, Lived in this its procreation.
And this world gave out a strange music, Like flowing water and wind, Or a winnower's grain that he shakes and turns With rhythmical grace in his basket.
The forms fade and are no more than a dream, A sketch slow to come On the forgotten canvas, and that the artist completes Only by memory.
Behind the boulders an anxious bitch Watched us with angry eyes, Spying the moment to regain in the skeleton The morsel she had dropped.
— And yet you will be like this excrement, This horrible stench, O star of my eyes, sun of my being, You, my angel, my passion.
Yes, such you will be, queen of gracefulness, After the last sacraments, When you go beneath the grasses and fat flowers, Moldering amongst the bones.
Then, my beauty, say to the vermin Which will eat you with kisses, That I have kept the shape and the divine substance Of my decomposed loves!
— Geoffrey Wagner, Selected Poems of Charles Baudelaire (NY: Grove Press, 1974)
Une Charogne
Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux: Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux,
Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons.
Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint;
Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir.
Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons.
Tout cela descendait, montait comme une vague Ou s'élançait en pétillant; On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague, Vivait en se multipliant.
Et ce monde rendait une étrange musique, Comme l'eau courante et le vent, Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique Agite et tourne dans son van.
Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve, Une ébauche lente à venir Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève Seulement par le souvenir.
Derrière les rochers une chienne inquiète Nous regardait d'un oeil fâché, Epiant le moment de reprendre au squelette Le morceau qu'elle avait lâché.
— Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, À cette horrible infection, Etoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion!
Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces, Apres les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements.
Alors, ô ma beauté! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposés!
— Charles Baudelaire
See also:
Chagone by Etat Libre d'Orange with notes of lily accord, bergamot, ginger, ylang ylang, jasmine, lily of the valley, pink berries, ambrette absolute, leather, animal notes, incense, vanilla…

Described as
"The skin is soft and warmed, yet in some spots almost transparent. Opalescent lily. Forsaking flirtation and prudery, the beauty reveals her inner self, daring to expose herself as she truly is, superlatively nude. It is the perfect moment. Ripe flesh awaiting to be picked. Undaunted, she casts aside the urge and it is now in complete silence that the fatal attraction operates.
A docile, consenting victim. The beast is actually not far away. He lies in ambush and, as the fine connoisseur he is, anticipates the moment he will take possession of her essence. For him this prey is named desire and he assesses her fully-fledged femininity. The fragrance soars. We are nearly there. It is soon the time when the heart will liquefy and shed its vanilla notes, when leather will melt into a balm and when an unrecognizable anatomy will deliver its precious, sunbathed and uplifting aromas. Blissful pestilence. Believe in the beast, this embrace has the taste of eternity.
How could one do without it?"
For those with JSTOR access, see Cherly Krueger's "The Scent Trail of 'Une Charogne'"
#perfum#19th century#baudelaire#charles baudelaire#france#nineteenth century#poetry#Etat Libre d'Orange#Une Charogne#A Carrion#flowers of evil#fleur du mal
0 notes
Text
Silure de verre (poisson) : tout savoir sur le Kryptopterus bicirrhis
Le poisson nommé silure de verre, ou Kryptopterus bicirrhis, est sans doute l’un des poissons d’aquarium les plus fascinants. Sa transparence presque surnaturelle, laissant voir son squelette, en fait une véritable curiosité pour tout aquariophile. Ce poisson grégaire et pacifique de la famille des Siluridae est un ajout précieux à tout aquarium communautaire. Cependant, comme pour tout animal…
0 notes
Text
Binarité de genre et colonialisme
La binarité de sexe (l’idée selon laquelle il y a seulement deux sexes distincts et opposés) est une invention coloniale du 19e siècle. Alors que dans certaines cultures du monde la société était déjà divisée entre hommes et femmes, les développements scientifiques particuliers de cette période ont conduit les scientifiques occidentaux à affirmer que la différence des sexes (jusqu’alors considérée comme énergétique) était anatomique (cerveaux, squelette, système nerveux différents). Le dualisme sexuel (deux faces de la même pièce) est devenue une dichotomie (deux choses distinctes et opposées).
Les scientifique sont affirmé que les personnes blanches étaient supérieures à cause de leur capacité singulière à distinguer visuellement les hommes des femmes. Ils considéraient le sexe des populations noires, autochtones et de couleur comme indiscernable. Quand les scientifiques utilisaient le mot « femmes » ils ne parlaient en fait que des femmes blanches. Des termes comme « race inférieure » étaient utilisés sans référence au sexe car les scientifiques pensaient qu’il n’y avait pas de différences significatives entre les sexes chez les personnes de couleur et autochtones. En 1886, le sexologue allemand Krafft-Ebbing écrivait : « Plus le développement d’une race est important, plus le contraste entre femmes et hommes est fort ». En 1897, William Thomas disait de même : « Moins une race est civilisée, moins il y a de différences physiques entre les sexes ». Les scientifiques ne pensaient pas que des hommes et des femmes de différentes races partageaient la même nature mais au contraire que le sexe était propre à la race.
Ils croyaient ainsi qu’au fur et à mesure qu’une société s’éloignait de la « sauvagerie » pour aller vers la « civilisation », la distinction physique entre les femmes et les hommes s’accentuait. D’après eux, la population blanche évoluait constamment pour devenir le sommet de la civilisation sur Terre, mais la population noire en particulier était bloquée à un stade primitif/animal et incapable d’atteindre la différence sexuelle.
Les différences physiques entre les sexes étaient vues comme le produit des rôles sociaux de chaque sexe. Selon le darwiniste social Herbert Spencer, la raison pour laquelle les femmes blanches apparaissaient si différentes des hommes blancs est que, contrairement aux populations « primitives », elles étaient femmes au foyer. Par conséquent, si la « civilisation » (les normes binaires de genre) était apportée aux populations « primitives », elles pourraient avec le temps développer la différence des sexes. Ce « savoir scientifique » s’est diffusé et a influencé les politiques publiques. Même les féministes blanches du 19e siècle voyaient la féminité comme un « état mental, physiologique, émotionnel et anatomique avancé qui ne peut être atteint que par les personnes « civilisées ». La chirurgienne Dr Mary Walker définissait la féminité par les organes génitaux et les capacités reproductives parce que « le vagin sert de lien entre le corps et la race ». Le vagin était vu comme un des derniers restes d’animalité chez la race blanche qui doit être pris en charge par les femmes pour le futur de la race. Parce que d’autres orifices comme la bouche ou l’anus n’étaient pas liés à la reproduction de la race, le sexe oral ou anal n’était pas considéré comme « civilisé ».
Traduction d’une publication d’Alok Vaid-Menon, artiste non-binaire
0 notes