#sieste entre amis
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🤗 Petite sieste entre amis ! 🐕 🐖 🦆
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Les vacances approchent, les journées sont longues, le soleil nous réchauffe le visage et le coeur....Juillet et son petit grain de folie est là et il est temps de le fêter !
Vive l'été, vive la plage, les siestes, les pique-niques et les soirées entre amis autour d'un barbecue....Vive le bonheur tout simplement !!!
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Quelques trucs bien. Octobre 2024
Ces “Quelques trucs bien” s'inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, ou des "Notes de chevet" de Seï Shonagon.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d'optimisme.
Aller au musée des femmes artistes avec mon amie Béa. Profiter du soleil d’automne en terrasse et prendre soin de notre amitié
Avoir la visite d’une bergeronnette printanière
Jouer à cache-cache avec mon petit Mateo. Rire ensemble
M’inscrire sur un groupe de rencontres
Être honorée d’être sélectionnée sur la liste des jurés titulaires pour l’année prochaine
Jouer aux cartes avec mon fils. Gagner à être perdante
Prévoir un week-end d’escapade chez mon amie Monique
Me rappeler que ma sœur et moi avions souhaité élever et faire grandir nos enfants ensemble. Suppléer son absence quand elle est en vacances, c’est à dire faire le taxi pour mes nièces
Me faire draguer par un charmant sportif de plus de 10 ans de moins que moi lors du rdv pour test d’effort en cardiologie. Remercier en moi-même ma fille de m’avoir prêté un legging. Épreuve réussie à 100%
M’essayer au caviardage en poésie. Tenter de relancer la créativité
Chanter l’hymne à l’amour dans ma voiture... et pleurer
Faire la sieste pour récupérer le manque de sommeil
Partager une pizza duo avec mon collègue de travail
Réfléchir encore et en équipe à une bonne pratique professionnelle. Entre intuition et philosophie
Avaler des kilomètres pour essayer de laisser derrière moi le quotidien. Faire une halte chez mon amie Lauriane
Recevoir un cadeau de ma nièce de retour de son voyage scolaire à Venise
Profiter de l’alerte météo pour laisser libre cours à la créativité
Avoir une pensée émue pour mon ami Vincent qui manque toujours, même après de 14 ans de deuil
Féliciter Mateo qui s’enhardit à se lâcher pour avancer debout vers un autre appui
Tenir la petite main de Mateo pour l’accompagner dans ses premiers pas debout. Verbaliser pour lui que son regard sur le monde est désormais différent
Porter du jaune quand j’ai besoin de soleil
Participer à une réunion d’équipe de scolarisation. Sentir que je suis un vrai soutien pour ma collègue, la maîtresse et la maman
Avoir la surprise d’un arc en ciel après l��alerte météo pour pluies et inondations
Aller au cinéma pour voir un film érotique. Regretter l’absence de désir
Saluer le retour du berger et de son troupeau sur le terrain. L’automne est lui aussi de retour
Sentir venir le fou rire en entendant maman évoquer l’idée d’héberger tatie Lulu, 88 ans pour ne pas qu’elle soit seule
Aller au Festival du livre où ma nièce tient le stand de l’atelier d’écriture de son lycée. Me faire dédicacer le bouquin par une troupe d’ados. Savoir que la relève est assurée
Lire Mona Chollet et me sentir « sorcière » moi aussi
Rencontrer un jeune adulte venu donner de ses nouvelles à l’équipe qui l’a accompagné. L’entendre raconter son parcours avec gratitude et maturité puis dire que son handicap (TDAH) est aujourd’hui une force. Comprendre ce ressenti et avoir de l’espoir pour les enfants que j’accompagne aujourd’hui
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Arrivée à Santiago au Chili
Il nous fallait quitter la chambre à 7 h 30 ce matin. Le réveil a été dur, car je n’ai pas très bien dormi. Je suis encore malade, mal de gorge, toux, nez qui coule et ça perdure malgré les Tylenol extra-fort que je prends.
Après un débarquement sans anicroche, nous avons tenté de commander un Uber avec le cellulaire de Susan. Le premier chauffeur a refusé la course, et lors de la deuxième tentative, la transaction a échoué, car le système pensait que quelqu’un faisait de la fraude avec la carte de crédit, car on avait encore changé de pays. Baire est arrivé à la rescousse, et pour la première fois de sa vie, il a commandé un Uber. On a fait l’aller-retour entre le derrière du bureau de douane et le devant avant de localiser l’auto. Ça a pris 1 h 30 pour arriver à Santiago.
Nos amis sont venus déposer leurs valises à notre appartement, puis nous sommes allés manger dans un restaurant vénézuélien où on sert toutes sortes de viandes grillées. Poulet, bœuf, porc, c’était une assiette de cochon, mais vraiment très très bon. Il était 15 h quand nous sommes sortis de l’endroit où il n’y avait que des gens du coin, un très bon signe.
Revenus à l’appartement, j’ai fait une sieste et Susan et Daniel sont partis explorer la ville. Robert est allé acheter du pain, du café, des confitures et du lait pour le déjeuner.
Vers 19 h, nous sommes allés prendre un verre dans un quartier très chouette, entouré d’arbres, de restaurants et de vendeurs de babioles. Nous y retournerons souper, c’est certain.
Nos amis sont partis à l’aéroport vers 21 h, car ils ont un premier vol de Santiago à Bogota, à 1 h 30 du matin. En fait, nous partirons comme eux à la même heure dimanche.
Demain, nous avons prévu de visiter plein de choses. Espérons que je serai en meilleure forme.
Lever de soleil à Valpairaiso à 8 h ce matin.
Les petites maisons colorées de Valparaiso, du pont du bateau.
Tous les drapeaux des pays d’où proviennent le personnel du navire. Ils ont été hissés sur le pont du bateau pour une première fois aujourd’hui.
Assiette de viande rôties ce midi, ou plutôt cet après-midi. On a pas eu besoin de souper.
Dernier verre avant que nos amis repartent en direction de San Diego, aux États -Unis.
Nous, à Santiago.
Au coin de la rue où se trouve l’appartement. On est en plein centre-ville.
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aujourd'hui dans les mésaventures de mathilde, grève oblige il n'y avait pas de bus ratp pour m'emmener dans mon coin paumé du moment ce matin donc j'ai pris un bus municipal, et quelle ne fut pas ma surprise quand je me suis retrouvée obligée de descendre à un arrêt paumé entre la nationale et littéralement un bois avec RIEN autour, genre rien de rien. enfin rien de rien sauf de la boue et un monsieur qui pissait tranquille, certainement dans un esprit de communion avec la nature. ça a commencé à m'angoisser quand le gps m'a indiqué qu'il avait perdu le réseau et que j'étais déjà en retard de chez retard, j'étais en full angoisse, j'ai cru que j'allais rester portée disparue éternellement dans cet énorme vide, mais emplie d'une force du désespoir j'ai finalement réussi à retrouver mon chemin (et à arriver méga en retard) bref pour me remettre de ces émotions mon ami platonique m'a dit de venir manger chez lui donc je l'ai rejoint, on est allé au parc à chiens, il m'a fait ses frites de patates douces qu'il m'avait promis (délicieuses et il m'a regardé les manger parce que c'est ramadan mdr j'avais oublié, ensuite on a fait la sieste c'était cool (enfin surtout moi car il bossait) on a écouté lana del rey et les smiths c'était encore plus cool et puis je ne saurai pas dire comment (si je sais très bien) on s'est adonnés à des pratiques pas très catholiques mais très agréables néanmoins. c'était une belle journée.
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Mes amis, contre toute attente, et via de nombreux rebondissements, nous sommes vivants !! Vous aurez donc le récit de nos aventures au fur et à mesure de leur rédaction, pendant que nous attendons notre pizza (rien de plus jouissif qu'une pizza à 22h30 après plus de 80km de rando en 4 jours).
Jour 1 du trek
Loin de la tempête aux vents de 120km/h annoncées par la meteo, ce sont de delicates rafales à 70km/h qui nous font passer la nuit dans un van aux allures de tambour de machine à laver. Au petit matin, une victime est à déplorer : Dr Rathatton est tout vert et ... fuit.
Nous entamons plein d'entrain la longue marche jusqu'au premier camping, que nous atteignons avec bonheur après un bon 300m de marche. Que nous sommes heureux de payer 35€ par personne au lieu de dormir dans le van.
Dr Rathatton est passé du vert au blanc, mais tente tout de meme de nous accompagner jusqu'à la base de notre randonnée. Après 2km, c'est l'abandon, elle part se rouler en boule entre deux buissons pour faire une sieste, et ce sont une Touille et un Dr X esseulés qui poursuivent leur route.
Vu sa grande résistance aux faibles températures, Dr Rathatton a sans doute été bien inspirée : Sauron nous déverse sa vengeance divine, et nous faisons la rencontre fort désagréable des fameuses bourrasques à 120km/h. Bon, j'exagère, mais elles étaient quand meme suffisamment fortes pour nous balader allègrement de droite à gauche sur notre petit sentier, fort peu plaisant. On a de la chance dans notre malheur : si quelques flocons de neige font leur apparition, pas de pluie à déplorer !
On traverse des forêts un peu étranges, aux longs troncs noirs surmontés de touffes de feuille vert pale, on longe des rivieres, on affronte le blizzard, on grimpe des pentes escarpées... et nous voici enfin devant les Torres del Paine, le point normalement culminant de ce trek ! (Oui, on l'a fait à l'envers, et alors ?)
Nous décidons de prendre notre pique nique un peu frigorifiés, à l'abri d'un gros rocher, où un guide nous propose une verre de soupe pour nous réchauffer... Elle n'était pas bonne, mais ça a fait tellement de bien, merci monsieur le guide !
on quitte le lac gelé et ses hauts pics pour rentrer au camping, où nous retrouvons un Dr Rathatton lavé de frais (seul avantage de ce camping aussi hors de prix qu'inutile) , roulé en PLS sous la tente, ca ne va pas beaucoup mieux. Quand on vous annonce "la bonne nouvelle, c'est que je n'ai pas vomi dans la tente !", ça commence mal ...
Au repas du soir, c'est une Touille bien téméraire qui decide d'engloutir les deux bananes liquéfiées (assez littéralement, puisqu'elles degoulinent dans mon bol quand je les ouvre) écrabouillées au fond du sac... Seul l'avenir nous dira ce qu'il adviendra de cette inconsciente !
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NSBC • Chapitre 16
Victoria est passée nous voir, aujourd’hui. Elle a pu discuter un peu avec Gabriel…
… et Raphaël.
Gabriel n’est pas resté longtemps en compagnie de sa tante. Il a invité (avec mon autorisation) son copain de classe Tetsu. Ils ont l’air de vraiment bien s’entendre ces deux là, ça me fait plaisir !
Tetsu est un garçon qui a l’air d’avoir toujours le sourire. J’espère que toutes les fréquentations de Gabriel sont du même acabit…
Vic’ est finalement entrée pour nous féliciter pour nos fiançailles. Enfin, c’est ce que m’a rapporté Edward, puisque j’étais dans la cave à faire des analyses, à ce moment-là…
« Félicitations petit frère !
— Merci Vic’, et t’es toujours pas plus âgée que moi ! »
Elle est partie peu après, et Edward également, devant se rendre au travail. Je suis, quant à moi, remontée de mon petit laboratoire personnel car « femme enceinte » rime apparemment avec « vessie sur le point de craquer vingt-quatre heures sur vingt-quatre ». Et en entrant dans le salon, j’ai entendu Tetsu et Gabriel discuter.
« On restera amis pour toujours, hein ? demande la voix de mon fils.
— Bien sûr, Gaby ! Quelle drôle de question ! »
Alala, la jeunesse… Oups… Il faut que je me dépêche moi, pas envie de salir mon pantalon…
Je marche bizarrement, non ? J’appelle ça la démarche de la baleine.
•
La principale différence que je note entre mes deux garçons, c’est qu’il y en a un qui est plutôt studieux, et l’autre qui préfère jouer dehors et sur l’ordinateur.
Bon, Raphaël fait ses devoirs, mais pas de gaité de cœur, je peux vous l’assurer ! Mais j’espère que l’intérêt pour l’école n’est pas décroissant, parce que sinon je vais me battre avec le dernier bout de chou dans mon ventre pour qu’il travaille… !
D’ailleurs, on arrive au terme. Et je le sens bien, je suis tout le temps en train de faire des siestes… Vivement qu’il sorte, ce troisième petit monstre !
Et c’est justement au milieu d’une de ces siestes que le dit monstre a décidé de montrer le bout de son nez.
Edward étant au travail à ce moment-là, je me vois obligée de me rendre seule à l’hôpital. Je laisse des consignes de sécurité aux garçons qui me regardent avec de grands yeux inquiets, et je monte dans le taxi qui m’attend.
Edward s’est libéré de son travail à la dernière minute, et c’est en courant que je le vois me rejoindre dans le couloir de l’hôpital. Il n’a pas l’air très content…
« Mon patron a presque refusé de me laisser partir, j’y crois pas !
— Respire, chéri… Aouch… »
On entre dans la salle d’accouchement, et alors que je m’installe, Edward s’exclame :
« Eh ! Mais vous êtes le médecin qui a failli la tuer lors de la naissance de Gabriel ! Vous savez ce que vous faites maintenant ?! »
« Mais oui, monsieur. Laissez-moi me concentrer, je vous prie. »
« Laisse, Ed. … Aïe. Tiens, tu es en uniforme de chef ? »
« Ils étaient en sous-effectif en cuisine… Mais on s’en fiche de moi, courage mon amour… On va accueillir le dernier membre de notre famille ! »
Oui, c’est vrai… Mais qu’est-ce que j’ai mal… ! Oh… Ce sont des pleurs, n’est-ce pas… ?
« Félicitations, Madame Berry ! Voilà une belle petite fille ! »
Une… Une fille ? Une fille ! J’ai eu une fille !
Ni une, ni deux, je suis debout sur mes deux jambes en un rien de temps, et je prends dans mes bras ma petite princesse.
« Edward… C’est une fille…
— Je sais mon amour. Je suis heureux aussi.
— Comment l’appelle-t-on ?
— Choisis, tu la voulais tellement.
— … Gaëlle. Ça te va ?
— C’est parfait !
— Bonjour Gaëlle, bienvenue dans la vie. »
•
Dans la foulée, quand nous sommes rentrés, j’ai soufflé mes bougies. Eh oui, la petite a choisi de naître le jour de mes quarante ans… !
Et je dois avouer que je ne me sens pas très différente, malgré toutes mes appréhensions.
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J9▪️Ebergötzen - Göttingen
20,0 km [186,1]▫️+370 m [+3 240]▫️21 °C
En arrivant à Ebergötzen à l’hôtel, la première chose que nous avions faite était de mettre la télé pour voir le Tour de France, un petit rituel idéal pour la sieste post-marche. Et comme d’habitude, je passais 50 chaînes du bouquet satellite avant de trouver la bonne. Et donc ce matin, au moment de partir, je replace la télécommande là où elle était posée hier, sur une feuille de papier imprimée. Et que vois-je sur la feuille de papier ? Écrit en douze langues ? « Veuillez NE PAS changer de chaîne de télévision, merci ». Ah bon ? Mince alors. En plus, si c'est écrit en douze langues, c’est que ça doit être important ! Oups ! Il ne me reste plus qu’à trouver une petite ritournelle à siffloter, l’air détaché, en allant régler notre chambre. Tiens, pourquoi pas du Barbara ?
Mais revenons aux fondamentaux : l’étape du jour (pas comme ces feignants de cyclistes qui ont déjà fini). Je dirais qu’elle était bien sympa avec un chemin qui monte tranquillement dans une large vallée agricole puis une bonne grimpette pour rejoindre la vaste forêt qui nous mènera sans discontinuer jusqu’à Göttingen. Ah Göttingen ! Bien sûr, ce n'est pas la Seine, ce n'est pas le bois de Vincennes, mais c'est bien joli tout de même, à Göttingen !
Le soir, nous retrouvons Klaus, un vieux collègue et ami (grand fan de Barbara et dont un lointain ancêtre qui travaillait le métal dans le massif du Harz fit fortune en fabriquant des boîtes de conserve pour les armées de Napoléon), qui, entre un repas dans les caves du Altes Rathaus (l’hôtel de ville) et un verre de vin blanc dans les jardins du théâtre, nous fera visiter cette vieille ville qui doit à son exceptionnelle université sa renommée et à ses étudiants indisciplinés moultes anecdotes (le saviez-vous ? Il y avait à Göttingen deux polices, une pour les étudiants et une pour les habitants, sans pouvoir de l’une sur la juridiction de l’autre).
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Cher Tumblr,
Je suis a la montagne pour quelques jours. Histoire de se reposer un petit peu et de passer un peut de temps entre amis et en famille.
Entre sieste au chalet, ski et raclette...
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Une journée vivante.
Se réveiller. Petit baisers, petits bras, petits câlins, petite maman. Petite marraine. "Mater".
Pas trop prendre le temps. Un médicament. Toujours le même. Café rapide. En rupture mais on fera avec. Le parfum de la lessive. Le bruit de la machine.
Attendre et travailler. La déception face à l'absence. L'épanouissement dans ces échanges. Se sentir utile.
Aimer. Écouter. Cuisiner. Petite main sur le sein, une sieste , un bon livre. Une histoire d'amour et de ville hantée. C'est toujours les bons qui l'emportent entre ces pages. Se relever.
La patience. Des amis. Des fleurs. Quelques sourires. Beaucoup de souvenirs. Une chaîne de cœur. Encore des petites fleurs. Mamie qui voit plus clair. La littérature qui s'échappe. Les mots qui s'enfuient. Le monde qui se filtre et se noircit. La réalité. Existentielle. La peur.
L'amour encore. La mort. La famille. Les amis. Des larmes. Du courage. Un papa étoile. Un ami, un frère, Un père. Qui repose. Là, devant nous. L'attente. Le manque. Les doutes. La force d'un câlin à plusieurs. Les larmes qu'on laisse couler. L'humilité. La sincérité. Quelques blagues pour une atmosphère plus légère. Faire monter tout le monde sur mon ptit nuage blanc. Tenir.
Puis la colère. Soudainement. Tellement de colère. Du dégoût peut être. Ma peur. Ma fatigue. Un tsunami. Moi, qui ne suffit plus. Qui ne suis plus assez bonne. Assez forte. C'est ça. C'était une journée difficile .
Tellement difficile.
Ca ira mieux demain.
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Hygge
« Hygge est un mot d’origine danoise et norvégienne faisant référence à un sentiment de bien-être, une humeur joyeuse et une atmosphère intime et chaleureuse. Le hygge est un état d’esprit positif procuré par un moment jugé réconfortant, agréable et convivial. Selon le livre de Meik Wiking, « 7 Danois sur 10 affirment que le bonheur se trouve dans leur foyer ».
Le hygge, aujourd’hui, est complètement considéré comme un art de vivre qui permet de rester positif lors des longs hivers danois, où le soleil ne se montre que très rarement. En effet, les heures d'ensoleillement ne rallongent qu'à partir du mois de février (entre 7 et 8 heures de soleil par jour). Le hygge est, aussi et surtout, une philosophie et fait acte d’un optimisme quotidien. Le hygge est un sentiment de bien-être lié à une ambiance conviviale et chaleureuse. Ainsi, une atmosphère, une décoration, un lieu, un évènement, une activité peuvent être caractérisés par le terme hygge (ou hyggelig, soit l’adjectif correspondant au mot hygge).
Le hygge propose une conception non-matérialiste du bonheur. Il s’agit, en fait, d’apprécier pleinement les petits moments du quotidien et d’apprendre à les privilégier. Le hygge est un concept qui invite à profiter du plaisir des petites choses comme un dîner entre amis, un moment en famille, siroter un chocolat chaud en écoutant tomber la pluie, s’asseoir près d’un feu, etc.
Comme tous les arts de vivre, le hygge se « pratique » : il ne s’agit pas que d’un état d’esprit. Les adeptes de cette philosophie de vie danoise ont par exemple pour habitude d’allumer des bougies (les Danois en brûlent plus de six kilos par personne et par an), ou bien d’enfiler de grosses chaussettes de laine. La cuisine tient aussi une place de choix dans la culture hygge : se préparer des petits plats sucrés ou réconfortants n’est pas rare. Le bain chaud et le verre de vin rouge du soir, sont aussi des classiques d’une vie pensée hyggelig.
Habitués à rester chez eux lors des longues soirées d’hiver qui jalonnent leur calendrier, les Danois reçoivent beaucoup. Dehors il fait trop froid alors les activités entre amis se font en intérieur, notamment autour de jeux de cartes et de société. C’est aussi en raison de tout ce temps passé chez eux que les Danois (et les Scandinaves en général) ont développé un tel sens de la décoration intérieure. Quitte à rester cloîtré, autant que l'environnement soit beau.
Le hygge peut faire aimer l’hiver. Mais il se pratique aussi durant les beaux jours. Une fois baignés de soleil, les Danois pique-niquent en groupe, s’offrent des siestes au grand air, partent en promenade à vélo… En toute saison, la philosophie reste la même : savoir profiter de la vie, apprécier les petits bonheurs du quotidien et s’ouvrir aux autres. »
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Détente entre amis 🤗
🦆🦆 🐒 🦆🦆
👋 Bel après-midi
#funny video#cute animals#monkey#ducklings#détente entre amis#funny monkey#cute ducklings#singe#cute monkey#animaux#funny duckling#nature#sieste#bel après-midi#fidjie fidjie
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La vérité c'est que je crois qu'il me manque
"Nous" me manque
Tout était si simple
On se contentait de filer à vélo à travers ville et campagne
On allait faire le tour des friperies le dimanche avant de rentrer prendre le goûter et faire la sieste
On jouait aux jeux vidéos ensemble
On allait danser tard dans la nuit à la barge, et peu importe si la piste était vide
On allait se baigner à la rivière sur des coups de tête
On décapsulait nos Heinekens et on trinquait à la vie
Il me faisait des mini-concerts privés dans sa chambre et moi je l'écoutais, ébahie d'avoir la chance d'être là
On mangeait des Kit-kats dans son lit, ils étaient toujours à côté de sa DS rose
On se réveillait doucement dans la chambre chez ma mamie avant de regarder petits secrets entre voisins
On écoutait des vieux CDs de rock dans sa voiture avec la fenêtre passager cassée, j'avais l'impression qu'on irait jusqu'au bout du monde
On essayait de séduire des filles gentilles et sympas ensemble en riant à la terrasse des bars, sans jamais grand succès mais avec de jolies rencontres
On prenait des photos des gens et l'un de l'autre à l'argentique, et j'avais toujours super hâte qu'il les fasse développer
On s'embrassait devant ses amis et il me complimentait, alors moi je rougissais et il me chatouillait
On se racontait nos vies passées, nos jolis souvenirs et nos espoirs pour l'avenir, et je crois qu'on espérait secrètement tous les deux pouvoir construire un petit bout de cet avenir ensemble
Tout était si simple
Si doux et léger
La vie était pleine de surprises qui rendent heureux et d'habitudes qui rassurent
J'aimerais pouvoir repasser ma main dans ses cheveux doux et blonds décolorés
Sentir encore son cou
Observer son piercing au nez
Détailler son grand sourire rayonnant
Lui chiper ses lunettes de soleil
Le serrer contre moi fort, comme le soir où on s'est rencontrés
Sentir ses doigts se promener sur ma peau
L'entendre jouer de la musique
J'aimerais pouvoir mettre encore ses t-shirts et être super fière
Faire des pâtes au beurre une énième fois et l'embrasser dans le dos comme un vieux couple
Me tenir collée à lui pour ne pas tomber du porte-bagage
Le sentir me désirer moi, pour de vrai, avec appétit
J'aimerais encore qu'il me fasse la surprise de débarquer à mon travail avec les copains parce qu'il se doutait que je m'ennuyais
J'aimerais ressentir encore autant d'affection pour quelqu'un
Je pense beaucoup à lui en ce moment
Et je sais que c'est au lui de l'été dernier que je pense, que maintenant il est probablement très différent et peut-être même qu'il a une chérie (j'espère en tous cas qu'il est heureux)
Mais je me rends compte de ces pensées
Et du fait que je trouve plus de réconfort dans les souvenirs d'une passade d'été que dans mon couple
Je sais que ça en dit très long sur l'état de ma relation avec Fred
Mais je me sens prisonnière, je veux partir mais je n'y arrive pas
Alors je me réfugie dans ces souvenirs dorés et sucrés
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Quelques trucs bien. Décembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Commencer à formuler des vœux
Organiser un pré réveillon de nouvel an avec mon fils. Se régaler tout simplement
Prendre soin de moi pour me sentir plus jolie et plus puissante
Passer du temps avec mon petit M. à jouer, lui raconter des histoires, le nourrir et l’endormir
Regarder un dessin animé à la télé. Retour de l’enfance
Passer chaleureusement le réveillon de Noël à trois. Parler littérature et cinéma en dégustant un bon repas et du champagne. Cadeau de la vie
Préparer le retour de maman à la maison, soupes, lessives et présence pour soins
Inviter une amie qui sera seule pour le réveillon de Noël. Lui laisser le choix de la solitude
Finir de cacheter les enveloppes de Noël. Cette année offrir des mots en cadeaux
Compter les jours avant le printemps et le retour de la lumière
Pleurer, souvent et beaucoup, croyant vider la goutte d’eau qui fait déborder le vase
Plus ou moins, tout m’est égal
Aller voir la mer, apaisant le vague à l’âme
Répondre positivement à une invitation. Pour une fois, le mois prochain en espérant que ça ira ce jour là
Recevoir une boîte de chocolats de la part de stagiaire (adorable et enthousiaste) quand mes jeunes patients me répondent à longueur de journée dès que j’ai une demande : « qu’est-ce que tu me donnes en échange ? ». Gratitude, disais-je ?
Compter les jours avant Noël et surtout les vacances
Rougir devant le pharmacien qui m’a accueillie en disant à la cantonade : « je vais me faire la dame », s’est peut-être rendu compte de sa maladresse, balbutie et oublie de me rendre mon ordonnance. Sourire intérieurement
Rentrer le soir à la maison pleine de l’odeur des biscuits tout chauds et des épices : anis étoilé, cannelle, muscade et gingembre. Magie de Noël préparée par mes deux enfants pendant que mon petit M. somnole à la sieste
Me réchauffer au soleil d’hiver sur la terrasse avec maman. Avoir moins froid dedans dehors. Sentir le chat chercher la caresse de l’une et l’autre
Sentir que mon petit M. tête ma joue. Premier baiser
Réconforter une collègue qui se culpabilise de ne pas en faire assez. Trouver les mots alors que je suis moi-même épuisée d’en faire trop
Me réjouir de constater que maman a installé la crèche cette année. Preuve que l’amour familial la porte : pour son père qui a sculpté cette crèche il y a 80 ans, pour ses enfants sur 3 générations maintenant, qui se rassemblent autour chaque Noël
Écouter les confidences de ma fille parlant de sa meilleure amie. Conseiller la posture d’amitié silencieuse : accueil et écoute
Apprécier chaque soir que mon fils me prépare mon café après le repas, et avec un petit chocolat en cette saison
Être invitée pour des soirées chez ma fille et chez ma meilleure amie. Décommander l’une et l’autre pour me reposer
Constater que mon petit M. fait des progrès de motricité. L’encourager avec amour
Savoir que ma nièce s’est rabibochée avec son amie. Faire confiance à la vie et au cœur
M’accorder un week-end de repos sans sortir de la maison. Commencer à écrire des poèmes acrostiches à offrir pour Noël à mes proches
Retrouver ma sœur dans un embrassement et les larmes aux yeux, sous les commentaires dénigrant mon émotion
Faire le projet d’un week-end entre filles avec visites de musée et d’expo. Vivement l’année prochaine !
Consoler ma nièce d’un chagrin d’amitié. La rassurer sur l’issue positive de cette expérience si l’amitié est authentique
Suppléer l’absence de ma sœur auprès de mes nièces pendant le week-end. Resserrer les liens
Faire un appel visio avec ma sœur en vacances au Togo. Fondre en larmes ensemble de ne pouvoir partager ce retour en Afrique l’une avec l’autre
Aller acheter un sapin avec ma meilleure amie. Le décorer de magie pour Noël
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LE BONHEUR EST ICI
Le bonheur est ici, le bonheur est bleu. Les bonheurs sont petits, mais les bonheurs sont nombreux. Je les rassemble précieusement, et j'en fais le tableau de ma vie... Ici, un soleil d'hiver sur des planchers frileux. Et là, celui d'été dans mon jardin heureux. Les voyages dans les nuages pendant les siestes d'après-midi et les amis qui restent à coucher parce qu'on a trop ri après minuit... Les livres et les soirées tranquilles, les discussions animées et les soupers en famille. Ici, une journée sans rien, et là, un ciel sans fin... Entre ici et là, il y a tout et il y a rien, mais il y a surtout le bonheur dans tous les coins!
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63. J+43 : voyage en train pour Paris
C'est l'occasion de rencontres. À peine montés dans le Ouigo, on trouve un groupe de fanas de rugby du Langonnais et du Réolais, anciens joueurs (il y a même le co-président du club de Langon). Départ pour la Capitale à 8h41 et des bruits sympathiques dès 8h45, rouge et blanc, saucisson et chorizo, boudin noir et même du saumon fumé ! Certains parlent de pastis. De nouveaux amis en moins de 10 minutes. C'est parti !
Le pastis, ce sera après 10h01. Pour les chansons paillardes qui ont animé les 20 dernières minutes du trajet, la décence reste de mise. Les voix ont porté au-delà de la voiture et probablement choqué quelques oreilles pudibondes.
À noter le sens écologique des rugbymens que nous sommes : tri sélectif des cadavres et des déchets avant de rejoindre le quai. Un rendez-vous a été pris entre Langon Rugby et Union Sportive de Salles (dont @DirComm est le vice-président) lors d'une prochaine rencontre de Nationale 2 à Salles.
À plus tard car la sieste est maintenant de rigueur. Départ au stade à 18h00.
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