#sieste entre amis
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fidjiefidjie · 6 months ago
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🤗 Petite sieste entre amis ! 🐕 🐖 🦆
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au-jardin-de-mon-coeur · 7 months ago
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Les vacances approchent, les journées sont longues, le soleil nous réchauffe le visage et le coeur....Juillet et son petit grain de folie est là et il est temps de le fêter !
Vive l'été, vive la plage, les siestes, les pique-niques et les soirées entre amis autour d'un barbecue....Vive le bonheur tout simplement !!!
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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petit-atelier-de-poesie · 3 months ago
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Quelques trucs bien. Octobre 2024
Ces “Quelques trucs bien” s'inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, ou des "Notes de chevet" de Seï Shonagon. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d'optimisme.
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Aller au musée des femmes artistes avec mon amie Béa. Profiter du soleil d’automne en terrasse et prendre soin de notre amitié
Avoir la visite d’une bergeronnette printanière 
Jouer à cache-cache avec mon petit Mateo. Rire ensemble 
M’inscrire sur un groupe de rencontres 
Être honorée d’être sélectionnée sur la liste des jurés titulaires pour l’année prochaine 
Jouer aux cartes avec mon fils. Gagner à être perdante 
Prévoir un week-end d’escapade chez mon amie Monique 
Me rappeler que ma sœur et moi avions souhaité élever et faire grandir nos enfants ensemble. Suppléer son absence quand elle est en vacances, c’est à dire faire le taxi pour mes nièces 
Me faire draguer par un charmant sportif de plus de 10 ans de moins que moi lors du rdv pour test d’effort en cardiologie. Remercier en moi-même ma fille de m’avoir prêté un legging. Épreuve réussie à 100%
M’essayer au caviardage en poésie. Tenter de relancer la créativité 
Chanter l’hymne à l’amour dans ma voiture... et pleurer
Faire la sieste pour récupérer le manque de sommeil 
Partager une pizza duo avec mon collègue de travail
Réfléchir encore et en équipe à une bonne pratique professionnelle. Entre intuition et philosophie 
Avaler des kilomètres pour essayer de laisser derrière moi le quotidien. Faire une halte chez mon amie Lauriane 
Recevoir un cadeau de ma nièce de retour de son voyage scolaire à Venise 
Profiter de l’alerte météo pour laisser libre cours à la créativité 
Avoir une pensée émue pour mon ami Vincent qui manque toujours, même après de 14 ans de deuil 
Féliciter Mateo qui s’enhardit à se lâcher pour avancer debout vers un autre appui 
Tenir la petite main de Mateo pour l’accompagner dans ses premiers pas debout. Verbaliser pour lui que son regard sur le monde est désormais différent 
Porter du jaune quand j’ai besoin de soleil 
Participer à une réunion d’équipe de scolarisation. Sentir que je suis un vrai soutien pour ma collègue, la maîtresse et la maman 
Avoir la surprise d’un arc en ciel après l’alerte météo pour pluies et inondations
Aller au cinéma pour voir un film érotique. Regretter l’absence de désir 
Saluer le retour du berger et de son troupeau sur le terrain. L’automne est lui aussi de retour 
Sentir venir le fou rire en entendant maman évoquer l’idée d’héberger tatie Lulu, 88 ans pour ne pas qu’elle soit seule
Aller au Festival du livre où ma nièce tient le stand de l’atelier d’écriture de son lycée. Me faire dédicacer le bouquin par une troupe d’ados. Savoir que la relève est assurée 
Lire Mona Chollet et me sentir « sorcière » moi aussi 
Rencontrer un jeune adulte venu donner de ses nouvelles à l’équipe qui l’a accompagné. L’entendre raconter son parcours avec gratitude et maturité puis dire que son handicap (TDAH) est aujourd’hui une force. Comprendre ce ressenti et avoir de l’espoir pour les enfants que j’accompagne aujourd’hui 
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argentinechili2024 · 11 months ago
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Arrivée à Santiago au Chili
Il nous fallait quitter la chambre à 7 h 30 ce matin. Le réveil a été dur, car je n’ai pas très bien dormi. Je suis encore malade, mal de gorge, toux, nez qui coule et ça perdure malgré les Tylenol extra-fort que je prends.
Après un débarquement sans anicroche, nous avons tenté de commander un Uber avec le cellulaire de Susan. Le premier chauffeur a refusé la course, et lors de la deuxième tentative, la transaction a échoué, car le système pensait que quelqu’un faisait de la fraude avec la carte de crédit, car on avait encore changé de pays. Baire est arrivé à la rescousse, et pour la première fois de sa vie, il a commandé un Uber. On a fait l’aller-retour entre le derrière du bureau de douane et le devant avant de localiser l’auto. Ça a pris 1 h 30 pour arriver à Santiago.
Nos amis sont venus déposer leurs valises à notre appartement, puis nous sommes allés manger dans un restaurant vénézuélien où on sert toutes sortes de viandes grillées. Poulet, bœuf, porc, c’était une assiette de cochon, mais vraiment très très bon. Il était 15 h quand nous sommes sortis de l’endroit où il n’y avait que des gens du coin, un très bon signe.
Revenus à l’appartement, j’ai fait une sieste et Susan et Daniel sont partis explorer la ville. Robert est allé acheter du pain, du café, des confitures et du lait pour le déjeuner.
Vers 19 h, nous sommes allés prendre un verre dans un quartier très chouette, entouré d’arbres, de restaurants et de vendeurs de babioles. Nous y retournerons souper, c’est certain.
Nos amis sont partis à l’aéroport vers 21 h, car ils ont un premier vol de Santiago à Bogota, à 1 h 30 du matin. En fait, nous partirons comme eux à la même heure dimanche.
Demain, nous avons prévu de visiter plein de choses. Espérons que je serai en meilleure forme.
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Lever de soleil à Valpairaiso à 8 h ce matin.
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Les petites maisons colorées de Valparaiso, du pont du bateau.
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Tous les drapeaux des pays d’où proviennent le personnel du navire. Ils ont été hissés sur le pont du bateau pour une première fois aujourd’hui.
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Assiette de viande rôties ce midi, ou plutôt cet après-midi. On a pas eu besoin de souper.
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Dernier verre avant que nos amis repartent en direction de San Diego, aux États -Unis.
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Nous, à Santiago.
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Au coin de la rue où se trouve l’appartement. On est en plein centre-ville.
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Mes amis, contre toute attente, et via de nombreux rebondissements, nous sommes vivants !! Vous aurez donc le récit de nos aventures au fur et à mesure de leur rédaction, pendant que nous attendons notre pizza (rien de plus jouissif qu'une pizza à 22h30 après plus de 80km de rando en 4 jours).
Jour 1 du trek
Loin de la tempête aux vents de 120km/h annoncées par la meteo, ce sont de delicates rafales à 70km/h qui nous font passer la nuit dans un van aux allures de tambour de machine à laver. Au petit matin, une victime est à déplorer : Dr Rathatton est tout vert et ... fuit.
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Nous entamons plein d'entrain la longue marche jusqu'au premier camping, que nous atteignons avec bonheur après un bon 300m de marche. Que nous sommes heureux de payer 35€ par personne au lieu de dormir dans le van.
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Dr Rathatton est passé du vert au blanc, mais tente tout de meme de nous accompagner jusqu'à la base de notre randonnée. Après 2km, c'est l'abandon, elle part se rouler en boule entre deux buissons pour faire une sieste, et ce sont une Touille et un Dr X esseulés qui poursuivent leur route.
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Vu sa grande résistance aux faibles températures, Dr Rathatton a sans doute été bien inspirée : Sauron nous déverse sa vengeance divine, et nous faisons la rencontre fort désagréable des fameuses bourrasques à 120km/h. Bon, j'exagère, mais elles étaient quand meme suffisamment fortes pour nous balader allègrement de droite à gauche sur notre petit sentier, fort peu plaisant. On a de la chance dans notre malheur : si quelques flocons de neige font leur apparition, pas de pluie à déplorer !
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On traverse des forêts un peu étranges, aux longs troncs noirs surmontés de touffes de feuille vert pale, on longe des rivieres, on affronte le blizzard, on grimpe des pentes escarpées... et nous voici enfin devant les Torres del Paine, le point normalement culminant de ce trek ! (Oui, on l'a fait à l'envers, et alors ?)
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Nous décidons de prendre notre pique nique un peu frigorifiés, à l'abri d'un gros rocher, où un guide nous propose une verre de soupe pour nous réchauffer... Elle n'était pas bonne, mais ça a fait tellement de bien, merci monsieur le guide !
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on quitte le lac gelé et ses hauts pics pour rentrer au camping, où nous retrouvons un Dr Rathatton lavé de frais (seul avantage de ce camping aussi hors de prix qu'inutile) , roulé en PLS sous la tente, ca ne va pas beaucoup mieux. Quand on vous annonce "la bonne nouvelle, c'est que je n'ai pas vomi dans la tente !", ça commence mal ...
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Au repas du soir, c'est une Touille bien téméraire qui decide d'engloutir les deux bananes liquéfiées (assez littéralement, puisqu'elles degoulinent dans mon bol quand je les ouvre) écrabouillées au fond du sac... Seul l'avenir nous dira ce qu'il adviendra de cette inconsciente !
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NSBC • Chapitre 16
Victoria est passée nous voir, aujourd’hui. Elle a pu discuter un peu avec Gabriel…
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… et Raphaël.
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Gabriel n’est pas resté longtemps en compagnie de sa tante. Il a invité (avec mon autorisation) son copain de classe Tetsu. Ils ont l’air de vraiment bien s’entendre ces deux là, ça me fait plaisir !
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Tetsu est un garçon qui a l’air d’avoir toujours le sourire. J’espère que toutes les fréquentations de Gabriel sont du même acabit…
Vic’ est finalement entrée pour nous féliciter pour nos fiançailles. Enfin, c’est ce que m’a rapporté Edward, puisque j’étais dans la cave à faire des analyses, à ce moment-là…
« Félicitations petit frère !
— Merci Vic’, et t’es toujours pas plus âgée que moi ! »
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Elle est partie peu après, et Edward également, devant se rendre au travail. Je suis, quant à moi, remontée de mon petit laboratoire personnel car « femme enceinte » rime apparemment avec « vessie sur le point de craquer vingt-quatre heures sur vingt-quatre ». Et en entrant dans le salon, j’ai entendu Tetsu et Gabriel discuter.
« On restera amis pour toujours, hein ? demande la voix de mon fils.
— Bien sûr, Gaby ! Quelle drôle de question ! »
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Alala, la jeunesse… Oups… Il faut que je me dépêche moi, pas envie de salir mon pantalon…
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Je marche bizarrement, non ? J’appelle ça la démarche de la baleine.
La principale différence que je note entre mes deux garçons, c’est qu’il y en a un qui est plutôt studieux, et l’autre qui préfère jouer dehors et sur l’ordinateur.
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Bon, Raphaël fait ses devoirs, mais pas de gaité de cœur, je peux vous l’assurer ! Mais j’espère que l’intérêt pour l’école n’est pas décroissant, parce que sinon je vais me battre avec le dernier bout de chou dans mon ventre pour qu’il travaille… !
D’ailleurs, on arrive au terme. Et je le sens bien, je suis tout le temps en train de faire des siestes… Vivement qu’il sorte, ce troisième petit monstre !
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Et c’est justement au milieu d’une de ces siestes que le dit monstre a décidé de montrer le bout de son nez.
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Edward étant au travail à ce moment-là, je me vois obligée de me rendre seule à l’hôpital. Je laisse des consignes de sécurité aux garçons qui me regardent avec de grands yeux inquiets, et je monte dans le taxi qui m’attend.
Edward s’est libéré de son travail à la dernière minute, et c’est en courant que je le vois me rejoindre dans le couloir de l’hôpital. Il n’a pas l’air très content…
« Mon patron a presque refusé de me laisser partir, j’y crois pas !
— Respire, chéri… Aouch… »
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On entre dans la salle d’accouchement, et alors que je m’installe, Edward s’exclame :
« Eh ! Mais vous êtes le médecin qui a failli la tuer lors de la naissance de Gabriel ! Vous savez ce que vous faites maintenant ?! »
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« Mais oui, monsieur. Laissez-moi me concentrer, je vous prie. »
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« Laisse, Ed. … Aïe. Tiens, tu es en uniforme de chef ? »
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« Ils étaient en sous-effectif en cuisine… Mais on s’en fiche de moi, courage mon amour… On va accueillir le dernier membre de notre famille ! »
Oui, c’est vrai… Mais qu’est-ce que j’ai mal… ! Oh… Ce sont des pleurs, n’est-ce pas… ?
« Félicitations, Madame Berry ! Voilà une belle petite fille ! »
Une… Une fille ? Une fille ! J’ai eu une fille !
Ni une, ni deux, je suis debout sur mes deux jambes en un rien de temps, et je prends dans mes bras ma petite princesse.
« Edward… C’est une fille…
— Je sais mon amour. Je suis heureux aussi.
— Comment l’appelle-t-on ?
— Choisis, tu la voulais tellement.
— … Gaëlle. Ça te va ?
— C’est parfait !
— Bonjour Gaëlle, bienvenue dans la vie. »
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Dans la foulée, quand nous sommes rentrés, j’ai soufflé mes bougies. Eh oui, la petite a choisi de naître le jour de mes quarante ans… !
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Et je dois avouer que je ne me sens pas très différente, malgré toutes mes appréhensions.
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J9▪️Ebergötzen - Göttingen
20,0 km [186,1]▫️+370 m [+3 240]▫️21 °C
En arrivant à Ebergötzen à l’hôtel, la première chose que nous avions faite était de mettre la télé pour voir le Tour de France, un petit rituel idéal pour la sieste post-marche. Et comme d’habitude, je passais 50 chaînes du bouquet satellite avant de trouver la bonne. Et donc ce matin, au moment de partir, je replace la télécommande là où elle était posée hier, sur une feuille de papier imprimée. Et que vois-je sur la feuille de papier ? Écrit en douze langues ? « Veuillez NE PAS changer de chaîne de télévision, merci ». Ah bon ? Mince alors. En plus, si c'est écrit en douze langues, c’est que ça doit être important ! Oups ! Il ne me reste plus qu’à trouver une petite ritournelle à siffloter, l’air détaché, en allant régler notre chambre. Tiens, pourquoi pas du Barbara ?
Mais revenons aux fondamentaux : l’étape du jour (pas comme ces feignants de cyclistes qui ont déjà fini). Je dirais qu’elle était bien sympa avec un chemin qui monte tranquillement dans une large vallée agricole puis une bonne grimpette pour rejoindre la vaste forêt qui nous mènera sans discontinuer jusqu’à Göttingen. Ah Göttingen ! Bien sûr, ce n'est pas la Seine, ce n'est pas le bois de Vincennes, mais c'est bien joli tout de même, à Göttingen !
Le soir, nous retrouvons Klaus, un vieux collègue et ami (grand fan de Barbara et dont un lointain ancêtre qui travaillait le métal dans le massif du Harz fit fortune en fabriquant des boîtes de conserve pour les armées de Napoléon), qui, entre un repas dans les caves du Altes Rathaus (l’hôtel de ville) et un verre de vin blanc dans les jardins du théâtre, nous fera visiter cette vieille ville qui doit à son exceptionnelle université sa renommée et à ses étudiants indisciplinés moultes anecdotes (le saviez-vous ? Il y avait à Göttingen deux polices, une pour les étudiants et une pour les habitants, sans pouvoir de l’une sur la juridiction de l’autre).
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my-turn-now · 2 years ago
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Cher Tumblr,
Je suis a la montagne pour quelques jours. Histoire de se reposer un petit peu et de passer un peut de temps entre amis et en famille.
Entre sieste au chalet, ski et raclette...
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Au revoir Miss Météo
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Catherine Laborde nous a quittés à l’âge de 73 ans, des suites d’une longue maladie, laissant derrière elle des prévisions météorologiques plus clémentes que notre chagrin. Pendant des décennies, elle a incarné à elle seule la pluie et le beau temps sur TF1, devenant l’une des figures incontournables de la télévision française. Qui aurait cru qu’une femme si discrète aurait pu occuper chaque soir nos écrans, parfois plus attendue que le film de 20h50 ? Oui parce que avant, le film commençait à 20h50 et pas 21h20 comme aujourd'hui, juste pour balancer 50 000 pubs ! La naissance d’une étoile Tout commence quand Catherine, passionnée par les arts de la scène et l’écriture se retrouve un beau jour devant un fond vert à parler de dépression atmosphérique. Il faut dire qu’elle avait d’abord étudié la comédie et fait un passage rapide par le théâtre. Qu’importe : sous le feu des projecteurs elle a su rester naturelle, tandis que les isobares* s’emmêlaient derrière elle. Très vite, ses « Bonjour à tous ! » et ses « À demain ! » deviennent la ritournelle quotidienne que des millions de Français attendent. Le style Laborde On se souvient de sa voix douce et de ses sourires rassurants et de cette élégance discrète, qui parvenait à nous annoncer la grisaille du nord ou la canicule du sud sans jamais briser notre bonne humeur. Elle avait l’air de dire : « Voyons le côté positif : après la pluie, le soleil finit toujours par revenir ! » C’était un peu la grand-mère météo, celle qui nous donnait envie de porter un pull quand elle annonçait une vague de froid, et de sortir nos parasols géants quand elle prédisait une averse. Pendant plus de 25 ans, Catherine Laborde est devenue la confidente invisible de nos soirées. Sans jamais se prendre pour une vedette, elle accompagnait le pays tout entier dans ses sorties du week-end, ses mariages pluvieux ou ses longues siestes de vacances. Au fil des ans, on aurait presque oublié que l’information météo pouvait être délivrée par quelqu’un d’autre tant Catherine nous semblait irremplaçable. Son héritage c'est du soleil dans nos cœurs Son départ de l’antenne en 2017 avait déjà laissé un grand vide, comme si le temps lui-même avait perdu un peu de sa boussole. Maintenant que la grande dame nous quitte pour de bon, il nous reste ses bulletins légendaires et ses innombrables blagues météo délicatement glissées. Oui, Catherine, vous nous avez habitués à ce petit rendez-vous presque intime, comme un coup de fil quotidien à une amie qui nous prévient : « Prends un parapluie, ça va peut-être tomber ! » Une dernière éclaircie Dans cette disparition, on trouvera tout de même un joli clin d’œil : Catherine aura toujours su naviguer entre les orages médiatiques et les anticyclones de la gloire avec une humilité rare. En rendant son dernier bulletin, c’est un peu comme si elle nous soufflait un ultime conseil : « N’oubliez pas de garder la tête haute et le sourire au coin des lèvres, peu importe la météo ». Alors à toi Catherine, qui nous as fait aimer les cirrus**, détester les nimbus*** et guetter l’anticyclone des Açores, merci pour ce bout de chemin passé ensemble. Tu laisses derrière toi un ciel certes un peu plus gris aujourd’hui, mais gageons que, fidèles à ton esprit, nous saurons bientôt y voir passer quelques rayons de soleil. Adieu Miss Météo, et merci d’avoir fait de nos bulletins quotidien un rendez-vous chaleureux et plein d’humour. David SCHMIDT *Sur une carte météorologique, la pression est représentée par les isobares. Les isobares sont des lignes qui relient les points de même pression atmosphérique à un instant donné. ** Le cirrus est un genre de nuage présent dans la couche supérieure de la troposphère (entre 5 000 et 14 000 mètres d'altitude, dépendant de la latitude et de la saison), formé de cristaux de glace. *** Nimbus, du latin signifiant nuage de pluie, désigne un nuage sombre aux contours déchiquetés sans forme nette se formant à basse altitude et qui donne des précipitations Read the full article
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nilzou · 2 months ago
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Vendredi 4 octobre 2024 après midi - Partage d’un périple en pleine conscience aux Abers ?
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Note:
-> This text is also existing in english here
-> Le précédent poste du blog est ici
-> Le texte suivant du blog est ici
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13h30: après un repas avec un ami d’enfance, je suis ses conseils et je pars en direction des Abers au-dessus de Sainte Marguerite au Finistère Nord. Google maps est mon ami et je trouve un parking avec un joli point de vue sur les Abers. Le GPS m’a amené à An Treiz.
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Sur la table de pique nique proche de ma place de parking il y a une femme qui dessine. Enfin… elle ne dessine pas me dit-elle.. Elle crée des cartes d’anniversaire. Je lui demande par où commencer la rando qui fait le tour d’une partie des Aber. Elle me donne les indications pour rejoindre le bout de la GR. Je pars de ce point de vue pour la laisser, crayon et feutre à porter de main, à son atelier de création… qui est du dessin :-).
13h45: C’est le début de mon périple de l’après-midi. La marée basse a été atteinte il y a peu. Sur mon chemin je vois beaucoup de champs d’ostréiculture. Vous pouvez le voir sur mes différentes photos partagées. Des photos prises avec mon téléphone et avec un appareil photo numérique que j’ai depuis mon voyage en NZ en 2014. Je ne remercierai jamais assez les copains qui m’ont offert ce bijou. Par soucis du détails et aussi pour retranscrire au mieux l’émerveillement du moment je prends du temps pour analyser la situation, chercher le bon angle. Pour l’appareil numérique quand la motivation est là, je mets le mode manuel pour jouer avec les paramètres. Le mode auto ne me convient pas toujours. Pour le téléphone c’est plus simple : Seul le cadre doit être travaillé. Le mode auto, le seul que je connaisse sur mon téléphone, me convient largement. Ce sont les photos du téléphone que je vous partage à travers les réseaux. L’enchantement étant continuel, je prends sans cesse des photos pour la mémoire, pour mieux transmettre ces émotions. Le périple continue et vous en avez un aperçu dans les photos.
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J’ai chaud, l’océan est à portée de main… J’improvise un petit longe côte. Je dépose au préalable loin du rivage mon sac, je me déshabille et ne garde que mon sous vêtement (un caleçon si le détail est nécessaire). J’arrive à l’eau… Elle ne me paraît pas si froide puisque malgré un soleil présent en parcimonie la température ambiante n’est pas si différente. J’accueille non sans plaisir le zef (= brise de vent en Brestois) qui côtoie mon corps à fleur de peau. Je me délecte aussi de cette sensation que l’eau de mer me procure. Cela m’a toujours apaisé et c’est entre pour cela que j’aime la pratique de body board. J’amorce donc mon longe côte avec au loin 2 comparses en combi. De peur de tomber malade, l’eau sera jamais plus haute que mon nombril. La session se termine et je rejoins mon sac, me rhabille et consulte mon téléphone au passage. Le soleil se cache derrière des nuages. La fatigue s’installe. Je suis au chômage après tout. J’ai du temps libre et je n’ai pas de date butoire, ni de rdv à respecter. Je me pose donc sur le sable fin que mes pieds nus foulent. Improvisation de méditation que j'essaie d’apprendre en mode auto-didacte. La fatigue s’intensifie, le soleil est de retour… bon bah let’s go une petite sieste au milieu de la sérénité que la plage déserte apporte.
Un moment plus tard, je me réveille. Je suis apaisé. Je profite, thé à la main, du paysage qui se présente devant moi. Quelque temps plus tard, je décide de partir. Je mets tout mon attirail sur moi : pull, veste de pluie (pour le vent), appareil photo au niveau de mon cœur et ma sacoche bandoulière avec mon portable près à être dégainés pour les photos. L’océan est largement monté entre-temps… j’aurai de quoi faire de belles photos avec de nouvelles perspectives.
S’amorce donc mon chemin de retour. Après quelques mètres de marche, la chaleur monte, la sacoche me gène. Je décide d’enlever mon pull et au passage, lassé de cette activité, je décide de ne pas prendre de photo donc j’emballe une partie de mon attirail dans mon sac à dos. Je m’engage d’un pas décidé sur la fin de mon périple. Objectif voiture puis retour maison. La marche, j’aime ça. Elle me permet entre autres de contrôler indirectement mes humeurs. Je sais qu’en roue libre je marche d’un pas rapide. J’ai du temps libre… Je prends donc mon temps, je ralentis le pas. Indirectement mon cerveau, mon flux de pensée, ralentit. Cette machine à penser qui est souvent en mode automatique et qui encombre inutilement ma tête. Il l’encombre de moins en moins ces derniers temps mais il est toujours là. Ok, arrêtons cette machine. Il faut arrêter de penser à ce proprio épuisant, arrêter de penser aux photos loupées, arrêter de penser au partage que je loupe, arrêter de penser aux blagues partagées avec des amis, arrêter de penser aux conséquences supposées de mes actes; arrêter de penser à cette fille qui occupe mes pensées depuis cet été. Bref, j’essaie de faire le vide. La solution mise en place est simple : je m’arrête de marcher, je m’immobilise, je contemple. Je me focalise sur l’instant présent. Le zef est de retour… ou disons que je le notifie... j’en prends conscience. Je prends conscience des oiseaux environnants. Je prends conscience de cette tondeuse qui brise en continue le silence sans agressivité. Je prends conscience des pêcheurs au bord de l’océan avec leur discussion. Je prends conscience de ce qui m’entoure. C’est plaisant. Je me remet en marche. Il faut que je partage cette sensation ! Il faut que je l’écrive ! Bref, j’oubliais malgré moi l’instant présent qui me rendait plus alerte sur mon environnement si passionnant. J’en prends conscience… mon rythme de pas s'accélère… Ou je dirais plutôt que je n’ai pas conscience de son rythme. Ok… Je repars dans mon mode automatique. Je m’immobilise à nouveau. Le zef, les baigneuses de l’autre rive, le pêcheur solitaire à côté du rocher, les oiseaux, le paysage changé par la marée montante, les drôles de rochers… tout pope dans ma tête non sans sérénité, avec de bonnes sensations. Il faut quand même que je rentre, que je rejoigne ma voiture. L’immobilisme n’est peut être pas la solution définitive, je me mets en marche. Le mode automatique bien que calmé est toujours présent. Face à une telle inertie, la machine ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, j’en suis conscient (et c’est déjà ça !). J’arrive à ma voiture. Le paysage qui m’accueille et qui m’a accueilli à mon arrivée au parking a changé grâce à la magie des marées… Vous ne le verrez jamais. Car j’ai décidé de ne pas sortir mon attirail cette fois. Je me pose sur la table de pique nique, je contemple un moment, rationalise (une forme de mode auto en soi… mais pas trop encombrant on va dire).
Le retour à la maison s’impose. Je m’installe dans la voiture et décide cette fois de ne pas mettre de musique, ni de GPS ou autres distractions. Pas besoin de checker mes messages sur mon téléphone que je n’ai pas consulté depuis le début de mon chemin de retour. Je pourrai les consulter à mon retour à la coloc. En d'autres termes, la déconnexion est toujours en marche. Le trajet en voiture se passe paisiblement et sans embûche. Après tout, dans le Finistère Nord, presque toutes les routes mènent à Brest :-).
18h45: j’arrive à l’appart. Ok il faut que j’écrive. Il faut que je partage ! Je suis donc ici face à l’ordi qu’une de mes colocs m’a prêté. J’ai aimé l’écriture autant que la photo lors de mon voyage en NZ. Il faut que je m’équipe. Tout ça pour retranscrire ce qu’une photo, une vidéo, un son ne peut transmettre. Un partage qu’il faudra que je gère en parcimonie pour que l’instant présent puisse être accueilli par mon for intérieur, mon Être.
22h30: La rédaction de ce texte s’achève avec de la musique dans les oreilles. Je vais manger. Ce soir ce sera hachis parmentier.
Première version achevée le 4 octobre 2024
Note : Le texte suivant du blog est ici
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noemiemouna · 7 months ago
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Une journée vivante.
Se réveiller. Petit baisers, petits bras, petits câlins, petite maman. Petite marraine. "Mater".
Pas trop prendre le temps. Un médicament. Toujours le même. Café rapide. En rupture mais on fera avec. Le parfum de la lessive. Le bruit de la machine.
Attendre et travailler. La déception face à l'absence. L'épanouissement dans ces échanges. Se sentir utile.
Aimer. Écouter. Cuisiner. Petite main sur le sein, une sieste , un bon livre. Une histoire d'amour et de ville hantée. C'est toujours les bons qui l'emportent entre ces pages. Se relever.
La patience. Des amis. Des fleurs. Quelques sourires. Beaucoup de souvenirs. Une chaîne de cœur. Encore des petites fleurs. Mamie qui voit plus clair. La littérature qui s'échappe. Les mots qui s'enfuient. Le monde qui se filtre et se noircit. La réalité. Existentielle. La peur.
L'amour encore. La mort. La famille. Les amis. Des larmes. Du courage. Un papa étoile. Un ami, un frère, Un père. Qui repose. Là, devant nous. L'attente. Le manque. Les doutes. La force d'un câlin à plusieurs. Les larmes qu'on laisse couler. L'humilité. La sincérité. Quelques blagues pour une atmosphère plus légère. Faire monter tout le monde sur mon ptit nuage blanc. Tenir.
Puis la colère. Soudainement. Tellement de colère. Du dégoût peut être. Ma peur. Ma fatigue. Un tsunami. Moi, qui ne suffit plus. Qui ne suis plus assez bonne. Assez forte. C'est ça. C'était une journée difficile .
Tellement difficile.
Ca ira mieux demain.
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fidjiefidjie · 10 months ago
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Détente entre amis 🤗
🦆🦆 🐒 🦆🦆
👋 Bel après-midi
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ondessiderales · 7 months ago
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Hygge
« Hygge est un mot d’origine danoise et norvégienne faisant référence à un sentiment de bien-être, une humeur joyeuse et une atmosphère intime et chaleureuse. Le hygge est un état d’esprit positif procuré par un moment jugé réconfortant, agréable et convivial. Selon le livre de Meik Wiking, « 7 Danois sur 10 affirment que le bonheur se trouve dans leur foyer ».
Le hygge, aujourd’hui, est complètement considéré comme un art de vivre qui permet de rester positif lors des longs hivers danois, où le soleil ne se montre que très rarement. En effet, les heures d'ensoleillement ne rallongent qu'à partir du mois de février (entre 7 et 8 heures de soleil par jour). Le hygge est, aussi et surtout, une philosophie et fait acte d’un optimisme quotidien. Le hygge est un sentiment de bien-être lié à une ambiance conviviale et chaleureuse. Ainsi, une atmosphère, une décoration, un lieu, un évènement, une activité peuvent être caractérisés par le terme hygge (ou hyggelig, soit l’adjectif correspondant au mot hygge).
Le hygge propose une conception non-matérialiste du bonheur. Il s’agit, en fait, d’apprécier pleinement les petits moments du quotidien et d’apprendre à les privilégier. Le hygge est un concept qui invite à profiter du plaisir des petites choses comme un dîner entre amis, un moment en famille, siroter un chocolat chaud en écoutant tomber la pluie, s’asseoir près d’un feu, etc.
Comme tous les arts de vivre, le hygge se « pratique » : il ne s’agit pas que d’un état d’esprit. Les adeptes de cette philosophie de vie danoise ont par exemple pour habitude d’allumer des bougies (les Danois en brûlent plus de six kilos par personne et par an), ou bien d’enfiler de grosses chaussettes de laine. La cuisine tient aussi une place de choix dans la culture hygge : se préparer des petits plats sucrés ou réconfortants n’est pas rare. Le bain chaud et le verre de vin rouge du soir, sont aussi des classiques d’une vie pensée hyggelig.
Habitués à rester chez eux lors des longues soirées d’hiver qui jalonnent leur calendrier, les Danois reçoivent beaucoup. Dehors il fait trop froid alors les activités entre amis se font en intérieur, notamment autour de jeux de cartes et de société. C’est aussi en raison de tout ce temps passé chez eux que les Danois (et les Scandinaves en général) ont développé un tel sens de la décoration intérieure. Quitte à rester cloîtré, autant que l'environnement soit beau.
Le hygge peut faire aimer l’hiver. Mais il se pratique aussi durant les beaux jours. Une fois baignés de soleil, les Danois pique-niquent en groupe, s’offrent des siestes au grand air, partent en promenade à vélo… En toute saison, la philosophie reste la même : savoir profiter de la vie, apprécier les petits bonheurs du quotidien et s’ouvrir aux autres. »
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petit-atelier-de-poesie · 2 months ago
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Quelques trucs bien. Novembre 2024
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Être accueillie chez maman par la Chatonne, nommée  Terry la terrorisée qui m’offre de manière exceptionnelle son ventre doux et blanc à caresser 
Lire aussi un essai de Pascal Quignard, écrivain mystérieux
Me réjouir du changement de poste d’un collègue qui me manquera au quotidien 
Lire beaucoup de romans graphiques en ce moment et laisser aller mon imagination entre les cases
Recevoir deux invitations que je préfère décliner pour être à ma place 
Faire une virée en Italie avec ma soeur pour acheter des clopes et des douceurs. Passer par la Riviera française et boire un cappuccino au soleil
Converser avec maman et nous souvenir avec émotion de mon grand-père, de son affection toute paternelle, de son intelligence, de sa culture et de tout ce qu’il nous a transmis à travers elle, ma mère 
Trouver le « truc » pour que maman boive la journée : alarmes sur le téléphone avec un message. Me dire que l’alarme sonne en même temps pour elle et pour moi 
Jouer avec Mateo : toc toc toc, y’a quelqu’un ? Bonjour papa ours, bonjour maman ours, bonjour petit ours ! Ploum reste indémodable 
Raconter des histoires d’albums cartonnés à Mateo assis entre mes jambes en tailleur 
Voir Mateo sourire quand il me voit au réveil de la sieste 
Répondre à Mateo qui envoie des bisous sonores avec la main 
Sortir boire un coup après le boulot avec mon amie Béa et mon ancien collègue psychologue 
Apercevoir un renard détaler dans la lumière des phares 
Écouter et encourager mon collègue psychologue qui essaie d’ouvrir de nouveaux points de vue à l’équipe 
Passer du temps avec mon amie Lauriane et l’aider à concrétiser son projet de vie 
Ramener des jouets pour Mateo chez maman afin de l’occuper quand il passe chez elle le soir. Partager sa joie de redécouvrir ses joujoux 
Avoir des nouvelles de ma marraine en voyage à l’étranger 
Fêter l’anniversaire surprise de ma sœur et partager sa joie
Accueillir maman à la maison et être heureuse de sa joie 
Faire le ménage et le tri chez maman pour son retour à domicile. 
Ces “Quelques trucs bien” s'inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, ou des “Notes de chevet” de Seï Shonagon. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d'optimisme.
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tournesolaire · 7 months ago
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La vérité c'est que je crois qu'il me manque
"Nous" me manque
Tout était si simple
On se contentait de filer à vélo à travers ville et campagne
On allait faire le tour des friperies le dimanche avant de rentrer prendre le goûter et faire la sieste
On jouait aux jeux vidéos ensemble
On allait danser tard dans la nuit à la barge, et peu importe si la piste était vide
On allait se baigner à la rivière sur des coups de tête
On décapsulait nos Heinekens et on trinquait à la vie
Il me faisait des mini-concerts privés dans sa chambre et moi je l'écoutais, ébahie d'avoir la chance d'être là
On mangeait des Kit-kats dans son lit, ils étaient toujours à côté de sa DS rose
On se réveillait doucement dans la chambre chez ma mamie avant de regarder petits secrets entre voisins
On écoutait des vieux CDs de rock dans sa voiture avec la fenêtre passager cassée, j'avais l'impression qu'on irait jusqu'au bout du monde
On essayait de séduire des filles gentilles et sympas ensemble en riant à la terrasse des bars, sans jamais grand succès mais avec de jolies rencontres
On prenait des photos des gens et l'un de l'autre à l'argentique, et j'avais toujours super hâte qu'il les fasse développer
On s'embrassait devant ses amis et il me complimentait, alors moi je rougissais et il me chatouillait
On se racontait nos vies passées, nos jolis souvenirs et nos espoirs pour l'avenir, et je crois qu'on espérait secrètement tous les deux pouvoir construire un petit bout de cet avenir ensemble
Tout était si simple
Si doux et léger
La vie était pleine de surprises qui rendent heureux et d'habitudes qui rassurent
J'aimerais pouvoir repasser ma main dans ses cheveux doux et blonds décolorés
Sentir encore son cou
Observer son piercing au nez
Détailler son grand sourire rayonnant
Lui chiper ses lunettes de soleil
Le serrer contre moi fort, comme le soir où on s'est rencontrés
Sentir ses doigts se promener sur ma peau
L'entendre jouer de la musique
J'aimerais pouvoir mettre encore ses t-shirts et être super fière
Faire des pâtes au beurre une énième fois et l'embrasser dans le dos comme un vieux couple
Me tenir collée à lui pour ne pas tomber du porte-bagage
Le sentir me désirer moi, pour de vrai, avec appétit
J'aimerais encore qu'il me fasse la surprise de débarquer à mon travail avec les copains parce qu'il se doutait que je m'ennuyais
J'aimerais ressentir encore autant d'affection pour quelqu'un
Je pense beaucoup à lui en ce moment
Et je sais que c'est au lui de l'été dernier que je pense, que maintenant il est probablement très différent et peut-être même qu'il a une chérie (j'espère en tous cas qu'il est heureux)
Mais je me rends compte de ces pensées
Et du fait que je trouve plus de réconfort dans les souvenirs d'une passade d'été que dans mon couple
Je sais que ça en dit très long sur l'état de ma relation avec Fred
Mais je me sens prisonnière, je veux partir mais je n'y arrive pas
Alors je me réfugie dans ces souvenirs dorés et sucrés
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tdjrwc2023 · 1 year ago
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63. J+43 : voyage en train pour Paris
C'est l'occasion de rencontres. À peine montés dans le Ouigo, on trouve un groupe de fanas de rugby du Langonnais et du Réolais, anciens joueurs (il y a même le co-président du club de Langon). Départ pour la Capitale à 8h41 et des bruits sympathiques dès 8h45, rouge et blanc, saucisson et chorizo, boudin noir et même du saumon fumé ! Certains parlent de pastis. De nouveaux amis en moins de 10 minutes. C'est parti !
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Le pastis, ce sera après 10h01. Pour les chansons paillardes qui ont animé les 20 dernières minutes du trajet, la décence reste de mise. Les voix ont porté au-delà de la voiture et probablement choqué quelques oreilles pudibondes.
À noter le sens écologique des rugbymens que nous sommes : tri sélectif des cadavres et des déchets avant de rejoindre le quai. Un rendez-vous a été pris entre Langon Rugby et Union Sportive de Salles (dont @DirComm est le vice-président) lors d'une prochaine rencontre de Nationale 2 à Salles.
À plus tard car la sieste est maintenant de rigueur. Départ au stade à 18h00.
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